Retour aux sources, Ernest le paysan ! 5 et fin.
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Retour aux sources, Ernest le paysan ! 5 et fin.
Avec ce récit, je termine enfin de vous relater mon vécu avec Ernest.
Le lundi qui suit ma connerie avec Mireille et la baise avec Bertrand et Gino, je pense aller retrouver mon paysan, mais mon cousin me propose une ballade.
Ce qui me contrarie un peu.
En fait, il a cédé à Mireille, qui veut me convaincre de changer d'avis sur notre histoire.
Je tombe donc, dans leur piège.
Il nous laisse seuls, et malgré quelques baisers arrachés par cette magnifique et adorable fille.
Je reste sur ma position, je ne la mérite pas ! C'est mieux pour elle !
En rentrant ensemble, je remarque le regard de mon amant paysan, qui nous voit passer, le long du chemin de sa ferme.
Je baisse la tête, peu fier de moi.
Je pense qu'il a compris mon absence, ce matin là !
Un besoin étrange me saisit, celui d'être dans ses bras, c'est le seul à qui je pourrais me confier, et lâcher toute la pression que je subis.
Je raccompagne la belle Mireille, puis au lieu de rentrer chez "tata", je préviens mon cousin, que j'ai besoin de m'aérer la tête.
"Ne m'attendez pas pour manger ! Tu m'excuses auprès de Tata !".
"Ok, pas de souci ! Prends ton temps !".
En fait, je vais droit vers la ferme !
Mon paysan est attablé, il est surpris de me voir.
Je me jette dans ses bras.
"Ohh ! Tu vas pas bien toi !".
"Y a qu'a toi que je peux parler ! J'en peux plus !".
Je lui déballe tout, ma fiancée, mon histoire et mon dépucelage de Mireille.
La baise avec Bertrand et Gino, tout de suite après.
La manière, dont ils m'ont couvert de foutre, et le fait que je ne sais pas, si j'ai aimé ça !
"Ben, je pense que t'as aimé ça ! Mais, c'est les conséquences que t'as pas aimé ! Tu veux le plaisir, mais pas le risque d'être surpris !".
"Oui, t'as raison ! Je suis une vraie salope, mais cette fois, j'en suis pas fier !".
"Il faut pas penser comme ça, c'est que du sexe, tu mélanges tout ! C'est parce que tu t'en veux de faire du mal à la p'tite Mireille ! Et dis donc ! En passant, il y a pas mal de jeunes qui voudraient être à ta place ! Elle est bien mignonne, la p'tite ! Mais quelque part, tu m'as vengé !".
"Ah bon ? pourquoi ?".
"Ben, c'est la nièce du jeune que je baisais !".
"Ernest, elle n'y est pour rien ! Peuchère !".
"Ah ! Ah ! Peuchère ! C'est bien de chez toi, ça !".
Il voit que je ne ris pas.
"Ouais ! T'as raison, elle y est pour rien ! La pauvre ! Mais si tu restes pour elle ! Ca m'arrange ! Je pourrai encore te baiser !".
Cette fois, je souris ! La pression retombe, lentement.
"Allez, penses à aut'chose ! Elle s'en remettra ! Viens la !".
Il prend mon visage et m'embrasse longuement, je sens ses doigts rêches autour de mon cou.
Dès qu'il quitte mes lèvres, il m'impose de me diriger vers sa verge épaisse, qu'il vient de libérer.
Je me déforme la gorge tendrement, sur son membre.
"Hummm ! Voila ! Comme ça ! Allez, j'te laisse faire ! C'est toi qui dirige ! Fais toi plaisir !".
"Mmmmm ! Gllllrp ! Mmmmmmmm ! Mmmerci ! J'en ai tellement envie ! Mmmmmm !...".
Je crois que je mets autant de passion à lui sucer et dévorer la verge, que lorsque j'ai fait l'amour à Mireille !
Il me rend mon plaisir buccal en gémissant le sien.
Lentement, je me dénude, sans cesser de lui lécher le membre.
Parfois, je me défonce la gorge jusqu'à l'étouffement, puis ralenti, en redevenant tendre et passionné.
Sa bite est couverte de salive, ce qui la rend plus désirable encore.
Je le sens prêt à craquer, je calme le jeu.
Je remonte vers lui, en lui léchant le torse, un peu trop poilu à mon gout.
Je colle mes lèvres aux siennes, il me serre fermement contre lui.
Sa grosse verge est entre mes fesses nues.
On se regarde, je prend sa main et la rapproche de ma bouche.
J'y dépose une grosse dose de salive.
Ses doigts m'enduisent l'anus.
Il commence à m'appuyer sur les hanches pour s'enfoncer en moi.
"Non ! Ernest ! C'est moi qui dirige ! Laisses moi te baiser !".
"Hummm ! Avec plaisir, ma p'tite salope !".
"Oui ! Regardes comme elle veut ta bite ! Ma p'tite chatte ! Arghhhhhhhhhh ! Orghhhhhhhhh ! C'est bon !".
"Ouhhh ! La vache ! C'est excitant ! Ouais vas y, baises la, ma queue ! C'est bon !".
"Orhhhhhhhhh ! Elle est trop grosse ! Ernest ! Si tu savais comme j'aime ta bite !".
Il me soulève sans sortir de mon cul et nous déplace au sol, afin que je puisse m'enculer sur lui, plus profondément.
Il halète à chaque enfoncement de mon cul, sur son ventre.
Son plaisir m'excite ! Je lui crie mes orgasmes successifs.
Je deviens incontrôlable, je m'envoie sur lui sans retenue, sans ménager mon anus.
Je veux repousser mes limites, sans me rendre compte que cela engendre un excès de jus anal sur sa grosse bite.
A la longue, je subis avec bonheur la grosseur de sa verge sur ma prostate, et j'éjacule abondamment sur lui.
C'est trop puissant pour moi, et je m'écroule contre son torse, ayant joui comme jamais.
"Orhhhh ! Putain ! Ourffff ! Merci Ernest ! T'as raison, il me fallait ça, je crois ! C'était tellement bon ! J'ai pris un pied énorme !".
"Ca va mieux ?".
"Oui ! Grâce à toi ! Et ta queue !".
"Hummm ! Tu sais que même si t'aimes les gonzesses ! T'es bougrement pédé aussi ! Tu peux pas dire le contraire !".
"Oui, je sais !".
"Bon, je te laisse reprendre un peu, et je pense à moi ! OK ?".
"Merci ! J'veux bien !".
"En attendant, racontes moi en détail ce qu'ils t'ont fait, Bertrand et son pote !".
Lentement, au cours de ma narration, il coulisse en moi, puis amplifie ses enfoncements.
Je montre de nouveaux signes de plaisir montant.
Il me dégage de son corps, puis m'allonge au sol et plonge entre mes cuisses pour me posséder encore et encore.
"Ouhhh ! La vache ! Tu m'excites ! J'ai jamais vu une chatte mouiller comme ça ! Tu me trempes la queue ! ca me rend fou !".
Il me fait vider ma vessie sur mon ventre, malgré tous mes efforts de retenue.
Je crie que c'est bon, qu'il m'encule comme ça.
C'est après ce moment qu'il se dresse au dessus de moi et m'arrose de toute son abondante semence chaude et gluante.
Je suis excité comme une vraie femelle, et étale son jus de mes mains, en cambrant mon corps.
Il vient sur mon coté, et me remplit la gorge de sa verge.
Je retrouve le délicieux gout de son sperme, en le remerciant avec ma langue et ma bouche.
Il joue avec son foutre sur moi, et m'en donne à avaler parfois.
Notre complicité perverse est totale.
Il m'admire pendant que je lui dévore la bite sans discontinuer.
"Hummm ! On s'entend vraiment bien tous les deux ! Je t'adore, mon p'tit Pascal !".
"Mmmmm ! J'aime trop baiser avec toi, j'ai pas envie de rentrer chez moi ! Mmmmm ! Glllrp ! Mmmmm ! ...".
Il se redresse, et me demande:
"Ne bouges pas ! J'vais prendre une photo !".
Je ferme les yeux et m'évade en pensée, je suis étendu sur le sol, presque froid, couvert du foutre de mon paysan cinquantenaire, et je me sens bien ! Même mon anus élargi qui flatule de l'air et du jus anal, ne change rien à ça ! J'ai tellement bien joui !
Les clics me sortent de mes pensées, j'attends la fin, pour me lever et me remettre en ordre.
Une fois propre et rhabillé, j'embrasse mon paysan, tout guilleret et lui lance:
"Bon, j'y vais, merci Ernest ! Vivement demain matin !".
Ce le rend heureux, et il le mérite !
La suite ? Elle est à l'image de toute cette histoire !
Très sexe avec Ernest ! Compliquée avec Mireille !
Même ma tante en rajoute, en me proposant de m'héberger, si je voulais rester pour vivre notre histoire !
Si j'avais su que ma future ex, deviendrai aussi conne, 2 ans plus tard, j'aurai choisi Mireille ! Mais je n'aurai pas connu Corinne !
Donc, c'est bien comme ça, aussi !
J'ai encore cédé à deux reprises, il faut dire qu'elle habitait la maison d'à coté ! Pas évident de l'éviter !
C'est difficile de résister à une fille aussi jolie et gentille, à l'amour que vous ressentez envers elle.
Mais quand 1000 Km vous séparent, c'est pas évident, non plus !
Au départ, je ne voulais pas parler d'elle, mais elle est une partie importante de mon séjour chez ma tante, comme Ernest, Bertrand et Gino !
Voila, c'est l'essentiel de notre histoire !
Ha ! Non ! J'oubliais ! Mon vicelard de paysan réfléchissait sans cesse à agrémenter nos rencontres.
Donc, un jour, il m'a emmené au bois (mes cousins m'avaient laissé encore).
Mais, on ne contrôle pas les événements, mis à part, deux hommes âgés et passifs comme moi, on a vu personne.
Ernest m'a avoué qu'il les avaient déjà baisé auparavant, mais comme je suis là, ils ne l'intéressent pas.
Il me fait part de sa contrariété, en rentrant, avec sa fourgonnette.
"C'est pas grave ! Penses à Bertrand, on le voit à la fin de la semaine ! On se rattrapera !".
"Ohhh ! Tu fais bien d'en parler ! Justement, il bosse pas loin !".
Nous voilà dans son garage, à discuter à l'insu des autres.
Pour plus de discrétion, je tourne autour des voitures, laissant mes amants régler leurs affaires.
On suit Bertrand, qui est revenu après avoir donné un coup de fil.
Ernest roule derrière Bertrand, excité de la tournure que cela prend.
Je n'ai vraiment pas, tout capté.
C'est quand je reconnais Gino, au bord d'un chemin boisé, que je devine ce qui va m'arriver !
Il monte dans l'auto de Bertrand, et on s'enfonce loin dans la forêt, jusqu'au bord d'une petite clairière.
Là, ils me font monter dans une cabane perchoir, dédiée à la chasse.
"Voilà, là, on s'ra tranquilles ! Qu'est-ce que t'en penses ? Ma chérie !".
Oui, au fil des jours, Ernest aime m'appeler ainsi !
"Oui, ce sera parfait ! Euh... Merci ! Ernest !".
Il m'attire à lui et m'embrasse en ouvrant ma chemise.
Je gémis en pensant à tout ce plaisir, que je vais vivre !
Gino saisit le vêtement, le pose sur une caisse en bois.
Ernest a déjà défait ma ceinture, Gino fait glisser mon pantalon avec le slip jusqu'aux pieds.
Je suis nu devant mes trois prédateurs, j'ai envie d'un sexe !
C'est Bertrand qui vient vers moi en premier, et en érection.
Ernest me penche sur lui.
En m'entendant glousser sur sa verge, il me dit:
"Hummm ! T'aimes toujours autant ça ! Ma p'tite salope !".
"Mmmm ! Oui ! Merci ! J'en ai envie ! Mmmmm ! Baisez moi vite !".
La grosse verge d'Ernest vient se coller à celle de Bertrand.
Les deux hommes se dénudent sans quitter ma bouche.
Un rapide coup d'œil me fait voir que Gino est nu avec son membre épais à la main, derrière moi.
Il se baisse pour me titiller l'anus avec sa grosse langue.
Il me détend l'œillet anal délicieusement, j'en deviens encore plus goulu sur les deux verges que je dévore.
Ce long moment est excitant!
Ensuite Gino se présente contre ma rosette lubrifiée, semi ouverte.
Je gémis en ressentant sa poussée.
Ernest m'appuie sur le dos afin de me cambrer, et me maintenir pendant que Gino fait son travail de pénétration.
Je râle enfin ! Gino est en moi !
"Voilà ! On y est ! Il a une bonne queue, lui aussi ! Hein, ma p'tite chienne ?".
"Mmmmm ! Moui ! Mmmmm !".
"Il va bien te saillir lui aussi ! Qu'est ce que t'en penses ?".
"Mmmmmmmmmmmmm ! Mouiiiii (je dégage ma bouche du sexe que je suce) ! Arghhhhhh ! Oui, c'est bon, encore !".
"Hummm, j'aime te voir avec des autres queues ! T'es ma p'tite salope à moi ! j'te fais saillir par qui je veux ! T'aimes ça ?".
"Arghhhhhhh ! Arghhhhhhh ! Arghhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiii !".
"Hummm ! c'est une bonne truie ! On va tout lui mettre à cette pute !". Dit Bertrand.
Les mots deviennent horriblement vulgaires, mais je prend trop de plaisir.
Après tout, ce ne sont que des mots ! Ils peuvent dire ce qu'ils veulent ! C'est trop bon pour moi !
Je vis mon premier orgasme anal.
Ensuite Gino, recule en admirant le résultat de sa défonce, sur mon anus béant et poisseux.
Bertrand vient prendre sa place, et je me remets a emmètre mes râles étouffés dans la forêt, en orgasmant deux fois de plus.
Ernest s'allonge au sol, je m'empale sur lui, puis, me lance dans une chevauchée perverse, en suçant les deux autres.
Je joui encore.
Enfin, Bertrand vient derrière moi, sous le regard étonné de Gino.
Quand il comprend que je l'encaisse profondément, lui aussi, il m'insulte en Italien, tout en me frappant le visage avec sa bite.
Bertrand bouge bien dans mon cul, je prend un pied énorme ! Même si j'ai du mal à le crier, tant Gino me défonce la gorge.
Ernest est aux anges ! Le spectacle qu'il imaginait le rempli de bonheur cérébral ! Il dépasse son imagination !
Puis, Bertrand stoppe ses assauts.
"Il faut que j'arrête ! Sinon, j'lui balance ma purée ! C'est trop tôt !".
Il se retire, Ernest me fait pivoter sur sa grosse verge.
Gino vient entre mes cuisses, qu'il relève pendant qu'il colle son énorme gland contre la verge d'Ernest.
"Orhhhhh ! Putain ! Ca va être gros ! Vous allez me déchirer le cul !".
"Mais non ! Tu vas te la prendre ! Tu te laisses faire ! Ca va être bon ! Tu verras !". Me dit Gino.
Je suis obligé de porter ma main entre mes dents pour supporter l'écartèlement extrême qu'il m'impose.
Puis, son gros gland passe ma collerette, et glisse en moi jusqu'aux couilles.
Je pense qu'à ce moment précis, on a du m'entendre gémir à plus de cent mètres à la ronde.
Gino ne me laisse pas m'habituer, il me lime sans retenue.
Mais quelque part, c'est mieux, puisque je vis un orgasme fulgurant grâce à lui.
Il me voit bander avec l'anus doublement pénétré, il se défoule de plus belle.
Là, je ne me contrôle plus, je dis n'importe quoi !
"Arghhhhhhhhhhhhhh ! Arggggggggggggggghhhhhh ! Ernest ! Mon amour, Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiii !".
Des flots de foutre coulent de ma queue gonflée, à chaque enfoncement puissant de Gino.
"Putana ! C'est bon ! Quelle salope ! Elle me plait ta pute, Ernest ! La vache !".
La redescente d'orgasme est compliquée a vivre, je suis vidé, alors que les deux hommes m'écartèlent l'anus.
Je souffle d'épuisement.
C'est une délivrance quand je comprend que Gino se retire, pour m'abreuver de son jus, peu après.
J'absorbe sa jouissance en essayant de tout avaler, il ne faudrait pas qu'Ernest en reçoive sur lui.
Les grognements de plaisir de Gino m'excitent.
Quand j'ai tout avalé, Ernest se dégage de mes fesses et m'offre sa bite à sucer, en même temps que Bertrand.
S'en suit une interminable fellation, entrecoupée d'une défonce anale, par chacun d'eux.
Puis, Bertrand m'arrose le visage en premier et plonge sa bite entre mes lèvres en râlant son plaisir.
Ernest se branle frénétiquement, en admirant le spectacle.
J'ai encore la verge de Bertrand dans la gorge, quand il me couvre le visage de foutre à son tour.
Dès lors, je passe de verge en verge, pour qu'ils vivent pleinement leurs éjaculations.
Pendant ce temps, mon anus dégouline de jus sous moi, en faisant des bruits inévitables.
"Hummm ! T'as été génial ! On s'est bien vidé les couilles ! Pas vrai les mecs ?". Demande Bertrand.
"Ouais ! Une vraie salope ! Merci Ernest ! T'as de la chance ! En plus, il est trop beau ! C'est rare, ici !".
"Je sais ! Elle va partir bientôt, ma p'tite salope, et c'est bien dommage !".
Ensuite, Bertrand et Ernest me donnent leurs spermes à lécher avec leurs doigts, confirmant ma soumission sexuelle.
A la fin, c'est Ernest qui m'essuie la face avec un mouchoir en tissu, qu'il me confie ensuite pour me sécher l'anus.
Bertrand doit reprendre son travail, il raccompagne Gino à sa voiture, qui nous suit ensuite, étant libre ce jour là !
On rentre discrètement chez Ernest, ou je vais me reposer un peu.
Puis Gino vient me solliciter, pendant une demi-heure.
Ernest nous prend en photo d'abord, puis nous rejoint pour un trio pervers.
Des photos de doubles anales, double fellations, sodomies en tout genre, aspergements de sperme ont figées ce moment de vice à trois.
Je suis rentré tard ce jour là ! J'avais peur que cela se lise sur mon visage, qu'on m'avait défoncé le cul, des heures durant.
Bertrand n'a pas manqué notre rendez vous de fin de semaine.
Les derniers jours, j'ai reparlé de ma phrase avec Ernest (Mon amour, je joui !).
"Oh ! T'inquiètes pas pour ça, je comprends ! Dans ces moments là, on contrôle pas tous ce qu'on dit ! J'ai bien vu, que tu prenais bien ton pied !".
"Ca ! C'est sûr ! Putain ! C'que c'était bon ! Merci, c'est grâce à toi !".
On s'est à nouveau excité, et on a remis ça, malgré sa première éjaculation dans ma bouche (après sodomie).
Notre histoire à été très intense, j'ai eu autant de mal a le quitter que la belle Mireille, mais pour des raisons très différentes !
Le lundi qui suit ma connerie avec Mireille et la baise avec Bertrand et Gino, je pense aller retrouver mon paysan, mais mon cousin me propose une ballade.
Ce qui me contrarie un peu.
En fait, il a cédé à Mireille, qui veut me convaincre de changer d'avis sur notre histoire.
Je tombe donc, dans leur piège.
Il nous laisse seuls, et malgré quelques baisers arrachés par cette magnifique et adorable fille.
Je reste sur ma position, je ne la mérite pas ! C'est mieux pour elle !
En rentrant ensemble, je remarque le regard de mon amant paysan, qui nous voit passer, le long du chemin de sa ferme.
Je baisse la tête, peu fier de moi.
Je pense qu'il a compris mon absence, ce matin là !
Un besoin étrange me saisit, celui d'être dans ses bras, c'est le seul à qui je pourrais me confier, et lâcher toute la pression que je subis.
Je raccompagne la belle Mireille, puis au lieu de rentrer chez "tata", je préviens mon cousin, que j'ai besoin de m'aérer la tête.
"Ne m'attendez pas pour manger ! Tu m'excuses auprès de Tata !".
"Ok, pas de souci ! Prends ton temps !".
En fait, je vais droit vers la ferme !
Mon paysan est attablé, il est surpris de me voir.
Je me jette dans ses bras.
"Ohh ! Tu vas pas bien toi !".
"Y a qu'a toi que je peux parler ! J'en peux plus !".
Je lui déballe tout, ma fiancée, mon histoire et mon dépucelage de Mireille.
La baise avec Bertrand et Gino, tout de suite après.
La manière, dont ils m'ont couvert de foutre, et le fait que je ne sais pas, si j'ai aimé ça !
"Ben, je pense que t'as aimé ça ! Mais, c'est les conséquences que t'as pas aimé ! Tu veux le plaisir, mais pas le risque d'être surpris !".
"Oui, t'as raison ! Je suis une vraie salope, mais cette fois, j'en suis pas fier !".
"Il faut pas penser comme ça, c'est que du sexe, tu mélanges tout ! C'est parce que tu t'en veux de faire du mal à la p'tite Mireille ! Et dis donc ! En passant, il y a pas mal de jeunes qui voudraient être à ta place ! Elle est bien mignonne, la p'tite ! Mais quelque part, tu m'as vengé !".
"Ah bon ? pourquoi ?".
"Ben, c'est la nièce du jeune que je baisais !".
"Ernest, elle n'y est pour rien ! Peuchère !".
"Ah ! Ah ! Peuchère ! C'est bien de chez toi, ça !".
Il voit que je ne ris pas.
"Ouais ! T'as raison, elle y est pour rien ! La pauvre ! Mais si tu restes pour elle ! Ca m'arrange ! Je pourrai encore te baiser !".
Cette fois, je souris ! La pression retombe, lentement.
"Allez, penses à aut'chose ! Elle s'en remettra ! Viens la !".
Il prend mon visage et m'embrasse longuement, je sens ses doigts rêches autour de mon cou.
Dès qu'il quitte mes lèvres, il m'impose de me diriger vers sa verge épaisse, qu'il vient de libérer.
Je me déforme la gorge tendrement, sur son membre.
"Hummm ! Voila ! Comme ça ! Allez, j'te laisse faire ! C'est toi qui dirige ! Fais toi plaisir !".
"Mmmmm ! Gllllrp ! Mmmmmmmm ! Mmmerci ! J'en ai tellement envie ! Mmmmmm !...".
Je crois que je mets autant de passion à lui sucer et dévorer la verge, que lorsque j'ai fait l'amour à Mireille !
Il me rend mon plaisir buccal en gémissant le sien.
Lentement, je me dénude, sans cesser de lui lécher le membre.
Parfois, je me défonce la gorge jusqu'à l'étouffement, puis ralenti, en redevenant tendre et passionné.
Sa bite est couverte de salive, ce qui la rend plus désirable encore.
Je le sens prêt à craquer, je calme le jeu.
Je remonte vers lui, en lui léchant le torse, un peu trop poilu à mon gout.
Je colle mes lèvres aux siennes, il me serre fermement contre lui.
Sa grosse verge est entre mes fesses nues.
On se regarde, je prend sa main et la rapproche de ma bouche.
J'y dépose une grosse dose de salive.
Ses doigts m'enduisent l'anus.
Il commence à m'appuyer sur les hanches pour s'enfoncer en moi.
"Non ! Ernest ! C'est moi qui dirige ! Laisses moi te baiser !".
"Hummm ! Avec plaisir, ma p'tite salope !".
"Oui ! Regardes comme elle veut ta bite ! Ma p'tite chatte ! Arghhhhhhhhhh ! Orghhhhhhhhh ! C'est bon !".
"Ouhhh ! La vache ! C'est excitant ! Ouais vas y, baises la, ma queue ! C'est bon !".
"Orhhhhhhhhh ! Elle est trop grosse ! Ernest ! Si tu savais comme j'aime ta bite !".
Il me soulève sans sortir de mon cul et nous déplace au sol, afin que je puisse m'enculer sur lui, plus profondément.
Il halète à chaque enfoncement de mon cul, sur son ventre.
Son plaisir m'excite ! Je lui crie mes orgasmes successifs.
Je deviens incontrôlable, je m'envoie sur lui sans retenue, sans ménager mon anus.
Je veux repousser mes limites, sans me rendre compte que cela engendre un excès de jus anal sur sa grosse bite.
A la longue, je subis avec bonheur la grosseur de sa verge sur ma prostate, et j'éjacule abondamment sur lui.
C'est trop puissant pour moi, et je m'écroule contre son torse, ayant joui comme jamais.
"Orhhhh ! Putain ! Ourffff ! Merci Ernest ! T'as raison, il me fallait ça, je crois ! C'était tellement bon ! J'ai pris un pied énorme !".
"Ca va mieux ?".
"Oui ! Grâce à toi ! Et ta queue !".
"Hummm ! Tu sais que même si t'aimes les gonzesses ! T'es bougrement pédé aussi ! Tu peux pas dire le contraire !".
"Oui, je sais !".
"Bon, je te laisse reprendre un peu, et je pense à moi ! OK ?".
"Merci ! J'veux bien !".
"En attendant, racontes moi en détail ce qu'ils t'ont fait, Bertrand et son pote !".
Lentement, au cours de ma narration, il coulisse en moi, puis amplifie ses enfoncements.
Je montre de nouveaux signes de plaisir montant.
Il me dégage de son corps, puis m'allonge au sol et plonge entre mes cuisses pour me posséder encore et encore.
"Ouhhh ! La vache ! Tu m'excites ! J'ai jamais vu une chatte mouiller comme ça ! Tu me trempes la queue ! ca me rend fou !".
Il me fait vider ma vessie sur mon ventre, malgré tous mes efforts de retenue.
Je crie que c'est bon, qu'il m'encule comme ça.
C'est après ce moment qu'il se dresse au dessus de moi et m'arrose de toute son abondante semence chaude et gluante.
Je suis excité comme une vraie femelle, et étale son jus de mes mains, en cambrant mon corps.
Il vient sur mon coté, et me remplit la gorge de sa verge.
Je retrouve le délicieux gout de son sperme, en le remerciant avec ma langue et ma bouche.
Il joue avec son foutre sur moi, et m'en donne à avaler parfois.
Notre complicité perverse est totale.
Il m'admire pendant que je lui dévore la bite sans discontinuer.
"Hummm ! On s'entend vraiment bien tous les deux ! Je t'adore, mon p'tit Pascal !".
"Mmmmm ! J'aime trop baiser avec toi, j'ai pas envie de rentrer chez moi ! Mmmmm ! Glllrp ! Mmmmm ! ...".
Il se redresse, et me demande:
"Ne bouges pas ! J'vais prendre une photo !".
Je ferme les yeux et m'évade en pensée, je suis étendu sur le sol, presque froid, couvert du foutre de mon paysan cinquantenaire, et je me sens bien ! Même mon anus élargi qui flatule de l'air et du jus anal, ne change rien à ça ! J'ai tellement bien joui !
Les clics me sortent de mes pensées, j'attends la fin, pour me lever et me remettre en ordre.
Une fois propre et rhabillé, j'embrasse mon paysan, tout guilleret et lui lance:
"Bon, j'y vais, merci Ernest ! Vivement demain matin !".
Ce le rend heureux, et il le mérite !
La suite ? Elle est à l'image de toute cette histoire !
Très sexe avec Ernest ! Compliquée avec Mireille !
Même ma tante en rajoute, en me proposant de m'héberger, si je voulais rester pour vivre notre histoire !
Si j'avais su que ma future ex, deviendrai aussi conne, 2 ans plus tard, j'aurai choisi Mireille ! Mais je n'aurai pas connu Corinne !
Donc, c'est bien comme ça, aussi !
J'ai encore cédé à deux reprises, il faut dire qu'elle habitait la maison d'à coté ! Pas évident de l'éviter !
C'est difficile de résister à une fille aussi jolie et gentille, à l'amour que vous ressentez envers elle.
Mais quand 1000 Km vous séparent, c'est pas évident, non plus !
Au départ, je ne voulais pas parler d'elle, mais elle est une partie importante de mon séjour chez ma tante, comme Ernest, Bertrand et Gino !
Voila, c'est l'essentiel de notre histoire !
Ha ! Non ! J'oubliais ! Mon vicelard de paysan réfléchissait sans cesse à agrémenter nos rencontres.
Donc, un jour, il m'a emmené au bois (mes cousins m'avaient laissé encore).
Mais, on ne contrôle pas les événements, mis à part, deux hommes âgés et passifs comme moi, on a vu personne.
Ernest m'a avoué qu'il les avaient déjà baisé auparavant, mais comme je suis là, ils ne l'intéressent pas.
Il me fait part de sa contrariété, en rentrant, avec sa fourgonnette.
"C'est pas grave ! Penses à Bertrand, on le voit à la fin de la semaine ! On se rattrapera !".
"Ohhh ! Tu fais bien d'en parler ! Justement, il bosse pas loin !".
Nous voilà dans son garage, à discuter à l'insu des autres.
Pour plus de discrétion, je tourne autour des voitures, laissant mes amants régler leurs affaires.
On suit Bertrand, qui est revenu après avoir donné un coup de fil.
Ernest roule derrière Bertrand, excité de la tournure que cela prend.
Je n'ai vraiment pas, tout capté.
C'est quand je reconnais Gino, au bord d'un chemin boisé, que je devine ce qui va m'arriver !
Il monte dans l'auto de Bertrand, et on s'enfonce loin dans la forêt, jusqu'au bord d'une petite clairière.
Là, ils me font monter dans une cabane perchoir, dédiée à la chasse.
"Voilà, là, on s'ra tranquilles ! Qu'est-ce que t'en penses ? Ma chérie !".
Oui, au fil des jours, Ernest aime m'appeler ainsi !
"Oui, ce sera parfait ! Euh... Merci ! Ernest !".
Il m'attire à lui et m'embrasse en ouvrant ma chemise.
Je gémis en pensant à tout ce plaisir, que je vais vivre !
Gino saisit le vêtement, le pose sur une caisse en bois.
Ernest a déjà défait ma ceinture, Gino fait glisser mon pantalon avec le slip jusqu'aux pieds.
Je suis nu devant mes trois prédateurs, j'ai envie d'un sexe !
C'est Bertrand qui vient vers moi en premier, et en érection.
Ernest me penche sur lui.
En m'entendant glousser sur sa verge, il me dit:
"Hummm ! T'aimes toujours autant ça ! Ma p'tite salope !".
"Mmmm ! Oui ! Merci ! J'en ai envie ! Mmmmm ! Baisez moi vite !".
La grosse verge d'Ernest vient se coller à celle de Bertrand.
Les deux hommes se dénudent sans quitter ma bouche.
Un rapide coup d'œil me fait voir que Gino est nu avec son membre épais à la main, derrière moi.
Il se baisse pour me titiller l'anus avec sa grosse langue.
Il me détend l'œillet anal délicieusement, j'en deviens encore plus goulu sur les deux verges que je dévore.
Ce long moment est excitant!
Ensuite Gino se présente contre ma rosette lubrifiée, semi ouverte.
Je gémis en ressentant sa poussée.
Ernest m'appuie sur le dos afin de me cambrer, et me maintenir pendant que Gino fait son travail de pénétration.
Je râle enfin ! Gino est en moi !
"Voilà ! On y est ! Il a une bonne queue, lui aussi ! Hein, ma p'tite chienne ?".
"Mmmmm ! Moui ! Mmmmm !".
"Il va bien te saillir lui aussi ! Qu'est ce que t'en penses ?".
"Mmmmmmmmmmmmm ! Mouiiiii (je dégage ma bouche du sexe que je suce) ! Arghhhhhh ! Oui, c'est bon, encore !".
"Hummm, j'aime te voir avec des autres queues ! T'es ma p'tite salope à moi ! j'te fais saillir par qui je veux ! T'aimes ça ?".
"Arghhhhhhh ! Arghhhhhhh ! Arghhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiii !".
"Hummm ! c'est une bonne truie ! On va tout lui mettre à cette pute !". Dit Bertrand.
Les mots deviennent horriblement vulgaires, mais je prend trop de plaisir.
Après tout, ce ne sont que des mots ! Ils peuvent dire ce qu'ils veulent ! C'est trop bon pour moi !
Je vis mon premier orgasme anal.
Ensuite Gino, recule en admirant le résultat de sa défonce, sur mon anus béant et poisseux.
Bertrand vient prendre sa place, et je me remets a emmètre mes râles étouffés dans la forêt, en orgasmant deux fois de plus.
Ernest s'allonge au sol, je m'empale sur lui, puis, me lance dans une chevauchée perverse, en suçant les deux autres.
Je joui encore.
Enfin, Bertrand vient derrière moi, sous le regard étonné de Gino.
Quand il comprend que je l'encaisse profondément, lui aussi, il m'insulte en Italien, tout en me frappant le visage avec sa bite.
Bertrand bouge bien dans mon cul, je prend un pied énorme ! Même si j'ai du mal à le crier, tant Gino me défonce la gorge.
Ernest est aux anges ! Le spectacle qu'il imaginait le rempli de bonheur cérébral ! Il dépasse son imagination !
Puis, Bertrand stoppe ses assauts.
"Il faut que j'arrête ! Sinon, j'lui balance ma purée ! C'est trop tôt !".
Il se retire, Ernest me fait pivoter sur sa grosse verge.
Gino vient entre mes cuisses, qu'il relève pendant qu'il colle son énorme gland contre la verge d'Ernest.
"Orhhhhh ! Putain ! Ca va être gros ! Vous allez me déchirer le cul !".
"Mais non ! Tu vas te la prendre ! Tu te laisses faire ! Ca va être bon ! Tu verras !". Me dit Gino.
Je suis obligé de porter ma main entre mes dents pour supporter l'écartèlement extrême qu'il m'impose.
Puis, son gros gland passe ma collerette, et glisse en moi jusqu'aux couilles.
Je pense qu'à ce moment précis, on a du m'entendre gémir à plus de cent mètres à la ronde.
Gino ne me laisse pas m'habituer, il me lime sans retenue.
Mais quelque part, c'est mieux, puisque je vis un orgasme fulgurant grâce à lui.
Il me voit bander avec l'anus doublement pénétré, il se défoule de plus belle.
Là, je ne me contrôle plus, je dis n'importe quoi !
"Arghhhhhhhhhhhhhh ! Arggggggggggggggghhhhhh ! Ernest ! Mon amour, Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiii !".
Des flots de foutre coulent de ma queue gonflée, à chaque enfoncement puissant de Gino.
"Putana ! C'est bon ! Quelle salope ! Elle me plait ta pute, Ernest ! La vache !".
La redescente d'orgasme est compliquée a vivre, je suis vidé, alors que les deux hommes m'écartèlent l'anus.
Je souffle d'épuisement.
C'est une délivrance quand je comprend que Gino se retire, pour m'abreuver de son jus, peu après.
J'absorbe sa jouissance en essayant de tout avaler, il ne faudrait pas qu'Ernest en reçoive sur lui.
Les grognements de plaisir de Gino m'excitent.
Quand j'ai tout avalé, Ernest se dégage de mes fesses et m'offre sa bite à sucer, en même temps que Bertrand.
S'en suit une interminable fellation, entrecoupée d'une défonce anale, par chacun d'eux.
Puis, Bertrand m'arrose le visage en premier et plonge sa bite entre mes lèvres en râlant son plaisir.
Ernest se branle frénétiquement, en admirant le spectacle.
J'ai encore la verge de Bertrand dans la gorge, quand il me couvre le visage de foutre à son tour.
Dès lors, je passe de verge en verge, pour qu'ils vivent pleinement leurs éjaculations.
Pendant ce temps, mon anus dégouline de jus sous moi, en faisant des bruits inévitables.
"Hummm ! T'as été génial ! On s'est bien vidé les couilles ! Pas vrai les mecs ?". Demande Bertrand.
"Ouais ! Une vraie salope ! Merci Ernest ! T'as de la chance ! En plus, il est trop beau ! C'est rare, ici !".
"Je sais ! Elle va partir bientôt, ma p'tite salope, et c'est bien dommage !".
Ensuite, Bertrand et Ernest me donnent leurs spermes à lécher avec leurs doigts, confirmant ma soumission sexuelle.
A la fin, c'est Ernest qui m'essuie la face avec un mouchoir en tissu, qu'il me confie ensuite pour me sécher l'anus.
Bertrand doit reprendre son travail, il raccompagne Gino à sa voiture, qui nous suit ensuite, étant libre ce jour là !
On rentre discrètement chez Ernest, ou je vais me reposer un peu.
Puis Gino vient me solliciter, pendant une demi-heure.
Ernest nous prend en photo d'abord, puis nous rejoint pour un trio pervers.
Des photos de doubles anales, double fellations, sodomies en tout genre, aspergements de sperme ont figées ce moment de vice à trois.
Je suis rentré tard ce jour là ! J'avais peur que cela se lise sur mon visage, qu'on m'avait défoncé le cul, des heures durant.
Bertrand n'a pas manqué notre rendez vous de fin de semaine.
Les derniers jours, j'ai reparlé de ma phrase avec Ernest (Mon amour, je joui !).
"Oh ! T'inquiètes pas pour ça, je comprends ! Dans ces moments là, on contrôle pas tous ce qu'on dit ! J'ai bien vu, que tu prenais bien ton pied !".
"Ca ! C'est sûr ! Putain ! C'que c'était bon ! Merci, c'est grâce à toi !".
On s'est à nouveau excité, et on a remis ça, malgré sa première éjaculation dans ma bouche (après sodomie).
Notre histoire à été très intense, j'ai eu autant de mal a le quitter que la belle Mireille, mais pour des raisons très différentes !
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