Service après-vente et Silvio, le coup de foudre !
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-03-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Service après-vente et Silvio, le coup de foudre !
Peu de temps avant de retrouver Mario, qui ne m'a pas encore recontacté, mon nouvel employeur m'envoie chez un client pour terminer une cuisine aménagée.
C'est du service après-vente, en quelque sorte.
En arrivant, je fais connaissance avec une petite famille, une épouse assez masculine, une fille de 16 ans au physique assez banal et le mari, militaire, déjà à la retraite, qui a un peu plus de 50 ans.
La fille part à l'école, et la femme annonce qu'elle va faire des courses dans une zone commerciale, en dehors de la ville.
Elle pense en avoir pour plus de deux heures.
Pendant ce temps, je remplace une porte, et commence à refaire une finition, mal faite par l'ouvrier précédent.
Comme j'ai chaud, je demande si je peux enlever mon pull, et laisse apparaitre mon tee-shirt.
Au bout de 45 minutes, l'homme disparait et revient en survêtement de sport.
La déformation que fait l'appareil génital de l'homme est beaucoup plus proéminente, je pense qu'il n'a pas mis de slip.
Je travaille baissé en évitant de poser mon regard vers lui, je sais que je ne pourrai éviter de reluquer sa grosse bosse.
Le moment est presque gênant, je sens son regard sur moi.
Je lève ma main pour chercher un outil, sur le plan de travail, sans me retourner.
Il prend ma main pour la guider, en demandant:
"C'est ça que tu veux ?".
Le contact doux et chaud me fait réaliser qu'il a posé ma main sur sa bite en érection.
Je redresse mon visage pour le regarder.
"Tu ne veux pas t'occuper de ça ? Plutôt ?".
"Je... Je peux pas ! Je suis pas là pour ça !".
"Donc, je ne me trompes pas, t'es une petite pédale ! t'aimes les belles queues ! Regardes comme tu m'excites !".
Il dégage son long sexe, en baissant complètement son jogging, puis vient presque toucher le haut de mes lèvres avec son gland.
Il se tient la verge à la base et la frotte sur ma bouche.
"T'es sur que t'en as pas envie ?".
J'ouvre mes lèvres pour répondre, il en profite pour s'y engouffrer.
Sa main est passée derrière ma nuque pendant qu'il glisse dans ma gorge.
Son gland cogne contre ma glotte, me faisant saliver énormément.
"Oui, comme ça, lubrifie la bien, je vais te la mettre dans le cul après ! Allez maintenant, à toi, suces moi !".
Il enlève sa main et il constate que je le pompe avec délice.
Il gémit de plaisir.
"Hummm, j'aime les petites salopes faciles comme toi !".
Après dix minutes de fellation goulue, il me redresse et me plie sur le plan de travail.
Mon cul se retrouve dénudé et prêt à se faire saillir.
Il ouvre son frigidaire et racle son doigt sur une plaquette de beurre, qu'il étale sur mon anus.
Sa bite fait fondre l'amas de graisse et s'enfonce peu à peu entre mes fesses.
"Arhhhhhhhhhh!".
"T'aimes ça ! Te faire enculer, hein, petit pédé ?".
"Oui ! Arhhhhhhhhhhhhh!".
Il me ramone inlassablement, en me faisant jouir une première fois, puis il se lasse de l'endroit et me dirige vers son canapé, sans sortir de mon cul.
Une fois placé en levrette, il me défonce comme une bête.
J'ai encore pris deux autres orgasmes.
Il me retourne sur le dos et m'encule face à moi.
"Tiens tes jambes ! Offres-moi ton cul !".
J'écoute comme une pute soumise, et il use de mon anus à sa guise encore et encore, avec puissance.
Puis il remplace mes mains avec les siennes, et me soulève en m'enculant à fond.
Ma queue est en érection, puis en quelques minutes de défonce profonde, j'éjacule sur mon tee-shirt.
Une bonne centaine d'assauts plus tard, il se déverse en moi, qui l'accompagne d'un nouvel orgasme anal.
J'avoue que j'ai ensuite du mal à terminer mon travail, même si j'avais quasiment fini.
J'ai remis mon pull, pour cacher les taches de sperme.
Il m'a remis un pourboire de 500 francs, en disant:
"Tu les as mérité, t'as fais du bon boulot !".
Je n'ai jamais vraiment su lequel !
Il m'a accompagné en sortant de chez lui, pour aller faire un footing.
Il se sentait bien allégé, il s'était bien vidé les couilles !
Lorsque j'ai changé de tenue pour rentrer chez moi, j'ai du me tourner pour cacher les taches de sperme sur mon Tee-shirt.
Cette expérience excitante relance ma libido homosexuelle. Je décide quelques jours plus tard de me rendre au Sex-Shop.
J'y rencontre quelques hommes avec qui je connais de bons orgasmes anaux.
J'ai aussi le bonheur de sucer de belles queues qui m'honorent de leurs jus chauds et débordants.
Je suis sur le point de quitter l'endroit, qui se vide peu à peu.
Un homme très grand et imposant, au visage très sympathique, m'aborde en me caressant le bas du dos.
Il m'attire à lui pour m'embrasser et me dit:
"Tu me plais beaucoup ! T'es mon genre !".
"Merci !".
Je lui caresse la queue doucement, mais avec fermeté.
Il défait ma ceinture, mon pantalon tombe à mes pieds, je m'agenouille devant lui, qui dégage sa bite.
Sa queue se dresse devant mon visage, elle est très épaisse et très dure.
J'ai déjà envie de la dévorer avec passion, je ne peux pas expliquer pourquoi, mais avec cet homme, il y a quelque chose de différent.
Tendrement, j'écarte mes lèvres pour l'englober et lui donner tout le plaisir que je peux.
Il gémit longuement, disant qu'on l'a rarement sucé comme ça. Il me dit des mots très doux.
Puis ses bras puissants me redresse et me plaque contre le mur.
Il baisse mon slip et colle son gros gland entre mes deux lobes fessiers.
J'ai encore du gel lubrifiant de ma dernière sodomie.
Son gros sexe trouve facilement le chemin de mon anus, mais il m'écartèle les parois anales en me faisant râler, il est plus gros que les précédents.
Je m'attend à me faire défoncer copieusement, mais contre toute attente, ses mains se font caressantes, et sa pénétration, lente et puissante.
Il me répète que je lui plais énormément et me précise:
"Je m'appelle Silvio et toi?".
"Arhhhhhhhhh ! Pascal ! Arhhh ! C'est bon ! Encore !".
"Tu me plais beaucoup, Pascal ! Je suis bien dans ton cul !".
"Toi aussi, tu es bon ! Arhhhhhhh !".
Il continue sa possession tendre et progressive de mon corps. Il me rend dingue par son toucher, tout mon corps est sensible à ses frottements fermes sur mon dos, mon cul, ma nuque.
Sa grosse bite m'écartèle en me procurant une sensation de comblement parfait de mon anus.
Il me plaque contre lui, en attirant ma bouche pour m'embrasser pendant que sa verge me possède jusqu'aux couilles.
Ses bras musclés m'encerclent pour m'enfoncer sur lui à chaque assaut profond.
"Tu me rend dingue Pascal ! C'est bon de te prendre !".
"Arhhh ! Silvio ! Tu me fais jouir ! C'est fort ! Encore ! J'adore ! Arrrrhhhhhhhhhhhhh !".
Il me fait pivoter et m'emmène vers un appareil destiné aux amateurs de bondage.
C'est une très large bande de cuir attachée à quatre chaines fixées au plafond.
Il me fait m'allonger sur le dos et passe mes jambes derrière les deux chaines de son coté, lui offrant complètement mon anus.
Il me pénètre profondément et me couvre de caresses sur le corps, tout en me possédant avec puissance.
Je connais encore un orgasme anal énorme, Il s'approche de mes lèvres, je le rejoins pour partager un très long baiser.
J'aime lui appartenir, je ne me reconnais plus, c'est plus que du sexe.
Cela fait tellement longtemps que je n'ai pas ressenti ce besoin de me faire aimer par un homme.
"Oh Pascal, il faut qu'on se revoit ! Tu me plais trop !".
"Arhhhhhhh ! A moi aussi, tu me plais trop , C'est bon ! Arhhhhhhhh !".
Il me possède encore et encore ainsi, jusqu'à éjaculer en criant son plaisir.
Je suis au bord des larmes en orgasmant avec lui.
Puis, après le plaisir, on retrouve nos esprits, il me dit qu'il habite très loin, mais espère me revoir assez vite, malgré tout.
Il faudra malheureusement attendre plus de six mois pour cela, toujours au Sex-Shop.
Encore une fois, il me faut attendre la fin de soirée, Il est collé au mur avec son sexe en érection.
Dans la pénombre, je ne l'ai pas reconnu, je me délecte de sa queue, très longuement.
Nos yeux s'habituent à l'obscurité, il me redresse et me dit que je lui plais beaucoup, encore une fois.
Je le reconnais enfin, et lui révèle qu'on a déjà baisé ensemble.
Il me serre contre lui et m'embrasse longuement, ses mains me déshabillent.
Comme la première fois, il me pénètre par derrière.
Je l'accompagne dans ses assauts, avec mon cul qui s'empale sur sa bite, au rythme de sa pénétration puissante.
Il me rend fou en me possédant, avec ses mains caressantes et sa bite épaisse.
Pourquoi suis-je encore si sensible à cet homme là.
J'ai l'impression que c'est naturel, il me fait l'amour et je trouve ça normal, j'en ai envie comme jamais.
"Ohhh ! Silvio, t'es le seul qui me rend comme ça ! Ta queue me rend fou, tu me fais tellement bien l'amour !".
"C'est pareil pour moi, Pascal ! J'aime ton corps ! j'y suis bien, tu es beau !".
Il me replace sur l'appareil en cuir et chaines et me possède sur le dos puis sur le ventre très, très longuement.
Je reçois avec bonheur son éjaculation au fond de mon anus, criant mon dernier orgasme avec lui.
Cette fois, il me demande, si c'est possible de nous retrouver.
Il m'annonce être de retour, deux jours plus tard.
On se donne rendez-vous à l'extérieur, je me laisse conduire à un hôtel en dehors de la ville.
Dès qu'on passe la porte, on ne peut s'empêcher de coller nos lèvres dans un long baiser.
"Ohhh ! Pascal ! Tu me rend fou ! Tu m'as manqué ! Tu me plais encore plus en plein jour ! Tu es tellement beau !".
"Toi aussi, tu m'as manqué Silvio ! Prends moi encore !".
Il me déshabille en me couvrant de baisers pendant son effeuillage.
Je suis pris de frissons, quand il me dévore l'anus en écartant mes fesses, de ses larges mains.
Puis il me porte comme une poupée légère et me dépose sur le lit.
Je le regarde se dévêtir, je suis excité comme un dingue en voyant sa très grosse queue bandée, qui surgit hors de son slip.
Il s'approche mon visage, et me dirige vers elle.
Il me pénètre la gorge avec douceur pendant que je le suce amoureusement, allongé sur le ventre.
Ses mains ne cessent de me caresser le dos et les fesses, elle m'apportent des sensations de plaisir que je n'ai jamais connues.
Il monte sur le lit, je me tourne et écarte mes cuisses, il me soulève et me couvre de salive.
Il prend son temps, très lentement, il écartèle mon anus et s'enfonce en moi jusqu'aux testicules.
Je me pâme de plaisir sous cette pénétration extrême.
Il se penche sur moi et m'embrasse en me possédant analement, tendrement.
Sa possession et ses mains me rendent fou encore une fois, je joui sous son corps lourd et large.
Avec mes 1m60, et mon corps fin, je disparais sous lui, qui atteint plus d' 1m95, tout en largeur.
Il aime me voir jouir et veut retrouver ce moment, il ne s'arrête pas et m'emmène une nouvelle fois à l'orgasme anal.
Je suis submergé par les sensations en jouissant et je dérape en disant:
"Arhhhhhhhhhh ! Silvio ! Je t'aime ! Arhhhhhhhhhh !".
Il m'embrasse tout de suite après et ensuite ajoute:
"Moi aussi, je t'aime Pascal ! C'est un coup de foudre pour moi !".
"Moi aussi ! Aime moi, encore !".
Il me pénètre avec une fougue amoureuse plus folle et pénétrante, je me contorsionne pour me donner à lui sans retenue, je prend un plaisir immense.
"Je vais jouir ! Pascal ! C'est trop bon de te faire l'amour ! Je viens !".
"Non ! Viens dans ma bouche, je veux te gouter ! Viens !".
Il dépose précipitamment sa main sur sa queue en la serrant et vient me pénétrer la gorge en soutenant ma nuque.
Il relâche sa pression, qui laisse exploser une très longue éjaculation, chaude et poivrée.
Son gout est très puissant, malgré mon habitude des fellations, la grosseur de son gland ne m'aide pas à avaler facilement.
J'ingurgite ses effluves, pris d'un orgasme cérébral causé par l'amour, ses gémissements de plaisir et le gout de son sperme qui m'envahit le palais.
Lentement, il se met a coulisser dans ma bouche, il a terminé de jouir.
Je lui offre une longue caresse buccale, pendant laquelle, il essuie le bas de mes lèvres, dégoulinant de foutre, avec son gland.
Puis il se remet à l'intérieur de mon anus, et m'embrasse tendrement.
Nos gémissements se mêlent et sont accompagnés de mots d'amour enflammés.
Il se place derrière moi, je me pénètre encore de sa délicieuse queue.
Sa main qui passe entre mes cheveux, me fait frissonner encore.
Je me met à pleurer, face à la réalité de cette situation inattendue.
"Qu'est-ce qui nous arrive ? J'ai une femme et un enfant ! J'ai pas la place pour ça !".
"Moi aussi, je suis marié ! C'est un coup de foudre, on y peut rien ! Je suis fou de toi ! J'ai jamais connu ça avec un autre jeune homme ! Je t'aime !".
"On va faire comment ?".
"Je sais pas ! J'habite pas à coté en plus !".
"C'est peut être mieux ! Alors, il ne faut plus qu'on se revoit !".
"Peut être, mais on va profiter de ce jour ! Non ?".
"Oui, t'as raison !".
Je me retourne et l'embrasse.
On se raconte nos vies respectives, en se touchant et s'embrassant sans cesse.
Puis le désir renait et nous reprenons nos ébats beaucoup plus longuement.
Il m'encule tendrement, fougueusement, puis sauvagement en m'épuisant d'orgasmes successifs.
Il jouira trois fois, et me procure mon plaisir préféré, une éjaculation sans me toucher lors d'une sodomie interminable.
Nous avons beaucoup de mal à nous séparer.
Je rentre chez moi avec du retard, mon anus est endolori de toutes ces longues sodomies.
Je fais croire à Corinne que je suis allé au Cinéma porno, je n'en dis pas plus, j'ai peur de lui révéler mes sentiments pour un homme.
Nous ne nous reverrons jamais, et c'était mieux comme ça !
C'est du service après-vente, en quelque sorte.
En arrivant, je fais connaissance avec une petite famille, une épouse assez masculine, une fille de 16 ans au physique assez banal et le mari, militaire, déjà à la retraite, qui a un peu plus de 50 ans.
La fille part à l'école, et la femme annonce qu'elle va faire des courses dans une zone commerciale, en dehors de la ville.
Elle pense en avoir pour plus de deux heures.
Pendant ce temps, je remplace une porte, et commence à refaire une finition, mal faite par l'ouvrier précédent.
Comme j'ai chaud, je demande si je peux enlever mon pull, et laisse apparaitre mon tee-shirt.
Au bout de 45 minutes, l'homme disparait et revient en survêtement de sport.
La déformation que fait l'appareil génital de l'homme est beaucoup plus proéminente, je pense qu'il n'a pas mis de slip.
Je travaille baissé en évitant de poser mon regard vers lui, je sais que je ne pourrai éviter de reluquer sa grosse bosse.
Le moment est presque gênant, je sens son regard sur moi.
Je lève ma main pour chercher un outil, sur le plan de travail, sans me retourner.
Il prend ma main pour la guider, en demandant:
"C'est ça que tu veux ?".
Le contact doux et chaud me fait réaliser qu'il a posé ma main sur sa bite en érection.
Je redresse mon visage pour le regarder.
"Tu ne veux pas t'occuper de ça ? Plutôt ?".
"Je... Je peux pas ! Je suis pas là pour ça !".
"Donc, je ne me trompes pas, t'es une petite pédale ! t'aimes les belles queues ! Regardes comme tu m'excites !".
Il dégage son long sexe, en baissant complètement son jogging, puis vient presque toucher le haut de mes lèvres avec son gland.
Il se tient la verge à la base et la frotte sur ma bouche.
"T'es sur que t'en as pas envie ?".
J'ouvre mes lèvres pour répondre, il en profite pour s'y engouffrer.
Sa main est passée derrière ma nuque pendant qu'il glisse dans ma gorge.
Son gland cogne contre ma glotte, me faisant saliver énormément.
"Oui, comme ça, lubrifie la bien, je vais te la mettre dans le cul après ! Allez maintenant, à toi, suces moi !".
Il enlève sa main et il constate que je le pompe avec délice.
Il gémit de plaisir.
"Hummm, j'aime les petites salopes faciles comme toi !".
Après dix minutes de fellation goulue, il me redresse et me plie sur le plan de travail.
Mon cul se retrouve dénudé et prêt à se faire saillir.
Il ouvre son frigidaire et racle son doigt sur une plaquette de beurre, qu'il étale sur mon anus.
Sa bite fait fondre l'amas de graisse et s'enfonce peu à peu entre mes fesses.
"Arhhhhhhhhhh!".
"T'aimes ça ! Te faire enculer, hein, petit pédé ?".
"Oui ! Arhhhhhhhhhhhhh!".
Il me ramone inlassablement, en me faisant jouir une première fois, puis il se lasse de l'endroit et me dirige vers son canapé, sans sortir de mon cul.
Une fois placé en levrette, il me défonce comme une bête.
J'ai encore pris deux autres orgasmes.
Il me retourne sur le dos et m'encule face à moi.
"Tiens tes jambes ! Offres-moi ton cul !".
J'écoute comme une pute soumise, et il use de mon anus à sa guise encore et encore, avec puissance.
Puis il remplace mes mains avec les siennes, et me soulève en m'enculant à fond.
Ma queue est en érection, puis en quelques minutes de défonce profonde, j'éjacule sur mon tee-shirt.
Une bonne centaine d'assauts plus tard, il se déverse en moi, qui l'accompagne d'un nouvel orgasme anal.
J'avoue que j'ai ensuite du mal à terminer mon travail, même si j'avais quasiment fini.
J'ai remis mon pull, pour cacher les taches de sperme.
Il m'a remis un pourboire de 500 francs, en disant:
"Tu les as mérité, t'as fais du bon boulot !".
Je n'ai jamais vraiment su lequel !
Il m'a accompagné en sortant de chez lui, pour aller faire un footing.
Il se sentait bien allégé, il s'était bien vidé les couilles !
Lorsque j'ai changé de tenue pour rentrer chez moi, j'ai du me tourner pour cacher les taches de sperme sur mon Tee-shirt.
Cette expérience excitante relance ma libido homosexuelle. Je décide quelques jours plus tard de me rendre au Sex-Shop.
J'y rencontre quelques hommes avec qui je connais de bons orgasmes anaux.
J'ai aussi le bonheur de sucer de belles queues qui m'honorent de leurs jus chauds et débordants.
Je suis sur le point de quitter l'endroit, qui se vide peu à peu.
Un homme très grand et imposant, au visage très sympathique, m'aborde en me caressant le bas du dos.
Il m'attire à lui pour m'embrasser et me dit:
"Tu me plais beaucoup ! T'es mon genre !".
"Merci !".
Je lui caresse la queue doucement, mais avec fermeté.
Il défait ma ceinture, mon pantalon tombe à mes pieds, je m'agenouille devant lui, qui dégage sa bite.
Sa queue se dresse devant mon visage, elle est très épaisse et très dure.
J'ai déjà envie de la dévorer avec passion, je ne peux pas expliquer pourquoi, mais avec cet homme, il y a quelque chose de différent.
Tendrement, j'écarte mes lèvres pour l'englober et lui donner tout le plaisir que je peux.
Il gémit longuement, disant qu'on l'a rarement sucé comme ça. Il me dit des mots très doux.
Puis ses bras puissants me redresse et me plaque contre le mur.
Il baisse mon slip et colle son gros gland entre mes deux lobes fessiers.
J'ai encore du gel lubrifiant de ma dernière sodomie.
Son gros sexe trouve facilement le chemin de mon anus, mais il m'écartèle les parois anales en me faisant râler, il est plus gros que les précédents.
Je m'attend à me faire défoncer copieusement, mais contre toute attente, ses mains se font caressantes, et sa pénétration, lente et puissante.
Il me répète que je lui plais énormément et me précise:
"Je m'appelle Silvio et toi?".
"Arhhhhhhhhh ! Pascal ! Arhhh ! C'est bon ! Encore !".
"Tu me plais beaucoup, Pascal ! Je suis bien dans ton cul !".
"Toi aussi, tu es bon ! Arhhhhhhh !".
Il continue sa possession tendre et progressive de mon corps. Il me rend dingue par son toucher, tout mon corps est sensible à ses frottements fermes sur mon dos, mon cul, ma nuque.
Sa grosse bite m'écartèle en me procurant une sensation de comblement parfait de mon anus.
Il me plaque contre lui, en attirant ma bouche pour m'embrasser pendant que sa verge me possède jusqu'aux couilles.
Ses bras musclés m'encerclent pour m'enfoncer sur lui à chaque assaut profond.
"Tu me rend dingue Pascal ! C'est bon de te prendre !".
"Arhhh ! Silvio ! Tu me fais jouir ! C'est fort ! Encore ! J'adore ! Arrrrhhhhhhhhhhhhh !".
Il me fait pivoter et m'emmène vers un appareil destiné aux amateurs de bondage.
C'est une très large bande de cuir attachée à quatre chaines fixées au plafond.
Il me fait m'allonger sur le dos et passe mes jambes derrière les deux chaines de son coté, lui offrant complètement mon anus.
Il me pénètre profondément et me couvre de caresses sur le corps, tout en me possédant avec puissance.
Je connais encore un orgasme anal énorme, Il s'approche de mes lèvres, je le rejoins pour partager un très long baiser.
J'aime lui appartenir, je ne me reconnais plus, c'est plus que du sexe.
Cela fait tellement longtemps que je n'ai pas ressenti ce besoin de me faire aimer par un homme.
"Oh Pascal, il faut qu'on se revoit ! Tu me plais trop !".
"Arhhhhhhh ! A moi aussi, tu me plais trop , C'est bon ! Arhhhhhhhh !".
Il me possède encore et encore ainsi, jusqu'à éjaculer en criant son plaisir.
Je suis au bord des larmes en orgasmant avec lui.
Puis, après le plaisir, on retrouve nos esprits, il me dit qu'il habite très loin, mais espère me revoir assez vite, malgré tout.
Il faudra malheureusement attendre plus de six mois pour cela, toujours au Sex-Shop.
Encore une fois, il me faut attendre la fin de soirée, Il est collé au mur avec son sexe en érection.
Dans la pénombre, je ne l'ai pas reconnu, je me délecte de sa queue, très longuement.
Nos yeux s'habituent à l'obscurité, il me redresse et me dit que je lui plais beaucoup, encore une fois.
Je le reconnais enfin, et lui révèle qu'on a déjà baisé ensemble.
Il me serre contre lui et m'embrasse longuement, ses mains me déshabillent.
Comme la première fois, il me pénètre par derrière.
Je l'accompagne dans ses assauts, avec mon cul qui s'empale sur sa bite, au rythme de sa pénétration puissante.
Il me rend fou en me possédant, avec ses mains caressantes et sa bite épaisse.
Pourquoi suis-je encore si sensible à cet homme là.
J'ai l'impression que c'est naturel, il me fait l'amour et je trouve ça normal, j'en ai envie comme jamais.
"Ohhh ! Silvio, t'es le seul qui me rend comme ça ! Ta queue me rend fou, tu me fais tellement bien l'amour !".
"C'est pareil pour moi, Pascal ! J'aime ton corps ! j'y suis bien, tu es beau !".
Il me replace sur l'appareil en cuir et chaines et me possède sur le dos puis sur le ventre très, très longuement.
Je reçois avec bonheur son éjaculation au fond de mon anus, criant mon dernier orgasme avec lui.
Cette fois, il me demande, si c'est possible de nous retrouver.
Il m'annonce être de retour, deux jours plus tard.
On se donne rendez-vous à l'extérieur, je me laisse conduire à un hôtel en dehors de la ville.
Dès qu'on passe la porte, on ne peut s'empêcher de coller nos lèvres dans un long baiser.
"Ohhh ! Pascal ! Tu me rend fou ! Tu m'as manqué ! Tu me plais encore plus en plein jour ! Tu es tellement beau !".
"Toi aussi, tu m'as manqué Silvio ! Prends moi encore !".
Il me déshabille en me couvrant de baisers pendant son effeuillage.
Je suis pris de frissons, quand il me dévore l'anus en écartant mes fesses, de ses larges mains.
Puis il me porte comme une poupée légère et me dépose sur le lit.
Je le regarde se dévêtir, je suis excité comme un dingue en voyant sa très grosse queue bandée, qui surgit hors de son slip.
Il s'approche mon visage, et me dirige vers elle.
Il me pénètre la gorge avec douceur pendant que je le suce amoureusement, allongé sur le ventre.
Ses mains ne cessent de me caresser le dos et les fesses, elle m'apportent des sensations de plaisir que je n'ai jamais connues.
Il monte sur le lit, je me tourne et écarte mes cuisses, il me soulève et me couvre de salive.
Il prend son temps, très lentement, il écartèle mon anus et s'enfonce en moi jusqu'aux testicules.
Je me pâme de plaisir sous cette pénétration extrême.
Il se penche sur moi et m'embrasse en me possédant analement, tendrement.
Sa possession et ses mains me rendent fou encore une fois, je joui sous son corps lourd et large.
Avec mes 1m60, et mon corps fin, je disparais sous lui, qui atteint plus d' 1m95, tout en largeur.
Il aime me voir jouir et veut retrouver ce moment, il ne s'arrête pas et m'emmène une nouvelle fois à l'orgasme anal.
Je suis submergé par les sensations en jouissant et je dérape en disant:
"Arhhhhhhhhhh ! Silvio ! Je t'aime ! Arhhhhhhhhhh !".
Il m'embrasse tout de suite après et ensuite ajoute:
"Moi aussi, je t'aime Pascal ! C'est un coup de foudre pour moi !".
"Moi aussi ! Aime moi, encore !".
Il me pénètre avec une fougue amoureuse plus folle et pénétrante, je me contorsionne pour me donner à lui sans retenue, je prend un plaisir immense.
"Je vais jouir ! Pascal ! C'est trop bon de te faire l'amour ! Je viens !".
"Non ! Viens dans ma bouche, je veux te gouter ! Viens !".
Il dépose précipitamment sa main sur sa queue en la serrant et vient me pénétrer la gorge en soutenant ma nuque.
Il relâche sa pression, qui laisse exploser une très longue éjaculation, chaude et poivrée.
Son gout est très puissant, malgré mon habitude des fellations, la grosseur de son gland ne m'aide pas à avaler facilement.
J'ingurgite ses effluves, pris d'un orgasme cérébral causé par l'amour, ses gémissements de plaisir et le gout de son sperme qui m'envahit le palais.
Lentement, il se met a coulisser dans ma bouche, il a terminé de jouir.
Je lui offre une longue caresse buccale, pendant laquelle, il essuie le bas de mes lèvres, dégoulinant de foutre, avec son gland.
Puis il se remet à l'intérieur de mon anus, et m'embrasse tendrement.
Nos gémissements se mêlent et sont accompagnés de mots d'amour enflammés.
Il se place derrière moi, je me pénètre encore de sa délicieuse queue.
Sa main qui passe entre mes cheveux, me fait frissonner encore.
Je me met à pleurer, face à la réalité de cette situation inattendue.
"Qu'est-ce qui nous arrive ? J'ai une femme et un enfant ! J'ai pas la place pour ça !".
"Moi aussi, je suis marié ! C'est un coup de foudre, on y peut rien ! Je suis fou de toi ! J'ai jamais connu ça avec un autre jeune homme ! Je t'aime !".
"On va faire comment ?".
"Je sais pas ! J'habite pas à coté en plus !".
"C'est peut être mieux ! Alors, il ne faut plus qu'on se revoit !".
"Peut être, mais on va profiter de ce jour ! Non ?".
"Oui, t'as raison !".
Je me retourne et l'embrasse.
On se raconte nos vies respectives, en se touchant et s'embrassant sans cesse.
Puis le désir renait et nous reprenons nos ébats beaucoup plus longuement.
Il m'encule tendrement, fougueusement, puis sauvagement en m'épuisant d'orgasmes successifs.
Il jouira trois fois, et me procure mon plaisir préféré, une éjaculation sans me toucher lors d'une sodomie interminable.
Nous avons beaucoup de mal à nous séparer.
Je rentre chez moi avec du retard, mon anus est endolori de toutes ces longues sodomies.
Je fais croire à Corinne que je suis allé au Cinéma porno, je n'en dis pas plus, j'ai peur de lui révéler mes sentiments pour un homme.
Nous ne nous reverrons jamais, et c'était mieux comme ça !
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