Terma 106 : Mon stage pratique à la ferme agricole pilote (5)

- Par l'auteur HDS Noura -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Terma 106 : Mon stage pratique à la ferme agricole pilote (5) Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-10-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Terma 106 : Mon stage pratique à la ferme agricole pilote (5)
Je me suis dirigé vers la cuisine dont la lumière était éteinte. Il n’y avait personne et je me suis faufilé à l’intérieur vers le fond dans le magasin qui était aussi sombre et silencieux. Puis l’ai continué vers le fond, vers la chambre de Boubakar, c’est alors que j’ai entendu des gémissements et des halètements forts et rapides. J’ai reconnu ceux de Boubakar en pleine bataille sexuelle et les gémissements étaient de quelqu’un d’autre qu’il était en train de niquer. Arrivé à sa porte ouverte, j’ai vu toute la scène. Boubakar, tout nu, était monté sur un cul qu’il sodomisait par des vas et viens vigoureux, rapides et celui qui était sous lui, à genoux sur le lit et tout aussi nu, je l’ai reconnu tout de suite. C’était le jeune ouvrier qui était venu se faire niquer par Boubakar, hier soir, juste après mon départ et ce soir il récidivait mais plus tôt. Sous le gros corps de Boubakar, il paraissait frêle, presque un jeune garçon, mais sa Terma était quant même large et baisable. Je me suis rappelé mon fantasme de la journée et ma Terma m’a répondu par ses démangeaisons et ses chocs vers mon bas ventre. Je n’ai pas hésité et je suis entré dans la chambre.
Boubakar s’est arrêté et s’est tourné vers moi le regard souriant, comme toujours. De même, le jeune ouvrier, m’a jeté un coup d’œil par-dessous, un regard perplexe et apeuré. Encore une fois je n’ai pas hésité, souriant au couple, j’ai ôté en vitesse tous mes vêtements et j’ai montré mon derrière à Boubakar comme une offrande, une seconde offrande à son zeb et je me suis mis à genoux sur le lit, à coté du jeune qui s'est un peu écarté pour me faire de la place. Nous étions maintenant deux culs offerts à Boubakar, cote à cote et j’ai attendu. Il a vite compris et a accepté en rigolant bruyamment. Puis j’ai ressentit les tapes de son zeb sur mes fesses, puis directement son zeb m’a pénétré aussi facilement que ce matin. Son zeb était bien à point, volumineux, puissant, dur mais toujours aussi doux et si jouissif pour moi. Mon cul a tout de suite démarré de m’envoyer ses vibrations et démangeaisons agréables dans mon corps mais surtout ces délicieuses faiblesses dans mon bas ventre. Boubakar est un rapide et son zeb aussi, je le savais, et après quelques vas et viens jouissifs dans le fond de mon cul, il sortit sa queue pour l’enfoncer de nouveau dans le cul du jeune ouvrier à coté de moi. J’ai reçu la plainte de mon cul qui a ressentit ce vide sexuel quant le gros zeb l’a abandonné un moment, mais je savais qu’il allait revenir très vite pour me remplir. Et ainsi, pendant plus d’une demi heure, Boubakar niquait nos culs, alternativement, et avec toute la puissance des désirs de son gros zeb. Il défonçait mon anus puis donnait quelques vas et viens à ma Terma, puis il allait à l’autre anus palpitant pour y enfoncer son zeb et lui donner autant de jouissances. Puis il revenait au mien et ainsi de suite, alternativement, il nous sodomisait comme une seule Terma affamée par ce zeb et augmenter nos excitations et nos plaisirs, nous donner le maximum de jouissances et gonfler à fond son zeb.
Quant son zeb fut bien rassasié de nos deux culs, l’un après l’autre, il fallait bien finir avec l’un des deux, pour y déposer ses éjaculations. Moi, ce matin, il a déjà donné à mon cul, le maximum de jouissances et de sperme désirés. Donc, j’ai proposé à Boubakar qu’il finisse avec l’autre et il a accepté. Ainsi, il continua et accéléra les vas et viens de son zeb dans le cul du jeune ouvrier. Son gros pieu était déjà assez gonflé par nos deux culs et rapidement il arriva à son top et éjacula plusieurs fois et en puissance dans le cul de l’ouvrier, tout en gueulant au maximum. La puissance du plaisir faisait hurler le jeune et ses jouissances le faisaient vibrer. Les coups de reins de Boubakar faisaient vibrer le frêle corps du jeune et toute sa Terma tremblait et claquait contre le bas ventre de l’homme. Entre les mains de Boubakar et sous ses coups de reins comme des butoirs, le jeune homme était une proie facile et abandonnée à son niqueur. Je voyais cela et me demandait comment il supportait tout cela, mais je pense que c’est sa Terma, assez remplie de chair et large qui pouvait tout recevoir et avec plaisir, peut-être. Trois puissants jets de sperme chaud allaient remplir les entrailles du jeune homme et j’ai été presque jaloux de cela, car déjà, mon cul, impatient, me démangeait et criait sa faim de zeb et de sperme. Enfin, les éjaculations terminées, le jeune homme se calma et s’effondra ventre sur le lit. Ainsi, le zeb de Boubakar, se dégageant, bondit avec force, comme s’il était encore affamé de culs à rassasier. Il était debout, droit, à l’horizontale, brillant de sperme, énorme, gonflé maxi et prêt à l’attaque. Boubakar l’empoigna et le dirigea vers moi, vers mes fesses, vers mon anus et mon cul, impatients de l’engloutir et l’avaler jusqu’aux couilles, et je remuais de la Terma et Boubakar rigolait à haute voix. Il se positionna, ajusta ma Terma, défonça avec vigueur mon anus et s’enfonça en vitesse tout au fond de mon cul. Pour moi, le plaisir revint tout de suite, en vitesses et la jouissance de la brusque pénétration me fit hurler comme d’habitude. Il démarra ses vas et viens et les deux organes sifflaient par leurs glissements rapides l’un sur l’autre et ce bruit érotique ajoutait à nos excitations.
Mais je pensais qu’il ne pourra plus éjaculer maintenant qu’il s’est vidé dans le cul du jeune homme. Pourtant son zeb était presque aussi dur qu’auparavant. Alors j’ai décidé de le provoquer. J’ai secoué ma Terma et le l’ai repoussé, il s’est écarté surpris mais restait à genoux sur le lit. Alors, je me suis retourné pour me coucher dos sur le drap et j’ai écarté jambes et cuisses en les levant haut et large. Il a vite compris et s’est rapproché de nouveau, empoignant son zeb. J’ai écarté mes organes sexuels pour lui offrir toute la zone de mon anus par-dessous et il enfonça son gros zeb dans mon cul, profondément jusqu’aux couilles et s’étala sur ma poitrine, en me donnant des baisers sur le cou et cherchant ma bouche. Ses mains, comme toujours torturaient mes seins et il commença sa série de coups de reins qui faisaient glisser avec excitations son zeb à l’intérieur de mon cul. Encore une fois, il me dit qu’en niquant ainsi, il avait la nette impression de baiser avec une femme, avec sa chatte, ses seins, sa bouche, son cul, tout le corps de la femme et cela amplifiaient le gonflement de son zeb et le remplissage rapide de ses couilles. Il me niqua ainsi presque dix minutes en gueulent en permanence et me donnant du plaisir et des jouissances qui m’ont encore amené rapidement à l’étourdissement. Mes bras autour de son cou, je lui offrais tout mon corps.
Et mes jambes et cuisses autour de ses reins, je le poussais avec mes pieds à mieux s’enfoncer encore plus loin dans mon cul, dans mes entrailles, et je hurlais de plaisir total. Je m’étais abandonné à lui et son zeb me remplissait à fond et j’attendais son plaisir final car je savais qu’il avait retrouvé toute sa puissance, sa vigueur pour moi. Et effectivement, à un moment, il s’immobilisa soudainement et une fraction de seconde, son éjaculation me bombarda les entrailles de son jus chaud et merveilleux. Il éjacula quatre fois, plus qu’avec le jeune et puissamment et à chaque jet, un violent coup de rein et un plaquage serré de son bas ventre contre mon anus. Les trois autres jets furent plus calmes, sans hurlements de notre part mais une sensation totale, presque gênante d’inondation dans mes entrailles. Je ne ressentais plus son zeb dans ce tsunami de sperme. Il resta en moi-même après la fin de ses jets mais son zeb vibrait toujours au fond de moi. Je lui serrais le zeb avec des pressions qui me permettait de sentir la totalité de sa chair et il répondait automatiquement par des vibrations qui m’offraient autant de jouissances. Enfin, il se retira et son sperme jaillit de mon cul le long de mes fesses puis sur le lit. Comme ce matin sur son pantalon, je lui disais que c’était sa faute si le volume de ses éjaculations était énorme. Il en rigolait comme toujours et se coucha au milieu de ses deux victimes.
Son lit était assez large pour nous trois mais on se serrait agréablement. Il eu une idée bizarre qui m’enchanta par la suite. Il se déplaça sur le lit pour me mettre au milieu. Il se mit derrière moi, son zeb contre mon cul et me dit d’en faire autant avec le jeune dont j’ai mis son cul contre mon zeb. Le contact de la large Terma du jeune gonfla mon zeb et j’ai cherché son anus, il m’aida en gonflant son derrière et écartant ses fesses. Grace aux restes de sperme de Boubakar dans son cul, mon zeb pénétra le cul du jeune facilement et j’ai poussé jusqu’à mes couilles contre ses fesses. Son cul était chaud et doux et mon zeb se gonflait encore plus. Soudain, derrière moi, le zeb de Boubakar chercha mon anus et, avec mon aide, il réussit à me pénétrer jusqu’aux couilles de mon niqueur. Nous étions en chaine, Boubakar me niquait et à chacun de ses coups, mon zeb bougeait dans le cul du jeune. Nous avons joué ainsi un long moment et nos excitations ont augmenté à fond et avec des sensations de jouissances et des gémissements et hurlements parfois. Je n’arrivais pas à mieux sodomiser le cul du jeune et je l’ai dis à Boubakar qui a ainsi retiré son zeb de mon cul. Alors j’ai poussé le jeune à se remette à genoux et moi derrière ses fesses. Puis j’ai enfoncé mon zeb dans son cul en agrippant sa belle Terma et je commençais à le niquer normalement. Soudain, Boubakar, toujours avec des idées folle, s’était mis derrière moi, presque debout, les pieds sue le lit, et il enfonça son zeb dans mon cul et commença à me niquer à la verticale par des coups de reins et de zeb vigoureux. A chaque coup, moi aussi je m’enfonçais et niquait le cul du jeune. Et nous avons niqué à trois ainsi, pendant encore un bon moment. Et c’est moi qui est arrivé au top le premier et j’ai éjaculé par trois fois dans le cul du jeune qui restait, stoïque, à genoux et la Terma en l’air, offerte à mon zeb.
Quant j’eus fini, je suis resté dans son cul et c’est alors que Boubakar qui s’était aussi arrêté pendant mes éjaculations, mais toujours dans mon cul, démarra sa série de vas verticaux, me collant le corps contre celui du jeune. Je laissais faire et suivait les sensations du zeb de Boubakar dans mon fond. Je doutais sur Boubakar d’arriver à la jouissance. Et pourtant après une cavalcade d’une trentaines de pénétrations violentes excitantes et des vas et viens frottants agréables, son zeb arriva à déclencher ses couilles qui réagirent avec trois éjaculations. A chacun de ses jets, Boubakar se colla à ma Terma et hurla son plaisir. A la troisième, moins forte, il resta collé et tout son corps pesa sur mon dos. Je fus obligé de me coucher sur le jeune qui à son tour s’étala sur le lit. Je ne sais plus combien de temps nus sommes restés ainsi, en sandwichs, tous les trois. J’ai pensé que j’avais bien réalisé mes fantasmes au delà de mes espoirs. J’ai même enculé le jeune et ma Terma a été sollicitée plusieurs fois ce soir. On s’est ensuite disloqués et c’est le jeune, le premier qui a couru se laver et nettoyer, ensuite s’habiller et il est parti rapidement sans un mot. Boubakar m’a dit qu’il doit se lever de bonheur pour son travail. Nous sommes restés ensemble, mais j’étais assez épuisé et ma Terma devait être rassasiée ce soir.
Nus, couchés sur le lit, il m’a dit qu’il avait ressenti du sperme dans mon cul dès le début, au moment où il m’enculait à coté du jeune. Je n’ai pas répondu, mais il a ajouté qu’il avait de l’expérience et sait quant une Terma garde un peu de sperme pour son plaisir et ses lubrifications internes, et c’était le cas de la mienne. Je n’ai pas encore réagi, alors il finit par me dire qu’il savait que j’avais déjà offert mon cul à un autre zeb qui a ensemencé ma Terma et elle a gardé son petit souvenir, alors il m’a demandé qui m’avait niqué avant lui. Je restais silencieux mais je ne pouvais plus lui cacher mes autres amants. Il a ajouté que ce n’était pas important pour lui et qu’au contraire, une Terma qui nique partout est une bonne niqueuse et il aimait cela. Alors je lui ai tout raconté sur Si Larbi, le premier avant lui, puis le copain qui s’est infiltré dans l’affaire et Boubakar rirait, rirait des conditions et circonstances de mes aventures sexuelles. Il se coucha sur moi, face à face et j’ai ressenti que son zeb s’était excité et rebandé et regonflé. Il me poussa à écarter mes cuisses et jambes et poussa son long zeb entre mes cuisses et me demanda de lui serrer le zeb, ce que je fis avec plaisir et rapidement j’ai eu des jouissances. Je sentais la vigueur et la dureté de son zeb entre mes cuisses et ça me faisait frissonner. D’ailleurs, même derrière, ma Terma me démangeait de nouveau. C’était pas possible, mais les faits étaient la, mon cul avait encore envie de ce zeb et, le plus beau, c’est que lui aussi avait envie d’une nouvelle sodomie, malgré tout ce qu’on a fait auparavant.
Mais on se sentait différent dans l’approche de cette nouvelle envie. Le plaisir arrivait même avant que le zeb et le cul ne se touchent, c’était plutôt nos corps qui recevaient les envies de son zeb, pour lui et de mon cul pour moi. Et ce qui devait arrivait arriva. Nous nous sommes caressés, embrassés, pelotés mutuellement un long moment et nos excitation montaient en flèche. Mes cuisses se frottaient aux siennes et à son zeb et ses mains caressaient mes seins et ses lèvres léchaient mon cul et pénétrait ma bouche pour s’enrouler et sucer la mienne. Mes jambes, derrière son dos caressaient son derrière, ses reins et mes pieds s’infiltraient entre ses fesses. Ensuite, sans presque me rendre compte, car mes jambes étaient dans son dos, son zeb s’était glissé sous mes couilles et caressait mes fesses et mon anus. Et à un moment, j’ai ressenti que son zeb était déjà en moi, il avait traversé en cachette et sans effort mon anus et m’avait pénétré le cul. Il était déjà en moi et faisait ses glissades affolantes dans mon cul. Je mouillais du cul et il m’a dit qu’il était en train d’éjaculer faiblement et j’ai ressenti cela. Son sperme coulait lentement et avec jouissances, sans violences, sans coups de reins mais son zeb tressaillait doucement aux faibles éjaculations, et le plaisir qui en découlait était infiniment plus jouissif que pendant les éjaculations précédentes, normales. Il ensemençait mon cul en douceur, sans effort et je me sentais tout à lui, sans résistance. Il possédait mon cul et mon intérieur, et moi, je possédais son zeb dans toute son épaisseur et sa longueur. Une merveilleuse sodomie, la première du genre pour moi, à l’issue de cette fameuse soirée. Après avoir épuisé toute sa charge de sperme, son zeb se coucha, pour la première fois, à l’intérieur de mon cul et je l’ai ressenti. A cet instant inédit, Boubakar et moi nous nous sommes regardés et il a éclaté de son fameux rire gargantuesque et moi, et moi, je souriais à ma Terma qui a, enfin, vaincu son gros et puissant zeb.
Mais comme le temps est passé, on a continué à nous caresser et jouir ensemble de nos corps pendant un long moment, ensuite on s’est détachés. Enfin, je me suis nettoyé et rhabillé rapidement pour partir enfin et laissant Boubakar et son zeb, étalés sur le lit de leurs exploits. Pour le reste de mon stage, j’ai décidé de continuer à planifier les sodomies de ma Terma, avec Si Larbi et son timide copain, Boubakar et le jeune ouvrier et réfléchir comment aguicher et pêcher d’autres zobs solides parmi les autres ouvriers. De bonnes perspectives sans oublier mon rapport de stage.

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