Soumise!

Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 150 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Renifleur ont reçu un total de 997 757 visites.

Cette histoire de sexe a été affichée 4 346 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Soumise!
Alors que je suis en train de choisir un parfum pour la fête des mères, voilà que mon regard glisse sur les jambes de la femme qui vient tout juste de se placer à mon côté. Une septuagénaire, plutôt bien conservée. Elle a ce qu’on appelle de très beaux restes. Et cherche, visiblement à le faire constater, je profite qu’elle soit canalisée sur le rayon pour poser mes rétines sur ses pieds. Un petit 39, nus, bridés sur des semelles, par des lanières de cuir rouge. Juchée sur ses talons, elle circule dans la boutique. Je la suis des yeux.
Dès lors, je me décide de ne plus la lâcher. C’est dépourvu de bon sens. Mais je m’en fous, je me régale de ce qu’elle m’offre. Mes yeux convergent sur elle comme des vrilles.
Ma langue proteste. La coquine veut partir à la découverte du corps de cette femme. Où je devine une fente profonde et tiède, jusqu’aux muqueuses délicates, fendues du sexe. J’ai un incendie dans le ventre. Et je compte bien l’éteindre grâce à elle.
Je commence par me demander si je vais encore me contenir encore longtemps. Freiné, m’empêcher de me jeter, mains en avant sur ce que la vie offre à mes yeux.
Loin de se soucier de ce qui se trame, elle continue à contempler longuement le parfum. Le visage toujours inexpressif. Elle semble hésiter une fraction de seconde sur plusieurs produits devant ses yeux. Puis se décide et se saisit d’un flacon. C’est alors qu’intervient l’un de ces hasards qui décident le cours d’une vie. L’événement fortuit dont on se demande, après coup, si on ne l’avait pas secrètement souhaité, désiré de tout son corps.
Voilà que l’inconnue tourne son regard de mon côté. J’en fais de même, sourire aux lèvres. Qu’elle s’empresse de me rendre.
Elle cherche l’aventure. Tout cela a pour effet de m’émoustiller. Une situation qui correspond à mes fantasmes. Après tout, pourquoi ne pas profiter de l’aubaine qui m’est offerte. Dans son aspect, elle a tout d’une parfaite bourgeoise salope. Très vite, une conversation s'établit. Cette dernière ne manque ni de piquant, ni de drôlerie. Je devine aisément, par expérience, qu’elle est à la recherche d’une aventure d’un jour. Je ne manque pas de la complimenter. D’abord sur sa toilette et surtout son parfum que je trouvais envoûtant. Et ça marche !
Je ne tarde pas à l’inviter à prendre un verre. Ce qu’elle accepte sans rechigner. Signe que je ne m’étais pas trompé sur son sujet.
Autour d’un verre, elle fait tout pour l’exposer. Je suis en admiration devant son talon potelé. La peau lisse et un peu luisant de sa jambe et au-dessus de ses genoux croisés. Elle m’expose sa vie. Elle se nomme Joséphine. Me demande la mienne. Alors je me laisse aller à lui faire part de ma solitude et de l’ennui. Ce qui va avec. La conversation s’épuise. Les phrases en l’air. La femme joue avec sa jupe qu’elle remonte doucement sur ses cuisses.
Elle m’exhibe une partie de son anatomie jusqu’alors, cachée sous l’étoffe de jupe. Je me contorsionne sur mon siège, gêné par mon sexe qui a pris de terribles proportions. Pris d’un accès de folie, voilà que je me saisis de sa cheville, et cela sous les yeux ébahis de la vieille dame.
Sans lui laisser le temps de riposter, j’enlève sa chaussure, que je pose délicatement par terre. Et toujours sans me soucier du monde qui m’entoure, je me penche pour me retrouver au-dessus du peton. Je me laisse aller à respirer ce qui se dégage de ce pied manucuré et soigné. Je suis un fétichiste des pieds féminins.
Et j’ai eu le plaisir d’en avoir beaucoup à lécher. Mais celui-là est exceptionnel. Un vrai petit bijou ce pied, et cette odeur incroyable, qui rend ma verge encore plus dure. Cette femme vient de me rendre fou amoureux d’elle.
-Dites-moi Joséphine, vous me proposez quoi pour la suite ?
-C’est-à-dire ?
-Je ne sais pas, je devine que vous avez bien quelque chose en idée ?
-Pas le moins du monde, jeune homme. Il est même temps que j’entre. Mon mari doit s’impatienter.
Comme nous sommes à l’abri de tout œil indiscret, je m’autorise de sortir ma queue de son nid, et écarte ma chaise du bord du guéridon.
-Joséphine, je vous invite à regarder du côté de ma braguette.
-Pardon ! Vous êtes tombé sur la tête !
-Faites-le !
-Et pourquoi le ferais-je ?
-Je vous donne encore une chance de regarder, après il sera trop tard.
-Bon… bon, c’est bien parce que vous assistez !
Je profite que son regard se retrouve sous la table pour me branler lentement.
Quand Joséphine reprend sa place initiale, elle a les joues rouges et sa respiration est hachée. Cela ne l’empêche nullement, de poser sa main sur la mienne et sa voix se fait doucereuse :
-Tu ne peux pas avoir, passant au tutoiement, comme c’est agréable de voir un homme se satisfaire.
D’ailleurs, prenant exemple, elle relève sa jupe rouge.
-Tiens, à mon tour !
Là, elle se cambre pour mieux se donner à mon regard. Je prends le risque de faire glisser ma main entre ses cuisses. Elle écarte sa culotte en tulle sur le côté pour dénuder son sexe. Le voile se cale dans le pli de l’aine.
Sous la toison de vieille dame, je distingue l’entrebâillement des babines gonflées. Les lèvres de son sexe bâillent au milieu des poils poivre et sel de sa toison. Elle les étire entre ses doigts pour mieux caresser son bouton et ses petites lèvres. Je n’aurais pas cru une femme de son âge capable de reprendre aussi rapidement goût aux jeux de l’amour.
Elle se lève et vient se planter devant moi, me tend les mains pour m’inviter à me relever.
- Alors, je suis prête… et je t’attends… À toi de travailler, maintenant, allez ! Emmène-moi où le cœur te dit !
-Une petite escapade dans la forêt te dit ?
-Et bien sache que j'en ai toujours rêvé.
-Seulement rêver ?
-À défaut d’autre chose, oui. Si tu vois ce que je veux dire…
Bien des kilomètres plus loin, j’ai l’impression d’être revenu quelques années en arrière.
Avec une partenaire de sa classe. D’ailleurs je décide de la guider dans le même endroit.
-Tu ne peux pas savoir comme je suis dans tous mes états de me retrouver là, dans la forêt. D’ailleurs je vais te l’exposer pour voir que je ne te mens pas.
Elle fait tomber son manteau sur la souche. Le chandail s’en suit. Elle se tourne, retire les attaches du soutien-gorge. Première partie du déshabillage terminée, reste sa culotte. Là, comme souvent, je sens l’excitation me gagner vraiment, je bande dur ! Elle s’en aperçoit, sourit.
- Je vois que je ne te laisse pas insensible !
Je m’agenouille, j’ai l’impression d’être son asservi. Je devine que cela va lui plaire !
Je gobe le renflement soyeux de la culotte en tulle. Mord la vulve qui forme une pelote. Mes mains caressent les jambes, les fesses frémissantes, remontent sous la robe, puis passent devant, touchent la poitrine, caressant les seins nus.
Je saisis un côté de sa culotte entre mes dents. Je tire un peu pour le descendre, même chose de l’autre côté, puis sur le devant. Pour autant, elle ne reste pas impassible. Elle joue des hanches. Elle passe ses doigts dans mes cheveux, accompagne mes mouvements par de profonds soupirs.
Alors, je prends plaisir à prendre mon temps. Je recommence, et ainsi de suite jusqu’à ce que sa culotte soit à mi-cuisses. Jusqu’à retrouver la vieille chatte devant mes yeux. Un petit baiser dessus. Joséphine décide de se séparer de sa lingerie. Avec l’aide de ses pieds. D’autorité, je m’en saisis, et la porte à mon nez sous les yeux ébahis de sa propriétaire.
-Qu’est-ce que tu en penses ? Me lâcha-t-elle.
-Un pur bonheur.
-Et bien, je te l’offre.
- Merci, mais j’avais bien l’intention de repartir avec.
-Un petit cadeau pour toi, pour que tu penses à moi, ce soir dans ton lit. Allez, va…
Pour toute réponse, j’envoie mes mains caresser ses seins. Irritant leurs pointes par des pressions appuyées, alors qu’avec ma langue, je chatouille son pustulé. Je l’accompagne de la sorte jusqu’à la jouissance. Sans lui laisser le temps de reprendre ses esprits, je la retourne, empoigne les fesses à pleines mains pour les écarter.
L’anus apparut entre les poils imprégnés de sueur. Je le renifle. Son anus se défripe. J’enfouis mon visage entre les fesses et je respire de nouveau. L’odeur intime m’enivre, me soule. Je passe ma langue dans le sillon et insiste sur le petit anus. L’orifice palpite, s’entrouvre. Je pointe la langue dessus. Force l’ouverture, léchant les bords. Ivre de bonheur, qu’elle se laisse palper le cul passivement. Pour voir jusqu'où elle m’autorise à aller, j'insinue mon index. Je farfouille dedans, cherchant son plaisir. Elle accepte tout de ma part.
Alors j’ouvre mon pantalon, dans l’impulsion, je sors ma queue. Raide, je la dirige vers la cible, à plaisir.
- Oh Joséphine !
Je m’enfonce, ivre de douceur dans le boisseau chaud et soyeux. Elle respire très fort et recule son cou pour être bien emmanchée. Je bondis de délice, ma queue dérape et sort du boisseau. Joséphine m’invite à m’installer sur la souche près du manteau. Elle s’installe au-dessus de moi. Elle empoigne ma verge et la guide jusqu’à l’entrée de son con. De son autre main, elle agrippe à mon cou, et s’empale de tout son poids. Peu à peu, je sens sa chatte se dilater. Le nez entre ses seins.
Elle se soulève petit à petit et se laisse tomber avec précaution sur moi. Complètement communicative, elle se met alors à monter et à descendre de plus en plus vite. Elle cache bien son jeu. L’effort la met en nage et ses seins ballotent dans tous les sens. Elle jouit, s’écroule sur moi.
-Eh bien, si on m’avait dit ça ce matin en me levant, jamais je l’aurais cru. Lâche-t-elle, en remuant sa croupe de droite à gauche, et de gauche à droite.
Alors que j’amorce un mouvement pour me retirer, la voilà qu’elle lance un mouvement de haut en bas, comme pour de nouveau branler mon sexe dans son fourreau. De nouveau plantée en elle, elle donne de violentes ruades et faisant claquer ses fesses contre mon ventre. Elle s’amuse avec ma queue quelques minutes, avant de se relever. Et d’aller dans la seconde après, s’appuyer contre un tronc. De là, elle me fait signe de m’approcher, avec un petit sourire complice dans les yeux.
Insatiable, cette Joséphine !
Comme toujours dans ces cas-là, je ne me fais pas prier. Et comme elle le demande, j’applique ma bouche contre son sexe. Puis-je chercher à la masturber avec mon grand nez. Alors que ma bouche gobe la partie basse de ses grandes lèvres, mon nez taraude son vagin.
Je la masturbe ainsi, alors que son pubis se met à osciller en s’appuyant de plus en plus fort sur mes lèvres. Ses mains, de chaque côté de ma tête, cherchent à indiquer l’action de mes lèvres contre son sexe, et puis soudain un tremblement, une pression encore plus forte des mains, une plainte :
-Ouiiiiii… tu vas me tuer de bonheur ! Je pense que je vais laisser mes godes de côté pour toi.
Dès lors, je me décide de ne plus la lâcher. C’est dépourvu de bon sens. Mais je m’en fous, je me régale de ce qu’elle m’offre. Mes yeux convergent sur elle comme des vrilles.
Ma langue proteste. La coquine veut partir à la découverte du corps de cette femme. Où je devine une fente profonde et tiède, jusqu’aux muqueuses délicates, fendues du sexe. J’ai un incendie dans le ventre. Et je compte bien l’éteindre grâce à elle.
Je commence par me demander si je vais encore me contenir encore longtemps. Freiné, m’empêcher de me jeter, mains en avant sur ce que la vie offre à mes yeux.
Loin de se soucier de ce qui se trame, elle continue à contempler longuement le parfum. Le visage toujours inexpressif. Elle semble hésiter une fraction de seconde sur plusieurs produits devant ses yeux. Puis se décide et se saisit d’un flacon. C’est alors qu’intervient l’un de ces hasards qui décident le cours d’une vie. L’événement fortuit dont on se demande, après coup, si on ne l’avait pas secrètement souhaité, désiré de tout son corps.
Voilà que l’inconnue tourne son regard de mon côté. J’en fais de même, sourire aux lèvres. Qu’elle s’empresse de me rendre.
Elle cherche l’aventure. Tout cela a pour effet de m’émoustiller. Une situation qui correspond à mes fantasmes. Après tout, pourquoi ne pas profiter de l’aubaine qui m’est offerte. Dans son aspect, elle a tout d’une parfaite bourgeoise salope. Très vite, une conversation s'établit. Cette dernière ne manque ni de piquant, ni de drôlerie. Je devine aisément, par expérience, qu’elle est à la recherche d’une aventure d’un jour. Je ne manque pas de la complimenter. D’abord sur sa toilette et surtout son parfum que je trouvais envoûtant. Et ça marche !
Je ne tarde pas à l’inviter à prendre un verre. Ce qu’elle accepte sans rechigner. Signe que je ne m’étais pas trompé sur son sujet.
Autour d’un verre, elle fait tout pour l’exposer. Je suis en admiration devant son talon potelé. La peau lisse et un peu luisant de sa jambe et au-dessus de ses genoux croisés. Elle m’expose sa vie. Elle se nomme Joséphine. Me demande la mienne. Alors je me laisse aller à lui faire part de ma solitude et de l’ennui. Ce qui va avec. La conversation s’épuise. Les phrases en l’air. La femme joue avec sa jupe qu’elle remonte doucement sur ses cuisses.
Elle m’exhibe une partie de son anatomie jusqu’alors, cachée sous l’étoffe de jupe. Je me contorsionne sur mon siège, gêné par mon sexe qui a pris de terribles proportions. Pris d’un accès de folie, voilà que je me saisis de sa cheville, et cela sous les yeux ébahis de la vieille dame.
Sans lui laisser le temps de riposter, j’enlève sa chaussure, que je pose délicatement par terre. Et toujours sans me soucier du monde qui m’entoure, je me penche pour me retrouver au-dessus du peton. Je me laisse aller à respirer ce qui se dégage de ce pied manucuré et soigné. Je suis un fétichiste des pieds féminins.
Et j’ai eu le plaisir d’en avoir beaucoup à lécher. Mais celui-là est exceptionnel. Un vrai petit bijou ce pied, et cette odeur incroyable, qui rend ma verge encore plus dure. Cette femme vient de me rendre fou amoureux d’elle.
-Dites-moi Joséphine, vous me proposez quoi pour la suite ?
-C’est-à-dire ?
-Je ne sais pas, je devine que vous avez bien quelque chose en idée ?
-Pas le moins du monde, jeune homme. Il est même temps que j’entre. Mon mari doit s’impatienter.
Comme nous sommes à l’abri de tout œil indiscret, je m’autorise de sortir ma queue de son nid, et écarte ma chaise du bord du guéridon.
-Joséphine, je vous invite à regarder du côté de ma braguette.
-Pardon ! Vous êtes tombé sur la tête !
-Faites-le !
-Et pourquoi le ferais-je ?
-Je vous donne encore une chance de regarder, après il sera trop tard.
-Bon… bon, c’est bien parce que vous assistez !
Je profite que son regard se retrouve sous la table pour me branler lentement.
Quand Joséphine reprend sa place initiale, elle a les joues rouges et sa respiration est hachée. Cela ne l’empêche nullement, de poser sa main sur la mienne et sa voix se fait doucereuse :
-Tu ne peux pas avoir, passant au tutoiement, comme c’est agréable de voir un homme se satisfaire.
D’ailleurs, prenant exemple, elle relève sa jupe rouge.
-Tiens, à mon tour !
Là, elle se cambre pour mieux se donner à mon regard. Je prends le risque de faire glisser ma main entre ses cuisses. Elle écarte sa culotte en tulle sur le côté pour dénuder son sexe. Le voile se cale dans le pli de l’aine.
Sous la toison de vieille dame, je distingue l’entrebâillement des babines gonflées. Les lèvres de son sexe bâillent au milieu des poils poivre et sel de sa toison. Elle les étire entre ses doigts pour mieux caresser son bouton et ses petites lèvres. Je n’aurais pas cru une femme de son âge capable de reprendre aussi rapidement goût aux jeux de l’amour.
Elle se lève et vient se planter devant moi, me tend les mains pour m’inviter à me relever.
- Alors, je suis prête… et je t’attends… À toi de travailler, maintenant, allez ! Emmène-moi où le cœur te dit !
-Une petite escapade dans la forêt te dit ?
-Et bien sache que j'en ai toujours rêvé.
-Seulement rêver ?
-À défaut d’autre chose, oui. Si tu vois ce que je veux dire…
Bien des kilomètres plus loin, j’ai l’impression d’être revenu quelques années en arrière.
Avec une partenaire de sa classe. D’ailleurs je décide de la guider dans le même endroit.
-Tu ne peux pas savoir comme je suis dans tous mes états de me retrouver là, dans la forêt. D’ailleurs je vais te l’exposer pour voir que je ne te mens pas.
Elle fait tomber son manteau sur la souche. Le chandail s’en suit. Elle se tourne, retire les attaches du soutien-gorge. Première partie du déshabillage terminée, reste sa culotte. Là, comme souvent, je sens l’excitation me gagner vraiment, je bande dur ! Elle s’en aperçoit, sourit.
- Je vois que je ne te laisse pas insensible !
Je m’agenouille, j’ai l’impression d’être son asservi. Je devine que cela va lui plaire !
Je gobe le renflement soyeux de la culotte en tulle. Mord la vulve qui forme une pelote. Mes mains caressent les jambes, les fesses frémissantes, remontent sous la robe, puis passent devant, touchent la poitrine, caressant les seins nus.
Je saisis un côté de sa culotte entre mes dents. Je tire un peu pour le descendre, même chose de l’autre côté, puis sur le devant. Pour autant, elle ne reste pas impassible. Elle joue des hanches. Elle passe ses doigts dans mes cheveux, accompagne mes mouvements par de profonds soupirs.
Alors, je prends plaisir à prendre mon temps. Je recommence, et ainsi de suite jusqu’à ce que sa culotte soit à mi-cuisses. Jusqu’à retrouver la vieille chatte devant mes yeux. Un petit baiser dessus. Joséphine décide de se séparer de sa lingerie. Avec l’aide de ses pieds. D’autorité, je m’en saisis, et la porte à mon nez sous les yeux ébahis de sa propriétaire.
-Qu’est-ce que tu en penses ? Me lâcha-t-elle.
-Un pur bonheur.
-Et bien, je te l’offre.
- Merci, mais j’avais bien l’intention de repartir avec.
-Un petit cadeau pour toi, pour que tu penses à moi, ce soir dans ton lit. Allez, va…
Pour toute réponse, j’envoie mes mains caresser ses seins. Irritant leurs pointes par des pressions appuyées, alors qu’avec ma langue, je chatouille son pustulé. Je l’accompagne de la sorte jusqu’à la jouissance. Sans lui laisser le temps de reprendre ses esprits, je la retourne, empoigne les fesses à pleines mains pour les écarter.
L’anus apparut entre les poils imprégnés de sueur. Je le renifle. Son anus se défripe. J’enfouis mon visage entre les fesses et je respire de nouveau. L’odeur intime m’enivre, me soule. Je passe ma langue dans le sillon et insiste sur le petit anus. L’orifice palpite, s’entrouvre. Je pointe la langue dessus. Force l’ouverture, léchant les bords. Ivre de bonheur, qu’elle se laisse palper le cul passivement. Pour voir jusqu'où elle m’autorise à aller, j'insinue mon index. Je farfouille dedans, cherchant son plaisir. Elle accepte tout de ma part.
Alors j’ouvre mon pantalon, dans l’impulsion, je sors ma queue. Raide, je la dirige vers la cible, à plaisir.
- Oh Joséphine !
Je m’enfonce, ivre de douceur dans le boisseau chaud et soyeux. Elle respire très fort et recule son cou pour être bien emmanchée. Je bondis de délice, ma queue dérape et sort du boisseau. Joséphine m’invite à m’installer sur la souche près du manteau. Elle s’installe au-dessus de moi. Elle empoigne ma verge et la guide jusqu’à l’entrée de son con. De son autre main, elle agrippe à mon cou, et s’empale de tout son poids. Peu à peu, je sens sa chatte se dilater. Le nez entre ses seins.
Elle se soulève petit à petit et se laisse tomber avec précaution sur moi. Complètement communicative, elle se met alors à monter et à descendre de plus en plus vite. Elle cache bien son jeu. L’effort la met en nage et ses seins ballotent dans tous les sens. Elle jouit, s’écroule sur moi.
-Eh bien, si on m’avait dit ça ce matin en me levant, jamais je l’aurais cru. Lâche-t-elle, en remuant sa croupe de droite à gauche, et de gauche à droite.
Alors que j’amorce un mouvement pour me retirer, la voilà qu’elle lance un mouvement de haut en bas, comme pour de nouveau branler mon sexe dans son fourreau. De nouveau plantée en elle, elle donne de violentes ruades et faisant claquer ses fesses contre mon ventre. Elle s’amuse avec ma queue quelques minutes, avant de se relever. Et d’aller dans la seconde après, s’appuyer contre un tronc. De là, elle me fait signe de m’approcher, avec un petit sourire complice dans les yeux.
Insatiable, cette Joséphine !
Comme toujours dans ces cas-là, je ne me fais pas prier. Et comme elle le demande, j’applique ma bouche contre son sexe. Puis-je chercher à la masturber avec mon grand nez. Alors que ma bouche gobe la partie basse de ses grandes lèvres, mon nez taraude son vagin.
Je la masturbe ainsi, alors que son pubis se met à osciller en s’appuyant de plus en plus fort sur mes lèvres. Ses mains, de chaque côté de ma tête, cherchent à indiquer l’action de mes lèvres contre son sexe, et puis soudain un tremblement, une pression encore plus forte des mains, une plainte :
-Ouiiiiii… tu vas me tuer de bonheur ! Je pense que je vais laisser mes godes de côté pour toi.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Renifleur
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
C'est très joli cet amour intergénérationnel
Plein d'érotisme de douceur
Un amour pleinement partagé...
Mais à quand la suite?
Plein d'érotisme de douceur
Un amour pleinement partagé...
Mais à quand la suite?

