Séjour en Bretagne
Récit érotique écrit par Cplcandaudu60 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Séjour en Bretagne
Nathalie avait à peu près vingt-cinq ans et nous avions à cette époque un copain, de notre âge, qui multipliait les conquêtes.
Il était grand, blond, mignon et très charmeur avec une belle carrure car il faisait beaucoup de sport
Presque à chaque fois qu’on le voyait, il nous présentait une nouvelle petite amie.
Ses parents avaient une maison dans le golfe du Morbihan, un peu en retrait de l’océan, mais qui était assez luxueuse, elle était en « L », très grande, plusieurs chambres, un grand salon et une grande salle à manger, une terrasse à l’intérieur du « L » et en bout, une piscine de dix mètres par six mètres à l’abri des regards.
Ils avaient acheté ça pour y passer leur retraite.
Ils avaient soixante ans tous les deux et venaient depuis quelques mois d’arrêter de travailler.
Eric, notre copain, nous a proposé de venir passer quelques jours là-bas car ses parents devaient aller voir des amis pendant une petite semaine dans les Landes.
« On ne sera que tous les trois, on aura la piscine rien que pour nous, vous verrez le coin est sympa, surtout s’il fait beau »
Pourquoi pas, nous nous sommes arrangés pour prendre des congés à partir du mercredi soir jusqu’au lundi.
Le lundi juste avant de partir, il est venu nous voir pour nous dire que malheureusement ses parents avaient dû annuler leur séjour dans les Landes car leurs amis avaient eu un décès dans la famille.
« Tans-pis, dit Nathalie, on ira une prochaine fois »
« Non, non attendez, j’en ai parlé à mes parents et ils sont d’accord pour qu’on vienne même s’ils sont là »
« Oui mais c’est gênant, on ne les connait pas »
« Ne vous inquiétez pas, ils sont cool et ils m’ont dit que ça allait leur faire du bien de voir un peu de monde à la maison »
Nous avons décidé d’accepter l’invitation.
Nathalie devait refaire les valises, ses tenues vestimentaire prévues étaient peut-être un peu trop indécentes pour des retraités.
Au revoir le maillot de bain string, la micro-jupe, le décolleté vertigineux, bref il fallait être un peu plus soft.
Elle avait prévu des habits un peu affriolant car sachant que Eric venait seul, elle voulait l’allumer un peu pour voir jusqu’où il pouvait aller.
Nous sommes donc partis tous les trois le mercredi soir dans la voiture de notre copain.
Arrivé vers vingt-trois heures trente, seul Pierre la père d’Éric nous attendait, sa femme Candice était couchée depuis au moins deux heures.
« Excusez ma femme, nous dit-il, mais elle ne tient pas le choc le soir, au plus tard à vingt-deux heures elle est au lit »
Pierre était grand aussi, un mètre quatre-vingt-dix environ, assez maigre mais bien conservé, un air assez hautain, peu de rides, des cheveux gris blanc et son fils lui ressemblait beaucoup, c’était un bel homme de soixante ans.
Le lendemain, nous avons fait la connaissance de Candice, très belle femme mais un peu plus marquée que son mari, grande, fine, un beau visage et de yeux pétillants.
Nous avons très vite bien sympathisé et avons passé un agréable séjour avec eux.
Nous sortions un peu le soir et parfois en après-midi pour aller à la plage, mais nous avons passé beaucoup de temps en maillot de bain à la piscine ou sur les transats de la terrasse.
Le maillot de bain de ma femme n’était pas un string mais il avait tendance à lui rentrer dans la raie des fesses lorsqu’elle bougeait et donc à découvrir ses deux globes fessier bien rond.
Pour les seins, c’était pire car sa lourde poitrine lui interdisait de faire des mouvements trop brusque sous peine de sortir de leur logement.
Bien sûr discrètement Pierre et Eric n’en loupaient pas une miette.
Heureusement Candice n’avait pas l’air jalouse et se souciait peu de cela, elle passait sa journée à lire ou à faire à manger.
Le vendredi soir, ils nous ont invité au restaurant après nous avoir baladé une partie de l’après-midi à visiter la région.
Nous avons profité tout le samedi de la piscine car ils annonçaient un temps grisâtre pour le lendemain.
La journée s’est passée tranquillement à jouer dans l’eau puis bronzer sur les transats, bref à profiter pleinement de ce soleil du mois de juin.
Le repas du soir était assez copieux et bien arrosé, trois apéritifs, deux bouteilles de rosé et x digestifs, on a gouté à peu près à tous les alcools du bar, enfin surtout Eric et moi.
Pierre et Nathalie avaient été un peu plus sobre quant aux digestifs et Candice n’avait, elle, quasiment rien bu.
A vingt-deux heures trente elle était au lit.
Sur la terrasse il y avait un petit canapé deux places sur lequel, avec Eric, nous étions installés, Nathalie et Pierre étaient sur des fauteuils face à nous.
Il devait être environ minuit et demi quand Eric et moi nous sommes endormis l’un contre l’autre, étant fortement alcoolisé, on ronflait comme des petits cochons.
Pierre et Nathalie ont continué à discuter un peu, puis il a dit :
« Si nous faisions un bain de minuit »
« Oui pourquoi-pas, je vais chercher un maillot de bain et j’arrive »
Alors il lui a rétorqué avec un grand sourire :
« Un bain de minuit c’est à poil, madame »
« Oui mais si quelqu’un nous voit tous les deux nu dans la piscine, ils vont s’imaginer des choses »
« Ne vous inquiétez pas, personne ne nous verra, ma femme dort comme un loir et les deux picolos ne sont pas près de se réveiller tellement ils ont bu »
« Bon ok » dit-elle un peu gênée.
« Allez, je me retourne pendant que vous vous déshabillez »
Une fois Nathalie dans l’eau, il s’est à son tour mis nu, sans aucune gêne pour le faire sous ses yeux, il l’a ainsi rejointe pour faire quelques brasses.
Il faisait encore chaud malgré l’heure tardive, l’eau de la piscine était agréable et l’alcool avait désinhibé un peu leur sens.
« Ça vous dit un peu de champagne ? » lui a-t-il demandé.
« Oui je veux bien »
Il est alors sorti de l’eau pour aller chercher une bouteille et deux verres.
Nathalie accoudé au bord de la piscine attendait son retour, les seins à demi hors de l’eau.
Quand il est à nouveau rentré dans l’eau, elle a eu l’impression que son sexe avait pris un peu de volume.
Il est venu à côté d’elle pour déboucher le champagne et servir leur verre.
Lui avait de l’eau jusqu’au nombril et elle en dessous de sa poitrine, qu’il ne pouvait qu’admirer.
« Superbe pour la première fois que je les vois sans rien, vos seins sont magnifiques » lui dit-il.
Ils ont trinqué et prenant un peu de courage il lui a dit :
« J’ai trop envie de les toucher »
Alors, il a posé son verre et dirigé ses mains vers sa lourde poitrine.
Voyant qu’elle ne disait rien, il a continué en les caressant franchement et en jouant avec ses tétons.
Ses pointes se sont érigées et il est venu poser sa bouche dessus, jouant avec sa langue sans arrêter de les masser.
Il semblait être dans un état second, complètement différent de l’homme distingué et posé qu’il était jusqu’à maintenant.
« J’en ai envie depuis que je t’ai vu » lui a-t-il dit.
Il la tutoyait maintenant.
« Regarde comme tu me fais de l’effet » a-t-il continué en lui prenant la main pour la poser sur sa queue toute dure.
Un peu excitée par la situation, elle s’est laissé faire et a entouré la bite qu’elle avait dans la main pour le branler doucement.
Pendant plusieurs minutes ils sont restés ainsi, puis il l’a attrapé par les hanches pour la coller contre lui, ses mains sont descendues pour caresser ses fesses pendant qu’il se frottait de plus en plus contre son pubis.
Il l’a ensuite soulevé pour la faire assoir sur le bord de la piscine, il a passé ses jambes autour de son cou et a plongé sa tête vers sa chatte qu’il a doucement attaqué de sa langue, d’abord les lèvres, puis le clito puis tout doucement a enfoncé sa langue dans ses chairs intimes.
Elle s’est allongée sur le dallage, lui permettant de continuer à la fouiller tout en caressant ses seins.
Cette langue qui lui léchait le sexe manquait d’expérience mais commençait à lui faire monter le plaisir, elle gémissait doucement en lui attirant la tête afin qu’il aille plus loin en elle.
Il la léchait presque hystériquement, la pénétrant bien loin, plus elle gémissait plus il se lâchait.
Quand elle a joui, bien qu’elle se soit retenue de crier, il a posé la main sur sa bouche pour limiter le bruit qu’elle faisait.
Lui laissant le temps de reprendre ses esprit, il est sorti de l’eau pour se diriger vers elle la bite bien raide.
Elle s’est relevée pour se mettre à genoux et venir prendre sa queue dans la bouche.
Elle a commencé à passer sa langue partout sur son membre tout en le branlant.
Il semblait apprécier ce qu’elle lui faisait car elle a bien cru qu’il allait lui envoyer la purée au bout de dix secondes.
« Attends, lui dit-il, allons dans le salon, nous serons plus à l’aise »
A poils ils ont traversé la terrasse et Pierre s’est installé dans un fauteuil en écartant bien les jambes, Nathalie a pris un coussin qu’elle a déposer à ses pieds afin de se mettre à genoux entre ses cuisses et continuer à lui prodiguer la fellation qu’elle avait entamé au bord de la piscine.
Son gland était extrêmement sensible car dès qu’elle enroulait sa langue autour, il semblait pris de spasmes.
Il était très excité et ne semblait plus être le même homme, il la tirait par les cheveux en la traitant.
Des mots crus qui ne correspondaient pas au personnage, mais qui montraient bien l’état second dans lequel il était.
Il ne devait pas avoir eu très souvent ce genre de pratique car il n’a résisté que quelques petites minutes à la bouche déjà experte de ma femme, avant d’éjaculer dedans et sur son visage.
Après avoir repris ses esprits il lui a dit d’un air penaud :
« Désolé, je… je ne sais pas ce qui m’a pris… désolé… je… , il ne faut le dire à personne, vous me le promettais »
En souriant, elle a répondu :
« Ne vous inquiétais pas, je ne dirais rien. »
Le vouvoiement était redevenu de rigueur.
Elle s’est rhabillée puis est ensuite venue me réveiller pour monter dans notre chambre.
Elle préférait attendre que nous soyons revenus à la maison pour me raconter sa soirée avec Pierre, tout en se disant que certains hommes étaient vraiment bizarres, elle venait de lui faire une pipe pendant laquelle il lui avait dit qu’elle était une petite salope et une petite pute et qu’a peine il avait vidé ses couilles, il la vouvoyait à nouveau.
Le lendemain quand nous sommes descendus pour déjeuner dans la cuisine, Pierre et Candice partaient.
« Nous allons à la messe puis au marché, nous serons de retour vers midi, mais ne vous inquiétais pas le repas est prêt et nous pourrons passer à table vers midi trente » nous a dit Candice.
Il était neuf heures, après le petit déjeuner nous sommes allés prendre une douche et nous habiller, enfin moi car Nathalie avait l’intention de se mettre au bord de la piscine pour bronzer.
La grisaille annoncée s’était transformée en un magnifique soleil.
J’ai repris un café et suis allé la rejoindre sur la terrasse.
Elle était allongée sur un transat avec juste un string qu’elle avait rentré entre ses lèvres et qui ne cachait qu’un petit morceau de son ticket de métro.
« Je vais prendre la voiture d’Éric pour faire le plein pour demain et je vais acheter quelques trucs à grignoter pour la route, tu as besoin de quelques choses ? »
« Non » m’a-t-elle répondue.
J’ai entendu Eric aller dans la salle de bain et j’ai dit à Nathalie :
« Tu va l’affoler quand il va te voir comme ça »
« Tu préfère que je me rhabille un peu ? »
« Non ma chérie, je sais que ça te plait d’exciter les hommes et ça me plais aussi. »
Quand il est arrivé sur la terrasse il était en short et tee-shirt, la banane autour de la taille.
« T’es toute seule ? »
« Oui tes parents sont à la messe et ne rentre que vers midi et mon homme est parti faire le plein de ta voiture et acheter quelques bricoles. »
Il a détaché sa banane puis s’est déshabillé en disant :
« Bon et bien je vais me baigner alors. »
Tout en disant ça, il n’arrêtait pas de lorgner sur ma femme.
« C’est la première fois que je vois tes seins comme ça, ils sont énormes et très beaux .»
Décidément, le père et le fils avaient les mêmes répliques.
« Merci. »
Il n’avait pas de slip sous son short et était maintenant tout nu devant elle, il continuait à la mater.
« Tu va te baigner à poil ? » dit-elle.
« Tu l’a bien fait hier soir avec mon père. » a-t-il répondu sur un ton de reproche.
Un peu interloquée car elle ne pensait pas qu’il les avait vu, elle a vite repris le dessus en lui disant.
« On dirait que ça te gêne ou que tu es jaloux. »
« Bien sûr que ça me gêne et que je suis jaloux, j’aurais préféré être à sa place. »
Quelques secondes de silence, puis Nathalie s’est assise, les yeux rivés sur le sexe qu’elle avait devant elle et le regardant droit dans les yeux, elle lui a dit :
« Ça peut s’arranger si tu veux. »
N’attendant que ça, il s’est aussitôt agenouillé près d’elle, une main dans son dos, l’autre sur ses seins et lui a pris la bouche pour y enfoncer sa langue.
Ils se sont longuement embrassés, ses mains la caressaient partout, celle qui était sur ses seins et descendue sur son ventre puis a forcé le passage du string pour s’attaquer à ses lèvres et son clito.
Ma femme a bien écarté les jambes pour le laisser progresser dans son intimité.
Sa main a réussi à attraper la queue déjà bien raide de son partenaire pour la branler.
Pendant tout ce temps leurs langues continuaient à se mélanger.
Ses doigts avaient maintenant complètement pénétré l’intérieur de son sexe et la fouillaient allègrement.
Elle gémissait sous ses caresses et commençait à mouiller abondamment.
Il embrassait bien, la branlait bien, elle s’est dit que ça devait être un bon coup.
Il s’est relevé la bite bien raide en lui disant :
« J’ai grave envie de te baiser, tu as l’air trop bonne. »
Ma femme s’est levée à son tour et est allée se mettre à quatre pattes sur le dallage près de la piscine.
Eric à pris un préservatif qu’il a sorti de sa banane (en tant que célibataire, il en avait toujours sur lui) puis et venu s’installer contre ses fesses en la pénétrant sans ménagement et bien profondément.
Elle a émis un long feulement de plaisir lorsqu’il l’a investi.
Agrippé à ses hanches, il la démontait copieusement à un rythme effréné, elle gémissait de plus en plus fort sous ses coups de boutoir, jusqu’à ce qu’il la fasse crier lorsqu’elle a eu son premier orgasme.
Ne lui laissant pas le temps de reprendre son souffle, il a continué ses grands va et vient, lui procurant une deuxième jouissance très rapidement.
« Arrête s’il te plait, j’ai mal au genoux et aux coudes, il faut qu’on trouve un endroit plus confortable. »
« Tu as raison, allons dans ma chambre. » a-t-il répondu.
Ils ont pris leurs affaires puis sont montés à l’étage.
Nathalie s’est assise sur le bord du lit puis s’est laissé tomber en arrière, les jambes bien écartées.
Eric a bien compris l’invitation et s’est installé entre ses cuisses pour la dévorer.
Il était aussi doué avec sa langue, qui ne chômait pas à investir toute l’intimité de Nathalie, qui inondait de cyprine la bouche de son amant.
Quand il s’est relevé après l’avoir faite jouir une nouvelle fois, elle s’est installée au milieu du lit et il est venu sur elle en position du missionnaire.
Il l’a besogner un bon moment dans cette position, la faisant jouir encore deux fois.
A force de baiser aussi intensément, ils étaient trempés de sueur et de sécrétions.
« Allonge-toi, je vais te donner du plaisir à mon tour. »
Alors il s’est mis sur le dos et c’est elle qui est venue entre ses cuisses pour le prendre dans sa bouche.
Elle a entouré de sa main sa queue bien dur pour le branlait, pendant que le reste de sa bite était martyrisé par sa langue aussi douce que redoutable.
Elle le léchait, l’aspirait, le mordillait, elle lui gobait les couilles puis remontait vers son gland en passant sa langue tout le long de sa hampe.
Au bout d’une dizaine de minutes, il s’est laissé aller en lui aspergeant le gosier de plusieurs grandes giclées de sperme qu’elle a avalé goulument.
Ils se sont allongés, tourné l’un vers l’autre et ont discutés un bon moment, ils se caressaient mutuellement en même temps, Eric ne débandait presque pas et la main de ma femme qui lui massait la bite n’y était pas pour rien.
« J’ai soif » lui dit-elle.
« Bouge pas je vais te chercher à boire. De l’eau ou autre chose ? »
« Juste de l’eau, merci. »
Il s’est levé, la queue encore toute raide pour descendre à la cuisine.
Quand il est revenu elle lui a dit :
« Heureusement que personne n’est rentré pendant que tu étais en bas, tu aurais eu l’air bête dans cette posture. »
« C’est vrai, mais il n’est que onze heures trente et mes parents ne seront pas là avant midi. »
« Oui sauf que mon homme ne va peut-être pas tarder à rentrer lui aussi. »
« Je vais ouvrir la fenêtre comme ça on entendra les voitures arriver et là j’ai encore envie de te baiser, tourne-toi j’aime trop voir ton cul quand je te défonce. »
Les mains lui tenant fermement les hanches, il la pistonnait à nouveau bien fort depuis dix bonnes minutes, son pieu allait et venait très loin dans son puis d’amour.
Elle couinait de bonheur en évitant de faire trop de bruit
Il lui a mis une grande claque sur les fesses en lui disant :
« Tu peux te lâcher, même si les voisins entendent, ou s’en fou, putain il est trop beau ton cul. »
Alors elle s’est laissé aller en libérant bruyamment la montée de son plaisir.
Il a profité de son excitation pour lui enfoncer doucement un doigt dans les fesses pendant qu’il continuait de la limer
Elle a criée très fort lors de son orgasme, lui en a profité pour glisser un deuxième doigt dans son cul et enfoncer sa bite le plus loin possible dans sa chatte.
Son corps tremblait tellement elle avait joui fort, lui avait toujours son gourdin bien raide au fond d’elle et ses deux doigt qui lui élargissaient l’anus.
« On va peut-être se rhabiller, il est presque moins dix, ils vont bientôt arriver . »
« Non, J’ai envie de t’enculer. »
« Ah non, là ça ne va pas être possible, déjà que tes doigts me font mal, alors je n’imagine même pas ta queue. »
« Allez, s’il te plait, laisse-toi faire. »
« Non. »
C’était un non ferme et définitif et il l’a bien compris.
Malgré ce refus, il n’avait pas débandé et a recommencé à la pilonner.
Nathalie sentait qu’une nouvelle jouissance n’allait pas tarder et se donnait encore plus pour qu’elle arrive avant que nos hôtes ne rentrent.
Eric se déchainait en la démontant de plus en plus fort et de plus en plus vite.
Un bruit de moteur qui s’approche puis s’arrête, deux portes qui claquent, des bruits de pas dans l’allée qui passe juste sous la fenêtre, c’est le moment ou Nathalie n’a pas pu se retenir de jouir, d’autant plus que le sexe d’Éric semblait encore plus gros et qu’il avait encore accéléré le mouvement.
La tête dans l’oreiller, qu’elle mordait, cachait difficilement les bruits qu’elle faisait pendant qu’elle jouissait encore très fort et ceux du claquement du pubis d’Éric contre ses fesses.
A croire qu’il espérait que ses parents ou du moins son père entende qu’il baisait ma femme.
« On est là. » C’était sa mère qui, de la cuisine, prévenait de leur retour.
Deuxième voiture, claquement de porte et bruits de pas.
Cette fois-ci c’était moi qui rentrais.
« Tourne-toi vite donne ta bouche »
Il est sorti d’elle a retirer sa capote et est vite venu dans sa bouche éjaculer plusieurs rasades de foutre.
Il a ensuite frotté sa queue sur son visage avant de se rhabiller et aller dans la salle de bain.
Ma femme, une fois de nouveau vêtue, est descendue discrètement, en évitant la cuisine, pour se diriger vers la terrasse, en chemin elle a croisé Pierre qui l’a regardé avec un sourire narquois, il avait certainement compris ce qu’il venait de se passer.
La première chose qui m’a marqué, quand je suis arrivé sur la terrasse rejoindre Nathalie, c’est ses genoux, ils étaient tout rouge, en la regardant en peu plus, j’ai vu que les coudes étaient eux aussi rouge, bien qu’un peu moins quand même et quand elle est venue m’embrasser, je n’ai pu que sentir l’odeur de sexe qu’elle avait sur le visage.
Pour confirmer ce que je pensais, je lui ai roulé une pelle, le gout de sperme dans sa bouche était encore bien présent.
Alors avec un grand sourire, elle m’a dit :
« Je te raconterais quand nous serons à la maison. »
Il était grand, blond, mignon et très charmeur avec une belle carrure car il faisait beaucoup de sport
Presque à chaque fois qu’on le voyait, il nous présentait une nouvelle petite amie.
Ses parents avaient une maison dans le golfe du Morbihan, un peu en retrait de l’océan, mais qui était assez luxueuse, elle était en « L », très grande, plusieurs chambres, un grand salon et une grande salle à manger, une terrasse à l’intérieur du « L » et en bout, une piscine de dix mètres par six mètres à l’abri des regards.
Ils avaient acheté ça pour y passer leur retraite.
Ils avaient soixante ans tous les deux et venaient depuis quelques mois d’arrêter de travailler.
Eric, notre copain, nous a proposé de venir passer quelques jours là-bas car ses parents devaient aller voir des amis pendant une petite semaine dans les Landes.
« On ne sera que tous les trois, on aura la piscine rien que pour nous, vous verrez le coin est sympa, surtout s’il fait beau »
Pourquoi pas, nous nous sommes arrangés pour prendre des congés à partir du mercredi soir jusqu’au lundi.
Le lundi juste avant de partir, il est venu nous voir pour nous dire que malheureusement ses parents avaient dû annuler leur séjour dans les Landes car leurs amis avaient eu un décès dans la famille.
« Tans-pis, dit Nathalie, on ira une prochaine fois »
« Non, non attendez, j’en ai parlé à mes parents et ils sont d’accord pour qu’on vienne même s’ils sont là »
« Oui mais c’est gênant, on ne les connait pas »
« Ne vous inquiétez pas, ils sont cool et ils m’ont dit que ça allait leur faire du bien de voir un peu de monde à la maison »
Nous avons décidé d’accepter l’invitation.
Nathalie devait refaire les valises, ses tenues vestimentaire prévues étaient peut-être un peu trop indécentes pour des retraités.
Au revoir le maillot de bain string, la micro-jupe, le décolleté vertigineux, bref il fallait être un peu plus soft.
Elle avait prévu des habits un peu affriolant car sachant que Eric venait seul, elle voulait l’allumer un peu pour voir jusqu’où il pouvait aller.
Nous sommes donc partis tous les trois le mercredi soir dans la voiture de notre copain.
Arrivé vers vingt-trois heures trente, seul Pierre la père d’Éric nous attendait, sa femme Candice était couchée depuis au moins deux heures.
« Excusez ma femme, nous dit-il, mais elle ne tient pas le choc le soir, au plus tard à vingt-deux heures elle est au lit »
Pierre était grand aussi, un mètre quatre-vingt-dix environ, assez maigre mais bien conservé, un air assez hautain, peu de rides, des cheveux gris blanc et son fils lui ressemblait beaucoup, c’était un bel homme de soixante ans.
Le lendemain, nous avons fait la connaissance de Candice, très belle femme mais un peu plus marquée que son mari, grande, fine, un beau visage et de yeux pétillants.
Nous avons très vite bien sympathisé et avons passé un agréable séjour avec eux.
Nous sortions un peu le soir et parfois en après-midi pour aller à la plage, mais nous avons passé beaucoup de temps en maillot de bain à la piscine ou sur les transats de la terrasse.
Le maillot de bain de ma femme n’était pas un string mais il avait tendance à lui rentrer dans la raie des fesses lorsqu’elle bougeait et donc à découvrir ses deux globes fessier bien rond.
Pour les seins, c’était pire car sa lourde poitrine lui interdisait de faire des mouvements trop brusque sous peine de sortir de leur logement.
Bien sûr discrètement Pierre et Eric n’en loupaient pas une miette.
Heureusement Candice n’avait pas l’air jalouse et se souciait peu de cela, elle passait sa journée à lire ou à faire à manger.
Le vendredi soir, ils nous ont invité au restaurant après nous avoir baladé une partie de l’après-midi à visiter la région.
Nous avons profité tout le samedi de la piscine car ils annonçaient un temps grisâtre pour le lendemain.
La journée s’est passée tranquillement à jouer dans l’eau puis bronzer sur les transats, bref à profiter pleinement de ce soleil du mois de juin.
Le repas du soir était assez copieux et bien arrosé, trois apéritifs, deux bouteilles de rosé et x digestifs, on a gouté à peu près à tous les alcools du bar, enfin surtout Eric et moi.
Pierre et Nathalie avaient été un peu plus sobre quant aux digestifs et Candice n’avait, elle, quasiment rien bu.
A vingt-deux heures trente elle était au lit.
Sur la terrasse il y avait un petit canapé deux places sur lequel, avec Eric, nous étions installés, Nathalie et Pierre étaient sur des fauteuils face à nous.
Il devait être environ minuit et demi quand Eric et moi nous sommes endormis l’un contre l’autre, étant fortement alcoolisé, on ronflait comme des petits cochons.
Pierre et Nathalie ont continué à discuter un peu, puis il a dit :
« Si nous faisions un bain de minuit »
« Oui pourquoi-pas, je vais chercher un maillot de bain et j’arrive »
Alors il lui a rétorqué avec un grand sourire :
« Un bain de minuit c’est à poil, madame »
« Oui mais si quelqu’un nous voit tous les deux nu dans la piscine, ils vont s’imaginer des choses »
« Ne vous inquiétez pas, personne ne nous verra, ma femme dort comme un loir et les deux picolos ne sont pas près de se réveiller tellement ils ont bu »
« Bon ok » dit-elle un peu gênée.
« Allez, je me retourne pendant que vous vous déshabillez »
Une fois Nathalie dans l’eau, il s’est à son tour mis nu, sans aucune gêne pour le faire sous ses yeux, il l’a ainsi rejointe pour faire quelques brasses.
Il faisait encore chaud malgré l’heure tardive, l’eau de la piscine était agréable et l’alcool avait désinhibé un peu leur sens.
« Ça vous dit un peu de champagne ? » lui a-t-il demandé.
« Oui je veux bien »
Il est alors sorti de l’eau pour aller chercher une bouteille et deux verres.
Nathalie accoudé au bord de la piscine attendait son retour, les seins à demi hors de l’eau.
Quand il est à nouveau rentré dans l’eau, elle a eu l’impression que son sexe avait pris un peu de volume.
Il est venu à côté d’elle pour déboucher le champagne et servir leur verre.
Lui avait de l’eau jusqu’au nombril et elle en dessous de sa poitrine, qu’il ne pouvait qu’admirer.
« Superbe pour la première fois que je les vois sans rien, vos seins sont magnifiques » lui dit-il.
Ils ont trinqué et prenant un peu de courage il lui a dit :
« J’ai trop envie de les toucher »
Alors, il a posé son verre et dirigé ses mains vers sa lourde poitrine.
Voyant qu’elle ne disait rien, il a continué en les caressant franchement et en jouant avec ses tétons.
Ses pointes se sont érigées et il est venu poser sa bouche dessus, jouant avec sa langue sans arrêter de les masser.
Il semblait être dans un état second, complètement différent de l’homme distingué et posé qu’il était jusqu’à maintenant.
« J’en ai envie depuis que je t’ai vu » lui a-t-il dit.
Il la tutoyait maintenant.
« Regarde comme tu me fais de l’effet » a-t-il continué en lui prenant la main pour la poser sur sa queue toute dure.
Un peu excitée par la situation, elle s’est laissé faire et a entouré la bite qu’elle avait dans la main pour le branler doucement.
Pendant plusieurs minutes ils sont restés ainsi, puis il l’a attrapé par les hanches pour la coller contre lui, ses mains sont descendues pour caresser ses fesses pendant qu’il se frottait de plus en plus contre son pubis.
Il l’a ensuite soulevé pour la faire assoir sur le bord de la piscine, il a passé ses jambes autour de son cou et a plongé sa tête vers sa chatte qu’il a doucement attaqué de sa langue, d’abord les lèvres, puis le clito puis tout doucement a enfoncé sa langue dans ses chairs intimes.
Elle s’est allongée sur le dallage, lui permettant de continuer à la fouiller tout en caressant ses seins.
Cette langue qui lui léchait le sexe manquait d’expérience mais commençait à lui faire monter le plaisir, elle gémissait doucement en lui attirant la tête afin qu’il aille plus loin en elle.
Il la léchait presque hystériquement, la pénétrant bien loin, plus elle gémissait plus il se lâchait.
Quand elle a joui, bien qu’elle se soit retenue de crier, il a posé la main sur sa bouche pour limiter le bruit qu’elle faisait.
Lui laissant le temps de reprendre ses esprit, il est sorti de l’eau pour se diriger vers elle la bite bien raide.
Elle s’est relevée pour se mettre à genoux et venir prendre sa queue dans la bouche.
Elle a commencé à passer sa langue partout sur son membre tout en le branlant.
Il semblait apprécier ce qu’elle lui faisait car elle a bien cru qu’il allait lui envoyer la purée au bout de dix secondes.
« Attends, lui dit-il, allons dans le salon, nous serons plus à l’aise »
A poils ils ont traversé la terrasse et Pierre s’est installé dans un fauteuil en écartant bien les jambes, Nathalie a pris un coussin qu’elle a déposer à ses pieds afin de se mettre à genoux entre ses cuisses et continuer à lui prodiguer la fellation qu’elle avait entamé au bord de la piscine.
Son gland était extrêmement sensible car dès qu’elle enroulait sa langue autour, il semblait pris de spasmes.
Il était très excité et ne semblait plus être le même homme, il la tirait par les cheveux en la traitant.
Des mots crus qui ne correspondaient pas au personnage, mais qui montraient bien l’état second dans lequel il était.
Il ne devait pas avoir eu très souvent ce genre de pratique car il n’a résisté que quelques petites minutes à la bouche déjà experte de ma femme, avant d’éjaculer dedans et sur son visage.
Après avoir repris ses esprits il lui a dit d’un air penaud :
« Désolé, je… je ne sais pas ce qui m’a pris… désolé… je… , il ne faut le dire à personne, vous me le promettais »
En souriant, elle a répondu :
« Ne vous inquiétais pas, je ne dirais rien. »
Le vouvoiement était redevenu de rigueur.
Elle s’est rhabillée puis est ensuite venue me réveiller pour monter dans notre chambre.
Elle préférait attendre que nous soyons revenus à la maison pour me raconter sa soirée avec Pierre, tout en se disant que certains hommes étaient vraiment bizarres, elle venait de lui faire une pipe pendant laquelle il lui avait dit qu’elle était une petite salope et une petite pute et qu’a peine il avait vidé ses couilles, il la vouvoyait à nouveau.
Le lendemain quand nous sommes descendus pour déjeuner dans la cuisine, Pierre et Candice partaient.
« Nous allons à la messe puis au marché, nous serons de retour vers midi, mais ne vous inquiétais pas le repas est prêt et nous pourrons passer à table vers midi trente » nous a dit Candice.
Il était neuf heures, après le petit déjeuner nous sommes allés prendre une douche et nous habiller, enfin moi car Nathalie avait l’intention de se mettre au bord de la piscine pour bronzer.
La grisaille annoncée s’était transformée en un magnifique soleil.
J’ai repris un café et suis allé la rejoindre sur la terrasse.
Elle était allongée sur un transat avec juste un string qu’elle avait rentré entre ses lèvres et qui ne cachait qu’un petit morceau de son ticket de métro.
« Je vais prendre la voiture d’Éric pour faire le plein pour demain et je vais acheter quelques trucs à grignoter pour la route, tu as besoin de quelques choses ? »
« Non » m’a-t-elle répondue.
J’ai entendu Eric aller dans la salle de bain et j’ai dit à Nathalie :
« Tu va l’affoler quand il va te voir comme ça »
« Tu préfère que je me rhabille un peu ? »
« Non ma chérie, je sais que ça te plait d’exciter les hommes et ça me plais aussi. »
Quand il est arrivé sur la terrasse il était en short et tee-shirt, la banane autour de la taille.
« T’es toute seule ? »
« Oui tes parents sont à la messe et ne rentre que vers midi et mon homme est parti faire le plein de ta voiture et acheter quelques bricoles. »
Il a détaché sa banane puis s’est déshabillé en disant :
« Bon et bien je vais me baigner alors. »
Tout en disant ça, il n’arrêtait pas de lorgner sur ma femme.
« C’est la première fois que je vois tes seins comme ça, ils sont énormes et très beaux .»
Décidément, le père et le fils avaient les mêmes répliques.
« Merci. »
Il n’avait pas de slip sous son short et était maintenant tout nu devant elle, il continuait à la mater.
« Tu va te baigner à poil ? » dit-elle.
« Tu l’a bien fait hier soir avec mon père. » a-t-il répondu sur un ton de reproche.
Un peu interloquée car elle ne pensait pas qu’il les avait vu, elle a vite repris le dessus en lui disant.
« On dirait que ça te gêne ou que tu es jaloux. »
« Bien sûr que ça me gêne et que je suis jaloux, j’aurais préféré être à sa place. »
Quelques secondes de silence, puis Nathalie s’est assise, les yeux rivés sur le sexe qu’elle avait devant elle et le regardant droit dans les yeux, elle lui a dit :
« Ça peut s’arranger si tu veux. »
N’attendant que ça, il s’est aussitôt agenouillé près d’elle, une main dans son dos, l’autre sur ses seins et lui a pris la bouche pour y enfoncer sa langue.
Ils se sont longuement embrassés, ses mains la caressaient partout, celle qui était sur ses seins et descendue sur son ventre puis a forcé le passage du string pour s’attaquer à ses lèvres et son clito.
Ma femme a bien écarté les jambes pour le laisser progresser dans son intimité.
Sa main a réussi à attraper la queue déjà bien raide de son partenaire pour la branler.
Pendant tout ce temps leurs langues continuaient à se mélanger.
Ses doigts avaient maintenant complètement pénétré l’intérieur de son sexe et la fouillaient allègrement.
Elle gémissait sous ses caresses et commençait à mouiller abondamment.
Il embrassait bien, la branlait bien, elle s’est dit que ça devait être un bon coup.
Il s’est relevé la bite bien raide en lui disant :
« J’ai grave envie de te baiser, tu as l’air trop bonne. »
Ma femme s’est levée à son tour et est allée se mettre à quatre pattes sur le dallage près de la piscine.
Eric à pris un préservatif qu’il a sorti de sa banane (en tant que célibataire, il en avait toujours sur lui) puis et venu s’installer contre ses fesses en la pénétrant sans ménagement et bien profondément.
Elle a émis un long feulement de plaisir lorsqu’il l’a investi.
Agrippé à ses hanches, il la démontait copieusement à un rythme effréné, elle gémissait de plus en plus fort sous ses coups de boutoir, jusqu’à ce qu’il la fasse crier lorsqu’elle a eu son premier orgasme.
Ne lui laissant pas le temps de reprendre son souffle, il a continué ses grands va et vient, lui procurant une deuxième jouissance très rapidement.
« Arrête s’il te plait, j’ai mal au genoux et aux coudes, il faut qu’on trouve un endroit plus confortable. »
« Tu as raison, allons dans ma chambre. » a-t-il répondu.
Ils ont pris leurs affaires puis sont montés à l’étage.
Nathalie s’est assise sur le bord du lit puis s’est laissé tomber en arrière, les jambes bien écartées.
Eric a bien compris l’invitation et s’est installé entre ses cuisses pour la dévorer.
Il était aussi doué avec sa langue, qui ne chômait pas à investir toute l’intimité de Nathalie, qui inondait de cyprine la bouche de son amant.
Quand il s’est relevé après l’avoir faite jouir une nouvelle fois, elle s’est installée au milieu du lit et il est venu sur elle en position du missionnaire.
Il l’a besogner un bon moment dans cette position, la faisant jouir encore deux fois.
A force de baiser aussi intensément, ils étaient trempés de sueur et de sécrétions.
« Allonge-toi, je vais te donner du plaisir à mon tour. »
Alors il s’est mis sur le dos et c’est elle qui est venue entre ses cuisses pour le prendre dans sa bouche.
Elle a entouré de sa main sa queue bien dur pour le branlait, pendant que le reste de sa bite était martyrisé par sa langue aussi douce que redoutable.
Elle le léchait, l’aspirait, le mordillait, elle lui gobait les couilles puis remontait vers son gland en passant sa langue tout le long de sa hampe.
Au bout d’une dizaine de minutes, il s’est laissé aller en lui aspergeant le gosier de plusieurs grandes giclées de sperme qu’elle a avalé goulument.
Ils se sont allongés, tourné l’un vers l’autre et ont discutés un bon moment, ils se caressaient mutuellement en même temps, Eric ne débandait presque pas et la main de ma femme qui lui massait la bite n’y était pas pour rien.
« J’ai soif » lui dit-elle.
« Bouge pas je vais te chercher à boire. De l’eau ou autre chose ? »
« Juste de l’eau, merci. »
Il s’est levé, la queue encore toute raide pour descendre à la cuisine.
Quand il est revenu elle lui a dit :
« Heureusement que personne n’est rentré pendant que tu étais en bas, tu aurais eu l’air bête dans cette posture. »
« C’est vrai, mais il n’est que onze heures trente et mes parents ne seront pas là avant midi. »
« Oui sauf que mon homme ne va peut-être pas tarder à rentrer lui aussi. »
« Je vais ouvrir la fenêtre comme ça on entendra les voitures arriver et là j’ai encore envie de te baiser, tourne-toi j’aime trop voir ton cul quand je te défonce. »
Les mains lui tenant fermement les hanches, il la pistonnait à nouveau bien fort depuis dix bonnes minutes, son pieu allait et venait très loin dans son puis d’amour.
Elle couinait de bonheur en évitant de faire trop de bruit
Il lui a mis une grande claque sur les fesses en lui disant :
« Tu peux te lâcher, même si les voisins entendent, ou s’en fou, putain il est trop beau ton cul. »
Alors elle s’est laissé aller en libérant bruyamment la montée de son plaisir.
Il a profité de son excitation pour lui enfoncer doucement un doigt dans les fesses pendant qu’il continuait de la limer
Elle a criée très fort lors de son orgasme, lui en a profité pour glisser un deuxième doigt dans son cul et enfoncer sa bite le plus loin possible dans sa chatte.
Son corps tremblait tellement elle avait joui fort, lui avait toujours son gourdin bien raide au fond d’elle et ses deux doigt qui lui élargissaient l’anus.
« On va peut-être se rhabiller, il est presque moins dix, ils vont bientôt arriver . »
« Non, J’ai envie de t’enculer. »
« Ah non, là ça ne va pas être possible, déjà que tes doigts me font mal, alors je n’imagine même pas ta queue. »
« Allez, s’il te plait, laisse-toi faire. »
« Non. »
C’était un non ferme et définitif et il l’a bien compris.
Malgré ce refus, il n’avait pas débandé et a recommencé à la pilonner.
Nathalie sentait qu’une nouvelle jouissance n’allait pas tarder et se donnait encore plus pour qu’elle arrive avant que nos hôtes ne rentrent.
Eric se déchainait en la démontant de plus en plus fort et de plus en plus vite.
Un bruit de moteur qui s’approche puis s’arrête, deux portes qui claquent, des bruits de pas dans l’allée qui passe juste sous la fenêtre, c’est le moment ou Nathalie n’a pas pu se retenir de jouir, d’autant plus que le sexe d’Éric semblait encore plus gros et qu’il avait encore accéléré le mouvement.
La tête dans l’oreiller, qu’elle mordait, cachait difficilement les bruits qu’elle faisait pendant qu’elle jouissait encore très fort et ceux du claquement du pubis d’Éric contre ses fesses.
A croire qu’il espérait que ses parents ou du moins son père entende qu’il baisait ma femme.
« On est là. » C’était sa mère qui, de la cuisine, prévenait de leur retour.
Deuxième voiture, claquement de porte et bruits de pas.
Cette fois-ci c’était moi qui rentrais.
« Tourne-toi vite donne ta bouche »
Il est sorti d’elle a retirer sa capote et est vite venu dans sa bouche éjaculer plusieurs rasades de foutre.
Il a ensuite frotté sa queue sur son visage avant de se rhabiller et aller dans la salle de bain.
Ma femme, une fois de nouveau vêtue, est descendue discrètement, en évitant la cuisine, pour se diriger vers la terrasse, en chemin elle a croisé Pierre qui l’a regardé avec un sourire narquois, il avait certainement compris ce qu’il venait de se passer.
La première chose qui m’a marqué, quand je suis arrivé sur la terrasse rejoindre Nathalie, c’est ses genoux, ils étaient tout rouge, en la regardant en peu plus, j’ai vu que les coudes étaient eux aussi rouge, bien qu’un peu moins quand même et quand elle est venue m’embrasser, je n’ai pu que sentir l’odeur de sexe qu’elle avait sur le visage.
Pour confirmer ce que je pensais, je lui ai roulé une pelle, le gout de sperme dans sa bouche était encore bien présent.
Alors avec un grand sourire, elle m’a dit :
« Je te raconterais quand nous serons à la maison. »
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
A force de jouer à la roulette russe c’est quoi votre recette pour n’avoir jamais été malade ?
Vous vous êtes calmée en vieillissant ?
Vous vous êtes calmée en vieillissant ?
Que c'est beau cet amour candau...
Merci pour cette magnifique histoire..
Cyrille
Merci pour cette magnifique histoire..
Cyrille
Nickel cette histoire
Nathalie est une adorable salope!