Sur la route
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-09-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Sur la route
J’ai pour mission ce jour là, de conduire la directrice du service de la petite enfance dans une conférence à quelques kilomètres de notre agglomération. N’étant pas une virtuose au volant, elle préfère être conduite. Voilà pourquoi, je stationne ce matin dans la court d’honneur et attend sagement sa venue.
D’ailleurs la voilà au loin, rappliquer, d’un pas rapide. Ce n’est pas la première fois que je la conduis. Elle est loin d’être la plus agréable des passagères que j’ai eu à conduire jusqu’à maintenant !
La voilà qu’elle ouvre la portière et prend place en faisant voler sa jupe légère sur ses cuisses nues. Comme à son habitude elle s’installe sur le siège avant. Ne supportant pas être assise sur la banquette arrière.
Avant de fermer la portière, elle installe son attaché-case entre ses jambes, sur le plancher. Je mets le contact et embraye, direction l’adresse communiqué quelques minutes plus tôt par ma régie.
Comme souvent dans ces pareils cas, et quand c’est possible, je laisse tomber mon regard sur ses genoux de mes passagères, qui ce jour-là sont haut découvert. Nous traversons maintenant les espaces déserts. Nerveuse, je l’aperçois regarder sa montre au poignée, puis lâcher :
- Serait-il possible Alain te trouver un coin tranquille pour un arrêt urgent. Je m’excuse, mais cela m’est venu d’un coup.
-Mais je vous en prie, il n’y a pas de mal. Nous sommes en avance sur l’horaire indiqué.
-Merci Alain ! Ce serait très gentil de votre part.
Je quitte la route principale pour m’engager dans une route forestière. Au bout de deux cent mètres, après un coude, nous débouchons dans une clairière qu’occupe en son milieu l’énorme souche d’un chêne scié à l’horizontale comme une table.
Je coupe le contact, et saute sur le sol herbeux pour ouvrir la portière à ma passagère. Après m’avoir remerciée, elle marche quelque mètres et grimpe je ne sais pourquoi sur la souche haute d’une soixantaine de centimètres. Sous mon regard, debout, et sans aucune gêne elle glisse les mains sous sa jupe, baisse sa culotte, l’enlève et la jette devant elle. Puis elle se retrousse jusqu’à la taille et s’accroupit, le dos tourné vers la voiture.
Un puissant jet d’urine fuse de son ventre. Les dernières gouttes tombées, la voilà, elle continue de pousser. Mais à quoi joue-t-elle enfin !
Peu à peu un étron apparait au milieu de son cul, petite tête noire qui s’allonge lentement comme un gros boudin raide. Il est long. Ses joues rougissent sous l’effort, à en péter violemment.
- Alain, pardon ! Fait-elle.
-Mais… de quoi Madame ?
-D’être témoin d’une tell déchéance. Mais il m’était difficile de retarder l’échéance. Avez-vous des mouchoirs en papier sur vous ?
-Sur moi non, mais je vais fouiller la boite à gants.
Je fourrage à l’intérieur et y trouve un paquet. Ensuite, sans aucune gêne, je me dirige jusqu’à elle.
- Merci, me fit-elle en me prenant le paquet de ma main.
Elle me tourne le dos, se courbe vers l’avant en écartant les jambes. La main munie du mouchoir papier frotte le sillon maculé.
Après un deuxième, puis une troisième, elle me lance :
- Je me sens soulager à présent. Et cela grâce à vous, Alain. Cela vous ennuie de me donner ma culotte à vos pieds.
-pas le moins du monde Madame.
Alors que je me saisis de la culotte, moite au toucher, elle m’expose sans malaise, son estuaire à grande pilosité, à l’état sauvage, tout en plantant son regard au mien. Un vrai appel au viol ! Puis, je vois ses yeux descendent le long de mon pantalon, pour s’arrêter sur mon érection, une bosse oblongue bien visible à la vue à qui veut e voir. Sourire aux lèvres, elle laisse retomber sa jupe, saute de la souche et se dirige vers la voiture. Sans doute fière, du spectacle qu’elle m’a offert.
-En route à présent Alain voulez-vous, je vous es fait assez faire perdre de temps. Vous ne le pensez pas Alain ?
-C’était pour une bonne cause !
J’arrive sur le lieu avec un quart d’heure d’avance. Elle saute de la voiture, pas sans m’avoir souhaité bon courage pour l’attente.
Quelques heures plus tard, alors que nous sommes de retour, la voilà qu’elle remet cela.
- Je ne sais pas ce qu’il m’arrive aujourd’hui, mais il falloir, Alain, que vous trouver de nouveau un coin.
- Tout de suite Madame !
Quelques kilomètres plus loin, je coupe de nouveau le moteur dans un sentier. Comme elle l’a fait le matin, elle me tourne le dos remonte sa jupe haut sur la taille. Cette fois elle en coince l’ourlet dans sa ceinture pour libérer ses mains. Elle décolle la culotte que je reconnais étant la même que j’avais eu le loisir de toucher le matin. Elle lui est rentrée dans la raie des fesses. Pas sans mal elle la fait glisser le long de ses jambes et donne, cette fois-ci un coup de pied dedans. Prestement elle s’accroupit.
- Alain, apportez-moi des Kleenex ! Crie-t-elle en se tournant vers moi.
- J’ai anticipé la chose Madame.
Puis quand je suis près d’elle, la voilà qui lâche, sans me regarder :
- Essuyez-moi, Alain.
- Vous voulez vraiment que je vous…
- Mais oui, Alain, je sens que cela est loin de vous déplaire. Je me trompe ? Insiste-t-elle en se penchant en avant, jambes fléchies et bien écartées.
Je m’exécute.
- Plus vigoureux Alain ! N’aillez pas peur de me faire mal !
Pour ce faire, je m’accroche à sa hanche gauche et passe, et repasse le mouchoir sur son œillet.
- Voilà Madame, cela ira ?
- Je ne sais pas. C’est bien propre ?
- Oui, je pense.
- Bon, je vous fais confiance. Devant maintenant, fait-elle en se tournant pour me faire face.
Son regard accrochant la bosse que fait mon érection sous la toile de mon pantalon. La protubérance verticale qui me barre le ventre, et montre que la situation ne me laisse pas indifférent. Je sors un énième mouchoir du paquet, et alors que je m’apprête de m’exécuter, la voilà qui laisse tomber :
-Avec un mouchoir ?
-Oui Madame…
-Mais vous n’y pensez pas. Je vous croyez pourtant plus joueur que ça !
-C’est que Madame, je n’osais pas…
-Mais il faut osez, mon cher ami…
Docilement, je me place pour être à hauteur de son antre. Je la sens
se tendre à chaque attouchement. Ma bouche a comme toujours dans ses cas là, très envie de découvrir son intimité. Sa respiration est forte. Ma bouche se fait curieuse. Elle tressaille, sentant mon souffle puis ma langue humide glisser entre ses lèvres. L’odeur qui s’en dégager est comme je les aime. Forte. Je dirais même très forte. Envoûtante. Je décide de la faire monter dans le plaisir.
Je la regarde. Mes yeux descendent sur son ventre. Ma langue écarte tous ce qui la gêne pour atteindre la petite pointe déjà humide et érigée. J’entends des soupirs sortirent de sa bouche. Je la goûte et re-goûte, me délectant de son intimité.
Son corps ne lui appartient plus, et commence à onduler au rythme de mes coups de langues. Ses mains enserrent ma tête de peur sans doute, que je me retire. Pourtant c’est loin de mes pensées. Enfin, pas temps que son plaisir ne se soit déclaré. Ses soupirs deviennent gémissements.
Elle est gorgée de plaisir. Je décide d’augmenter son plaisir en incluant un, puis deux doigts en elle. Sa réaction est immédiate. Son plaisir décuplé monte à son apogée et, dans un cri étouffé, une marée au goût de coquillages envahisse ma bouche et graisse mes doigts. Je suis arrivé à la faire jouir !
Reprenant ses esprits, la voilà qui laisse tomber, brusquement :
- Cela suffit !
-Mais Madame, vous ne pouvez pas partir comme ça.
-Et pourquoi donc ?
-Mais votre cul.
Je l’installe à quatre pattes. J’empoigne les belles fesses, enfonçant mes pouces au milieu du petit trou brun, que j’écarte avec violence. C’était un instant délicieux ! Malgré l’odeur qui s’en dégagé.
Loin d’être rebuter, j’infiltre ma langue aussi loin qu’il état possible dans le petit puits entouré de poils noirs aromatisés. Pendant bien deux minutes, ma langue puissante lèche les bords de son cul resté entrebâillé depuis la séance de tout à l’heure. Ma langue pénètre aisément à l’intérieur. C’est un régal !
- Bon, cela suffit, fait-elle, en se redressant.
Dans un mouvement la jupe retombe sur ma tête.
Je me redresse.
-Eh bien Alain, je ne vous croyez bien si… enfin, si…
-Cochon ! Madame.
-Ce n’est pas le mot que j’aurai choisis, entre nous !
-C’est celui qui me vient.
-Comment peut-on faire ce genre de chose ? Me questionne-t-elle.
-Je ne sais quoi répondre à ça Madame. J’aime seulement donner du plaisir aux femmes. D’ailleurs regarder dans l’état que cela me mets ?
-Oui j’ai remarqué cela ce matin aussi.
Et là, la voilà qui déboucle la ceinture de mon pantalon. Le vêtement tombe, je me retrouve en slip. Que ma queue bandée déforme. Ses mains saisissent l’élastique de mon slip et le baissent en prenant soin de contourner par-dessus ma queue érigée.
- Et maintenant Alain, faites-moi plaisir, voulez-vous, branlez-vous !
Je ne me le fais pas dire une seconde fois. Je place ma queue dans ma paume et lentement la fais coulisser. Très vite sous les yeux ravis de ma voyeuse, j’accélère le rythme de ma branlette, et cela jusqu’à me mener à l’orgasme.
La semaine suivante la directrice eut besoin de nouveau de mes services. Mais cela, sera je pense sans doute, une suite à cette histoire…
D’ailleurs la voilà au loin, rappliquer, d’un pas rapide. Ce n’est pas la première fois que je la conduis. Elle est loin d’être la plus agréable des passagères que j’ai eu à conduire jusqu’à maintenant !
La voilà qu’elle ouvre la portière et prend place en faisant voler sa jupe légère sur ses cuisses nues. Comme à son habitude elle s’installe sur le siège avant. Ne supportant pas être assise sur la banquette arrière.
Avant de fermer la portière, elle installe son attaché-case entre ses jambes, sur le plancher. Je mets le contact et embraye, direction l’adresse communiqué quelques minutes plus tôt par ma régie.
Comme souvent dans ces pareils cas, et quand c’est possible, je laisse tomber mon regard sur ses genoux de mes passagères, qui ce jour-là sont haut découvert. Nous traversons maintenant les espaces déserts. Nerveuse, je l’aperçois regarder sa montre au poignée, puis lâcher :
- Serait-il possible Alain te trouver un coin tranquille pour un arrêt urgent. Je m’excuse, mais cela m’est venu d’un coup.
-Mais je vous en prie, il n’y a pas de mal. Nous sommes en avance sur l’horaire indiqué.
-Merci Alain ! Ce serait très gentil de votre part.
Je quitte la route principale pour m’engager dans une route forestière. Au bout de deux cent mètres, après un coude, nous débouchons dans une clairière qu’occupe en son milieu l’énorme souche d’un chêne scié à l’horizontale comme une table.
Je coupe le contact, et saute sur le sol herbeux pour ouvrir la portière à ma passagère. Après m’avoir remerciée, elle marche quelque mètres et grimpe je ne sais pourquoi sur la souche haute d’une soixantaine de centimètres. Sous mon regard, debout, et sans aucune gêne elle glisse les mains sous sa jupe, baisse sa culotte, l’enlève et la jette devant elle. Puis elle se retrousse jusqu’à la taille et s’accroupit, le dos tourné vers la voiture.
Un puissant jet d’urine fuse de son ventre. Les dernières gouttes tombées, la voilà, elle continue de pousser. Mais à quoi joue-t-elle enfin !
Peu à peu un étron apparait au milieu de son cul, petite tête noire qui s’allonge lentement comme un gros boudin raide. Il est long. Ses joues rougissent sous l’effort, à en péter violemment.
- Alain, pardon ! Fait-elle.
-Mais… de quoi Madame ?
-D’être témoin d’une tell déchéance. Mais il m’était difficile de retarder l’échéance. Avez-vous des mouchoirs en papier sur vous ?
-Sur moi non, mais je vais fouiller la boite à gants.
Je fourrage à l’intérieur et y trouve un paquet. Ensuite, sans aucune gêne, je me dirige jusqu’à elle.
- Merci, me fit-elle en me prenant le paquet de ma main.
Elle me tourne le dos, se courbe vers l’avant en écartant les jambes. La main munie du mouchoir papier frotte le sillon maculé.
Après un deuxième, puis une troisième, elle me lance :
- Je me sens soulager à présent. Et cela grâce à vous, Alain. Cela vous ennuie de me donner ma culotte à vos pieds.
-pas le moins du monde Madame.
Alors que je me saisis de la culotte, moite au toucher, elle m’expose sans malaise, son estuaire à grande pilosité, à l’état sauvage, tout en plantant son regard au mien. Un vrai appel au viol ! Puis, je vois ses yeux descendent le long de mon pantalon, pour s’arrêter sur mon érection, une bosse oblongue bien visible à la vue à qui veut e voir. Sourire aux lèvres, elle laisse retomber sa jupe, saute de la souche et se dirige vers la voiture. Sans doute fière, du spectacle qu’elle m’a offert.
-En route à présent Alain voulez-vous, je vous es fait assez faire perdre de temps. Vous ne le pensez pas Alain ?
-C’était pour une bonne cause !
J’arrive sur le lieu avec un quart d’heure d’avance. Elle saute de la voiture, pas sans m’avoir souhaité bon courage pour l’attente.
Quelques heures plus tard, alors que nous sommes de retour, la voilà qu’elle remet cela.
- Je ne sais pas ce qu’il m’arrive aujourd’hui, mais il falloir, Alain, que vous trouver de nouveau un coin.
- Tout de suite Madame !
Quelques kilomètres plus loin, je coupe de nouveau le moteur dans un sentier. Comme elle l’a fait le matin, elle me tourne le dos remonte sa jupe haut sur la taille. Cette fois elle en coince l’ourlet dans sa ceinture pour libérer ses mains. Elle décolle la culotte que je reconnais étant la même que j’avais eu le loisir de toucher le matin. Elle lui est rentrée dans la raie des fesses. Pas sans mal elle la fait glisser le long de ses jambes et donne, cette fois-ci un coup de pied dedans. Prestement elle s’accroupit.
- Alain, apportez-moi des Kleenex ! Crie-t-elle en se tournant vers moi.
- J’ai anticipé la chose Madame.
Puis quand je suis près d’elle, la voilà qui lâche, sans me regarder :
- Essuyez-moi, Alain.
- Vous voulez vraiment que je vous…
- Mais oui, Alain, je sens que cela est loin de vous déplaire. Je me trompe ? Insiste-t-elle en se penchant en avant, jambes fléchies et bien écartées.
Je m’exécute.
- Plus vigoureux Alain ! N’aillez pas peur de me faire mal !
Pour ce faire, je m’accroche à sa hanche gauche et passe, et repasse le mouchoir sur son œillet.
- Voilà Madame, cela ira ?
- Je ne sais pas. C’est bien propre ?
- Oui, je pense.
- Bon, je vous fais confiance. Devant maintenant, fait-elle en se tournant pour me faire face.
Son regard accrochant la bosse que fait mon érection sous la toile de mon pantalon. La protubérance verticale qui me barre le ventre, et montre que la situation ne me laisse pas indifférent. Je sors un énième mouchoir du paquet, et alors que je m’apprête de m’exécuter, la voilà qui laisse tomber :
-Avec un mouchoir ?
-Oui Madame…
-Mais vous n’y pensez pas. Je vous croyez pourtant plus joueur que ça !
-C’est que Madame, je n’osais pas…
-Mais il faut osez, mon cher ami…
Docilement, je me place pour être à hauteur de son antre. Je la sens
se tendre à chaque attouchement. Ma bouche a comme toujours dans ses cas là, très envie de découvrir son intimité. Sa respiration est forte. Ma bouche se fait curieuse. Elle tressaille, sentant mon souffle puis ma langue humide glisser entre ses lèvres. L’odeur qui s’en dégager est comme je les aime. Forte. Je dirais même très forte. Envoûtante. Je décide de la faire monter dans le plaisir.
Je la regarde. Mes yeux descendent sur son ventre. Ma langue écarte tous ce qui la gêne pour atteindre la petite pointe déjà humide et érigée. J’entends des soupirs sortirent de sa bouche. Je la goûte et re-goûte, me délectant de son intimité.
Son corps ne lui appartient plus, et commence à onduler au rythme de mes coups de langues. Ses mains enserrent ma tête de peur sans doute, que je me retire. Pourtant c’est loin de mes pensées. Enfin, pas temps que son plaisir ne se soit déclaré. Ses soupirs deviennent gémissements.
Elle est gorgée de plaisir. Je décide d’augmenter son plaisir en incluant un, puis deux doigts en elle. Sa réaction est immédiate. Son plaisir décuplé monte à son apogée et, dans un cri étouffé, une marée au goût de coquillages envahisse ma bouche et graisse mes doigts. Je suis arrivé à la faire jouir !
Reprenant ses esprits, la voilà qui laisse tomber, brusquement :
- Cela suffit !
-Mais Madame, vous ne pouvez pas partir comme ça.
-Et pourquoi donc ?
-Mais votre cul.
Je l’installe à quatre pattes. J’empoigne les belles fesses, enfonçant mes pouces au milieu du petit trou brun, que j’écarte avec violence. C’était un instant délicieux ! Malgré l’odeur qui s’en dégagé.
Loin d’être rebuter, j’infiltre ma langue aussi loin qu’il état possible dans le petit puits entouré de poils noirs aromatisés. Pendant bien deux minutes, ma langue puissante lèche les bords de son cul resté entrebâillé depuis la séance de tout à l’heure. Ma langue pénètre aisément à l’intérieur. C’est un régal !
- Bon, cela suffit, fait-elle, en se redressant.
Dans un mouvement la jupe retombe sur ma tête.
Je me redresse.
-Eh bien Alain, je ne vous croyez bien si… enfin, si…
-Cochon ! Madame.
-Ce n’est pas le mot que j’aurai choisis, entre nous !
-C’est celui qui me vient.
-Comment peut-on faire ce genre de chose ? Me questionne-t-elle.
-Je ne sais quoi répondre à ça Madame. J’aime seulement donner du plaisir aux femmes. D’ailleurs regarder dans l’état que cela me mets ?
-Oui j’ai remarqué cela ce matin aussi.
Et là, la voilà qui déboucle la ceinture de mon pantalon. Le vêtement tombe, je me retrouve en slip. Que ma queue bandée déforme. Ses mains saisissent l’élastique de mon slip et le baissent en prenant soin de contourner par-dessus ma queue érigée.
- Et maintenant Alain, faites-moi plaisir, voulez-vous, branlez-vous !
Je ne me le fais pas dire une seconde fois. Je place ma queue dans ma paume et lentement la fais coulisser. Très vite sous les yeux ravis de ma voyeuse, j’accélère le rythme de ma branlette, et cela jusqu’à me mener à l’orgasme.
La semaine suivante la directrice eut besoin de nouveau de mes services. Mais cela, sera je pense sans doute, une suite à cette histoire…
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Histoire sympa et originale.
Je pensais que la dame t'aurait fait une pipe.
Sans doute la prochaine fois !
Je pensais que la dame t'aurait fait une pipe.
Sans doute la prochaine fois !
C'est bien mais sans plus je note a 7.5 sans plus
j'aime bien cette histoire! asser bandante, je pensais qu'elle t'aurait fait une bonne pipe ;) mais c'est peut etre pour la suite ;)
Fred
Fred