Terma 107 : La femme du client a toujours raison (1)

- Par l'auteur HDS Noura -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Terma 107 : La femme du client a toujours raison (1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-11-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Terma 107 : La femme du client a toujours raison (1)
Je suis Tarik, 50 ans, chauffeur de taxi commun, pour longues distances, depuis plus de 20 ans. Il y a deux jours, j'ai vécu une belle aventure en faisant taxi pour un certain Hadj Kouider, sa femme et sa mère. Il était presque 20h et j’allais décrocher pour aller chez moi, quant cet homme visiblement âgé de plus de 50 ans et fatigué, m’aborda pour une course pour lui et sa famille. Je croyais que c’était en ville, mais c’était pour aller dans une autre ville loin de 400 kms d’ici. En effet, sa vielle mère, malade, avait rendez vous dans une clinique, le lendemain à 8h du matin où sa elle devrait subir une opération. J’ai répondu que ma journée était finie et je conseillais de chercher un autre taxi, mais malgré mon aide, on n’a trouvé aucun autre chauffeur le coin pour cela, alors je les ai pris en charge. Il est monté devant, à coté de moi, sa mère et sa femme voilées sont montées sur les sièges du milieu, derrière nous, et les places du fond sont restées vides. On est passé à la station pour faire le plein d’essence car on pense arriver vers 6h du matin, et on est parti. Je prévoyais, sur la route, un arrêt vers minuit dans un petit restaurant pour diner et un autre pour le petit déjeuner, dans un café à l’entrée de notre ville de destination.
Après une heure de route, le sommeil commença à agir sur mes clients, mon voisin fermait les yeux, de temps en temps. Dans mon rétroviseur, la vielle mère derrière moi dormait profondément, on l’entendait ronfler légèrement. A coté d’elle, derrière moi, la femme s’était aussi assoupie et sa tête était inclinée sur l’épaule de sa belle mère. Malgré la semi obscurité de la voiture, j’ai pu observer un peu son visage assoupi car son hijab, genre boutonnée par devant s’était un peu ouvert sur sa poitrine et son voile de visage était abaissé sur son menton pour lui permettre de mieux respirer. Grace aux lumières le long de la route, je distinguais mieux son visage. Elle semblait jeune, pas plus de 30 ans, blanche de peau, un visage plein et de belles joues et du rouge sur ses lèvres. Rapidement je me suis désintéressé d’elle et m’occupait de la route. Un quart d’heure après, mon client s’est secoué car sa femme l’a réveillé pour lui murmurer quelque chose à l’oreille. Il se pencha vers moi et me demanda de m’arrêter sur le coté, ce que je fis rapidement. Puis il ouvrit la porte et me dit que sa mère doit faire ses besoins urgents, à cause de sa maladie. Je lui ai conseillé qu’on s’arrête un peu plus loin, juste à coté d’un pont et caché par un bosquet d’arbres, mieux que cet endroit totalement découvert et il reprit sa place. Je connaissais ce coin et arrivés à l’endroit, j’ai engagé mon taxi un peu à l’intérieur du talus, loin de la route et j’ai allumé l’intérieur, puis je lui ai montré le bosquet d’arbres un peu plus loin. Il sortit sa mère doucement et l’aida à aller sous les arbres. J’avais pensé que ce serait sa femme qui amènerait sa mère, mais chacun a ses devoirs habituels.
Je restais donc avec sa femme, qui entre temps, avait arrangé son hijab et son voile. Elle avait de grands yeux noirs et elle me fixait, dans le rétro, sans gêne. Je lui ai montré le bosquet et elle me dit doucement qu’ils vont tarder, car la mère avait des problèmes et elle le sait. Je ne sais pas ce qui m’a prit mais je lui ai souri, alors, elle a abaissé son voile pour me montrer tout son visage. J’ai alors confirmé ce que j’avais un peu deviné avant, un beau visage blanc et joufflu et des lèvres pulpeuses et rouges, et elle me souriait aussi. Son audace et sa féminité ont troublé ma virilité, et je crois qu’elle s’en est aperçue. Puis elle m’a dit d’éteindre la lumière qui la gênait, ce que j’ai fait. Alors, elle déboutonna d’en haut son hijab et l’écarta largement sur elle et sur sa poitrine. Sa robe interne, sous le hijab s’arrêtait bien bas et le sillon de ses seins était bien visible et profond, ce qui m’a permit de voir une partie de la chair de ses seins blancs laiteux et gonflés. Tout de suite, mon zeb s’est réveillé et a bondit dans mon slip et ma main a plongé sur ma braguette, geste qu’elle a vu et qui l’a fait glousser dans son sourire. Elle mit sa main sur le haut de sa robe et la tira vers le bas, ce qui me découvrit encore plus la chair gonflée de ses seins, maintenant j’en voyais pratiquement la moitié. J’étais entièrement tourné vers elle, ma main gauche pressant mon zeb dans ma braguette et j’ai lancé mon autre main vers elle, par-dessus mon dossier, et elle la prit dans la sienne. Puis elle la guidée dans l’échancrure de ses seins. J’ai empoigné son sein, il était ferme, doux, plein et gonflé.
Mon zeb se gonfla encore plus, alors, avec adresse, j’ai ouvert ma braguette et écarté mon slip. J’ai pu ainsi dégager mon zeb qui a bondit et s’est dressé presque vertical. Elle avança vers mon dossier, se pencha et regarda mon zeb, puis, avec un coup d’œil vers le bosquet d’arbres, elle avança son autre main entre les sièges du devant et empoigna ma queue. Ce fut un choc formidable pour moi et mon zeb augmenta de volume. Ce fut aussi un choc pour elle car elle souffla fort un « Ahhhh ! » de désir. Elle commença à me branler doucement et ses « oh ! oh ! » saccadés de désir augmentèrent aussi de volume, sans gêne. Son autre main, j’ai vu qu’elle l’avait plongée en bas sous son hijab et sa robe, certainement vers sa chatte brulante. Et ainsi, elle branlait mon zeb d’une main et sa chatte de l’autre, en même temps, elle avait fermé ses beaux yeux, alors c’est moi qui surveillait la zone du bosquet. J‘étais tellement excité par cette opportunité inédite que je suis arrivé rapidement à mon top et je lui ai dis que j’allais éjaculer pour retirer sa main. Mais elle m’a regardé avec des yeux brillants, une bouche ouverte et des halètements saccadés et me dit « tayar ! tayar ! khali zebek yatnaffass ! » (éjacules ! éjacules! laisses ton zeb respirer). Alors j’ai tout lâché et j’ai éjaculé par trois fois, dans sa main qui me tenait fort, sur mon pantalon et loin sur le tableau de bord. Quant j’eus fini, elle continua à me branler aidée par mon sperme. Et mon zeb ne m’a pas trahi, il restait gonflé et dur, vertical.
Après un moment, elle pressa mon zeb pour récupérer du sperme sur ses doigts et le creux de sa main. Puis elle retira enfin sa main polluée et l’amena à sa bouche pour la lécher, sucer ses doigts et gouter mon sperme, ses yeux brillaient de satisfaction. J’étais étonné et presque étourdi, avec mon zeb en l’air mais les yeux toujours de temps en temps vers le bosquet. Ils y mettaient du temps, la mère et son fils. Tant mieux pour moi et pour cette femme qui offrait son sein et jouait avec le zeb d’un étranger, sans hésiter, sans honte ni gêne. Enfin, j’ai sorti mon mouchoir pour me nettoyer ainsi que mon pantalon et le tableau de bord. Elle remonta sa main qui branlait sa chatte et la remplaça par celle polluée par mon sperme. Elle me chuchota, les yeux brillants de désir «khaliha souti t’chom ri7at zebek » (laissons ma chatte sentir ton sperme et l’odeur de ton zeb) et elle continua à se branler la chatte. J’étais maintenant certain que ce n’était pas une épouse normale, une épouse qui n’a peur ni des gestes ni des mots cochons ou interdits. Cette femme est soit une folle, soit une hystérique du sexe, soit une putain amatrice de zobs et qui trompe son mari sans gêne. J’étais sûr que si l’occasion se présentait, je pourrais la niquer facilement. Elle aimait déjà mon zeb et son sperme. Alors je le lui ai murmuré « zebi chahi inikak ! » (mon zeb désire te baiser) . Elle gloussa fermement de plaisir dans son sourire et continue à se branler sous sa robe. Soudain elle accéléra ses halètements, ferma les yeux, pencha la tête en arrière, souleva encore plus son haik et sa robe presque à sa poitrine et lança un petit cri. J’étais sûr qu’elle venait de réussir à se donner un orgasme avec la main qui a branlé mon zeb puis chatte. Un instant de bonheur et de plaisir en face d’un étranger, ce qui doit certainement amplifier ses jouissances. Ensuite, elle me sourit et murmura encore « ri7at e’za’na ou zebek jabat’ha !» (l’odeur du sperme et ton zeb a réussi).
Comme sa robe était soulevée, je me suis penché sur elle et j’ai vu son slip écarté sur le coté de sa chatte car ses cuisses étaient écartées. Entre les dossiers, j’ai envoyé ma main vers sa chatte et je l’ai caressée. Puis j’ai enfoncé un doigt et je l’ai un peu branlée. Elle soufflait fort et haletait de nouveau. J’ai continué plus fort et plus vite. Elle avait écarté au maximum ses cuisses s’est penchée en arrière et avait fermé les yeux et j’ai accéléré. Soudain, elle cria de nouveau et sa chatte inonda ma main de sa cyprine abondante. Je venais de lui offrir son second orgasme. Elle rouvrit les yeux et me dit « sa7a ! kh’sara law kane zebek fi souti ! » (merci ! dommage si c’était ton zeb dans ma chatte !). C’est à ce moment que j’ai vu les deux silhouettes sortir, la bas, du bosquet d’arbres, j’ai retiré vivement ma main et avertis la femme. Elle sortit un mouchoir, qu’elle envoya sous son slip remis à sa place, arrangea sa robe et son hijab, se couvrit les seins et la tête puis cacha son visage sous son masque et recula, menue sur son siège.
Le client et sa mère arrivèrent, et je suis sorti pour les aider à ouvrir la porte. Enfin la mère s’installa et sa belle fille se pencha sur elle, tendrement. Puis, le client et moi, nous reprenons nos places, devant, et j’ai repris rapidement la route. On avait perdu plus d’une demi heure, mais moi, mon zeb et la chatte de la femme, on n’a rien perdu, au contraire. Ce qui me gênait, c’étaient les tâches sur ma braguette et mon pantalon, qu’un œil inquisiteur ou soupçonneux pouvait distinguer et interpréter justement. Mais mon client s’est replongé dans son sommeil comme tout à l’heure et derrière, sa mère ronflait déjà doucement. Sa femme, par contre était encore éveillée et dans le rétro, quant je l’ai regardée, je crois qu’elle me fit un clin d’œil par dessus de son voile.
On a roulé encore une autre heure sans problème et tous étaient endormis sauf moi. Dans ma tête j’avais toujours envie de baiser cette femme mais il fallait trouver l’endroit et les circonstances. Sur la route je connaissais un autre pont un peu hors de la route et abandonné depuis longtemps et qui avait pas mal d’arbres et de buissons tout autour, en surface et en dessous. Il serait propice aux cachettes et je voulais tenter l’expérience avec cette femme audacieuse, si elle devinait mes intentions. Arrivés au lieu concerné, je me suis écarté de la route et j’ai arrêté le taxi pas très loin du pont et ses bosquets. Mon client se réveilla et me regarda, surpris, mais je lui ai dit que j’avais quelques besoins à faire et, compréhensif, il me sourit. Je suis sorti et, plus loin, je suis descendu sous le pont, dans le couvert des arbres et buissons et j’ai attendu. Et comme prévu, j’ai vu la femme descendre de la voiture, avec son mari et se diriger vers le pont. Le mari s’est arrêté en surface de l’autre coté du pont et a allumé une cigarette, et sa femme est descendu sous le pont pour faire ses besoins. J’ai compris qu’elle a saisi l’occasion et choisir cette excuse, comme moi, pour s’éloigner de se la vue de son mari. Je l’ai vue descendre sous le pont, elle se cacha de la vue du mari dans les buissons. Alors je suis passé doucement sous le pont, vers elle, et discrètement je me suis rapproché d’elle. Son mari était resté plus haut, sur le pont, de l’autre coté et fumait sa cigarette.
Elle restait debout, j’étais certain qu’elle m’attendait. Et dès qu’elle m’a aperçu, elle remonta son hijab et sa robe et, les tenant par la bouche, elle enleva totalement son slip. Elle était face à moi, nue au dessous de la ceinture, alors moi aussi j’ai sorti mon zeb et je l’ai empoigné et dirigé vers elle. Son mari ne pouvait pas nous voir, d’ailleurs il s’est dirigé vers la voiture pour se rassurer de sa mère. J’avais pensé qu’elle allait prendre mon zeb et le sucer, mais elle m’a tourné le dos et soulevant ses vêtements, elle me tendit sa croupe en se penchant et écartant ses jambes et cuisses. J’étais idiot, elle connaissait déjà mon zeb et lui offrait sa chatte par derrière. J’ai tâtonné de la main et trouvé sa chatte sous son cul, et avec mon autre main, j’ai enfoncé mon zeb dans sa chatte par derrière. Elle gémit et gloussa en même temps « Ahhhh ! oh !oh ! ». J’ai empoigné ses larges hanches à deux mains et j’ai démarré une série de vas et viens rapides, essayant de faire le moins de bruits possible. On essayait d’étouffer nos souffles pressés et nos halètements rythmés par mes vas et viens du zeb dans sa chatte. Et c’est justement ce bruit humide de sussions de mon zeb dans la chatte qui nous gênait le plus. J’ai ralentit pour l’atténuer mais elle me pressa d’accélérer et j’ai obéis, tant pis pour le bruit de sa chatte avec mon zeb. Il fallait faire vite. J’étais encore plus excité que tout à l’heure et espérais lui donner un orgasme et éjaculer vite. Elle roulait du cul pour exciter plus vite mon zeb et sa chatte.
Elle s’y connaissait la putain. Sa chatte était profonde, chaude, brûlante et douce. Et effectivement, très vite elle se bloqua et je l’entendis gémir deux fois ses « Ahhhh ! oh! oh !» prolongés et étouffés. Sa chatte, à priori très sensible, venait d’exploser de son orgasme public, qui noya mon zeb et coula sur mes cuisses. J’ai repris mes vas et viens violents et rapides et elle roula encore sa croupe. La haut, son mari n’était pas encore revenu sur le pont, pas de cigarette allumée. J’étais quant même inquiet et j’ai encore ralenti pour ne pas faire de bruit, je craignais le retour du mari. Encore une fois, elle m’a rassuré « ma tkhafach ! nikni ! nik ! » (ne craints rien ! baises moi ! baises !). Alors j’ai repris mes vas et viens mais j’étais quand même inquiet. Elle ajouta « rah ichouf fi yemah m’ridha » (il est allé voir sa mère malade). Et elle m’ordonna avec autorité et en roulant sa croupe « zid ! 7oukli ! nik ! achtar kammali ! tayar ! » (encore ! frottes moi ! baises ! dépêches toi de me finir et d’éjaculer). Alors j’ai encore accéléré, ne tenant plus compte des bruits que nous faisons par nos halètements, nos gémissements peu étouffés et même nos organes sexuels qui sifflaient par leurs frottements mutuels. Ce n’était pas possible qu’on ne nous entende pas. Heureusement que je commençais à ressentir les prémices du plaisir dans mon zeb et mon bas ventre, j’allais bientôt éjaculer. Quant, soudain, son mari l’appela de se presser du haut du pont et alluma une autre cigarette. Je ne l’avais pas vu revenir, j’étais terrorisé, j’étais sûr qu’il nous entendait, il m’avait coupé mon plaisir qui arrivait. Mais elle avait du sang froid, contrairement à moi qui avait presque déjanté de sa chatte. Elle lui répondit d’autorité et presque en criant « khalini n’kamal ! fi qardhi ! rou7 lyamak ! rou7 ! » (laisses moi terminer à mon aise ! vas à ta mère ! va ! ). Je ne sais si elle parlait de terminer à son mari, pour ses besoins naturels ou pour notre baise. En tout cas, il obéit et s’éloigna encore du pont, vers sa mère. Et à moi, elle m’ordonna « 7ouk ! 7ouk ! raha jaya ! 7ouk ! nik ! ma t’khafach ! » (frottes ! frottes ! elle arrive ! frottes ! baises ! ne craint rien ! ). C’était un ordre sans discussions à moi et à son mari.
J’ai alors accéléré mes coups de reins comme un fou pendant qu’elle roulait de la croupe en gémissant. Soudain, elle poussa encore un long gémissement avec son « Ahhhh ! oh ! oh ! » prolongé de plaisir et de jouissances et sa chatte explosa de sa mouille encore une fois et en abondance. La salope, elle a réussi un troisième orgasme public, sans tenir compte de son mari. En tout cas, il était parti du pont, on était tranquille quelques instants. Ce mari, ce n’était pas possible qu’il n’ait rien entendu, rien compris, c’était soit un vrai cocu soit un complice, en tout cas, consentant. Elle a joui complètement de son orgasme et m’a inondé avec, elle s’est un peu calmée. J’avais aussi ralenti mes vas et viens gênés par sa mouille abondante, mais elle m’a encore ordonné calmement « kammal fissa3 ! tayar ! douk zebeb ! nik bizzaf » (termines vite ! éjacules ! pousse ton zeb ! baises en force). Mon zeb était toujours bien gonflé. C’était un ordre et j’ai accéléré avec des coups de reins puissants, violents, claquant mon bas ventre sur ses fesses, en m’accrochant bien à ses hanches, et le plaisir, obéissant comme moi, arriva. J’ai retiré rapidement mon zeb de sa chatte, juste à temps. J’ai empoigné mon zeb dur, mouillé de sa cyprine, pour le branler et éjaculer. Mais la maline, expérimentée, avait compris dès que j’ai quitté sa chatte. Elle s’était retournée face à moi, s’est mise à genoux et a empoigné mon zeb et l’a poussé dans sa bouche. Puis c’est elle qui m’a branlé en puissance tout en me suçant avec délices et en malmenant mes couilles avec son autre main. Elle a même, la salope, poussé un doigt sous mes couilles pour l’enfoncer dans mon anus et a commencé à me branler le cul. Et soudain, ma première éjaculation arriva. En putain expérimentée elle retint mon zeb presque dans sa bouche et réussit à avaler la majeure partie de mon sperme. Son doigt toujours branlant mon cul, un puissant second jet de sperme plongea totalement dans sa gorge ainsi que le troisième et le peu qui vint après. Ensuite elle libéra mon zeb, lui donna deux ou trois baisers sonores de la bouche, ôta son doigt de mon cul et me donna son slip en gage de cadeau. Puis elle s’ajusta et remonta rapidement vers le pont et la voiture.
Je restais d’abord debout, son slip à la main, le zeb en l’air et épuisé, presque étourdi, mes jambes tremblaient. Ensuite, j’ai repris un peu mes esprits et ma maitrise. Je me suis nettoyé du sperme qui suintait encore un peu de mon zeb. J’ai enfouit son slip dans ma poche d’où j’ai retiré le mien que j’avais caché auparavant, bien avant de sortir de la voiture, espérant une baise. J’étais sûr qu’elle m’avait offert son slip avec l’odeur de sa chatte en gage d’espoir de le lui rendre plus tard, avec d’autres baises possibles. Espérons, espérons, cette femme était capable de toutes les hardiesses, en tout cas plus courageuse que moi, je dois l’avouer. J’ai remonté mon pantalon et rentré mon zeb, puis je me suis faufilé de l’autre coté sous le pont. Et dans un coin caché, j’ai allumé une cigarette et me suis assis par terre bien assez loin de l’endroit d’où la femme était remontée, pour éviter les soupçons. Quoiqu’avec son mari, cette précaution me semblait presque inutile. C’est le mari qui est venu me voir pour m’informer qu’ils étaient prêts. Je me suis levé et nous avons rejoint la voiture ou sa famille était déjà bien installée. Nous avons repris la route et j’ai attendu presque une demi-heure avant de jeter mon regard sur le rétro et sur sa femme. Elle semblait dormir, les yeux fermés. Par la suite, de temps à autre, je regardais le rétro, mais elle dormait toujours. Elle avait rassasiée sa chatte de baises et gouté à fond le zeb et le sperme d’un homme étranger mais viril, et maintenant elle dormait repue et calme d’un sommeil de juste.
Je me posais des questions, sans réponses, sur ce couple bizarre. J’avais l’impression que le mari savait ce que faisait sa femme et ne faisait rien pour la découvrir, au contraire j’avais l’impression qu’il favorisait ses moments de liberté et de licence. Elle était beaucoup trop sûre d’elle-même dans ses actes sexuels pour avoir peur de son mari, donc elle savait qu’il acceptait et ne disait rien, mais elle tient aux précautions d’usage et de respect, vu la présence de la mère. Demain, quant le mari et sa mère seront à l’hôpital, je pourrais reprendre contact avec sa femme, discrètement bien sûr et, si possible l’amener quelque part pour baiser à notre aise, on verra. Je connaissais un petit hôtel discret dont le patron était un ancien ami et qui pourrait nous convenir.

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