SÉDUITE DANS UN BAR
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-10-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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SÉDUITE DANS UN BAR
Alya se préparait dans la salle de bain. Bernard pouvait l'entendre fredonner de temps en temps.
Pour savoir si elle serait bientôt prête, Bernard passa la tête dans l'encadrement de la porte.
Alya, souriante, regarda son mari en caressant son pubis fraîchement rasé.
"Il se fait tard, Alya. Es-tu bientôt prête?"
Alya jeta un regard sévère à Bernard en rinçant son rasoir.
"Je dois être sûre que ma petite chatte est douce et lisse, bébé!"
Bernard enlaça sa femme par-derrière pour picorer des baisers dans son cou en palpant la douceur de son pubis.
"Comment peux-tu être sûre d'avoir ce que tu veux, ce soir?"
Alya se retourna pour déposer un baiser sur les lèvres de Bernard avant de répondre. "T'as pas vu ma robe?"
Bernard secoua négativement la tête.
"Viens avec moi et aide-moi à l'enfiler, bébé."
Bernard suivit sa femme dans sa chambre à coucher. La robe bleue était étendue en travers du lit.
Elle la saisit prestement et leva les bras au-dessus de sa tête pour que Bernard fasse glisser la robe le long de son corps.
Elle se trémoussa en riant pour que le fin tissu bleu épouse les contours de son corps tout en courbes, tandis que Bernard se reculait pour juger de l'effet d'ensemble.
"Waouh! Elle te va drôlement bien! T'es chaude avec ça, bébé!"
Alya sourit en ramassant une paire de talons hauts et s'assit sur le bord du lit pour attacher la bride autour de ses chevilles.
"As-tu donné rendez-vous à ce gars, Léon, aujourd'hui?"
Alya leva les yeux vers Bernard après qu'elle ait finit de boucler la seconde chaussure.
"Bien sûr mon chéri. Léon sera là, il l'a promis!"
Bernard regarda Alya, hésitant à poser la question suivante.
"Penses-tu vraiment que ce soit une bonne idée de rencontrer ce gars dans ce bar de Lens, bébé? Il pourrait y avoir des gens que l'on connaît!"
Alya sourit à Bernard. Elle avait ce regard salace et coquin qu'il lui connaissait bien.
"Tout le monde nous connaît dans ce bar de Lens. C'est ça qui rend cet endroit si excitant!"
Alya tapota la joue de Bernard pour l'encourager en passant devant lui pour aller se maquiller.
Ils sont arrivés à la boîte vers vingt heures. Bernard suivait sa femme, tête basse en entrant dans la gargote.
La salle était dans une demi-pénombre, comme d'habitude, la télévision était allumée dans un coin et quelques lumières tamisées se reflétaient sur les panneaux publicitaires accrochés aux murs à côté du bar.
Les talons d'Alya claquaient forts sur le sol lorsqu'elle entra dans l’établissement. Elle s'arrêta au milieu de la salle.
Bernard s'approcha du bar pendant qu'Alya scrutait l'obscurité du bastringue.
Alya héla Bernard en se dirigeant vers le fond de la salle, un mur équipé de box dans l'obscurité. "Hé! Léon est là!"
Alya se dirigea vers son rendez-vous en tortillant outrageusement son magnifique cul.
Bernard regarda Alya s'approcher d'un gars installé tranquillement dans un coin sombre.
Le gars se leva d'un bond à l'approche de sa femme. Il l'enlaça et l'embrassa à pleine bouche tandis qu'elle se faisait chatte en se blottissant contre lui.
Bernard les observait de loin, notant la grande taille et la carrure du type.
Alya se retourna et tendit le bras vers son mari: "Bernard, je te présente Léon. Léon, voici mon mari, Bernard!"
Bernard tendit la main pour serrer celle de Léon. La poigne était ferme et le gars dépassait Bernard d'une bonne tête.
Alya s'installa au fond sur la banquette à côté de Léon, Bernard s'assit face à eux, de l'autre côté de la table.
La banquette était étroite, Léon et Alya étaient serrés l'un contre l'autre. La serveuse s'approcha pour prendre leur commande.
Alya s'occupait de la conversation. Elle n'est pas timide et en plus, elle aime être le centre de l'auditoire.
La serveuse apporta les boissons, jetant sur le trio un regard curieux.
Bernard se contenta de hausser les épaules quand elle s'éloigna en claquant son chewing-gum d'un air méprisant.
Qu'était-elle de toute façon? N'avait-elle jamais vu une femme blanche entrer dans un bar sombre et se blottir tout contre un homme noir? Bernard écoutait dirtraitement sa femme jacasser. Quelques minutes plus tard, elle commença à parler créole.
Bernard bu une gorgée, décontenancé. Alya faisait toujours des choses inattendues.
Elle parlait couramment créole et ce gars, Léon, aussi. Mais pas Bernard.
Bernard resta assis là sans comprendre le moindre mot pendant qu'ils parlaient. Par moment, ils riaient. À d'autres moments, ils jetaient un coup d’œil en direction de Bernard, mais la plupart du temps, ils l'ignoraient.
La serveuse revint remplir les verres. Bernard s'ennuyait ferme.
Alya s'était mise à l'aise contre Léon maintenant, alors que quelqu'un avait augmenté le niveau sonore de la musique.
Sa vue s'étant acclimatée au niveau d’obscurité, Bernard jeta un regard circulaire. Il y avait une demi-douzaine d'hommes accoudés au zinc. Plus quelques couples dans les box qui se léchaient le museau.
Bernard se retourna pour voir sa femme et Léon enlacés dans un baiser passionné.
Léon avait sa main sous la table et Bernard pouvait imaginer là où elle se trouvait.
Alya s'adressa soudainement à Bernard. "J'ai envie de danser avec Léon, maintenant!"
Bernard hocha la tête en regardant Léon entraîner Alya sur la piste de danse.
D'autres couples les rejoignirent et quelqu'un alluma quelques spots supplémentaires.
Alya ressentait les effets de la boisson et se blottissait tendrement contre la poitrine de Léon en dansant.
Elle bougeait de manière séduisante et sa robe courte, moulante et fendue a attiré l'attention des types assis au bar.
Bernard regarda Alya écarter ses jambes et remuer son cul pour chevaucher la cuisse que Léon avait glissé dans son entrejambe.
Les hommes autour du bar commentaient le spectacle.
La chanson suivante était plus rapide et Alya se retourna, penchée en avant, le cul collé contre le pubis de Léon, remuant ses hanches de haut en bas, de gauche à droite, appliquant un délicieux massage sur la bite tendue de son cavalier.
Léon avait placé ses mains autour de la taille d'Alya. De loin, dans la semi-pénombre, on aurait pu croire que le couple baisait debout. Alya se pencha suffisamment pour toucher ses orteils et Léon qui lui tenait le cul ondulait du bassin pour lui heurter les fesses. Les hommes au bar ont commencé à applaudir et encourager les autres couples à les imiter.
Les mains de Léon avaient abandonné la taille d'Alya pour empaumer les seins de sa cavalière, les triturant sans ménagement.
Léon commençait à les sortir de la robe pendant qu'Alya se redressait, tournait la tête vers le mâle qui la pelotait pour lui offrir sa bouche. Léon et Alya continuaient à se trémousser sur place, mais le spectacle ressemblait plus à une scène de baise qu'à de la danse.
Bernard remarqua que la serveuse avait rejoint les hommes autour du bar et criait elle aussi pour les encourager.
Léon enlaçait tendrement sa partenaire pour échanger un long baiser passionné.
Bernard, la queue raidissante, sortait son smartphone pour prendre quelques photos du couple.
Les mains de Léon disparaissaient à présent sous la robe bleue d'Alya, le smartphone de Bernard cliquait en permanence, les hommes criaient des encouragements, réclamant encore plus.
Alya interrompit le long baiser passionné, se retourna pour leur crier dessus en riant. Bernard n'a pas pu tout comprendre à cause de la musique et des cris. Elle a dit quelque chose à propos de l'effet et qu'elle était excitée.
Léon entraîna Alya vers le bar. Les consommateurs s'écartaient prudemment devant le colosse pendant qu'il installait sa proie au bout du bar, remontait sa robe au-dessus de la taille, dénudait sa poitrine, la saisissait à la taille pour l'assoir sur le zinc. Elle poussa un cri de surprise lorsque son cul joufflu rencontra la surface froide et humide.
Les hommes applaudissaient et faisaient cercle autour du couple. Bernard dû s'approcher pour continuer à filmer le couple formé par sa femme et son amant.
Léon s'installa entre les cuisses ouvertes d'Alya pour lui donner un long baiser passionné, massant ses fesses pour les réchauffer, écartant la ficelle du string pour glisser un doigt dans la raie culière. Alya souleva une fesse pour lui faciliter l'accès mais Léon avait déjà changé d'avis. D'un geste preste, il déboucla son ceinturon et son pantalon tomba sur ses chevilles. Quelques coups de pied savamment dosé et il se trouva délivré de l'encombrant vêtement.
Les hommes ont continué à les encourager pendant que Léon grimpait sur le bar pour s'installer entre les cuisses d'Alya.
Bernard n'arrêtait pas de filmer en regardant le colosse noir insérer sa queue dans la chatte d'Alya.
Il commença sans attendre à niquer la femelle sur le bar, sous le regard incrédule de l'assistance.
Quelques-uns rigolaient, d'autres filmaient, la plupart avaient la bouche ouverte et les yeux écarquillés en voyant la taille du chibre que le colosse noir introduisait dans la petite chatte blanche.
Léon farcissait sa dinde à grands coups de rein rageurs, tandis qu'Alya se cramponnait à lui, gémissante et geignante.
Plusieurs fois, elle a hurlé qu'elle jouissait, Léon arrêtait alors son pilonnage pour l'embrasser tendrement. Alya lui caressait les épaules amoureusement, ronronnante telle une chatte satisfaite, mais Léon reprenait rapidement son rôle de marteau-pilon.
Bernard continua de filmer les ébats jusqu'à ce que Léon déverse son foutre dans la chatte de sa femme. Lorsque Léon, après un moment de tendresse se retira de la chatte d'Alya, Bernard constata surpris que Léon portait un préservatif et se demanda à quel moment et comment il avait eu le temps de s'équiper.
La serveuse, installée juste à côté du couple et qui avait suivi de près toute la scène, fit remarquer à l'auditoire que le préservatif était déchiré. Alya inséra un doigt dans sa chatte et annonça à la cantonade, souriante, qu'elle avait raison.
Avec deux doigts, elle écarta les grandes lèvres de sa chatte et demanda: "Est-ce que quelqu'un veut manger ma tarte à la crème?"
Les hommes, incrédules, hésitaient et commentaient. Mais Bernard, sans hésiter, fendit la foule pour se jeter, bouche en avant, entre les cuisses accueillantes de sa femme. Il mangea goulûment et bruyamment le foutre qui coulait de la chatte dévastée par l'énorme mandrin.
La seule chose qui occupait l’esprit de Bernard était qu’il ne pourrait plus jamais s’arrêter ici pour prendre un verre après le travail.
Alya s'amusa encore un moment avec Léon, autorisant même quelques hommes de l'assistance à la tripoter pendant que son amant noir la baisait de nouveau. À un moment, prise en levrette par Léon, elle a roulé un patin d'enfer à la serveuse.
Épuisée, elle a entrainé Léon jusqu'à la voiture où l'attendait Bernard. Ils se sont embrassés longuement et tendrement, Alya assise sur le capot, jambes écartées, pendant que Léon fourrageait sous sa robe. Ils se sont séparés en se donnant rendez-vous pour une prochaine partie de baise, mais pas dans ce bar, dans un autre endroit aussi excitant.
Pour savoir si elle serait bientôt prête, Bernard passa la tête dans l'encadrement de la porte.
Alya, souriante, regarda son mari en caressant son pubis fraîchement rasé.
"Il se fait tard, Alya. Es-tu bientôt prête?"
Alya jeta un regard sévère à Bernard en rinçant son rasoir.
"Je dois être sûre que ma petite chatte est douce et lisse, bébé!"
Bernard enlaça sa femme par-derrière pour picorer des baisers dans son cou en palpant la douceur de son pubis.
"Comment peux-tu être sûre d'avoir ce que tu veux, ce soir?"
Alya se retourna pour déposer un baiser sur les lèvres de Bernard avant de répondre. "T'as pas vu ma robe?"
Bernard secoua négativement la tête.
"Viens avec moi et aide-moi à l'enfiler, bébé."
Bernard suivit sa femme dans sa chambre à coucher. La robe bleue était étendue en travers du lit.
Elle la saisit prestement et leva les bras au-dessus de sa tête pour que Bernard fasse glisser la robe le long de son corps.
Elle se trémoussa en riant pour que le fin tissu bleu épouse les contours de son corps tout en courbes, tandis que Bernard se reculait pour juger de l'effet d'ensemble.
"Waouh! Elle te va drôlement bien! T'es chaude avec ça, bébé!"
Alya sourit en ramassant une paire de talons hauts et s'assit sur le bord du lit pour attacher la bride autour de ses chevilles.
"As-tu donné rendez-vous à ce gars, Léon, aujourd'hui?"
Alya leva les yeux vers Bernard après qu'elle ait finit de boucler la seconde chaussure.
"Bien sûr mon chéri. Léon sera là, il l'a promis!"
Bernard regarda Alya, hésitant à poser la question suivante.
"Penses-tu vraiment que ce soit une bonne idée de rencontrer ce gars dans ce bar de Lens, bébé? Il pourrait y avoir des gens que l'on connaît!"
Alya sourit à Bernard. Elle avait ce regard salace et coquin qu'il lui connaissait bien.
"Tout le monde nous connaît dans ce bar de Lens. C'est ça qui rend cet endroit si excitant!"
Alya tapota la joue de Bernard pour l'encourager en passant devant lui pour aller se maquiller.
Ils sont arrivés à la boîte vers vingt heures. Bernard suivait sa femme, tête basse en entrant dans la gargote.
La salle était dans une demi-pénombre, comme d'habitude, la télévision était allumée dans un coin et quelques lumières tamisées se reflétaient sur les panneaux publicitaires accrochés aux murs à côté du bar.
Les talons d'Alya claquaient forts sur le sol lorsqu'elle entra dans l’établissement. Elle s'arrêta au milieu de la salle.
Bernard s'approcha du bar pendant qu'Alya scrutait l'obscurité du bastringue.
Alya héla Bernard en se dirigeant vers le fond de la salle, un mur équipé de box dans l'obscurité. "Hé! Léon est là!"
Alya se dirigea vers son rendez-vous en tortillant outrageusement son magnifique cul.
Bernard regarda Alya s'approcher d'un gars installé tranquillement dans un coin sombre.
Le gars se leva d'un bond à l'approche de sa femme. Il l'enlaça et l'embrassa à pleine bouche tandis qu'elle se faisait chatte en se blottissant contre lui.
Bernard les observait de loin, notant la grande taille et la carrure du type.
Alya se retourna et tendit le bras vers son mari: "Bernard, je te présente Léon. Léon, voici mon mari, Bernard!"
Bernard tendit la main pour serrer celle de Léon. La poigne était ferme et le gars dépassait Bernard d'une bonne tête.
Alya s'installa au fond sur la banquette à côté de Léon, Bernard s'assit face à eux, de l'autre côté de la table.
La banquette était étroite, Léon et Alya étaient serrés l'un contre l'autre. La serveuse s'approcha pour prendre leur commande.
Alya s'occupait de la conversation. Elle n'est pas timide et en plus, elle aime être le centre de l'auditoire.
La serveuse apporta les boissons, jetant sur le trio un regard curieux.
Bernard se contenta de hausser les épaules quand elle s'éloigna en claquant son chewing-gum d'un air méprisant.
Qu'était-elle de toute façon? N'avait-elle jamais vu une femme blanche entrer dans un bar sombre et se blottir tout contre un homme noir? Bernard écoutait dirtraitement sa femme jacasser. Quelques minutes plus tard, elle commença à parler créole.
Bernard bu une gorgée, décontenancé. Alya faisait toujours des choses inattendues.
Elle parlait couramment créole et ce gars, Léon, aussi. Mais pas Bernard.
Bernard resta assis là sans comprendre le moindre mot pendant qu'ils parlaient. Par moment, ils riaient. À d'autres moments, ils jetaient un coup d’œil en direction de Bernard, mais la plupart du temps, ils l'ignoraient.
La serveuse revint remplir les verres. Bernard s'ennuyait ferme.
Alya s'était mise à l'aise contre Léon maintenant, alors que quelqu'un avait augmenté le niveau sonore de la musique.
Sa vue s'étant acclimatée au niveau d’obscurité, Bernard jeta un regard circulaire. Il y avait une demi-douzaine d'hommes accoudés au zinc. Plus quelques couples dans les box qui se léchaient le museau.
Bernard se retourna pour voir sa femme et Léon enlacés dans un baiser passionné.
Léon avait sa main sous la table et Bernard pouvait imaginer là où elle se trouvait.
Alya s'adressa soudainement à Bernard. "J'ai envie de danser avec Léon, maintenant!"
Bernard hocha la tête en regardant Léon entraîner Alya sur la piste de danse.
D'autres couples les rejoignirent et quelqu'un alluma quelques spots supplémentaires.
Alya ressentait les effets de la boisson et se blottissait tendrement contre la poitrine de Léon en dansant.
Elle bougeait de manière séduisante et sa robe courte, moulante et fendue a attiré l'attention des types assis au bar.
Bernard regarda Alya écarter ses jambes et remuer son cul pour chevaucher la cuisse que Léon avait glissé dans son entrejambe.
Les hommes autour du bar commentaient le spectacle.
La chanson suivante était plus rapide et Alya se retourna, penchée en avant, le cul collé contre le pubis de Léon, remuant ses hanches de haut en bas, de gauche à droite, appliquant un délicieux massage sur la bite tendue de son cavalier.
Léon avait placé ses mains autour de la taille d'Alya. De loin, dans la semi-pénombre, on aurait pu croire que le couple baisait debout. Alya se pencha suffisamment pour toucher ses orteils et Léon qui lui tenait le cul ondulait du bassin pour lui heurter les fesses. Les hommes au bar ont commencé à applaudir et encourager les autres couples à les imiter.
Les mains de Léon avaient abandonné la taille d'Alya pour empaumer les seins de sa cavalière, les triturant sans ménagement.
Léon commençait à les sortir de la robe pendant qu'Alya se redressait, tournait la tête vers le mâle qui la pelotait pour lui offrir sa bouche. Léon et Alya continuaient à se trémousser sur place, mais le spectacle ressemblait plus à une scène de baise qu'à de la danse.
Bernard remarqua que la serveuse avait rejoint les hommes autour du bar et criait elle aussi pour les encourager.
Léon enlaçait tendrement sa partenaire pour échanger un long baiser passionné.
Bernard, la queue raidissante, sortait son smartphone pour prendre quelques photos du couple.
Les mains de Léon disparaissaient à présent sous la robe bleue d'Alya, le smartphone de Bernard cliquait en permanence, les hommes criaient des encouragements, réclamant encore plus.
Alya interrompit le long baiser passionné, se retourna pour leur crier dessus en riant. Bernard n'a pas pu tout comprendre à cause de la musique et des cris. Elle a dit quelque chose à propos de l'effet et qu'elle était excitée.
Léon entraîna Alya vers le bar. Les consommateurs s'écartaient prudemment devant le colosse pendant qu'il installait sa proie au bout du bar, remontait sa robe au-dessus de la taille, dénudait sa poitrine, la saisissait à la taille pour l'assoir sur le zinc. Elle poussa un cri de surprise lorsque son cul joufflu rencontra la surface froide et humide.
Les hommes applaudissaient et faisaient cercle autour du couple. Bernard dû s'approcher pour continuer à filmer le couple formé par sa femme et son amant.
Léon s'installa entre les cuisses ouvertes d'Alya pour lui donner un long baiser passionné, massant ses fesses pour les réchauffer, écartant la ficelle du string pour glisser un doigt dans la raie culière. Alya souleva une fesse pour lui faciliter l'accès mais Léon avait déjà changé d'avis. D'un geste preste, il déboucla son ceinturon et son pantalon tomba sur ses chevilles. Quelques coups de pied savamment dosé et il se trouva délivré de l'encombrant vêtement.
Les hommes ont continué à les encourager pendant que Léon grimpait sur le bar pour s'installer entre les cuisses d'Alya.
Bernard n'arrêtait pas de filmer en regardant le colosse noir insérer sa queue dans la chatte d'Alya.
Il commença sans attendre à niquer la femelle sur le bar, sous le regard incrédule de l'assistance.
Quelques-uns rigolaient, d'autres filmaient, la plupart avaient la bouche ouverte et les yeux écarquillés en voyant la taille du chibre que le colosse noir introduisait dans la petite chatte blanche.
Léon farcissait sa dinde à grands coups de rein rageurs, tandis qu'Alya se cramponnait à lui, gémissante et geignante.
Plusieurs fois, elle a hurlé qu'elle jouissait, Léon arrêtait alors son pilonnage pour l'embrasser tendrement. Alya lui caressait les épaules amoureusement, ronronnante telle une chatte satisfaite, mais Léon reprenait rapidement son rôle de marteau-pilon.
Bernard continua de filmer les ébats jusqu'à ce que Léon déverse son foutre dans la chatte de sa femme. Lorsque Léon, après un moment de tendresse se retira de la chatte d'Alya, Bernard constata surpris que Léon portait un préservatif et se demanda à quel moment et comment il avait eu le temps de s'équiper.
La serveuse, installée juste à côté du couple et qui avait suivi de près toute la scène, fit remarquer à l'auditoire que le préservatif était déchiré. Alya inséra un doigt dans sa chatte et annonça à la cantonade, souriante, qu'elle avait raison.
Avec deux doigts, elle écarta les grandes lèvres de sa chatte et demanda: "Est-ce que quelqu'un veut manger ma tarte à la crème?"
Les hommes, incrédules, hésitaient et commentaient. Mais Bernard, sans hésiter, fendit la foule pour se jeter, bouche en avant, entre les cuisses accueillantes de sa femme. Il mangea goulûment et bruyamment le foutre qui coulait de la chatte dévastée par l'énorme mandrin.
La seule chose qui occupait l’esprit de Bernard était qu’il ne pourrait plus jamais s’arrêter ici pour prendre un verre après le travail.
Alya s'amusa encore un moment avec Léon, autorisant même quelques hommes de l'assistance à la tripoter pendant que son amant noir la baisait de nouveau. À un moment, prise en levrette par Léon, elle a roulé un patin d'enfer à la serveuse.
Épuisée, elle a entrainé Léon jusqu'à la voiture où l'attendait Bernard. Ils se sont embrassés longuement et tendrement, Alya assise sur le capot, jambes écartées, pendant que Léon fourrageait sous sa robe. Ils se sont séparés en se donnant rendez-vous pour une prochaine partie de baise, mais pas dans ce bar, dans un autre endroit aussi excitant.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Elle a de la chance cette alya davoir un tel maris
J'aimerais bient aimer etre labourer par un inconu tandit que mon maris nous film
Merci cher TAMALOU pour ce reve sensuel et excitant
Radia
J'aimerais bient aimer etre labourer par un inconu tandit que mon maris nous film
Merci cher TAMALOU pour ce reve sensuel et excitant
Radia