Souvenirs avec Antoine l'ouvrier de chantier.2 - histoire érotique

Antoine et moi, sommes donc rentrés du resto, et tranquilles à l'hôtel, quand Roberto et Alexandre débarquent !

Je me lève, les deux hommes m'embrassent sur la bouche, en glissant une main sous mon slip.

"Hummm ! T'es déjà prête ! Ma p'tite salope !". Me dit Roberto.
"Je m'attendais pas vous voir !".

Antoine leur ouvre des bières, je refuse d'en boire, pas envie !
J'en ai le gout, malgré ça à cause de leurs baisers vicieux.
Mon corps est palpé avec perversité, mes fesses rougies par leurs claques.

Alexandre fait glisser mon seul vêtement.
Il m'accroupi devant Antoine qui retire son slip, et attire mon visage sur sa bite en érection.

Roberto et Alex quittent leurs bières, le temps de se déshabiller.
J'écarquille les yeux en revoyant la bite énorme d'Alex, il me questionne.

"T'as pas l'air content de me voir ! Chéri !".
"Si, mais tu vas encore me tuer ! Je vais jouir salement !".
"C'est ça qui est bon ! Justement !".

Antoine me reprend la gorge et me baise profondément, sans se presser.
Il recule son gland pour me permettre de sucer Roberto en même temps que lui.

"Alors ? Elle est bonne la bite de Roberto ! Pas vrai ?".
"Glllllllllrp ! Mmmmm ! Oui, surtout quand il joui !".
"Ouais ! Ca ! Ca veut dire qu'il veut que je lui mette tout dans la gueule !".
"Mmmm! Oui ! J'adore ! Gllllllllllllrp !".

Alexandre s'impatiente:

"Bon, si personne ne se décide, je le baise en premier !".
"Pourquoi pas ! Après tout ! Y a du gel dans mon sac ! Sers toi !".

Le contact froid du gel m'affole, j'aurai préféré être préparé par un autre, avant de prendre l'énorme bite d'Alex dans le cul !

Son gros gland dur force déjà, finalement, heureusement qu'Antoine m'a un peu baisé sous la douche.
Mon œillet s'écartèle assez rapidement au début, mais il se heurte comme d'habitude à une première résistance.

Il reste appuyé contre mon anus, puis d'un coup, je m'ouvre et le reçois d'une traite.
Je hurle sans discontinuer en me faisant remplir les parois anales à l'extrême.

Il réveille ma sensibilité exacerbée par les assauts d'Antoine, deux heures plus tôt.
Je suis pris d'un orgasme instantanée et très long, tout de suite.

"Qu'est-ce qui t'arrives ?".
"Arghghhhhhhhhhhhhhhhh ! Je joui ! Arghhhhhhhhhh !".
"Putain, je suis jaloux Alex ! Ca lui arrive pas avec moi !".

Je retiens Alex pour l'empêcher de bouger !
Puis au bout de quelques minutes, je reprend ma double fellation et il me transperce le cul à grands coups de bite.

J'orgasme sans discontinuer, j'ai du mal à sucer nos deux autres complices.
Puis Alex se calme.

"Allez, je vous le laisse un peu, sinon, il pourra plus assurer pour vous !".

On me place en travers du lit, c'est Antoine qui me baise en premier.
Sa grosse queue rentre sans difficulté dans mon anus béant.
Il se sert de ma chatte anale comme d'un masturbateur, en m'insultant.

C'est au tour de Roberto ensuite, il m'encule de la même manière, sous le regard des autres qui se masturbent.

Puis, c'est à nouveau Alex qui me détruit sous l'œil admiratif de ses copains.

Je lui annonce que je vais éjaculer s'il continue ainsi.
Il s'arrête en me disant:

"Non ! Pas maintenant ! C'est trop tôt !".

Antoine s'est allongé sur notre coté, je m'empale sur lui.
Roberto se place contre sa grosse verge et trouve assez rapidement le chemin du fond de mon anus.

Alex me rempli la gorge, debout sur le lit, pendant que je sens les deux autres verges coulisser en moi.

A cet instant, j'ai déjà eu mon compte en orgasmes anaux, je me serai contenté de ça !
Mais je ne suis pas seul ! Je dois satisfaire mes complices !

Et ils ne se gênent pas de se branler dans mon cul, sans s'occuper de mon plaisir.
Ils n'en ont pas besoin, je joui sans arrêt !

Roberto montre des signes de jouissance proche.

"P'tit Pascal ? Oorhhh ! Tu veux toujours mon jus ?".

Avec ma bouche écartelée sur l'énorme pieu d'Alex, je ne peux pas lui répondre, sauf par un gémissement étouffé !

"Mmmmmmmmmmmm !".

"Ca ! Ca veut dire oui !". Répond Alex, qui attend jusqu'au dernier instant pour quitter ma bouche.

Il me maintient la lèvre inférieure et le haut du front pour placer ma bouche ouverte sous le gland de Roberto, prêt à exploser.

"Voilà, comme ça je vais voir, tout ce que tu lui mets ! A cette petite salope !".

Le gland de Roberto vient se coller à mi chemin sur ma langue et il crache sa semence en jets puissants.

Il m'inonde la gorge, je referme mes lèvres sur sa bite pour avaler son foutre, puis ouvre dès que son jus passe dans mon gosier.

Ses nouvelles éjections m'envahissent la bouche, encore et encore, je réitère au fur et à mesure, qu'il m'abreuve en criant son plaisir avec des mots vulgaires.

Alex se régale de ce spectacle, il nous fait des commentaires pervers lui aussi.

"Hummm ! Ca, c'est un bon vide-couilles !".

Roberto s'est enfin déversé jusqu'au bout, il revient dans mon anus en me faisant encore crier.
Il ne bouge plus, permettant à Antoine de me défoncer par dessous jusqu'à se faire jouir en moi.

Roberto attend la fin de son éjaculation, puis quitte mon anus, il fixe mes réactions anales en attendant qu'Antoine sorte lui aussi.

Je serre mon sphincter en me soulevant de mon amant.
Alex vient derrière moi et me tourne en m'écartant les cuisses.

Il me fait face et me dit:

"Laisses-moi entrer !".

Il pose son gros gland sous mon anus, je me relâche et le recouvre de sperme.

"Hummm ! c'est beau ça !".

Il s'enfonce d'un coup jusqu'au fond, je monte mon avant bras jusqu'à ma bouche pour le mordre.

Roberto se régale de la vue du très gros membre, qui disparait en moi, et ressort avec une corolle de foutre à la base.

Alex me défonce avec une grande amplitude, il me fait bander malgré moi, en forçant contre ma prostate.
Antoine et Roberto font des commentaires vicieux sur le spectacle porno qu'on leur offre.

Mon enchainement d'orgasmes est énorme, mes yeux sont humides.
Antoine me dit que le bord du lit est trempé de foutre et de jus anal.
Au point ou j'en suis, je m'en moque un peu !

Alex me sourit, il voit que mon gland est extrêmement gonflé, il a compris que je vais exploser, à cause de son énorme gland, qui coulisse dans mes parois anales !

Il pose sa main sur ma bouche pour m'empêcher de crier trop fort.
Je hurle dans sa main, mon jus coule en cascades au bout de mon gland.

Mes jambes tremblent autour de son corps.
Je crispe mes doigts sur ses flancs.
Je parviens à mordre la paume de sa main, le plaisir est trop puissant, c'est insoutenable et si merveilleux à la fois !

"Putain, il m'écrase la bite avec son sphincter ! J'adore ! Orhhh ! C'est bon ! J'arrive plus à bouger !".

Puis, mes dernières gouttes de foutre s'écoulent enfin, mon plaisir retombe.
Mon sphincter se relâche et Alex retrouve de l'aisance dans ma chatte.

Il reprend ses enfoncées, je suis au bord de l'épuisement sexuel.
Une nouvelle montée de plaisir arrive encore, il attend la fin de mes râles, puis enlève sa queue.

Il sait y faire le salaud !
Tout de suite après, je me couvre le ventre de liquide urinaire.

"Arhhhhhhhhh ! Je savais que tu me ferais ça ! Arhhhhhhhhhhhh !".

Il recommence, encore et encore, jusqu'à me vider entièrement.

Enfin, dès qu'il sent arriver son éjaculation, il me demande d'ouvrir la bouche pour lui offrir le même spectacle qu'avec Roberto.

Il se fait aider de ses deux copains, qui m'insultent pendant que j'avale tout le foutre qui sort de son énorme gland.
J'adore vivre cet instant, j'aime le foutre chaud !

Antoine lance:

"Putain ! on en a mis partout ! Les femmes de ménages vont se poser des questions !".
"Je vous avais prévenu ! Avec Alex, ça vire toujours au sale !".

Après une longue pause, ils abusent encore de moi, longuement.
Je me souviens surtout du moment ou Roberto et Antoine me portaient avec les cuisses ouvertes pour aider Alex à m'enculer debout, et bien profondément.
Grand moment !

J'ai pris un comprimé de paracétamol et me suis effondré sur le lit ensuite, puis, ils nous ont quitté.

Au petit matin, Antoine était excité par la veille !
J'ai pété un câble et je lui ai crié que j'en avais marre !

"J'en peux plus ! Je suis pas une poupée gonflable ! J'ai encore mal au cul, d'hier soir !".

Il s'est excusé et m'a laissé tranquille !
Mais, je ne supportais pas que l'on ne se parle plus de la journée.
Vraiment ! Je ne sais pas ce que je veux !
En rentrant, je me suis jeté sur lui !

"Pardon chéri ! Prends-moi ! J'en ai envie !".
"Moi aussi, je te demande pardon, mais je t'aime ! Tu le sais ! Je sais que je vais trop loin ! Mais je suis comme ça !".
"Tais-toi et prends-moi !".

Il m'a enculé avec beaucoup de sensualité, puis, après notre orgasme commun, je me suis serré contre lui, en femelle comblée.

"Salaud, t'as réussi ton coup !".
"Pourquoi tu dis ça ? Ma p'tite chatte ?".
"Ben, si je suis revenu vers toi ! C'est que je me suis attaché ! T'as gagné !".
"Hummm ! Alors ! Tu m'aimes un peu ?".
"Oui ! Même plus que ça !".