Terma 102 : Mon stage pratique à la ferme agricole pilote (1)

- Par l'auteur HDS Noura -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Terma 102 : Mon stage pratique à la ferme agricole pilote (1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-10-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Terma 102 : Mon stage pratique à la ferme agricole pilote (1)
Je suis un étudiant, âgé de 22 ans et en deuxième année dans un Institut Agronomique. Et au début des vacances d’été, on m’a envoyé pour un mois de stage pratique, dans une de leurs fermes pilotes. Je dois faire un rapport sur les cultures pratiquées, leur productivité, le personnel et les méthodes de travail. Visé par le régisseur principal de la ferme, mon rapport transmis à l’Institut sera noté dans mes études. J’ai passé juste une semaine de vacances à la maison, puis je suis parti en stage à la ferme, en pleine campagne. Reçu par Mr Allal, ancien prof et régisseur actuel, on m’a fait visiter rapidement les lieux et expliqué les protocoles du personnel de la ferme. Il y avait la zone des bureaux et administrations et à coté mais plus loin et séparés, trois logements de service pour les cadres et leurs familles. Et nettement plus loin, presque au milieu des champs, les baraquements des ouvriers, des magasins, des garages et ateliers et du matériel. Les baraquements des ouvriers sont de grands dortoirs, des toilettes et douches communes et aussi un espace repos et restaurant où ils prennent le seul repas du soir vers 19h, repas commun préparé sur place dans la cuisine du restaurant. Le repas de midi est un grand casse croute fourni dès le matin, avec le petit déjeuner, et mangé à midi sur les champs, sur le terrain de travail. Pour mieux m’adapter au métier, on m’a logé dans une sorte de petite chambre accolé en extérieur au grand dortoir. Les champs, jardins, périmètres expérimentaux et les écuries formaient des espaces très vastes, tout autour de ces trois zones et c’est surtout la où tout le monde travaille la journée, sauf les administratifs.
A mon arrivée à la ferme, il y avait déjà une trentaine d’ouvriers agricoles en contrat et que je n’ai rencontré que le soir quant ils sont revenus à 18h des champs, pris leurs douches et installés aux dortoirs. J’ai pris mon premier diner avec eux au restaurant collectif, une sorte de cantine avec de grandes tables en rangées et des bancs tout autour. J’ai tout de suite fait connaissance avec deux ouvriers installés à coté de moi et après nous sommes passés aux toilettes. Quant j’ai fini et sorti vers ma chambre, ils m’ont suivi et nous avons continué à discuter. Moi je posais pas mal de questions sur leur travail et eux étaient curieux de la présence d’un jeune étudiant à la ferme. On a prit des cafés sur gobelets dans le coin que les ouvriers ont aménagé comme foyer-cafétéria puis on est parti ensemble vers ma chambre. Ils m’ont dit que justement ils avaient besoin de moi et ils sont allés chercher des documents personnels, ensuite ils m’ont rejoint juste au moment ou je finissais de m’habiller, par ma veste et pantalon pyjama, pour la nuit.
L’un voulait que je lui écrive une lettre familiale et l’autre que je lui explique sa fiche de paie qu’il avait apporté et à laquelle il ne comprenait rien. Je n’avais qu’une chaise pour l’un d’eux, alors je me suis assis sur mon lit. Le gars, Si M’barek s’est assis parterre à mes pieds et j’ai commencé à écrire sa lettre. Quant je lui relisait ce que j’avais écrit, il allongeait la tête pour voir même s’il ne sait ni lire ni écrire. Ce mouvement le mettait en contact étroit avec mes jambes et mes cuisses, tellement la chambre était étroite. Parfois, pour se stabiliser, il avait mis ses larges mains sur ma cuisse et mon genoux. J’étais gêné mais je comprenais leurs habitudes de promiscuité, de vie en communauté, presque intime. Mais ces contacts dont je n’avais pas l’habitude ni chez moi ni à l’Institut me donnaient un sentiment d’intimité et de sentiments bizarres, mais je n’ai rien dit. Et quant j’eus fini sa lettre et expliqué le contenu, il est parti me promettant récompense plus tard que j’ai refusé.
L’autre, à son tour me présenta sa fiche de paie et pour mieux voir, il s’est rapproché et assis exactement comme le premier, en contact avec ms jambes et cuisses. Et dès que j’ai commencé à expliquer la première ligne de la fiche, il a allongé et rapproché sa tête et placé ses mains, l’une sur mon genoux et l’autre sur ma cuisse. J’en fus aussi gêné mais je comprenais la situation et je n’ai rien dit. Il semblait assez âgé et simple, son attitude était naturelle. Pendant tout le temps que je lui expliquais, j’étais très sensibilisé par ses contacts sur moi et sa tête juste sous la mienne m’apportait son souffle et son odeur. Je le ressentais beaucoup plus que le premier et la sensation que j’en éprouvais était nettement plus forte et même étrangement agréable. Pas comme celle de mon père quant il me tenait dans ses bras mais nettement différente et surtout je souhaitais qu’il reste ainsi, son corps en contact avec le mien. Enfin, quant on a terminé, il ne s’est pas levé immédiatement comme l’autre. Resté contre moi, je prolongeais la discussion sur la paie et je me suis même penché en arrière sur le mur du lit. Cela a fait avancer mes cuisses vers l’avant et donner plus d’espace sur elles pour les mains de l’homme, Si Larbi. Il semblait aussi content que moi de ces contacts et maintenant, tout en discutant, sa main se mouvait sur ma cuisse et semblait même la caresser. J’en éprouvais une sensation encore plus agréables et insistante qu’auparavant. Soudain, une catastrophe est arrivée.
Mon zeb, nu sous le pantalon s’est réveillé et s’est dressé, formant une belle bosse sur la toile du pantalon, et juste sou le nez de Si Larbi. Je suis resté hypnotisé et g^né, mais lui, il s’est mit à rire en levant sa tête vers moi. Je voulais me dégager mais il me tenait bien par mes cuisses et son regard était gentil, compréhensif, amical et même encourageant. Il m’a dit que c’était naturel pour un jeune comme moi, et sa main a effleuré la bosse de mon pyjama, et ma queue a ressentit cela comme une caresse et même un choc qui l’a fait bondir et s’allonger totalement. Je ressentais du plaisir dans mon corps et j’ai fermé les yeux tout en me collant au mur. Alors, il a fait une chose incroyable. Il a empoigné à pleine main mon zeb, à travers le pantalon, et il l’a serré à me faire mal. Je sentais mon zeb gonflé et dur et je ne savais plus quoi faire ou dire. C’était si agréable que, appuyé totalement sur le mur, j’ai écarté encore plus mes jambes et mes cuisses, offrant ainsi mon zeb à cet homme. Il continuait à me branler tout en murmurant je ne sais plus quoi car j’étais étourdi et ma respiration s’accélérait. Soudain, il m’a lâché et j’ai rouvert les yeux. Il s’était levé brusquement, a fermé la porte de ma chambre à clé, puis, rapidement il a reprit sa place. Je voyais maintenant nettement le grand chapiteau de mon pyjama avec le profil de la tête de mon zeb bien visible. Alors, il a ouvert mon pantalon et sortit mon zeb bien droit et l’a empoigné fortement. J’ai refermé les yeux et me concentré sur les sensations de ma queue qu’il a mis dans sa bouche chaudement humide, c’était très agréable. Il commença à me sucer, m’aspirer et branler en même temps, mais bien mieux qu’auparavant. C’était follement plus agréable qu’avant et je criais de plaisir. Une jouissance formidable m’envahit et soudain, sans que je puisse le retenir, mon zeb éjacula en force par trois fois. C’était merveilleux et je hurlais encore plus fort.
Ensuite j’ai ouvert les yeux, il tenait toujours mon zeb mais je voyais que j’avais éjaculé sur son visage et sa chemise, pourtant il riait gentiment. J’ai tout de suite pensé que Si Larbi était un homme âgé qui comprenait la vie et les choses et ce n’est pas ce débordement sexuel d’un jeune comme moi qui allait le fâcher. Alors, j’ai glissé de coté et je me suis affalé sur le lit, les jambes toujours allongées et écartées. Si Larbi a remis mon zeb dans sa bouche et repris à me sucer et lécher de haut en bas, j’ai compris qu’il me nettoyait la queue. Ensuite il a sorti un mouchoir et m’a enveloppé le zeb et essuyé longuement. Puis, tout en gardant son mouchoir autour de mon zeb et m’a montré de grande tâches de sperme sur mon pyjama. J’avais compris que mes éjaculations brusques avaient polluées mon pantalon et même la chemise de l’homme. Alors, il m’a retiré mon pantalon et m’a poussé pour mieux m’allonger le dos sur le lit. Ensuite il a étalé mon drap sur ma nudité et m’a recouvert jusqu’à la poitrine. Je n’avais plus aucune réaction, c’était lui le maître de la situation. Il s’est levé et il est sorti de la chambre en refermant la porte à clé, de l’extérieur. Je ne sais pas pourquoi il m’a enfermé, mais j’avais entière con,fiance en lui. Un quart d’heure plus tard, il est revenu. Il avait remplacé sa chemise par un tee shirt blanc et apporté mon pyjama mouillé qu’il a du laver et il l’a étalé sur le dos de la chaise. Puis il s’est assis face à moi et me regardait avec toujours son sourire tranquille. J’étais quant même très gêné, j’avais honte et je me suis tourné complètement vers le mur. Je lui tournais le dos, alors je sentais qu’il se rapprochait de moi et il a posé sa main sur mon corps à travers le drap. Elle était exactement sur les rondeurs de ma Terma et ça m’a donné un choc de plaisir comme tout à l’heure. Je n’ai pas réagis, il a glissé sa main sous le drap et maintenant il m’a enveloppé les fesses et commençait à me caresser doucement. Elle se glissa entre mes fesses dans le profond sillon de mon cul et me chatouilla l’anus. C’était agréable, et je voulais lui permettre de continuer, alors, volontairement j’ai bougé du derrière et j’ai tendu encore plus ma Terma contre main délicieuse, puis je me suis caremment couché sur le ventre. Il a encore rapproché sa chaise et maintenant il me massait les fesses et les cuisses.
Aussi machinalement qu’auparavant, j’ai soulevé un peu et tendu mon derrière et écarté mes cuisses le plus largement que je pouvais. J’étais prêt à m’offrir à cet homme, sans trop réfléchir, juste par les sensations et plaisirs nouveaux, que je ressentais dans mon corps. Il m’a frotté le sillon de mes fesses et mon anus. J’attendais cela et n’y tenant plus, j’ai rejeté, avec me pieds, le drap qui me couvrait, découvrant ainsi, complètement mon derrière, ma Terma, mes fesses et mes cuisses à Si Larbi. Je me sentais bizarre, faible mais décidé. Il y a deux heures, je n’aurais jamais pensé arriver à cette situation, à ce comportement volontaire de ma part. J’avais une envie folle d’offrir au zeb de Si Larbi, un homme inconnu, ma Terma et mon cul pour me dépuceler et j’ose avouer, me niquer. Oui c’était grave et difficile, mais pour l’instant, tout me semblait facile tant j’étais prisonnier des sensations agréables de partout, dans mon corps. Ma tête refusait de penser au reste, à ce qui pourrait se passer et j’en était heureux, bizarrement et agréablement chatouillé. Mon cul était prêt à se donner et ma tête le souhaitait en urgence. Si Larbi, devant ce trésor offert, s’est penché et m’a donné plusieurs baisers, sur les fesses et dans leur sillon et enfin même sur mon anus qu’il lécha un peu avec ses lèvres. Sensation formidable qui me faisait frétiller. Puis, il poussa lentement un doigt dans mon trou mais ça ne passe pas malgré que j’avais gonflé mon cul. Je l’entendais saliver son doigt et il tenta une seconde fois et son doigt, d’une poussée glissante, il me pénétra, sans douleur. Cette introduction m’a fait pousser un « Ahhh » profond et presque un gémissement. J’avais déjà l’expérience de mes doigts dans mon cul lors de mes problèmes de constipations mais ce corps étranger me donnait une autre sensation, comme si quelqu’un me possédait, que je permettais à une chose extérieure à mon corps de le pénétrer et de le conquérir. C’était une sorte de gêne interne mais tellement agréable que je l’espérais encore plus profonde. Aussi j’ai poussé mon derrière vers lui et le doigt me pénétra plus profondément, et j’ai crié un autre « Ahhh » plus long et bruyant. Si Larbi a comprit maintenant que j’étais à lui, que ma Terma et mon cul étaient à lui, mais nous savions que j’étais vierge et cela compliquait le problème. Il bougea son doigt, vers l’intérieur et l’extérieur plus sieurs fois, me frottait et me branlait le cul. J’aurais souhaité son zeb au lieu de son doigt. J’étais accroché à me faire dépuceler et offrir mon cul aux plaisirs du zeb de cet homme. Je ressentais ressentais comme de l’humidité dans ces mouvements et son doigt jouait à entrer et sortir très facilement. Si Larbi élargissait mon anus et rapidement, il réussit à mettre deux doigts dans mon cul. Ce fut très légèrement gênant mais pas douloureux et sa branle fut encore plus humide et agréable. Mais je savais que son zeb était nettement plus gros et plus épais que ses deux doigts. Étrangement, ses frottements dans mon cul ont fait bander mon zeb de l’autre coté et c’était agréable. Je voyais qu’il y avait une complémentarité entre les plaisirs du cul et du zeb, des deux cotés à travers une simple paroi de fine peau interne. Enfin, il sortit son doigt, me donna encore quelques baiser sur les fesses et le cul, puis me couvrit totalement du drap. Puis il parla enfin. C’est vrai que depuis qu’on avait fini avec sa fiche de paix et qu’il me manipulait le zeb et le cul, nous n’avons pratiquement dit parlé.
Il me dit que, d’après ce qu’il a découvert, mon corps est très sensible, qu’il aimait le sexe et les plaisirs du sexe et que mon zeb comme ma Terma étaient très sensibles et facilement accessibles aux jouissances. Il ajouta que, si je le voulais toujours, il m’aidera à me dépuceler et à m’ouvrir aux plaisirs et jouissances des sodomies. Il ouvrit son pantalon et sortit son zeb et me demanda ce que j’en pensais. Je me suis tourné complètement vers lui et je lui ai demandé de s’avancer, je désirais le toucher, tâter sa chair et sa puissance car il était déjà assez bandé. J’avais déjà vu beaucoup de zeb dans des livres et des vidéos mais c’était le premier réel que j’avais la, à ma disposition. Il s’avança et le tenant bien empoigné, il était debout, puissant et affolant. Il me l’offrait et je l’ai empoigné à mon tour. Une merveille, une douceur et une lourdeur qui me donnèrent des frissons dans tout le corps. Je l’ai branlé deux ou trois fois doucement, puis, attiré par sa présence, j’ai essayé de l’introduire dans ma bouche, mais il était trop épais, alors j’ai juste introduit une partie de sa tête qui était déjà très grosse et je l’ai léché. Mes frissons s’accélèrent et j’étais emballé, alors j’ai poussé et écartant mes lèvres, j’ai réussi à introduite toute la tête, puis le début de la hampe. Dans ma bouche, je sentais que ce gros zeb m’avait déjà pénétré, dépucelé, alors je l’ai enfoncé encore plus. Puis l’ai commencé à le sucer et le branler. Exercice nouveau pour moi mais tellement excitant que j’avais envie qu’il soit ainsi pour toujours. J’avais du plaisir à le sucer, le lécher et le branler, je le possédais de toute sa longueur et même les couilles m’ont attirées. Elles étaient grosse et gonflées, je savais qu’elle contenaient le jus du mâle qui allait me remplir les entrailles s’il réussissait à me dépuceler et à me niquer. J’avais un espoir fou et en urgence. Je l’ai sucé et branlé longtemps et il me semblait totalement prêt à me défoncer le cul. Si Larbi s’était levé et debout, bien dégagé, le pantalon sur ses chevilles, il offrait à ma bouche son zeb et ça commençait à lui donner du plaisir car il gémissait fort et vibrait parfois du corps. J’ai accéléré mes sussions, mes branles et, comme moi, ses éjaculations arrivèrent en surprise et en force. Le premier jet pénétra en partie ma bouche et je fus obligé de le libérer mais je continuais à le branler. Et le second jet arriva sur moi, mes mains, ma veste de pyjama et même ma figure et j’ai reculé au mur. Le troisième jet, moins fort resta surtout dans ma main et mon bras. Si Larbi s’assit soudain sur la chaise devant le lit. Je retenais toujours son fameux zeb qui continuait à libérer du sperme mais en douceur et quantités faibles et dispersées. J’ai enfin libéré ma main complètement polluée et pleine de sperme qui séchait petit à petit. Lui restait sans bouger, sur la chaise un moment. Puis, il sortit son mouchoir qui m’avait essuyé avant mais je l’ai devancé et j’ai repris le zeb et gobé dans ma bouche. Je l’ai nettoyé en le léchant, le suçant et l’aspirant de ses dernières gouttes de sperme. Il pouvait maintenant s’essuyer normalement. Puis il se leva, se pencha sur moi et m’essuya le visage et m’enleva ma veste polluée. J’étais maintenant complètement nu sur le lit et Si Larbi était penché sur moi, le zeb encore tendu et se balançant érotiquement suivant les mouvements de l’homme.
J’étais hypnotisé par ce zeb et ses balancements, j’avais chaud et je ressentais ma Terma qui me chatouillait à fond. J’imaginais ce gros zeb m’ouvrir le cul et me donner du plaisir comme tout à l’heure à ma douche. Je me positionné a genoux sur le lit, le cul en l’air devant Si Larbi qui était debout et le zeb tendu et se balançant comme provocateur et j’ai exigé qu’il m’ouvre le cul et me nique tout de suite. Mais il m’a répété de patienter à demain soir et j’ai recommencé à le lécher , sucer et branler. Et il s’est allongé devant mes yeux et gonflé et durci. Si Larbi était maintenant debout devant moi, le pantalon ouvert. Il souriait et j’étais complètement excité. Encore une fois, j’ai rejeté le drap et me suis assis sur le lit, nu à partir de la ceinture. Mon zeb était légèrement tendu, pas beaucoup et mes fesses et mon cul me démangeaient. Je l’ai supplié de m’assoir juste un moment sur son zeb et il m’a averti que cela pourrait être dangereux mais j’ai insisté. Alors il a abaissé un peu plus son pantalon pour bien libérer son gros zeb et je me suis levé, puis j’ai écarté mes jambes et je me suis assis sur ses cuisses puis, avancé j’ai placé son zeb sur mes fesses et je me suis frotté sur lui. Si Larbi m’ai saisi les fesses et me caressait de ses mains. Moi je me replaçais et j’ai réussi à allonger le zeb entre mes fesses et à me frotter le cul sur lui.
J’étais déchainé et lui voulait me repousser mais j’ai refusé et résisté. Puis j’ai écarté mon anus de mes doigts, je le faisais dans certains de mes besoins en cas de constipations, et j’ai placé dedans la tête de son zeb. Il a essayé de me repousser mais j’ai gueulé de me laisser faire et je me suis assis caremment dessus et en poussant fort. Le zeb m’a pénétré le cul dans une douleur incroyable. Je me sentais déchiré et j’ai crié à fond, mais, poussé par je ne sais plus quoi, j’ai résisté et poussé encore jusqu’à ce que je sois assis, les fesses sur ses cuisses. Son zeb était maintenant entièrement dans mon cul. Avant j’avais rejeté mon corps vers l’arrière pour manipuler le zeb mais maintenant je me serrais contre la poitrine de Si Larbi qui a abandonné toute autre tentative de me repousser. On st resté un long moment ainsi et j’en ai profité pour ressentir la chair du zeb dans mon intérieur. J’ai fais quelques pressions internes de mon cul qui m’ont fait un peu mal mais nettement moins qu’auparavant. C’était déjà mieux et j’ai refais ces pressions et mouvements internes de mon cul jusqu’à ce que je ressentais plus de douleur, ou juste un peu. Puis je me sui penché en repoussant le zeb vers l’extérieur. Il a glissé vers l’arrière, me faisant encore un peu mal, mais je ne l’ai pas totalement laissa sortir de mon cul. Puis, je me suis assis de nouveau et le zeb s’est enfoncé encore dans mon cul. Puis j’ai refais cette expérience plusieurs fois et de plus en plus vite. Enfin, après une vingtaine de vas et viens, je ne ressentais presque plus de douleur, juste un gêne même agréable. Alors je me suis redressé afin que le zeb sorte de mon cul et j’ai reculé sur les cuisses de Si Larbi. Le zeb s’est pointé, debout devant mon bas ventre. Il était toujours gros, longs et épais mais rouge, plein du sang de mon cul. Si Larbi m’a dit qu’il m’avait averti et si nous avions attendu le lendemain il aurait apporté e la pommade pour lubrifier et me dépuceler sans mal ni sang. J’ai répondu en éclatant de rire qu’un dépucelage sans le sang n’est pas une vraie défloration de sexe. Maintenant mon cul est ouvert et il fallait faire vite pour l’habituer au zeb de Si Larbi.
Il a sorti son fameux mouchoir et nous a essuyés, lui ses cuisses et son zeb ensanglantés et il m’a demandé de me coucher sur le ventre et m’a nettoyé le cul, doucement, de son sang de nuit de noces. Ensuite, il m’a léché l’anus et fait entrer sa langue, puis il m’a sucé le cul, l’a ouvert avec ses doigts et fait pénétré deux puis trois d’entre eux. Chaque fois c’était un peu douloureux mais très supportable. Et enfin, il m’a fait agenouillé, la tête sur le matelas et les fesses en l’air, le cul largement offert. Et enfin, j’ai ressenti l’agréable pression de la la tête de son zeb sur le sillon de mes fesses, puis sur mon trou de cul et il a poussé doucement et lentement. Et cette fois, son zeb s’est glissé petit à petit à l’intérieur de mon cul. Ce fut une sensation merveilleuse, agréable à la pression de l’écartement de ma chair mais au remplissage de sa chair dans mon intérieur. J’étais heureux, satisfait de mon audace et de ma résistance. Et ensuite, pendant plus d’une demi heure, il m’a sodomisé, il m’a niqué, parfois doucement et lentement et parfois en vitesse et avec force et puissance. Et enfin, il a éjaculé par trois grands jets de sperme chauds et puissants. Depuis que son zeb m’a pénétré, je n’ai pas arrêté de gémir, crier et parfois hurler de jouissances et lui aussi qui gémissait haletait et lançait des cris de bonheur sexuel. Quant il m’a rempli de son sperme, il s’est allongé sur mon dos courbé et il est resté longtemps ainsi, son zeb toujours dur et gonflé en moi. Enfin, je me suis allongé ventre sur drap et il est resté collé à moi. Son zeb ne voulait pas sortir de mon cul et cela me faisait un plaisir physique et dans ma tête. J’étais heureux que mon cul et son zeb se soient rapidement accordés, adaptés. On est aussi resté un long moment ainsi. J’avais constaté qu’il s’était débarrassé de son pantalon et son tricot depuis bien longtemps et de ma veste de pyjama aussi. Ainsi, nous étions complètement nus, l’un sur l’autre et l’un dans l’autre. Je ne me souviens quant il avait fait cela mais j’étais content et heureux. Ensuite il s’est un peu dégagé et son zeb est sorti de mon cul.
Mais je me suis retourné pour avoir le dos sur le lit et son zeb contre mon ventre. Sa poitrine velue me chatouillait les seins et c’était aussi agréable. J’avais encore envie de son zeb et je lui ai murmuré cela dans l’oreille. Il a souris et s’est redressé. Puis il m’a fait largement écarter jambes et cuisses et s’est agenouillé entre mes cuisse. Puis il m’a fait lever les jambes et cuisses jusqu’à ses épaules et soulevé mes hanches et fesses. Ainsi, son zeb était gonflé, horizontal juste en face de mon cul par-dessous mes couilles. Puis il m’a pénétré par-dessous. Son zeb a glissé en vitesses, tellement mon cul était ouvert, chaud et mouillé de sperme. Il m’a pénétré jusqu’aux couilles et ce fut une nouvelle expérience merveilleuse pour moi. J’ai gueulé à fond et essayait de soulever encore plus mon derrière pour offrir encore et encore le trou de ma Terma au gros zeb de Si Larbi. En une soirée, il a su me draguer, me faire éjaculer, sensibiliser mon zeb puis mes fesses et mon cul et enfin me dépuceler, me niquer et jouer avec mon cul. Deux ou trois heures, pas plus, pour me mettre dans un autre monde de plaisirs de sexes et de jouissances dont je ne soupçonnais même pas l’existence. Il m’a niqué de cette façon face à face, ce qui lui permettait de m’embrasser au cou et aux lèvres, de me caresser et masser les seins, de les embrasser et sucer leurs bouts qui pointaent et qui augmentait mon excitation et mes jouissances. Enfin, après presque une heure de ces jeux face à face ou il m’a niqué une fois puis il a éjaculé et resté dans mon intérieur. Nous avons continué à nous caresser puis il m’a retourné et dans ses restes de sperme il m’a niqué une troisième fois par derrière. Ce fut une sailli ou je n’avais que des plaisirs agréables, des jouissances affolantes et aucune g^ne ou douleur. Mon cul était largement ouvert maintenant et comme je m’en inquiétais, il m’a rassurer que d’ici le matin, mon anus retrouvera sa position initiale car il était très souple vu ma jeunesse. J’en fus rassuré et je me suis donné encore plus avec folie et liberté totale.
Et ce n’est que vers quatre heure du matin, juste deux heures avant le lever des ouvriers, que je réussi à le libérer pour aller prendre un peu de repos. En attendant, je me suis glissé furtivement vers les douches derrière le restaurant et je me suis bien lavé et douché puis je suis retourné à mon lit, j’étais presque endormi debout.

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