Sexe en intérim.3 - histoire érotique

Je retourne au travail, après mon Week end de rupture avec mon ex.

André m'adresse de nombreux sourires, on a convenu que je passerai tous les soirs de semaine, chez lui, sauf les mercredi, pour gérer mon quotidien, vêtements, courrier etc...
J'avoue que j'en aurais besoin !

Le soir venu, André me déclare encore ses sentiments.

"Tu m'as manqué ce Week end ! Mon bébé ! Je deviens jaloux de ta copine !".
"T'as plus à l'être ! Elle m'a largué hier !".
"Ouais, jusqu'à ce qu'elle revienne !".

"Non, cette fois, c'est sur ! Je l'ai trompée avec une autre fille ! Et ça, elle ne me le pardonnera jamais !".
"Tu lui as dis ?".
"Oui !".

"Eh ben, tant mieux, comme ça, t'es tout à moi ! Et si elle revient quand même, je lui dis que je te baise !".
"Si tu veux me garder ! Ne fais jamais ça !".

Je l'accompagne au supermarché du coin, je ressens un malaise, j'espère que les gens ne devinent pas notre relation.

A peine arrivés dans la cuisine, et les courses posées sur la table, il me pousse sur sa machine à laver.

Il me dénude les fesses, en coinçant mon pantalon au niveau de mes genoux, qu'il maintient pliés contre mon torse.

Je me fais lécher longuement l'anus, puis sa grosse queue, très épaisse force contre mon œillet.

Je serre les dents, chaque tentative d'insertion me fait râler.
Sa pénétration prend plus de cinq minutes, mais enfin, il m'écartèle les parois anales, en me faisant râler longuement mon plaisir.

Je comprends à ses enfoncements profonds et puissants qu'il se libère d'une grosse envie de me baiser.

Je connais plusieurs orgasmes intenses, cette baise est à la fois sauvage dans l'acte, et passionnée par les paroles d'amour qui accompagnent ses assauts.

"Arhhhhhhhh ! Arhhhhhhhh ! Arhhhhhhhh ! André ! Tu me défonces ! J'arrête plus de jouir ! Arhhhhhhhh !".
"Désolé, mon bébé, j'ai trop envie, il faut que je jouisse !".

Il m'a démonté le cul, encore plusieurs minutes, puis s'est déversé en moi, interminablement.
Il recule et me regarde dans cette position inconfortable, avec son jus qui coule hors de mon cul.
Les vêtements qui m'entravent les genoux, ne me permettent pas de me lever, sans risque.

"André ? Tu vas me laisser comme ça ? Je vais tomber ! Aides-moi !".
"Attends un peu, t'es excitant comme ça !".
"Ouhhhffffffff ! Putain, tu m'as cassé le cul ! T'étais chaud ce soir !".

Avant de nous endormir, il m'a encore fait l'amour.
J'ai encore adoré, mais au fil des semaines, cela devient routinier, c'est peut-être cela qui m'a détaché de lui.

Il m'aime trop ! Ca m'étouffe ! Il devient de plus en plus jaloux !
Il a remarqué qu'un autre ouvrier me faisait des allusions sexuelles.
Personnellement, je ne pense pas qu'il soit homo, ou qu'il pense ce qu'il dit, mais André n'aime pas que je discute avec lui !
Je n'y fait pas attention ! J'aurai du !

Un mercredi soir, vers la fin de ma mission, il s'est arrangé pour être seul avec moi, sous la douche.
Puis il s'est approché en se masturbant, et m'a demandé:

"Dis-moi, je peux y avoir droit, moi aussi ?".
"Euh, à quoi ?".

Je fixe sa bite, un petit instant, elle est plus attirante en érection, que pendante et toute mouillée !
Mais, il n'est pas non plus, très intéressant, à ce niveau.
Il me répond:

"Ben, à ce que tu me fasses une pipe ! Je vous ai entendu avec André ! Vous me faites une belle paire de vicieux !".
"Non, s'il te plait, pas ça !".
"Si tu me suces pas, je vous dénonce ! Allez, ne te fais pas prier ! C'est mieux, si ça se passe dans la bonne humeur !".
"Pas ici, alors ! Dans les toilettes !".

Je pense alors, qu'il a du nous surprendre, lors des quelques soirs, ou j'ai sucé André, sans aller jusqu'à la sodomie.

J' y met du cœur à l'ouvrage, même si ses mensurations ne me passionnent pas.

"Putain, je comprends André, t'es doué, ma salope ! On voit que t'as l'habitude ! T'en as sucé beaucoup des bites ?".

Je ne veux pas lui répondre la vérité !

"Un peu !".

Il me soulève et me retourne.

"Qu'est-ce que tu fais ?".
"Je vais te baiser ! Ne te plains pas, c'est pas l'engin d'André ! T'auras pas mal !".

Il a déjà salivé ses doigts et lubrifié mon anus, c'est sûr, je ne suis pas le premier garçon qu'il baise !
Je comprend son obsession sur mon cul !

Il s'insère en moi sans difficulté.

"Mais, dis-moi, je suis pas le premier ! Pas vrai ?".
"Non ! T'es pas le premier ! Arhhhhhhhh !".

Il est très vif et me défonce copieusement, je joui du cul, malgré son épaisseur, plus ou moins normale.
Puis, il râle plus fort que d'habitude et se recule en me disant:

"Vite, amènes ta bouche !".

Je le recouvre de mes lèvres rapidement, en recevant aussitôt, ses effluves de sperme brulant dans la gorge.
Il a un gout puissant, et son foutre est abondant.

Je ne voulais pas de ce rapport sexuel, mais j'adore avaler son sperme !
Je veux finir en beauté, en lui dévorant la bite longuement.
Il me donne quelques noms vulgaires, je sens qu'il veut assoir sa domination sur moi.

"Quand j'aurai envie que tu me suces, ou de te baiser, je resterai avec toi, ici !".
"Euh, c'est risqué ! Tu feras attention !".

Ce salaud en profitera 3 fois ! Mais j'y ai pris gout !
C'est à cette période que j'ai rencontré Corinne, notre passion amoureuse me détache davantage, d'André !
J'ai fais passer le message, à la boite qui m'emploie, que je ne veux plus faire cette activité salissante.
Ils me proposent une autre mission, plus proche, ce qui me libère de ma relation avec André, et du piège avec l'autre employé, dont j'ai oublié le prénom.

J'ai occulté délibérément, le fait qu'ils ont pu parler de moi, dans les douches de l'entreprise ! Je n'ose pas y penser !

J'adorai faire l'amour avec André, mais il ne m'apportait pas assez de sexe ! Les trois écarts que j'ai eu, avec l'autre ouvrier m'ont ouvert les yeux sur ce manque !