Souvenirs avec Antoine l'ouvrier de chantier.

- Par l'auteur HDS Passud -
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Récit libertin : Souvenirs avec Antoine l'ouvrier de chantier. Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Souvenirs avec Antoine l'ouvrier de chantier.
Nous sommes vendredi, Joël se lève enfin, Il s'est dressé sur ses jambes, sa grosse verge pend entre ses cuisses.

Un filet de sperme coule encore de son méat, des gouttes tombent et tachent le sol de mon appart, en allant de ma chambre. à ma salle de bain.

Il va se doucher, en admirant le fessier nu et pollué de Corinne.
Elle est étendue sur notre lit, épuisée d'orgasmes en tout genre.

Elle a du mal à garder l'anus fermé, Il faut avouer que Joël ne se prive pas de l'enculer, dès qu'il peut.

Il revient près d'elle, qui sort de son sommeil passager.

"C'est bon ? Je peux me doucher ?".
"Oui, ma belle ! Ca va te faire du bien ! Excuses-moi, je t'en ai mis partout !".

Corinne ressort, peu de temps après, pour s'allonger près de son amant.

"C'est ce soir, qu'il rentre, ton mec ?".
"Oui ! Il me manque beaucoup ! D'ailleurs ! Je pensais pas que ce serai aussi dur !".
"Mais ? Si tu l'aimes tant que ça ! Pourquoi tu le trompes ?".

"Je sais, c'est plus fort que moi ! J'ai besoin de sexe ! Et lui, il me baise quasiment jamais ! C'est toujours de l'amour ! Bon, il faut dire, qu'il m'a beaucoup trompé, lui aussi ! Donc, pourquoi pas moi ?".
"Alors ! S'il l'a fait, t'as le droit de le faire aussi ! Et puis ! Ca m'arrange !".

"Moi aussi ! Mais j'aimerai le voir plus souvent, quand même ! J'en ai marre de le voir que le Week end ! Et en même temps, j'adore être libre pour baiser avec qui je veux !".
"Bon, on a un peu de temps, tu peux me faire un p'tit café, et si t'as envie, on recommence après !".
"Je te fais ça ! Et ...Pourquoi pas ?".

Je suis arrivé 3 heures plus tard, Corinne a utilisé l'heure sans sexe, qu'elle avait, pour en effacer les traces.
Laver les taches au sol, mettre les draps dans le bac à linge, changer sa culotte maculée de sperme et de jus anal après sodomie (en l'enfouissant bien au fond du bac !), faire la vaisselle pour cacher la venue d'un autre homme, aérer les pièces, etc...

Elle me reçoit avec de longs baisers passionnés, je suis mort de fatigue.
Entre ma semaine de boulot et la route du retour, je n'ai qu'une envie, me poser !

En allant uriner, je ne remarque même pas que la cuvette est levée !
Après le diner, je ne me demande pas non plus, pourquoi, il y a tant d'essuie tout à l'intérieur de la poubelle !
Il m'aurait suffit de me baisser et j'aurai reconnu l'odeur de sperme, c'est sûr !

Comme j'ai bien mangé, je me sens mieux et nous faisons l'amour enfin.
Je retrouve son corps avec un bonheur certain, enfin c'est moi qui possède l'autre !

Cela fait trois mois que je bosse avec Antoine.
Cet artisan que j'ai dragué, malheureusement, sur une pulsion sexuelle, et qui se sert de moi comme d'une femelle, à présent !
J'ai droit, quasi quotidiennement à deux sodomies, et parfois, je dois lui faire une fellation en plus !
Il ne pense qu'à ça !

Donc retrouver ma belle, et lui faire l'amour enfin, me fait sentir à nouveau normal !
Je ne sais pas ce que pense Corinne en faisant l'amour avec moi.
Est-ce qu'elle s'en veut de baiser avec Joël ? Peut être que comme moi, elle chasse ses pensées.

Parfois, je me sens comme un imposteur dans mon rôle d'amoureux viril.
Alors qu'Antoine me défonce la "chatte" toute la semaine et plusieurs fois par jour !
D'ailleurs, le vendredi est réglé comme du papier à musique, je le suce au lit, chaque matin, et il m'encule juste avant de prendre la route du retour, en fin d'après-midi !

Ces Week ends sont comme des vacances pour ma "chatte" anale !
Je m'enivre du corps de ma belle jusqu'au dimanche soir ! Cela me rassure sur mon hétérosexualité !

Parfois, j'ai envie de dire à Corinne que je n'ai plus envie de repartir pour la semaine.
Elle me résonne toujours, on a besoin de mon salaire ! Le travail ne se trouve pas aussi facilement !

Elle ne sait pas encore que j'aime aussi les hommes, et que mon chef de chantier m'encule dès qu'il peut !
Quand à moi, j'ignore que mes longues absences lui ont servies d'excuses pour se donner à d'autres hommes !
Je sais aujourd'hui que baiser toute la semaine et faire l'amour que le Week end, était un bon rythme pour elle !
Mais à cette époque, chacun trompe l'autre, sans le savoir !

Puis vient le lundi, très tôt, je suis au bord de l'autoroute, avec mon sac à dos par terre !
J'attend l'utilitaire d'Antoine, je sais déjà que je vais me faire enculer sur la route ! C'est sûr !

Il me dit toujours qu'il a les "", après ces deux jours sans me baiser !

Je le vois arriver, il arbore un sourire radieux, ce qui confirme que je vais y passer encore !

"Allez ! Montes vite ! Mon chéri ! Ca va ? T'as passé un bon Week end ?".
"Oui, ça va ! Mais je t'avoue que j'en ai un peu marre, de venir ! C'est long, une semaine !".

"Pourquoi, on s'amuse bien tous les deux ! Tu prends toujours ton pied, quand je te baise !".
"Oui, je sais, mais ...".

"Tssttt ! Tssttt ! T'auras beau dire le contraire ! T'adores que je t'encules ! Ta p'tite chatte est à moi ! C'est comme ça ! Et on va arrêter d'en parler sinon, je le fais avant d'arriver !".
"Oh, ben, ce sera pas la première fois !".

"Ah, ah ! C'est vrai ! Je t'aime, mon bébé ! Et tu sais que j'ai les couilles bien, bien pleines !.

Ca n'a pas loupé ! A mi-chemin, sur une aire, il m'a démonté l'anus, puis m'a rempli la gorge de foutre.
Et encore une fois, j'ai joui comme un fou ! J'ai même apprécié qu'il m'inonde la gorge, plutôt que l'anus, à cause des conséquences anales !

En le regardant conduire ensuite, malgré son physique buriné et quelconque, je le trouve toujours aussi excitant.
Depuis le premier jour, ou il m'a baisé, je sais combien il est viril, puissant et monté comme un âne !

En m'enculant, il m'a remis à ma place de femelle, et j'en reprend le rôle tout naturellement !

Une heure après, juste avant d'arriver enfin, je suis obligé de laisser échapper une énorme flatulence.

"Orh ! Mer... ! J'ai taché mon slip !".

Il rit et demande:

"Mais pourtant, je t'ai pas joui dans la chatte !".
"Oui, et je t'en remercie, mais tu m'as quand même activé les muqueuse anales ! Je peux me changer discrètement ?".
"Bien sûr ! Chéri ! Te gênes pas !".

J'attrape mon sac à dos, en sort un slip propre, puis me contorsionne pour me changer devant lui.

"Montres-moi ! Je veux voir !".

Je souffle et lui exhibe l'énorme tache de jus anal gluant sur mon slip sale.

"Putain ! Il y en a beaucoup ! C'est quoi ce truc ? Ca m'a toujours intrigué !".
"Ben, on a tous ça dans l'anus ! C'est ce qui nous aide à évacuer nos selles ! Et quand on se fait enculer, on en produit davantage !".

"Moi, ça m'excite en tout cas ! J'adore quand tu me recouvres la bite avec ! Ca glisse mieux !".
"Enfoiré !".

J'arrive tant bien que mal en enfiler mon pantalon, puis on décharge nos outils sur le nouveau chantier en arrivant.
Vers midi, on va se libérer de nos affaires à l'hôtel, et on se presse d'aller manger dans un routier.
On a deux choix de plats, mais les entrées et les desserts sont à volonté !

Pendant le repas, il me reparle discrètement des routiers qui m'ont baisé.

"Ca te manques pas ?".
"Non, avec toi, j'ai mon compte déjà !".
"Dommage ! Moi j'aimais bien ! Et Roberto ?".
"Lui, c'est différent ! J'adore le sucer !".
"Ah, tu me rassures !".

De retour sur le chantier, je sens qu'il est contrarié par la présence d'ouvriers magrébins.
Vers 15h, il vient contrôler mon travail, en fait, c'est une excuse pour me coincer aux toilettes, et me remplir la gorge avec sa grosse bite.

J'avoue que j'ai adoré lui dévorer la queue, en prenant mon temps, excité par ses mots vulgaires.
Je lui demandais de parler plus doucement, mais j'aimais qu'il me parle ainsi !
J'ai pris peur quand il m'a abreuvé pour la deuxième fois de la journée, en râlant trop fort.

Lorsqu'on est sorti, j'ai clairement entendu des pas dans le couloir qui menait à notre pièce ! Je n'ai jamais su qui c'était !
Quand il est parti reprendre son travail, je me suis dis comme à chaque fois: (Bon, je suis tranquille pour quelques heures !).

Vers 17 h 30, on va se doucher à l'hôtel, il m'encule sans éjaculer sous la douche, je vis deux ou trois orgasmes, je sais plus !
Puis, on sort diner !

On rentre vers 20h30, on se balade en slip dans la chambre, tous les deux, puis on entend frapper à la porte.
Je me cache sous les draps, mais il va ouvrir sans de couvrir !

Je vois entrer Roberto et Alexandre, je fixe Antoine et lui fais cette remarque:

"C'est pour ça que tu m'as parlé d'eux !".
"T'as tout compris ! Ma p'tite chatte !".

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Texte coquin : Souvenirs avec Antoine l'ouvrier de chantier.
Histoire sexe : Une rose rouge
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