SEXE BOY DE LA MAISON DE RETRAITE. (1/6)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : SEXE BOY DE LA MAISON DE RETRAITE. (1/6) Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-05-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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SEXE BOY DE LA MAISON DE RETRAITE. (1/6)
Tout a commencé après la mort de Constante ma nourrice et maîtresse que j’ai perdue il y a quelques mois.
Nourrice car c’est elle qui m’a donné son sein pour que je devienne l’homme fort que je suis devenu aujourd’hui.
Maîtresse car c’est elle qui m’a enlevé mon pucelage le jour de mes dix-huit ans et qui m’a appris tout ce que je sais bien que sa disparition me prive des plaisirs sexuels.
J’étais un homme comblé malgré la différence d’âge et la dégradation de son corps au fil du temps car il fallait que je satisfasse son manque de sexe dans sa jeunesse.
C’est tout naturellement que son cadeau d’anniversaire a été sa chatte que je cherchais à voir quand je la savais seule dans sa chambre contiguë à la mienne depuis ma naissance dès que ma puberté à commencer à me travailler.
Elle m’a avoué plus tard qu’elle se savait observée et que le regard d’un jeune puceau comme moi la faisait dégouliner d’envie ayant eu avant moi un seul amant lui ayant fait l’amour, la dépucelant l’engrossant et l’abandonnant.
C’est à ce moment que ma mère l’a engagé pour devenir ma nounou à ma naissance lui permettant d’avoir une vie calme et tranquille.
Ce qu’est devenu son enfant jamais elle ne m’en a parlé mais je pense qu’elle a dû l’abandonner à sa naissance et c’est moi qui me suis servi de ses gros seins remplis de lait pour remplacer ma mère qui elle était plate comme une limande et incapable de me donner ma ration journalière.
Je suis né dans une famille aisée depuis de nombreuses générations et à ce jour je me contente de faire travailler mes avoirs qui hélas s’amenuisent de jour en jour à cause de la crise.

Au fil des années j’ai grandi jusqu‘à ce moment béni de mes dix-huit ans où le soir après la fin de la fête que mes parents m’ont donnée elle est entrée dans ma chambre sous couvert de me faire prendre mon bain ce qu’elle faisait tous les jours bien que j’aie pris de l’âge.
La différence c’est qu’elle était recouverte d’une nuisette que je voyais pour la première fois me montrant son grand triangle noir ressortant sur sa peau blanche car elle évitait soigneusement le soleil pour se faire bronzer quand nous allions à la mer dans la villa que possédaient mes parents et que j’ai dû vendre il y a peu pour que Constance et moi puissions continuer à vivre ensemble.
Elle avait vingt ans à ma naissance et donc trente-huit le jour de mes dix-huit.
C’était devenu une femme plantureuse avec des seins que je tétais goulûment dès que j’ai compris qu’elle était mon cadeau d’anniversaire.
Le bain je l’ai expédié bien que nous soyons tous les deux pour la première fois ensemble dans l’eau et que ma verge soit tendue car perdre mon pucelage était le seul but que Constance m’inspirait à ce moment.
Je pense qu’ayant attendu aussi longtemps avant de recevoir sa deuxième verge, elle voulait savourer ce moment car deux fois j’ai voulu sortir de l’eau et chaque fois elle en a repoussé l’instantLa deuxième fois alors que je venais de me redresser c’est en me prenant dans sa bouche me suçant frénétiquement la verge qu’elle m’a apporté mes premiers émois au risque que je lui remplisse cette cavité que je trouvais si chaude ce qui était divin.
Elle m’a pris la main et m’a fait entrer deux doigts dans sa grotte tout en se relevant me permettant de les faire pénétrer jusqu’au bout des phalanges.
À cet instant, j’avais envi d’elle mais comme tout jeune garçon qui va aux putes pour dire je l’ai fait, ma verge a plongé dans le sexe d’une femme même si c’est contre monnaie sonore et trébuchante.
Par chance alors que j’avais repéré le manège de l’une d’entre elles faubourg saint Denis bien décidé à casser ma tirelire pour moi aussi le perdre que Constance a franchi le pas et c’est offert à moi m’ouvrant de nouvelles perspectives pour mon avenir.
C’est à ce moment que le miracle a eu lieu quand je l’ai regardé avidement d’un regard inconnu depuis que mes yeux se sont ouverts sur la femme qu’elle était et non plus la pompe à lait pour laquelle mes parents l’avaient engagé.

C’est ainsi que je suis sorti de l’eau l’aidant elle aussi et que pour la première fois attirées comme des aimants nos bouches se sont trouvées.
Quand cet instant a eu lieu, elle m’est apparue comme l’amour de ma vie et non pas comme le trou à bite que j’avais projetée de faire d’elle comme cadeau d’anniversaire.
C’est sans nous essuyer que je l’ai prise dans mes bras devenus virils et que tout en l’embrassant je me suis retrouvé la queue bandée au maximum à la poser délicatement sur mon lit bien petit car d’une seule place.
Qu’importe ce détail car c’est elle qui a pris ma main dès qu’elle a été sur les draps que nous venions de mouiller pour m’introduire en elle.
Si sa bouche sur mon sexe avait été onctueuse sa chatte dégoulinante d’envie m’a apporté un doux fourreau qui m’a fait éjaculer dans la seconde où j’ai senti mon gland être au fond de son intimitéUn peu penaud je l’ai regardé profondément dans les yeux.

• Ce n’est rien mon petit cœur, c’est normal la première fois j’espère que je suis la première et que tu étais impatient de perdre ton pucelage.

Que répondre à tant de gentillesse, d’autant plus que dès que j’ai débandé sa main c’est de nouveau saisi de ma lance la masturbant doucement alors qu’une pute m’aurais faîte rhabiller mes affaires terminées presser de se faire un autre client pour plaire à son mac et lui rapporter plus de pognon.
À ce moment ma verge se regonflait de sang et j’ai pu replonger en elle pendant de longues minutes et pour la première fois j’ai réussi à lui apporter de la jouissance.
J’ai toujours en mémoire ses yeux qui se sont révulsés et les cris de plaisir qu’elle poussait chaque fois qu’un de mes puissants coups de reins me propulsait dans son vagin dont j’avais tant rêvé ces derniers mois.
Pour mieux me bloquer ses jambes se sont entourés dans mon dos réduisant ma possibilité de sortir bien que je n’aie eu nulle intention de le faire.
J’ai immédiatement repris sa bouche par envie mais surtout pour éviter que mes parents ne l’entendent la mettant dehors tellement elle montait le ton me privant à ce moment de celle dont je venais de tomber follement amoureuse.
Quand mon sperme a giclé au fond d’elle, le frisson qui est parti du bas de ma colonne vertébrale jusqu’à mon cerveau m’a propulsé dans le monde des adultes.
Là, c’est moi qui ai crié mon plaisir sans me soucier de mes parents.
Ce matin béni je reposais sur elle et par change j’ai entendu mes parents partir vers leur destin sans qu’ils viennent m’embraser car ils savaient que j’avais fac à onze heures.
Notre réveille a été merveilleux car il y avait certainement longtemps qu’elle me regardait dormant dans ses bras comme un nourrisson le ferait reposant sur son sein comme le nourrisson que j’avais été l’avait fait.
La différence c’est que sans que je puisse me contrôler je me suis mis à bander lui montrant le degré d’amour qu’elle m’inspirait.

• Attends mon bébé maman va changer de place et tu vas pouvoir reprendre de nouveau ton plaisir et m’en donner autant que cette nuit.
Tes parents viennent de partir et je vais pouvoir crier mon amour et le plaisir que tu m’apportes sans que tu sois obligé de me museler.

Je me suis relevé lui appuyant exagérément sur ses seins qui avaient une belle tenue en profitant pour les téter une nouvelle fois.

• Je vais me mettre en levrette tu verras tu iras plus loin en moi et tu pourras me tenir par les hanches pour me donner de grands coups de reins, je vais devenir ta chienne.

Chienne elle l’a été dès le moment où je me suis positionné et que je l’ai pénétré.
Naturellement, car je manquais d’expérience je lui ai envoyé de grandes claques lui rougissant les fesses et lui faisant pousser des cris instinctifs me demandant de recommencer.
Comme elle me l’a dit ma verge à gagner quelques centimètres et en même temps que les cris qu’elle poussait sous mes claques le bruit de mon pubis tapant sur ses fesses se mélangeaient.
J’ai éjaculé une nouvelle fois après près de 30 minutes de ce traitement et un orgasme de celle que je considérais à partir de ce moment comme ma femme et non plus ma nourrice.

Ma mémoire me fait défaut pour me souvenir qui et comment la disparition de mes parents sur le périphérique ayant percuté le véhicule devant eux alors que mon père au volant était déclaré positif après avoir continué de boire de l’alcool alors que je me faisais dépuceler, m’interdisant de toucher la moindre assurance.
Cette disparition a eu un facteur positif car j’ai pu assumer mon amour pour Constance en vivant avec elle sans que quiconque se pose des questions.
Nous formions un vrai couple sauf pour nos nouveaux voisins qui pensaient qu’elle était ma mère.
Mais une mère m’aurait-elle appris à la sodomiser comme elle l’a fait dans les jours suivant l’enterrement de la mienne lui permettant de bramer chaque fois que mon pieu la perforait ?
Une mère m’aurait-elle initié à la fellation pour ouvrir nos ébats et m’apprendre les positions les plus extravagantes pour décupler notre plaisir ?
Cette mère aurait-elle bramé sous ma langue chaque fois que mes lèvres se soudaient à ses grandes lèvres et que je la faisais jouir en mordillant son clitoris ?
Kama-Sutra, ce livre nous était inconnu mais à nous deux nous avons réussi à le reconstituer en faisant éclater nos corps toujours plus loin.

Comme je l’ai dit, les années ont passé et malgré le diplôme d’expert comptable que j’ai obtenu sans jamais pratiquer m’intéressant seulement au cours de la bourse le corps de Constance s’est ridé alors que je prenais un léger embonpoint.
Nous étions conscients de ces changements physiologiques mais pour ma part j’y trouvais un plaisir nouveau car ce corps ridé m’apportait toujours autant de plaisir.
La veille du jour où elle est tombée malade elle criait encore son plaisir comme au plus beau jour de mon dépucelage.
Et puis un matin elle a commencé à avoir une mauvaise toux que le médecin que j’avais appelé à eux des difficultés à enrailler et a fini par l’hospitaliser.
Dans le service qui s’occupait d’elle les infirmières étaient des anges pour elle mais j’ai eu droit à leur compassion quand tout au long de ses derniers instants elle me parlait de ma mère.
J’ai préféré leur laisser croire, plus soucieuse de l’issue de sa vie que de l’instant présent où elle m’était enlevée.
J’étais seul au funérarium car ni elle ni moi n’avions gardé des liens avec nos familles.

La dégradation de mes derniers avoirs m’a contraint à déménager dans une petite maison de province près d’Auxerre et à chercher du travail dans le journal local.
La maison avec son joli jardin je l’ai rapidement trouvée après avoir vendu mon appartement parisien mais qui voudrait engager un expert-comptable sans expérience et sans pratique surtout avec l’informatique entrée dans la vie de tous les jours.
J’ai bien essayé d’en acheter un mais à part ma boîte Mail où personne n’écrivait j’ai vite arrêté de m’en servir.
Pendant les quelques mois qui ont suivi tous ces bouleversements ma seule passion a été de m’occuper de mon jardin et surtout de mes fleurs sous lesquelles j’ai enterré l’urne de Constance la gardant ainsi à mes côtés.
J’ai envoyé à l’administration la lettre précisant que j’ai étalé ses cendres dans le jardin des souvenirs de ma nouvelle commune et aucune question ne m’a été posée.

Ce matin je profite des premiers rayons de soleil du joli mois de mai pour biner le carré où elle repose quand je suis interpellé.

• Bonjour monsieur, que vous avez un joli jardin, je passe tous les jours devant lors de ma promenade habitant la maison de retraite voisine et chaque fois je rêve à celui que j’avais du temps de ma vie avec Arthur et qui me manque mes enfants m’ayant placé dans cette maison même si elle est agréable.
Permettez-moi de m’arrêter quelques instants pour l’admirer comme je le fais tous les jours ?
• Entrez madame, je vais avoir le plaisir de vous offrir un café ou un thé, Constance ma compagne que j’ai eu le malheur de perdre il y a quelques mois en raffolait…

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