Terma 108: La femme du client a toujours raison (2)

- Par l'auteur HDS Noura -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Terma 108: La femme du client a toujours raison  (2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-11-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Terma 108: La femme du client a toujours raison (2)
On est arrivé à 6h et on a prit des café et des croissants à l’entrée de la ville, puis on a cherché la clinique et à 7h juste on l’a trouvée au moment de son ouverture. Mon client est allé à la réception pour faire les démarches nécessaires, puis il est entré avec sa mère et sa femme. Je suis resté dehors pendant plus d’une heure et enfin le client et sa femme sont revenus me voir vers 9h, pour m’informer que sa mère allait être opérée vers 10h ou 10h30 et sortira vers 11h30 et devra ensuite rester dans la salle de surveillance tout l’après midi jusqu’à 18h avec un parent. Le médecin viendra contrôler et si tout va bien elle pourra sortir de la clinique vers 19h. Le client décida donc de rester avec sa mère dans la clinique jusqu’à la décision finale du médecin vers 19h, mais sa femme lui dit qu’elle a été très fatiguée par le voyage et voudrait un coin pour dormir et se reposer jusqu’au soir. Après renseignements, c’était impossible dans la clinique, alors il me demanda si je connaissais des amis ou une famille où sa femme pourrait passer la journée et se reposer jusqu’à 18h30 et j’ai sauté sur l’occasion en disant que j’avais la famille d’un cousin dans la ville. Il voulait me payer pour ce supplément mais j’ai refusé et il m’a remercié.
Puis il est retourné auprès de sa mère et moi avec sa femme nous sommes retournés à la voiture. Je lui ai dis que je connaissais certes des gens dans cette ville mais, accompagné d’une femme étrangère, j’aurais des problèmes. Par contre, parmi mes amis, je connaissais un patron discret d’un petit hôtel où nous pourrons passer la journée. Elle me souriait et me dit « Ya farkh ! zebek mazal eddawar 3alaya ! » (Bâtard ! ton zeb a encore envie de moi !) et elle gloussa encore bruyamment en ajoutant « souti thani b’date t’sil ! yalah e’nikou » (ma chatte aussi commence à couler ! allons baiser). Et on y est allé, il était presque 9h30. Mon ami patron m’a immédiatement donné une chambre avec grand lit et salle de bain, tout en haut, et il m’a dit, avec le sourire, que nous pouvions gueuler, personne ne nous dérangera. Je connaissais cet homme depuis longtemps et son hôtel louait des chambres à des couples illégitimes qui veulent baiser discrètement. Il était très velu et assez gros avec un ventre rebondi mais il était amateur de femmes et grands baiseur. Il se faisait payer la chambre avec de l’argent mais souvent, si la femme lui plaisait, il proposait au couple de le laisser baiser la femme à la place du loyer. Et souvent, ça marchait car c’était des économies pour l’amant et du plaisir sexuel supplémentaire pour la femme infidèle. Nous sommes d’abord allé acheter de quoi manger et boire puis nous avons rejoins ce nid pour adultères librement consentis.
Immédiatement à poil tous les deux, on s’est admiré car on avait baisé tout à l’heure avec la complicité aveugle de l’obscurité. La, devant moi, mon zeb a bondit à l’horizontal, dès qu’il a vu ce corps jeune, plein, aux seins merveilleux, aux fesses blanches, charnues et rebondies, aux cuisses superbes, aux lèvres pulpeuses et aux joues rosies par le désir. Et elle, attirée par mon pieu épais et gonflé, elle s’est jetée sur lui en l’empoignant à deux mains. Elle me poussa à m’allonger, le dos sur le lit, le zeb en l’air et elle se coucha sur moi, à l’envers, tête bêche, en 69. Elle m’offrait ainsi son derrière, ses belles fesses charnues, son bas ventre, ses cuisses et sa chatte dont j’ai pris possession par mes doigts, puis ma bouche et mes lèvres. Elle, de son coté avait avalé mon zeb, elle le léchait et le suçait jusqu’aux couilles qu’elle soupesait et caressait, puis elle me branla avec vigueur. Sa chatte était chaude, avec de belles lèvres rouges, gonflées et douces, leur petit gardien était aussi gonflé et dur de désir, elle était à point. Ne résistant plus, je l’ai secouée pour nous mettre normalement, son dos sur le matelas et moi au dessus d’elle et elle ouvrit largement ses jambes et cuisses. Elle était belle, merveilleusement femme et sa chatte brillait déjà de sa mouille. Rapidement mon zeb se pointa devant sa chatte et d’un coup de rein vigoureux, presque violent, je l’ai pénétrée profondément, jusqu’aux couilles.
Nos bas ventres claquèrent et elle gueula un bon coup « ya m’ma ! » (ô maman !) et ajouta « hadha zeb ki loutad ! khchine wa 7lou ! » ( voila un zeb comme un pieu ! gros et délicieux !). Elle était excitée et sa chatte chaude et profonde. Je l’ai aussi embrassée et elle m’a bien donné sa bouche et ses lèvres à sucer. Elle se donnait à fond sans aucune gêne comme si j’étais son époux et encore mieux. Elle a enroulé ses jambes autour de ma taille et, de désir, ses pieds poussaient mes reins pour m’emprisonner dans sa chatte et enfoncer mon zeb encore plus en elle. Ainsi, je l’ai baisée pendant plus d’une demi-heure, alternant mes vas et viens, avant et arrière et parfois haut et bas, la clouant sur le lit par des violents coups de reins quant mon zeb s’enfonçait dans sa chatte qui avait explosée par trois fois déjà. Trois orgasmes bruyants, abondants qui la faisaient vibrer sur le lit. Et quant mon plaisir allait arriver, je me suis dégagé et après trois ou quatre branles, j’ai éjaculé, pas dans sa chatte d’épouse, mais sur les poils de son pubis, sur son bas ventre et plus loin, sur ses seins. Elle était presque évanouie et respirait fort et continuait à haleter d’une jouissance continue. Je l’ai laissée se reposer quelques instants tout en l’embrassant et pelotant ses seins alors que mon zeb se frottait encore sur son bas ventre.
En effet, mon zeb restait dur, et le corps de cette femme m’affolait. Alors, je l’ai retournée et mise à genoux pour m’offrir sa belle Terma et sa chatte par derrière. Bien en position et à genoux entre ses cuisses largement écartées, j’ai encore une fois enfoncé mon zeb jusqu’aux couilles et tout au fond de sa chatte. La aussi, ma pénétration a été rapide et elle a encore hurlé de jouissances. Mes mains bien accrochées à ses larges hanches charnues, je l’ai baisée pendant plus d’un quart d‘heure avec des vas et viens accélérés, des cris et hurlements de part et d’autres et des orgasmes continus dans sa chatte. Elle n’arrêta pas de dire des mots cochons, mais moi aussi j’étais noyé dans des jouissances continues. Enfin, mon plaisir arriva encore une fois avec force, alors j’ai sorti mon zeb et j’ai éjaculé sur ses fesses et son dos. Restée à genoux, les fesses en l’air, la tête sur le lit, elle avança une main sur ses fesses pour récupérer un peu de mon sperme et le glissa dans le sillon vers son anus. J’avais compris et avec un doigt, je l’ai aidée à pousser encore plus de sperme dans son trou de cul et mon doigt s’est enfoncé avec facilité.
Alors puisque mon zeb était déjà lubrifié, je l’ai positionné sur son anus et j’ai poussé doucement mais avec volonté. Elle se tortilla un peu le derrière, me disant qu’elle ne voulait pas, mais je lui ai dis que son cul avait peut-être un autre avis, et j’ai continué à pousser. Une partie de la tête de mon zeb réussit à la pénétrer un peu car je voyais que son anus s’ouvrait presque facilement, alors j’ai poussé encore et la tête la pénétra complètement. Elle gueula un bon coup, et essaya de me repousser et je me suis arrêté. Je lui ai tapoté doucement les fesses et je lui ai murmuré de se calmer puisque le plus gros, c’est à dire la tête de mon zeb, était passée. On est resté bloqué un moment pour calmer son éventuelle douleur et adapter son cul à mon zeb, puis j’ai recommencé à pousser. Elle gémissait mais je tenais fermement ses hanches depuis le début, et mon zeb s’enfonça petit à petit dans son cul. Son anus était bien écarté et mon zeb glissait très facilement. Quant je suis arrivé aux couilles, je me suis arrêté et je lui ai demandé que maintenant ce sera à elle de bouger son derrière comme elle pouvait, lentement pour ressentir mon zeb dans son cul et l’accepter plus facilement. Elle commença à bouger sa Terma sur mon zeb auquel elle fit, d’elle-même, de l’intérieur de son cul, des mouvements de pressions alternatives, très agréables en tout cas pour moi. Après un moment, elle semblait être plus à l’aise et le fond de son cul se mouvait avec délices sur mon zeb.
Alors, j’ai commencé à faire reculer mon zeb vers l’arrière mais sans sortir complètement de son cul. Ce fut un moment exquis de jouissances pour tous les deux car, en phase avec mon souffle « A777 ! » de plaisir, elle a aussi exprimée un long « A777 ! 7louwa ! 7louwa ! » ( A777 ! délicieux ! délicieux ! ). Du moment qu’elle a commencé à gouter du plaisir et éprouvé des jouissances, c’est que mon zeb et son cul se sont adaptés. Alors, nous avons répété ces vas et viens, une dizaine de fois, avec des lenteurs adaptés qui nous offraient des sensations formidables et nos souffles haletants étaient aussi expressifs qu’auparavant. Et on a continué ainsi, jusqu’à ce que le zeb semble glisser sans problème et c’est elle qui me demanda d’accélérer « Nike ! Nikni bezzaf ! douk zebek bi sour3a ! » (encules ! encules moi avec force ! pousse ton zeb et accélère !). Elle ne gémissait plus de douleur mais hurlait de jouissances, et je n’étais pas de reste. Son cul s’était adapté à la grosseur de mon zeb et son dépucelage a été facile, trop facile à mon gout. En tout cas, j’ai démarré une autre série de vas et viens, plus rapides et plus vigoureux dans son cul. A un moment, quant j’arrêtais pour souffler un peu, c’était elle qui me donnait des coups de cul de désir, et faisait des vas et viens sur mon zeb à l’arrêt. Ses fesses claquaient sur mon bas ventre, alors je recommençais à accélérer. Puis j’ai décidé de reprendre la maitrise de l’action. Je retirais complètement mon zeb de son cul, puis, immédiatement après, je l’enfonçais de nouveau dans son cul, avec vigueur et jusqu’aux couilles et je répétais cela plusieurs fois et ça marchait très bien. Elle gueulait de jouissances et moi j’étais dans les cieux du plaisir.
Je l’avais dépucelée, mais j’avais des doutes. C’était facile, à moins qu’elle l’était déjà et que tout ça c’était une comédie de sa part pour me tromper. De même qu’elle avait une grande liberté sexuelle et cocufiait son mari presque avec sa complicité, et que sa chatte était très profonde et expérimentée, il était fort possible que son cul a aussi été visité par d’autres zeb. Ce n’était pas un problème pour moi, et je continuais à la niquer à fond. De plus, j’ai découvert un autre plaisir, parfois je sortais mon zeb de son cul, puis je l’enfonçais dans sa chatte pour quelque vas et viens, ensuite je revenais au cul. Je l’ai ainsi baisée et enculée pendant plus d’une demi-heure, je crois, elle a hurlé plusieurs fois et je pense que sa chatte a eu des orgasmes, mais le plaisir arriva aussi dans mon zeb. J’étais, à ce moment, dans son cul et non dans sa chatte, alors j’ai tout lâché, j’ai éjaculé à fond par au moins trois jets puissants et saccadés, poussés par trois coups de reins violents et quelques autres moins forts. J’ai rempli son cul de mon jus et en abondance. Je savais que je pouvais faire cela, j’avais l’habitude avec quelques putes, amenées pour la nuit dans mon logis de célibataire, de baiser des heures et éjaculer plusieurs fois, mes couilles récupéraient vite. Ensuite, nous sommes allés dans la salle de bain pour nous nettoyer et nous laver. C’est elle qui a désiré me laver tout le corps, insistant sur mon zeb, mes reins et mes cuisses.
Puis nous avons mangé un léger casse croute et bu des rafraichissements. Il était environ 13h et nous étions un peu las pour recommencer tout de suite à baiser, alors elle m’a dit qu’elle avait besoin d’acheter quelques effets et nous sommes sortis de l’hôtel, informant mon ami le patron que nous allions juste acheter des choses et revenir, donc il nous gardait la chambre. Il jetait des coups d’œil excités vers le cul et les jambes de la femme, j’étais sûr qu’il en avait envie. Elle s’en est aperçu et roulait de la Terma pour lui, en réponse à ses regards enflammés. J’ai pensé la lui proposer pour baiser, si elle le voulait et je crois qu’elle acceptera. Avec ma voiture, nous sommes allés au souk des vêtements et, en une demi-heure, elle a rempli un kabba. Malgré que je lui ai proposé de l’argent, elle a refusé et même avec violence, me disant qu’elle n’était pas une pute mais qu’elle s’est donnée à moi, sur la route et ici par plaisir. Je me suis excusé disant que je voulais seulement lui faire un cadeau, mais elle me dit qu’elle ne pourrait pas expliquer ce cadeau à son mari, alors je me suis tu. Elle avait de l’argent et même plus qu’elle n’avait dépensée.
Enfin, nous sommes retournés à l’hôtel vers 14h. Dès notre entrée à la réception, le patron la dévorait encore du regard et lui a fait un clin d’œil bien visible. Alors elle s’est retournée vers lui, a abaissé son voile de visage et lui a souri avec un regard brillant, approbateur. De plus, en remontant les escaliers, à coté de moi, elle a soulevé ses vêtements jusque au dessus des genoux et les serrait sur sa Terma. Ce qui montrait clairement par derrière, le profil net de sa large croupe ainsi que ses superbes jambes laiteuses et bien galbées. J’étais sûr qu’elle draguait cet homme gros et velu qui la dévorait du regard et elle pense que maintenant, il doit bander dur sur elle et cela lui plaisait, l’excitait. Moi, je n’étais pas fâché, ce n’était pas ma femme, au contraire ça m’excitait. On est entré dans notre chambre et, immédiatement, à poils, sur le lit nous avons recommencé à jouer à la bête à deux dos et je l’ai baisée longtemps cette fois et plus gentiment, peut-être une heure et elle a aussi avalé une bonne partie de mon sperme. Ensuite, on allait commencer une autre sodomie quant on frappa à la porte, ce ne devait être que le patron. J’ai remis mon pantalon et ouvert discrètement la porte. En effet c’était le patron qui m’a remis en vitesses une thermos de café chaud, trois tasses avec trois sucres chacune et trois grosses brioches. Il m’a dit de lui répondre ensuite, en bas, et il est reparti tout aussi discrètement. Je n’ai pas compris tout de suite, la gentillesse de mon ami, il doit penser que nos frasques nous auraient épuisés, alors il continue à nous encourager.
Nous avons mangés et bu tout en nous caressant, pelotant et embrassant, en amants excités. J’ai pensé qu’elle savait y mettre de l’ambiance pour faciliter l’intimité sexuelle, une vraie professionnelle. Mon zeb s’est regonflé et allongé et elle l’a caressé, léché, sucé et branlé parfois lentement à me rendre fou d’excitation, et enfin avec frénésie presque à me faire éjaculer. Alors elle s’est recouchée, dos sur le lit, les jambes soulevés sur ses pieds, et en écartant largement ses cuisses, s’offrant à mon zeb, et, encore une fois, ce tableau m’a affolé. Et immédiatement, j’ai empoigné mon zeb tendu et gonflé à fond, je l’ai enfoncé dans sa chatte enflammée. Nous avons baisé longuement et longtemps, en amant amoureux de sexe et déchainés, tout en se donnant de multiples baisers et caresses. Elle a eu plusieurs orgasmes, et à un moment, elle m’a murmuré qu’elle désirait changer et s’assoir sur mon zeb debout, cette position lui donnait plus de libertés et de possibilités.
Alors, je me suis positionné dos au lit, le zeb en l’air et elle s’est d’abord assise sur mon bas ventre. Empoignant mon zeb et se soulevant un peu, elle recula un peu et réussit à plonger mon pieu dur, vertical, dans sa chatte. Puis elle s’assit carrément sur moi, enfonçant mon zeb jusqu’aux couilles au fond de sa chatte, et se frottant le bas ventre sur le mien. Ensuite, elle se donna à fond, en bougeant son derrière, sa Terma, en dansant sur mon zeb. Elle fouillait ses propres entrailles dans tous ses coins sensibles, avec mon zeb et obtint ainsi et rapidement, au moins deux autres grands orgasmes en continue avec son déchainement de cyprine et ses hurlements de jouissances. Mon zeb était enflammé et je l’ai informée que les prémisses de l’éjaculation commençaient à me chatouiller le zeb. Alors, elle se dégagea, sortit mon zeb de sa chatte et se positionna de nouveau pour l’enfoncer cette fois dans son cul.
El elle recommença sa danse du derrière et de la Terma jusqu’à réussir à finir la chauffe de mon zeb qui explosa enfin de ses éjaculations. Quant elles arrivèrent, j’ai accroché mes mains à ses hanches et donné de violents coups de reins et mes jets puissants remplirent son cul et ses entrailles. Elle gouta leurs jouissances un long moment puis se libéra. Mon zeb, toujours gonflé sauta de son cul presque à la verticale. Voyant mon zeb bondir et briller des taches de sperme et de sa mouille, il était monstrueux et elle fut affolée d’excitation, alors elle l’empoigna et commença à le sucer avec frénésie et ainsi elle le nettoya complètement, tout en restant assise sur mon bas ventre. Elle semblait être encore excitée et désirait mon zeb pour sa chatte et son cul. Mais au lieu de m’attirer vers elle, elle se leva et prit une brioche et remplit deux tasses de café. En m’offrant une tasse et une brioche, elle me demanda pourquoi il y a une troisième tasse et une troisième brioche sur le plateau et j’ai dit que le patron s’était trompé. Elle m’a regardée avec un drôle de sourire et m’a répondu que c’était moi qui n’avait rien comprit. Comme je restais silencieux, toujours à poil devant elle, elle m’ordonna d’aller appeler le patron qui va m’expliquer.

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Texte coquin : Terma 108: La femme du client a toujours raison  (2)
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