Se laisser surprendre

- Par l'auteur HDS Passud -
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Récit libertin : Se laisser surprendre Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-12-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Se laisser surprendre
1983. Je suis embauché depuis 2 ans dans une entreprise, c'est l'époque, ou je vis encore très mal, mon penchant pour le sexe avec les hommes mûrs.

Cela doit faire 1 ans et demi, que je me suis fait dépuceler par un homme très endurant.
C'est un souci, puisque j'ai du mal à retrouver un homme comme lui.

Les inconnus qui me baisent au cinéma, ou en extérieur, n'aiment pas prendre leur temps.
Ils se vident les couilles, et me laissent avec l'anus rempli de leurs semences, sans se retourner.
Il y a un certain plaisir à tout ça, mais ça reste très frustrant aussi.
Je n'en retire qu'un plaisir cérébral, celui d'avoir laissé un homme abuser de mon corps juvénile.

Même si je comprend que ce n'est pas l'endroit idéal, pour qu'un homme prenne son temps avec moi !
J'ai envie qu'un homme me possède, comme je baise ma copine.
Il faut que ça dure au moins une demi heure, pas 5 minutes!
Je rêve d'une relation suivie, qu'un homme m'invite chez lui, ou ailleurs.
Je veux me faire prendre dans toutes les positions possibles.

Ce lundi là, j'ai encore mes expériences du Dimanche au cinéma porno, dans la tête.
Les fellations juteuses, et très jouissives, mais aussi les sodomies trop courtes des autres.

Il a fallu attendre un heureux hasard, pour que je sois l'objet d'un regroupement autour de moi.
Le cumul des 7 inconnus, dont 5 m'ont surtout enculé, m'a enfin fait atteindre les orgasmes que j'attendais.

Je bosse toute la journée, en ayant un peu la tête dans mes frasques sexuelles.
Quelques fois, les plaisanteries d'un pote me sortent de mes pensées.
La fin de journée arrive, puis le contremaitre me propose de me ramener.
Il l'a souvent fait, donc j'accepte.

Quand je pose mes fesses dans le véhicule, il me demande:

"J'passe d'abord chez moi ! Ca te déranges pas ?".
"Euh... Non ! Mais vous allez faire la route deux fois !".
"Pas grave ! C'est mon problème !".

Arrivés devant chez lui, il me propose:

"Tu peux venir, ma femme est chez sa sœur ! J't'offre un verre ! Ca m'ferait plaisir !".
"Euh... Ok ! Merci, Monsieur R...".

Il me sourit, et je lui emboite le pas.
Je sirote une bière, alors qu'il disparait dans sa chambre.

"Tu peux prendre ta douche ici ! Si tu veux !". me dit-il de loin.
"Euh, ...non, je la prendrai chez moi !".

Je scrute les objets posés sur les meubles, puis je prend un livre, le repose, et ainsi de suite.
C'est l'époque des premiers magnétoscopes, ce qui me fait remarquer la présence d'une cassette VHS recouverte d'un livre.
Je le soulève, et suis surpris par la jaquette qui montre un jeune minet blanc, empalé sur la grosse bite d'un quarantenaire typé.

Je pense aussitôt (Merde ! Monsieur R... aime les jeunes lui aussi ! Putain, je le voyais pas comme ça ! Il doit le cacher à sa femme !).
Malheureusement, je n'ai pas le temps de reposer la jaquette.
Il me surprend et me demande:

"Ca te plairait de le regarder avec moi ?".
"Euh... je ...je sais pas !".

Il saisi les 2 télécommandes, puis allume l'écran de télé qui affiche directement le film.

Je suis tétanisé, mais en même temps, je me rend compte que je change de regard sur cet homme.
Comment n'ai je pas vu, qu'il entrait dans les critères, des hommes qui m'excitent.
Il a tout pour m'exciter, 55 ans, massif, avec un présence folle et dégageant une virilité indéniable.

Il est proche de moi, et je n'ose pas regarder sa main qui commence à masturber sa verge au travers de son pantalon.
Le minet du film est en train de se faire déformer la gorge par le quarantenaire.

"T'as déjà fait ça, toi ?".

Je ne réponds pas, mais il doit deviner que c'est le cas.
Puis, on assite à la mise en levrette du garçon, et au début de pénétration de la grosse bite, dans sa petite chatte.

"Hummmm ! Ca c'est trop bon ! J'adorerai le faire maintenant !".

Je suis pris d'un frisson étrange, qui me confirme que s'il insiste, je ne pourrai pas lui résister.
Il vient de poser sa main sur mes fesses.

"Monsieur R... Ca me gène ! Pas avec vous !".
"Mais non ! Soi pas si bête ! Allez laisses-toi faire !".

A partir de là, il me colle au dos de son canapé, puis baisse l'ensemble des vêtements qui lui barre l'accès à mon cul.
Je me tiens sur les coussins, par dessus le dos du canapé, mes pieds ne touchent plus le sol.
J'envoie la main en arrière, mais juste pour l'empêcher de me faire mal, tout en cambrant mon bassin.

Il crache sur ses doigts, puis colle sa grosse verge directement sur ma rosette, en s'accrochant à mes flancs.
Il m'investi en moins de dix poussées, puis se lance dans une saillie assumée, mais retenue.

"Orhhhhh ! Putain ! Jeune ! Dis-moi que t'aimes ça ! J'ai besoin que tu m'le dises !".
"Orhhhhh ! Oui, M'sieur R... ! C'est bon ! Encore !".
"Orhhh ! Depuis le temps que j'en ai envie ! Enfin, je le baise ton p'tit cul ! Putain, j'aurais du oser le faire plus tôt !".

Je le laisse dans ses réflexions, de mon coté, je sens monter mon premier orgasme anal.
J'étais loin d'imaginer que la bite de mon chef serait aussi large, et aussi bonne !

Il cogne puissamment au fond de ma jeune chatte.
J'ai l'impression d'être le minet du film, tant il cale ses assauts, sur ceux de l'acteur qui le défonce.

J'en peux plus, je porte ma main à ma bouche pour jouir dedans, en râlant.
Il ne ralenti pas, et m'emmène au bout de ma montée de plaisir.

Ensuite, il se calme un peu.
Il me recule, et penche davantage pour me placer en équerre.
Je me tiens sur le dos de canapé, et l'accompagne dans ses enfoncées.
"Orghhhhh ! Pascal ! Tu m'encaisses trop bien ! Je t'adore ! Il est trop bon ton p'tit cul !".
"Arghhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhh ! Monsieur R... C'est bonnnnnnnn ! Encorrrrrre ! Arghhhhhhhhhhh ! ...".

Au bout de quelques minutes délicieuses qui me procurent 3 orgasmes successifs, je lève les yeux pour voir le minet, qui se fait asperger toute la face, de sperme.
C'est à ce moment que mon chef est pris de secousses dans la verge.

"Orrrhhhhh ! ...Je jouis ! Orghhhhhhhhhhhh ! C'est bon ! Si tu savais ! Orghhhhhhhhhhh ! Orghhhhhhhhhhhhh !".

Comme j'ai assez joui, je lui permets de vivre pleinement son plaisir éjaculatoire.
Il prend son temps, et c'est pas pour me déplaire.

Puis il recule, et joue avec son gland, contre ma rosette élargie et spermée.
Il fait remonter le jus encore présent dans sa queue, pour s'essuyer le gland sur ma fesse droite.

"Hummmmm ! Putain ! Tu m'as bien fait jouir ! Merci Pascal ! Ca t'as plu, toi aussi ?".
"Euh... Je sais pas trop quoi en penser, désolé M'sieur R...!".
"Tu veux quelque chose pour t'essuyer ? Tu peux toujours prendre une douche aussi !".
"Euh ... Ma copine doit m'attendre, je suis déjà en retard ! Vous avez un mouchoir ?".

Finalement, il me tend un kleenex, puis je rentre chez moi, avec l'anus séché, mais avec la crainte des futures fuites.
J'éviterai le rapport sexuel avec elle, mais céderai à son envie de me sucer, jusqu'à éjaculation.
J'ai joui dans une véritable explosion, grâce à la sensibilité de ma prostate.

Les jours suivants, je ne savais plus comment réagir à ses regards et ses sourires lubriques.
Je pensais à sa femme, mais tout en ayant les souvenirs de notre échange de plaisir, qui m'a beaucoup plu.
Que faire ? Moi aussi, ça m'excitait d'être proche de lui.

Il m'abordera discrètement, à l'insu des autres:

"Excuses-moi pour l'autre jour, je m'en veux !".

Ma première pensée est logique, il n'a pas aimé notre échange.

"C'est ...C'est pas grave ! Monsieur R... On oublie ça !".
"Non, surtout pas ! Je m'en veux parce que je voulais que ça dure plus longtemps ! J'aimerai te prendre comme tu le mérites !".
"Ahh ! J'avais pas compris ça ! Mais c'était bien déjà !".
"Super ! Si, ça te dit de recommencer ! On peut se voir ailleurs ! J'ai les clés d'un appart, que je loue que l'été !".
"OK ! Avec plaisir !".
"Par contre, tu t'arranges avec ta copine ! Je trouverai une excuse pour ma femme !".
"OK !".
"Putain ! J'ai envie de te rouler une pelle ! Tu m'excites !".
"Désolé !".

Le soir venu, il me ramène encore.
Je souris en comprenant qu'il cherche un endroit sombre pour cacher la voiture des regards indiscrets.
Il s'arrête dans le fond d'un jardin public, qui est désert à cause du froid et de la nuit tombée.

On a pas besoin de se parler.
Il penche son siège, et ouvre sa braguette, alors que je me penche sur sa verge déjà dure et tendue comme un arc.

"Orghhhhhhhhh ! Putain ! Orhhh... Ce qu'elle est bonne, ta bouche, aussi ! Orhhhh ! Tu m'suces bien, Pascal !".
"Mmmmmm ! Mmmmmmm ! J'en avais envie, Monsieur R... ! Elle est bonne, votre queue ! Mmmmm ... Mmmm...".

"Orrrhhhhhhhhh ! j'vois ça ! Putain ! Comme tu me bouffes la queue ! Orhhhh ! C'est bon ! Je pourrai jouir dans ta bouche ? Tu veux bien ?".
"Mmmmmm ! Mmmmm... oui, J'adore ça ! Laisser moi vous faire jouir ! Mmmm... Mmmm...".

Dès ce moment, il se laisse aller, en me caressant les cheveux, et en me gratifiant de gémissements et râles continus.
Je vis un moment délicieux, j'aime lécher, sucer toute les parties de sa grosse verge, gonflée de sang.

Jusqu'à sentir ses doigts se crisper dans mes cheveux. Puis peu de secondes après, ma gorge se réchauffe de son foutre chaud et âpre.
Il râle beaucoup plus fort, j'en bande d'excitation en recevant ses jets de sperme au fond de la gorge.

"Arghhhhhhhhhhh ! Pascal ! C'est trop fort ! Arghhhhhhhhhhhhhh ! Orghhh ! Oui, avales tout ! Arrrrrrrrrrr...".

J'amplifie mes enfoncements buccaux, tout en avalant son jus de plaisir.
Il cogne plusieurs fois, avec son gros gland, contre ma glotte embuée de foutre.

Puis, il se détend d'un coup, en faisant tomber ses mains de chaque coté de son corps.
Me laissant ainsi, tout loisir de lui laver la verge. Je ne veux pas en perdre une goutte.

Je lui rend sa verge propre et vidée, puis me redresse pour lui sourire.

"Ouffff ! On m'a rarement aussi bien sucé ! Vivement vendredi, que je te rende tout le plaisir que tu m'a donné !".
"Oui, j'ai hâte !".
"Bon, allez, je te ramènes!".
"Oui, vaux mieux !".

Cette fois, j'ai baisé ma copine avec une fougue insoupçonnée, je bandai encore quand je l'ai vue devant chez moi.

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