Salem, homme de couleur, marchant ambulant dans les ruelles de la médina (1)

- Par l'auteur HDS Noura -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Salem, homme de couleur, marchant ambulant dans les ruelles de la médina (1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-06-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Salem, homme de couleur, marchant ambulant dans les ruelles de la médina (1)
Je m’appelle Salem, homme de couleur comme on dit et âgé de 40 ans et je suis marchant ambulant de vêtements divers en majorité féminins, de petits ustensiles de cuisine, de jouets divers pour enfants et quelques sachets de bonbons. C’est avec ma grande charrette, à grosses roues et pleine de marchandise tirée par mon âne que je circule, très peu en ville, mais surtout, dans les cités à grands bâtiments populaires, loin du centre ville. Et, ce que je préfère le plus, c’est la périphérie populaire, avec ses quartiers anciens pleins de maisons traditionnelles, avec chacune un jardin adjacent et des ruelles ombragées, de longs couloirs couverts protégeant parfois trois à quatre maisonnettes. Ces rues et ruelles étroites, sinueuses longées de petites maisons au contenu mystérieux et où on peut trouver des clients parmi les gamins et gamines mais surtout parmi les femmes d’intérieur. Elles ont besoin d’une robe, d’un châle et même d’un sous vêtement à bon marché et elles le trouvent chez moi, Salem, l’africain, l’étranger noir, au corps puissant et plein de mystère sexuel et érotique, et juste devant leur porte ou leur sombre couloir presque intime, où elles peuvent entre ouvrir leur porte où même y sortir à l’abri de la rue extérieure. Elles ont besoin d’une casserole car la leur a cassé son bras, ou des jouets et cadeaux pour leurs enfants ou, plus secrètement, de sous vêtements. Comme je savais cela, je pouvais tout vendre, du nouveau à l’occasion en bon état et pas cher, tout à bon marché et à proximité, après marchandage ou même discussions pleines de confidences. Je peut aussi acheter, récupérer ou échanger des vêtements, surtout de femmes, encore remplies de leurs odeurs et de leurs sueurs.
Après quelques années de ce travail, je connaissait presque la majorité des enfants et des familles des cités et des quartiers périphériques. Mais je connaissait surtout mes clientes dont certaines, surtout veuves ou épouses délaissées sexuellement parleurs époux et que que j’ai souvent baisé avec mon gros zeb noir aux veines gonflées et qui a ensemencé plusieurs d’entre elles de ses abondantes éjaculations. J’ai eu des célibataires pour un slip ou un soutien, des veuves et surtout des femmes mariées jeunes ou âgées qui étaient folles de mon zeb. La plupart n’avaient jamais baisé avec un homme de couleur mais fantasmaient sur la grosseur, la longueur et la lourdeur du zob noir. Et quant je leur montrais mon zeb si long et si épais, elles ne pouvaient plus s’en passer. Les veuves, grâce à leur large liberté d’action et que je baisais souvent à l’intérieur de leur maison, sur le grand lit de leur défunt époux, voulaient toujours me garder juste pour elles, chaque nuit comme un mari, mais moi, je refusais avec diplomatie et gardais ma liberté de choix, sans couper les ponts, surtout quant elles sont jeunes avec des chattes et des Terma encore chaudes et affamées. Donner du plaisir puis prendre ma liberté, c’était ma devise.
Par contre, pour les femmes encore mariées, j’ai toujours été étonné des stratagèmes qu’elles trouvaient pour profiter de ma queue. Souvent, elles attendaient le départ de l’époux au travail et des enfants à l’école, pour me faire infiltrer dans leur maison et baiser sur le lit conjugal. Par sécurité je voulais baiser seulement dans l’entrée, pour fuir rapidement le cas échéant, mais elles trouvaient un plus de plaisirs en baisant dans sur le lit conjugal encore chaud du corps de leurs époux, et elles me disent et ça amplifie les désirs de mon zob. Mais aussi, parce que certaines y trouvent, sur le grand lit conjugal, des positions et des fantasmes qu’elles n’oseront jamais avec leur mari. Et moi, Salem l’Africain et son gros zeb noir et épais, nous sommes toujours preneurs. Parfois, quant le mari doit s’absente hors de la ville pour quelques jours et nuits, elles m’invitent non seulement dans la journée mais souvent toute la nuit surtout si elles n’ont pas d’enfant ou ce sont seulement des bébés. J’allais garer mon chariot et mon âne chez moi, puis je retournais chez la femme, pour la nuit, jusqu’à l’aube ou plus. Certaines m’offrent de l’argent ou un bijou, que j’acceptais parfois juste pour ne pas les fâcher, et j’agrémentais ce don souvent en faisant danser la dame sur mon zob, étant moi-même allongé sur le lit. Mais souvent je refusais car je ne considérais pas les réjouissances et jouissances de mon zeb et de mes couilles comme marchandise, mais comme plaisirs et délivrances sexuelles de ces femmes, dont, hélas, les maris n’arrivent pas à les satisfaire sur le lit conjugal. J’avoue que j’ai toujours préféré, aux célibataires et aux veuves, les femmes mariée délaissées par leur mari, alors je les satisfais sans compter en faisant chanter de plaisirs leurs chattes et, parfois, aussi leurs Terma. Certaines, que que j’arrive à visiter presque régulièrement, une fois par semaine où parfois pendant plusieurs nuits de suite en l’absence du mari, celles là me considèrent presque comme vrai et premier mari, bien avant leur légitime époux. Elles m’avouent que, ce n’était qu’avec moi seulement, qu’elles satisfont vraiment leur liberté de femme entière, qu’elles savourent leurs orgasmes complets, sans retenue et qu’elles peuvent crier et hurler leurs plaisirs et leurs jouissances sans gêne ni contrainte. Ainsi, j’arrivais à me considérer comme une sorte de mari multiple, un héro dont le gros zeb n’a jamais heureusement faibli et a toujours été à la hauteur des désirs de mes amantes.
Mais j’ai eu aussi quelques problèmes. Deux ou trois fois, j’ai été obligé de m’échapper en douceur du lit des plaisirs, à cause de l’arrivée inopinée d’un mari ou d’un parent de la femme. Mais, heureusement, en majorité j’ai réussi à me tirer d’affaire, toujours avec la complicité de l épouse concernée. Une fois, en récupérant en vitesse mon pantalon, j’ai oublié mon slip et ce n’est qu’à la fois suivante, la femme, qui l’avait caché, me l’a montré comme un trophée des plaisirs de sa chatte contre son mari. Mais j’ai eu quant même quelques problèmes, au moins deux fois en tout cas. La première, c’était avec une jeune étudiante d’une vingtaine d’années. J’avais souvent l’habitude de baiser sa mère, en cachette et en absence du mari et de sa fille. Mais un jour, sa mère a mal calculé et l’étudiante nous a surprit en pleine action de baise, et tout nus, sur le lit conjugal. Elle avait du d’abord nous espionner, j’étais sur qu’elle a bien observé mon zob qui pénétrait la chatte de sa mère, et a en été impressionnée et charmée. Je l’ai su par la suite quant elle m’a avoué qu’elle a eu tut de suite envie de ce gros zob noir et gonflé qui faisait hurler sa mère, de jouissances. Elle s’est éloigné pour ne pas être découverte par sa mère et a attendu que je sois dans la rue pour m’aborder. Quoique surpris et même effrayé, j’allais m’excuser que c’était la faute de sa mère, mais elle m’a retenu en m’avouant que c’était surtout la faute à son père, trop souvent absent et délaissant sa femme, et qu’elle était contente pour sa mère d’avoir un peu de plaisir et de joie avec le gros zob noir et puissant qu’elle avait admiré. En disant cela avec un sourire complice, cela m’a rassuré. Mais elle a exigé que je la baise elle aussi sinon, son père sera informé des faits de sa mère. Ma foi, je n’ai jamais dit non à une chatte, d’autant plus qu’elle m’a avoué être déjà dépucelée depuis bien longtemps et qu’elle baisait de temps à autre avec son fiancé, étudiant lui aussi. Comme je ne pouvais pas le faire dans leur maison, je l’ai amené chez moi plusieurs fois. J’ai oublié de vous dire que j’habitais une vielle petite maison de la périphérie possédant deux chambrettes et un jardin avec quelques arbres fruitiers et une petite écurie pour mon âne. En réalité, ce n’était pas à moi, mais à un grand commerçant de la ville, qui me l’a confiée, avec un petit salaire, pour gardiennage, surtout la nuit et l’entretien des arbres et du jardin. C’est la où j’ai amené l’étudiante, et chaque fois qu’elle me contactait pour satisfaire sa chatte, je lui donnais une large « 3baya » (djellaba)traditionnelle pour la camoufler dans la rue. Elle a même réussi par deux fois, en l’absence de ses parents invités toute la nuit à une fête familiale, à m’amener pour la baiser chez eux, comme sa mère et sur le grand lit, une bonne partie de la nuit.
Ensuite elle a fréquenté un camarade étudiant, et rapidement ils ont couché ensemble. Leurs relations se sont approfondies, par le sexe mais surtout par amour de jeunes, alors elle m’a quittée. Cela a duré deux années pour s’aimer, finir leurs études, commencer à travailler et officialiser leur liaison pour se marier normalement et avoir un bébé. Mais sa chatte n’a pas oublié mon zeb et la jeune mère m’a recontactée pour baiser dans mon jardin comme avant. Je le dit souvent, sans vantardise, une chatte ou une Terma, qui goute mon zeb ne peut plus l’oublier ni s’en passer.Et comme ni moi ni mon zeb, nous ne disons jamais non, rapidement elle a retrouvé le gout profond de mes vigoureuses étreintes. Au point qu’elle a même réussi à me convaincre, un jour, en l’absence de son jeune mari, de la baiser sur leur lit conjugal et avec le bébé qui dormait à coté. Et juste après, alors que je venais juste de sortir de la maison et commençais à m’éloigner, voila que son jeune mari qui arrivait avec sa voiture. Nous étions seuls dans cette rue. Il m’a vu et observé curieusement, mais heureusement qu’il ne me connaissait pas. De plus, un semblant de SDF et de couleur n’était pas intéressant alors il m’a négligé. Cette baise fut, à mon sens, une erreur et mon premier accroc dans mes joutes sexuelles et dorénavant la chatte de la jeune femme devait s’inviter dans mon jardin.
Le second problème sérieux, que j’ai eu, ce fut avec une femme mariée. Elle était chaude et enflammée par mon zeb et surtout par l’abondance de ses éjaculations. Elle prenait toujours ses pilules et sa poudre de henné car elle m’obligeait à éjaculer à l’intérieur de sa chatte et de son cul, le cas échéant. Mais ce jour là, elle avait oublié ou ce n’était pas assez suffisant contre la puissance de ma semence. Quelques jours plus tard, elle semblait avoir ressenti les approches des envies de la femme enceinte, alors qu’elle ne couchait plus avec son mari depuis bien longtemps. Elle m’en a parlé et je l’ai convaincu de reprendre ses relations sexuelles avec son mari, de le pousser à éjaculer chaque soir en elle et de garder sa semence en elle toute la nuit et ne se doucher que le matin. On a suivi mes conseils et on arrêté nos relations quelques temps. Et ça a marché, elle a été bien enceinte et quelques mois plus tard, elle accouché d’une fille. Celle-ci était assez brune alors que la femme et son mari étaient de teint clair. C’était certain que l’enfant était de moi, mais la chose est passée facilement sous le nez du mari qui était content de retrouver des relations étroites avec sa femme. Mais celle-ci, toujours ensorcelée par mon zeb n’a jamais voulu arrêter ses relations avec moi, même quant elle était largement enceinte avec un ventre bien rond. Je la baisais et je l’enculais sur le coté, sans problème car la longueur de ma queue pouvait satisfaire à n’importe quelle position.

La dernière de mes aventures, ce fut en pleine journée de juin. Pour me reposer du soleil et de la chaleur, je me suis arrêté dans une ruelle, bien ombragée par les arbres qui pendaient de part et d’autre, des jardins. J’ai enlevé ma large gandourah que j’ai étalé par terre, sous ma charrette et, torse nu, je me suis allongé pour gouter le silence et la solitude de la ruelle. Dans la ruelle étroite et vide, de l’autre coté de ma charrette, à moins de deux mètres, j’ai entendu des bruits légers sur la porte de la maison juste en face. Pensent que c’était un animal, un chat peut-être, je ne me suis pas inquiété. Mais soudain, la porte bougea lentement pour s’entre ouvrir un peu. Sur mes gardes, je me sui soulevé un peu pour voir ce qu’il en est. C’est alors que je vis un grand œil noir et fardé dans le bâillement de la porte. Me levant avec précautions, j’ai jeté des coups d’œil à droite et à gauche mais la ruelle était déserte. Me rapprochant de la porte, j’ai avancé mon visage de l’œil indiscret et, avec un large sourire, j’ai chuchoté un bonjour. Je ne savais pas à qui appartenait ce grand œil fardé mais j’étais sûr qu’il était féminin. Immédiatement mon zeb gonfla sous le pantalon. Comme vous le savez, j’avais un large pantalon arabe pour être à l’aise et je ne portais jamais de slip. Donc dès que mon zeb gonfla, il forma un gros chapiteau au niveau de ma braguette. J’ai constaté que le regard de l’œil s’était déplacé de mon visage vers le bas, vers la braguette gonflée. Je savait maintenant que c’était une femme ou une grande fille. J’ai répété le bonjour et elle m’a répondu de même avec aussi un chuchotement complice. J’ai avancé pour montrer ma poitrine nue et légèrement brillante de sueur mais j’ai aussi dégagé vers l’avant mon bas ventre juste devant l’œil inquisiteur.
Puis, je me mis un peu sur le coté pour montrer le long profil de mon zeb qui était maintenant totalement bandé et pointait même un peu vers le haut. Image excitante qui toucha la femme dont j’entendais maintenant le souffle accéléré et haletant. Pour amplifier son désir, j’ai un peu secoué mon bassin et mon zeb bougea à droite et à gauche avec la toile du pantalon. Soudain la porte s’ouvrit encore plus pour laisser apparaitre la femme.
Elle était en robe de maison, large et ample pour évacuer la chaleur et j’étais sur qu’elle devait être totalement nue par-dessous et je grognais de désir. Elle m’entendit grogner et son regard plongea encore vers ma braguette. Alors, encouragé, j’ai plongé ma main dans ma braguette et en un éclair, j’ai sorti mon gros et large zeb noir et gonflé.

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