TEL EST PRIS QUI CROYAIT PRENDRE - histoire érotique

N'est-ce pas pathétique? Un homme autorisant un collègue à courtiser et séduire sa jeune femme sexy, en sa présence. Le mari n'autorise pas seulement son compère à lutiner sa jeune femme, il lui facilite la tâche. Il a aidé le galant dans son entreprise de séduction. D'abord, il l'a choisi pour ses capacités à séduire les jeunes femmes innocentes. Ensuite, il l'a introduit dans l'intimité de son foyer. Enfin, il a poussé sa jeune épouse dans les griffes du bellâtre. Il observe maintenant sa jeune femme sexy et timide perdre sa dignité, sa pudeur, et se dévergonder sous les assauts du gaillard.
Marc est attiré par la femme de Willy depuis le jour de leur mariage, quand pour la première fois il a vu cette jeune beauté appétissante. Ses longs cheveux blonds s'échappaient en cascade au-delà de ses épaules nues. Son visage magnifiquement maquillé était rehaussé par les lèvres rouge cerise de Line. Ses lèvres pleines semblaient ne pas se toucher complètement, donnant ainsi à la jeune mariée l'apparence d'une moue.
Marc pensait que de telles lèvres étaient faites pour le plaisir et qu'il fallait leur donner quelque chose à sucer.
Le bustier serré de sa robe de mariée poussait sa poitrine vers le haut et une grande partie de ses seins était mise à nu.
La taille restreinte contrastait avec l'ample jupon dissimulant les hanches pleines et le cul rebondi. Les yeux de Marc essayaient de percer le secret dissimulé sous les voiles de tulle, à savoir quel type de culotte contenait sa petite chatte.
À force de détailler et de supputer, Marc commençait à bander, et son imagination échafaudait un scénario pour attirer la belle dans son lit. Plus tard, à la réception, il aura l'occasion de découvrir sa petite culotte blanche lorsque son idiot de mari le choisira pour lui faire retirer sa jarretière.
Pendant la réception, la jeune épouse s'est assise sur une chaise et Marc s'est agenouillé devant elle, après avoir été choisi par le marié pour le jeu de la jarretière. Les gens qui riaient et applaudissaient à l'arrière-plan ne se doutaient pas de la puissance du contact visuel entre Line et Marc. Line mâchonnait nerveusement sa lèvre inférieure tandis que Marc repoussait de plus en plus haut les plis de sa robe blanche. Un rictus d'impatience apparut sur le visage de Line alors qu'elle tremblait et se tortillait. Personne ne pouvait voir, pas même Willy, ce qui se passait réellement. Les doigts de Marc étaient visibles au-dessus de la dentelle blanche, mais c’est ses pouces cachés dessous qui ont troublé la mariée.
Marc utilisait ses pouces pour masser le long de ses jambes soyeuses. Il commença à pétrir la chair autour de ses mollets et, tout en repoussant la robe, il força ses jambes à s'ouvrir. Le contact visuel l'informait qu'elle savait ce qu'il faisait. C'est pourquoi elle se tenait fermement au siège et se tortillait légèrement. Était-elle volontairement ou involontairement en train de flirter avec Marc? Qui peu savoir, mais c'est ce qui était en train de se passer. Willy se tenait au-dessus son épaule et regardait attentivement la réaction de sa fiancée. Il savait que Marc obligerait Line à mouiller sa culotte. Il espérait que cela arriverait tôt ou tard car il savait que Marc avait une méthode infaillible avec les femmes.
Quoi qu'il en soit, Marc a continué à exercer de plus en plus de pression avec ses pouces et lorsque ses mains ont dépassé les genoux tremblants, elle a cessé de lutter et a écarté les jambes. Line semblait proche de l'orgasme par sa façon de se tortiller et de respirer fort en soulevant sa poitrine. Marc continua de repousser le tissu de la robe, dépassa les genoux et s'attaqua à ses cuisses. Il exerçait toujours une pression circulaire avec ses pouces. Line pouvait clairement sentir le chemin que ses doigts avaient tracé depuis ses chevilles jusqu'à leur emplacement actuel. Cette situation la troublait et l'excitait.
Marc toucha enfin la jarretière et les deux hommes eurent un bref sourire. Mais au lieu de tirer la jarretière vers le genou, Marc la remonta plus haut sur la cuisse. La jeune mariée hocha la tête quand Marc poussa lentement la jarretière vers la petite culotte. La foule se fit silencieuse lorsque les hauts plus sombres des bas apparurent. Les deux godelureaux étaient plongés les yeux dans les yeux, ignorants la foule qui les entouraient.
Willy aussi regardait silencieusement le spectacle. Il ne s'attendait pas à ce scénario, du moins pas devant tout ce monde. C'était un peu humiliant pour le mari rouge d'embarras, mais il était vraiment excité. Il observa que Marc utilisait son pouce droit pour masser doucement la chatte de sa jeune mariée. Willy la sentit trembler pendant que Marc stimulait son clitoris. Il aurait aimé que Marc continue jusqu'à l'orgasme de sa jeune femme, mais il pensa qu'il valait mieux l'arrêter.
"Hé, c’est ma femme" dit Willy à haute voix et avec un grand sourire pour apaiser la tension. Marc a rompu le contact visuel avec la jeune mariée pour lever les yeux vers le mari et les deux hommes ont éclaté de rire. Immédiatement, toute la foule s’est jointe à eux et la tension ambiante s'apaisa. Marc tira sur la jarretière et la fit descendre le long de la jambe de Line.
Marc n'avait pas fini. Alors qu'il glissait la jarretière autour de son talon aiguille, il captura de nouveau le regard de la mariée. Un sourire impertinent apparut sur ses lèvres et Line se mit à rêver devant ce visage sexy. Elle regarda les yeux de Marc se poser sur son entrejambe et réalisa qu'elle était toujours aussi béante et exposée. Elle s'en fichait pourtant. Elle essayait de comprendre pourquoi elle envisageait cet homme un jour aussi particulier que le jour de son mariage. Marc retira la jarretière mais, au lieu de la lancer dans la foule, il glissa l'objet de son désir dans la poche de son pantalon, à la grande consternation de la foule.
Se relevant, Marc tendit la main à Line pour l'aider à se lever. Les deux hommes s'étreignirent pendant que Marc confiait la jeune beauté à son mari. Elle était heureuse dans les bras de son mari, mais ses pensées allaient vers Marc. Pendant la soirée, Line scruta plusieurs fois la foule à la recherche de Marc. Elle fut jalouse en voyant Marc charmer d'autres femmes, même si elle tenait à son mari. Line a retrouvé son calme après le départ de Marc, mais il a laissé une impression durable sur Line.

Quelques semaines plus tard, après la lune de miel, le jeune couple s’est installé dans ses meubles. Leur rapports sexuels sont bons même s'il semble que Line ne soit pas aussi satisfaite qu'elle le devrait. Ce n'est pas que son mari soit incapable. Oui, il est un petit peu court et un petit peu rapide, mais comment savoir quelle est la norme? Et cela n'aide pas que Marc soit aussi présent, ce qui a amené Line à revivre encore et encore l'émotion ressentie lors de son mariage.
Elle pensait souvent à Marc lors des rapports sexuels avec son mari. Elle avait besoin d'une motivation pour exulter. Marc flirtait ouvertement avec Line devant Willy. Elle en avait pris l'habitude maintenant, Willy ne protestait jamais. Willy regardait ailleurs ou trouvait cela parfaitement anodin lorsque Marc s'accordait des privautés.
Lorsque Marc arrivait ou partait de chez eux, il la saluait d'un bisou sur les lèvres puis l'embrassait longuement dans le cou, la serrant fort dans ses bras, lui faisant sentir la puissance de son désir contre son ventre. Autre chose, Marc arrivait toujours à point nommé. Elle n'était presque pas habillée. Elle sortait de la douche ou était en train de se changer. Une coïncidence? Être déshabillée permettait à Marc de toucher sa peau. Et il ne s'en privait pas. On aurait cru qu'il guettait à proximité un signal pour intervenir.
Willy ne voyait aucune malice là-dedans. Le fait d'arriver toujours au bon moment, d'embrasser sa femme sur les lèvres ou dans le cou, de la peloter sans vergogne, tout cela ne l'inquiétait pas. Et lorsque Line lui envoyait des appels au secours de son regard suppliant parce que Marc dépassait les bornes, il détournait timidement le regard, voulant éviter tout affrontement.
Le jour où Willy est devenu cocu était un jour comme les autres. Line sortait de la douche lorsque le tintement de la sonnette retentit.
Line a fait la sourde oreille, se doutant bien de qui les visitait. Après le troisième carillon, Line s'impatienta et cria à son mari d'aller répondre. Ne recevant pas de réponse du mari, elle se dit qu'il devait être au sous-sol et qu'il ne pouvait pas entendre.
Soupirant d'exaspération, elle enroula une serviette de bain autour de ses cheveux mouillés et enfila une courte veste de peignoir, le grand étant au lavage. Elle alla ouvrir à Marc. Elle savait que ce serait lui. En ouvrant la porte, elle a vu son mari dans la cuisine à quelques mètres de là. Furieuse après Willy, elle fit entrer Marc. Comme d'habitude, elle dut se cramponner après les pans de sa veste pour éviter que Marc ne la déshabille entièrement. Il profita de ses mains occupées pour la peloter sans vergogne en l'embrassant longuement dans le cou. Elle se tourna vers Willy pour un appel au secours silencieux, mais celui-ci détourna son regard. Furieuse après Willy, elle tendit sa bouche à Marc qui l'embrassa sensuellement avec la langue.
Elle lui rendit son baiser et en ouvrant légèrement un œil, elle vit son mari les regarder. Fâchée contre son mari, elle décida de le choquer. Elle enroula ses bras autour du cou de Marc et laissa le peignoir s'ouvrir. Comme prévu, Marc en profita pour explorer le corps de la jeune femme avec ses mains caressantes. L'étreinte dura longtemps sous les yeux d'un Willy impassible, mais qui n'en perdait pas une miette.
Les deux amants se séparèrent finalement en se souriant d'un air complice. Willy salua Marc, Line est retournée dans la salle de bain pour finir sa toilette. Les hommes se sont installés au salon pour boire une bière.
Willy est venu chercher Line dans la salle de bains parce que Marc avait un cadeau pour elle. Agacée par l'interruption, Line suivit son mari dans le salon. Line ouvrit la boîte et fut surprise en extrayant une robe très courte en cuir noir. C'était sexy d'accord. Le bustier était fixé par des lacets et la jupette s'évasait de manière audacieuse. La taille était la plus petite taille possible. Elle se demandait comment Marc savait quelle taille lui allait. Il y avait aussi d'autres articles dans la boîte, mais la robe attirait tous les regards.
Marc lui a demandé de l'essayer mais Line a refusé. Son mari intervint et la conduisit dans leur chambre. Il la supplia pratiquement de l'essayer et de se montrer au moins à Marc, car cela avait l'air très cher et ce serait impoli de refuser le cadeau d'un ami. Avec les deux mecs contre elle, elle devait céder.
Mais avant de se changer, Line demanda à Willy s'il voulait vraiment qu'elle enfile cette petite robe. Willy lui a dit de ne pas se comporter de façon si rigide et qu'est-ce que ça peut faire après tout, s'il aperçoit un bout de sein ou de fesse. Elle en montre bien plus sur la plage. Line a répondu qu'elle n'était pas sur la plage, et que c'était une robe de pute pour aller faire le trottoir. Willy a supplié sa femme d'essayer la robe. En regardant dans les yeux de son mari, Line réalisa que c’était quelque chose que son mari voulait.
Willy n'a jamais rien dit quand Marc l'embrasse langoureusement ou quand il la tripote. Marc arrive toujours quand elle est à peine couverte. Line a parlé à son mari en lui demandant s'il aimait regarder Marc flirter ouvertement avec sa femme. Il répondit oui en regardant ses pieds. Tu aimes nous regarder nous embrasser? Oui, Willy a dit. Tu aimes aussi regarder Marc me peloter, me serrer dans ses bras pour me faire sentir sa virilité contre mon ventre? Oui, marmonna-t-il faiblement.
Line envoya Willy prévenir Marc qu'elle avait besoin d'un quart d'heure pour se préparer. Elle attrapa la boîte d'affaires et disparut dans la salle de bains.
Marc et Willy ont bavardé pendant que Line se préparait. Les hauts talons claquant sur le sol attirèrent l'attention des deux hommes. Line entra dans la pièce en faisant une volte sur elle-même devant les mecs. Ils étaient stupéfaits devant sa transformation.
Les talons la grandissaient d'une dizaine de centimètres. Ses jambes interminables étaient gainées dans des bas à couture qui s'arrêtaient bien avant sa courte jupe évasée. Les jarretelles rouges qui retenaient ses bas étaient parfaitement visibles. La taille était parfaitement ajustée. Les lacets maintenaient le bustier, laissant une partie de la poitrine exposée aux regards. Elle portait également des gants en cuir noir. Avec sa crinière blonde, ses yeux de biche et ses lèvres rouge carmin, elle était spectaculaire.
Marc examinait Line, la contournait et détaillait sa silhouette irréprochable. Alors qu'il se trouvait juste derrière elle, Line se cambra en inclinant la tête en arrière, Marc se pencha sur elle pour l'embrasser avidement à pleine bouche. Willy, assis dans le canapé, regardait Line et Marc échanger un long et profond baiser. Line gémissait dans la bouche de Marc en pressant son cul moulé de cuir contre la bite de Marc.
Marc, à ce moment-là, lui tenait la gorge d'une main, juste sous le menton, l'autre pressant ses seins. Line a tendu son bras vers Willy pour faire signe à son mari d'approcher. Willy a docilement rampé vers sa femme. Elle était toujours maintenue par Marc qui l'embrassait avec passion. Line souleva sa petite jupe évasée. Elle portait un porte-jarretelles rouge et une culotte en dentelle rouge. Marc maintenait la femme de Willy contre lui, sa bite érigée s'encastrait entre ses fesses. Sur un signe de Line, Willy baissa sa culotte et lui ôta. Il leva les yeux sur les amants qui s'embrassaient.
Sans qu'aucune parole ne soit prononcée, Marc attrapa l'arrière de la tête de Willy et tira son visage contre la chatte rasée de Line. Pendant que son mari lui mangeait la chatte, Line glissait une main derrière elle pour caresser puis extraire la bite dure de Marc. Marc se recula légèrement pour permettre à la femme de Willy d'avoir accès à son outil. Une fois qu'elle a libéré son amant, elle a commencé à masturber son membre épais. La femme de Willy gémit en palpant la bite de Marc.
Willy continuait de manger la chatte de sa femme pendant que Line soulevait l'arrière de sa courte robe. Marc sentit la femme blonde avancer sa queue entre ses jambes. Le bite envahissante heurta Willy et il tomba sur son cul de surprise. Les hauts talons de Line lui donnaient la taille idéale pour une baise debout mais avant que Marc ne puisse pénétrer dans la chatte de Line, Willy se mit à protester. Line a lancé une frappe du talon pointu dans les bourses de son mari pleurnichard. Willy se tordait de douleur pendant que Line le vilipendait pour l'avoir interrompue.
Marc, espérant qu'il aurait la possibilité de baiser la femme de Willy, avait déjà pensé aux préservatifs. Marc a tendu un préservatif à Line qui l'a jeté par terre à côté de son mari prostré, en lui ordonnant de se dépêcher d'équiper son amant. Avec ses mains tremblantes, Willy a ouvert l'emballage et a présenté le préservatif à Marc qui coulissait sa bite contre la chatte épilée de Line. Marc resta immobile et Willy saisit sa bite pour emballer le grand manche avec le préservatif. Line préféra s'allonger sur le canapé et écarter les jambes pour accueillir son amant.
Marc se mit en position et Line ordonna à son impuissant de mari d'aider à guider la grosse bite de Marc dans sa petite chatte serrée. Willy présenta le gros chibre devant l'ouverture et le stabilisa. Marc a poussé le gland monstrueux qui a écarté les lèvres pour entrer dans la petite chatte serrée. Line gémit et lança une longue plainte mais Marc continua de pousser pour la forcer à s'ouvrir. Marc se pencha pour embrasser la femme et, la bouche bâillonnée par la langue, il s'enfonça davantage dans son vagin étroit. Willy la regarda s'agiter violemment et ses joues se gonflèrent pendant qu'elle tentait de hurler.
Marc se retira puis replongea, mettant fin à la lutte de la petite chatte serrée défoncée par son énorme bite. Les bourses remplies de sperme de Marc reposaient sur le cul serré de Line. Il avait entré la totalité de son membre gigantesque dans la jeune femme. Quelques aller-retour plus tard, Willy a vu sa femme ouvrir ses cuisses au maximum et agripper les fesses de Marc avec ses mains gantées pour l’attirer plus fort.
Elle s'était déjà ajustée à cette énorme bite. Elle appartenait à ce nouveau chibre qui la pénétrait durement. Willy l'écoutait chanter sa mélopée d'amour, mélange de cris de plaisir et de halètements sonores, sachant qu'avec lui elle restait parfaitement silencieuse et immobile. Willy a écouté le plaisir et la jouissance qu'elle recevait et elle lui criait que c'était le meilleur amant, et qu'elle ne voulait plus que lui maintenant. Je ne baiserai plus jamais avec toi, Willy, lui disait-elle!
Le pauvre cocu s'assit mélancoliquement par terre pour l'écouter jubiler. Mais c'était ce qu'il voulait, non?
Après avoir éjaculé, Marc se retira de Line et s'assit sur le canapé. Line s'agenouilla devant son amoureux. En guise d'humiliation finale, elle a demandé à son mari d'ôter le préservatif souillé et de lui tenir la bite de Marc pour qu'elle puisse le sucer. Willy a obéit et il a regardé la bouche de sa femme sucer la grosse bite de Marc pour lui redonner de la vigueur. Line n'avait jamais mis le pénis de Willy dans sa bouche. Le mari cocu était jaloux mais c'était ce qu'il voulait, non?
Line s'arrêta de sucer une seconde pour dire à Marc qu'elle voulait son sperme au fond de sa petite chatte. Quelques secondes plus tard, Marc lui a annoncé l'imminence de son orgasme. Line s'est relevée rapidement. Elle a crié sur son mari pour qu'il tienne la bite de Marc bien droite. Sans réfléchir, Willy obéit immédiatement. Line enjamba les cuisses de Marc et s'installa à califourchon face à lui. Elle s'empala aisément sur la bite de Marc. Willy se leva pour protester. Line commença à sauter sur la bite tendue. En haut, en bas, en haut, en bas, hop, hop!
Line a dit qu'elle n'utilisait aucune protection, ni pilule ni une autre méthode. Et qu'elle voulait un bébé de son amant. Marc éjacula son sperme dans le vagin de la jeune mariée. Son mari tomba à genoux et pleura en la regardant tomber enceinte. Mais c'était ce qu'il voulait, non?