Soir de Réveillon - histoire érotique

Avec l'amour de ma vie, Corinne, on ne trouve pas d'autre moyen de fêter le jour de l'an que de réserver dans une salle, deux places pour une soirée organisée par une association, l'ambiance est garantie, avec un repas copieux.

Nous sommes sur notre 31, ma femme est magnifique.
Elle me dit que je suis très beau, moi aussi.

Tout le monde se sert au buffet d'entrées, pendant que quelques couples dansent sur les slows qui passent.
Comme les danses de salon ne sont pas mon truc, je permets à Corinne de danser avec d'autres que moi.

Elle me rejoint après une série de danses, et me dit:

"Tu devineras jamais avec qui j'ai dansé !".
"Qui ça ?".
"Je sais plus son prénom, mais il m'a dit qu'il te connaissait très, très bien !".

Elle me montre l'homme qui se tient au fond de la salle, près de sa femme.
Je suis pris de stupeur, je reconnais un homme qui m'encule à chaque fois qu'il me croise dans des lieux de baise pour hommes, surtout au Sex-Shop.

"C'est un de tes ... !".
"Oui ! Qu'est-ce qu'il fait là ?".
"Ben, il est marié apparemment ! Vu la manière dont il me parlait de toi, j'ai compris qu'il te connaissait autrement, que comme simple copain".

Je lui réponds discrètement:
"Avec le nombre de rencontres que je fais, c'est normal que je croise quelques uns d'entre eux, quelque part !".

On passe au plat de résistance, assez décevant, puis la musique reprend, et Corinne se fait encore invitée par l'homme.
Je ne le sais pas encore, mais elle va être franche avec lui.

Elle lui dit:
"Je sais comment tu connais mon mari !".
"Ah bon ! Comment ?".

Elle s'approche de son oreille et lui susurre:
"Tu le baises ! Mais pas d'inquiétude, ça me convient ! Il te plait ?".
"Oh putain, t'es directe ! Il a de la chance de t'avoir ! Oui, je l'adore ! Je me régale avec lui ! Je le baiserai bien ce soir, d'ailleurs ! Mais avec ma femme à coté ! Ca va pas être facile !".
"On verra ce qu'on peut faire !".

Ils changent de partenaires, sa femme n'a pas l'air d'aimer danser non plus, elle est assez taciturne et pas très jolie, proche de la cinquantaine d'années.

L'homme vient vers moi et me révèle sa conversation avec Corinne.

"Elle est super ta femme ! Pas comme la mienne ! Je vais la ramener après minuit, après les vœux, on habite pas loin, et je reviens ! Comme ça, on pourra s'amuser tous les deux ! Histoire de fêter la nouvelle année ! Il y a un coin discret derrière !".
"Euh, tu me prends au dépourvu !".
"Hummm , oui, j'aime te prendre ! Dans tous les sens !".

Le moment des vœux arrive, Corinne et moi partageons un énorme baiser amoureux.

Puis elle me demande:
"Alors, vous allez baiser ?".

Son empressement de savoir cela, m'étonne comme toujours.

"Oui, je pense ! On va faire ça, derrière la salle ! Il doit ramener sa femme d'abord !".

Elle attend son retour, l'ambiance est à l'euphorie générale, la musique entraine beaucoup de monde sur la piste.

"Hummm ! J'ai hâte de vous voir ! Je vais le chercher ! Va l'attendre ! C'est le moment idéal !".
Je suis encore surpris, mais elle a raison ! Tout le monde est occupé à fêter la nouvelle année.

Je sors pour me placer dans un petit espace entre des fourrés.
J'attends très peu, avant de voir arriver l'homme, suivi de Corinne.

Il se colle à moi et glisse ma main vers sa bite que je devine en érection, sous sa fermeture éclair.

"On va fêter ça à notre façon, qu'est-ce que t'en penses ?".
"Je ne demande pas mieux !".

Je dégage sa longue queue épaisse, Corinne comprend alors, pourquoi je ne refuse jamais de baiser avec lui.
L'homme me baisse la tête, face à son sexe.

"Tu veux en profiter toi aussi ? Corinne ?".
"Pourquoi pas ?".

Elle m'accompagne dans ma fellation vicieuse.

"Oh putain, on m'a jamais sucé a deux comme ça, c'est génial ! Je vous adore tous les deux !".

Corinne coulisse tout le long de sa queue pendant que je lui gobe une couille.
Elle dirige son gros membre vers ma bouche, en me disant:

"Je comprend pourquoi tu baises avec lui, elle est bonne sa bite ! Suces le encore ! J'aime te regarder !".

Elle descend une main, puis l'autre, vers ma ceinture, pour me découvrir les fesses.
Elle se relève en tenant la queue de l'homme, qui coulisse dans ma gorge, et l'embrasse vicieusement.
Ils me regardent ensemble pendant ma fellation profonde.

Elle me demande:
"Lève-toi ! Maintenant ! Tournes toi ! Donne-lui ton cul !".

Je me soulève, elle dirige sa bite, entre mes fesses.

"Voilà, baises le, maintenant !".
"Tu veux que je le prenne comment ?".
"Défonces le, ! J'adore quand il jouit fort !".
"Hummm ! Comme d'habitude alors !".

L'homme me saisit fermement par les hanches et commence à me pénétrer lentement.
Il recule et laisse tomber un crachat entre mes fesses, il récupère cette salive et revient contre mon œillet.

Il parvient à s'enfoncer plus profondément, puis commence ses mouvements amples et puissants.

Il partage de nombreux baisers avec Corinne qui se masturbe en nous matant.
Elle adore voir sa grosse et longue queue coulisser dans mon anus, sous la lueur de la lune.
L'homme gémit son plaisir de m'enculer, encore une fois.

"Il est bon, son cul, pas vrai ? Gilles ? T'aimes enculer mon mec !".
"Oh ! Putain ! Ouais, j'adore le défoncer ! C'est ma salope préférée du Sex-Shop !".
"Oui, t'as raison, c'est une vraie salope ! Il aime les grosses bites comme la tienne ! Fais le jouir encore ! Ca m'excite ! Arhhhhh !".
"Arhhhhhhhhh ! Vous êtes dingues, je joui ! Arggggggggggghhhhhhhhhh !".

Je m'étouffe les lèvres sur ma main, pendant qu'il s'évertue à me faire jouir encore et encore.

J'assiste aux orgasmes masturbatoires de ma belle vicieuse.

Puis, Gilles dont je viens de connaitre le prénom, commence à montrer des signes de plaisir intense.

"Ohhh ! Je vais pas tarder à lui remplir le cul, à ton mec !".
"Oui, vas-y ! Lâches toi ! Mets lui tout, après je regarderais ce que tu lui as mis ! J'adore ça !".
"Putain ! Arggggggggghhhhhhhhh ! T'es encore plus vicieuse que moi ! Arhhhhhhhhhh !".

Il se décharge de toute la pression accumulée, au cours de la soirée, dès qu'il m'a reconnu et subit une énorme envie de me baiser.

Corinne fait alors une chose étrange, elle se baisse pour voir la grosse queue de mon amant, plantée en moi.
Elle s'excite de voir les spasmes d'éjection de foutre de Gilles, dans son canal urinaire, qui me remplissent le cul.
Nos râles de plaisir commun baissent en intensité, il me gratifie de plusieurs derniers assauts délicieux.

"Hummm, c'était trop excitant ! Vous baisez toujours comme ça ?".

Gilles lui répond:
"Ouais ! C'est pour ça que je vais toujours le baiser quand je le vois !".
"J'adore ! Bonne année, mon amour ! Elle commence parfaitement ! Tu trouves pas ?".
"Oui ! c'est vrai ! J'avoue !".

Gilles sort de mes fesses en m'écartant avec ses doigts, pendant que ma belle admire ma béance anale.
Elle glisse une main sous mes couilles et attend que je pousse sur mon sphincter pour rejeter le sperme de Gilles.
Je macule sa main, plusieurs fois, ensuite, elle m'essuie les fesses.
Elle me tend sa main, pendant que je me rhabille.

"II y en a beaucoup ! Non ?".

Elle prend un mouchoir pour nettoyer ses doigts et regarde Gilles qui se sèche la bite, de son coté.

"Bon, merci les jeunes ! Je recommencerai bien une autre fois, qui sait ? Corinne ! T'as mon numéro ! Bonne année, à tous les deux !".

Corinne me regarde avec un air excité.
"Mon amour ! Il faut qu'on rentre, je veux que tu me baises ! Je mouille comme une salope ! Vite !".

C'est ce qu'on a fait ! Je l'ai possédé comme une vulgaire salope, à sa demande.

J'ai cédé a ses suppliques en acceptant qu'elle m'encule avec son gode ceinture, avec sauvagerie.
On s'est endormis, tel quels, épuisés de plaisir pervers.

Elle m'a réveillé en collant son pénis de latex entre mes fesses.

"Bonjour ! Mon amour, c'était génial comme soirée ! Je m'attendais pas à ça ! Je t'enculerai bien encore ! Tu veux pas ?".
"Euh, je peux pas, je vais être sale, je pense, tu sais que j'aime pas ça !".
"D'accord ! Dommage !".

Nos obligations familiales nous ont détournés de son envie perverse, jusqu'au soir ou elle m'a encore possédé exclusivement jusqu'à me faire éjaculer sous elle, qui jouissait cérébralement avec puissance.

J'ai eu ensuite un sursaut de masculinité, en lui rendant ce qu'elle m'a fait subir.
Je ne me suis arrêté que lorsqu'elle s'est mise à couler sa cyprine, pendant que je l'enculais.