Révélations(1)
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Révélations(1)
Quand je quitte le bureau, c’est avec en tête la ferme intention de me rendre chez ma belle-mère. Un besoin de vider mes couilles. Mais voilà qu’on arrivant devant sa maison, je trouve la voiture de mon beau-père garé.
Ce n’était pas prévu ! C’est avec le cœur lourd que je prends la route. Prenant la décision de rentrer chez moi. Mais avant, je me rends à ma boulangerie préférée.
L’heure avancée fait que je me trouve seul dans la boutique. Et la vendeuse en profite pour me faire du rentre-dedans comme elle est accoutumée de faire. Elle me demande alors, d’un ton amusé :
- Alors, on couche ensemble ?
- Mylène… Mylène… Je veux bien, mais ce n’est pas le lieu…
- C’est vrai, je te plais, tu es sûr ?
Je lui affirme que je la trouve parfaite. Dès lors, je lis sur elle une expression de salope réjouie.
- Tu ne le sais pas, mais il se trouve que je suis seule aujourd’hui. Les enfants au collège et Antoine fait les marchés.
Mylène a un look tout ce qu’il y a de sage. Une jupe longue, ballerines aux pieds, chemisier flou. Ses cheveux bruns coupés court.
- Tu m’en vois ravi.
Nous coupons court la conversation interrompue par un client. Sitôt ce dernier parti, la discussion reprend. Nous échangeons nos fantasmes. Quand je lui fais part de ma fascination pour les slips portés. Elle me répond, je ne pas tomber mieux, car ça fait deux jours qu’elle porte la sienne. Instantanément, mes sens se mettent en ébullition.
- Vilain satyre, me dit-elle en rigolant, tout en farfouillant sous sa jupe que le comptoir m’empêche de voir.
Puis elle se penche, et me jette l’instant d’après un bout de tissu au visage. Celle-ci est vraiment très maculée.
- Elle peut, enfin peut-être t’inspirer pour une relation.
Elle entreprend de se doigter.
- Vas-y, fait de même : branle-toi !
Je porte la petite culotte souillée à mes narines. Elle sent l’odeur très caractéristique de Mylène, sauf qu’à ce stade, ce n’est plus de la négligence, c’est de l’incontinence. Les exhalaisons m’entêtent, on dirait que je suis drogué.
À m’envoyer me placer sous le comptoir. À poser ma main au contact de son genou.
- Et bien en voilà des manières ! Me fait-elle.
- Ce n'est pas ce que tu voulais ?
- Bien sûr, mais je ne m’attendais pas à ça !
Je sens la chaleur de sa jambe. Je la regarde, elle a les yeux mi-clos. Sa bouche bouge, je crois qu’elle va dire quelque chose, mais rien n’y sort. Elle a juste hoché la tête et marmonne un oui.
Je fais remonter ma main le long de l’arrière de sa jambe. Mes doigts caressent doucement et légèrement la chair à l’intérieur de sa cuisse gauche. Plus hauts, juste un peu plus haut, le bout de mes doigts touche ses poils rêches.
J’utilise mon pouce et mon premier doigt pour saisir ses lèvres et les frotte l’une contre l’autre. Je sens de l’humidité à l’entrejambe alors que je continue à la masser et à frotter.
Je sens ses poils pubiens humides, alors que mes doigts glissent facilement entre ses lèvres. J’ai les doigts gluants et humides. Le pouce et l’index prennent de tenaille le clitoris tandis que mon majeur s’enfonce lentement dans son vagin. Je peux l’entendre reprendre son souffle. J’enfonce lentement mon doigt, puis le suivant aussi loin que possible en elle.
La cloche de la porte d’entrée se fait entendre.
- Bonjour Mylène fait la voix d’une femme.
- Bonjour Camille. Répond-elle, en contractant son vagin autour de mes doigts.
- Ça ne va pas, fait la cliente.
- Pourquoi… qu’est-ce qui te fait dire cela ?
- Tu as une drôle de voix…
- Tu crois ?
Puis voilà qu’elle se balance et tourne légèrement lorsque mes doigts entrent et sortent. J’entends le bruit de mes doigts qui plongent en elle et en sortent, un bruit de froissement. Mon excitation monte en flèche. Je sens ma queue se tendre. Je roule et tire doucement sur son clito avec mon pouce et mon index. Je lève les yeux vers son visage. Ses yeux sont presque tirés.
- C’est que j’ai eu une insomnie cette nuit.
- Cela explique ceci. Réponds la cliente.
- Tu es pressé ? Fait Mylène.
- Oh toi, tu veux que je te parle des voisins.
- Je ne dis pas non. Verrouille la porte et tire le rideau que nous soyons tranquilles.
Je profite de l’instant pour la branler avec mes doigts. Je la vois se mordre l’intérieur de sa lèvre inférieure. Soudain, ses jambes se raidissent, elle a des spasmes et se resserre autour de mes doigts qui la branlent et un petit gémissement s’échappe de sa gorge.
- Tu dis quoi ? Fait la cliente.
- Rien… Rien… T’inquiètes…
- Je te trouve bizarre aujourd’hui ma pauvre Mylène…
À ses pieds, je continue à caresser jusqu’à ce que ses spasmes cessent qu’elle fasse un petit pas en arrière et que ma main tombe de sous sa jupe.
Je suis condamné à rester là-dessous et à patienter jusqu’au départ de la cliente. À écouter les commérages des deux femmes. Mais il se trouve que peu à peu dans la confession de la nouvelle venue que je me retrouve, moi avec ma femme. Comment Mylène l’avait appelé déjà ? Camille oui, Camille. Je ne connais aucune voisine de ce nom. Cela me réconforte un peu. Mais hélas cela est de courte durée.
- Là sa femme l'attache rapidement et solidement les mains dans le dos, et il se retrouve ainsi à sa merci. Elle continue de lui caresser le sexe jusqu’à ce qu’elle décide de lui attacher aussi les couilles et sa queue avec un bas pour me faire bander davantage. Confesse Camille.
Il n’y a plus aucun doute. C’est bien de nous qu’elle parle.
- Suite à cela, la femme tire sur le bas et le passe dans la raie des fesses et l’attache à celui qui lui ligote les mains.
- Et bien, fait Mylène, tu as de drôle de voisins !
- Attends, attends la suite.
- C’est que déjà mon excitation est à son comble.
- Donc je te disais qu’elle termine le ligotage en lui emprisonnant les genoux et chevilles. Elle s’occupe alors de son sexe qu’elle caresse, puis ses couilles qu’elle triture. Puis elle le suce. Putain, je ne sais pas ce que j’aurai donné pour être à la place de la femme. Tu aurais vu la queue !
- Ah oui ! La suite vite…
- Jugeant qu’elle était à point voilà que la coquine prend place dessus. Et là crois-moi, ce n’est pas sur un sexe qu’elle est assise, mais sur une selle de cheval. Si tu aurais vu comment elle l'a chevauché. Putain ! Je suis encore toute retourné.
- Bon, fait la boulangère, ce n’est pas que je te mets dehors, mais je dois préparer le déjeuner. Antoine de va pas tarder à entrer. À demain ! Ajoute-t-elle en l’entrainant jusqu’à la sortie.
- J’espère pouvoir te révéler un nouvel épisode.
- Parce que tu vas de nouveau…
- Je veux bien. Tu ne sais pas le bien que cela me donne. Lâche-t-elle en quittant le lieu.
C’est l’instant que je choisis pour quitter ma planque.
- Et bien, tu as de sacrées clientes.
- Celle-là est exceptionnelle.
- Je te crois. Et elle habite ou cette voyeuse ?
Et là, elle me lâche ce que je ne voulais pas entendre. Elle faisait bien partie de mon voisinage. J’ai dû me débattre des griffes de la boulangère pour pouvoir m’échapper tant elle était surexcitée par le récit de la voyeuse.
Je ne vous dis pas quand j’en ai fait part à ma femme de l’époque. Cela la fait bien rire.
- Et qui ça te la dit ?
Pensez bien que je me suis abstenu de lui révéler les faits réels.
- Elle chantait cela à une femme chez le buraliste.
- Non ! Et la femme, tu la connaissais.
- Jamais vue !
Quelques tours de cadrans plus tard, voilà que ma femme me lâche.
- Tu m’as bien dit qu’elle comptait avoir quelque chose à dire.
- Oui, c’est bien ça, que j’ai entendu dire à l’autre femme.
- Et bien nous allons lui en donnée.
Qu’est-ce qu’elle ne ferait pas ma femme pour se faire sauter.
Donc, après le film, nous prenons le chemin de la chambre. Ma femme allume toute les lumières.
- Plus il y en a, plus cela attire les voyeuses !
Et la voilà qu’elle s’installe sur la chaise placée méthodiquement face à la baie. Elle avance ses fesses au bord du siège, ouvre au maximum les genoux. Elle prend tout de suite la pose en retroussant sa jupe très haute sur ses cuisses. La coquine s’est passé des bas noirs, mais aussi le porte-jarretelles rouge et un slip assorti, une parure offerte pour sa St Valentin. Elle a joué le jeu. Au-dessus de la broderie ses cuisses blanches apparaissent, puis un petit slip sage. Appartenant sans doute à sa fille vue la taille. Il est immaculé, enflé des poils du pubis qui dépassent de chaque côté.
Avec un sourire coquin elle écarte la culotte. Sa fente, engorgée de sécrétions, bâille comme jamais. Elle se touche les lèvres en poussant des gros gémissements.
Puis elle la voilà qu’elle se saisit d’un gode. Il est fin, de forme allongée et légèrement recourbée. Les jambes grandes ouvertes, elle ouvre son sexe de façon obscène. Ses grosses lèvres, gonflées d’excitation, sont luisantes de jus d’amour. Elle les écarte. Elle se fourre de deux doigts et se masturbe tout en suçant le gode. Elle lèche le bout lisse comme elle l’aurait avec le bout de ma queue. Puis elle se l’introduit dans sa tirelire. Le faisant aller et venir entre ses lèvres intimes. Que de penser que nous sommes espionné, fait que ma verge répond en durcissant toujours davantage et en perdant des gouttes.
Elle s’offre plusieurs orgasmes avec le silicone.
La situation perverse me fait perdre la tête. J’avais envie que les choses aillent plus loin. Sans un mot pour ma femme, je quitte la pièce. Je me dirige tout droit vers la sortie de derrière. Et c’est par elle que je me retrouve dans mon jardin. Je m’oriente dans l’obscurité sans faire de bruit. Je sonde la nuit du regard pour enfin trouver l’intruse. Qui se trouve près du gros chêne. J’étais un peu près sûr de la trouver là. J’aurais choisi le même emplacement pour espionner. Bien en face de la baie vitrée de la chambre.
Camille est tellement éprise par ce qui se joue dans la chambre, qu’elle a relâchée toute surveillance. Et c’est sans mal que je suis tombé sur elle.
- Au secours !
La seule phrase qui est sortie de sa bouche.
- Qu’est-ce que vous faites ici ?
- Mais… mais rien.
- Mais si, vous êtes dans une propriété privée ! Suivez-moi ou alors j’appelle la police.
- Pour si peu…
- Qu’est-ce qui me dis que vous ne chercher pas à me voler.
- Ça ne va pas !
- Prouvez-le !
- Mais… mais je n’ai rien à prouver, je suis innocente.
- Sur une propriété privée…
- Oui peut-être !
- Venez, suivez-moi, demandant à ma femme ce qu’elle en pense.
Et c’est comme ça que la chère Camille se retrouve dans notre chambre, alors que ma femme est toujours en train de se donner du bien avec le silicone.
-Je te présente ma chérie une voyeuse !
-Où allez-vous chercher cela, vous me mettez dans l’embarras !
-Qu’est-ce qu’on fait d’elle, chérie ?
-Je ne sais pas mon amour. A ton avis ?
-La police ou alors, ou alors on lui faire ce qu’on a dit ?
-Et je peux savoir ce que vous avez dit ?
A suivre…
Ce n’était pas prévu ! C’est avec le cœur lourd que je prends la route. Prenant la décision de rentrer chez moi. Mais avant, je me rends à ma boulangerie préférée.
L’heure avancée fait que je me trouve seul dans la boutique. Et la vendeuse en profite pour me faire du rentre-dedans comme elle est accoutumée de faire. Elle me demande alors, d’un ton amusé :
- Alors, on couche ensemble ?
- Mylène… Mylène… Je veux bien, mais ce n’est pas le lieu…
- C’est vrai, je te plais, tu es sûr ?
Je lui affirme que je la trouve parfaite. Dès lors, je lis sur elle une expression de salope réjouie.
- Tu ne le sais pas, mais il se trouve que je suis seule aujourd’hui. Les enfants au collège et Antoine fait les marchés.
Mylène a un look tout ce qu’il y a de sage. Une jupe longue, ballerines aux pieds, chemisier flou. Ses cheveux bruns coupés court.
- Tu m’en vois ravi.
Nous coupons court la conversation interrompue par un client. Sitôt ce dernier parti, la discussion reprend. Nous échangeons nos fantasmes. Quand je lui fais part de ma fascination pour les slips portés. Elle me répond, je ne pas tomber mieux, car ça fait deux jours qu’elle porte la sienne. Instantanément, mes sens se mettent en ébullition.
- Vilain satyre, me dit-elle en rigolant, tout en farfouillant sous sa jupe que le comptoir m’empêche de voir.
Puis elle se penche, et me jette l’instant d’après un bout de tissu au visage. Celle-ci est vraiment très maculée.
- Elle peut, enfin peut-être t’inspirer pour une relation.
Elle entreprend de se doigter.
- Vas-y, fait de même : branle-toi !
Je porte la petite culotte souillée à mes narines. Elle sent l’odeur très caractéristique de Mylène, sauf qu’à ce stade, ce n’est plus de la négligence, c’est de l’incontinence. Les exhalaisons m’entêtent, on dirait que je suis drogué.
À m’envoyer me placer sous le comptoir. À poser ma main au contact de son genou.
- Et bien en voilà des manières ! Me fait-elle.
- Ce n'est pas ce que tu voulais ?
- Bien sûr, mais je ne m’attendais pas à ça !
Je sens la chaleur de sa jambe. Je la regarde, elle a les yeux mi-clos. Sa bouche bouge, je crois qu’elle va dire quelque chose, mais rien n’y sort. Elle a juste hoché la tête et marmonne un oui.
Je fais remonter ma main le long de l’arrière de sa jambe. Mes doigts caressent doucement et légèrement la chair à l’intérieur de sa cuisse gauche. Plus hauts, juste un peu plus haut, le bout de mes doigts touche ses poils rêches.
J’utilise mon pouce et mon premier doigt pour saisir ses lèvres et les frotte l’une contre l’autre. Je sens de l’humidité à l’entrejambe alors que je continue à la masser et à frotter.
Je sens ses poils pubiens humides, alors que mes doigts glissent facilement entre ses lèvres. J’ai les doigts gluants et humides. Le pouce et l’index prennent de tenaille le clitoris tandis que mon majeur s’enfonce lentement dans son vagin. Je peux l’entendre reprendre son souffle. J’enfonce lentement mon doigt, puis le suivant aussi loin que possible en elle.
La cloche de la porte d’entrée se fait entendre.
- Bonjour Mylène fait la voix d’une femme.
- Bonjour Camille. Répond-elle, en contractant son vagin autour de mes doigts.
- Ça ne va pas, fait la cliente.
- Pourquoi… qu’est-ce qui te fait dire cela ?
- Tu as une drôle de voix…
- Tu crois ?
Puis voilà qu’elle se balance et tourne légèrement lorsque mes doigts entrent et sortent. J’entends le bruit de mes doigts qui plongent en elle et en sortent, un bruit de froissement. Mon excitation monte en flèche. Je sens ma queue se tendre. Je roule et tire doucement sur son clito avec mon pouce et mon index. Je lève les yeux vers son visage. Ses yeux sont presque tirés.
- C’est que j’ai eu une insomnie cette nuit.
- Cela explique ceci. Réponds la cliente.
- Tu es pressé ? Fait Mylène.
- Oh toi, tu veux que je te parle des voisins.
- Je ne dis pas non. Verrouille la porte et tire le rideau que nous soyons tranquilles.
Je profite de l’instant pour la branler avec mes doigts. Je la vois se mordre l’intérieur de sa lèvre inférieure. Soudain, ses jambes se raidissent, elle a des spasmes et se resserre autour de mes doigts qui la branlent et un petit gémissement s’échappe de sa gorge.
- Tu dis quoi ? Fait la cliente.
- Rien… Rien… T’inquiètes…
- Je te trouve bizarre aujourd’hui ma pauvre Mylène…
À ses pieds, je continue à caresser jusqu’à ce que ses spasmes cessent qu’elle fasse un petit pas en arrière et que ma main tombe de sous sa jupe.
Je suis condamné à rester là-dessous et à patienter jusqu’au départ de la cliente. À écouter les commérages des deux femmes. Mais il se trouve que peu à peu dans la confession de la nouvelle venue que je me retrouve, moi avec ma femme. Comment Mylène l’avait appelé déjà ? Camille oui, Camille. Je ne connais aucune voisine de ce nom. Cela me réconforte un peu. Mais hélas cela est de courte durée.
- Là sa femme l'attache rapidement et solidement les mains dans le dos, et il se retrouve ainsi à sa merci. Elle continue de lui caresser le sexe jusqu’à ce qu’elle décide de lui attacher aussi les couilles et sa queue avec un bas pour me faire bander davantage. Confesse Camille.
Il n’y a plus aucun doute. C’est bien de nous qu’elle parle.
- Suite à cela, la femme tire sur le bas et le passe dans la raie des fesses et l’attache à celui qui lui ligote les mains.
- Et bien, fait Mylène, tu as de drôle de voisins !
- Attends, attends la suite.
- C’est que déjà mon excitation est à son comble.
- Donc je te disais qu’elle termine le ligotage en lui emprisonnant les genoux et chevilles. Elle s’occupe alors de son sexe qu’elle caresse, puis ses couilles qu’elle triture. Puis elle le suce. Putain, je ne sais pas ce que j’aurai donné pour être à la place de la femme. Tu aurais vu la queue !
- Ah oui ! La suite vite…
- Jugeant qu’elle était à point voilà que la coquine prend place dessus. Et là crois-moi, ce n’est pas sur un sexe qu’elle est assise, mais sur une selle de cheval. Si tu aurais vu comment elle l'a chevauché. Putain ! Je suis encore toute retourné.
- Bon, fait la boulangère, ce n’est pas que je te mets dehors, mais je dois préparer le déjeuner. Antoine de va pas tarder à entrer. À demain ! Ajoute-t-elle en l’entrainant jusqu’à la sortie.
- J’espère pouvoir te révéler un nouvel épisode.
- Parce que tu vas de nouveau…
- Je veux bien. Tu ne sais pas le bien que cela me donne. Lâche-t-elle en quittant le lieu.
C’est l’instant que je choisis pour quitter ma planque.
- Et bien, tu as de sacrées clientes.
- Celle-là est exceptionnelle.
- Je te crois. Et elle habite ou cette voyeuse ?
Et là, elle me lâche ce que je ne voulais pas entendre. Elle faisait bien partie de mon voisinage. J’ai dû me débattre des griffes de la boulangère pour pouvoir m’échapper tant elle était surexcitée par le récit de la voyeuse.
Je ne vous dis pas quand j’en ai fait part à ma femme de l’époque. Cela la fait bien rire.
- Et qui ça te la dit ?
Pensez bien que je me suis abstenu de lui révéler les faits réels.
- Elle chantait cela à une femme chez le buraliste.
- Non ! Et la femme, tu la connaissais.
- Jamais vue !
Quelques tours de cadrans plus tard, voilà que ma femme me lâche.
- Tu m’as bien dit qu’elle comptait avoir quelque chose à dire.
- Oui, c’est bien ça, que j’ai entendu dire à l’autre femme.
- Et bien nous allons lui en donnée.
Qu’est-ce qu’elle ne ferait pas ma femme pour se faire sauter.
Donc, après le film, nous prenons le chemin de la chambre. Ma femme allume toute les lumières.
- Plus il y en a, plus cela attire les voyeuses !
Et la voilà qu’elle s’installe sur la chaise placée méthodiquement face à la baie. Elle avance ses fesses au bord du siège, ouvre au maximum les genoux. Elle prend tout de suite la pose en retroussant sa jupe très haute sur ses cuisses. La coquine s’est passé des bas noirs, mais aussi le porte-jarretelles rouge et un slip assorti, une parure offerte pour sa St Valentin. Elle a joué le jeu. Au-dessus de la broderie ses cuisses blanches apparaissent, puis un petit slip sage. Appartenant sans doute à sa fille vue la taille. Il est immaculé, enflé des poils du pubis qui dépassent de chaque côté.
Avec un sourire coquin elle écarte la culotte. Sa fente, engorgée de sécrétions, bâille comme jamais. Elle se touche les lèvres en poussant des gros gémissements.
Puis elle la voilà qu’elle se saisit d’un gode. Il est fin, de forme allongée et légèrement recourbée. Les jambes grandes ouvertes, elle ouvre son sexe de façon obscène. Ses grosses lèvres, gonflées d’excitation, sont luisantes de jus d’amour. Elle les écarte. Elle se fourre de deux doigts et se masturbe tout en suçant le gode. Elle lèche le bout lisse comme elle l’aurait avec le bout de ma queue. Puis elle se l’introduit dans sa tirelire. Le faisant aller et venir entre ses lèvres intimes. Que de penser que nous sommes espionné, fait que ma verge répond en durcissant toujours davantage et en perdant des gouttes.
Elle s’offre plusieurs orgasmes avec le silicone.
La situation perverse me fait perdre la tête. J’avais envie que les choses aillent plus loin. Sans un mot pour ma femme, je quitte la pièce. Je me dirige tout droit vers la sortie de derrière. Et c’est par elle que je me retrouve dans mon jardin. Je m’oriente dans l’obscurité sans faire de bruit. Je sonde la nuit du regard pour enfin trouver l’intruse. Qui se trouve près du gros chêne. J’étais un peu près sûr de la trouver là. J’aurais choisi le même emplacement pour espionner. Bien en face de la baie vitrée de la chambre.
Camille est tellement éprise par ce qui se joue dans la chambre, qu’elle a relâchée toute surveillance. Et c’est sans mal que je suis tombé sur elle.
- Au secours !
La seule phrase qui est sortie de sa bouche.
- Qu’est-ce que vous faites ici ?
- Mais… mais rien.
- Mais si, vous êtes dans une propriété privée ! Suivez-moi ou alors j’appelle la police.
- Pour si peu…
- Qu’est-ce qui me dis que vous ne chercher pas à me voler.
- Ça ne va pas !
- Prouvez-le !
- Mais… mais je n’ai rien à prouver, je suis innocente.
- Sur une propriété privée…
- Oui peut-être !
- Venez, suivez-moi, demandant à ma femme ce qu’elle en pense.
Et c’est comme ça que la chère Camille se retrouve dans notre chambre, alors que ma femme est toujours en train de se donner du bien avec le silicone.
-Je te présente ma chérie une voyeuse !
-Où allez-vous chercher cela, vous me mettez dans l’embarras !
-Qu’est-ce qu’on fait d’elle, chérie ?
-Je ne sais pas mon amour. A ton avis ?
-La police ou alors, ou alors on lui faire ce qu’on a dit ?
-Et je peux savoir ce que vous avez dit ?
A suivre…
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