Sandrine ma cousine américaine

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Récit libertin : Sandrine ma cousine américaine Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-05-2023 dans la catégorie Pour la première fois
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Sandrine ma cousine américaine
J'ai changé les prénoms des protagonistes de cette histoire.

C'est une histoire qui concerne ma cousine et moi. Elle s’appelle Sandrine et moi Christophe.

Nous ne connaissions très peu, car elle habitait aux États-Unis et moi en France. Ses parents et les miens ne s’entendaient pas bien et ce qui nous a empêcher de nous rencontrer bien avant.

A ses 18 ans, Sandrine avait voulu faire un voyage en France pour reprendre contact avec la partie française de sa famille. On avait discuter sur les réseaux sociaux avant qu’elle n’arrive. J’ai pu voir au travers de ses posts que Sandrine avait un corps de rêve. Elle possédait une belle poitrine généreuse et aussi de belles fesses. Elle postait souvent des photos d’elle en bikini. Sa vie à Miami semblait vraiment agréable.
J’avais 20 ans et mon petit studio d’étudiant. Ne sachant pas comment mes parents allaient réagir, j’avais proposé à Sandrine de l’héberger le temps de son voyage.

Je suis donc allé la chercher à l’aéroport. En l’attendant, je ne pouvais pas m’empêcher de regarder ses photos. J’avais du mal à retenir un début d’érection. Je l’ai reconnu directement quand nos regards se sont croisés. Elle portait une robe bleu ciel léger avec de fines bretelles. Sa tenue la rendait terriblement sexy. Son teint était légèrement hâlé. On se fît la bise et par galanterie, je lui ai proposé de porter ses bagages. La demoiselle ne voyageait pas léger.

On est monté dans ma voiture pour rejoindre mon studio. On s’est mis à discuter de tout et de rien. Je la sentais fatiguée par le décalage horaire. Une fois arrivé devant la porte de mon studio, Sandrine s’est toute de suite affalée dans le canapé. Je suis allé mettre ses bagages dans ma chambre. Je lui servi un verre de jus d’orange.
- Chris, j'ai envie de prendre une douche, ça ne te dérange pas ? me demanda-t-elle.
- Non, vas-y bien sûr. Tu es ici pour 2 semaines. On aura toute le temps pour discuter plus tard. Lui répondis-je.
Elle alla donc dans ma chambre pour prendre ses affaires. En sortant de ma chambre, elle portait une serviette autour d’elle. Je ne pouvais pas m’empêcher de l’imaginer nue en dessous. Quand elle est entrée dans la salle de bain, j’ai eu une envie irrépressible d’aller fouiller dans ses affaires. Sandrine possédait une belle collection de strings et de soutien-gorges en dentelle de toutes les couleurs. Je n’ai pas pu m’empêcher de mettre une de ses strings sur ma queue pour me masturber. Je bandait comme un âne. Ça n’avait pas duré longtemps car j’avais peur de me faire surprendre mais j’étais vraiment excité.
Elle sortit de la salle de bain avec sa serviette autour d’elle avec ses cheveux blonds mouillés. Ça la rendait encore plus sexy et désirable. Elle alla dans ma chambre pour se changer. La porte de ma chambre était restée légèrement entrouverte. Elle a fait tomber sa serviette et comme elle me tournait le dos, j’ai pu admirer son joli cul et son bassin bien cambré. Je continuai toujours à bander. Elle mit le string que j’avais utilisé quelques minutes avant pour me masturber. Il était en dentelle noire. Elle mit le soutien-gorge associé. Par-dessus sa lingerie, Sandrine portait une robe blanche courte à fleur.
Sandrine est entré dans le salon.
- Chris, où est-ce que je vais dormir ?, me demanda Sandrine.
- Je vais te laisser mon lit. Les draps sont propres. J’irais dormir sur le canapé. Lui répondis-je.
- Merci. Elle me fit un petit bisous sur la joue.

Depuis qu'elle était entré, je n’avais qu’une envie, c’était de coucher avec elle.

On s’est collé dans le canapé devant la télévision. Sandrine sembla vraiment fatiguée et elle avait posé sa tête sur mon épaule. Je pouvais glisser mon regard dans son décolleté, je voyais son soutien-gorge. Mon érection était toujours là.
- Chris, je suis vraiment crevée, je vais aller faire une sieste, me dit Sandrine.
- Vas-y. De toute façon, je dois aller faire quelques courses.

Sandrine entra dans la chambre. Elle enleva sa robe ainsi que son soutien-gorge. Je ne ratais rien du spectacle, caché derrière la porte de ma chambre. Elle s’allongea sur le ventre presque nue sur mon lit.

Je suis allé ouvrir la porte d’entrée la laissa croire que j’étais sorti.
Je suis vite revenu derrière la porte de ma chambre pour l’espionner. Sandrine s’était mise sur le lit et elle avait enlevé son string. Elle s’est mise à se caresser sa belle poitrine (un joli 90B) ainsi que son sexe glabre. Je n’avais pas pu m’empêcher de me masturber. J’avais juste sorti ma queue de mon short pour me branler. Sandrine avait les yeux fermés. Ses légers soupirs et ses caresses sur mon corps faisaient monter en moi encore plus d’excitation.

En quelques minutes, je sentis que mon gland avait envie de libérer ma semence. J’ai saisi en urgence un mouchoir. Sandrine se caressait le clitoris et elle suçait ses tétons. Je n’arrivais plus à me contrôler. Je n’ai pas tenu très longtemps avant de décharger mon sperme dans le mouchoir. A son tour, le corps de Sandrine se raidit, signe qu’elle était sur le point d’avoir un orgasme. Sandrine suça ses doigts après ces derniers gémissements. J’aurais bien voulu que ce soit ma queue à la place de ses doigts. Elle remit son string. Elle s’était à nouveau remise sur le ventre pour faire sa sieste. Je n’en revenais pas d’avoir vue ma cousine se faire du bien sur mon lit.

Je suis resté tranquille pendant près d’une demi-heure dans mon canapé. J’avais à nouveau fait sembler d’entrer et sortir de mon studio.
Malgré le fait de m’être branlé , je n’ai pas pu m’empêcher de ressortir ma queue pour me masturber devant un film porno. C’était un couple d’une vingtaine d’années qui baisait dans un champ et qui était espionné par un vieux pervers qui se masturbait frénétiquement au loin. Je me branlais à fond en imaginant que c’était Sandrine et moi dans ce champ. J’avais relevé mon t-shirt pour répandre mon sperme sur mon ventre. Au moment de jouir, j’ai lâché le prénom de Sandrine. J’ai couvert mon ventre de sperme. Ça m’avait fait un bien fou.
- Ne te gênes pas, cousin. Fais toi tu bien, me lança Sandrine.
- Pardon, Sandrine. Je croyais que tu dormais.
- Tu te branles souvent en disant mon prénom?
J’avais bafouille. Sandrine portait a nouveau sa robe.
- Non je te promets, Sandrine. J’avais rangé ma queue tout en précipitation.
- Tu es un sacré coquin, toi, me dit-elle.
- Pardon, Sandrine. Je n’aurais pas du faire ça.
- En tout cas, la nature t’à gâté.
J’étais rouge de honte.
- Ça fait longtemps que tu es célibataire, Chris ?
- Presque un an, lui avouais-je.
- Donc, tu l’as en fait en vrai, toi ?
- De quoi tu parles Sandrine ?
- L’amour, tiens !!! Moi, je suis encore vierge.
- Comment une fille aussi belle que toi peut-elle être encore vierge, Sandrine ?
- Merci pour le compliment, cousin. J’ai eu des copains mais on a jamais rien fait. Mes parents ne m’ont jamais autorisé à ramener un mec à la maison.
- Même pas une petite branlette ? Lui dis-je en souriant.
- Et toi le branleur, tu as eu combien de conquêtes ?
- 2 dont une prostituée à Amsterdam. C’est d’ailleurs elle qui m’à dépucelé.
Je n’ai pas voulu lui avouer que j’avais avaient connu 5 filles dont la première au collège.
- Et l’autre c’était qui ?
- Une fille rencontrée à la fac.
- Ah, d’accord. Donc tu n’as jamais ça avec une fille qui ne l’a jamais fait ?
- Non, Sandrine.
- Je peux te demander un truc, Chris ?
- J’écoute toujours les jolies filles. Dis-moi.
- On est quand même cousins mais j’aimerais le faire avec toi.
- Tu es sûre, Sandrine ?
- Depuis que j’ai repris contact avec toi, je me suis souvent caressée en pensant à toi, Chris.
- Pour être honnête, Sandrine, tes photos en bikini ont été souvent la source de mes plaisirs solitaires.
Sandrine m’avait rejoint sur le canapé. Elle m’avait embrassé timidement sur les lèvres.
- On devrait faire ça plutôt dans mon lit, Sandrine.
On s’était dirigé dans ma chambre.
- Enlèves ta robe et allonges toi sur le lit, Sandrine. Tu mets souvent de la lingerie en dentelle ?
- Oui de temps en temps, Chris. Tu aimes, toi ?
- Oui, bien sûr, lui répondis-je tout en caressant son ventre du bout de mes doigts.
Quand j’avais commencé à effleurer le haut de son string, Sandrine avait eu un petit mouvement de retard.
- Tu ne dois pas avoir peur comme çà, Sandrine.
- Ce n’est pas de la peur que je ressens mais comme c’est la première fois que je me retrouve presque nue devant un mec, je trouve ça troublant.

Je n’ai pas osé lui dire que lors qu’elle était en bikini, c’était presque la même chose.

- Tu veux caresser ma queue par-dessus mon short, Sandrine ?
- Euh… oui. Tu bandes comme toute à l’heure ?
- Tu n’as qu’à toucher, Sandrine.
Sandrine glissa directement sa main sous mon short et mon boxer.
- Je te fais pas d’effet, on dirait, me dit-elle.
- Laisses-moi enlever mon short et mon boxer et tu vas voir que tu vas la rendre plus dure.
- Chris, je la sens grossir. Elle est toute chaude.

J’avais glissé ma main sous son string. Elle serra les cuisses instinctivement.
- Je veux te caresser le clitoris, Sandrine. Je ne veux que ton plaisir.
- Je n’ai jamais laissé un mec faire çà. Je te fais confiance.
- Tu es un peu mouillée, Sandrine.
- Le fait que tu me caresses et que je touche ta queue m’excite, j’avoue.
J’avais à peine toucher le clitoris de Sandrine, qu’elle s’est mise à pousser de petits gémissements.

- Ta queue commence à durcir, Chris.
- J’aime sentir ta fente lisse du bout de mes doigts. Tu es si excitante.
- Qu’est ce que je peux faire pour rendre ta queue encore plus dure ?
- Tu n’as que me sucer. Tu vas voir ce n’est pas difficile.

Elle posa ses lèvres sur mon gland timidement et sortit sa langue pour en faire le tour.

- Pas mal, cousine. Branles-moi lentement et mets mon gland dans ta bouche et continues à jouer avec ta langue autour de mon gland. Continues encore un petit peu et après c’est moi qui vais m’occuper de toi.

Je lui ai enlevé son string et j’ai mis ma tête entre ses cuisses.

- Eh bien, Sandrine tu mouilles bien. Je vais te goûter.
Mon pouce s’occupait de son petit bouton de plaire. Ma langue passait entre les fines lèvres de son sexe. Je n’ai pas pu m’empêcher de glisser un doigt à l’entrée de son vagin. Du bout de mon doigt, je pouvais ressentir son hymen.

- C’est bon ce que tu me fais, Chris. Continues.
Je goutais à sa mouille avec délectation.
- Tu te sens prête, Sandrine ?
- Euh…oui. Mais promets moi d’être doux, Chris.
- Bien sûr, Sandrine.
Je me suis allongé au dessus de Sandrine. J’ai posé un coude près de son visage. De ma main libre, j’ai frotté mon gland le long de sa fente lisse et humide.
- Il paraît que ça fait mal.
- Je vais y aller doucement pour que ça se passe bien. Embrasses-moi.

J’ai entré le bout de mon gland en elle quand soudain elle me repoussa en posant une de ses mains sur mon ventre.
- Je t’aime Sandrine, laisses-moi faire.
Mon gland heurta son hymen. J’ai planté mon regard dans ses yeux quand d’un coup de rein appuyé j’ai franchi sa petite paroi.
- Chris, aaaiieee, ça fait maaaal !!!
- T’inquiètes ça ira mieux bientôt.

Je sentis les parois serrées de son vagin. C’était un vrai régal pour moi. J’avais rentré la moitié de ma queue en elle. Je bougeai légèrement.
- Oui Chris , je te sens en moi. Ooh c’est bon.

De petites larmes coulaient aux coins de ses yeux. Je les ai essuyé du bout de mes doigts. Je continuai mes vas et viens en elle tout en essayant d’aller toujours plus loin.

- Mmm Chris. Pas si vite. J’ai encore un peu mal.
Je suis restée en elle sans bouger quelques instants avant de bouger à nouveau en elle.
- Chris, vas y c’est si bon.
Je pouvais ressentir les contractions de son vagin autour de sa queue. Sandrine gémissait sous mes coups de reins. Je sentais à mon tour mon plaisir monter.
- Je vais jouir, Sandrine.
- Attends un peu, je veux jouir aussi, Chris.
- Aaah Sandrine. Ça vient. Je vais jouir sur ton ventre.
- Nooon restes en moi, Chris. Je vais jouir mmm.

Dans un râle de plaisir, je ne pu retenir mon orgasme et j’ai répandu mon sperme au fond de son vagin.

- Ça va, Sandrine ?
- Oui, merci, Chris.
On est resté quelques minutes dans les bras l’un de l’autre avant d’aller prendre une douche.

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