souvenir de vacances

- Par l'auteur HDS Renifleur -
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : souvenir de vacances Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-04-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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souvenir de vacances
Le lendemain, je me rends à la même heure que la veille sur le point de rendez-vous. Patiemment j’attends la venue de ma tante. Je suis en manque. Depuis notre épisode de la veille elle n’a pas cherché une seule fois à me parler. Je pense que la présence de son époux aux à l'affût de ses faits et gestes, était pour quelque chose.
Alors j’ai pris la décision de venir de mon propre chef, des fois que...
D’ailleurs je pense avoir bien fait puisque la porte de la grange s’ouvre, et cela pour mon plus grand plaisir. Mais ce qui est moins drole, c’est que c’est Gildas qui m’apparaît. Pas le temps de me planquer, elle m’a vue.
Elle s’approche de moi. Cela n’inspirait rien de bon. Mais comme je suis de nature aventurier, j’attends sagement la suite. Parce que je suis sûr qu’elle n’est pas là par hasard. Gildas à mon âge à quelques jours près. Brune, aux longs cheveux ondulés qui lui tombent sur les épaules, yeux noirs, et toujours en minijupe. En cuir, ou en jean, voire en laine.
Elle prend place à côté de moi sur la botte de foin.
-Qu’est-ce que tu fais là tout seul ? Me fait-elle.
-J’adore m’isoler. Et toi ?
-J’étais en train de me soulager quand je t’ai vu rentrer, alors je suis venue aux nouvelles.
-Comme tu peux le voir je vais bien.
-Tu veux peut-être que je te laisse tranquille ? Me demande-t-elle.
-Ce serait une bonne idée.
-Eh bien je reste. Pour voir avec qui tu as rendez-vous.
-Mais je n’ai rendez-vous avec personne.
-En verra ça.
-Si tu as du temps à perdre.
Ce n’est pas le moment que Christiane franchit la porte. Surtout pour elle. Il faut que je trouve, et très vite une contre-mesure. Et là une idée germe dans mon cerveau.
-Tu faisais quoi en m’observant ?
-Je te l’ai dit, je pissais !
-Tu t’es essuyé au moins ?
-Oui avec quoi ?
-Tu es une cochonne.
-Tu as un mouchoir ?
-Pourquoi j’en aurai. Je n’en porte jamais avec moi. Par contre j’ai un autre moyen pour essuyer les cochonnes comme toi.
-Ah oui, j’técoute !
Déjà ma queue réagit. Une chaleur diffuse envahit mon ventre.
-Qu’attends-tu pour me le dire.
Je m’agenouille à ses pieds.
-Tu permets ?
-Je t’en prie !
Je retrousse sa jupette, je lui fais écarter les jambes. Comme à ses habitudes elle ne porte pas de protection. J’observe les gouttelettes d’urine accrochées à quelques poils. Comme des boules de Noël sur les branches d’un sapin.
-Qu’est-ce que tu fous ? S’inquiète-t-elle.
-Sois patiente pour une fois.
Je lui demande de se hisser sur la botte. Je me saisis de ses chevilles pour faire poser ses talons en appui sur le foin. C’est excitant d’être en face d’un si beau sexe velu. Un silence s’installe, avant j’avance ma bouche jusqu’à toucher sa barbe. Du bout de la langue, je cueille les larmes dorées. C’est comme toujours, délicieux. Sa chatte sent bon. Une après l’autre je recueille les gouttes. Le goût est âcre. Il me semble que son urine est la plus salée de toutes. Je lèche toutes les larmes, puis fais glisser ma langue sur sa fente.
Je bande très dur, alors qu’elle pousse déjà des soupirs, en avançant son ventre contre ma bouche.
-C’est bon ce que tu me fais !
-J’espère !
-Mais c’est sale !
-Pense plutôt au bien que cela te procure !
Et je continue mon travail, léchant sa petite chatte avec application. Je passe ma langue partout où il faut. Avec la certitude de la mener au plaisir. Je veux que ce moment soit gravé dans son cerveau. A entendre ses gémissements, cela lui plaît bien.
Pour lui en donner un peu plus, je la bascule sur la botte. Je scrute son anus. Quelques poils sombres tire-bouchonnent l’entrée. J’applique ma langue dessus. Le goût est des plus âcres, semblables à un fort camembert.
-Que c’est bon ! Lâche-t-elle.
Je reviens régulièrement vers son sexe. J’avale le goût de son cul et celui de sa chatte. Je suis heureux du goût que j’ai dans la bouche, mais tout de même fier de l’entendre gémir, défaillir sous mes coups de langue.
-Encore Alain ! C’est trop bon !
Je ne sais pas ce qui me retient de l’enculer. Mais je me résonne tant bien que mal, et me contente de la lécher encore, encore et encore. Mais aussi, de l’enculer avec ma langue. Elle halète, pousse des râles en tordant sa croupe.
-Alain… oui encore… ce que c’est bon…on ne m’a jamais fait ça jusqu’alors !
Son anus s’élargit, s’assouplit, ma langue s’enfonce de mieux en mieux, plus profonde aussi. Ses râles se prolongent, deviennent plus rauques. Ma queue dans mon short n’a rien à envier à un morceau de bois. Ma langue rencontre quelque chose de solide au fond de son trou, tout de suite un goût amer envahit ma bouche. En se laissant aller à son plaisir, la cousine se lâche.
Elle pète, ça pue ! Son odeur me saoule. Très vite je ressens une violente envie. Une envie insoutenable. Je me redresse ma queue à l’entrée de son anus dilaté. Sans trop forcer, mon gland passe l’obstacle de son anneau devenu souple. D’un coup de reins, le restant rentre comme dans du beurre mou. Gilda proteste faiblement, mais sa croupe la trahit en remuant comme une bête.
Je pose ses mollets en appui sur mes épaules. Je coulisse finement, d’avant en arrière, ma queue dans son boisseau accueillant. Faisant rebondir mon ventre contre ses fesses. Sa tong droite s’échappe de son pied. J’en profite pour attraper son pied nu et de le porter jusqu’à mes narines. L’odeur est envoutante. Je guide les orteils entre mes lèvres, et me mets à les suçoter.
Mes couilles se balancent entre ses cuisses, frappent sa chatte en bout de course. Et tout cela pour le plus grand plaisir de ma cousine, ravie de tant d’initiative de ma part.
Elle crie, se débat, se secoue, mais je reste fermement ancré en elle. Et cela, jusqu’à ne tenant plus, je laisse ma queue lâcher son plaisir.
Jamais je n’ai vu ma cousine aussi euphorique après cet épisode. Me suppliant sans cesse, une suite à donner à notre premier épisode.
Même si j’ai passé un bon moment en compagnie de ma cousine, rien ne vaut tout de même une relation sexuelle avec une femme mature. Malgré la forte insistance de Gildas pour nous isoler, je reste de marbre, à observer les faits et gestes de tata Christiane.
Elle qui porte ce jour-là, une joli robe, fendue de chaque côté jusqu’au sommet des cuisses. Ses seins dont je devine la courbure, qui dardent, à travers le tissu, leurs pointes tendues d’excitation. Je constate grâce à la complicité involontaire de rayons lumineux qui traverse son vêtement qu’elle a omis de passer une culotte et je peux en fixant son entrejambe la noirceur de sa touffe. Christiane est une femme, une femme séduisante, très séduisant même. Et son insouciance pour ma pomme la rend plus belle encore, plus vivante, plus sensuelle.
Dans ses efforts désordonnés pour m’atteindre, sa robe se retrousse un peu plus à chaque tentative. Elle m’offre alors des vues imprenables sur sa chatte brune et fournie, et aussi sur ses hanches pleines, bien marquées, évasées sans pour autant être larges. Je sens sa poitrine se soulever et s’abaisser dans un rythme de plus en plus rapide. J’ai assez d’image là, pour ma branlette du soir !
D’ailleurs alors que je m’apprête à rejoindre ma chambre pour aller me coucher, je suis poussé violemment à l’intérieur d’un cagibi. Ce quelqu’un est Christiane, elle me force à m’allonger sur le pavé. Elle se retrouve très vite à genoux, une jambe de chaque côté de mes cuisses, le devant de sa robe sur mon ventre, le derrière sur mes jambes. Ce faisant, son sexe libre de toute entrave se trouve au-dessus du mien, qu’elle a libéré. Mon inconscient libidineux trouve cette situation très émoustillante car je développe une érection tout ce qu’il y a d’honorable. Un sourire moqueur flotte sur son visage.
-Ça me changera de mes godes ! Tu’as intérêt mon beau, me menace-t-elle, à être aussi endurant qu’il me sera nécessaire sinon je promets de ne plus voir mon cul ! Tu entends ?
Je n’ai rien trouvé à dire à cela. Ne sachant pas comment la situation va évoluer. Sa manière tout à fait inattendue de s’apaiser me convient. Elle plaque ses mains contre mes flancs et elle entame un léger mouvement de roulis frottant son bourgeon contre mon pubis. Son air sévère disparaît de son visage. Ses traits se détendent. Ses caresses se font plus sensuelles, plus tendres. Du bout de ses ongles, elle agace mes tétons.
À leur tour, mes mains se mettant en action, entreprennent une lente plongée exploratoire sous sa robe assez ample pour ne pas entraver leur progression. Elles atteignent deux seins durcis par l’émoi qui attendent qu’on s’occupe d’eux.
Je la divissage en silence durant quelques secondes. Elle cherche à me provoquer, en employant sciemment des termes méprisants. Puis elle enfourne ma verge. Colle son con à mon ventre. Elle enduit mes poils de ses sécrétions poisseuses. Elle écrase sa vulve sur ma verge s’astiquant le clito sur moi en ronronnant comme une chatte en chaleur.
Elle se lance au galop, entamant avec moi une parodie de cavalcade sur le pavé froid. Fente contre verge, fesses contre couilles, nous nous frottons tous deux en poussant de courts gémissements. Ses fesses claquent contre mes cuisses. Ses seins lourds qui ballotent me fascinent. Je ne peux me retenir de les palper, de les triturer, de faire rouler les pointes entre mes doigts.
Je règle mes coups de reins sur sa cadence. Une totale synchronisation entre nous. Les muscles de son vagin serrent comme un étau ma verge qui la bourre à grands coups. Dans son vagin dilaté, mon pénis grossit encore. Elle cherche ma bouche. Nos baisers se prolongent dans la volupté de l’acte. Ma tante se révèle être une amoureuse insatiable et prodigieusement inventive, et je compte bien ne pas en rester là avec elle.
Ma tante pousse une pointe de vitesse au galop sur mon sexe. Suite à ce délire, elle sort ma queue de son sexe, pour la plaque plus haut, contre son anus. Bien dilaté, je m’enfonce sans aucun mal. C’est différent de celui que je viens de quitter. Je laisse, sans pouvoir me contrôler, échapper un sourd grognement qui se prolonge. La réaction de ma tante est aussi édifiante. Elle gémit et tremble, se caresse, et elle me semble comme transportée.
C’est vraiment très bon de se sentir gainé par le rectum de la femme que j’affectionne. J’ai finalement bougé. Je vais et viens, c’est tellement excitant que je crois que je vais jouir sur-le-champ. Je m’immobilise, mais elle me dit:
- Non continue ! C’est trop bon de te sentir remué dans mon cul !
Je bouge alors en elle, me sentant comprimé, mais cette pression autour de ma chair est un vrai régal. Je constate que tata prend elle aussi un plaisir très fort. Son corps entier vibre, réagit. Elle a, à moitié étouffé une sorte de rugissement de bête et, en jouissant, elle libère ce qui est sans doute l’équivalent d’une éjaculation masculine, un grand jet de liquide blanc qui souille ses cuisses, et mon ventre. Son orgasme apaisé, elle me dit, d’une voix assourdie par le plaisir.
- Tu peux si tu le désires !
Les spasmes de son cul se font pressants sur ma verge. Je peux savourer le plus longtemps possible le plaisir incroyable qu’elle m‘offre. Mais bientôt, sans bouger, j’éjacule très copieusement. Le sperme sort, remplissant son cul.
Il faut que j’attende qu’elle disparaisse de ma vue pour à mon tour sortir du cagibi et ainsi rejoindre ma chambre. Je suis à cet instant l’homme le plus heureux du foyer.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
j'ai tellement aimé cette histoire..ca m'a beaucoup excité....



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