Retrouvaille.
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 183 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Renifleur ont reçu un total de 1 256 538 visites.
Cette histoire de sexe a été affichée 1 387 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Retrouvaille.
En sortant du lycée, je fais l’agréable rencontre de Bernadette. La super copine de ma sœur aînée en son temps. Qui depuis son mariage, l’a mise en touche. Après les banalités d’usages, je me propose de faire un bout de chemin en sa compagnie.
Je me permets même pendant le trajet, de prendre des nouvelles de sa sœur Ghislaine.
Aux dires de Bernadette, elle est heureuse très loin de ses parents. Sentant une tension dans ses paroles, je change de sujet. Alors nous parlons du printemps, un sujet qui ne fâche jamais. Surtout qu’il nous a donné une super journée ensoleillée.
Alors que nous sommes au pied de son hall, elle se met à pleurer à chaudes larmes. Pas très bien à l’aise dans ces instants, ne sachant que faire. Je me mets tout de même en devoir de la réconforter. Après quelques minutes de réticence de ne pas vouloir se confesser, elle se soulage. Me débitant ses problèmes comme si en pleuvaient.
De peur que des personnes mal attentionné entendent notre conversation, Bernadette m’invite à monter chez elle. Devant mon hésitation à la suivre, elle m’apaise en précisant, qu’elle est en ce moment seul dans l’appartement de ses parents.
Je lui propose d’aller poser mes affaires chez moi et de revenir dès que je le pourrais.
Mais alors que j’arrive à mon domicile, il est pour moi plus question que je retourne voir Bernadette. Mais ma conscience, encore elle, me dicte le contraire.
C’est pourtant à contrecœur, que je m’en vais jusque chez elle. Je toque à la porte, et n’ayant au bout d’un moment aucune réponse, je me permets d’entrer. Longeant le couloir sombre, je m’annonce. N’ayant aucune réponse, mon sang se glace, craignant le pire.
C’est alors que de la lumière filtre par l’entrebâillement de la première porte. Je repousse le battant juste assez pour jeter un œil à l'intérieur.
Bernadette est allongée sur le lit, son slip jeté sur le plancher. Son visage est tourné en direction de la porte, mais ses paupières restent closes. Sa main est plaquée entre ses cuisses et elle se caresse lentement. Son majeur, enfoncé dans la fente, remue de gauche à droite avec application.
Les autres doigts tendus à l'horizontale laissent apercevoir son pubis bombé, sa vulve très charnue qui forme une large boule de chair entre ses cuisses rondes. Son sexe est recouvert d’un épais buisson brun-roux, qui souligne les détails du con plus qu'il ne les cache. Négligeant les lèvres finement ciselées qui entaillent la bosse renflée de sa chatte, c'est sur le clitoris que s'acharne, Bernadette, le pressant sous sa phalange, le repoussant sur les côtés en faisant tourner son doigt.
Il m’en faut pas moins pour bander. Son visage ovale encadré de mèches auburn dodelinant sur l'oreiller. Elle gémit doucement en détournant la tête, soufflant un nom qui aurait pu être celui d’Alain. J’hésite encore à m'approcher lorsqu'elle roule sur le ventre, creusant les reins pour frotter son sexe sur sa main glissée dessous, m’exhibant sa croupe.
Large et rebondie, elle est d'un galbe parfait, toute en rondeurs régulières. La peau claire tendue sur les sphères fermes. Elle gémit encore et, cette fois, je suis convaincu que c'est bien mon nom qu'elle murmure. Je m’avance jusqu'au lit, mais Bernadette ne paraît pas s'apercevoir de ma présence. Elle continue à se caresser en ondulant sur le lit, séparant puis resserrant les globes lisses de sa croupe charnue à un rythme lent. La raie s'entrouvre, révélant fugitivement le sillon ocre, sans poils, au centre duquel s'étale pendant quelques secondes un large cercle sombre, percé en son milieu de fronces régulières.
Je n’en peux plus. Je me laisse tomber derrière elle, empoignant les sphères fermes, les maintenant écartées pour passer la langue entre elles, suivant le sillon jusqu'à l'anus que je lape avec avidité. Elle a un goût d’une personne qui a négligé de se laver.
Excité, j’enfonce la langue dans les fronces de l'anus, éprouvant la souplesse du sphincter. Elle se cambre pour mieux s'offrir, avec un gémissement voluptueux.
- Oh, Alain !
L'idée que c'est à moi qu'elle pensait en se masturbant, me met dans un tel état que mes doigts tremblent en entrouvrant la croupe. Je me remets à lécher de plus belle, faisant tourner ma langue dans le trou du cul pour le dilater davantage, plongeant jusqu'au con charnu dont j'explore les reliefs, me gavant de la mouille fade qui s'écoule du vagin de Bernadette.
- Oui, Alain, c'est ça que je voulais !
Je me redresse, déboutonnant fébrilement mon pantalon, mais elle m'arrête, sans changer de position. Toujours à plat ventre, les paupières mi-closes, elle se tortille lascivement.
- Non, soit gentil continue ! Je veux ta bouche, tes doigts !
Ses désirs sont des ordres !
J'obéis et, tout en matant la vulve renflée, les mouvements tournants des doigts de Bernadette sur la fente rosée qui clapote entre les babines buissonneuses, je colle mon majeur plus haut, sur l’orifice plissé. Mon doigt glisse aisément dans le rectum tiède et Bernadette creuse les reins en poussant un cri de plaisir. J'ôte mon index pour le remplacer par sa langue, l'enfonçant entre les parois qui s'assouplissaient déjà. Ce sont deux doigts que je pose ensuite sur l'anus, pesant sur la corolle jusqu'à ce que mon majeur et index accolés disparaissent entre les replis brunâtres.
Bernadette se met à pousser de petits cris aigus et le rythme de sa masturbation s’accélère. Je fais tourner mes doigts joints dans le cul de Bernadette pour continuer à l’évaser et elle, par ses coups de reins, fait coulisser la bague dilatée sur les phalanges. Elle jouit très vite, contractant l’anneau du sphincter autour de mes doigts, écrasant sa chatte au creux de ma main. Lorsqu' elle se détend, je me retire avec précautions, libérant le trou du cul dont les fronces élastiques se resserrent aussitôt, sans aucune trace de l'intrusion qu'elles viennent de subir.
Je me penche pour la lécher encore, mais elle contracte ses fesses charnues, m’interdisant l'accès de l'orifice que je viens de caresser.
Elle se retourne, une expression honteuse sur son visage rougi, avant de baisser pudiquement les yeux.
- Bon sang, après ça, comment vais-je pouvoir encore te regarder en face ! Elle émet un rire de gorge qui est comme un démenti à ma déclaration. Je baisse mon pantalon.
- Attention, je ne prends pas la pilule.
- Donne-moi vite ton cul ! Tu m’as rendu dingue !
Elle se tourne docilement sur le côté, tendant son fessier vers moi. Alors que je m’installe, elle relève la tête, me jetant un regard effarouché, comme si elle a deviné ce que je vais faire.
- Sois doux ! Promets-moi d’aller doucement ?
L'ayant à la fois amadoué et excité, Bernadette tend la main derrière elle et empoigne ma tige comme pour la guider. Je pousse et elle se défile habilement tout en branlant mon manche.
- Allez, ouvre-toi, donne-toi à moi ! Nous allons vivre tout deux une merveilleuse aventure. Je ne te cache pas que pour moi aussi, c’est une première. Mentais-je, les femmes adorent ses instants.
- Oui, je vais me donner à toi, mais doucement !
Elle ne cesse de me masturber d'une main experte tout en dirigeant mon gland entre ses fesses. Je rue, mais avec une contraction habile, elle évite la pénétration. II en est de même pour les tentatives suivantes, jusqu'à ce que les caresses de ses doigts aient raison de moi. J'éjacule abondamment, poissant la raie d'un sperme fluide sans avoir réussi à forcer l’entrée de son cul.
Elle se retourne, en nage.
- C’était vraiment bon pour moi !
Elle repose la tête sur l’oreiller, songeuse d'un coup.
- Tu sais, je crois qu'il n’aurait jamais fallu que ça se produise. Tu n’es qu’un gamin.
Je reste silencieux, songeant à ce qu’elle vient de me dire. S'est très vexé que je retourne chez moi.
Je me réfugie dans ma chambre, pour réfléchir. J’ai le cœur léger, et le goût de Bernadette sur mes lèvres. Je suis tout de même assez fier de l'avoir fait autant jouir, juste en la léchant. En se réconforte comme en peu…
Je me permets même pendant le trajet, de prendre des nouvelles de sa sœur Ghislaine.
Aux dires de Bernadette, elle est heureuse très loin de ses parents. Sentant une tension dans ses paroles, je change de sujet. Alors nous parlons du printemps, un sujet qui ne fâche jamais. Surtout qu’il nous a donné une super journée ensoleillée.
Alors que nous sommes au pied de son hall, elle se met à pleurer à chaudes larmes. Pas très bien à l’aise dans ces instants, ne sachant que faire. Je me mets tout de même en devoir de la réconforter. Après quelques minutes de réticence de ne pas vouloir se confesser, elle se soulage. Me débitant ses problèmes comme si en pleuvaient.
De peur que des personnes mal attentionné entendent notre conversation, Bernadette m’invite à monter chez elle. Devant mon hésitation à la suivre, elle m’apaise en précisant, qu’elle est en ce moment seul dans l’appartement de ses parents.
Je lui propose d’aller poser mes affaires chez moi et de revenir dès que je le pourrais.
Mais alors que j’arrive à mon domicile, il est pour moi plus question que je retourne voir Bernadette. Mais ma conscience, encore elle, me dicte le contraire.
C’est pourtant à contrecœur, que je m’en vais jusque chez elle. Je toque à la porte, et n’ayant au bout d’un moment aucune réponse, je me permets d’entrer. Longeant le couloir sombre, je m’annonce. N’ayant aucune réponse, mon sang se glace, craignant le pire.
C’est alors que de la lumière filtre par l’entrebâillement de la première porte. Je repousse le battant juste assez pour jeter un œil à l'intérieur.
Bernadette est allongée sur le lit, son slip jeté sur le plancher. Son visage est tourné en direction de la porte, mais ses paupières restent closes. Sa main est plaquée entre ses cuisses et elle se caresse lentement. Son majeur, enfoncé dans la fente, remue de gauche à droite avec application.
Les autres doigts tendus à l'horizontale laissent apercevoir son pubis bombé, sa vulve très charnue qui forme une large boule de chair entre ses cuisses rondes. Son sexe est recouvert d’un épais buisson brun-roux, qui souligne les détails du con plus qu'il ne les cache. Négligeant les lèvres finement ciselées qui entaillent la bosse renflée de sa chatte, c'est sur le clitoris que s'acharne, Bernadette, le pressant sous sa phalange, le repoussant sur les côtés en faisant tourner son doigt.
Il m’en faut pas moins pour bander. Son visage ovale encadré de mèches auburn dodelinant sur l'oreiller. Elle gémit doucement en détournant la tête, soufflant un nom qui aurait pu être celui d’Alain. J’hésite encore à m'approcher lorsqu'elle roule sur le ventre, creusant les reins pour frotter son sexe sur sa main glissée dessous, m’exhibant sa croupe.
Large et rebondie, elle est d'un galbe parfait, toute en rondeurs régulières. La peau claire tendue sur les sphères fermes. Elle gémit encore et, cette fois, je suis convaincu que c'est bien mon nom qu'elle murmure. Je m’avance jusqu'au lit, mais Bernadette ne paraît pas s'apercevoir de ma présence. Elle continue à se caresser en ondulant sur le lit, séparant puis resserrant les globes lisses de sa croupe charnue à un rythme lent. La raie s'entrouvre, révélant fugitivement le sillon ocre, sans poils, au centre duquel s'étale pendant quelques secondes un large cercle sombre, percé en son milieu de fronces régulières.
Je n’en peux plus. Je me laisse tomber derrière elle, empoignant les sphères fermes, les maintenant écartées pour passer la langue entre elles, suivant le sillon jusqu'à l'anus que je lape avec avidité. Elle a un goût d’une personne qui a négligé de se laver.
Excité, j’enfonce la langue dans les fronces de l'anus, éprouvant la souplesse du sphincter. Elle se cambre pour mieux s'offrir, avec un gémissement voluptueux.
- Oh, Alain !
L'idée que c'est à moi qu'elle pensait en se masturbant, me met dans un tel état que mes doigts tremblent en entrouvrant la croupe. Je me remets à lécher de plus belle, faisant tourner ma langue dans le trou du cul pour le dilater davantage, plongeant jusqu'au con charnu dont j'explore les reliefs, me gavant de la mouille fade qui s'écoule du vagin de Bernadette.
- Oui, Alain, c'est ça que je voulais !
Je me redresse, déboutonnant fébrilement mon pantalon, mais elle m'arrête, sans changer de position. Toujours à plat ventre, les paupières mi-closes, elle se tortille lascivement.
- Non, soit gentil continue ! Je veux ta bouche, tes doigts !
Ses désirs sont des ordres !
J'obéis et, tout en matant la vulve renflée, les mouvements tournants des doigts de Bernadette sur la fente rosée qui clapote entre les babines buissonneuses, je colle mon majeur plus haut, sur l’orifice plissé. Mon doigt glisse aisément dans le rectum tiède et Bernadette creuse les reins en poussant un cri de plaisir. J'ôte mon index pour le remplacer par sa langue, l'enfonçant entre les parois qui s'assouplissaient déjà. Ce sont deux doigts que je pose ensuite sur l'anus, pesant sur la corolle jusqu'à ce que mon majeur et index accolés disparaissent entre les replis brunâtres.
Bernadette se met à pousser de petits cris aigus et le rythme de sa masturbation s’accélère. Je fais tourner mes doigts joints dans le cul de Bernadette pour continuer à l’évaser et elle, par ses coups de reins, fait coulisser la bague dilatée sur les phalanges. Elle jouit très vite, contractant l’anneau du sphincter autour de mes doigts, écrasant sa chatte au creux de ma main. Lorsqu' elle se détend, je me retire avec précautions, libérant le trou du cul dont les fronces élastiques se resserrent aussitôt, sans aucune trace de l'intrusion qu'elles viennent de subir.
Je me penche pour la lécher encore, mais elle contracte ses fesses charnues, m’interdisant l'accès de l'orifice que je viens de caresser.
Elle se retourne, une expression honteuse sur son visage rougi, avant de baisser pudiquement les yeux.
- Bon sang, après ça, comment vais-je pouvoir encore te regarder en face ! Elle émet un rire de gorge qui est comme un démenti à ma déclaration. Je baisse mon pantalon.
- Attention, je ne prends pas la pilule.
- Donne-moi vite ton cul ! Tu m’as rendu dingue !
Elle se tourne docilement sur le côté, tendant son fessier vers moi. Alors que je m’installe, elle relève la tête, me jetant un regard effarouché, comme si elle a deviné ce que je vais faire.
- Sois doux ! Promets-moi d’aller doucement ?
L'ayant à la fois amadoué et excité, Bernadette tend la main derrière elle et empoigne ma tige comme pour la guider. Je pousse et elle se défile habilement tout en branlant mon manche.
- Allez, ouvre-toi, donne-toi à moi ! Nous allons vivre tout deux une merveilleuse aventure. Je ne te cache pas que pour moi aussi, c’est une première. Mentais-je, les femmes adorent ses instants.
- Oui, je vais me donner à toi, mais doucement !
Elle ne cesse de me masturber d'une main experte tout en dirigeant mon gland entre ses fesses. Je rue, mais avec une contraction habile, elle évite la pénétration. II en est de même pour les tentatives suivantes, jusqu'à ce que les caresses de ses doigts aient raison de moi. J'éjacule abondamment, poissant la raie d'un sperme fluide sans avoir réussi à forcer l’entrée de son cul.
Elle se retourne, en nage.
- C’était vraiment bon pour moi !
Elle repose la tête sur l’oreiller, songeuse d'un coup.
- Tu sais, je crois qu'il n’aurait jamais fallu que ça se produise. Tu n’es qu’un gamin.
Je reste silencieux, songeant à ce qu’elle vient de me dire. S'est très vexé que je retourne chez moi.
Je me réfugie dans ma chambre, pour réfléchir. J’ai le cœur léger, et le goût de Bernadette sur mes lèvres. Je suis tout de même assez fier de l'avoir fait autant jouir, juste en la léchant. En se réconforte comme en peu…
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Renifleur
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...
