Terma 105 : Mon stage pratique à la ferme agricole pilote (4)

- Par l'auteur HDS Noura -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Terma 105 : Mon stage pratique à la ferme agricole pilote (4) Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-10-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Terma 105 : Mon stage pratique à la ferme agricole pilote (4)
J’ai passé une bonne nuit, malgré les évènement d’hier soir et j’étais debout à 8h, trop tard pour le petit déjeuner. Mais ce n’était pas important, Boubekeur m’en fera un bien plus important que celui des ouvriers. Effectivement, je l’ai trouvé assis à table, entrain de déguster le sien et je me suis servi avec lui. Il m’a dit qu’il allait maintenant dormir jusqu’à 13h ou plus car il n’avait rien à faire sauf préparer l’après midi le diner des ouvriers du soir. Moi, j’avais quelques documents, dans les bureaux, à ajouter à mon rapport, mais ça pouvait attendre à tout à l’heure. J’ai rapproché ma chaise tout à coté de lui et j’ai allongé ma main vers sa braguette. Son zeb était mou, pas bandé mais toujours assez lourd pour m’exciter et je l’ai caressé et branlé à travers le pantalon. Boubekeur continuait à manger mais son zeb réagissait et se gonflait. Très vite il s’allongea et se durcit, alors j’ai ouvert sa braguette et je l’ai sorti. Il était déjà superbe, il a bondit assez vite à la verticale. Boubekeur, en souriant, me demanda si ma Terma me démangeait de bon matin, et j’ai répondu par un sourire complice que oui. Alors, il a reculé un peu sa chaise pour bien dégager son bas ventre vers moi, et me permettre de bien empoigner et branler son zeb. De plus, sa position m’a permis de me baisser sur son zeb. Pendant un moment, je l’ai sucé, léché et branlé et cela a remonté mon excitation, ma Terma commençait à suer son désir et à me démanger sérieusement et je remuais du derrière d’impatience. Ensuite, je n’ai pas hésité, j’ai vite enlevé mon pantalon et sans slip, nu de la ceinture aux pieds, lui tournant le dos, j’ai enjambé ses cuisses mettant les miennes de chaque coté et, avec impatience et désir, je me suis assis sur son zeb et j’ai remué de la Terma.
Son zeb était presque debout, vertical, et rapidement mon anus a trouvé sa tête et l’a englouti avec avidité. Je me suis assis à fond et le zeb s’est enfoncé et m’a pénétré jusqu’aux couilles, me remplissant tellement bien avec jouissances que j’ai hurlé de contentement. Je me suis penché un peu mettant mes mains sur les cuisses de Boubekeur, offrant ainsi ma Terma à son regard et j’ai commencé mes mouvements vers le haut, vers le bas, à droite et à gauche, vissant et dévissant mon cul sur son gros zeb dur. Je dansais véritablement du cul sur son zeb, Je me niquais moi-même avec son zeb dur qui fouillait ainsi les fonds de ma Terma. Boubekeur, au début ne m’a même pas touché mais admirait le spectacle face à lui, son large et long zeb qui élargissait mon anus et coulissait dans mon cul par mes vas et viens. J’imaginais le tableau et ça m’excitait autant que lui. Et ainsi, je me suis sodomisé pendant un long moment, jouissant plusieurs fois de sensations et démangeaisons agréables dans mon cul, mon bas ventre et le long de mon dos jusqu’au cerveau, même mon zeb s’était réveillait et bandait comme ça sans ma volonté. Je respirais fort et haletait sans me maitriser et mes gémissements devenaient des cris et parfois des hurlements aux chocs sexuels. Enfin, j’ai réussi à exciter Boubakar et le réveiller de son apathie, car il commença à me caressa les fesses jusqu’à la pointe de l’anus, presque à toucher son propre zeb et enfin, il m’empoigna les hanches. Je savais que le plaisir montait de ses couilles car il commença de temps en temps à me donner lui aussi quelques coups de reins.
Puis, se chauffant et même se brulant de désir, ses coups de reins devinrent violents et rapides, ses mains puissants sur mes hanches et maintenant c’était lui qui guidait la sodomie. Il se soulevait même un peu pour s’enfoncer encore mieux en moi et ses coups de zeb, maintenant, me secouaient le corps. Je n’étais plus maitre de la situation, j’étais même assez étourdi de jouissances et sensations follement agréables. Il me dominait de son corps et de son zeb et mon cul brulait de plaisir, j’étais ivre de sexe et ça a duré un bon moment. Quant,soudain il éjacula en puissance, une fois, puis deux et même trois fois, avec abondance, coups de reins violents et gémissements bruyants. Moi non plus je n’ai pas pu retenir mes hurlements à chaque coup de rein et éjaculation qui se projetait en puissance et en torrents dans le fond de mon cul, sperme brulant et jouissif. Dans mon étourdissement de plaisir, je l’ai quant même entendu murmurer dans ses halètement que ma Terma était délicieuse et mielleuse. Cela ne m’a pas surpris que dans sa jouissance, il qualifiait les bonnes sensations que recevait son zeb du fond de mon cul, aux qualités des meilleurs mets de sa cuisine. Je savais qu’il aimait toujours goûter les uns et voila que mon cul lui donnait aussi à goûter les qualités de ses jouissances sexuelles.
A la fin de ses trois grandes éjaculations, son zeb continuait à vibrer, à donner de petites secousses au fond de mon cul pour se vider des restes de son sperme, et ce furent aussi des sensations de jouissances pour moi. C’est ainsi que je suis resté longtemps, assis sur ses cuisses avec son zeb en moi, d’autant plus qu’il me remplissait agréablement tous les coins et recoins de mon cul. Chaque fois que je bougeais un tant soit peu mon derrière, des ondes de jouissances m’inondaient de la Terma vers l’ensemble de mon corps. Ce n’est qu’après un moment que ça s’est calmé et c’est lui qui m’a repoussé pour me relever. Tant pis pour lui, son sperme suintait encore entre mes fesses mais coulait aussi vers ses cuisses et son pantalon. Moi, je me suis baissé pour happer son zeb et le sucer et lécher pour gouter les restes de son sperme et le nettoyer. J’étais debout, nu à partir de la ceinture, le sperme coulait toujours de mon cul sur le sol. C’était sa faute, il y en avait beaucoup trop dans ses couilles, et j’étais sûr qu’il était habitué à ces débordements sexuels dans sa cuisine. Ensuite je me suis nettoyé dans la cuisine même et j’ai enfin pu terminer mon petit déjeuner, les besoins de mon cul avaient pris, tout à l’heure, la priorité contre les besoins de mon ventre. Boubakar s’était levé et a enlevé son pantalon pollué à la braguette, puis il est allé vers le fond, dans sa chambre, certainement pour se changer.
En marchant, je voyais son zeb qui se balançait à droite et à gauche car il s’était amolli un peu mais il était encore assez long et assez lourd de chair et de muscles pour me donner des frissons d’envie rien qu’à le voir ainsi en mouvement érotique. J’avais encore envie de niquer avec lui et tout de suite. Les démangeaisons agréables qui recommençaient dans ma Terma me disaient d’aller rejoindre Boubakar dans son lit pour toute la matinée, j’avais réellement du travail en retard et urgent dans les bureaux. Alors, je suis parti au travail pensant à ce soir où j’espérais encore jouir de ce zeb dans le lit de Boubekeur. Mais mon esprit était toujours excité et il m’a suggéré des fantasmes pour le plan de ce soir. J’ai rêvé de faire jouir mon cul, ce soir, d’abord à Si Larbi vers 20h ou 21h, juste pour une sodomie ou deux, puis le renvoyer. Ensuite, me nettoyer et à 23h, aller chez Boubakar et finir la nuit avec deux ou trois sodomies avec son gros zeb éjaculateur, avant de venir me coucher. J’ai pensé que Terma était capable de se faire niquer par cinq fois, surtout avec le gros zeb du cuistot. Et si l’occasion se présentait, j’accepterais de coucher, ensemble avec Boubekeur quant il recevra son autre copain et le laisser jouir de nos deux culs l’un après l’autre ou ensemble, l’un à coté de l’autre, je soumettrais ma proposition qui me fait déjà frétiller de l’anus et me démanger du cul.
Durant la journée, j’ai pensé à mon idée de partager mon cul entre Si Larbi et Boubakar et 18h arrivée, j’étais de plus en plus décidé. Effectivement, au diner, je me suis assis à coté de Si Larbi et son copain habituel. J’étais tellement excité et impatient que même son copain me trouvait bizarre ce soir. J’ai dit que j’avais fait un bon rapport aujourd’hui, je ne sais pas s’il m’a cru mais Si Larbi a comprit mon excitation d’autant plus que je frottais ma cuisse et mon flan contre lui. Dès que nus ayons fini de manger, j’ai poussé Si Larbi vers chez moi. Son copain nous a accompagné, mais arrivés à la chambre, Si Larbi l’a renvoyé, prétextant une affaire privée avec moi et son copain s’est éloigné. Dans la chambre, nous vite fermé la porte et en vitesse, je me suis mis à poil et Si Larbi m’a suivi en se mettant nu. Sur le lit, Si Larbi m’a niquée face à face en me pénétrant avec son gros zeb, dans mon anus offert sous mon zeb et mes couilles relevés par moi vers mon bas ventre. Il s’est couché sur moi et manipulant mes seins, tout en accélérant les vas et viens de son zeb dans mon cul. J’étais trop chaud du cul et je remuais fébrilement et cela a aidé Si Larbi à éjaculer assez rapidement. Puis on s’est reposé quelques minutes et il voulait savoir ce qui m’arrive. J’ai refusé de répondre et il décida de me niquer une seconde fois par derrière et j’ai refusé prétextant avoir des crampes aux gesses à cause du froid. C’était faux, mais ce soir la, je voulais me débarrasser de lui pour aller chez Boubakar. Mais comme cela m’arrivait effectivement parfois, j’avais toujours un tube de pommade en réserve et je l’ai sortie pour tromper Si Lakdar qui m’a cru à la fin et il est parti. J’ai attendu quelques minutes tout en me nettoyant sommairement le cul.
Et juste au moment où je finissais et que j’allais mettre mon pantalon, une silhouette s’est encadrée dans ma porte. J’ai cru que c’était Si Larbi qui revenait, mais en réalité c’était son copain habituel qui me regardait alors que j’avais encore le cul découvert. Je me suis retourné tout en recouvrant mon zeb par devant avec le pantalon et je l’ai apostrophé. Il rigolait et m’a dit qu’il voulait la même chose que son ami. Je commençais à me fâcher, mais il a ajouté qu’il savait tout depuis toujours et que ce soir c’était Si Larbi qui lui avait offert la seconde sodomie dans mon cul et, détail important, une niquée face à face et non par derrière, car, parait-il, j’avais des crampes aux fesses. Ce détail m’assomma car seul Si Larbi savait cela donc il a bien offert mon cul au zeb de son copain pour ce soir. J’étais affolé, mais il m’a dit de ne pas m’inquiéter car il allait me niquer vite et qu’il partira discrètement. Alors je lui ai dit de fermer la porte et j’ai jeté mon pantalon pour me découvrir, par devant à cet ami de Si Larbi. Il a descendu son pantalon et slip et a empoigné son zeb déjà bandé et gonflé. Il était pas mal, bien plus gros et plus long que celui de Si Larbi, mais moins important que celui de Boubakar. Je me suis couché dos au lit et j’ai levé mes jambes et cuisses. Il s’est penché sur moi sans même enlever totalement son pantalon, juste son zeb bien debout horizontal et rapidement, il l’a enfoncé dans mon anus dont j’avais dégagé son espace en soulevant mes couilles et zeb sur mon bas ventre. Son long zeb me pénétra jusqu’à ses couilles bien profondément dans mon cul et mettant ses mains sur mes seins, il commença d’abord par trois ou quatre vas et viens lents et attentifs, certainement pour adapter mon cul à son zeb. Voyant que son gros zeb écartait aisément les muscles de mon anus et qu’il glissait facilement à l’intérieur de mon cul, lubrifié par les restes de sperme de son copain, il accéléra.
Ses vas et viens sont maintenant puissants par les coups violents de ses reins et rapides et nettement meilleurs que ceux de Si Larbi auparavant. C’est pourquoi, au bout d’une dizaine, j’avais déjà des sensations de plaisir et un début de jouissances qui faisaient vibrer ma Terma et amplifiaient les excitations de tout mon corps. Il dansait avec son zeb dans ma Terma en se mouvant à droite et à gauche, puis de façon verticale et il savait y faire. Au bout de quelques minutes j’étais déjà dans les vapeurs, étourdi de jouissance et je hurlais mon bonheur d’avoir rencontré et gouté ce zeb. Malheureusement, il ne resta pas longtemps et ses éjaculations arrivèrent rapidement. Le première, d’un coup de rein vigoureux m’a clouée au lit et j’ai hurlé à me faire entendre de l’extérieur, la seconde et la troisième furent moins choquantes mais toujours abondantes et j’ai ressenti mes entrailles inondées de son jus brulant. Il se colla un peu à moi pour se vider puis il sortit son zeb. J’ai crié de le laisser en moi et il m’obéit, en me pénétrant de nouveau jusqu’aux couilles. Cela a eu un effet formidable, traduit par mon long gémissement de jouissances. Son sperme avait jailli un peu puis s’est bloqué dans mon cul quant il m’a bouché l’anus avec son zeb. Il resta en moi jusqu’à ce que je lui dise de sortir son zeb et il m’obéit.
J’avais l’intention de lui sucer et nettoyer le zeb mais je me sentais fatigué, épuisé, presque étourdi. Je lui ai tendu mon mouchoir mais il avait le sien avec le quel il commençait à se nettoyer le zeb puis il remonta ses slip et pantalon et réintégra son zeb dans sa cage. Il était debout, devant moi alors que j’étais étalé sur le lit, jambes et cuisses écartées sur le lit et son sperme qui me polluait le drap et je ne bougeais pas. Il me demanda si je voulais une autre niquée toujours par devant mais j’avais répondu que j’aurais besoin de lui d’autres fois et aussi par derrière et il répondit qu’ils seront toujours lui et son zeb à ma disposition, plutôt à celle de ma Terma. J’ai ainsi découvert, après le grand Boubakar, un autre vrai niqueur, un vrai mâle viril au zeb puisant et adroit qui se cachait sous les traits de cet homme qui semblait timide, effacé presque invisible, et qui avait un trésor sexuel dans sa braguette. De la main je lui ai fait signe de partir et il a ouvert la porte et il est sorti en refermant derrière lui. Je suis resté un long moment ainsi, toujours choqué par cette sodomie surprise, inattendue mais pourtant si forte, si adroite et jouissante. Ensuite je me suis rappelé Boubakar et ma Terma a aussi répondu présente. Alors, je me suis redressé, nettoyé, lavé et même changé mon drap de lit, puis rhabillé j’ai constaté qu’il était déjà 22h passées.

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