Terma 104 : Mon stage pratique à la ferme agricole pilote (3)

- Par l'auteur HDS Noura -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Terma 104 : Mon stage pratique à la ferme agricole pilote (3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-10-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Terma 104 : Mon stage pratique à la ferme agricole pilote (3)
Vers 18h, dans ma chambre, Si Larbi vint me voir pour qu’on planifie notre soirée, mais je lui ai dis que j’avais encore plus mal au cul qu’hier et je demande le repos complet pour cette nuit. Toujours sage et compréhensif, il approuva et repartit vers ses copains. Plus tard, dans le restaurant collectif, j’ai diné seul, en réalité j’ai peu mangé car le casse croute de Boubekeur m’avait rempli le ventre, comme son zeb qui m’avait rempli le cul. Je suis retourné ensuite à ma chambre me suis mis au lit, de peur que Si Larbi ne change d’avis. Et dès 22h30, à poil et excité sous mon jogging, je suis allé roder du coté des cuisines, c’était déjà désert, seule le commis des vaisselles et poubelles finissait son travail, puis il éteint les lumières et s’en va vers les dortoirs. Je me suis glissé vers les cuisines désertes, puis vers le fond où j’ai poussé la porte. Ensuite j’ai continué dans le magasin et j’ai enfin trouvé une seconde porte que j’ai ouverte. Si Boubekeur était la, couché le dos au lit, et m’attendant, entièrement nu, empoignant son zeb gonflé qui pointait haut à la verticale. Il m’engueula presque mais en rigolant, me disant que j’étais en retard et que son zeb était impatient. Rapidement je me suis mis à poil et je l’ai rejoins sur le lit. J’ai empoigné son zeb et j’ai d’abord commencé à le sucer, le lécher et branler pour le lubrifier tendant mon derrière du coté de Boubakar qui en profita pour me caresser, me masser, me peloter et même me brutaliser les fesses. Il enfonça ses doigts dans ma Terma pour me branler le cul, aussi profondément que ses doigts pouvaient le faire. C’était excitant et possessif, mon cul lui appartenait totalement.
Mais de l’autre coté, son zeb était chaud, dur et prêt pour moi. Alors, je me suis mieux positionné, lui tournant le dos, et assis sur son bas ventre, les cuisses de part et d’autres et j’ai avancé de façon à pointer de ma main, son zeb exactement sur mon anus. Je l’ai enfoncé un petit peu, juste pour me pénétrer de sa grosse tête. Ce bout de zeb fut déjà du plaisir et un début de jouissances à l’entrée de mon cul qui commençait à suer de désir. Ensuite, je me suis assis de plus en plus sur son zeb qui me pénétrait doucement. Et cela m’a fait hurler de jouissances toute son enfoncement en moi. Ma technique d’enfoncement progressif de son zeb a fait aussi réagir Boubakar qui a commencé à souffler fort et à haleter en gémissant en continu, puis il se décida. Alors, il se redressa un peu, me saisit par les hanches, me souleva légèrement puis me colla à lui brutalement. Mes fesses claquèrent sur son bas ventre et ce fut une explosion de jouissances dans mon cul et nous avons hurlé en commun, comme des hystériques. Heureusement qu’il n’y avait personne à la cuisine.
Il se recoucha dos sur le lit et me dit, maintenant tu peux te niquer toi-même et traita ma Terma de putain, alors j’ai commencé à danser avec mon cul, sur son zeb, le faisant frotter et fouiller tous les coins de mes entrailles, cherchant les chairs les plus sensibles. Mon corps dansait et je gémissais fort et en continu et sans tenir compte du bruit que nous faisions. Pendant un long moment de plaisirs et de jouissances, j’ai aimé ce zeb qui m’affolait de sa grosseur, sa douceur et sa dureté en même temps, qui me possédait et me remplissait entièrement le cul. Je le sentais dans ma chair interne qu’il se gonflait de plus en plus ainsi que ses chocs presque contre mon ventre tellement il s’était allongé au maximum. Puis, c’est Boubakar qui m’a avertit qu’il allait éjaculer, alors j’ai accéléré mes sauteries haut et bas sur son zeb et soudain ce fut l’explosion, l’avalanche, le torrent de ses éjaculations et je me suis bloqué, complètement collé au bas ventre de mon homme. Trois puissantes éjaculations abondantes accompagnées par de violents coups de reins et hurlements de Boubakar. Puis le silence, seulement les halètements de l’homme qui s’atténuaient lentement et mon cœur qui se calmait petit à petit, nous sommes restés ainsi durant un bon moment. Cette sodomie a été mon œuvre et j’avais dirigé presque tous ses mouvements. J’étais courbé sur ses cuisses et il devait bien voir son sperme qui suintait de mon cul et coulait sur son bas ventre poilu.
Ce tableau lui a donné envie de me niquer à sa guise, en classique, par derrière, car il me secoua, se leva et me positionna à genoux sur le lit, ma tête sur le matelas et ma Terma en l’air, les cuisses largement écartées. Et lui, bien calé à genoux derrière moi, il pouvait utiliser toute ses puissances, de ses reins et de son zeb, pour me niquer à fond. Et il démarra, enfonçant d’abord son zeb dans mon cul, d’un coup de reins violent. Il s’enfonça en moi jusqu’aux couilles et son ventre claqua sur mes fesses. Comme chaque fois, ce geste brutal me fit hurler à fond et mon cul, malgré les restes de sperme, explosa de jouissances. Puis, il me défonça à la puissance de ses coups de reins et me remplissait le cul à la grosseur, longueur et épaisseur de son zeb. Il alternait ses vas et viens. Parfois, ses glissements sont lents pour bien frotter son zeb contre la chair interne de mon cul, et je savais que cela augmentait ses jouissances et aussi les miennes. Et parfois, il y allait à font et en vitesses nous créant des chocs dans les enfoncements violents de son zeb jusqu’aux couilles et aux fins fond de mes entrailles. Alors là, nous gueulions tous les deux en phase, sans tenir compte de notre environnement. Il marmonnait aussi des choses et rigolait, il avait du plaisir, c’est certain, ma large Terma entre ses mains et la chaleur de mon cul à son zeb semblaient lui provenir et lui plaire, peut être mieux, comme il a dit, que les eux autres Terma à sa disposition.
Il est en position, de viol et de dépucelage de mon cul et ça doit le motiver, et à moi aussi, dans mes fantasmes mais aussi dans mon corps où je ressentais les mêmes motivations et jouissances. Il me niqua pendant plus d’une demi-heure, beaucoup plus longtemps que l’après midi, avant d’arriver à son top. Il s’accrocha mieux à mes hanches et cette fois, par quatre coups de reins violents et des hurlements en plus, ils éjecta son sperme en abondance dans mes entrailles. Il était à l’aise et moi aussi j’ai bien ressenti les vibrations et chocs de son zeb au fond de mon cul, dans chaque éjaculation. Et quant il se retira, j’ai ressentis d’abord un grand vide au niveau de mon anus largement ouvert, puis le sperme commença à couler entre mes fesses et sur mes cuisses, en abondance.
Ensuite je me suis retourné pour le voir. Il était encore à genoux et tenait son zeb qui se courbait un peu. Il était aussi brillant de sperme et de la mouille de mon cul, alors, à genoux, je l’ai pris en mains et j’ai commencé à le sucer et lécher pour le nettoyer, jusqu’aux couilles. Le sperme de mon cul coulait entre mes fesses et mes cuisses mais aussi sur le lit qu’il polluait et Boubakar de semblait pas s’en soucier, il devait avoir l’habitude avec ses autres Terma. On est resté un long moment ainsi, moi je branlais et parfois sucé son zeb et lui restait assis sur le lit. Il semblé très content, car il m’avoua qu’il aimait bien mon cul, qui était chaud et souple, profond et remuant et qui s’était bien adapté à son zeb. Son zeb était redevenu dur, gonflé et bien allongé à la verticale et moi je désirais qu’il me nique encore, mais d’une autre façon, face à face, position que j’ai commencé à aimer car elle me donnait, non seulement une entière sodomie à ma Terma, mais aussi une plénitude sexuelle à tout mon corps. Il n’a pas compris, alors je me suis allongé, dos sur le lit et j’ai relevé haut, mes jambes et mes cuisses en les écartant. J’ai saisi mon zeb et mes couilles pour les ramasser plus haut, sur mon bas ventre, c’est alors que face à lui, il a vu l’espace net sous mes couilles, avec mon anus bien palpitant et à sa disposition et il a compris.
A genoux entre mes cuisses, il saisit son zeb bien gonflé et le pointa sur mon anus. Ce tableau a du l’exciter encore plus car il plongea avec violence son zeb dans mon anus et en hurlant quelque chose que je n’ai pas compris, il l’enfonça et me pénétra le cul à fond jusqu’aux couilles. Moi aussi j’ai ressentis ce désir violent de l’homme et de son zeb quant il s’est enfoncé en moi, et ça m’a fait hurler de jouissances comme d’habitude. Puis il s’immobilisa un instant dans mon cul et on s’est regardé. Il semblait étonné de cette position face à face. Puis il s’adapta et se pencha vers moi. Comme j’étais nu, il trouva sur son passage, ma poitrine avec mes seins assez gonflés par l’excitation sexuelle, et leurs boutons foncés sur sa route. Il avait l’habitude avec les femmes, mais là, il était avec un homme mais il s’adapta vite et commença à les empoigner des deux mains, les caresser puis à les embrasser et finit par les sucer, les brutaliser un peu et même les mordre doucement avec ses lèvres. Il était entièrement excité comme avec une femme sous lui. Ses caresses augmentaient les jouissances de mon cul, alors j’ai entouré son cou de mes bras et ses reins de mes pieds . Face à moi, je l’ai embrassé à pleine bouche et avec mes pieds je l’aidais à enfoncer son zeb encore lus dans mon cul. Il était affolé de sexe et haletait comme un dingue. Même son zeb, au fond de moi semblait augmenter de volume et de puissance. Il me couvrait de son gros corps velu et cela amplifiait mon désir et mes jouissances et je ressentais bien que j’étais totalement possédé par lui, nettement mieux qu’avec les sodomies par derrière.
Et, pendant une autre demi-heure, il me sodomisa, plutôt il me niqua totalement le cul et le corps et me donna un maximum de plaisirs et de jouissances comme jamais je n’en ai eu durant ces deux jours. Il s’était vite adapté à ce genre de position et s’intéressait maintenant à tout mon corps, pas seulement à mon cul. Même mes pieds qui poussaient ses reins étaient devenus des armes sexuelles qui l’excitaient, l’affolaient et accentuaient la puissance de ses vas et viens et de ses caresses presque brutales sur mes seins et ses baisers sur mon cou, mes lèvres et ma poitrine. Il était déchainé et moi j’en profitais pour recueillir le maximum de jouissances. Il a même trouvé le moyen de me pousser encore plus contre lui en mettant ses mains sur mes épaules et cela enfonçait son zeb plus profond dans mon cul. Chaque poussée sur mes épaules vers son corps nous donnait des chocs et vibrations de jouissances et moi, c’était tout mon corps, y compris ma Terma qui tremblait, qui vibrait. En somme, ce n’était plus une sodomie, mais une nayka totale et un maximum de plaisirs sexuels.
Mais toute chose a une fin et son plaisir arriva hélas. Et il éjacula encore une fois brusquement et en abondance plusieurs fois dans mon cul et j’ai ressentit son sperme comme s’il m’inondait et remplissait tout mon corps. Mon corps était à lui et dans ses bras, je sentais mon corps soudé au sien, il me possédait totalement. Quant il s’aplatit sur moi, épuisé de ses éjaculations, je n’ai pas d’abord senti son poids mais la douceur des poils de sa poitrine sur ma mienne et sur mes seins. Ce n’est qu’ensuite que son poids a pesé et je l’ai secoué et repoussé. Il s’est redressé puis s’est écarté à mon coté sur le lit, pratiquement étourdit et me libéra, gisant sur le lit, cuisses, jambes et bras allongés et écartés, le cul coulant de son sperme entre mes fesses et sur le drap du lit, comme tout à l’heure. Je me suis levé et je me suis nettoyé le cul, les fesses et les cuisses dans ses toilettes. Je ne savais pas s’il allait encore accepter de me niquer ce soir, mais moi j’étais encore pour. J’étais prêt à danser sur son zeb et finir face à face avec moi dessus. Mais il s’est réveillé et m’a demander de me nettoyer avant de partir, alors que j’étais déjà lavé. J’ai compris que ma nuit sexuelle s’arrêtait là.
Et ainsi, j’ai du le quitter alors qu’il restait allongé sur le lit, le zeb un peu courbé mais assez allongé sur sa cuisse droite. Je savais qu’il suffirais de quelques sussions et branles pour qu’il se redresse et devienne prêt à défoncer toute Terma affamée de jouissances. Et je suis sorti de la chambre, passant par le magasin. C’est là où j’ai entendu du bruit, léger certes mais je l’ai entendu, mais j’ai continué ma route et je me suis arrêté pour me cacher dans la cuisine et observant l’intérieur du magasin. Et j’ai vu un homme sortir e l’ombre et se diriger vers la chambre de Boubakar, puis y pénétrer. Je suis revenu et j’ai essayé de voir, discrètement, la chambre qui avait la porte grande ouverte. Et j’ai vu l’homme qui était un jeune ouvrier qui s’était, comme moi tout à l’heure, mis à poil en vitesse et s’est jeté sur le zeb de Boubakar et commencer à le branler et le sucer. Boubakar lui a dit quelque chose et rigolait avec bruit. Le corps de l’ouvrier était, comme le mien, net et sans poils, mais bien rempli surtout derrière. Il avait le corps moins blanc que le mien mais sa Terma était pleine de chair et haute, ses fesses larges et il les remuait en suçant le zeb de Boubakar. Celui-ci a allongé sa main pour la fourrer sur et entre les fesses de l’ouvrier. Il doit chercher son anus pour le préparer à son zeb. L’homme gémissait tout en suçant le zeb et remuait sa Terma impatient d’être niqué par Boubakar, cet ogre des sodomies. Ce tableau et ses perspectives commençaient à m’échauffer j’avais envie de les rejoindre pour offrir aussi ma Terma mais c’était impossible pour l’instant et j’ai du m’éloigner discrètement vers ma chambre, il était passé minuit.

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