Rivalités
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-03-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Rivalités
Lors de la fête de fin d’année de l'entreprise, ma femme, Bérengère, et moi avons partagé une table avec Bernard et sa femme, Valérie. Ce devait être la table la plus minable de toute la salle de banquet. Nous étions placés tout au fond, dans un coin sombre, à côté de la table de programmation. Bérengère et moi étions assis face au mur. Bernard et Valérie faisaient face à la salle, et pouvaient au moins assister au spectacle. La seule bonne chose à propos de cette table était que nous étions si loin de l’orchestre que nous pouvions tenir une conversation.
Fielleux, Bernard m’a dit : « N’espère pas obtenir le poste de responsable développement du futur programme, Victor est tout proche de l’obtenir »
« Victor » Bérengère a littéralement craché sa pensée. « Je déteste ce type »
Je lui donnais un coup de pied sous la table et je la fusillais du regard. J'avais craint qu'elle se laisse aller à une réflexion raciste. En arrivant, lorsque nous avions découvert nos places attribuées, je l'avais prévenue que Bernard était très servile vis-à-vis de Victor. Tous nos propos nuisibles seraient signalé à la direction. Un mot de trop et mes chances d’obtenir le poste convoité seraient perdues.
« Oh, Victor n'est pas si mauvais » a déclaré Valérie. « Il a réussi à obtenir une belle augmentation pour Bernard, l'année dernière »
Il pouvait, pensais-je. Bernard avait transpiré sur le développement d’Acmé, un travail que Victor lui avait confié parce qu’il avait été incapable de le mener à bien. Victor avait failli payer très cher ses erreurs et ses retards. Soit dit en passant, un travail que j'aurais dû obtenir, car j’en avais les compétences.
Bernard sourit à la remarque de Valérie : « Robert et Victor sont rivaux sur ce projet, chérie, comme sur beaucoup de gros dossiers. Celui qui obtiendra le poste pourra faire évoluer notre technologie logicielle à un niveau supérieur. Et obtenir une belle promotion »
C'était un problème de technologie. Victor était un politicien. Tout ce qu'il voulait, c'était la promotion. Il était incapable de faire évoluer quelque chose. Et surtout pas notre technologie logicielle. S'il avait le poste, il n'y aurait pas d’évolution, juste un beau gâchis.
Une ombre se profila. Victor s’approchait de la table. Il serra la main de Bernard, mais pour saluer Valérie, il porta la main de la dame à ses lèvres. Puis il lui retourna la main, paume en haut, et il embrassa longuement l’intérieur du poignet, avant de lui débiter des fadaises. Je me serais senti ringard de me comporter comme ça, mais Victor semblait à son aise. C’était un grand métis avec une carrure d’athlète. Il était, comme toujours, impeccablement vêtu d'un costume coûteux. Il ressemblait à un dirigeant. C'était probablement pour cela qu'il était assis près d'eux. Mais je n'étais pas dupe, quand il s'est penché sur la main de Valérie, je savais qu’il la convoitait, comme toutes les femmes qu’il croisait. Sa réputation le précédait. Au bureau, les femmes lui avaient donné un surnom. « Bite d’Or »
Il s’est tourné vers moi pour me saluer. Je lui ai souri en lui serrant la main « Je pense que tu ne connais pas ma femme, Bérengère. Bérengère, voici Victor » C'était la bonne attitude. Il fallait être poli, courtois, même aux plus petits niveaux. Et surtout quand mon rival direct s’incline pour baiser la main de ma femme, en la complimentant ouvertement pour ses beaux nichons.
« Un plaisir » dit-il à Bérengère, puis il se tourna vers Valérie. « Bernard, tu avais promis de me laisser danser avec Valérie »
Victor a emmené sa cavalière, et Bérengère s'est penchée pour me chuchoter à l'oreille : « Tu as vu la façon dont il m'a regardée. Et ce qu’il m’a dit. J’ai cru qu’il allait me violer »
« Il essayait juste de me provoquer, pour que je fasse un geste stupide »
Elle me regardait avec un sourire moqueur, avant de me désigner Bernard. Il essayait de se hausser sur ses grosses fesses, en regardant anxieusement la piste de danse. Eh bien, j'ai pensé que je serais aussi inquiet que lui, si Victor avait posé ses mains sur ma femme. Quelques minutes plus tard, le sourire de Bernard annonçait le retour de Victor et Valérie.
« Robert » dit Victor « J'adorerais danser avec Bérengère »
« Pas de problème, rappelle-toi seulement de la ramener où tu l’as prise »
A mon tour de m'inquiéter. Bernard a aussi emmené Valérie faire un tour de piste, me laissant seul à la table. Je pouvais me retourner et les regarder sans, je l'espérais, avoir l'air d'un mari anxieux. J'aurais mieux fait de rester face au mur. C'était un rythme latino assez lent, et Victor guidait Bérengère au bord de la piste, d’où je pouvais les voir. Il le faisait délibérément parce qu’il m’avait vu les regarder, et aussitôt, il a essayé de la serrer contre lui.
Au début, Bérengère a semblé résister mais, en se retournant, elle a vu que je les surveillais. C'était une erreur fatale de montrer à Bérengère mon inquiétude. Son jeu préféré, c’est de me taquiner. Badiner avec mon rival, quelle aubaine pour cette tentatrice. Elle s’est laissée aller tout contre lui, séduite et docile. Au tour suivant, Victor m'a souri, tandis que sa main descendait sur les fesses de Bérengère. Elle remonta sa main jusqu'à sa taille, mais elle souriait toujours en me défiant du regard. C’était entièrement de ma faute. Je n’aurais pas dû me retourner. Cela excitait sa perversité.
Après cela, ils se sont vraiment mis à flirter tous les deux, me provocant à tour de rôle, devenant de plus en plus audacieux à chaque rotation. L’instant suivant, Victor m'a dévisagé en remettant sa main sur le cul de ma femme. Bérengère s’est laissée faire, ce qui a encouragé Victor à devenir encore plus entreprenant. Il l'a positionnée pour qu'ils dansent presque côte à côte, avec un sein contre son torse et l'autre un peu éloigné. Ils dansaient presque face à moi, dans une position ouverte, et ils me jaugeaient du regard tandis que Victor palpait le nichon de Bérengère.
Quand Bérengère commence à s’amuser, rien ne l’arrête. Tout le reste de la danse, elle a laissé Victor lui caresser alternativement les seins ou les fesses, pendant qu'ils dansaient en se moquant de moi. Je ne savais pas quoi en penser. Ce jeu était humiliant pour moi, mais ma bite était bandée comme un arc. J’étais de plus en plus excité. Victor n’effectuait ses gestes de provocation que face à moi. Pour que je vois bien les privautés qu’il se permettait sur ma femme, mais que j’étais seul à voir, afin d’éviter le scandale. Néanmoins, j'ai été soulagé lorsque l’orchestre s'est tu, et qu'ils sont revenus à la table. Finalement, quelqu'un a dû le remarquer.
« Je réserve le prochain tour » annonça Victor en approchant la chaise de Bérengère. « Qu'est-ce que vous buvez ? »
Bernard et Valérie se sont excusés en prétendant qu'ils devaient libérer la baby-sitter. Pendant que Victor est parti à la recherche de boissons, Bérengère et moi nous sommes restés seuls. Bérengère glissa sa main sous la table pour palper mon entrejambe. Elle a ri de me trouver si tendu.
« Oh, mon chéri ! Qu’est-ce qui te mets dans un état pareil ? »
« Merde, Bébé. Comment veux-tu que je réagisse quand un homme met ses mains sur ma femme ? »
Elle m'a donné un rapide baiser. « Détends-toi, mon gros lapin. Nous avons déjà fait pire que ça. Pense juste à quel point tu seras survolté ce soir, quand tu me baiseras »
Cette fois encore, elle m'a eu comme ça ...
La première fois, c’était ce soir où mon vieux pote André était venu manger à la maison. Après le repas, nous nous sommes installés dans le séjour, et nous avons entamé une bonne bouteille. Bérengère s'est assise à côté d'André sur le canapé, pendant que je prenais place dans mon fauteuil. Le vin aidant, nous plaisantions bêtement, lorsque j’ai pris conscience que Bérengère était assise inhabituellement proche d'André. Elle avait les jambes repliées sur le canapé et s’appuyait contre son épaule.
Je pense qu'elle attendait que je le remarque, parce que quand je l'ai découvert, elle m'a fixé un bref instant de son regard espiègle, puis s'est tournée pour donner à André un bref baiser sur les lèvres. André lui rendit son baiser, mais à la façon dont ses yeux s'écarquillèrent, je savais qu'il était aussi surpris que moi.
Bérengère a ri devant nos physionomies décontenancées, et elle m’a demandé:
« Robert, est-ce que ça irait si je flirtais un peu avec André ? Juste un peu ? »
« Euh ... ouais ... je suppose que ... » Je savais que ce n'était pas très machiste de laisser sa femme batifoler avec un ami, mais elle était toujours très tactile, et elle avait pris l’habitude de saluer mes amis avec une étreinte prolongée par des baisers. Je me sentais stupide de refuser quelques baisers supplémentaires.
En fait, il ne s'est pas passé grand-chose. Juste quelques baisers, bouche ouverte, avec un jeu de langue fripon. Elle s’amusait à me jeter des regards en coin entre deux baisers. Je suppose qu'elle a apprécié ce moment, mais son excitation venait surtout de le faire devant moi. André était trop décontenancé pour être un partenaire plus entreprenant, et elle a pris l’initiative d’un bout à l’autre.
Pour ma part, j'ai découvert que de la regarder dans les bras d’un autre bandait ma bite. Significativement. J'ai souvent eu du mal à obtenir une érection complète. Heureusement, Bérengère était une femme pleine de ressources, en plus d’être compréhensive. Elle avait élaboré un procédé pour faire l'amour de manière satisfaisante. Lorsque je ne parvenais pas à obtenir une érection suffisamment rigide pour la pénétrer, elle utilisait un lubrifiant pour que je puisse me glisser en elle. Prise en levrette, en lui caressant longuement le clitoris, j’arrivais à la faire jouir. Et une fois satisfaite, elle me branlait jusqu'à l’éjaculation.
Après le départ d'André ce soir-là, nous étions tous les deux très émoustillés et nous avons fait l'amour. Le meilleur, c’est que j’ai pu obtenir une érection complète. Bien tendu, pendant presque une heure. On a pu baiser tout notre soûl. Il s'est avéré que nous ne pouvions pas exulter en baisant, ni l’un ni l’autre, mais c'était super, et nous avons tous les deux pris notre pied comme d'habitude par la suite. Une super soirée.
Ainsi, progressivement, les relations avec certains de nos amis sont devenues plus tendres, et un prélude nécessaire à notre épanouissement sexuel. Elle a imaginé des scénarios. Chez Léon, quand il nous avait invités à manger. Avec Michel au cinéma, assise entre nous deux. En balade en voiture, pendant que je conduisais, coincée sur la banquette arrière entre Léon et Michel. Nous avons toujours eu d’excellentes parties de baise après.
Au début, c'était juste flirter, quelques baisers, mais les gars sont devenus plus exigeants. Ils essayaient de la caresser. Les nichons surtout, qu’elle a très beaux. On en a discuté, et j’ai accepté l’escalade inévitable. Ouvrir son chemisier, dégrafer le soutif, quelques caresses, quelques baisers, et puis la bouche vorace qui s’empare du mamelon, qui suce, qui tète, qui mordille … Et ses soupirs, et ses petits cris de plaisir ! Bien sûr, rapidement, ils la voulaient nue jusqu'à la taille. Un soir, on les a invités tous les trois à dîner. Après le repas, elle n’a gardé que sa culotte échancrée. C’est André qui l’a doigtée.
« Me revoilà » Le retour de Victor a interrompu ma rêverie. Il posa les boissons et tira la chaise de Bernard juste à côté de Bérengère. Il se pencha sur elle pour pouvoir me parler, et son bras vint naturellement se poser sur le dossier de la chaise de Bérengère. Immédiatement, sa main libre commença à caresser l’épaule de ma femme, avant de se glisser sous son aisselle pour lui caresser le flanc avec sa paume, et lui palper le nichon du bout des doigts.
Le bâtard effronté m’a nargué : « Robert, tu as une très jolie femme. Avec des seins magnifiques »
Bérengère ne m'a pas facilité les choses. Sous la table, elle a serré sa main autour de ma bite. Elle me regardait en rigolant. La main de Victor qui palpait le nichon de ma femme, avec son pouce qui frottait le téton érigé. Bérengère qui pressait ma bite dure comme du roc. Je ne pouvais blairer ce crétin. Un frisson de luxure et de haine mélangé a couru le long de ma colonne vertébrale. Ils souriaient tous les deux en me regardant, attendant de voir ma réaction.
Je fixais sa main. Sans lever les yeux, j’ai haleté : « C’est le sein de ma femme que tu tiens »
« Ouais, mais nous savons tous que tu ne vas pas faire de scène, n'est-ce pas ? »
« Euh non... Mais vas-y doucement, quand même. On ne peut pas se permettre un scandale ici »
« T'inquiètes. On va juste s’amuser un peu »
Il a glissé sa main dans l’échancrure du chemisier pour dégrafer trois boutons. Il a penché Bérengère en avant pour lui caresser le dos, et dégrafer son soutien-gorge. J’ai admiré son aisance manuelle. Puis il l’a redressée pour l’appuyer contre le dossier. C’est à ce moment qu’elle a cessé de me dévisager en souriant, et qu’elle a tourné son visage vers lui, en lui tendant ses lèvres. Ils se sont embrassés goulûment pendant que sa main pétrissait la chair nue de ses seins.
Merde. Il avait mis la main sur ma femme, et elle le laissait faire, docile et ravie. En public, et en sachant que je ne pouvais pas blairer ce type. Nous étions dans un recoin sombre, nous tournions le dos à l’assemblée, personne n’était proche de nous. Mais j’étais anxieux. J'ai jeté un rapide coup d'œil aux alentours, personne ne nous regardait. Bérengère était à l'abri des regards avec son manteau posé sur le dossier de sa chaise. Mais c'était risqué. Si quelqu'un les voyait s'embrasser. Ou si quelqu'un venait … Bérengère a glissé sa main sous la table pour serrer la bite de Victor. Un vertige m’a saisi ...
« Merde, Victor, arrête tes conneries, tu vas nous faire virer »
Il a rompu le baiser pour me regarder en réfléchissant : « Ouais, je l’emmène dans ma chambre »
« Certainement pas » Flirter était une chose, mais si elle montait dans sa chambre, il allait la baiser.
« À toi de voir »
Il écarta les jambes de ma femme, posant l’une d’elle sur ma jambe, et l’autre sur la sienne. La main de Victor a rampé sous la jupe de ma femme. Dolente, elle avait posé sa tête sur l’épaule de Victor, les yeux fermés, la bouche ouverte, offerte à ses baisers. Mais je l’ai vue tressaillir lorsque la main de Victor a atteint son but. Et elle a serré plus fort ma bite quand son doigt l’a pénétrée. J'étais partagé entre la peur de se faire prendre, et la peur de ce qui pourrait se passer dans sa chambre. La peur du scandale l'a emporté.
« D'accord, t’as gagné. Emmenons-la dans ta chambre »
« OK, si tu es sage, je te laisserai me regarder la baiser »
« Hors de question que tu la baises » dis-je fermement. Mais j'ai regardé le visage extasié de Bérengère, la tête renversée en arrière, la bouche entr'ouverte quémandant ses baisers. J’ai pensé qu’elle pourrait se laisser faire. Mais je devrais m'occuper de cela plus tard. L’urgence, c’était de la sortir d'ici.
« Tu peux t'amuser sans la baiser. Rhabillons-la »
« Pas question. Je la veux nue sous son manteau. Juste ses chaussures et ses bijoux »
Au moins, il avait accepté de cesser de la tripoter. Alors, pendant qu'il aidait Bérengère à quitter ses vêtements, je récupérais ses affaires pour en faire un ballot, le tout replié dans sa jupe portefeuille qui m’a servi de sac. Nous avons aidé Bérengère a glisser ses bras dans les manches de son manteau. Puis ils se sont levés et ils sont sortis, enlacés comme deux amants. Je les suivais à deux pas derrière.
Le manteau était trop court. Il couvrait à peine son cul. Et cela ne l'a pas favorisée que Victor le remonte un peu avec le bras qu'il avait autour de sa taille. Les gens la suivaient des yeux, pendant que nous partions, le regard fixé sur ses jambes gainées de nylon, avec le manteau beaucoup trop haut pour cacher la dentelle en haut des bas. Merde, nous étions grillés.
Dans l'ascenseur, Victor se tenait derrière Bérengère. Il a ouvert son manteau pour lui pétrir les seins à deux mains. Le manteau glissa de ses épaules, le long de ses bras, avant de tomber au sol. Elle envoya ses deux mains derrière elle pour lui tripoter la bite. Ils ne se sont pas embrassés, ils me regardaient en souriant.
Bérengère m’a dit : « Il a une putain de bite, le double de la tienne ! »
Lorsque la porte de l'ascenseur s'est ouverte, Victor et Bérengère sont sortis, laissant le manteau par terre. Je me suis rapidement penché pour le ramasser, et me suis précipité derrière eux. En sortant, je me suis heurté à un gros type qui reculait pour entrer dans l'ascenseur. Il ne m'a même pas remarqué. Il était trop occupé à regarder ma femme nue dans les bras de Victor. Il lui caressait son cul nu en marchant dans le couloir.
Lorsque nous sommes entrés dans la chambre, Victor m’a dit : « Il y a du bourbon dans le frigo, Robert, sers-nous un verre »
« Oui, patron. Tout de suite, patron »
Cela fit rire Bérengère. Elle se tourna vers Victor : « Et moi, patron ? Que veux-tu que je fasse ? »
« Tu peux me divertir en dansant pour moi » dit Victor en cherchant une radio avec une musique sirupeuse. Ensuite, il se tourna vers elle et commença à se déshabiller.
Bérengère a fait ce qu'il lui demandait. Elle a ôté ses chaussures et s'est mise à danser au milieu de la pièce. Mais elle ne suivait pas la musique. Elle se penchait en avant pour agiter ses gros nichons en remuant ses fesses. Elle regardait Victor, la bouche ouverte, en se pourléchant les lèvres. Elle m’ignorait, je n’existais plus. Victor enfin nu, il s’est installé dans un fauteuil, jambes écartées, en disant à Bérengère :
« Viens danser ici »
Quand j’ai apporté son verre à Victor, il m'a dit : « Enlève tes vêtements, Robert. Et installe-toi dans l’autre fauteuil » Et à Bérengère : « Vas-y, secoue bien tes gros nichons »
En me déshabillant, je ne perdais pas une miette du spectacle. Penchée devant Robert, Bérengère agitait ses nichons avec ses mains, en surveillant la bite qui gonflait sur la cuisse du gars.
« Tu aimes ce que tu vois? » lui a demandé ce salopard.
Bérengère a craqué. Elle a lâché son sein pour poser sa main sur la bite de Robert, et la saisir fermement. Visiblement émue, elle s’est léchée les lèvres avant d’articuler faiblement :
« C'est énorme » Et ça l'était. Même pas dur, il était beaucoup plus long et plus gros que ma bite.
« Tu peux jouer avec, si tu veux »
« Pas question » répliquais-je.
« Alors, tu renies ta parole ? Tu as dit qu’on pouvait s'amuser tant que je ne la baisais pas. N'est-ce pas ? »
Merde. Je ne me souvenais pas exactement de mes paroles, mais ça y ressemblait, donc j'ai dû concéder le point : « Ouais. Ça y ressemble »
Bérengère intervint : « Donc, les règles sont … il peut faire tout ce qu'il veut, sauf mettre sa bite dans ma chatte. C'est bien ça ? »
J'ai hoché la tête : « C’est ça » Elle a rit, et j’ai eu un mauvais pressentiment. J’aurais dû réfléchir avant.
« D'accord » Elle a soulevé la bite de Victor.
Mais il l'a arrêtée : « Sans les mains. Juste ta bouche, tes lèvres et ta langue »
Bérengère aime les défis. Et elle aime jouer à toutes sortes de jeux. Elle posa ses mains sur les cuisses de Victor, juste au-dessus des genoux, et se pencha en avant jusqu'à ce que ses lèvres rencontrent la grosse bite. Elle déposa toute une série de baisers le long de sa tige, du gland jusqu’aux couilles, et fit le chemin du retour de la même manière. Ensuite, elle a fait courir sa langue sur toute la longueur, plusieurs fois. Puis elle a essayé de gober le gland dans sa bouche. Mais c'était trop gros pour elle. Alors elle s’acharna en utilisant sa langue et ses lèvres pour le positionner en travers de la jambe.
Finalement, elle l'aspira et leva les yeux vers lui, d'un air triomphal. Elle a essayé de faire entrer plus de bite dans sa bouche, sans succès. Ses yeux ont quitté ceux de Victor, et elle s’est aperçue de ma présence, nu près d’eux. Ses yeux sont descendus jusqu’à mon entrejambe, où ma main était occupée à tirer sur ma bite. Ça doit être difficile de rire avec une bite dans la bouche, mais elle a réussi à le faire. Son rire m’a fait mal.
Je suppose que ma présence, la regardant sucer la grosse bite de mon rival, l’a stimulée, parce qu’elle me jetait de fréquents coups d’œils en s’épuisant à essayer de faire rentrer plus de bite noire dans sa bouche. Cela ne l'aidait pas que sa queue s’allonge en même temps. Plusieurs fois, elle s’étouffa, elle a eu des réflexes nauséeux, mais elle se retirait avant de recommencer. Finalement, elle a réussi à gober la moitié de sa bite. Elle s’est retirée, gardant juste ses lèvres sur le bout de la bite, elle a soulevé son corps pour s’aligner, elle a fait monter de la salive dans sa bouche, puis elle s’est lancée dans une folle descente.
Elle l'a fait plusieurs fois et je pouvais voir sa gorge se dilater et se resserrer quand la grosse bite glissait dedans. Une fois qu'elle a réussi à l’enfoncer complètement, elle est restée quelques secondes le nez dans ses poils pubiens, avant de se retirer. Elle avait le visage écarlate, elle pantelait, la bave coulait de sa bouche, et elle avait des larmes plein les yeux. Elle leva les yeux vers Victor, hardiment, fière de sa performance.
« Sur les genoux » ordonna Victor en se levant.
Bérengère s’agenouilla et utilisa ses mains pour caresser sa queue et flatter ses bourses, pendant qu'elle suçait le gland. Ma position sur le fauteuil ne me donnait pas une excellente vue du spectacle, alors je suis venu m’accroupir tout près d’elle.
« Embrasse ton mari » ordonna Victor.
Elle a gardé ses mains sur la queue de Victor, pendant qu'elle se tournait pour m'embrasser. Le premier baiser était hésitant, juste du bout des lèvres. Mais ce n'était pas aussi dégoûtant que je le craignais, donc nous avons continué. Bouche ouverte, nos langues ont exploré la bouche de l'autre. C'était une expérience excitante. Son goût était différent, plus musqué, sa bouche était remplie de bave, et ses lèvres étaient plus chaudes qu’à l’accoutumée. Était-ce à cause de la chaleur de la bite de Victor ? Je me demandais si c'était cela quand on disait qu'une fille avait les lèvres brûlantes.
Victor a aidé Bérengère à se remettre sur ses pieds, puis il l’a couchée à plat dos en travers du lit. Puis il l'a tirée vers lui jusqu'à ce que son cul soit sur le bord du lit, jambes relevées et largement écartées. Penché sur elle, il a commencé à frotter sa bite entre les grandes lèvres de sa chatte.
J’ai protesté : « Hé, tu ne la baises pas, souviens-toi de ta promesse »
« C’est promis, je ne mettrais pas ma bite en elle »
C’est à ce moment que Bérengère est intervenue. Elle a relevé sa tête pour me regarder. Je peux dire qu’elle portait sur son visage les stigmates de la convoitise. Le regard impérieux, elle n’avait plus la force de me sourire : « Laisse-le faire. Je veux ressentir ce que c'est que d'avoir une très grosse bite dure en moi. Juste un peu, à l’entrée. Chéri, je t’en prie, dis oui »
Demandé ainsi, je ne pouvais pas refuser : « D'accord, mais juste un peu, à l’entrée »
Il a présenté sa bite, juste un peu en elle, la moitié du gland et s’est maintenu là, en attendant que ma femme cesse de panteler. Puis il a essayé de pousser un peu plus profond. Aussitôt, j’ai gueulé :
« Merde, tu n'es pas censé la baiser »
Mon intervention l’a distrait. Il a tourné la tête vers moi. Aussitôt, rapide comme l’éclair, Bérengère a enroulé ses jambes autour de ses reins pour l’attirer en elle. Un réflexe lui a fait pomper sa bite dans ma femme, la pénétrant par saccades successives. J’ai eu beau crier, il a continué :
« Détends-toi. Ça va lui faire mal si je pousse d'un seul coup »
Il plantait sa bite un peu en elle, puis se retirait presque complètement, avant de pousser un peu plus profond. À chaque pénétration, sa bite allait un peu plus profond, mais je pouvais voir qu'il se retenait,
Il était difficile pour moi de détacher mes yeux de cette grosse bite noire qui se frayait un chemin dans la chatte de ma femme, mais j'ai levé les yeux quand Bérengère a dit : « Mon Dieu, c'est énorme »
Puis : « C'est tellement bon, baise-moi fort »
J'ai regardé de nouveau pour voir que Victor l’avait pénétrée entièrement. Il bougeait lentement, se retirait presque entièrement, puis rentrait doucement jusqu'à ce que leurs pubis se rencontrent. Elle se cramponnait à lui en gémissant sourdement et ses yeux se révulsaient.
J’ai dis à Victor : « Arrête, maintenant. Nous avions un accord. Tu ne devais pas la baiser. Tu as assez mis ta bite en elle, retire-toi »
Les dents serrées, tout à son ouvrage, Victor n’a même pas tourné la tête vers moi pour me répondre. Il étudiait la physionomie de Bérengère : « Ce n'est pas une vraie baise, tant que je ne jouis pas en elle »
J'ai regardé le visage de Bérengère, mais elle n’était plus elle-même. Sa tête dodelinait de gauche à droite, la bouche ouverte, les yeux blancs, elle se délectait des sensations que lui procuraient cette très grosse bite qui la baisait.
J'ai cédé : « D'accord. Tu peux faire tout ce que tu veux à ma femme. Mais ne jouis pas en elle. Elle n’est pas protégée, et c'est sa période fertile »
« Merde » m’a dit Victor.
Je n'étais pas sûr de comprendre ce qu'il voulait dire, mais j'ai laissé tomber, afin de me concentrer sur le spectacle. Regarder ce macho viril baiser ma femme. Peu à peu, son rythme augmentant, les chocs entre leurs deux corps s’intensifiaient, et le sommier grinçait en cadence. Sa respiration devint plus lourde, plus laborieuse, accompagnée de grognements rauques. Bérengère a commencé à lui répondre, soulevant son bassin à sa rencontre, essayant de l'aider à la baiser plus fort. Ses gémissements et ses cris féminins étaient une musique douce à mes oreilles. Je ne l’avais jamais entendue exulter aussi bruyamment. Elle si discrète d’habitude, elle chantait son chant d’amour à pleins poumons.
Je n’existais plus pour Bérengère. Ses yeux tournés vers l’intérieur examinaient les sensations qu’elle découvrait. Elle était trop passionnée. Rien d’autre n’existait pour elle, rien d’autre que cette énorme bite qui ravageait ses chairs. Ce n’était plus un flirt, c’était la baise de sa vie.
« C'est ton jour de chance, Robert » grogna Victor en baisant furieusement ma femme : « Non seulement tu peux me regarder baiser ta femme, mais tu vas me voir la mettre en cloque »
Merde. Trop tard. Je l’ai vu se crisper sur elle. J’ai vu ses fesses se contracter, et son corps trembler, tandis qu'il déchargeait de longues giclées de sperme en elle. Finalement, il a cessé de bouger, et ils se sont embrassés longuement, passionnément. Elle le retenait en elle, les jambes nouées autour de ses reins. Ses mains caressaient amoureusement les épaules et la nuque du mâle qui venait de lui donner autant de plaisir.
Après un long moment, il s’est dégagé de l’étreinte de Bérengère, il a regardé autour de lui comme s’il revenait d’un long voyage, il m’a vu à côté de lui, caressant ma bite toujours dressée :
« D'accord, mec » dit-il en se levant : « À ton tour »
Mais alors que je me positionnais entre ses jambes, Bérengère m’a repoussé :
« Non. Pas toi. Pas maintenant. J’ai besoin que tu me nettoies d’abord »
J'ai baissé les yeux sur sa chatte. Elle était rouge et boursouflée. Le sperme s’échappait à gros bouillon.
« Tu plaisantes. Je ne vais pas te bouffer la chatte maintenant »
« S'il te plaît, chéri. Fais-moi minette. Nettoie-moi, sinon je vais être enceinte. S’il te plaît, occupe-toi de ta salope de femme. Bouffe-moi la chatte. Allez, chéri, fais un effort »
« Merde » Au début, je ne pensais pas pouvoir le faire, mais quand je me suis approché, j'ai senti l'odeur de son sperme. J'ai adoré. J'ai posé ma bouche sur sa chatte, et je l'ai léchée. C'était pas si mauvais. La partie la plus difficile, c’était d’avaler les grosses gouttes filandreuses qui glissaient dans ma gorge.
Elle a commencé à gémir et à se soulever : « Oui, oh oui. Suce, suce bien le sperme de Victor dans la chatte de ta salope de femme »
Elle a grogné et gémi, puis son corps s'est mis à trembler. J’ai compris qu’elle jouissait, mais c’était moins évident que sous l’assaut de Victor. Sa chatte se refermant, je savais qu'elle n’avait plus de sperme. Je me suis redressé et j’ai essuyé ma bouche avec le revers de ma main, et je me suis remis en position pour la baiser. Elle s'est éloignée de moi en roulant jusqu'au centre du lit :
« Non. Venez vous allongez ici, à mes côtés. Maintenant »
Nous nous sommes allongés de chaque côté, tout contre elle. Elle s'est tournée pour faire face à Victor et l'embrasser amoureusement.
J’ai protesté bruyamment : « Hé, et moi ? »
Elle roula sur Victor pour le chevaucher. Elle l'embrassa à nouveau avant de me regarder. Elle respirait toujours fort, mais je pouvais voir son sourire revenir lorsqu'elle m’a dit:
« Je veux te voir te branler pendant que je baise Victor »
Alors, je me suis allongé à côté d'eux et j'ai recommencé à me masturber. Elle s'est assise à califourchon sur Victor pour qu'il puisse lui caresser les seins pendant qu'elle me regardait. Elle s’est empalée sur lui et elle a commencé à onduler des hanches. Victor, qui avait gardé le silence jusque là, prit la parole :
« Alors tu aimes te faire baiser devant ton mari ? » demanda-t-il.
« Oui, ça mets du sel dans l’existence. Espèce de salopard, tu m'as probablement mise en cloque »
« Et alors ? »
« Je voudrais fonder une famille. Et Robert ne peut pas jouir en moi. Alors peut-être que tu pourrais ajouter une dose ? »
Cela m'a stupéfait. J'ai tiré ma charge en l'air.
Ensuite, les choses se sont enchaînées favorablement pour moi. J'ai obtenu le poste de responsable du développement pour le nouveau programme. J’ai eu carte blanche pour choisir mes collaborateurs. J’ai choisi les meilleurs : Victor, André, Léon et Michel travaillent tous avec moi. Je pense qu'ils aiment ça, parce qu’il y a une bonne ambiance, et que la paye est bonne. Le bonus, c’est qu’ils peuvent baiser ma femme à tour de rôle.
Bientôt, Bérengère va accoucher de son premier bébé. Nous devrons faire une pause. Ensuite, disons dans une paire d’année, nous essaierons d’avoir un deuxième enfant. Peu importe la couleur de peau.
Fielleux, Bernard m’a dit : « N’espère pas obtenir le poste de responsable développement du futur programme, Victor est tout proche de l’obtenir »
« Victor » Bérengère a littéralement craché sa pensée. « Je déteste ce type »
Je lui donnais un coup de pied sous la table et je la fusillais du regard. J'avais craint qu'elle se laisse aller à une réflexion raciste. En arrivant, lorsque nous avions découvert nos places attribuées, je l'avais prévenue que Bernard était très servile vis-à-vis de Victor. Tous nos propos nuisibles seraient signalé à la direction. Un mot de trop et mes chances d’obtenir le poste convoité seraient perdues.
« Oh, Victor n'est pas si mauvais » a déclaré Valérie. « Il a réussi à obtenir une belle augmentation pour Bernard, l'année dernière »
Il pouvait, pensais-je. Bernard avait transpiré sur le développement d’Acmé, un travail que Victor lui avait confié parce qu’il avait été incapable de le mener à bien. Victor avait failli payer très cher ses erreurs et ses retards. Soit dit en passant, un travail que j'aurais dû obtenir, car j’en avais les compétences.
Bernard sourit à la remarque de Valérie : « Robert et Victor sont rivaux sur ce projet, chérie, comme sur beaucoup de gros dossiers. Celui qui obtiendra le poste pourra faire évoluer notre technologie logicielle à un niveau supérieur. Et obtenir une belle promotion »
C'était un problème de technologie. Victor était un politicien. Tout ce qu'il voulait, c'était la promotion. Il était incapable de faire évoluer quelque chose. Et surtout pas notre technologie logicielle. S'il avait le poste, il n'y aurait pas d’évolution, juste un beau gâchis.
Une ombre se profila. Victor s’approchait de la table. Il serra la main de Bernard, mais pour saluer Valérie, il porta la main de la dame à ses lèvres. Puis il lui retourna la main, paume en haut, et il embrassa longuement l’intérieur du poignet, avant de lui débiter des fadaises. Je me serais senti ringard de me comporter comme ça, mais Victor semblait à son aise. C’était un grand métis avec une carrure d’athlète. Il était, comme toujours, impeccablement vêtu d'un costume coûteux. Il ressemblait à un dirigeant. C'était probablement pour cela qu'il était assis près d'eux. Mais je n'étais pas dupe, quand il s'est penché sur la main de Valérie, je savais qu’il la convoitait, comme toutes les femmes qu’il croisait. Sa réputation le précédait. Au bureau, les femmes lui avaient donné un surnom. « Bite d’Or »
Il s’est tourné vers moi pour me saluer. Je lui ai souri en lui serrant la main « Je pense que tu ne connais pas ma femme, Bérengère. Bérengère, voici Victor » C'était la bonne attitude. Il fallait être poli, courtois, même aux plus petits niveaux. Et surtout quand mon rival direct s’incline pour baiser la main de ma femme, en la complimentant ouvertement pour ses beaux nichons.
« Un plaisir » dit-il à Bérengère, puis il se tourna vers Valérie. « Bernard, tu avais promis de me laisser danser avec Valérie »
Victor a emmené sa cavalière, et Bérengère s'est penchée pour me chuchoter à l'oreille : « Tu as vu la façon dont il m'a regardée. Et ce qu’il m’a dit. J’ai cru qu’il allait me violer »
« Il essayait juste de me provoquer, pour que je fasse un geste stupide »
Elle me regardait avec un sourire moqueur, avant de me désigner Bernard. Il essayait de se hausser sur ses grosses fesses, en regardant anxieusement la piste de danse. Eh bien, j'ai pensé que je serais aussi inquiet que lui, si Victor avait posé ses mains sur ma femme. Quelques minutes plus tard, le sourire de Bernard annonçait le retour de Victor et Valérie.
« Robert » dit Victor « J'adorerais danser avec Bérengère »
« Pas de problème, rappelle-toi seulement de la ramener où tu l’as prise »
A mon tour de m'inquiéter. Bernard a aussi emmené Valérie faire un tour de piste, me laissant seul à la table. Je pouvais me retourner et les regarder sans, je l'espérais, avoir l'air d'un mari anxieux. J'aurais mieux fait de rester face au mur. C'était un rythme latino assez lent, et Victor guidait Bérengère au bord de la piste, d’où je pouvais les voir. Il le faisait délibérément parce qu’il m’avait vu les regarder, et aussitôt, il a essayé de la serrer contre lui.
Au début, Bérengère a semblé résister mais, en se retournant, elle a vu que je les surveillais. C'était une erreur fatale de montrer à Bérengère mon inquiétude. Son jeu préféré, c’est de me taquiner. Badiner avec mon rival, quelle aubaine pour cette tentatrice. Elle s’est laissée aller tout contre lui, séduite et docile. Au tour suivant, Victor m'a souri, tandis que sa main descendait sur les fesses de Bérengère. Elle remonta sa main jusqu'à sa taille, mais elle souriait toujours en me défiant du regard. C’était entièrement de ma faute. Je n’aurais pas dû me retourner. Cela excitait sa perversité.
Après cela, ils se sont vraiment mis à flirter tous les deux, me provocant à tour de rôle, devenant de plus en plus audacieux à chaque rotation. L’instant suivant, Victor m'a dévisagé en remettant sa main sur le cul de ma femme. Bérengère s’est laissée faire, ce qui a encouragé Victor à devenir encore plus entreprenant. Il l'a positionnée pour qu'ils dansent presque côte à côte, avec un sein contre son torse et l'autre un peu éloigné. Ils dansaient presque face à moi, dans une position ouverte, et ils me jaugeaient du regard tandis que Victor palpait le nichon de Bérengère.
Quand Bérengère commence à s’amuser, rien ne l’arrête. Tout le reste de la danse, elle a laissé Victor lui caresser alternativement les seins ou les fesses, pendant qu'ils dansaient en se moquant de moi. Je ne savais pas quoi en penser. Ce jeu était humiliant pour moi, mais ma bite était bandée comme un arc. J’étais de plus en plus excité. Victor n’effectuait ses gestes de provocation que face à moi. Pour que je vois bien les privautés qu’il se permettait sur ma femme, mais que j’étais seul à voir, afin d’éviter le scandale. Néanmoins, j'ai été soulagé lorsque l’orchestre s'est tu, et qu'ils sont revenus à la table. Finalement, quelqu'un a dû le remarquer.
« Je réserve le prochain tour » annonça Victor en approchant la chaise de Bérengère. « Qu'est-ce que vous buvez ? »
Bernard et Valérie se sont excusés en prétendant qu'ils devaient libérer la baby-sitter. Pendant que Victor est parti à la recherche de boissons, Bérengère et moi nous sommes restés seuls. Bérengère glissa sa main sous la table pour palper mon entrejambe. Elle a ri de me trouver si tendu.
« Oh, mon chéri ! Qu’est-ce qui te mets dans un état pareil ? »
« Merde, Bébé. Comment veux-tu que je réagisse quand un homme met ses mains sur ma femme ? »
Elle m'a donné un rapide baiser. « Détends-toi, mon gros lapin. Nous avons déjà fait pire que ça. Pense juste à quel point tu seras survolté ce soir, quand tu me baiseras »
Cette fois encore, elle m'a eu comme ça ...
La première fois, c’était ce soir où mon vieux pote André était venu manger à la maison. Après le repas, nous nous sommes installés dans le séjour, et nous avons entamé une bonne bouteille. Bérengère s'est assise à côté d'André sur le canapé, pendant que je prenais place dans mon fauteuil. Le vin aidant, nous plaisantions bêtement, lorsque j’ai pris conscience que Bérengère était assise inhabituellement proche d'André. Elle avait les jambes repliées sur le canapé et s’appuyait contre son épaule.
Je pense qu'elle attendait que je le remarque, parce que quand je l'ai découvert, elle m'a fixé un bref instant de son regard espiègle, puis s'est tournée pour donner à André un bref baiser sur les lèvres. André lui rendit son baiser, mais à la façon dont ses yeux s'écarquillèrent, je savais qu'il était aussi surpris que moi.
Bérengère a ri devant nos physionomies décontenancées, et elle m’a demandé:
« Robert, est-ce que ça irait si je flirtais un peu avec André ? Juste un peu ? »
« Euh ... ouais ... je suppose que ... » Je savais que ce n'était pas très machiste de laisser sa femme batifoler avec un ami, mais elle était toujours très tactile, et elle avait pris l’habitude de saluer mes amis avec une étreinte prolongée par des baisers. Je me sentais stupide de refuser quelques baisers supplémentaires.
En fait, il ne s'est pas passé grand-chose. Juste quelques baisers, bouche ouverte, avec un jeu de langue fripon. Elle s’amusait à me jeter des regards en coin entre deux baisers. Je suppose qu'elle a apprécié ce moment, mais son excitation venait surtout de le faire devant moi. André était trop décontenancé pour être un partenaire plus entreprenant, et elle a pris l’initiative d’un bout à l’autre.
Pour ma part, j'ai découvert que de la regarder dans les bras d’un autre bandait ma bite. Significativement. J'ai souvent eu du mal à obtenir une érection complète. Heureusement, Bérengère était une femme pleine de ressources, en plus d’être compréhensive. Elle avait élaboré un procédé pour faire l'amour de manière satisfaisante. Lorsque je ne parvenais pas à obtenir une érection suffisamment rigide pour la pénétrer, elle utilisait un lubrifiant pour que je puisse me glisser en elle. Prise en levrette, en lui caressant longuement le clitoris, j’arrivais à la faire jouir. Et une fois satisfaite, elle me branlait jusqu'à l’éjaculation.
Après le départ d'André ce soir-là, nous étions tous les deux très émoustillés et nous avons fait l'amour. Le meilleur, c’est que j’ai pu obtenir une érection complète. Bien tendu, pendant presque une heure. On a pu baiser tout notre soûl. Il s'est avéré que nous ne pouvions pas exulter en baisant, ni l’un ni l’autre, mais c'était super, et nous avons tous les deux pris notre pied comme d'habitude par la suite. Une super soirée.
Ainsi, progressivement, les relations avec certains de nos amis sont devenues plus tendres, et un prélude nécessaire à notre épanouissement sexuel. Elle a imaginé des scénarios. Chez Léon, quand il nous avait invités à manger. Avec Michel au cinéma, assise entre nous deux. En balade en voiture, pendant que je conduisais, coincée sur la banquette arrière entre Léon et Michel. Nous avons toujours eu d’excellentes parties de baise après.
Au début, c'était juste flirter, quelques baisers, mais les gars sont devenus plus exigeants. Ils essayaient de la caresser. Les nichons surtout, qu’elle a très beaux. On en a discuté, et j’ai accepté l’escalade inévitable. Ouvrir son chemisier, dégrafer le soutif, quelques caresses, quelques baisers, et puis la bouche vorace qui s’empare du mamelon, qui suce, qui tète, qui mordille … Et ses soupirs, et ses petits cris de plaisir ! Bien sûr, rapidement, ils la voulaient nue jusqu'à la taille. Un soir, on les a invités tous les trois à dîner. Après le repas, elle n’a gardé que sa culotte échancrée. C’est André qui l’a doigtée.
« Me revoilà » Le retour de Victor a interrompu ma rêverie. Il posa les boissons et tira la chaise de Bernard juste à côté de Bérengère. Il se pencha sur elle pour pouvoir me parler, et son bras vint naturellement se poser sur le dossier de la chaise de Bérengère. Immédiatement, sa main libre commença à caresser l’épaule de ma femme, avant de se glisser sous son aisselle pour lui caresser le flanc avec sa paume, et lui palper le nichon du bout des doigts.
Le bâtard effronté m’a nargué : « Robert, tu as une très jolie femme. Avec des seins magnifiques »
Bérengère ne m'a pas facilité les choses. Sous la table, elle a serré sa main autour de ma bite. Elle me regardait en rigolant. La main de Victor qui palpait le nichon de ma femme, avec son pouce qui frottait le téton érigé. Bérengère qui pressait ma bite dure comme du roc. Je ne pouvais blairer ce crétin. Un frisson de luxure et de haine mélangé a couru le long de ma colonne vertébrale. Ils souriaient tous les deux en me regardant, attendant de voir ma réaction.
Je fixais sa main. Sans lever les yeux, j’ai haleté : « C’est le sein de ma femme que tu tiens »
« Ouais, mais nous savons tous que tu ne vas pas faire de scène, n'est-ce pas ? »
« Euh non... Mais vas-y doucement, quand même. On ne peut pas se permettre un scandale ici »
« T'inquiètes. On va juste s’amuser un peu »
Il a glissé sa main dans l’échancrure du chemisier pour dégrafer trois boutons. Il a penché Bérengère en avant pour lui caresser le dos, et dégrafer son soutien-gorge. J’ai admiré son aisance manuelle. Puis il l’a redressée pour l’appuyer contre le dossier. C’est à ce moment qu’elle a cessé de me dévisager en souriant, et qu’elle a tourné son visage vers lui, en lui tendant ses lèvres. Ils se sont embrassés goulûment pendant que sa main pétrissait la chair nue de ses seins.
Merde. Il avait mis la main sur ma femme, et elle le laissait faire, docile et ravie. En public, et en sachant que je ne pouvais pas blairer ce type. Nous étions dans un recoin sombre, nous tournions le dos à l’assemblée, personne n’était proche de nous. Mais j’étais anxieux. J'ai jeté un rapide coup d'œil aux alentours, personne ne nous regardait. Bérengère était à l'abri des regards avec son manteau posé sur le dossier de sa chaise. Mais c'était risqué. Si quelqu'un les voyait s'embrasser. Ou si quelqu'un venait … Bérengère a glissé sa main sous la table pour serrer la bite de Victor. Un vertige m’a saisi ...
« Merde, Victor, arrête tes conneries, tu vas nous faire virer »
Il a rompu le baiser pour me regarder en réfléchissant : « Ouais, je l’emmène dans ma chambre »
« Certainement pas » Flirter était une chose, mais si elle montait dans sa chambre, il allait la baiser.
« À toi de voir »
Il écarta les jambes de ma femme, posant l’une d’elle sur ma jambe, et l’autre sur la sienne. La main de Victor a rampé sous la jupe de ma femme. Dolente, elle avait posé sa tête sur l’épaule de Victor, les yeux fermés, la bouche ouverte, offerte à ses baisers. Mais je l’ai vue tressaillir lorsque la main de Victor a atteint son but. Et elle a serré plus fort ma bite quand son doigt l’a pénétrée. J'étais partagé entre la peur de se faire prendre, et la peur de ce qui pourrait se passer dans sa chambre. La peur du scandale l'a emporté.
« D'accord, t’as gagné. Emmenons-la dans ta chambre »
« OK, si tu es sage, je te laisserai me regarder la baiser »
« Hors de question que tu la baises » dis-je fermement. Mais j'ai regardé le visage extasié de Bérengère, la tête renversée en arrière, la bouche entr'ouverte quémandant ses baisers. J’ai pensé qu’elle pourrait se laisser faire. Mais je devrais m'occuper de cela plus tard. L’urgence, c’était de la sortir d'ici.
« Tu peux t'amuser sans la baiser. Rhabillons-la »
« Pas question. Je la veux nue sous son manteau. Juste ses chaussures et ses bijoux »
Au moins, il avait accepté de cesser de la tripoter. Alors, pendant qu'il aidait Bérengère à quitter ses vêtements, je récupérais ses affaires pour en faire un ballot, le tout replié dans sa jupe portefeuille qui m’a servi de sac. Nous avons aidé Bérengère a glisser ses bras dans les manches de son manteau. Puis ils se sont levés et ils sont sortis, enlacés comme deux amants. Je les suivais à deux pas derrière.
Le manteau était trop court. Il couvrait à peine son cul. Et cela ne l'a pas favorisée que Victor le remonte un peu avec le bras qu'il avait autour de sa taille. Les gens la suivaient des yeux, pendant que nous partions, le regard fixé sur ses jambes gainées de nylon, avec le manteau beaucoup trop haut pour cacher la dentelle en haut des bas. Merde, nous étions grillés.
Dans l'ascenseur, Victor se tenait derrière Bérengère. Il a ouvert son manteau pour lui pétrir les seins à deux mains. Le manteau glissa de ses épaules, le long de ses bras, avant de tomber au sol. Elle envoya ses deux mains derrière elle pour lui tripoter la bite. Ils ne se sont pas embrassés, ils me regardaient en souriant.
Bérengère m’a dit : « Il a une putain de bite, le double de la tienne ! »
Lorsque la porte de l'ascenseur s'est ouverte, Victor et Bérengère sont sortis, laissant le manteau par terre. Je me suis rapidement penché pour le ramasser, et me suis précipité derrière eux. En sortant, je me suis heurté à un gros type qui reculait pour entrer dans l'ascenseur. Il ne m'a même pas remarqué. Il était trop occupé à regarder ma femme nue dans les bras de Victor. Il lui caressait son cul nu en marchant dans le couloir.
Lorsque nous sommes entrés dans la chambre, Victor m’a dit : « Il y a du bourbon dans le frigo, Robert, sers-nous un verre »
« Oui, patron. Tout de suite, patron »
Cela fit rire Bérengère. Elle se tourna vers Victor : « Et moi, patron ? Que veux-tu que je fasse ? »
« Tu peux me divertir en dansant pour moi » dit Victor en cherchant une radio avec une musique sirupeuse. Ensuite, il se tourna vers elle et commença à se déshabiller.
Bérengère a fait ce qu'il lui demandait. Elle a ôté ses chaussures et s'est mise à danser au milieu de la pièce. Mais elle ne suivait pas la musique. Elle se penchait en avant pour agiter ses gros nichons en remuant ses fesses. Elle regardait Victor, la bouche ouverte, en se pourléchant les lèvres. Elle m’ignorait, je n’existais plus. Victor enfin nu, il s’est installé dans un fauteuil, jambes écartées, en disant à Bérengère :
« Viens danser ici »
Quand j’ai apporté son verre à Victor, il m'a dit : « Enlève tes vêtements, Robert. Et installe-toi dans l’autre fauteuil » Et à Bérengère : « Vas-y, secoue bien tes gros nichons »
En me déshabillant, je ne perdais pas une miette du spectacle. Penchée devant Robert, Bérengère agitait ses nichons avec ses mains, en surveillant la bite qui gonflait sur la cuisse du gars.
« Tu aimes ce que tu vois? » lui a demandé ce salopard.
Bérengère a craqué. Elle a lâché son sein pour poser sa main sur la bite de Robert, et la saisir fermement. Visiblement émue, elle s’est léchée les lèvres avant d’articuler faiblement :
« C'est énorme » Et ça l'était. Même pas dur, il était beaucoup plus long et plus gros que ma bite.
« Tu peux jouer avec, si tu veux »
« Pas question » répliquais-je.
« Alors, tu renies ta parole ? Tu as dit qu’on pouvait s'amuser tant que je ne la baisais pas. N'est-ce pas ? »
Merde. Je ne me souvenais pas exactement de mes paroles, mais ça y ressemblait, donc j'ai dû concéder le point : « Ouais. Ça y ressemble »
Bérengère intervint : « Donc, les règles sont … il peut faire tout ce qu'il veut, sauf mettre sa bite dans ma chatte. C'est bien ça ? »
J'ai hoché la tête : « C’est ça » Elle a rit, et j’ai eu un mauvais pressentiment. J’aurais dû réfléchir avant.
« D'accord » Elle a soulevé la bite de Victor.
Mais il l'a arrêtée : « Sans les mains. Juste ta bouche, tes lèvres et ta langue »
Bérengère aime les défis. Et elle aime jouer à toutes sortes de jeux. Elle posa ses mains sur les cuisses de Victor, juste au-dessus des genoux, et se pencha en avant jusqu'à ce que ses lèvres rencontrent la grosse bite. Elle déposa toute une série de baisers le long de sa tige, du gland jusqu’aux couilles, et fit le chemin du retour de la même manière. Ensuite, elle a fait courir sa langue sur toute la longueur, plusieurs fois. Puis elle a essayé de gober le gland dans sa bouche. Mais c'était trop gros pour elle. Alors elle s’acharna en utilisant sa langue et ses lèvres pour le positionner en travers de la jambe.
Finalement, elle l'aspira et leva les yeux vers lui, d'un air triomphal. Elle a essayé de faire entrer plus de bite dans sa bouche, sans succès. Ses yeux ont quitté ceux de Victor, et elle s’est aperçue de ma présence, nu près d’eux. Ses yeux sont descendus jusqu’à mon entrejambe, où ma main était occupée à tirer sur ma bite. Ça doit être difficile de rire avec une bite dans la bouche, mais elle a réussi à le faire. Son rire m’a fait mal.
Je suppose que ma présence, la regardant sucer la grosse bite de mon rival, l’a stimulée, parce qu’elle me jetait de fréquents coups d’œils en s’épuisant à essayer de faire rentrer plus de bite noire dans sa bouche. Cela ne l'aidait pas que sa queue s’allonge en même temps. Plusieurs fois, elle s’étouffa, elle a eu des réflexes nauséeux, mais elle se retirait avant de recommencer. Finalement, elle a réussi à gober la moitié de sa bite. Elle s’est retirée, gardant juste ses lèvres sur le bout de la bite, elle a soulevé son corps pour s’aligner, elle a fait monter de la salive dans sa bouche, puis elle s’est lancée dans une folle descente.
Elle l'a fait plusieurs fois et je pouvais voir sa gorge se dilater et se resserrer quand la grosse bite glissait dedans. Une fois qu'elle a réussi à l’enfoncer complètement, elle est restée quelques secondes le nez dans ses poils pubiens, avant de se retirer. Elle avait le visage écarlate, elle pantelait, la bave coulait de sa bouche, et elle avait des larmes plein les yeux. Elle leva les yeux vers Victor, hardiment, fière de sa performance.
« Sur les genoux » ordonna Victor en se levant.
Bérengère s’agenouilla et utilisa ses mains pour caresser sa queue et flatter ses bourses, pendant qu'elle suçait le gland. Ma position sur le fauteuil ne me donnait pas une excellente vue du spectacle, alors je suis venu m’accroupir tout près d’elle.
« Embrasse ton mari » ordonna Victor.
Elle a gardé ses mains sur la queue de Victor, pendant qu'elle se tournait pour m'embrasser. Le premier baiser était hésitant, juste du bout des lèvres. Mais ce n'était pas aussi dégoûtant que je le craignais, donc nous avons continué. Bouche ouverte, nos langues ont exploré la bouche de l'autre. C'était une expérience excitante. Son goût était différent, plus musqué, sa bouche était remplie de bave, et ses lèvres étaient plus chaudes qu’à l’accoutumée. Était-ce à cause de la chaleur de la bite de Victor ? Je me demandais si c'était cela quand on disait qu'une fille avait les lèvres brûlantes.
Victor a aidé Bérengère à se remettre sur ses pieds, puis il l’a couchée à plat dos en travers du lit. Puis il l'a tirée vers lui jusqu'à ce que son cul soit sur le bord du lit, jambes relevées et largement écartées. Penché sur elle, il a commencé à frotter sa bite entre les grandes lèvres de sa chatte.
J’ai protesté : « Hé, tu ne la baises pas, souviens-toi de ta promesse »
« C’est promis, je ne mettrais pas ma bite en elle »
C’est à ce moment que Bérengère est intervenue. Elle a relevé sa tête pour me regarder. Je peux dire qu’elle portait sur son visage les stigmates de la convoitise. Le regard impérieux, elle n’avait plus la force de me sourire : « Laisse-le faire. Je veux ressentir ce que c'est que d'avoir une très grosse bite dure en moi. Juste un peu, à l’entrée. Chéri, je t’en prie, dis oui »
Demandé ainsi, je ne pouvais pas refuser : « D'accord, mais juste un peu, à l’entrée »
Il a présenté sa bite, juste un peu en elle, la moitié du gland et s’est maintenu là, en attendant que ma femme cesse de panteler. Puis il a essayé de pousser un peu plus profond. Aussitôt, j’ai gueulé :
« Merde, tu n'es pas censé la baiser »
Mon intervention l’a distrait. Il a tourné la tête vers moi. Aussitôt, rapide comme l’éclair, Bérengère a enroulé ses jambes autour de ses reins pour l’attirer en elle. Un réflexe lui a fait pomper sa bite dans ma femme, la pénétrant par saccades successives. J’ai eu beau crier, il a continué :
« Détends-toi. Ça va lui faire mal si je pousse d'un seul coup »
Il plantait sa bite un peu en elle, puis se retirait presque complètement, avant de pousser un peu plus profond. À chaque pénétration, sa bite allait un peu plus profond, mais je pouvais voir qu'il se retenait,
Il était difficile pour moi de détacher mes yeux de cette grosse bite noire qui se frayait un chemin dans la chatte de ma femme, mais j'ai levé les yeux quand Bérengère a dit : « Mon Dieu, c'est énorme »
Puis : « C'est tellement bon, baise-moi fort »
J'ai regardé de nouveau pour voir que Victor l’avait pénétrée entièrement. Il bougeait lentement, se retirait presque entièrement, puis rentrait doucement jusqu'à ce que leurs pubis se rencontrent. Elle se cramponnait à lui en gémissant sourdement et ses yeux se révulsaient.
J’ai dis à Victor : « Arrête, maintenant. Nous avions un accord. Tu ne devais pas la baiser. Tu as assez mis ta bite en elle, retire-toi »
Les dents serrées, tout à son ouvrage, Victor n’a même pas tourné la tête vers moi pour me répondre. Il étudiait la physionomie de Bérengère : « Ce n'est pas une vraie baise, tant que je ne jouis pas en elle »
J'ai regardé le visage de Bérengère, mais elle n’était plus elle-même. Sa tête dodelinait de gauche à droite, la bouche ouverte, les yeux blancs, elle se délectait des sensations que lui procuraient cette très grosse bite qui la baisait.
J'ai cédé : « D'accord. Tu peux faire tout ce que tu veux à ma femme. Mais ne jouis pas en elle. Elle n’est pas protégée, et c'est sa période fertile »
« Merde » m’a dit Victor.
Je n'étais pas sûr de comprendre ce qu'il voulait dire, mais j'ai laissé tomber, afin de me concentrer sur le spectacle. Regarder ce macho viril baiser ma femme. Peu à peu, son rythme augmentant, les chocs entre leurs deux corps s’intensifiaient, et le sommier grinçait en cadence. Sa respiration devint plus lourde, plus laborieuse, accompagnée de grognements rauques. Bérengère a commencé à lui répondre, soulevant son bassin à sa rencontre, essayant de l'aider à la baiser plus fort. Ses gémissements et ses cris féminins étaient une musique douce à mes oreilles. Je ne l’avais jamais entendue exulter aussi bruyamment. Elle si discrète d’habitude, elle chantait son chant d’amour à pleins poumons.
Je n’existais plus pour Bérengère. Ses yeux tournés vers l’intérieur examinaient les sensations qu’elle découvrait. Elle était trop passionnée. Rien d’autre n’existait pour elle, rien d’autre que cette énorme bite qui ravageait ses chairs. Ce n’était plus un flirt, c’était la baise de sa vie.
« C'est ton jour de chance, Robert » grogna Victor en baisant furieusement ma femme : « Non seulement tu peux me regarder baiser ta femme, mais tu vas me voir la mettre en cloque »
Merde. Trop tard. Je l’ai vu se crisper sur elle. J’ai vu ses fesses se contracter, et son corps trembler, tandis qu'il déchargeait de longues giclées de sperme en elle. Finalement, il a cessé de bouger, et ils se sont embrassés longuement, passionnément. Elle le retenait en elle, les jambes nouées autour de ses reins. Ses mains caressaient amoureusement les épaules et la nuque du mâle qui venait de lui donner autant de plaisir.
Après un long moment, il s’est dégagé de l’étreinte de Bérengère, il a regardé autour de lui comme s’il revenait d’un long voyage, il m’a vu à côté de lui, caressant ma bite toujours dressée :
« D'accord, mec » dit-il en se levant : « À ton tour »
Mais alors que je me positionnais entre ses jambes, Bérengère m’a repoussé :
« Non. Pas toi. Pas maintenant. J’ai besoin que tu me nettoies d’abord »
J'ai baissé les yeux sur sa chatte. Elle était rouge et boursouflée. Le sperme s’échappait à gros bouillon.
« Tu plaisantes. Je ne vais pas te bouffer la chatte maintenant »
« S'il te plaît, chéri. Fais-moi minette. Nettoie-moi, sinon je vais être enceinte. S’il te plaît, occupe-toi de ta salope de femme. Bouffe-moi la chatte. Allez, chéri, fais un effort »
« Merde » Au début, je ne pensais pas pouvoir le faire, mais quand je me suis approché, j'ai senti l'odeur de son sperme. J'ai adoré. J'ai posé ma bouche sur sa chatte, et je l'ai léchée. C'était pas si mauvais. La partie la plus difficile, c’était d’avaler les grosses gouttes filandreuses qui glissaient dans ma gorge.
Elle a commencé à gémir et à se soulever : « Oui, oh oui. Suce, suce bien le sperme de Victor dans la chatte de ta salope de femme »
Elle a grogné et gémi, puis son corps s'est mis à trembler. J’ai compris qu’elle jouissait, mais c’était moins évident que sous l’assaut de Victor. Sa chatte se refermant, je savais qu'elle n’avait plus de sperme. Je me suis redressé et j’ai essuyé ma bouche avec le revers de ma main, et je me suis remis en position pour la baiser. Elle s'est éloignée de moi en roulant jusqu'au centre du lit :
« Non. Venez vous allongez ici, à mes côtés. Maintenant »
Nous nous sommes allongés de chaque côté, tout contre elle. Elle s'est tournée pour faire face à Victor et l'embrasser amoureusement.
J’ai protesté bruyamment : « Hé, et moi ? »
Elle roula sur Victor pour le chevaucher. Elle l'embrassa à nouveau avant de me regarder. Elle respirait toujours fort, mais je pouvais voir son sourire revenir lorsqu'elle m’a dit:
« Je veux te voir te branler pendant que je baise Victor »
Alors, je me suis allongé à côté d'eux et j'ai recommencé à me masturber. Elle s'est assise à califourchon sur Victor pour qu'il puisse lui caresser les seins pendant qu'elle me regardait. Elle s’est empalée sur lui et elle a commencé à onduler des hanches. Victor, qui avait gardé le silence jusque là, prit la parole :
« Alors tu aimes te faire baiser devant ton mari ? » demanda-t-il.
« Oui, ça mets du sel dans l’existence. Espèce de salopard, tu m'as probablement mise en cloque »
« Et alors ? »
« Je voudrais fonder une famille. Et Robert ne peut pas jouir en moi. Alors peut-être que tu pourrais ajouter une dose ? »
Cela m'a stupéfait. J'ai tiré ma charge en l'air.
Ensuite, les choses se sont enchaînées favorablement pour moi. J'ai obtenu le poste de responsable du développement pour le nouveau programme. J’ai eu carte blanche pour choisir mes collaborateurs. J’ai choisi les meilleurs : Victor, André, Léon et Michel travaillent tous avec moi. Je pense qu'ils aiment ça, parce qu’il y a une bonne ambiance, et que la paye est bonne. Le bonus, c’est qu’ils peuvent baiser ma femme à tour de rôle.
Bientôt, Bérengère va accoucher de son premier bébé. Nous devrons faire une pause. Ensuite, disons dans une paire d’année, nous essaierons d’avoir un deuxième enfant. Peu importe la couleur de peau.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Une très belle histoire candauliste, merciii
A part mettre ma femme enceinte, tout le reste me rappelle nos trios avec mon meilleur ami. Après plusieurs trios, Bernard nous a demandé s'il pouvait venir pendant mes absences professionnelles, bien sûr, j'ai accepté. Pendant 3 mois, dès mes absences, il venait à partir de 22h. En arrivant et en repartant, il lui faisait la bise en tant qu'ami puis au lit ils baisaient très fort.
Bonsoir Tamalou et merci pour ce récit érotique bien écrit (ce qui ne gâche rien) pour le candauliste que je suis
depuis plus de 5 décennies. Didier
depuis plus de 5 décennies. Didier