Terma 109: La femme du client a toujours raison (3)

- Par l'auteur HDS Noura -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Terma 109: La femme du client a toujours raison  (3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-12-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Terma 109: La femme du client a toujours raison (3)
J’ai mis mon pantalon et ma chemise et je suis descendu chercher mon ami le patron qui a aussitôt couru devant moi vers les escaliers. Quant je suis arrivé à la chambre, il était déjà debout, devant ma femme, la main sur sa braguette. Elle lui fit un signe, et aussitôt, il s’activa et jeta son pantalon par terre, se tenant nu de la ceinture aux pieds. Elle était, nue et allongée sur le lit, jambes et cuisses bien écartées, offrant largement son bas ventre et sa chatte qu’elle caressait d’une main. Le patron, les yeux exorbitants et la bouche ouverte, tenait son gros zeb droit, horizontal, pointé vers elle, un beau tableau et une atmosphère érotiques et qui invitaient à la baise. Des doigts, elle lui fit un autre signe, aussitôt, il se mit complètement nu, et s’approcha d’elle. Dans sa nudité, il était beau, très poilu, avec un gros corps et un ventre rebondi. Ses poils couvraient une grande partie de sa poitrine jusqu’au nombril, ses jambes et ses cuisses, devant et derrière, sur son dos, ses fesses et ses hanches, un vrai gorille, mais à l’aspect viril et sexuellement excitant. Et son énorme zeb était monstrueux, attirant, bien plus gros, plus épais et plus long que le mien. Il était tendu à l’horizontal, gonflé à fond et même un peu vers la verticale tellement il était excité, et les yeux de la femme brillaient de désir. Moi-même, j’avoue être ébranlé de cette virilité, de cette force de la nature qui se dégageait de ce zeb monstrueux. Il avança jusqu’au lit et elle se pencha pour empoigna son zeb, soupeser sa lourdeur, puis le lécher et l’engloutir dans sa bouche. Elle le suça un peu, avec des bruits de sussions érotiques, puis elle lui dit « arwa7 ! arkab 3elaya ! douk hadha ghoul fiya ! achtar ! » (viens ! montes sur moi ! pousse ce monstre en moi ! vite ! ». C’était une invite, un désir, un ordre.
Et il monta sur elle, la couvrit de son gros corps et d’une main, il prit son zeb, le frotta doucement sur les lèvres de la chatte, ce qui fit déjà gémir la femme. Puis il l’enfonça la moitié de son zeb avec un souffle rauque de désir, et elle hurla fortement. Et il continua à pousser et elle recommença à gémir de plus en plus fort, longuement de plaisir. C’était tellement excitant que mon zeb commença lui aussi à se gonfler. Puis, le patron enfonça totalement son zeb, jusqu’aux couilles et la femme eut un autre hurlement de jouissances. Elle enroula ses jambes autour des reins poilus du patron et ils restèrent ainsi, un moment immobiles. J’entendais les halètements rauques, bruyants de l’homme et qui couvraient presque les gémissements continus de la femme. Impatiente, elle lui cria « abda ! ag3arli souti ! zeb lakhchine rah fi plastou ! nikni bezzaf » (commence! défonces moi la chatte! le gros zeb est à sa place !baises moi fort !). Alors il démarra ses vas et viens avec des « han ! han ! » énergiques, bruyants, ponctués de coups de reins forts, impressionnants qui auraient du faire mal à la femme, mais qui, au contraire, l’excitaient encore plus. Elle se soulevait parfois pour se coller plus au bas ventre du patron et donner elle aussi des coups de reins et de chatte, pour aider aux pénétrations violentes du zeb. Elle se donnait totalement, j’ai eu l’impression quelle avait trouvé son homme, le mâle qui lui convenait, son vrai partenaire sexuel.
Moi, je restais debout depuis le début, face à ce couple formidable, j’étais impressionné et je me branlais machinalement. Je ne savais même pas quant j’avais commencé à le faire, alors j’ai continué. Soudain, la femme lança un cri hystérique et se colla au ventre de l’homme, j’avais compris qu’elle venait d’avoir un gros orgasme. Lui, il ne s’est même pas arrêté et continuait sa cavalcade, sa saillie presque animale. Et quelques brefs moments plus tard, elle poussa un second cri hystérique, se collant à fond à l’homme, encore un orgasme violent dans sa chatte, puis elle s’écroula sur le lit. Et ils ont continué à ce jeu sexuel pendant plus d’un quart d’heure. A un moment donné, elle hurla « kamal ! kamal ! zebek ktilni ! » ( finis moi ! ton zeb m’a tuée !). Alors il accéléra la cadence pendant quelques secondes, puis il se bloqua net, en soufflant fort, et retira son zeb. Il allait, certainement éjaculer, et prudent, hors de la chatte. Son zeb, qu’il empoignait était vraiment monstrueux, brillant des sucs et mouilles féminines. En se branlant, il avança sur le ventre et la poitrine de la femme et se pointa devant son visage. Elle ouvrit sa bouche, et y introduisit la tête du zeb, la léchant de la langue. Puis, elle tint bien le zeb dans sa bouche et reçu ainsi toute la première éjaculation dans sa gorge.
Le premier coup de reins de l’homme avec l’éjaculation, enfonça le zeb encore plus loin dans la bouche de la femme qui réussit à éviter l’étranglement. Et elle garda le zeb dans sa bouche lors du jet la seconde éjaculation. Ensuite, la bouche pleine, elle sortit le zeb pour les deux autres éjaculations qu’elle dirigea sur son visage et sur ses seins. L’homme resta tendu un moment puis, il recula sur le corps de la femme et enfonça de nouveau son zeb dans la chatte. Puis il s’écroula sur elle de tout son poids. Devant moi, le gros corps du patron, couvrant entièrement la femme, était l’image même de la puissance sexuelle et de la virilité même. Et c’est peut-être cela qui fit tressaillir mon zeb et jaillir brusquement mes éjaculations spontanées et projetées devant moi, sur le sol. Eux, ne firent même pas attention à moi. Puis la femme repoussa le corps du patron qui s’allongea à coté d’elle. Ensuite, elle se redressa et se retourna, elle se mit à genoux sur le lit et chuchota à l’homme quelque chose que je n’ai pas saisi. Mais il se releva et se pointa, lui aussi à genoux, derrière elle, face à sa large croupe tendue. J’ai pensé qu’elle demandait une seconde baise de sa chatte, par derrière. Mais le patron empoigna son gros zeb, toujours gonflé et horizontal, il le pointait, non pas vers la chatte, mais plus haut, sur l’anus de la femme, j’ai compris qu’elle lui avait ordonné de l’enculer.
Elle avait pris, dans sa paume et ses doigts, le maximum de sperme qu’elle avait sur le visage et la poitrine. Puis, elle a glissé sa main mouillée sous elle, pour lubrifier le sillon de ses fesses, son anus et s’est enfoncé un ou deux doigts dans le cul pour le préparer. Ensuite, elle cala sa tête sur le matelas et, avec ses deux mains, elle écarta ses fesses pour bien ouvrir leur sillon et présenter, offrir directement son anus qui palpitait, et attendit le zeb. Le patron avait compris, il ajouta du sperme récupéré et de la salive sur son zeb et sur l’anus qu’il pénétra d’un doigt pour s’assurer de sa souplesse. Puis, écartant les fesses d’une main, il prit son zeb de l’autre main et l’enfonça doucement dans le cul de la femme et continua glisser avec facilité. Voyant cela, il termina la pénétration jusqu’aux couilles, par un violent coup de reins final qui fit claquer son gros ventre sur les fesses féminines. Son zeb, tellement épais et long, devait avoir bien rempli le cul de la femme qui hurla lors de cet enfoncement final, brutal. Je pensais qu’il lui avait fait mal, mais je me trompais car elle lui dit « hadha zeb 7maar ! 3amarli qari » (ça c’est un zeb d’âne ! il m’a rempli le cul ! ». Et lui, tenant maintenant, de ses deux mains, les larges hanches de la femme, il a commencé sa danse d’aller-retour du zeb dans le cul de la femme. Elle jouissait car elle lui hurlait « zid ! zid ! 7louwa ! 7louwa ! » ( encore ! encore ! délicieux ! délicieux !).
J’ai pensé qu’elle devait, certainement, avoir comparé nos deux zeb, et je crois que ce n’était pas à mon avantage. Ses coups de reins faisaient danser le corps de la femme. L’image de son gros zeb qui sortait en partie du cul, puis s’y enfonçait en puissance, était follement érotique. Il répétait cela plusieurs fois, avec une cadence tellement entrainante que mon zeb, qui s’était couché après ses éjaculations, s’est réveillé de nouveau. Je me suis assis sur la chaise à coté du lit et j’ai recommencé à me branler doucement. Le patron enculait la femme un moment, puis remettait son zeb dans la chatte un moment puis revenait pour s’enfoncer de nouveau dans le cul, et il les baisait tous les deux. La femme hurlait de jouissances et en permanence, et j’étais presque sûr que c’était à cause des orgasmes continus. Enfin, le patron arriva à son top et il le dit à la femme qui lui cria de lui remplir le cul « 3amarli qari ! za’nate zeb lakkhchine ! hat’ha ! fissa3 ! » (remplit moi le cul ! le sperme du gros zeb ! donnes ! vite ! ». Et il y alla à fond, encore trois éjaculations poussées par des coups de reins puissants et des hurlements de plaisir communs à tous les deux. Enfin, il se calma et se retira.
Après un moment de repos, elle se releva et couru aux toilettes d’où elle revint rapidement. Elle voyait que je me branlais et que mon zeb s’était gonflé à sa mesure, alors elle l’empoigna pour vérifier sa dureté. Satisfaite, elle me demanda de me lever et la suivre. Elle repoussa le patron pour le mettre dos sur le lit et son zeb, malgré les trois éjaculations était encore assez debout et vertical. Elle s’assit dessus et le poussa de nouveau dans sa chatte et s’assit carrément sur lui jusqu’aux couilles. Puis elle recommença à danser quelques vas et viens, ensuite elle m’appela et exigea que je l’encule en même temps. Elle nous dit en rigolant bruyamment « rani kount chahia nikouni zoj rjal, mine goudam fi souti wa mine raoul fi qari ! hadhihi occasion » (j’ai toujours désiré être niquée par deux hommes à la fois, par devant dans ma chatte et par derrière dans mon cul ! c’est l’occasion !). J’avais encore ma chemise et mon pantalon que j’ai ôté en vitesse et je me suis pointé, nu, derrière elle. Et presque debout, les pieds sur le lit, j’ai enfoncé mon zeb dans son cul, et ce fut rapide, jusqu’aux couilles. Elle hurla de plaisir « zoj zbouba fi souti ! fi qari ! » ( deux zeb ! dans ma chatte ! dans mon cul !). J’ai commencé mes vas et viens et bizarrement, ce fut une première pour moi, je ressentais nettement l’autre zeb du patron à travers la fine membrane qui séparait, à l’intérieur, la chatte et le cul de la femme. Surtout le zeb du patron qui occupait un gros espace et gonflait la membrane et nos deux zeb se frottaient l’un sur l’autre et cela amplifiait mes jouissances. J’avais l’impression que le patron me baisait le zeb tout en coulissant dans la chatte de la femme. Sa puissance nous dominait tous les deux, au point que j’oubliais un moment, que j’étais en train d’enculer la femme, mais ce fut si agréable et jouissif que j’ai continué en accélérant mes coups. La femme hurlait et agitait son corps et sa Terma à droite et à gauche et répétait « nakouni zoj zbouba ! nakouni zoj zbouba ! » ( deux zeb m’ont niqués ! deux zeb m’ont niqués !).
Lui ne pouvait pas trop bouger, il donnait seulement de temps en temps quelques coups de reins en se soulevant parfois mais moi j’enculais franchement la femme et c’est moi qui arriva au top le premier. J’ai éjaculé encore trois fois et plus dans son cul et j’ai continué à ramer dedans car c’était très agréable malgré mon sperme. Elle m’a dit « oug3oud fi qari ! zidni ! » (reste dans mon cul ! continue !) et ajouta pour le patron « achtar ! zeb kima hadha yafchal ? » (dépêche toi ! un zeb comme le tien peut-il fléchir ? ». Et le pauvre patron souleva son bas ventre et les coudes sur le lit, il accéléra ses vas et viens en soufflant et ahanant fort. Enfin il avoua qu’il était fatigué et s’affaissa sur le lit. Elle me secoua pour sortir de son cul et se releva. Elle empoigna et suça le zeb du patron en vitesse et elle arriva à le faire éjaculer, quoique faiblement, et elle hurla « maka’nchi zeb yagdar li souti ou foumi ! ana qa7bat zbouba» (aucun zeb ne résiste à ma chatte et à ma bouche ! je suis la pute des zeb). Se tournant vers moi, elle me demanda l’heure, alors, récupérant mes vêtements, je répondis passée 17h. Elle se redressa, donna un bisou au patron et le renvoya. Il se rhabilla et sortit à regret. Puis nous avons pris des douches presque ensemble et nous nous sommes rhabillés. Elle se mit du rouge à lèvres et s’évapora beaucoup de parfums très puissants. Comme je faisais la grimace, elle m’a expliqué que c’était pour camoufler les odeurs fortes et viriles des deux mâles qui l’ont baisée et surtout de leurs spermes qui sentaient fort. Elle ajouta que ce n’était pas important pour son mari, mais la mère était capable de sentir et deviner ces odeurs masculines, après tout, c’était aussi une femme.
Et nous sommes revenu à la clinique avec ma voiture, il était pratiquement 18h. Rapidement la femme est entrée pour voir son mari et sa belle mère et moi j’attendais dans la rue en fumant une cigarette. Et ce n’est que deux heures plus tard, à 20h, qu’ils sont revenus tous les trois. L’opération a été un succès et les heures de repos de la mère l’ont aidé à bien se reposer. On l’a installé dans le fond, derrière pour qu’elle puisse s’allonger au maximum. Son fils s’est installé tout seul sur les baquettes du milieu pour pouvoir se tourner facilement vers sa mère et l’aider en permanence. Et sa femme a été obligée, de s’installer devant, à coté de moi. Je crois qu’elle avait bien calculé, en conseillant son mari, pour qu’elle soit à mon coté. Comme ils avaient faim, on s’est arrêté à un marché de nuit où il a acheté quelques victuailles chaudes et froides et des jus, et on a repris la route. La présence de la femme à mes cotés et ses odeurs féminines me donnaient, déjà, des envies dans mon bas ventre et mon zeb recommençait à bander. Seul le levier de vitesses me séparait de ses cuisses que je lorgnais de temps à autre.
Son mari, assis sur les sièges du milieu se penchait presque en permanence sur sa mère allongée sur le du fond. Sa femme ne l’inquiétait pas du tout et il ne pouvait pas voir ce qu’elle pouvait faire à coté de moi. C’est cela qui a encouragé sa femme de mettre ses mains sur ma braguette et petit à petit, elle a réussi à dégager mon zeb qui s’est bandée dès le début et quant il fut en l’air, il se gonflait de plus en plus. Elle mit de la salive dans sa main gauche et commença, discrètement à me branler. J’avais peur de ne plus me maitriser car les sensations de plaisirs commençaient à envahir mon bas ventre et mes mains tremblaient sur le volant. J’ai donc un peu ralenti le taxi et le mari s’en ai rendu compte et s’est tourné vers moi. Je lui ai dit que c’était pour sa mère car la route était mauvaise. Il m’a souri et remercié puis il s’est retourné de nouveau vers sa mère. Sa femme, n’a pas freiné les branles sur mon zeb, même quant son mari était tourné vers nous, preuve qu’elle est capable de baiser un étranger en présence de son mari. Elle avait baissé son voile de visage et elle haletait, la bouche ouverte et les yeux fermés. Son autre main était sous sa robe en train de se branler la chatte. Et ainsi, pendant plusieurs kilomètres, ses deux mains nous donnaient du plaisir, à mon zeb et à sa chatte. Soudain, elle me serra le zeb si fortement que j’ai failli crier. Je l’ai regardée, bien dégagée sur son siège, les yeux fermés et le souffle suspendu, juste un instant, puis elle se détendit complètement et desserra sa main sur mon zeb. Elle m’a regardé en souriant, puis a reprit les branles de mon zeb, en accélérant. Elle sortit sa main de sous la robe et avec un signe, elle me l’a tendue pour la gouter. Je me suis penché un peu sur son coté et j’ai ouvert la bouche, mes yeux sur la route et en ralentissant un peu. Sa main pénétra ma bouche, alors je l’ai sucée rapidement et elle l’éloigna assez vite, j’ai bien senti sur ma langue de l’humidité fade, j’ai compris qu’elle me faisait gouter la mouille de sa chatte et qu’elle avait réussi à se donner un orgasme par sa branle manuelle.
Alors, tout en gardant ma main gauche sur le volant ; j’ai envoyé ma main droite vers elle. Elle l’a guidée sous sa robe jusqu’à sa chatte que j’ai pénétré de mes doigts. Elle était douce, très humide et tellement ouverte que j’ai pu la pénétrer avec trois doigts en même temps. Elle soupira fort et, avec sa main, elle poussa la mienne encore plus profondément dans sa chatte. Son autre main serra encore plus mon zeb et accéléra sa branle, et du fond de mes reins le plaisir s’amplifiait. Je ne maitrisais plus les mouvements de mon bassin et elle serra sa chatte sur ma main et fit des pressions avec sa branle sur mon zeb. Soudain, ce fut l’ouragan. Mes éjaculations explosèrent sur sa main, sur mon pantalon et vers le tableau. Pour cacher tout cela, j’ai du me pencher en avant, heureusement, car le mari, inquiété par mes mouvements, s’était encore tourné vers moi. Malgré les sensations que j’éprouvais par les jets de mes éjaculations, je suis arrivé à lui dire que la route n’était pas bien éclairée et que je me penchais pour mieux voir, d’ailleurs j’avais ralenti automatiquement la voiture dès la première éjaculation. La femme n’a même pas retiré sa main, au contraire elle avait enveloppé mon zeb et recueilli un maximum de sperme sur sa paume. Le mari a reprit immédiatement sa pause vers sa mère et sa femme a envoyé sa main pleine de sperme vers sa bouche. Quant mes jets de sperme se sont arrêtés, je me suis calmé et repris ma pause sur mon dossier.
J’ai aussi repris un peu de vitesse et j’ai jeté un coup d’œil sur les résultats. C’était un désastre sur mon pantalon et sur le volant et mon zeb libéré de la main féminine s’était légèrement courbé, calmé. La femme a sorti une étoffe, un mouchoir peut-être assez grand et m’a essuyé, discrètement, le zeb et le pantalon. Puis elle m’a remis l’étoffe, alors j’ai essuyé le volant et réintégré mon zeb dans mon slip avec quelques mouvements qui ont encore alerté le mari pour la troisième fois. Mais un regard calme de ma part l’a rassuré et il a reprit sa position. Sa femme, après avoir bien léché sa main pleine se mon sperme, avait relevé son voile de visage et reprit sa place correctement. Quant son mari s’est tourné vers nous la troisième fois, elle aussi s’est tourné vers lui pour lui demander les nouvelles de sa mère. Il avait souri en la rassurant. Puis j’ai rendu l’étoffe à la femme, elle l’a mise d’abord sous son voile et je l’ai entendu la renifler, puis elle l’a enfouie sous son haïk. Elle a soulevé un peu son voile, s’est penchée vers moi, m’a regardé et à murmuré que ça sentait bon, l’odeur et le gout fort du zeb et du sperme de l’homme en rut. Heureusement que le bruit assez fort du moteur empêchait son mari d’entendre les faibles propos de sa femme. Ensuite, elle s’est penchée vers la vitre pour s’endormir.
Quelques instants plus tard, tout est devenu calme, presque silencieux sinon les respirations plus ou moins fortes, surtout celle de la mère qui ronflait un peu. J’étais tranquille, quoique un peu fatigué, et j’ai repris de la vitesse pour m’intéresser surtout au ronronnement rassurant du moteur. Trois heures plus tard, nous sommes arrivés pas loin d’un magasin qui fait aussi du café, à l’entrée d’un village situé à environ 15 kilomètres de notre ville. J’ai arrêté la voiture et tout le monde s’est réveillé. Je leur ai expliqué que nous serons à la maison dans une demi heure au maximum et qu’ils doivent se préparer. Et pour cela, sa femme et lui devraient échanger leurs places, et il m’a approuvé. En attendant, je suis allé chercher du café chaud et du pain maison du magasin, puis on est reparti. Il faisait encore nuit, et je les ai conduits directement devant leur maison. Leur famille et enfants les ont accueillis dans la joie et les rires de la marmaille. La vielle mère s’appuyait sur les épaules de son fils et de sa femme, ensemble. Ils sont rentrés dans la maison, et j’ai vérifié s’ils n’ont rien oublié dans mon taxi. Une minute plus tard, le mari est ressortit pour me remercier et demander si tout allait bien pour le prix e la course, et j’ai dis, sans rire, que j’ai été totalement satisfait et que s’ils ont encore besoin de moi, ils savent où me trouver, j’étais à leur disposition, puis je suis remonté dans mon taxi. En route pour ma maison, j’ai repensé à ce mari très arrangeant pour sa femme. Elle, par contre, avec un tel mari, était capable de satisfaire ses besoins sexuels, sans hésitations et en toutes circonstances.
Plus tard, dans mon lit de célibataire, je me suis souvenu de ce que me disait mon chef à mes débuts, quant il m’affirmait que dans le travail, c’est le client qui a raison comme un roi. L’expérience que je viens de vivre, m’a apprit qu’encore mieux, c’est la femme du client qui a toujours raison.

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Texte coquin : Terma 109: La femme du client a toujours raison  (3)
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