SUBSTITUT

- Par l'auteur HDS Tamalou -
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : SUBSTITUT Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-10-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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(10.0 / 10)

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SUBSTITUT
Jenny se caressait le ventre en souriant, nue dans son lit. Elle dormait toujours nue et d'être enceinte n'avait rien changé.
3° mois de grossesse, ça commençait à se voir, un peu. Elle n'avait pas pris beaucoup de poids, parce que c'était une grande fille dodue aux hanches larges.
Jenny avait mené une vie d'athlète au lycée, elle avait pratiqué beaucoup de sport, et elle était déjà très musclée. Lorsqu’une blessure au genou avait mis fin à sa carrière d'athlète universitaire. Avec le temps, son physique d'athlète musclé s’était transformé en une jeune femme pulpeuse aux formes arrondies. Ses loches avaient considérablement augmenté de volume depuis sa grossesse et elle était à la recherche de nouveaux soutiens-gorge. Son mari, Jacques, était en adoration devant ses gros seins.
Ses mains descendirent de son ventre arrondi à sa chatte poilue. Jenny préférait un buisson soigneusement taillé, mais Jacques, son mari, lui avait demandé de laisser pousser pendant qu'elle était enceinte. Elle soupira quand ses doigts écartèrent ses lèvres gonflées de désir et elle ferma les yeux. Son appétit sexuel vorace en temps normal avait empiré ces 3 derniers mois, et elle était constamment excitée.
La blonde pulpeuse agaçait son clitoris entre le pouce et l'index et cherchait en tâtonnant son gros gode violet. C’était son plus gros jouet et sa surface duveteuse lui procurait d'excellentes sensations.
Jenny n'avait pas toujours été attirée par les gros sexes. Dans ses années lycée, elle se gouinait. Elle ne sortait qu'avec des filles, mais elles avaient été trop dramatiques et Jenny s'était lassée. Ensuite, elle avait eu sa période interraciale. La faculté regorgeait de jeunes sportifs noirs bien membré et Jenny, avec ses cheveux blond vénitien et sa peau laiteuse, n'avait aucune peine à faire son marché.
Mais le caractère volage des jeunes noirs lui avait fait préférer un mari blanc, moins bien équipé, certes, mais fidèle.
Le gros gode violet glissa sans effort dans sa chatte humide et fondante. La grosse bite de latex distendait sa chatte de façon incroyable et ses hanches ondulaient lentement tandis qu'elle le faisait pénétrer jusqu'au fond de sa vulve. Les jambes tremblantes, la respiration hachée, elle se remémorait la nuit où elle est tombée enceinte. C'était son meilleur fantasme, celui qui lui permettait de jouir à coup sûr. Elle revoyait son visage et son corps musclé allongé sur elle. Sa grosse queue l'écartelait profondément, frappant son col de l'utérus à chaque poussée et touchant son point G en reculant.
Jenny a senti arriver l'orgasme et a accéléré le mouvement du gode. Elle revoyait son mari, nu à côté d'elle, lui tenant la main pendant qu'Arnaud pilonnait sa chatte.
Depuis son mariage, Jenny avait été rigoureusement fidèle à Jacques. En se mariant, elle avait tiré un trait sur ses années de débauche. Ils avaient essayé pendant des années d’avoir un bébé, mais le faible nombre de spermatozoïdes et la trop forte acidité de son vagin avait empêché leur rêve de se réaliser. Cela n'avait causé aucun problème dans leur couple, ils avaient parlé de trouver une autre solution, sans franchir le pas.
Ils étaient allés en vacances en Jamaïque pour se détendre. Là-bas, ils avaient rencontré Arnaud au bord de la piscine. Un métis trentenaire, aisé, beau gosse et célibataire. Il voyageait pour une chaîne hôtelière et était une sorte de testeur.
Une sorte d'alchimie et d'attraction animale avait fonctionné entre Arnaud et Jenny. Jacques s'en est aperçu rapidement et c'est lui qui avait suggéré l'idée de plus d'intimité entre Jenny et Arnaud. Il n'était pas jaloux et son fantasme était de voir sa femme subir les assauts d'un autre homme.
Il avait d'abord essuyé un refus glacial de sa femme, mais ce soir-là, dans l'intimité de leur chambre, il avait baisé Jenny avec tant de fougue qu'elle s'était sentie troublée. Après, enlacés dans l'obscurité, Jacques avait longuement développé ses arguments, mais ce qui a convaincu Jenny, c'est lorsque son mari a guidé sa main vers sa bite. Il était de nouveau dur et prêt pour un autre round. Ils ont fait l'amour cinq fois cette nuit-là et il lui a servi le dessert au petit-déjeuner. La vitalité de son mari cette nuit-là et son insistance ont convaincu Jenny de reconsidérer sa demande.
Lorsqu'ils ont retrouvé Arnaud au bar de la piscine ce jour-là, elle a flirté ouvertement avec lui pour voir la réaction de Jacques.
Il semblait parfaitement détendu et, après le repas du soir, ils sont sont descendus tous les trois au sous-sol, s'amuser dans la boîte de nuit de l'hôtel. Jenny a beaucoup dansé avec Arnaud, se frottant contre lui grâce aux rythmes latinos. Arnaud était chaud et ses mains parcouraient le corps voluptueux de Jenny. Celle-ci appréciait ses grandes mains fortes et elle aimait son toucher effrontément agressif.
Ensuite, Jacques a insisté auprès d'Arnaud pour que celui-ci les accompagne dans leur chambre, boire le verre de l'amitié, parce que les vacances se terminaient.
Dans la chambre, une fois la porte refermée, Jacques l'a embrassée passionnément. Ses mains parcouraient son corps charnel et lascif et il souleva sa robe noire vaporeuse au-dessus de sa tête, la laissant nue, avec juste une chaînette autour de la taille et ses talons-aiguilles. Jacques avait lourdement insisté pour qu'elle ne porte aucun dessous, pour qu'elle se sente offerte et sans défense. Arnaud avait bien profité de la situation en dansant, pelotant sans vergogne les formes callipyges de sa conquête.
Jenny avait bien senti le renflement dans le pantalon d'Arnaud en dansant et elle s'était sentie flattée du sentiment qu'elle lui inspirait.
Jacques se recula, laissant la place à Arnaud. Le vigoureux métis saisit Jenny par des cheveux, la faisant pivoter devant lui, détaillant son corps pulpeux, caressant ses formes voluptueuses. Il avait le regard affamé d'un fauve au moment de dévorer sa proie.
Soumise et docile, Jenny se laissait tripoter, fondante et dégoulinante à l'intérieur de sa chatte. Une avalanche de souvenirs de la fac lui revenait en mémoire. Il y avait une nette différence entre la façon dont les blacks baisaient et celle des blancs. Les noirs étaient plus dominateurs et plus exigeants. Elle savait se comporter en femelle servile pour obtenir ce qu'elle désirait, une bonne baise.
Elle aimait beaucoup cela, être brutalisée, prise sans ménagement par un mâle dominateur qui la baisait pendant des heures, la laissant épuisée mais repue.
Lorsqu'elle avait rencontré Jacques, elle avait vécu d'amour, d'affection et de tendresse, et avait renoncé à la passion brute.
Arnaud fourra sa langue dans sa bouche et sa main libre partit explorer les atours de sa conquête. Il empauma et pressa ses gros seins fermes. Il a tordu ses mamelons en pinçant et tirant les tétons. Il a ensuite doigté sa chatte trempée, pénétrant le calice avec plusieurs doigts, la faisant gémir comme une petite chienne que l'on gronde.
Ses jambes lui semblaient faibles et son ventre était en feu. Elle tâtonna pour déboucler son ceinturon et ouvrir sa braguette. Ses mains tremblantes de désir libérèrent sa queue et elle ressentit un besoin irrésistible de la voir. Elle caressait la tige épaisse, ses doigts ne parvenant pas à entourer sa circonférence prodigieuse.
"Putain, comment il est monté, ce salaud! Un vrai taureau!" haleta Jenny en caressant doucement le monstre.
La bite tressautait dans ses mains douces et les bourses qu'elle soupesait semblaient extrêmement lourdes. Elle avait déjà été baisée par des mecs bien membrés auparavant, mais jamais par un tel phénomène et son ventre se tordait de désir à l'idée de se faire prendre par Arnaud.
Arnaud comprit ce que Jenny désirait, il lâcha ses cheveux et retira ses doigts de sa chatte dégoulinante. Jenny s'agenouilla devant son amant, caressant les cuisses et les fesses musclées d'Arnaud, tandis que sa bouche s'ouvrait pour honorer l'objet de son désir.
La saveur salée de la sueur et l'odeur musquée du mâle en rut bouleversait les hormones sexuelles de la femelle. Jenny caressait avec ses lèvres le gland turgescent, traînait sa langue sur la surface rugueuse, picorait de doux baisers la grosse bite noire.
Les lèvres charnues de Jenny émirent un gémissement guttural, elle inspira fortement, se soulant avec son parfum musqué. Ses mains se contractèrent sur les fesses musclées et elle arrondit ses lèvres, ouvrant grand la bouche pour gober le gland violacé. Elle lutta pour faire pénétrer un peu plus que quelques centimètres dans sa bouche à cause de la circonférence, mais elle suça et lécha pour humidifier son pénis.
Jenny croisa le regard avide de son mari. Il avait sortit sa bite et se caressait doucement. Elle lécha longuement la tige avant de descendre gober les bourses poilues dans sa bouche. Ses yeux se fermèrent et elle suça ses délicieuses boules tout en masturbant son énorme bite.
"J'ai besoin de ça à l'intérieur de ma petite chatte!" gémit Jenny, après plusieurs longues minutes d'attention orale prodiguée à sa virilité. Elle avait mal à la mâchoire et son mascara avait coulé sur ses joues.
Arnaud l'aida à se relever et l'installa à quatre pattes sur le lit. Il se positionna derrière elle, frottant son gland dans la fente trempée de Jenny, et jeta un regard interrogateur à Jacques. D'un hochement de tête, Jacques lui donna son accord.
Alors, saisissant Jenny par les hanches, d'une seule poussée, sans ménagement, Arnaud pénétra profondément la femelle offerte.
Le hurlement de bête blessée qu'elle ne put retenir, le regard plein de larmes qu'elle adressa à son mari, convainquirent Jacques de soutenir sa femme. Il vint s'assoir sur le lit à ses côtés et lui tint la main tout le temps qu'Arnaud lui défonça la chatte.
Bientôt, la douleur se mua en plaisir, et Jenny exhortait le mâle à plus de vigueur. L'énorme bite coulissait bruyamment dans son vagin, drainant ses jus, les chairs claquaient en cadence, les gémissements de Jenny résonnaient dans la chambre d'hôtel. De peur de réveiller tout l'étage, Jacques s'agenouilla devant Jenny et, appuyant fermement sur sa nuque, la bâillonna avec sa bite tendue.
Le corps voluptueux de Jenny se balançait d'avant en arrière, ses seins pendaient sous elle en dansant une gigue endiablée, et elle grognait chaque fois qu'une bite plongeait profondément en elle, dans sa chatte ou dans sa bouche. Elle sentait une houle familière se former dans son ventre, elle haletait et suffoquait, proche de l'orgasme.
"Ooh merde, putain, merde, oui," gémissait Jenny en plongeant dans le précipice du plaisir. Sa chatte s'est contractée sur le membre qui la défonçait. Des vagues intenses de plaisir secouaient ses hanches et ses jus coulaient abondamment, imbibant le sexe, les couilles et les cuisses d'Arnaud.
Les hommes retirèrent leur sexe de l'orifice qu'ils occupaient. Jenny gémit de frustration. Arnaud la saisit par le cou pour la courber en arrière, lui prenant la bouche, envahissant et dominateur, tandis qu'elle suçait goulûment la langue offerte. En se contorsionnant, elle pivota sur les genoux pour lui faire face, caressante et ronronnante telle une chatte heureuse.
Quand il relâcha son étreinte, Jenny gémit et se précipita pour sucer et lécher bruyamment sa queue et de ses couilles.
"Allonge-toi sur le dos" ordonna Arnaud avec sa voix de basse. L'ordre donné sur se ton-là donnait des frissons dans le ventre de Jenny qui s'allongea immédiatement, cuisses maintenues grandes ouvertes avec ses mains sous les genoux, offerte et soumise.
Arnaud s'allongea sur elle, la pénétra et glissa les mains sous les fesses de la femelle pour relever son bassin. Aussitôt, il se mit à la pilonner sans ménagement. Elle dégagea une de ses mains pour la tendre à son mari.
"Viens ici bébé," dit doucement Jenny. Jacques lui prit la main en souriant tendrement.
Arnaud n'avait aucune technique, aucune finesse. Il se contentait de bourrer la femelle à grands coups de reins rageurs comme s'il voulait lui perforer le ventre. Mais la taille démesurée de son chibre, la vigueur qu'il y mettait, et la durée du rapport faisait perdre la tête à Jenny qui subissait l'assaut fougueux du mâle, geignante et gémissante.
Jenny a crié fort et son corps s'est tordu sous Arnaud. Le mâle arrêta un bref instant son pilonnage, le temps que Jenny se calme et reprenne ses esprits.
Elle a demandé à son mari: "Je voudrais qu'il éjacule en moi" le supplia-t-elle. "Il peut nous donner le bébé que nous voulons."Jacques acquiesça et l'embrassa doucement. "OK, j'aime ça!"Jenny fixa Arnaud les yeux dans les yeux et lui déclara: "Vas-y! Défonce-moi! Fais-toi plaisir!" Ses mains aux ongles manucurés s'accrochèrent aux épaules musclées du mâle qui la dominait. Elle lui adressa un sourire sexy mais ses yeux brillaient d'un désir vorace.
Longtemps, Arnaud s'acharna sur elle, martelant sa petite chatte blanche avec sa grosse bite noire.
Tout le temps, elle l'a encouragé: "Vas-y! Jouis en moi! Remplis-moi de ton sperme! Je suis féconde, fais-moi un bébé!" d'une voix basse et rauque. Elle a soutenu son regard tout le temps. La respiration d'Arnaud devint hachée et son corps s'est contracté. Elle sut qu'il était proche et elle augmenta ses encouragements. Arnaud passait le point de non retour. Son corps tremblait tant il se battait pour retarder l'inévitable.
"Ne te retire pas," souffla Jenny. "Je veux que tu jouisses en moi. Je veux te sentir me remplir la chatte de son sperme fécond." Elle a sentit la grosse bite d'Arnaud gonfler encore pendant qu'il se bloquait au fond de sa vulve. Il grogna, ferma les yeux, puis soudain le flot de sperme se répandit en elle, à longs jets qui heurtaient son col, la remplissant de bonheur liquide.
Tendrement, Jenny caressait amoureusement les épaules et la nuque d'Arnaud. Ils échangèrent un long baiser passionné.
Mais Jacques s'impatientait. Arnaud quitta la chatte accueillante de Jenny et Jacques prit aussitôt sa place.
Il a pénétrée sa femme profondément, fortement et rapidement. Rapidement, beaucoup plus rapidement qu'Arnaud, il a libéré sa charge dans le vagin de sa femme. Elle ferma ses jolis yeux pour lui cacher sa déception. Il resta à l'intérieur d'elle et ils s'embrassèrent et se cajolèrent doucement.
Arnaud se rhabilla. Tandis que Jenny et Jacques se caressaient amoureusement sur le lit, il s'éclipsa sans bruit.
Jenny et Jacques n'ont pas revu Arnaud depuis cette fameuse nuit, même si Jenny a gardé un très bon souvenir de leur étreinte.

"Pousse Jenny, pousse bébé" l'encourage Jacques. Leur voyage en Jamaïque est loin. Il tient la main de sa femme comme cette fameuse nuit et la regarde amoureusement dans les yeux, mais il n'a pas osé jeter un coup d'œil entre ses jambes écartées.
La sage-femme a aidé le bébé à sortir, et l’infirmière a rapidement nettoyé le petit corps.
"Voulez-vous votre fils?" demande l'infirmière. Jenny hocha la tête et l'infirmière lui tendit le petit bonhomme.
Jenny et Jacques ne savaient pas à quoi s'attendre dans les jours qui ont précédé l'accouchement. Ils s'étaient préparés à raconter une vague histoire sur un donneur de sperme et une erreur d'éprouvette, mais ils n'avaient rien dit à personne.
La tête du bébé était recouverte d'un duvet blond et ses traits européens ressemblaient à son père.
Cela semblait être un miracle, mais le bébé, Jérémy Arnaud, ressemblait trait pour trait à Jacques.

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