SOUS INFLUENCE

- Par l'auteur HDS Tamalou -
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : SOUS INFLUENCE Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-03-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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(10.0 / 10)

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SOUS INFLUENCE
Je n'avais pas revu Karim depuis plusieurs années. On avait couché quelquefois ensemble à l'université.
Après avoir obtenu notre diplôme, il a préféré continuer ses études et j’ai trouvé du travail à Montpellier.
Nous sommes restés en contact grâce aux réseaux sociaux. Il a terminé ses études par une année en Irlande.
Il a ramené dans ses bagages une petite française avec laquelle il a vécu trois ans.
Il venait de rompre avec sa chérie et il était tellement déprimé que j'ai pensé passer le week-end avec lui pour le soutenir moralement. Quand je lui ai dit que je venais lui rendre visite, il était fou de joie, mais je devais trouver un truc pour lui faire oublier cette petite salope. J'avais trouvé un hôtel presque en face du restaurant où nous avions rendez-vous.
Nue dans ma chambre d'hôtel, je m'examinais dans le miroir. Un verre d'alcool m'aurait aidée à porter ce que j'avais choisi de porter.
Il faisait frais à 20 heures ce soir-là, j'avais prévu un tailleur, mais la veste était très ouverte devant, et la jupe droite était courte, très courte. Debout, ça allait. Assise sur le lit, face au miroir, on voyait bien que je portais des bas.
Et si je croisais les jambes, pas de doute, ils ne tenaient pas tout seuls, les jarretelles étaient bien visibles.
OK, j'aurais l'air coquine, un peu salope, mais pour mener à bien mon projet, il ne fallait pas lésiner sur les moyens.
Sous le tailleur, un ensemble coordonné, sou-tif et culotte en rouge et noir, avec beaucoup de dentelle transparente.
S'il arrivait jusque là, je voulais que ça vaille le coup d’œil.
Même si Karim m'avait baisée quelques fois à la fac, devenu avocat spécialiste du droit international, il devait avoir plein de filles prêtes à se faire ensemencer pour toucher le jackpot.
À bientôt 30 ans, les occasions de me caser commençaient à se raréfier, j'avais baisé tous les garçons qu'on m'avait présenté, et ça m'avait porté préjudice:"Comment, t'as pas baisé avec Miranda? Pourtant, elle couche avec tout le monde!"Bon, la tenue, ça va. J'ai quitté la jupe et la culotte pour m'équiper. C'était ça, l'idée. Rendre notre rencontre ludique, pour lui faire oublier que j'étais venue parce qu'il était enfin libre, que je l'attendais depuis des années, humide en pensant à ce mec!
Cul nu, j’ai ouvert le sac de papier brun contenant mes achats. Cet après-midi, dans le sex-shop plein de pervers, j'avais choisis ce vibromasseur en forme d’œuf, étanche, que l'on insère dans la chatte et que l'on pilote avec une télécommande.
Bien sûr, impossible de l'essayer au milieu des curieux, même si le patron me l'a proposé, d'un air salace, en me précisant qu'il avait une cabine pour les essayages. Tu parles! Une cabine pour les essayages! Équipée de caméras?
J'ai inséré les piles dans l'appareil et je l'ai mis en marche. Putain de bourdonnement!
Dans le silence de la chambre, on aurait cru un hélicoptère au décollage!
J'espérais que le son soit étouffé par les parois de ma chatte. Accroupie dans la salle de bains, je lubrifiais ma chatte et le vibromasseur avant de faire des essais en situation. Il me remplissait bien, même s'il n'était pas énorme.
J'ai mis une pile dans la télécommande, j'ai allumé le jouet, ça va!
Le son, ça va, la vibration, pas terrible. J'ai augmenté la fréquence de vibration … Waouh! Si, terrible!
Il faudra que Karim soit gentil avec moi pour que je ne me mette pas à hurler en plein restaurant!
Je m'allongeais sur le lit et me masturbais pendant un moment pour me calmer les nerfs.
Satisfaite de mon jouet, j'ai éteint la télécommande, le vibrateur s'est mis automatiquement en veille en perdant le signal.
J'étais fière de mon idée. Ce soir, Karim allait prendre le contrôle de ma chatte. Et ce soir, j'allais prendre le contrôle de Karim.
Normalement, j'aurais mis un string minimaliste pour une soirée comme celle-ci, mais je voulais quelque chose qui puisse sécuriser le jouet dans ma chatte. J'avais choisi une culotte sexy en dentelle mais suffisamment enveloppante et résistante.
Certaines parties étaient transparentes, donc sexy; mais le gousset était solide et épais, pour contrôler les fuites.
Je voulais être sûre que l’œuf vibrant restait bien à l'intérieur de ma chatte, quel que soit le niveau de vibration choisi par Karim.
Je n'étais pas totalement sûre de son niveau de délicatesse et de compassion à mon égard.
J'ai mis ma main dans ma culotte pour vérifier l'ajustement les choses. J'étais déjà trempée!
Très peu vêtue, j'ai vérifié ma tenue dans le miroir. La jupe très courte, le décolleté plongeant, les talons aiguilles et le maquillage provocateur, j'avais l'air de ce que j'étais, une salope en manque de sexe.
Hum ... la veste laissait apparaître mes seins au moindre mouvement, et surtout ne pas me baisser, ma jupe ne cachait rien.
Je me suis entraînée à me mouvoir devant le miroir de la chambre d'hôtel. J'étais déjà sortie sans soutien-gorge ni culotte, mais généralement un peu plus couverte. Pourquoi j'ai choisi de me dévoiler autant, en portant cet ensemble?
Je voulais me présenter dans une tenue très érotique. Il y a longtemps que je n'avais pas vu Karim, il a pu changer, je n'ai pas voulu prendre le moindre risque de passer à côté de ma chance. J'avais ce mec dans le cœur depuis si longtemps ...
J'avais presque oublié que le vibrateur était en moi, il était installé tellement confortablement dans ma chatte.
Je me suis baissée, j'ai levé la jambe, j'ai sauté sur place pour voir si le vibrateur restait en place. Tout était OK.
La télécommande disposait de cinq niveaux de réglage. J'ai testé chaque niveau l'un après l'autre. Au niveau trois, je haletais.
Au niveau quatre, je me suis frotté le clitoris, courbée en deux. Je devais mieux me contrôler.
Je voulais rester au bord de l'extase sexuelle le plus longtemps possible sans jouir … sinon Karim allait faire de moi son jouet.
J'ai éteint la télécommande et l'ai rangée dans mon sac. J'avais hâte de rejoindre ma victime.
21H précises, j'ai traversé le boulevard d'un pas assuré en faisant claquer mes talons.
Un vent frais s'engouffrait sous ma jupe et dans l'ouverture de ma veste.
Ma culotte humide m'a gelé les fesses et mes tétons si sensibles se sont érigés, poussant contre le voile fin du sou-tif.
J'ai croisé quelques passants qui m'ont dévisagée, se demandant ce que cette pute faisait dans ce quartier.
J'ai pris une profonde respiration avant d'entrer dans le restaurant. Je me sentais mal à l'aise, insuffisamment vêtue.
De nombreuses femmes portaient des vestes, mais avec un corsage et un pantalon ou une jupe longue.
Je comptais passer inaperçue, que les gens ne s'occuperaient pas de moi, juste Karim que je voulais séduire.
Qui soupçonnerait une jeune femme d'être assez folle pour s'équiper elle-même d'un vibrateur pour aller au restaurant?
Il était déjà là. Karim était toujours aussi beau avec son collier de barbe et, mon dieu, il s'était habillé!
Costard-cravate, la tenue du parfait "jeune cadre dynamique!"J'étais stupéfaite du changement avec mon petit étudiant baba-cool!
Il s'est levé pour m'accueillir, les bras écartés, le sourire aux lèvres: "Mon amour!"Je m'approchais de sa table, ondulant des hanches, le regard enjôleur: "Hé, cher Maître!""Tu es magnifique!" Les yeux lui sortaient de la tête quand je suis glissée sur la banquette, tout contre lui.
"Rince-toi bien les yeux, c'est fait pour! Tu aimes mon style de salope?""T'es à croquer, mignonne! Vivement le dessert!""Oui, J'espère que tu as de l'appétit ..." Assise à côté de lui, je lui tendais mes lèvres et lui donnais un long baiser profond.
La table était parfaite. Les banquettes à haut dossier nous cachait des regards, un réseau serré de plantes vertes isolait notre table.
Nous étions seuls au monde entourés par le brouhaha des conversations.
"Miranda! Je suis si heureux que tu sois venue passer ce week-end avec moi. Enlève ta veste et mets-toi à l'aise.""Euh ... non, ça va pas être possible …" J'écartais les pans de ma veste pour lui montrer que je n'avais qu'un sou-tif.
"J'ai pensé que ça te plairais si je m'habillais léger. À l'université, tu aimais bien faire des trucs avec mes seins ..."Les yeux fixés sur mes mamelons érigés, il a demandé: "Tu as froid?"Je baissais les yeux sur mes mamelons. Ils tendaient clairement le tissu de mon sou-tif.
"Euh, ouais, mais non. Oh et puis merde, tu le sauras assez tôt, de toute façon." Je me penchais pour lui murmurer: "Je voulais faire un petit jeu pervers, mais je voulais te le dire un peu plus tard. Après avoir bu un verre. Je suis presque nue là-dessous."Il m'a regardé avec un sourire idiot: "Vraiment? Miranda, tu ne changes pas. Je pensais que c'était fini, les conneries!"J'ai mis ma main sur son pubis. Il était dur, comme je l'avais espéré.
"Karim ... je t'ai préparé un petit jeu, encore plus pervers que tu ne l'aurais imaginé. Tiens, prends ça."J'ai fouillé dans mon sac à main et lui ai tendu la télécommande.
"Qu'est-ce que c'est ce truc, on dirait une télécommande?""Mets-le en marche, tu verras ce qui se passe!"J'ai passé ma jambe au-dessus de son genoux pour mettre mon mollet entre ses cuisses. La main sur sa bosse, j'espérais maîtriser ses émotions et l'amener là où je voulais, qu'il mette la main dans ma culotte.
Il était sur le point de tourner le bouton lorsque le serveur s'interposa pour prendre nos commandes.
"Euh, eh bien, un coca avec un fond de rhum pour moi" bredouillais-je.
Le con, il ne pouvais pas trouver un plus mauvais moment pour s'amener.
"Bien. Et pour vous, monsieur?""Un gin tonique.""Je vous remercie.""OH! MERDE!" Karim venait de tourner la manette de contrôle à fond de manière inattendue.
"Miranda, quel est ce petit appareil intéressant? Et pourquoi je t'ai fait hurler quand je l'ai mis sur cinq?"J'ai pris sa main et je l'ai posée sur ma chatte.
"Oh, Karim. Tu le sens vibrer? C'est un petit jeu pervers. C'est la télécommande du vibrateur qui est dans ma chatte en ce moment. J'ai pensé que ce serait amusant de jouer pendant le dîner, mais je ne m'attendais pas à un démarrage aussi violent!"J'ai senti une variation de la fréquence de vibration dans ma chatte. Cela me secouait profondément et je haletais, bouche ouverte.
J'avais envie de me masturber: "Arrête, crétin, tu vas me faire jouir! Calme-toi, tu sais comme je suis bruyante!""Tu m'as confié la commande, tu es sous mon contrôle!""Ouais, c'est ce que j'ai fait. Mais tu peux le faire gentiment, ou comme un sauvage, hein Karim?"Je ne pouvais pas garder mon visage impassible lorsque le serveur nous a apporté nos boissons. J'espérais que Karim baisse l'intensité, mais il l'a laissé au niveau cinq.
"As-tu besoin que je baisse de niveau?" Karim m'a demandé.
"Oui. C'est trop, ça avait l'air tellement érotique et tout, mais nous sommes en public, et c'est plus fort que ce que j'avais prévu.""T'as pas de chance! Tu m'as donné la commande de ton petit jeu pervers, et maintenant je contrôle les vibrations à l'intérieur de ta jolie petite chatte. Je peux te garder au niveau cinq jusqu'à ce que tu fasses tout ce que je veux!"Je réalisais mon imprudence. Je n'avais pas testé mes limites avant de m'impliquer dans ce jeu. Je m'étais livrée pieds et poings liés à mon tourmenteur et je n'avais aucune idée de ce qu'il voulait m'imposer.
"Sois gentil avec ta copine, mon chéri!" J'ai supplié. "Je ne peux pas rester longtemps au niveau cinq. J'ai besoin de me masturber. Et si je me masturbe jusqu'à l'orgasme ici dans ce restaurant, ça va faire du bruit et tu vas en subir les conséquences.""Mais non? Pourquoi, Miranda, ne peux-tu pas avoir un orgasme en public sans que tout le monde le sache? Tu ne sais pas être discrète? Je croyais que tu étais une grande fille maintenant et que tu savais te tenir!" Il se foutait de moi!
J'avais toujours ma jambe passée sur la jambe de Karim, j'avais toujours sa main sur ma chatte, j'avais toujours l’œuf vibrant dans ma chatte à la fréquence maximum, j'ai posé mon front sur l'épaule de Karim et je l'ai supplié à voix basse:"Putain ouais! S'il te plaît, chéri! Arrête ce truc, tu me fais mourir! Je vais me mettre à gémir et à gueuler, ça va pas être beau à voir!""Eh bien, je te donnes ta chance, poupée! Ce que je veux, c'est une petite branlette sous la table!""T'es sérieux, Karim? Tu ne peux pas attendre la fin du repas, qu'on aille à l'hôtel? Tout le monde va t'entendre?""Non, moi je sais me tenir. J'ai fait des recherches sur le sexe tantrique. Je peux contrôler ma respiration et avoir un orgasme discret!""S'il te plaît, chéri, mets-le sur trois! Je suis en train de venir! S'il te plaît! Ooh, s'il te plaît!…" suppliai-je"Non! Tu restes à cinq! D'abord la branlette! Si tu es bonne, je baisserai le niveau, autant que je t'aurais trouvée bonne! Bonne à quatre, très bonne à trois, super bonne à deux! Ensuite, je te ferai jouir en tripotant ta petite chatte en chaleur, Miranda!"Je me sentais sexuellement frustrée à ce moment-là. Mon plan se retournait contre moi. Je voulais qu'il m'excite toute la soirée, mais pas me rendre folle! J'avais tellement besoin de me calmer en me tripotant, mais je savais que ce serait un scandale en public.
"D'accord Karim. Tu as gagné! Je vais faire ce que tu désires. Mais le serveur? Que fait-on quand il reviendra nous voir?""M'en occupe! Il arrive avec nos boissons; je vais lui dire de nous laisser un moment tranquille."Le serveur a posé nos boissons sur la table. Karim a expliqué poliment au serveur que nous ne souhaitions pas manger tout de suite et qu'on lui ferait signe de la main si nous avions besoin de lui. Le serveur était clairement perplexe, mais le côté professionnel a repris le dessus, il a accepté et s'est éloigné.
"Et pour la lubrification, Karim?" Je n'avais rien programmé, je n'avais pas de lubrifiant, à sec il allait souffrir!
"Utilise ta salive, crache dans ta main!" C'est ce que j'ai fait, en me cachant discrètement le visage avec ma serviette. C'était à la fois drôle, grossier et sexy!
La paume de ma main droite étant maintenant ornée d'un splendide crachat, j'ai utilisé ma main gauche pour déboutonner son pantalon. Je pouvais sentir son érection à travers le tissu. J'ai dégainé habilement l'engin de son boxer blanc à rayures bleues.
Souriante, j'ai pris rapidement sa bite dans ma main droite pour décalotter le gland.
D'un regard circulaire, j'ai parcouru rapidement la zone pour m'assurer que personne ne nous regardait.
Heureusement, nous étions assis au fond du restaurant. J'étais à côté de Karim et mon corps le dissimulait aux regards indiscrets.
"Oh, putain! Miranda, t'es toujours aussi bonne! Tu te souviens de ta première branlette?"Tu parles si je m'en souvenais! Notre première rencontre, en première année à l'université! On avait fait une petite fête au sous-sol, un peu éméchée par les bières que les garçons m'avaient fait boire, je l'avais entraîné dans les couloirs du sous-sol et dans un coin mal éclairé ...
Sa queue était bien raide maintenant, alors j'évitais de faire des grands gestes en le pompant de haut en bas.
Je voulais rester discrète et ne pas attirer l'attention, alors je me concentrais sur le frein, sous le gland.
Je le griffais légèrement, puis je le massais avec la paume de ma main et je recommençais.
Je sentais son liquide séminal couler sur ma main et je l'utilisais pour le lubrifier, mais j'aurais aimer le prendre en bouche et le sucer.
Je travaillais sa bite en le regardant amoureusement. Même s'il respirait profondément, les yeux clos, il se contrôlait bien.
Un passant n'aurait pas remarqué qu'il se faisait branler.
En gardant un œil sur les alentours, je continuais de flatter son érection avec ma main. Je me suis blottie pour mordiller son oreille et je lui ai demandé, innocente et perverse: "Tu aimes, mon chéri? Suis-je assez bonne?"Visiblement concentré sur son maintien, il ne m'a pas répondu. Je me débattais, toujours aux prises avec le vibrateur.
Je ne peux pas jouir sans stimulation clitoridienne ou sans pénétration, mais la vibration me rendait extrêmement excitée, et je résistais difficilement à l'envie de me masturber.
Au lieu de me masturber, j'ai utilisé ma main libre pour agacer le téton de Karim à travers sa chemise.
Puis je me faufilais entre les boutons de sa chemise et j'ai pincé ses tétons, lui arrachant un gémissement: "Arrête ça tout de suite, Miranda. Tu vas me faire gémir avec cette stimulation supplémentaire" murmura-t-il entre ses dents.
"Oh, pauvre chéri, tu as du mal à rester silencieux? Je te propose un marché: tu baisses l'intensité de la vibration et j'arrête de te tourmenter, OK?"Je pinçai plus fort ses mamelons en l'embrassant dans le cou. Sa réponse ne s'est pas faite attendre: "Salope!"Puisqu'il ne voulait pas être fair-play, j'augmentais le travail sur sa bite, la tordant, la branlant, les dents serrées, j'utilisais toute la rage de ma frustration à cause de ce vibreur dans ma chatte.
J'ai regardé son visage. Il restait silencieux, mais sa pâleur et sa crispation montrait toute la souffrance qu'il mettait à contenir le plaisir sexuel intense qu'il ne pourrait plus retenir longtemps.
Pour le chauffer encore un peu plus, j'ai fait appel à ses souvenirs:"Karim" murmurai-je en mordillant son lobe d'oreille "Te souviens-tu de la chambre de Leslie?"Un soir, c'était pendant la deuxième année, je l'avais sucé pendant que sa chérie du moment, Leslie, prenait sa douche.
Nous avions prévu de sortir, ce soir-là, et Leslie a annoncé qu'elle devait prendre une douche rapide.
À la fac, les chambres n'avaient pas de salle de bain, il fallait aller au bout du couloir.
Elle avait attrapé sa serviette et ses affaires de toilette, puis avait quitté la pièce en disant: "J'en ai pour dix minutes!"Nous n'avions rien planifié. Juste une envie subite. Je l'ai sucé jusqu'à ce qu'il me balance sa charge dans la gorge.
Leslie est revenue une poignée de secondes après que je le termine.
J'avais encore du sperme dans la bouche quand elle est entrée dans la chambre.
Ce souvenir devait lui en apporter d'autres, car il s'est mis à gémir doucement, les dents serrées et la sueur sur son visage.
Je savais qu'il était proche quand j'ai ressenti les premiers spasmes de sa queue.
Je n'avais plus besoin de le pomper aussi vite, il ne pouvait plus faire marche arrière.
Je me contentais de recueillir et d'étaler sa crème onctueuse comme lubrifiant sur sa verge tendue.
Je l'ai laissé se débrouiller avec son orgasme, ne prenant même pas la peine de le branler jusqu'au bout, me contentant de lui presser les boules, et de le laisser s'essuyer avec sa serviette.
Il avait encore sa serviette sur sa bite lorsqu'une cliente est passée devant nous sans se douter, heureusement.
Il m'a regardé, m'a sourit, et m'a dit: "Salope, tu vas rester sur cinq!""Karim, je vais exploser! Je dois m'absenter. Je ne peux plus me retenir. Il faut que je me branle, et je ne peux pas le faire ici!""OK, attends-moi, je vais payer et on s'en va.""Euh ... non, je ne peux pas attendre! Soit tu éteins le vibrateur, soit je vais aux chiottes pour me soulager."La stimulation intense au fond de ma chatte me tordait le ventre.
"Pas question de baisser l'intensité. Tu es à moi, ma petite, et je compte bien m'amuser!""Bon. Je dois y aller maintenant."Je me levais rapidement, rajustais ma tenue, et me précipitais aux toilettes.
Horrifiée, j'ai réalisé que le seul cabinet était occupé, et que deux personnes attendaient!
J'avais tellement besoin de me soulager! C'était la pire torture! Je devais trouver un endroit immédiatement.
Je ne pouvais pas retourner vers Karim et attendre qu'il ait payé. Ce vibreur me rendait folle, je ne pouvais pas réfléchir.
Je me suis faufilée dans un couloir, au fond une porte. Je l'ai poussée et je me suis retrouvée dehors, dans une rue qui donnait sur l'avenue. Quelques personnes grillaient une cigarette juste là.
Dans mon état, suant abondamment, le cœur battant, devenant paranoïaque avec le bourdonnement du vibrateur, une seule idée m'est venue: retourner à mon hôtel, distant de quelques centaines de mètres, pour me soulager.
Je me suis dirigée vers mon hôtel, mais j'avais présumé de mes forces. Une ruelle sur ma droite, personne, je me suis engouffrée.
Je me suis accroupie derrière des bennes à ordures, sans prendre le temps de vérifier si quelqu'un pouvait me surprendre.
J'ai glissé mes doigts dans ma culotte pour me soulager. Le premier contact avec mon clitoris érigé m'a fait sursauter.
Je n'ai pas été longue à venir. J'ai ressenti un tel soulagement!
Je n'ai pas pu me retenir et j'ai recommencé une seconde fois.
J'ai été un peu plus longue cette fois alors j'ai pensé à la queue de Karim qui m'attendait.
Ensuite, j'ai été prise d'une forte envie d'uriner. Je me suis soulagée, accroupie sur ce trottoir, cachée derrière des bennes à ordures, comme une pauvresse qui dort dans la rue.
Après, j'ai retiré l’œuf vibrant plein de mouille, je l'ai éteint, emballé dans un mouchoir en papier et jeté au fond de mon sac.
Enfin, j'ai pu me relever, les jambes tremblantes, j'ai réajusté ma tenue et je suis partie rejoindre Karim.
Je retournais lentement vers le restaurant, souriante, satisfaite sexuellement. L'air frais de la nuit m'a requinquée.
J'ai attendu Karim sur le pas de la porte, devant le restaurant, ne voulant pas rentrer dans l'établissement en n'étant pas sûre de ma tenue. Quand il m'a rejointe, je me suis pendue à son bras, amoureuse, et je lui ai dit:"Viens, on va baiser maintenant ..."

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