Sexe en intérim.

- Par l'auteur HDS Passud -
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Récit libertin : Sexe en intérim. Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Sexe en intérim.
Les années 80 étaient source d'angoisse pour moi, le travail manquait dans mon domaine d'activité.

J'ai du opter pour les boites intérim !

Mais si j'ai connu beaucoup de périodes, sans boulot, j'ai acquis beaucoup d'expérience professionnelle aussi !
Et également, sexuelle ! Surtout en déplacement !

Le manque de boulot dans mon métier, m'oblige à accepter une proposition de travail en temps qu'homme à tout faire dans une énorme entreprise.
Le job est très salissant !
Je sais que ça ne va pas durer, c'est juste le temps d'un chantier, et je devrais retrouver un autre job.

Pour le confort des ouvriers, la société a fait construire une grande salle de douche.
L'éventualité de me dénuder, devant d'autres hommes, ne m'enchante pas, mais je m'y résous, à cause de la saleté qui me recouvre !

Le premier jour est gênant, tous ces corps masculins, nus et mouillés, ne sont pas tous beaux à voir ! Les ventrus, les maigres, poilus etc...

Mais l'un d'eux, André, me trouble énormément, il correspond parfaitement au genre d'homme, auquel, j'aime me donner ! Et, détail très important, il est métis, presque noir !

Evidemment, je ne le regarde pas longtemps, j'essaie de cacher mon trouble.
Ce qui me fait fondre, encore une fois, ce sont ses proportions sexuelles.

Son membre lourd qui pend entre ses jambes, lui vaut le surnom de "Taureau".
Les collègues le charrient, en lui demandant comment il peut faire avec les femmes !

Il ne relève jamais et les laissent dire.
J'en suis aussi victime, certains comparent mon cul à celui d'une jeune fille !

"Il a un beau p'tit cul, le jeune ! Putain, fais attention de pas faire tomber le savon !".

Je ne reste jamais longtemps, je n'aime pas prendre le risque de dévoiler mon homosexualité cachée, en étant troublé par ses phrases !

Mais parfois, il m'arrive aussi de me doucher en dernier, et j'avoue que je préfère ! Même si cela implique du retard pour rentrer chez moi !
Au cours des jours qui passent, je commence à rêver de cet homme.

J'ai déjà vu des blacks aux sexes plus longs que lui, dans des films pornos, mais avec son épaisseur, jamais !

Pris par ma timidité, vers la fin de la semaine, je cherche toujours le moment ou les derniers hommes ont fini de se doucher.

Ce soir là, André, le métis antillais, débarque après moi.
Il se dénude devant moi, j'ai un énorme frisson en revoyant sa grosse verge.

Je ressens une tension dans ma queue, non ! Je vais quand même pas bander !
Je lui tourne le dos, lui offrant une vue imprenable de mes fesses mouillées.
Je me risque de temps en temps, à jeter un coup d'œil vers lui, il est en train de se laver la bite.
Le gros sexe est à demi dur, entre ses doigts, le savon le fait briller, et son gland a gonflé sous cette caresse lavante.
Il croise mon regard, je me retourne d'un coup sec !

"Pascal ? Ca va pas ?".

Ben, non ! Ca va pas ! Je bande comme un âne ! Et je ne peux pas me retourner !

"Euh, si ça va, excuses-moi, je voulais pas te gêner !".
"Tu me gênes pas ! D'ailleurs, il faut que je te dise, maintenant qu'on est seul, que je te trouve super sympa ! T'es pas comme tous ces cons ! Avec leurs délires de beaufs ! T'as jamais un mot plus haut que l'autre ! J'apprécie !".

Je suis tellement troublé que je perd l'équilibre et glisse en me faisant mal au cul dans le fond de la douche !
Il se précipite vers moi et me relève !

"Ca va ? tu t'es pas fait mal ?".
"Non, ça va ! J'ai un peu mal, mais je pense que j'aurai simplement un gros bleu au cul !".

Il voit mon sexe en érection, et me répond:

"C'est dommage ça ! Il mérite qu'on en prenne soin !".
"Euh...Tu veux dire quoi par là ?".

"Tu te doutes pas un peu ? On va dire, euh .. par là, j'aimerai bien m'y mettre ! Et si j'ai bien compris, tu n'es pas insensible à mes atouts !".
"Je suis désolé, j'ai honte ! Mais depuis que je suis arrivé dans l'entreprise, je suis gêné quand t'es là !".

"Pourquoi ? Tu vas oser me le dire ?".

Je respire un grand coup et réponds:

"J'ai envie de toi !".
"Mais moi aussi, j'ai envie de toi ! Mon p'tit Pascal ! Toi aussi, tu me plais ! Et depuis le début !".

Il m'enlace et recouvre mes lèvres pour m'offrir un baiser goulu.
Sa verge s'épaissit encore, et durcit au contact de mes doigts timides.

Il me porte comme une poupée de chiffon et nous enferme dans un cabinet de toilettes.

"J'arrive pas à croire ce qui m'arrive ! Depuis le temps que j'ai envie de toi !".

C'est lui qui dit ça ! S'il savait combien de fois, j'ai rêvé qu'il me baisait !

Je me hasarde sur son large torse brun, avec ma bouche, sans lâcher sa grosse queue de ma main.
Je lèche son ventre avec envie, il m'accompagne en caressant ma tête et me parlant tendrement.

Le moment est venu ou je dépose de légers coups de langue, sur son énorme gland.
Puis, j'ouvre mes lèvres pour glisser passionnément sur sa large bite.

"Orhhhhhh ! Oui, putain, tu sais y faire ! Oufffffffffffff !".

Je suis heureux qu'il apprécie ma façon de le sucer, je me donne le but de lui procurer le plus de bonheur possible avec ma bouche chaude et humide !
J'adore sentir ses mains sur moi, pendant que son gros sexe coulisse dans ma gorge.

La vue de son membre noir et brillant de salive me rend dingue.
J'ai l'impression de rêver, je suis en train de sucer sa merveilleuse bite !

Le désir me gagne, je n'attend qu'un signe de sa part pour lui appartenir.
Mais, il aime ce moment de plaisir buccal et se laisse aller sous mes caresses gourmandes.

"Hummmm ! C'est tellement bon, ce que tu me fais !".
"C'est vrai ? Tu aimes vraiment ! J'ai jamais autant rêvé d'un mec ! Tu sais !".
"Tu peux pas savoir comme c'est bon ! J'adore ta bouche ! J'osais pas t'aborder, si j'avais su, je t'aurai fais venir chez moi ! Je peux tout te faire ?".

Je me redresse pour l'embrasser, puis m'éloigne de ses lèvres.

"Oui ! Prends-moi !".

il me retourne contre le mur, et se baisse pour me dévorer l'anus en m'écartant les lobes fessiers.

"Ohhrhhhhhhh ! Putain, André ! Tu me lèches bien ! J'aime ta grosse langue !".
"Enfin, il est à moi ! J'adore te bouffer le cul ! Mon p'tit Pascal !".
"Oui, bouffes le, prends le ! Il est à toi !".
"Tu m'excites trop Pascal !".

C'est donc vrai que je l'intéresse, comme moi, il a très vite retenu mon prénom !
Il se relève.

Je sens son gros et très dur gland, qui pousse entre mes fesses.

Je pose ma main contre son bas ventre, pour ne pas avoir mal, s'il se précipite pour me pénétrer.
Je comprend qu'il est précautionneux, je pose mes mains de chaque coté de mes fesses, pour les écartées, afin qu'il entre plus facilement.

Il met du temps, mais nos deux corps vont instinctivement l'un vers l'autre, à chaque nouvelle tentative.
Il me couvre la bouche, en comprenant que je ne peux retenir un long et bruyant râle de plaisir, quand il s'enfonce en m'écartelant l'anus.

Je suis sur la pointe de mes pieds, suspendu par sa grosse bite au niveau du cul.
Mon visage est déformé par le plaisir de sa présence en moi.

Il ne bouge que pour s'enfoncer plus profondément encore, jusqu'à toucher mon œillet avec la base de sa bite.

"Putain, Pascal ! Je pensais pas que ce serait si bon d'être en toi !".
"Arhhhhhhh ! Pour moi aussi, c'est puissant ! Je sens que tu vas me faire jouir comme un fou ! Tu peux commencer à bouger je crois !".

Il entame un léger coulissement.

"Comme ça ?".
"Arghhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiii ! Arggggggggggggg !".

Mon petit corps subit une cascade d'orgasmes répétés, j'ai du mal à tenir sur mes pieds.
C'est sa grosse verge qui me sert d'appui, en me déchirant l'anus.

Je suis dépassé par mon plaisir anal, décontenancé par la puissance des orgasmes et gêné par mes pertes d'appui, à cause de ses assauts puissants dans mon cul.

On se déclare notre plaisir de baiser ensemble, sans cesse.
Il m'emmène à l'orgasme parfait, celui dont on ne redescend que très lentement.

Puis, je me laisse défoncer en attendant sa jouissance, j'ai eu ma part, le reste est un cadeau supplémentaire pour mon corps déjà comblé.

"Putain, Pascal ! Il faut qu'on se voit chez moi, j'ai envie de te baiser plus longtemps !".

J'en peux plus déjà ! Ca promet d'être épique, si je vais chez lui ! Mais il me baise comme un dieu, je ne vais pas lui dire non !

"Je ferais tout ce que tu veux ! Tu m'encules trop bien ! Arhhhhhhhhhhh !".

Après de nombreux assauts, il me couvre et remplit l'anus de foutre, en même temps.
J'aime entendre ses râles de plaisir encore !

Il profite longuement de la béance de mon cul, en faisant rentrer le sperme qu'il a giclé autour de mon œillet anal.

Je me mets à penser que c'est pratique de baiser nu, avec lui, tout proche des douches !

Je me retourne, il m'embrasse.

"Merci André ! J'ai adoré t'appartenir ! Tu m'a donné énormément de plaisir !".
"C'est toi qui me remercie ? Mais moi aussi, j'ai adoré te prendre ! J'ai eu peur que ça se passe mal, mais ton p'tit cul m'a encaissé super bien ! J'adore !".
"C'est vrai ? T'es pas déçu ?".

Il m'embrasse avec passion et me dit :

"Ca te rassures ?".
"Oui ! Mais dis-moi ? Tu es gay, alors ?".
"Je suis bi, mais je préfère les mecs, pourquoi ?".
"Moi, c'est le contraire ! je préfère les filles, mais quand je rencontre un homme comme toi, je sais plus trop !".

Je me dirige vers sa verge, encore dure pour le lécher, laver, nettoyer longuement de ma langue.

"Arhhhhhhh ! Oui, c'est ce que je vois ! Orhhhhhhhhh !".

On a du mal à se quitter, mais devant le cumul de retard que j'ai, je lui annonce que je rentre à contre cœur.
Il me demande, si je peux rester avec lui, le lendemain.
Comme à cette époque, je vivais seul, j'accepte sa proposition.

Notre histoire durera le temps de ma mission.
C'était pas évident de cacher qu'il me ramenait en voiture au travail.
On ne devait pas nous voir ensemble !
Quand aux douches, on a évités d'y être en même temps, de peur d'être surpris.

Mais, on ne peut pas toujours résister ! Et à cinq reprises, on a cédé au désir, sous la douche d'abord, et dans les chiottes ensuite !
J'avais plus d'une heure de bus pour rentrer chez moi, il en aurait fallu plus encore pour aller chez lui !
La distance ne m'a pas aidé encore !
J'adorais lui appartenir chez lui, je dormais toujours comme un bébé, après, épuisé de sexe anal !

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
une histoire me fais rever du beau temps et de ma jeunesse merci



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