Surprise en couleur
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Couleur du fond :
Surprise en couleur
J'ai la tête dans les nuages? en ce début de soirée.
J'envoie des baisers de la main, à Corinne qui s'éloigne dans le bus.
J'ai envie de prendre mon temps, avant de rentrer chez moi.
Donc, pourquoi pas aller prendre un verre sur le port ?
Je commande une boisson alcoolisée, que je sirote très lentement, pour le plaisir.
Après une bonne heure, je suis attiré par la présence d'un homme de couleur immense, à quelques sièges, derrière moi.
Il me semble le reconnaitre, mais j'ai peur de me tromper !
Je me rends aux toilettes, puis au retour, il m'interpelle:
"On se connait pas tous les deux ? Tu t'appelles pas Pascal ?".
"Oui ! Toi, c'est Aimé ! C'est ça ?".
Une énorme gêne nous envahit, on a été amants, mais l'endroit nous impose une grande discrétion.
Notre trouble trahit que nous sommes excités tous les deux.
"Oui, Putain ! En arrivant à Toulon, j'ai tout de suite pensé à toi ! C'est énorme qu'on se croise !".
"Euh, c'est bizarre, en effet !".
"Assieds toi avec moi ! Qu'est ce que tu bois ?".
Je vais prendre mon verre sur ma table, et lui dit que je m'arrête là.
Il est le premier à aborder le sujet du sexe:
Il sent mon trouble, et capte tous mes regards furtifs, sur la bosse que fait sa verge, entre ses jambes:
"Détends-toi ! Ca va pas ?".
"Désolé ! Tu m'impressionnes toujours autant ! Je crois !".
Il se caresse la verge discrètement.
"T'es aussi mignon qu'avant ! Tu sais ! Tu as toujours ton appartement ? Ce serait bien qu'on s'amuse tous les deux ! T'as pas envie ?".
"Si, je pourrai jamais te dire non ! Tu le sais ! C'est trop bien avec toi !".
Il faut préciser que dix ans auparavant, Aimé à été mon premier amant black Africain, et je lui trouve encore tous les atouts, pour me faire fondre d'envie de soumission.
"Bon, je termine mon verre et tu m'emmènes ?".
Ce type pourrait avoir toutes les filles blanches qu'il veut, et il a envie de moi, je me sens chanceux !
Sur le trajet, il me parle de mon premier amant, le lieutenant, qui est à la retraite, à présent.
En marchant, j'essaie de me remémorer la taille de ce pénis noir, qui me donnait tant de bonheur anal.
Il se touche d'ailleurs en m'accompagnant, il est aussi excité que moi !
"Putain ! Ton cul m'excites toujours autant !".
"Sois patient, on arrive ! Moi aussi, j'ai envie !".
Il me pousse contre le mur d'entrée, en entrant dans mon appartement.
Ses lèvres charnues couvrent les miennes.
Il me soulève en m'enlaçant.
"Putain, mon p'tit Pascal ! Ca me fait trop plaisir d'être chez toi ! Je veux ta chatte ! Il faut que je jouisse dans ton cul !".
Il me pose, j'en profite pour défaire mon pantalon, et dégrafer sa braguette, en même temps.
Il dégage son torse foncé, et attire ma bouche sur ses tétons.
Les bruits de vêtements qui glissent et tombent au sol m'excitent.
Les miens suivent, pendant que je m'occupe de lui lécher le ventre.
Puis, il me dirige vers sa magnifique verge énorme.
"J'avais oublié comme elle était belle !".
"Elle te plait toujours ?".
"Encore plus qu'avant !".
Je prend mon temps, ma langue caresse chaque centimètre de sa longue bite brune, gonflée d'envie.
"Orhhhhhh ! Pascal ! C'est encore meilleur que dans mes souvenirs ! Qu'est-ce que tu suces bien !".
"Je suis amoureux de ta queue ! Aimé ! Je la voudrais tout le temps dans ma bouche !".
Je commence à le pomper avec plus de profondeur, et de vice, il m'accompagne en me baisant en gorge profonde.
On alterne les caresses buccales, tantôt vicieuses, ou tantôt tendres et sensuelles.
Il me soulève encore, j'entoure sa taille de mes cuisses.
Il m'écartèle les fesses avec ses mains, je me sens si léger dans ses bras.
Je rempli ma main de salive et m'enduis l'anus.
Nos regards se trouvent dans un sourire complice.
Son gros gland commence à m'écarteler l'œillet anal.
Lentement, sa protubérance trouve son chemin dans mes entrailles.
Je gémis dans sa bouche, sa verge commence à me combler analement.
Mon corps descend inexorablement sur sa bite noire.
Je pousse un énorme râle, son gros gland glisse lentement en moi, il force dans mon tréfond.
"Ouvres toi, encore, je veux m'enfoncer jusqu'au bout, comme avant !".
J'ondule du bassin, puis je reconnais l'angle idéal qui va me faire m'empaler sur lui, jusqu'aux couilles.
"Arghhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Aimé ! Ca y est ! Arghhhhhhhhhhhhh !".
"Putain, c'est trop bon, si tu savais comme ton p'tit cul m'a manqué ! Orhhhhhhhhh !".
Il entame sa destruction anale, sans avoir l'air de forcer, il soulève mon corps avec tant de facilité !
Mais chaque retour de mon cul sur sa grosse verge, me fait crier sans retenue.
Il m'encule comme une poupée fragile, en m'offrant des orgasmes successifs, c'est un jeu pour lui !
Ensuite, il me pose sur ma table de cuisine et reprend sa défonce anale.
Il s'accroche à mes cuisses allongées, posées contre son torse.
Inexorablement, mon sexe subit ses allers retours, en sollicitant ma prostate.
Il écarte mes jambes pour admirer sa bite qui s'enfonce en moi, et la mienne qui bande.
Il me fait part de son contentement, lorsque j'éjacule tout mon jus chaud et gluant sur mon ventre.
"Ouais ! Ca, ça me plait ! J'adore te faire gicler ton foutre ! C'est bon ?".
"Arghhhhhhh ! Arghhhhhhh ! Arghhhhhhh ! Oui ! Tu m'encules trop bien ! Encore ! Fais moi tout ce que tu veux !".
"Hummmm ! T'es toujours aussi salope ! J'adore ça !".
Il me tourne sur le ventre et me lime l'anus sans discontinuer.
Je ne peux retenir un vidage de vessie continu, pendant qu'il m'encule toujours aussi profondément.
Il aime ce moment, on le vivait toujours, quand on s'est connu !
Il gagne en vigueur et m'encule en déplaçant la table à chaque assaut, puis se déverse longuement en criant qu'il aime ma "chatte".
"Arhhhhhhhh ! Pascal ! J'en avais trop envie, Putain ! Arghhhhhhhhhhhh ! C'est booonnnnn !".
De mon coté, l'amoncellement de sperme dans mon anus, me rend dingue d'excitation, malgré l'épuisement sexuel que je vis.
Il met une éternité à se retirer de "ma chatte", lui comme moi, on aime le plaisir de cette pénétration profonde.
J'ai un sentiment de vide anal énorme, quand il sort.
Je devine son foutre qui dégouline hors de moi, mais je me fous des conséquences, j'ai trop bien joui ! C'est pervers, et j'aime ça !
Il me prend par la main, et m'entraine sur mon lit.
Il guide mon visage vers sa verge luisante de jus anal et de sperme.
Je lui rend tout le plaisir qu'il m'a donné analement, avec ma bouche.
Il me dit des mots gentils et tendres, mais pervers aussi.
On se cale, l'un contre l'autre, ensuite, on est bien !
"Je peux dormir ici ? J'aimerai bien recommencer ! Si ça te dit !".
"Bien sur ! Je veux profiter de toi, moi aussi ! Même si j'avais pas particulièrement envie de me faire baiser !".
"Justement ! C'était aussi bon qu'avant ! J'adore baiser avec toi ! Pascal !".
"Moi aussi ! Même si j'avais oublié à quel point, elle est grosse et longue ! Mais c'est tellement bon, quand tu m'encules ! Tu me vides, mais je m'en fous !".
"Tu as changé des trucs dans l'appart !".
"Oui, c'est récent ! J'ai envie de me faire plaisir avec toi ! D'ailleurs !".
Je me lève et lui montre que j'ai un miroir collé à une porte d'armoire, en l'ouvrant, face à nous.
"On s'amuse un peu avec ma copine, mais j'aime surtout me voir avec des mecs !".
"Dès que je bande, on s'en sert !".
"Hummm ! J'ai bien fait de demander, alors !".
"Hummm ! Moi aussi, j'aime bien voir ! Surtout avec toi, ton p'tit cul sur ma grosse bite ! Ca va être excitant à voir !".
Je me fourni en papier essuie-tout pour me nettoyer les fesses, puis le rejoint dans mon lit, l'anus béant, mais propre !
Je retrouve cette sensation bizarre et excitante.
Me blottir contre son corps d'ébène immense, me trouble énormément.
Ses mains qui me caressent parfois me font tressaillir de plaisir.
On décide de stopper nos caresses pour nous nourrir à l'extérieur.
Le choix d'un sandwich fait l'affaire, on veut vite rentrer pour reprendre nos ébats.
Au retour, il me place à genoux devant sa bite, face au miroir.
Nous sommes nus déjà, et j'avoue que mon visage empalé sur sa grosse verge noire me rend dingue.
Il me domine en me parlant:
"Ouais, comme ça ! Fais moi bien bander ! Il faut qu'elle soit bien dure pour ton p'tit cul ! Je la mettrais bien profond dans ta chatte ! Tu la veux ?".
"Oh ! Oui ! Je la veux encore ! Que tu me casses le cul comme une salope, encore !".
"Hummm ! J'adore m'amuser avec toi ! Tu m'excites !".
Je me laisse guider, je lui offre ma gorge, il me défonce à sa guise, en me faisant saliver comme jamais.
Puis, il me demande de me mettre dos au miroir, avec les fesses en l'air.
Je le sens me pénétrer, dans un déchirement anal délicieux.
Son énorme bite coulisse rapidement en moi, grâce à ma propre salive et à nos récentes sodomies.
Il me transperce toujours profondément en se tournant pour admirer la saillie extrême qu'il me fait subir.
"Putain, c'est trop beau à voir ! Tu la prends bien, tu sais !".
Je dégouline déjà de l'anus, je prend un nouvel orgasme.
"Arhhhhhhhhh ! Salaud ! Moi aussi, je veux voir ! Arhhhhhhhhh !".
"Tout à l'heure ! Laisses moi me régaler d'abord !".
Je me cambre pour m'offrir à lui, j'ai envie de lui dire que je l'aime, tant je suis accroc à sa verge qui me défonce.
Je vis mon moment de bonheur sexuel en criant, il s'en excite et se déchaine sans perdre son contrôle.
Il me baise comme un dieu.
Puis, il me fait vider encore ma vessie, surement des restes, mais je sais que je n'éjaculerai plus de sperme, sans me toucher.
Après quelques montées de plaisir anal, il me demande de m'empaler sur lui, sur le lit.
"Mets toi bien ! Tu dois tout voir, toi aussi !".
Je me perche au dessus de sa verge noire.
"Mets là moi, dans la chatte ! Je veux regarder comment, elle s'enfonce en moi !".
Il trouve vite mon anus béant, je me laisse descendre lentement sur lui.
Le spectacle est magnifique, moi même, je suis étonné de recevoir toute sa longueur en moi.
Le plaisir est immense quand je touche son ventre et que je sens son énorme gland qui fouille au fond de mes entrailles.
"Arghhhhhhhhhh ! Putain ! Aimé ! C'est toujours aussi bon !".
Il me répond en me possédant encore et encore.
La vue de mon jus anal autour de sa verge foncée, et coulant entre ses fesses, me rend dingue.
Parfois, je prends la direction de la baise en me défonçant comme une salope, sur lui.
Je suis excité comme jamais, je me masturbe en m'enculant.
Il prend la suite, pendant que je soulève mon cul, en orgasmant encore.
Je parviens enfin à l'érection, ensuite, dès que je suis au bord de l'explosion, je le laisse m'enculer à fond.
Je me vide alors sur mon ventre, en admirant la scène dans la glace.
Puis, on a assez joué ! Je me tourne face à lui, et lui recouvre encore la verge, avec ma chatte béante.
Je me donne, il me possède, nos râles s'entremêlent.
Parfois, on se regarde encore dans le miroir.
Il me prévient de son plaisir montant.
"J'veux remplir ta p'tite gueule ! Vite donnes moi ta bouche !".
Je réagis vite et lui recouvre la verge, de ma gorge.
Il se déverse en criant son bonheur, il me remplit de joie et de foutre brulant à la fois.
Je gémis en avalant, il aime autant ce moment que moi.
"Hummm ! Gllllrp ! J'adore t'avaler ! Aimé ! J'aime ton foutre ! Mmmmmmm ! Gllllllllrp !".
"Orhhhhhhhh ! Oui, avales tout ! Putain, j'ai adoré baiser ta chatte encore !".
"Mmmm ! Glllrp ! Tu m'as cassé le cul, mais c'est comme ça que j'aime baiser avec toi !".
Il m'impose de lui lécher longuement la bite.
Je ne demande pas mieux !
J'ai ses doigts enfoncés dans l'anus, en lui lavant la verge, j'aime sa possession !
Il me parle vulgairement et tendrement, à la fois.
Ensuite, on s'arrête peu à peu, et discutons en écoutant de la musique.
On recommence avec une très longue fellation, qui devient frénétique à la fin.
Je fatigue un peu en lui pompant la verge, il a du mal à jouir !
"Tu veux arrêter Aimé ? T'es pas obligé de jouir !".
"Non, je veux jouir ! Mais je crois que tu vas devoir me donner ta chatte encore !".
Je lui offre mon anus jusqu'à son éjaculation, et l'accompagne dans son sommeil ensuite.
Je suis réveillé par une gêne anale en pleine nuit.
Je me lève pour m'en débarrasser, j'ai rejeté une dose énorme de jus anal gluant.
A mon retour, j'admire son corps nu, à la lueur de la presque, pleine lune.
Sa verge est tendue à l'extrême, elle me fait envie, mais je résiste à la tentation.
Mon cul à besoin de se remettre !
Lorsque je m'allonge contre lui, il passe son bras pour m'attirer vers son torse.
"T'étais ou?".
"J'étais aux toilettes ! Tu m'as trop défoncé, hier soir ! J'ai le cul tout chamboulé, encore !".
"Hummm ! Si on recommençait ? Tu veux pas ?".
Il dirige sa verge entre mes fesses, puis dépose sa salive et revient contre mon anus.
Il s'insère lentement, puis, glisse aisément grâce à mes sécrétions.
"Arghhhhhhhhhhh ! Aimé ! Orhhhhhhhh ! Putain ! Tu t'arrêtes jamais ?".
"Regardes, ça rentre tout seul ! Toi aussi, t'en as envie !".
Je me mords le bras pendant qu'il s'affaire en moi, sur le coté, me tenant par la hanche droite.
"Arhhhhhhhhh ! Putain ! Aimé, j'en peux plus ! Tu me tues ! Arhhhhhhhhh !".
"T'aimes ça, pas vrai ?".
"Mmmmmm ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !".
Par chance, il est un peu moins endurant que la veille, ou il se laisse mieux aller, je sais pas !
Mais sa jouissance est une nouvelle récompense pour moi.
On reste collés ensuite, pour retrouver notre sommeil.
Le matin, j'ai du mal à ouvrir les yeux, j'ai du sperme séché sur l'anus.
Aimé est déjà dans la cuisine, sirotant son café.
Il me voit passer nu devant lui, pour encore, me soulager au WC.
J'en profite pour me doucher et me faire un lavement anal.
Je le rejoins, mon café est servi.
"T'as bien dormi mon p'tit Pascal ?".
"A part ce que tu m'as mis ! Ca peut aller ! C'est mon cul qui a pris cher ! Putain ! T'es jamais fatigué ?".
"Je profite tant que je t'ai ! Si je vivais ici, je te baiserai tous les jours !".
"Tant que ça ? Donc, tu aimes que les hommes ?".
"Oui !".
"Ok, c'est pour ça alors !".
"Ca te déranges pas que je sois bi !".
"Non, au contraire ! Je sais que tu pourras pas baiser ta meuf, après ce que je vais encore te mettre !".
"Encore !".
Il m'a remit ça, face au miroir, et il a eu raison, j'ai pas pu baiser ma copine, cet après midi là !
Je ne regrette rien, sauf de ne l'avoir jamais revu !
J'envoie des baisers de la main, à Corinne qui s'éloigne dans le bus.
J'ai envie de prendre mon temps, avant de rentrer chez moi.
Donc, pourquoi pas aller prendre un verre sur le port ?
Je commande une boisson alcoolisée, que je sirote très lentement, pour le plaisir.
Après une bonne heure, je suis attiré par la présence d'un homme de couleur immense, à quelques sièges, derrière moi.
Il me semble le reconnaitre, mais j'ai peur de me tromper !
Je me rends aux toilettes, puis au retour, il m'interpelle:
"On se connait pas tous les deux ? Tu t'appelles pas Pascal ?".
"Oui ! Toi, c'est Aimé ! C'est ça ?".
Une énorme gêne nous envahit, on a été amants, mais l'endroit nous impose une grande discrétion.
Notre trouble trahit que nous sommes excités tous les deux.
"Oui, Putain ! En arrivant à Toulon, j'ai tout de suite pensé à toi ! C'est énorme qu'on se croise !".
"Euh, c'est bizarre, en effet !".
"Assieds toi avec moi ! Qu'est ce que tu bois ?".
Je vais prendre mon verre sur ma table, et lui dit que je m'arrête là.
Il est le premier à aborder le sujet du sexe:
Il sent mon trouble, et capte tous mes regards furtifs, sur la bosse que fait sa verge, entre ses jambes:
"Détends-toi ! Ca va pas ?".
"Désolé ! Tu m'impressionnes toujours autant ! Je crois !".
Il se caresse la verge discrètement.
"T'es aussi mignon qu'avant ! Tu sais ! Tu as toujours ton appartement ? Ce serait bien qu'on s'amuse tous les deux ! T'as pas envie ?".
"Si, je pourrai jamais te dire non ! Tu le sais ! C'est trop bien avec toi !".
Il faut préciser que dix ans auparavant, Aimé à été mon premier amant black Africain, et je lui trouve encore tous les atouts, pour me faire fondre d'envie de soumission.
"Bon, je termine mon verre et tu m'emmènes ?".
Ce type pourrait avoir toutes les filles blanches qu'il veut, et il a envie de moi, je me sens chanceux !
Sur le trajet, il me parle de mon premier amant, le lieutenant, qui est à la retraite, à présent.
En marchant, j'essaie de me remémorer la taille de ce pénis noir, qui me donnait tant de bonheur anal.
Il se touche d'ailleurs en m'accompagnant, il est aussi excité que moi !
"Putain ! Ton cul m'excites toujours autant !".
"Sois patient, on arrive ! Moi aussi, j'ai envie !".
Il me pousse contre le mur d'entrée, en entrant dans mon appartement.
Ses lèvres charnues couvrent les miennes.
Il me soulève en m'enlaçant.
"Putain, mon p'tit Pascal ! Ca me fait trop plaisir d'être chez toi ! Je veux ta chatte ! Il faut que je jouisse dans ton cul !".
Il me pose, j'en profite pour défaire mon pantalon, et dégrafer sa braguette, en même temps.
Il dégage son torse foncé, et attire ma bouche sur ses tétons.
Les bruits de vêtements qui glissent et tombent au sol m'excitent.
Les miens suivent, pendant que je m'occupe de lui lécher le ventre.
Puis, il me dirige vers sa magnifique verge énorme.
"J'avais oublié comme elle était belle !".
"Elle te plait toujours ?".
"Encore plus qu'avant !".
Je prend mon temps, ma langue caresse chaque centimètre de sa longue bite brune, gonflée d'envie.
"Orhhhhhh ! Pascal ! C'est encore meilleur que dans mes souvenirs ! Qu'est-ce que tu suces bien !".
"Je suis amoureux de ta queue ! Aimé ! Je la voudrais tout le temps dans ma bouche !".
Je commence à le pomper avec plus de profondeur, et de vice, il m'accompagne en me baisant en gorge profonde.
On alterne les caresses buccales, tantôt vicieuses, ou tantôt tendres et sensuelles.
Il me soulève encore, j'entoure sa taille de mes cuisses.
Il m'écartèle les fesses avec ses mains, je me sens si léger dans ses bras.
Je rempli ma main de salive et m'enduis l'anus.
Nos regards se trouvent dans un sourire complice.
Son gros gland commence à m'écarteler l'œillet anal.
Lentement, sa protubérance trouve son chemin dans mes entrailles.
Je gémis dans sa bouche, sa verge commence à me combler analement.
Mon corps descend inexorablement sur sa bite noire.
Je pousse un énorme râle, son gros gland glisse lentement en moi, il force dans mon tréfond.
"Ouvres toi, encore, je veux m'enfoncer jusqu'au bout, comme avant !".
J'ondule du bassin, puis je reconnais l'angle idéal qui va me faire m'empaler sur lui, jusqu'aux couilles.
"Arghhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Aimé ! Ca y est ! Arghhhhhhhhhhhhh !".
"Putain, c'est trop bon, si tu savais comme ton p'tit cul m'a manqué ! Orhhhhhhhhh !".
Il entame sa destruction anale, sans avoir l'air de forcer, il soulève mon corps avec tant de facilité !
Mais chaque retour de mon cul sur sa grosse verge, me fait crier sans retenue.
Il m'encule comme une poupée fragile, en m'offrant des orgasmes successifs, c'est un jeu pour lui !
Ensuite, il me pose sur ma table de cuisine et reprend sa défonce anale.
Il s'accroche à mes cuisses allongées, posées contre son torse.
Inexorablement, mon sexe subit ses allers retours, en sollicitant ma prostate.
Il écarte mes jambes pour admirer sa bite qui s'enfonce en moi, et la mienne qui bande.
Il me fait part de son contentement, lorsque j'éjacule tout mon jus chaud et gluant sur mon ventre.
"Ouais ! Ca, ça me plait ! J'adore te faire gicler ton foutre ! C'est bon ?".
"Arghhhhhhh ! Arghhhhhhh ! Arghhhhhhh ! Oui ! Tu m'encules trop bien ! Encore ! Fais moi tout ce que tu veux !".
"Hummmm ! T'es toujours aussi salope ! J'adore ça !".
Il me tourne sur le ventre et me lime l'anus sans discontinuer.
Je ne peux retenir un vidage de vessie continu, pendant qu'il m'encule toujours aussi profondément.
Il aime ce moment, on le vivait toujours, quand on s'est connu !
Il gagne en vigueur et m'encule en déplaçant la table à chaque assaut, puis se déverse longuement en criant qu'il aime ma "chatte".
"Arhhhhhhhh ! Pascal ! J'en avais trop envie, Putain ! Arghhhhhhhhhhhh ! C'est booonnnnn !".
De mon coté, l'amoncellement de sperme dans mon anus, me rend dingue d'excitation, malgré l'épuisement sexuel que je vis.
Il met une éternité à se retirer de "ma chatte", lui comme moi, on aime le plaisir de cette pénétration profonde.
J'ai un sentiment de vide anal énorme, quand il sort.
Je devine son foutre qui dégouline hors de moi, mais je me fous des conséquences, j'ai trop bien joui ! C'est pervers, et j'aime ça !
Il me prend par la main, et m'entraine sur mon lit.
Il guide mon visage vers sa verge luisante de jus anal et de sperme.
Je lui rend tout le plaisir qu'il m'a donné analement, avec ma bouche.
Il me dit des mots gentils et tendres, mais pervers aussi.
On se cale, l'un contre l'autre, ensuite, on est bien !
"Je peux dormir ici ? J'aimerai bien recommencer ! Si ça te dit !".
"Bien sur ! Je veux profiter de toi, moi aussi ! Même si j'avais pas particulièrement envie de me faire baiser !".
"Justement ! C'était aussi bon qu'avant ! J'adore baiser avec toi ! Pascal !".
"Moi aussi ! Même si j'avais oublié à quel point, elle est grosse et longue ! Mais c'est tellement bon, quand tu m'encules ! Tu me vides, mais je m'en fous !".
"Tu as changé des trucs dans l'appart !".
"Oui, c'est récent ! J'ai envie de me faire plaisir avec toi ! D'ailleurs !".
Je me lève et lui montre que j'ai un miroir collé à une porte d'armoire, en l'ouvrant, face à nous.
"On s'amuse un peu avec ma copine, mais j'aime surtout me voir avec des mecs !".
"Dès que je bande, on s'en sert !".
"Hummm ! J'ai bien fait de demander, alors !".
"Hummm ! Moi aussi, j'aime bien voir ! Surtout avec toi, ton p'tit cul sur ma grosse bite ! Ca va être excitant à voir !".
Je me fourni en papier essuie-tout pour me nettoyer les fesses, puis le rejoint dans mon lit, l'anus béant, mais propre !
Je retrouve cette sensation bizarre et excitante.
Me blottir contre son corps d'ébène immense, me trouble énormément.
Ses mains qui me caressent parfois me font tressaillir de plaisir.
On décide de stopper nos caresses pour nous nourrir à l'extérieur.
Le choix d'un sandwich fait l'affaire, on veut vite rentrer pour reprendre nos ébats.
Au retour, il me place à genoux devant sa bite, face au miroir.
Nous sommes nus déjà, et j'avoue que mon visage empalé sur sa grosse verge noire me rend dingue.
Il me domine en me parlant:
"Ouais, comme ça ! Fais moi bien bander ! Il faut qu'elle soit bien dure pour ton p'tit cul ! Je la mettrais bien profond dans ta chatte ! Tu la veux ?".
"Oh ! Oui ! Je la veux encore ! Que tu me casses le cul comme une salope, encore !".
"Hummm ! J'adore m'amuser avec toi ! Tu m'excites !".
Je me laisse guider, je lui offre ma gorge, il me défonce à sa guise, en me faisant saliver comme jamais.
Puis, il me demande de me mettre dos au miroir, avec les fesses en l'air.
Je le sens me pénétrer, dans un déchirement anal délicieux.
Son énorme bite coulisse rapidement en moi, grâce à ma propre salive et à nos récentes sodomies.
Il me transperce toujours profondément en se tournant pour admirer la saillie extrême qu'il me fait subir.
"Putain, c'est trop beau à voir ! Tu la prends bien, tu sais !".
Je dégouline déjà de l'anus, je prend un nouvel orgasme.
"Arhhhhhhhhh ! Salaud ! Moi aussi, je veux voir ! Arhhhhhhhhh !".
"Tout à l'heure ! Laisses moi me régaler d'abord !".
Je me cambre pour m'offrir à lui, j'ai envie de lui dire que je l'aime, tant je suis accroc à sa verge qui me défonce.
Je vis mon moment de bonheur sexuel en criant, il s'en excite et se déchaine sans perdre son contrôle.
Il me baise comme un dieu.
Puis, il me fait vider encore ma vessie, surement des restes, mais je sais que je n'éjaculerai plus de sperme, sans me toucher.
Après quelques montées de plaisir anal, il me demande de m'empaler sur lui, sur le lit.
"Mets toi bien ! Tu dois tout voir, toi aussi !".
Je me perche au dessus de sa verge noire.
"Mets là moi, dans la chatte ! Je veux regarder comment, elle s'enfonce en moi !".
Il trouve vite mon anus béant, je me laisse descendre lentement sur lui.
Le spectacle est magnifique, moi même, je suis étonné de recevoir toute sa longueur en moi.
Le plaisir est immense quand je touche son ventre et que je sens son énorme gland qui fouille au fond de mes entrailles.
"Arghhhhhhhhhh ! Putain ! Aimé ! C'est toujours aussi bon !".
Il me répond en me possédant encore et encore.
La vue de mon jus anal autour de sa verge foncée, et coulant entre ses fesses, me rend dingue.
Parfois, je prends la direction de la baise en me défonçant comme une salope, sur lui.
Je suis excité comme jamais, je me masturbe en m'enculant.
Il prend la suite, pendant que je soulève mon cul, en orgasmant encore.
Je parviens enfin à l'érection, ensuite, dès que je suis au bord de l'explosion, je le laisse m'enculer à fond.
Je me vide alors sur mon ventre, en admirant la scène dans la glace.
Puis, on a assez joué ! Je me tourne face à lui, et lui recouvre encore la verge, avec ma chatte béante.
Je me donne, il me possède, nos râles s'entremêlent.
Parfois, on se regarde encore dans le miroir.
Il me prévient de son plaisir montant.
"J'veux remplir ta p'tite gueule ! Vite donnes moi ta bouche !".
Je réagis vite et lui recouvre la verge, de ma gorge.
Il se déverse en criant son bonheur, il me remplit de joie et de foutre brulant à la fois.
Je gémis en avalant, il aime autant ce moment que moi.
"Hummm ! Gllllrp ! J'adore t'avaler ! Aimé ! J'aime ton foutre ! Mmmmmmm ! Gllllllllrp !".
"Orhhhhhhhh ! Oui, avales tout ! Putain, j'ai adoré baiser ta chatte encore !".
"Mmmm ! Glllrp ! Tu m'as cassé le cul, mais c'est comme ça que j'aime baiser avec toi !".
Il m'impose de lui lécher longuement la bite.
Je ne demande pas mieux !
J'ai ses doigts enfoncés dans l'anus, en lui lavant la verge, j'aime sa possession !
Il me parle vulgairement et tendrement, à la fois.
Ensuite, on s'arrête peu à peu, et discutons en écoutant de la musique.
On recommence avec une très longue fellation, qui devient frénétique à la fin.
Je fatigue un peu en lui pompant la verge, il a du mal à jouir !
"Tu veux arrêter Aimé ? T'es pas obligé de jouir !".
"Non, je veux jouir ! Mais je crois que tu vas devoir me donner ta chatte encore !".
Je lui offre mon anus jusqu'à son éjaculation, et l'accompagne dans son sommeil ensuite.
Je suis réveillé par une gêne anale en pleine nuit.
Je me lève pour m'en débarrasser, j'ai rejeté une dose énorme de jus anal gluant.
A mon retour, j'admire son corps nu, à la lueur de la presque, pleine lune.
Sa verge est tendue à l'extrême, elle me fait envie, mais je résiste à la tentation.
Mon cul à besoin de se remettre !
Lorsque je m'allonge contre lui, il passe son bras pour m'attirer vers son torse.
"T'étais ou?".
"J'étais aux toilettes ! Tu m'as trop défoncé, hier soir ! J'ai le cul tout chamboulé, encore !".
"Hummm ! Si on recommençait ? Tu veux pas ?".
Il dirige sa verge entre mes fesses, puis dépose sa salive et revient contre mon anus.
Il s'insère lentement, puis, glisse aisément grâce à mes sécrétions.
"Arghhhhhhhhhhh ! Aimé ! Orhhhhhhhh ! Putain ! Tu t'arrêtes jamais ?".
"Regardes, ça rentre tout seul ! Toi aussi, t'en as envie !".
Je me mords le bras pendant qu'il s'affaire en moi, sur le coté, me tenant par la hanche droite.
"Arhhhhhhhhh ! Putain ! Aimé, j'en peux plus ! Tu me tues ! Arhhhhhhhhh !".
"T'aimes ça, pas vrai ?".
"Mmmmmm ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !".
Par chance, il est un peu moins endurant que la veille, ou il se laisse mieux aller, je sais pas !
Mais sa jouissance est une nouvelle récompense pour moi.
On reste collés ensuite, pour retrouver notre sommeil.
Le matin, j'ai du mal à ouvrir les yeux, j'ai du sperme séché sur l'anus.
Aimé est déjà dans la cuisine, sirotant son café.
Il me voit passer nu devant lui, pour encore, me soulager au WC.
J'en profite pour me doucher et me faire un lavement anal.
Je le rejoins, mon café est servi.
"T'as bien dormi mon p'tit Pascal ?".
"A part ce que tu m'as mis ! Ca peut aller ! C'est mon cul qui a pris cher ! Putain ! T'es jamais fatigué ?".
"Je profite tant que je t'ai ! Si je vivais ici, je te baiserai tous les jours !".
"Tant que ça ? Donc, tu aimes que les hommes ?".
"Oui !".
"Ok, c'est pour ça alors !".
"Ca te déranges pas que je sois bi !".
"Non, au contraire ! Je sais que tu pourras pas baiser ta meuf, après ce que je vais encore te mettre !".
"Encore !".
Il m'a remit ça, face au miroir, et il a eu raison, j'ai pas pu baiser ma copine, cet après midi là !
Je ne regrette rien, sauf de ne l'avoir jamais revu !
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