Assis avec Xavier, Tanguy et JB dans le fauteuil du salon, on mate les filles descendre une par une

- Par l'auteur HDS Tamalou -
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Assis avec Xavier, Tanguy et JB dans le fauteuil du salon, on mate les filles descendre une par une Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-05-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Assis avec Xavier, Tanguy et JB dans le fauteuil du salon, on mate les filles descendre une par une
Assis dans mon fauteuil, sur ma terrasse, je regarde pousser la pelouse avec un verre à la main. Merde, que j'aime ma femme.
Elle s'appelle Marion et elle est parfaite. Elle travaille comme consultante en gestion dans un cabinet comptable.
À la maison, elle fait la cuisine, le ménage, la lessive et les courses.
Elle tient les comptes du ménage, paye les factures et elle promène mon chien.
C'est une poupée mince aux longs cheveux noirs de vingt-sept ans qui me saute dessus au moins deux à trois fois par semaine.
Elle est beaucoup plus intelligente que moi et elle me fait des gorges profondes comme une pro.
Je ne la mérite pas. Et je ne suis pas sûr que quelqu'un puisse mériter cette perle.
Je suis heureux. À 99%. Le 1% de retenue? Elle refuse systématiquement que j'utilise son cul.
Je sais, je sais, je suis un bâtard, un ingrat et un connard. J'assume.
Mais la sodomie, c'est mon truc. Si elle est ma femme, je dois avoir accès à son trésor défendu.
J'ai tout essayé pour qu'elle soit d'humeur à m'autoriser l'accès. Musique douce. Massage. Long bain chaud. La faire boire, ou fumer.
J'ai tout essayé pour qu'elle atteigne le nirvana, qu'elle perde la tête et qu'elle me laisse entrer. Une fois.
Mais rien n'a fonctionné, j'ai entendu la même réponse encore et encore:"Pas question! Enlève ta bite de là ou je vais la casser, salaud!" Cela m'a rendu fou. J'aime ma femme. Elle est magnifique.
Je convoite son fantastique petit cul en forme de cœur. Moulé dans son jeans, il est incroyable. C'est comme ça que je l'ai rencontrée. Il y a neuf ans, j'ai suivi sa croupe se balançant sous sa queue de cheval tout le long du marché avant de trouver le courage de l'aborder. Nous nous sommes plu. Mais j'ai vite découvert que son petit cul joufflu était là juste pour regarder.
Défense d'entrer. Ou de lécher. Juste quelques caresses, et c'est tout. La méfiance règne.
Sept ans de mariage plus tard, je n'ai toujours pas trouvé la solution. Ne pas pouvoir profiter du cadeau charnu de ma femme, c'est comme posséder une voiture de sport que tu n'es pas autorisé à conduire. Cela me semble injuste.
Ma femme est une personne sympathique. Elle aime me faire plaisir. Elle est désolée de me refuser cette volupté.
Elle le vit vraiment mal de ne pas accepter l'anal. Pas moyen qu'elle puisse le faire, mais elle se sentait mal à propos de ça.
Pour mon trentième anniversaire, elle a résolu le problème. Ai-je mentionné que ma femme est beaucoup plus intelligente que moi?
Deux mois avant mon anniversaire, en rentrant du travail, j'ai trouvé ma femme en train de préparer un colis.
Elle calait à l'intérieur un mélange bizarre de trucs: frites, gâteaux secs, chaussettes, un rouleau d'adhésif, un oreiller duveteux, des serviettes en papier, deux bouteilles de vin et ... J'ai regardé de plus près ...
Une bouteille de lubrifiant? Un gode? Un plug anal? Un coffret de DVD intitulé "Maîtrise de la sodomie" …!?
"Euh, chérie …!?" Je me suis penché pour lire la pochette des vidéos. J'ai été étonné qu'elle sache même où acheter des choses comme çà.
Ma femme m'a claqué la main. "Pas touche! Ce n'est pas pour toi, Thomas!" "Ooh! Alors c'est pour qui?" "Désolé, chéri, c'est un secret. C'est en prévision de ton cadeau d'anniversaire!" "Tu envoies de la pornographie à quelqu'un d'autre dans le cadre de mon cadeau d'anniversaire?" "Oui." "Bien. Je vais prendre une bière et aller réfléchir sur la terrasse jusqu'à ce que je découvre le fin mot de l'histoire." "Bonne chance!" rigola-t-elle en fermant la boîte.
J'ai eu beau réfléchir, je ne pouvais pas comprendre.
Une autre chose étrange s'est produite un mois plus tard. Je venais de tondre la pelouse et je prenais une douche.
Ma femme est entrée dans la salle de bain avec son appareil photo.
Elle ôta ses vêtements, sortit du placard un rasoir jetable et un tube de crème à raser, puis vint me rejoindre sous la douche.
Lorsqu'elle a étalé la crème à raser sur mes noix, j'ai compris où cela allait se passer.
"Tu veux me raser les bijoux de famille?" "Je veux que tu sois beau pour faire des photos sexy!" "C'est pour ça l'appareil photo?" "Mouais!" Elle fredonnait joyeusement pendant qu'elle rasait mon scrotum, puis en éliminant le buisson au-dessus du manche.
Quand elle eut fini, elle m'a rincé et m'a prit en bouche pour un traitement gorge profonde.
Merde, que j'aime ma femme.
Elle gémissait en gobant mon bâton, et elle m'a regardé tout le temps, les yeux dans les yeux.
Lorsque j'ai atteint ma forme optimale, elle m'a lâché, a coupé l'eau, et elle attrapé son appareil photo.
Elle a pris quelques photos de ma queue bien raide sous différents angles.
"Euh, chérie. Qu'est-ce que tu comptes faire avec ces photos?" Je lui demandais.
"Désolé, chéri, c'est un secret. C'est en prévision de ton cadeau d'anniversaire!" "…!" Elle reposa son appareil photo pour terminer le travail, accroupie devant moi.
Quelques instants plus tard, je grinçais des dents en crachant mon sperme au fond de sa gorge.
Elle m'a gobé joyeusement jusqu'à la dernière goutte.
Puis elle embrassa le bout de ma bite en détumescence et me claqua le cul en sortant de la douche: "De rien!" "Est-ce que ça fait partie de mon cadeau d'anniversaire aussi?" "Non, c'était juste une pipe." "Je vais réfléchir et comprendre pourquoi tu fais ça!" ai-je crié pendant qu'elle s'enfuyait, joyeuse.
"Euh, bonne chance!" je l'ai entendue rire.
J'ai eu beau réfléchir, je ne pouvais pas comprendre.
Ce qui m'a vraiment troublé, c'est quand les livreurs sont arrivés chez nous le samedi suivant.
Ils ont échangé nos anciennes machines à laver et sèche-linge contre de nouvelles à plus haute capacité.
Ma femme est arrivée juste à temps pour signer leurs papiers.
"Qu'est-ce que tu fous avec ces nouveaux appareils, Marion?" "Désolé, chéri, c'est un secret. C'est en prévision de ton cadeau d'anniversaire!""...!" Souriante, elle se haussa sur la pointe des pieds pour déposer un bisou sur le bout de mon nez:"Viens vite me baiser en guise de remerciement. Prends une longueur d'avance. Tu vas user beaucoup de ta liqueur de vie pour me remercier quand tu auras reçu ton cadeau." Je l'ai baisée. Je n'avais pas la moindre idée de ce pour quoi je la remerciais. Mais je l'ai baisée.
Finalement, le jour de mon putain d'anniversaire est arrivé. Rien de bizarre ne s'est produit le matin.
Ma femme et moi sommes allés au travail comme d'habitude. Souriante, elle m'a juste dit de rentrer tôt en m'embrassant.
Bien sûr, ce fut une journée incroyablement merdique au travail. Pire encore, le chemin du retour était interminable.
Le vendredi soir, le trafic est toujours atroce par ici. Il était sept heures passées lorsque je suis rentré dans le garage.
J'ai dû enjamber un sac de sport énorme et inconnu, rempli de vêtements sales, posé dans la buanderie.
La nouvelle machine à laver haute performance tournait déjà. J'ai fait le tour par la cuisine, j'étais à la fois heureux et triste.
Heureux parce que la fille de nos ex-voisins discutait avec ma femme. Doris est une fille sympa, toujours enjouée.
Marion et moi, nous étions un peu la grande sœur et le grand frère qu'elle n'avait jamais eu.
Autrefois, elle traînait chez nous tout le temps. Nous lui avions même donné la clé. Elle s'occupait du chien pendant notre absence.
Doris s'était transformée en une magnifique jeune fille pendant ces deux dernières années.
La gentille et remuante fillette que je connaissais autrefois s'est développée pour devenir une bombasse à l'université.
J'ai regardé Doris qui se tenait derrière le bar à côté de ma femme.
Ses cheveux blonds roux, ses grands yeux verts et son corps de joueuse de tennis devaient faire des ravages parmi ses copains.
"Doris!" "Joyeux anniversaire, Thomas!" elle souriait. Elle a sauté de joie et j'ai regardé sa poitrine ferme tressauter sous son t-shirt.
Mais elle n'a pas couru se blottir dans mes bras comme elle le faisait auparavant.
Peut-être que j'étais devenu un vieux type pas cool maintenant. Eh bien, j'ai la trentaine. Cela m'a déprimé.
Et la visite imprévue de Doris signifiait que tout le plaisir sexy que ma femme avait prévu pour mon anniversaire devrait attendre.
Je me sentais vieux. Vieux et libidineux. C'est un mélange merdique.
J'avais perdu tout espoir, mais j'ai quand même demandé: "Alors, Marion, peux-tu au moins me dire ce que tu avais prévu pour mon anniversaire?" Ma femme a pointé Doris du doigt, qui maintenant vibrait pratiquement d'excitation.
Sa queue de cheval cuivrée tremblait derrière sa tête.
"Doris a mon cadeau d'anniversaire?" "Non chéri, c'est elle ton cadeau d'anniversaire!" Je regardais l'adolescente toujours souriante: "Tu es mon cadeau d'anniversaire...!?" "Oui, c'est moi ton cadeau d'anniversaire!" a-t-elle applaudi, en sautant sur place.
C'était sympa de la revoir. Peut-être pourrions-nous aller faire un tennis demain. Ou peut-être faire un grand pichet de sangria et elle pourrait me raconter sa vie depuis que ses parents n'habitaient plus le quartier, ou ...
Ce défilé d'idées cocasses a cessé lorsque ma femme a poussé Doris vers moi. La jeune fille souriante est sortie de derrière le comptoir de la cuisine pour s'approcher de moi, blottissant son jeune corps d'adolescente contre le mien.
Mais...? Doris était nue de la taille aux pieds.
"Doris, tu ne portes rien en bas...!?" "Non, et je vais rester cul nu demain et après-demain. Donc...!?" Je regardais ma femme par-dessus l'épaule de Doris: "Waouh, t'as gagné. Alors pas de cadeau d'anniversaire, juste une gamine à moitié nue errante autour de...!?" Ma femme leva la main pour sa défense: "Attends, génie, tu n'as pas laissé Doris finir de t'expliquer." Je regardais Doris, elle me souriait pendant qu'elle attendait patiemment:"J'allais te dire que je me promène cul nu pour que tu puisses me baiser quand tu veux pendant tout le week-end..." J'étais sonné, ko debout, le monde entier s'est mis à tourner, heureusement que Doris me tenait, sinon je serais tombé.
"Mais, seulement...?" Ma femme a regardé Doris en arquant un sourcil.
"Oh, oui!" Le sourire de Doris s'est agrandi: "Juste dans mes fesses. Désolé, anal seulement. La règle de Marion." Dans la seconde qui a suivi, ma première pensée fut de chercher les caméras cachées. C'était une blague.
"Sérieux?" "Oui" répondirent-elles en chœur.
Ma femme a pris son "visage de patience" pendant qu'elle grignotait quelques pistaches.
C'est le visage qu'elle prend quand elle m'explique des trucs. Des fois, cela prend un certain temps avant que je comprenne.
Je vous l'ai peut-être déjà dit, mais elle est beaucoup plus intelligente que moi.
"Tu vois mon amour, j'ai beaucoup réfléchi à notre problème de sexe anal. Je ne le supporterai jamais. Un temps, je me suis même intéressée à l'hypnose. Mais l'idée de payer un psy pour me convaincre que ça me plairait dans le cul m'a semblé trop tordu." Elle ricana puis secoua la tête en mâchant quelques pistaches. Elle me donnait le temps d'assimiler cette info avant de continuer.
"Je pensais à notre problème en tant que femme. J'aurais dû y penser comme un consultant en gestion. En changeant de palier, il m'a fallut trente secondes pour trouver quoi faire à propos de tout ce truc sexuel." Souriante, elle s'approcha pour attraper la queue de cheval de Doris: "Je sous-traite l'affaire à une experte." "Tu es experte?" Je baissais les yeux vers Doris avec méfiance.
"Oui, j'ai eu ma part de partenaires adeptes de la sodomie. Cela a commencé au lycée. J'avais laissé un gars me prendre par le cul. J'ai adoré. Il s'en vantait le lendemain dans le lycée. Après cela, il y avait une file d'attente pour mon cul. Les jupettes de tennis que je portais m'ont aidé. Bonne publicité. Qu'est-ce que les jupes de tennis inspirent aux garçons?" elle riait.
Je ne pouvais pas répondre parce que j'étais encore en train d'assimiler ce flot d'informations.
"Alors tu ne t'es jamais demandé pourquoi j'avais autant de rencards au bahut, Thomas chéri?" "Je pensais que tu étais populaire ..." "Ooh, je l'étais... Et j'ai aimé chaque coup. Je suis restée accro à ce truc. Mais je ne pratique plus depuis que je suis à l'université, pas besoin que cette réputation de salope me suive partout." "Sauf que...?" ma femme l'a conviée, mâchant ses pistaches calmement.
Doris acquiesça: "Sauf que maintenant, ça me manque de me faire trouer les fesses. Beaucoup. Et je n'ai personne pour jouer avec moi au bahut. J'en deviens folle. Bien sûr, cela ne m'a pas aidée quand Marion m'a envoyé ce colis plein de porno anal, chienne lubrique!" rigola sournoisement Doris.
"Et...?" Le nez de Marion frémissait fièrement.
"Et les photos qu'elle m'a envoyées de ta bite géante!" ajouta Doris.
Ma femme a souri: "Désolée, Doris, mais ça t'a donné du matériel pour tes soirées de branlette. Tu étais toute mouillée quand je t'ai expliqué mon idée!"Ma femme leva les yeux vers moi: "Tu vois où je veux en venir, chéri? Tu aides Doris et elle t'aide." Elle prit Doris par les hanches et l'éloigna de moi. "Fillette, penche-toi sur la table de la cuisine pour lui montrer son cadeau. Je vais aller m'occuper de ton linge. Cela va me prendre un peu de temps." J'ai regardé ma femme s'éloigner.
Merde, que j'aime ma femme.
Doris se dirigea souriante vers la table de la cuisine.
Elle pencha lentement son jeune corps sur elle et me jeta un regard plein d'espoir par-dessus son épaule.
J'ai baissé mon regard.
Le cul nu de Doris était précisément ce à quoi ressemblait le cul d'une sportive de dix-neuf ans. C'était musclé, charnu mais ferme.
Ses fesses toniques dessinaient un cœur serré. Il y avait même deux petites fossettes magiques au creux des reins de chaque côté de sa colonne vertébrale. C'était le cul le plus torride que j'aie jamais vu. Encore plus beau que celui de ma femme.
Doris me défiait en balançant langoureusement ses hanches. Son bassin oscillait d'avant en arrière et de droite à gauche sans une seule secousse. Juste un mouvement parfaitement huilé qui agitait ses fesses appétissantes.
Oh mon dieu! Le paradis sur terre!
"Viens, monsieur le sodomite. Ne sois pas timide. Je suis ton cadeau d'anniversaire." Je tendis la main pour toucher le cul de Doris comme si je touchais un objet précieux. Avec respect et humilité.
C'était pour moi la preuve qu'il y avait un pouvoir divin ici-bas.
Dieu existe et il a façonné le cul parfait de cette jeune étudiante rien que pour moi.
Toucher ça? Oh non, je devais l'adorer, le chérir, le sacraliser.
Je suis tombé à genoux dans ma propre cuisine et j'ai enfoui mon visage entre les plus belles fesses jamais vues.
Doris ne semblait pas surprise. Elle n'a pas sursauté. Elle n'a pas tremblé. Elle ne s'est pas esquivée.
Non, elle s'est cambrée pour pousser son cul contre mon visage. En gémissant.
"Marion m'a offert du lait corporel à la fraise et au kiwi. Tu aimes l'odeur? Je viens de l'utiliser sous ta douche. Je voulais être séduisante et fraîche pour toi, bien sûr. Je serais heureuse si tu l'aimes. Je me suis préparée pour toi." Elle a serré et desserré ses fesses autour de mon visage doucement plusieurs fois comme si elle me massait.
Doris savait que son cul était phénoménal et elle savait comment l'utiliser pour rendre un mec fou de désir.
"Je vais mourir de plaisir" m'étouffais-je, refusant de m'écarter assez longtemps pour lui faire le compliment.
Elle l'a compris quand même: "Si heureuse de trouver un homme qui m'apprécie pleinement." Elle tendit sa main derrière elle pour m'agripper par les cheveux et attirer mon visage plus vigoureusement.
"Sois gentil, lèche-moi!" grogna-t-elle.
Ma langue sortit d'elle-même et s'attaqua à son sphincter rosâtre, se tordant pour creuser son orifice serré.
"C'est ça, beau mâle, lèche bien. Ooh, ça m'a manqué! Donne-moi ta main!" Elle saisit ma main et la guida jusqu'à son pubis complètement glabre et parfaitement soyeux.
"Tu vois, Thomas, je me suis faite toute belle pour toi la nuit dernière. C'était un peu douloureux, mais maintenant je suis parfaitement imberbe pour toi. J'attendais avec impatience ce week-end. J'ai envoyé des textos à Marion toute la semaine. J'avais peur qu'elle change d'avis et qu'elle renonce. " Doris a fait le tour de mon pouce pour taquiner l'entrée de sa chatte déjà humide.
Puis elle l'a entraîné le long de sa fente lisse jusqu'à son clitoris.
"Branle-moi un peu, tu veux? Doucement, gentiment, pour que je m'excite progressivement. Hum, c'est bien!" haleta-t-elle.
Je tournoyais en cercles serrés autour de son clitoris. Il s'érigeait et devenait aussi dur qu'un petit caillou.
À force d'insister, je glissais le bout de ma langue dans son trou du cul pour élargir son ouverture frémissante.
Elle tremblait et s'ouvrait devant ma langue, affamée et éprise.
Doris appréciait mes efforts. De sa chatte s'écoula bientôt sa liqueur divine.
"Continue de lécher ... là ... oh oui ... là …!" miaula-t-elle.
Aucun problème. J'aurais pu faire ça toute la journée. Je léchais, suçais et lapais avec joie son cul aromatisé à la fraise et au kiwi.
C'était l’un des meilleurs moments de ma vie. J'avais le nez enfoui entre ses fesses et je subissais sa luxure.
Cette déesse adolescente adepte de coït anal chamboulait mon mode de fonctionnement.
Les doigts crispés dans mes cheveux, elle chevauchait mon visage, me téléguidant, de la voix et du geste, vers son plaisir.
Ses mouvements étaient devenus erratiques et mon pouce a glissé et a plongé malencontreusement dans la chaleur humide de sa chatte. Son vagin se contractait aussi violemment que son trou du cul.
Ses gémissements sont devenus plus rauque et le balancement de ses hanches plus saccadé.
J'ai presque éjaculé dans mon pantalon. Sérieux, cette fille me rendait fou de désir.
Doris finit par lâcher mes cheveux et s'effondra languissamment sur la table de la cuisine, haletante et repue.
Je me levais et je frottais mes genoux lorsque ma femme entra dans la cuisine. Elle portait un panier de linge.
"Alors comment c'était?" "Génial" j'ai soufflé.
"Je demandais à Doris, idiot!" elle levait les yeux au ciel en secouant la tête. "Alors, bien?" Doris repoussa ses cheveux blonds de son visage et leva les yeux: "Tu rates sérieusement quelque chose, Marion. Il est vraiment, vraiment bon à baiser." "Je vais devoir te croire sur parole" sourit ma femme. "Les vêtements d'entraînement, tu les laves avec le blanc ou séparément?" "Séparément." "Bien. Tu vas baiser mon mari maintenant ou plus tard?" "Maintenant. Et aussi plus tard! J'ai du retard à rattraper." "D'accord, mais laisse-m'en un peu. J'aime bien avoir un petit coup avant de dormir. Tu veux que je le suce un peu? Tu sais, pour le lubrifier?" "Sérieux? T'es géniale. J'aime pas trop sucer. Un peu plus de friction dans les fesses, c'est mieux. Ça fait plus d'effet." Souriante, ma femme posa son panier à linge et s'agenouilla devant moi.
"Allez chéri, enlève ton pantalon, que je prépare ta queue pour le cul de cette gentille fille!" Ma femme était en train de baver sur ma bite sous les yeux d'une jeune blonde nubile qui attendait que je la sodomise.
Je devais être mort depuis peu parce que là, j'étais au paradis! De toute façon, mort ou pas, je n'avais jamais été aussi raide!
J'ai présenté ma verge tendue devant l'orifice de Doris sous l’œil inquiet de ma femme:"T'es sûre d'être prête pour ça, Doris? T'as pas peur qu'il te blesse?" "Pas de risque, c'est comme le vélo, ça ne s'oublie pas. Tout va bien!" "D'accord, c'est ton cul, ma vieille!" gloussa Marion. "Je me sauve. Je risque d'avoir mal juste en regardant!" À plat ventre sur la table de la cuisine, Doris ouvrit ses jambes et agrippa ses fesses à deux mains pour les écarter, tandis que je présentais contre son orifice anal mon érection exigeante.
Même si j'avais préparé son petit trou avec ma salive, et que je dégoulinais de celle de la femme, mon sexe butait contre son bouton de rose. Mais la jeune Doris savait ce qu'elle faisait.
"Donne-moi une seconde..." elle expira doucement. J'ai arrêté de pousser, mais je suis resté au contact de son entrée de service.
J'ai senti son sphincter pulser et s'étirer tandis qu'elle respirait profondément pour se détendre. Elle s'entrouvrit légèrement.
"OK, vas-y, pousse maintenant," dit-elle doucement.
Je l'ai fait et ça a marché. Je vis mon gland disparaître lentement à l'intérieur, puis ma hampe glissa à sa suite dans le conduit étroit sans qu'elle n'émette la moindre protestation. Je ne me souvenais pas que le sexe anal était si bon!
Je glissais en elle presque sans effort, c’était chaud, c'était serré, c'était bon! Merveilleusement bon!
Le cul de Doris étaient aussi parfait à l'intérieur qu'à l'extérieur.
"Stop! Attends un peu! T'en as encore long comme ça? C'est énorme!" Je la vis respirer profondément plusieurs fois. Son sphincter pulsait, s'étirait, se comprimait, comme une poignée de main rectale. Doris savait sérieusement ce qu'elle faisait. "Ooh, ça va mieux. D'accord, pousse encore, Thomas." Je reculais un peu puis je m'enfonçais profondément dans la fournaise de son passage étroit.
"Doris, épouse-moi!" Je murmurais en plaisantant.
"Tu es déjà marié, idiot! Et tu aimes Marion" rigola-t-elle.
Mais ensuite, elle tourna vers moi son regard sexy pour dire: "Je suis si heureuse qu’elle accepte de te partager avec moi. Si j'avais su qu'elle soit si cool avec ça, je t'aurais baisé depuis longtemps. Alors, t'es arrivé où, maintenant? " Je jetais un coup d'œil à ma bite coincée entre ses petites fesses blanche: "Environ les deux tiers" "Allez, pousse encore!" Je me suis enfoncé plus profondément en elle. Plus j'allais profond, plus le cul de Doris était un enfer.
"Doris? J'ai du mal à me retenir. Je ne crois pas pouvoir t'attendre!" "Fais de ton mieux. Si tu ne peux pas durer, tu me rendras heureuse au prochain coup." Au coup suivant? Oh mon dieu, cette fille est un trésor. "Doris, épouse-moi!" Cette fois, je plaisantais à moitié.
"Thomas, je t'aime aussi. Et j'aime avoir ta bite géante enfouie dans mes fesses. Maintenant, je vais prendre le reste, s'il te plaît." Je me suis enfoncé au plus profond de son cul. Le frisson de la fille secoua la table.
"Waouh … Attends … Je ne m'attendais pas … Ooh! Putain ... Je n'ai jamais ... Tu es si grand! Restes immobile un moment, laisse-moi me réorganiser un peu, d'accord, taureau furieux?" "Ouais." Comment discuter?
Nous étions ensemble à attendre que son cul étroit s’adapte à mon intrusion grossière.
Elle alternait de profondes respirations et des halètements brefs, comme un jeune chiot.
Je malaxais ses petites fesses pour la décontracter. C'est à ce moment que ma femme est revenue.
"Doris, pour le sèche-linge… Mon dieu! Tout est rentré? Du premier coup? J'espère que tu sais ce que tu fais!""Oh, crois-moi, je sais ce que je fais" grogna la gamine.
"Tu n'es pas blessée, n'est-ce pas?" "Ça va! Un peu, mais dans le bon sens!" elle continuait d'alterner sa respiration.
Marion me regarda solennellement: "Sois gentil avec elle, mon chéri. Cela fait plus d'un an qu'elle ne l'a plus fait, et ce n'était que des lycéens. Tu es probablement plus gros qu'eux." "Ooh ouais, putain! Il est vachement plus gros!" rigola nerveusement Doris. "Plus gros, plus long, plus épais... Plus tout! Pas étonnant que tu ne veuilles pas faire ça avec lui. Sa bite n'est pas faite pour les fesses d'une débutante." "OK, Thomas, ça va aller. Commence à me baiser, mais vas-y doucement au début. Laisse-moi prendre le rythme et me chauffer gentiment. Tu veux rester pour nous regarder, Marion?" "Non" ma femme a répondu. Mais c'était d'une toute petite voix, sans conviction. Et elle ne bougea pas pour partir non plus.
Je me suis retiré lentement et j'ai senti la longue friction du jeune cul me saisir alors que je sortais presque complètement.
Les jambes de Doris tremblaient et elle gémissait pendant que j'entraînais ses entrailles hors d'elle.
Je me suis arrêté juste au bord, puis j'ai lentement commencé à replonger à l'intérieur de la jeune femme.
Elle s'est adroitement cambrée vers moi pour mieux me sentir. Centimètre par centimètre, j'ai enfoncé toute la longueur de ma bite dans l'étroit fourreau jusqu'à ce que mon pubis prenne appui contre ses jeunes fesses, repoussant toute sa tripaille dans son ventre.
"Putain, Marion!" gémit Doris: "il me baise jusque dans la gorge!" "Y a-t-il trop de saucisse pour tes petits pains, ma chérie?" Marion la taquinait.
"Génial... Je n'ai jamais... ressenti quelque chose d'aussi fort auparavant!" Elle tourna son regard vers moi à travers ses paupières entrebâillées.
"Thomas, je t'avais dit de ne pas m'attendre, que je me rattraperais au prochain coup? J'ai menti. Je suis trop excitée, j'ai besoin de jouir, d'exulter. Si tu finis avant moi, je t'écrase les noix, compris?" J'ai arrêté de la baiser. C'était le seul moyen de ne pas bouillonner dans son cul.
"Non!" miaula Doris. "Continue, idiot, n'arrête pas!" "Que je continue sans jouir? Doris, ça ne va pas être possible!" Doris passa sa main pour entourer la base mon manche en le serrant très fort: "Allez, continue!" supplia-t-elle.
Je replongeais en elle et butais contre ses doigts. Je ne pouvais plus pénétrer qu'à mi-chemin en elle.
"Ooh, j'en veux plus!" Doris repoussa de nouveau quelques cheveux égarés sur son visage et regarda ma femme.
"Marion, sois gentille. J'ai besoin de ton aide. Il faut serrer la base de sa bite, juste entre le pouce et l'index. Tout en bas. Et presser. Fort. Il ne pourra pas éjaculer. Il suffira de le lâcher quand je jouis! " Quoi de plus torride que de baiser le cul magnifique de la gamine d'à côté? Que ta femme t'aide à le faire!
Marion obéit à la demande de Doris, étranglant ma bite avec ses petits doigts.
Ensemble, nous avons baisé Doris, pompant mon chibre dans le cul incroyable de la petite étudiante qui gémissait et grognait, vautrée sur notre table de cuisine.
Au début, Marion s'inquiétait pour Doris. Mais la jeune fille était visiblement en train de s'amuser.
Quand Marion réalisa que Doris était bien, elle m'attira pour un très long baiser. Waouh, c'était bouillant!
La température monta encore d'un cran lorsque Marion claqua la fesse de Doris. À voir la réaction de la gamine, elle aimait ça.
Au comble de l'excitation, chaque claque augmentait la cambrure de ses reins et le volume de ses cris d'encouragement.
D'un coup, les cris se transformèrent en plaintes lorsque l'orgasme s'abattit sur elle.
"Lâche-le... Marion..." soupira-t-elle pendant que ses jambes tremblaient en faisant vibrer la table de la cuisine.
Je me suis maîtrisé pour continuer à la baiser jusqu'au bout, jusqu'à ce que ma femme me libère. C'était comme une vanne qui lâche. Orgasme foudroyant. Au plus profond de ses entrailles. Puis une autre giclée. Puis une autre. Je n'arrêtais pas de jaillir.
Mon sperme se répandait en giclées successives dans la jeune femme tandis qu'elle se branlait sous moi, terminant ainsi son propre orgasme.
"Tellement de sperme" roucoulait Doris alors que je finissais d'épancher mon sperme dans son cul. Cela en devenait ridicule.
J'ai vu avec étonnement mon foutre s'échapper hors d'elle et former un filet gluant sur sa jambe mince.
Quand nous eûmes fini, Doris et moi, nous étions hors d'haleine, comme si nous avions couru longtemps.
Ma femme regardait en écarquillant ses yeux: "C'était très excitant." "Et toi, penses-tu essayer?" J'ai demandé, plein d'espoir.
"Non, non, non!" Elle tapota gentiment les fesses de Doris: "c'est pour ça que je l'ai recrutée." Doris soupira faiblement sur la table de la cuisine.
Marion lui caressa doucement le dos: "Emmène-la prendre un bain, Thomas. J'ai rempli la baignoire. Elle a l'air d'avoir bien besoin d'un bain relaxant." J'ai soulevé la jeune fille dans mes bras et elle s'est blottie amoureusement contre mon épaule.
"Merci, Marion" dit-elle doucement. "Laisse le reste du linge. Je le finirai demain." J'ai déposé délicatement Doris dans la baignoire. Elle a retiré son t-shirt. Elle était totalement nue maintenant.
Elle souriait timidement tandis que je fixais ses petits seins arrogants avec leurs tétons roses dressés.
"Tu aimes ce que tu vois?" elle balançait sa poitrine en souriant.
"J'adore. J'ai toujours pensé que tu allais devenir une jeune femme magnifique, Doris." "Merci, Thomas" Rougissante, elle se glissait dans le bain chaud.
Je m'accroupissais sur le sol et posais mon menton sur le bord de la baignoire.
En voyant quelques bulles émerger à la surface du bain, je lui ai posé la question qui me tourmentait: "Tu es sûre, tout va bien, gamine?" Doris me regarda en rougissant un peu plus: "Tu as... euh... poussé un peu d'air là-dedans. Désolée..." "Donc rien n'est cassé?" "Bah, je vais bien. Juste un peu anéantie pendant quelques minutes. C'était intense. J'ai presque oublié à quel point j'aimais cette sensation qu'un mec me prenne par le cul. On pourra le refaire, mais plus tard. Même si je suis endormie. Suffit de me réveiller. Je me laisserai faire. J'adore qu'on me prenne lorsque je suis à moitié endormie." Elle me caressa la joue et me sourit: "Tu veux bien te lever devant moi? Je n'ai pas bien regardé ce que tu m'as mis dans les fesses. Je voudrais lui dire bonjour." Je me suis levé, elle s'est agenouillée dans la baignoire pour gober mon nœud dans sa bouche.
Elle a suçoté, bisouillé et léché mon gland tendrement au début.
Puis elle est devenue plus impatiente quand ma bite a commencé à se redresser.
Elle a englouti plus de longueur au fur et à mesure que je m'épaississais, gémissante d'impatience jusqu'à ce que je sois raide.
Elle me regardait avec une faim inassouvie. Elle en voulait plus. Je la désirais aussi.
"Tu sais quoi, Thomas? Tu te reposeras une autre fois. Rejoins-moi dans la baignoire et reprends tes exercices!" Je me suis allongé dans la baignoire et elle m'a chevauché.
Ses yeux se sont fermés, elle a froncé les sourcils et entrouvert sa jolie bouche lorsqu'elle m'a centré sur son orifice anal.
Fraîchement baisée et encore glissante, elle s'est effondrée avec avidité jusqu'à la garde.
Je n'avais jamais rencontré une fille qui appréciait le sexe anal autant que moi.C'est drôle qu'elle ait grandi juste à côté.
Tout le week-end, nous avons continué nos ébats. Nous avons fait le tour de la maison, utilisant chaque pièce, chaque meuble, pour explorer les différentes possibilités que nous dictait notre libido. J'ai passé le week-end à m'occuper de son cul.
Au moment où Doris a fait ses adieux le dimanche soir, nous pouvions à peine marcher.
Elle m'a gratifié d'un: "C'était pas mal, mec!" en soupirant.
Marion gloussait lorsqu'elle donna à la pauvre fille un coussin moelleux à mettre sous ses fesses maltraitées pour le trajet de presque deux heures en direction de l'université.
Lorsqu'elle a disparu, j'étais mélancolique: "Elle pourra revenir?" J'ai regardé ma femme, plein d'espoir.
"C'est une étudiante, idiot. Pourquoi penses-tu que j'ai ces nouvelles machines? Tu ne te souviens plus? Les étudiants ont toujours un tas énorme de linge sale. Doris viendra une fois par mois pour faire sa lessive. Et toi aussi..." Je clignais des yeux, incrédule. Ma femme m'a souri et s'est hissée sur la pointe des pieds pour m'embrasser le bout du nez.
"Ton cadeau d'anniversaire, c'est un abonnement mensuel au cul de cette jeune fille."Puis elle m'a claqué la fesse:"Maintenant, c'est l'heure de me remercier. Allez, au lit!" Merde, que j'aime ma femme.

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Texte coquin : Assis avec Xavier, Tanguy et JB dans le fauteuil du salon, on mate les filles descendre une par une
Histoire sexe : Une rose rouge
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