Terma 110 : Anissa après la mutation professionnelle de son mari (1)
Récit érotique écrit par Noura [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-12-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Terma 110 : Anissa après la mutation professionnelle de son mari (1)
Je suis Molkher, une amie d’enfance, d’études et de vie jusqu’à ce jour de Anissa, 28 ans, épouse depuis dix ans de Omar, 34 ans. J’ai décidé de vous raconter une partie de son histoire car, depuis cinq mois seulement, sa vie a complètement changée, au psychique comme au sexuel à la suite de problèmes familiaux. Durant ces dix années de mariage, elle a bien construit sa vie. Le salaire de comptable postier de son mari était largement suffisant et ils avaient acheté une maison, pas très loin de celles de leurs parents réciproques. Son mari avait déjà une belle voiture et ils vivaient à l’aise. A leur mariage, Anissa avait convaincu son mari d’attendre un ou deux ans avant d’avoir des enfants, cela leur permettra de mieux profiter et gouter les joies du couple. Anissa travaillait depuis sa sortie de fac dans une Entreprise de son oncle et a continué après son mariage. Et tout semblait marcher bien, d’autant plus que par la suite elle a eu deux fillettes.
Mais à la neuvième année de leur mariage, la poste a proposé à son mari, une promotion avec une mutation hors de notre ville, mais Anissa a d’abord refusé de partir, à cause de son travail et surtout de ses deux filles scolarisées. Mais son mari est parti, la poste lui avait donné un logement de fonction, et Anissa est restée, elle a fermé leur maison en ville et elle est partie avec ses filles, habiter chez ses parents. Son mari venait seulement le week-end, ils rouvraient leur maison et la refermaient quant il repartait au travail, le samedi à l’aube. Pendant quelques mois, Anissa et ses filles avaient vécues ainsi, comme des bohémiens. Et malgré les menaces réitérées de Anissa la situation n’avait pas changée jusqu’aux vacances d’été. Ils sont partis tous ensemble à la mer, mais à la rentrée, Omar a menacé, lui aussi, de divorcer car sa carrière était en jeu, il avait obtenu la direction dans son nouveau poste. Sur les conseils des amies et de ses parents, Anissa a fini par accepter et ils sont partis dans l’autre ville, à environ 200 km plus loin. Mais, à cause de ses filles c‘était difficile, alors elle a préféré les laisser dans leur école et à la charge de ses parents.
Mais, la situation ne plaisait pas à Anissa, alors il a eu plusieurs discussions et surtout plusieurs disputes avec son mari. Elle a demandé de venir chaque week end, visiter leurs filles et leurs parents mais Omar a nettement refusé car, il travaillait même en fin de semaine dans son poste de responsabilité. Anissa m’a avouée que leurs différents étaient arrivés à un point tel que souvent, son mari lui faisait la tête, en décidant de coucher tout seul, dans une autre pièce. Et cela arrivait souvent, à n’importe quel prétexte. Son mari s’isolait d’elle parfois toute une semaine et plus, soit sur leur lit conjugal, soit dans la chambre d’à coté, Anissa n’en pouvait plus. Je connaissais Anissa sur ses besoins et capacités sexuelles, nous en parlions souvent. Et ces mauvaises relations, presque nulles de son mari, n’allaient avoir que des suites dangereuses pour ma chaude amie.
Je connaissais bien physiquement Anissa, elle était beaucoup plus belle que moi, presque à me rendre jalouse, mais elle était ma meilleure amie et me racontait tout, en détails. Elle a toujours eu un très beau corps rempli, et depuis notre enfance, elle attirait les regards des garçons. Et avec l’âge, elle s’était épanouie et les hommes la dévoraient des yeux. Son corps était bien féminin, bien charpenté par devant avec une poitrine importante dont les seins pointaient toujours fort ses vêtements et attiraient beaucoup l’attention des hommes. Et par derrière, elle avait aussi un large derrière, joliment rond et remuant, à cause de sa taille fine, et qui attirait aussi tous les regards des hommes jeunes et vieux sur son passage. Nous aimions toutes, à l’époque, porter des pantalons et des tricots fins, mais avec toujours une longue blouse scolaire par-dessus, pour cacher le tout. Mais Anissa était une aguicheuse précoce, elle aimait enlever sa blouse et la tenir sur les bras et ne la mettre que si son grand frère Ali était dans les environs. Elle avait plusieurs frères et sœurs mais c’était surtout Ali, l’ainé qui la surveillait de près et presque en permanence à l’école et au lycée. Et c’est arrivé juste une fois, sur ce simple détail devenu soupçon, Ali l’avait rossée devant ses camarades, et l’a trainée jusqu’à la maison, heureusement que sa mère l’avait protégée. C’est d’ailleurs ainsi que son futur mari, un lointain cousin, malgré ses 30 ans et son dernier veuvage, a été piégé par ses formes, et les parents d’Anissa étaient contents de la marier à 18 ans pendant qu’elle était encore vierge. Se débarrasser d’une fille aussi aguichante pour les mâles a toujours été un souci pour sa mère. Malgré ses caprices et provocations, Anissa avait heureusement, une peur bleue de son père et surtout de son grand frère Ali, et ainsi elle avait évité de faire de graves bêtises. Ensuite, après son mariage, elle semble avoir été une femme très fidèle. Nous continuons à nous voir et nous inviter, souvent même, et elle avait même changé de look. Elle a commencé à porter le haik traditionnel et le voile aux cheveux et au visage. Et quant elle sortait, elle avait toujours avec elle, soit un frère ou sa mère, soit quelqu’un de ses beaux parents.
Donc, quant elle s’était mariée, son mari était déjà dans la Poste, avec un bon salaire, et veuf sans enfant, et en plus, il avait un logement de fonction. C’est peut-être cela qui a motivé les parents de Anissa. Il avait le téléphone et aussi l’internet gratuits dans son logement. Très vite, mon amie Anissa s’était intéressée à des sites et chaines assez délicats, en absence de son mari au travail. Quant je fus invitée dans sa maison, elle m’avait montré dans son ordinateur personnel, des sites érotiques, des photos d’hommes et de femmes nus ainsi que des histoires érotiques, des vidéos et des films pornos. Son ordinateur personnel avait son propre mot de passe, et il était interdit à son mari qui avait le sien, dans le salon. Elle avait aussi la télé connectée à plusieurs satellites, et elle aimait voir des chaines pornos, tout cela quant son mari n’était pas à la maison. Je n’étais pas d’accord avec elle, mais elle ne m’écoutait jamais, comme toujours. Mais je savais qu’Anissa était une fille très chaude sexuellement et elle a maintenant la possibilité de s’assouvir, surtout par l’internet. Elle m’avait avouée que c’était une autre de nos amies d’enfance, Zina, mariée, et aussi chaude qu’elle sexuellement, et qui l’avait introduite dans le monde de l’internet sexuel, et l’avait poussée à cela. Elles avaient constatées, toutes les deux qu’elles aimaient les histoires et vidéos de sexe. Moi aussi, à ce moment, j’étais femme mariée depuis longtemps, mais chez moi, mon mari avait la main et surveillait notre internet et la télé. Anissa nous avoua qu’elle s’excitait avec ces vidéos pornos et, le soir, avec son mari, elle essayait de s’éclater et de se donner à fond comme une affamée. Anissa nous avouait qu’elle aimait voir, dans ces films et ces vidéos, des couples nus, qui baisaient longuement et ces hommes avec leurs bites énormes et qui éjaculaient en abondance leur sperme et qu’elle en avait une folle envie. Et qu’elle rêvait de tout cela dans son mariage.
Hélas, trois fois hélas, son mari était loin de tout cela, d’abord il ne touchait sa femme que la nuit quant ils sont au lit. Ensuite, il montait sur elle, par devant, à la légionnaire, jamais par derrière, il faisait juste le nécessaire, assez vite au gout de sa femme, et éjaculait ensuite en elle, puis il se tournait de l’autre coté pour s’endormir rapidement. Et ce n’était pas toutes les nuits comme au début, mais seulement deux fois par semaine, et pourtant ils étaient encore jeunes mariés. Anissa nous avouait cela, sans gêne et sans honte et elle en pleurait. Elle nous disait qu’elle avait la nette impression que les capacités sexuelles de son mari semblaient justes moyennes ou bien qu’il voulait jouer au traditionnel. Et c’est ainsi qu’elle avait passé ses sept premières années de mariage. Et, petit à petit, elle s’était mise dans les rangs. Elle a réussi à accepter les faiblesses de son mari et elle a même eu deux jolies fillettes. Dans l’ensemble, elle s’était casée et ils sont devenus une famille normale, presque traditionnelle, à la joie des parents d’Anissa. Elle a pratiquement maitrisé ses tendances, et s’était même presque arrêtée de voir les vidéos et films porno. Même sa libido s’était affaiblie avec le temps. C’est à ce moment qu’Anissa a du partir, avec son mari, dans l’autre ville. Elle avait alors à peine 27 ans et à cause de leurs querelles, son mari avait pratiquement arrêté leurs rapports sexuels. Elle me téléphonait toujours pour me donner de leurs nouvelles, j’étais la seule amie confidente, avec laquelle elle pouvait épancher ses malheurs. D’ailleurs, son mari rentrait souvent tard, alors elle arrêtait de me parler et elle faisait semblant d’être déjà couchée. Et, chaque fois qu’ils ont eu des mots soit sur cette maudite mutation, soit sur autre chose, le mari s’isolait la nuit et puis les suivantes dans l’autre pièce et laissait Anissa, affamée de sexe dans leur lit conjugal.
Cependant, elle m’avoua que son mari lui adressait la parole, presque normalement, et qu’il apportait tous les besoins domestiques nécessaires, et que Anissa, de son coté, faisait son travail, comme une employée de maison. Le seul manque qui la chagrinait, malgré qu’il fût souvent négligeable, c’est leur relation sexuelle, pourtant légitime. De plus, Anissa m’avouait qu’elle se languissait de ses fillettes laissées chez sa mère. La dernière fois qu’elle avait exigé de la laisser partir le week-end pour voir ses filles, son mari s’était fâché et s’était isolé chaque nuit, comme d’habitude, dans l’autre chambre, et cela pendant dix jours. Dix jours passées ainsi, elle était énervée, malade, physiquement, moralement et sexuellement. Alors, elle a pris la décision d’agir et le week-end suivant, elle a pris, seule, le bus, pour aller voir ses filles et ses parents. Ce fut un samedi soir de fête chez ses parents et elle a passé la nuit avec ses filles, dans leur chambre. Ensuite, le dimanche, elle a passé toute la journée avec ses filles, faisant les vitrines, achetant des effets, s’amusant au manège et prenant des glaces et des boissons fraiches et ce n’est qu’au crépuscule qu’elles sont rentrées à la maison. Elles ont pris des douches et bien mangé et rapidement couchées tellement elles étaient agréablement épuisées. Sachant que son mari n’avait aucun besoin d’elle, elle a décidé de rester en ville le lendemain lundi, toute seule, pour se promener et acheter peut-être des choses.
Et c’est ainsi que vers 11h, dans un super marché, elle a rencontré un voisin Si Tahar, un des collègues de son mari, qu’elle connaissait ainsi que sa famille qui les avait invités à un thé dès leur installation. Et Anissa les avait aussi invités chez elle. C’était un bel homme svelte, de grande taille et peu de ventre, qui approchait les 50 ans et sa femme avait 40 ans. Ils avaient six enfants dont deux filles, pratiquement tous scolarisés, dont les plus grands, au lycée, en ville. Justement, il était venu seul, avec sa voiture, en ville, pour voir ces deux fils au lycée puis acheter quelques provisions et remonter chez lui juste après ses achats au supermarché. Il avait été surpris de voir Anissa, seule en ville, loin de son mari, alors elle lui avait expliqué qu’elle là pour passer le week-end avec ses filles et ses parents, mais que cet après midi, elle devra repartir en bus. Alors, il lui avait proposé de voyager avec lui. Elle a hésité un moment mais comme il insistait, entre voisins, elle avait fini par accepter. Ils avaient pratiquement finis leurs achats, alors Anissa, par esprit de politesse, invita Si Tahar chez ses parents pour un thé et pour que sa mère le sache, avant de partir ensemble, et il accepta avec plaisir. A la maison, sa mère leur a servi du thé et des gâteaux, et Si Tahar lui a fait bonne impression, elle a donc accepté que sa fille voyage avec lui, et Anissa a été très satisfaite malgré l’absence de ses filles qui étaient à l’école.
Quant Anissa me raconta cela, je voyais que ce souvenir lui faisait encore plaisir et elle s’excita. Elle m’avait avoué qu’elle s’était senti comme une célibataire invitée à voyager seule avec un bel homme pendant 200 km et qu’elle avait été très excitée. Je lui avais rappelé que son mari allait le savoir, mais elle m’avait répondu que ce n’était pas important puisqu’il négligeait sa chatte. Elle continua son histoire. Elle et Si Tahar prirent la route vers midi, et sa mère leur avait donné deux gros casses croutes, de l’eau et du thé en thermos pour la route malgré les refus d’Anissa. Elle m’avait dit que sa mère lui avait aussi conseillé de ne pas s’assoir derrière comme si c’était un taxi, ce serait une injure pour notre ami Si Tahar, mais de s’assoir devant comme une parente, à coté de lui. Au début, nous les deux semblaient être gênés. Mais après, il la regardait souvent et lui souriait. Loin, après sortie de la ville, Il lui avait enfin adressé la parole en lui demandant de se mettre à l’aise et qu’elle pouvait s’installer derrière si elle se sentait gênée, mais elle répondit qu’elle était bien. Seulement, dans son haik, elle avait chaud et commençait à suer et à se sentir mal à l’aise. Et si Tahar, qui la regardait de temps à autre remarqua son problème et il insista pour qu’elle ôte son haik. Mais elle ne pouvait pas le faire.
Avant hier chez elle, pour la route en bus, et à cause du temps chaud, elle s’était vêtue légèrement sous son haik. Comme elle allait chez sa mère, elle trouvera tout le nécessaire chez elle. Donc, elle avait mis juste son petit slip ficelle noir et fin et par-dessus, un pantalon blue jean serré sur ses cuisses et ses fesses. Et sur sa poitrine, un simple tricot blanc, léger et à manches courtes. Elle s’était habillée comme si elle se libérait de sa prison maritale, traditionnelle et frustrée. Seulement, son pantalon lui serrait assez étroitement le derrière et son tricot collait trop à sa poitrine. Alors, elle hésita à ôter son hijab, mais elle avait trop chaud et risquait de s’évanouir. Elle résista ainsi pendant presque une heure. Ils étaient en pleine campagne, la route était déserte et Anissa suffoquait de plus en plus, malgré la fenêtre ouverte. Son compagnon avait bien remarqué cela, alors il lui demandait encore d’ôter son haik, et il insistait car il avait surtout peur pour elle. Il devait comprendre qu’ôter son haik devant un homme étranger n’était pas convenable, mais la situation était dangereuse, alors pour la convaincre, il éclata de rire en lui disant qu’elle était une proche voisine, son mari un collègue et un ami, presque comme des parents. Il ajoutait qu’elle avait pratiquement l’âge de ses filles et qu’elle n’avait rien à craindre de lui, au contraire.
Anissa, en réalité, n’attendait que cela mais que ce soit lui qui insiste et argumente. Depuis qu’elle l’avait invité chez sa mère et qu’ils se sont découvert plus ouvertement, qu’ils avaient ris ensemble, que sa mère avait été séduite et contente, qu’elle lui avait donnée des conseils pour s’assoir à côté de lui, Anissa avait été conquise. Elle l’avait trouvé beau et viril, contrairement à son mari. C’était le premier homme avec lequel elle pouvait discuter librement, loin de tout et comme elle avait été sevrée de sexe et d’amour depuis longtemps, elle se sentait, en droit, de faire tout ce qu’elle désirait. Mais elle avait décidé de le laisser faire les premiers pas, ce qu’il venait de faire par ses propos et arguments. Alors, elle n’avait plus hésité et elle ôta son Hijab ainsi que son voile et libéra son corps, ses cheveux et son visage. Elle était belle, femme sur le bout de ses ongles, et sa féminité éclata devant son compagnon. De surprise et d’enchantement, il ralentit la voiture et regarda Anissa avec admiration et excitation. Puis il sortit de la route, s’éloigna sur plusieurs dizaines de mètres et s’arrêta. Il continuait à la regarder, à l’admirer, la bouche ouverte, assommé par sa beauté. Maintenant, il sentait vraiment et fortement ses odeurs féminines qui l’excitaient. Et, sans sa propre volonté, sa bite se réveilla et commençait à gonfler sous sa braguette. Et malgré son short, une bosse commençait à poindre sur la braguette, traduisant son désir sexuel. Et Anissa, qui par instinct, avait placé son haik sur ses genoux pour couvrir ses cuisses et un bras contre sa poitrine, le regardait pour voir ses réactions. Et elle remarqua la bosse de sa braguette et qui augmentait de volume, elle savait qu’il bandait pour elle et la désirait. Elle eu d’abord peur de son audace, mais rapidement, sous le regard admiratif et silencieux de Si Tahar, et cette bosse qui gonflait de désir, elle s’excita elle aussi et sa chatte commençait à la chatouiller, à la démanger.
Pour Si Tahar, ses yeux admiratifs, ses lèvres qui psalmodiaient et sa braguette gonflée, étaient suffisamment éloquents, de son appréciation et son désir, même en silence. Et Anissa, trouvant ridicule ses gestes de protection après son acceptation de se découvrir, y alla directement et franchement. Elle descendit son bras et laissa ses seins pointer leurs boutons franchement sur son tricot. Puis elle jeta son haik, sur le siège derrière et découvrit ses cuisses charnues. Elle voyait l’homme, les yeux grands ouverts par le désir, alors par bravade, elle s’installa bien, le dos bien en arrière sur le siège et écarta ses cuisses. Elle vit Si Tahar qui eut un geste et un regard de surprise. Alors elle baissa les yeux sur ses cuisses et vit que la fente de sa chatte se profilait clairement sur son slip et son pantalon trop serré. Ainsi, en plus de la bosse au niveau de la braguette masculine dénotant que la queue de l’homme était gonflée pour elle, il y avait maintenant la chatte de la femme qui montrait sa fente comme une acceptation désirée. Son visage devint rouge de honte et de désir sexuel, sa chatte la démangeait et elle se ressentait faible, sans défense, prête à tout accepter. L’homme ressentit lui aussi cette acceptation de la femme et, avec une faible hésitation, il avança sa main vers les cuisses de la femme. Il posa sa main, légèrement puis insista lourdement. Sa bite gonfla encore plus et la braguette se redressa encore nettement. La femme s’en aperçu et sa chatte explosa de désir. Puis, Si Tahar avança sa main vers l’entre cuisses du pantalon, vers la fente désirée de Anissa. Elle ferma les yeux, étourdie de désir et écarta encore plus ses cuisses pour mieux s’offrir à la caresse. L’homme frotta doucement la fente à travers le pantalon, puis son doigt s’enfonça encore plus dans la fente de la femme qui gémit fortement d’excitation.
Mais à la neuvième année de leur mariage, la poste a proposé à son mari, une promotion avec une mutation hors de notre ville, mais Anissa a d’abord refusé de partir, à cause de son travail et surtout de ses deux filles scolarisées. Mais son mari est parti, la poste lui avait donné un logement de fonction, et Anissa est restée, elle a fermé leur maison en ville et elle est partie avec ses filles, habiter chez ses parents. Son mari venait seulement le week-end, ils rouvraient leur maison et la refermaient quant il repartait au travail, le samedi à l’aube. Pendant quelques mois, Anissa et ses filles avaient vécues ainsi, comme des bohémiens. Et malgré les menaces réitérées de Anissa la situation n’avait pas changée jusqu’aux vacances d’été. Ils sont partis tous ensemble à la mer, mais à la rentrée, Omar a menacé, lui aussi, de divorcer car sa carrière était en jeu, il avait obtenu la direction dans son nouveau poste. Sur les conseils des amies et de ses parents, Anissa a fini par accepter et ils sont partis dans l’autre ville, à environ 200 km plus loin. Mais, à cause de ses filles c‘était difficile, alors elle a préféré les laisser dans leur école et à la charge de ses parents.
Mais, la situation ne plaisait pas à Anissa, alors il a eu plusieurs discussions et surtout plusieurs disputes avec son mari. Elle a demandé de venir chaque week end, visiter leurs filles et leurs parents mais Omar a nettement refusé car, il travaillait même en fin de semaine dans son poste de responsabilité. Anissa m’a avouée que leurs différents étaient arrivés à un point tel que souvent, son mari lui faisait la tête, en décidant de coucher tout seul, dans une autre pièce. Et cela arrivait souvent, à n’importe quel prétexte. Son mari s’isolait d’elle parfois toute une semaine et plus, soit sur leur lit conjugal, soit dans la chambre d’à coté, Anissa n’en pouvait plus. Je connaissais Anissa sur ses besoins et capacités sexuelles, nous en parlions souvent. Et ces mauvaises relations, presque nulles de son mari, n’allaient avoir que des suites dangereuses pour ma chaude amie.
Je connaissais bien physiquement Anissa, elle était beaucoup plus belle que moi, presque à me rendre jalouse, mais elle était ma meilleure amie et me racontait tout, en détails. Elle a toujours eu un très beau corps rempli, et depuis notre enfance, elle attirait les regards des garçons. Et avec l’âge, elle s’était épanouie et les hommes la dévoraient des yeux. Son corps était bien féminin, bien charpenté par devant avec une poitrine importante dont les seins pointaient toujours fort ses vêtements et attiraient beaucoup l’attention des hommes. Et par derrière, elle avait aussi un large derrière, joliment rond et remuant, à cause de sa taille fine, et qui attirait aussi tous les regards des hommes jeunes et vieux sur son passage. Nous aimions toutes, à l’époque, porter des pantalons et des tricots fins, mais avec toujours une longue blouse scolaire par-dessus, pour cacher le tout. Mais Anissa était une aguicheuse précoce, elle aimait enlever sa blouse et la tenir sur les bras et ne la mettre que si son grand frère Ali était dans les environs. Elle avait plusieurs frères et sœurs mais c’était surtout Ali, l’ainé qui la surveillait de près et presque en permanence à l’école et au lycée. Et c’est arrivé juste une fois, sur ce simple détail devenu soupçon, Ali l’avait rossée devant ses camarades, et l’a trainée jusqu’à la maison, heureusement que sa mère l’avait protégée. C’est d’ailleurs ainsi que son futur mari, un lointain cousin, malgré ses 30 ans et son dernier veuvage, a été piégé par ses formes, et les parents d’Anissa étaient contents de la marier à 18 ans pendant qu’elle était encore vierge. Se débarrasser d’une fille aussi aguichante pour les mâles a toujours été un souci pour sa mère. Malgré ses caprices et provocations, Anissa avait heureusement, une peur bleue de son père et surtout de son grand frère Ali, et ainsi elle avait évité de faire de graves bêtises. Ensuite, après son mariage, elle semble avoir été une femme très fidèle. Nous continuons à nous voir et nous inviter, souvent même, et elle avait même changé de look. Elle a commencé à porter le haik traditionnel et le voile aux cheveux et au visage. Et quant elle sortait, elle avait toujours avec elle, soit un frère ou sa mère, soit quelqu’un de ses beaux parents.
Donc, quant elle s’était mariée, son mari était déjà dans la Poste, avec un bon salaire, et veuf sans enfant, et en plus, il avait un logement de fonction. C’est peut-être cela qui a motivé les parents de Anissa. Il avait le téléphone et aussi l’internet gratuits dans son logement. Très vite, mon amie Anissa s’était intéressée à des sites et chaines assez délicats, en absence de son mari au travail. Quant je fus invitée dans sa maison, elle m’avait montré dans son ordinateur personnel, des sites érotiques, des photos d’hommes et de femmes nus ainsi que des histoires érotiques, des vidéos et des films pornos. Son ordinateur personnel avait son propre mot de passe, et il était interdit à son mari qui avait le sien, dans le salon. Elle avait aussi la télé connectée à plusieurs satellites, et elle aimait voir des chaines pornos, tout cela quant son mari n’était pas à la maison. Je n’étais pas d’accord avec elle, mais elle ne m’écoutait jamais, comme toujours. Mais je savais qu’Anissa était une fille très chaude sexuellement et elle a maintenant la possibilité de s’assouvir, surtout par l’internet. Elle m’avait avouée que c’était une autre de nos amies d’enfance, Zina, mariée, et aussi chaude qu’elle sexuellement, et qui l’avait introduite dans le monde de l’internet sexuel, et l’avait poussée à cela. Elles avaient constatées, toutes les deux qu’elles aimaient les histoires et vidéos de sexe. Moi aussi, à ce moment, j’étais femme mariée depuis longtemps, mais chez moi, mon mari avait la main et surveillait notre internet et la télé. Anissa nous avoua qu’elle s’excitait avec ces vidéos pornos et, le soir, avec son mari, elle essayait de s’éclater et de se donner à fond comme une affamée. Anissa nous avouait qu’elle aimait voir, dans ces films et ces vidéos, des couples nus, qui baisaient longuement et ces hommes avec leurs bites énormes et qui éjaculaient en abondance leur sperme et qu’elle en avait une folle envie. Et qu’elle rêvait de tout cela dans son mariage.
Hélas, trois fois hélas, son mari était loin de tout cela, d’abord il ne touchait sa femme que la nuit quant ils sont au lit. Ensuite, il montait sur elle, par devant, à la légionnaire, jamais par derrière, il faisait juste le nécessaire, assez vite au gout de sa femme, et éjaculait ensuite en elle, puis il se tournait de l’autre coté pour s’endormir rapidement. Et ce n’était pas toutes les nuits comme au début, mais seulement deux fois par semaine, et pourtant ils étaient encore jeunes mariés. Anissa nous avouait cela, sans gêne et sans honte et elle en pleurait. Elle nous disait qu’elle avait la nette impression que les capacités sexuelles de son mari semblaient justes moyennes ou bien qu’il voulait jouer au traditionnel. Et c’est ainsi qu’elle avait passé ses sept premières années de mariage. Et, petit à petit, elle s’était mise dans les rangs. Elle a réussi à accepter les faiblesses de son mari et elle a même eu deux jolies fillettes. Dans l’ensemble, elle s’était casée et ils sont devenus une famille normale, presque traditionnelle, à la joie des parents d’Anissa. Elle a pratiquement maitrisé ses tendances, et s’était même presque arrêtée de voir les vidéos et films porno. Même sa libido s’était affaiblie avec le temps. C’est à ce moment qu’Anissa a du partir, avec son mari, dans l’autre ville. Elle avait alors à peine 27 ans et à cause de leurs querelles, son mari avait pratiquement arrêté leurs rapports sexuels. Elle me téléphonait toujours pour me donner de leurs nouvelles, j’étais la seule amie confidente, avec laquelle elle pouvait épancher ses malheurs. D’ailleurs, son mari rentrait souvent tard, alors elle arrêtait de me parler et elle faisait semblant d’être déjà couchée. Et, chaque fois qu’ils ont eu des mots soit sur cette maudite mutation, soit sur autre chose, le mari s’isolait la nuit et puis les suivantes dans l’autre pièce et laissait Anissa, affamée de sexe dans leur lit conjugal.
Cependant, elle m’avoua que son mari lui adressait la parole, presque normalement, et qu’il apportait tous les besoins domestiques nécessaires, et que Anissa, de son coté, faisait son travail, comme une employée de maison. Le seul manque qui la chagrinait, malgré qu’il fût souvent négligeable, c’est leur relation sexuelle, pourtant légitime. De plus, Anissa m’avouait qu’elle se languissait de ses fillettes laissées chez sa mère. La dernière fois qu’elle avait exigé de la laisser partir le week-end pour voir ses filles, son mari s’était fâché et s’était isolé chaque nuit, comme d’habitude, dans l’autre chambre, et cela pendant dix jours. Dix jours passées ainsi, elle était énervée, malade, physiquement, moralement et sexuellement. Alors, elle a pris la décision d’agir et le week-end suivant, elle a pris, seule, le bus, pour aller voir ses filles et ses parents. Ce fut un samedi soir de fête chez ses parents et elle a passé la nuit avec ses filles, dans leur chambre. Ensuite, le dimanche, elle a passé toute la journée avec ses filles, faisant les vitrines, achetant des effets, s’amusant au manège et prenant des glaces et des boissons fraiches et ce n’est qu’au crépuscule qu’elles sont rentrées à la maison. Elles ont pris des douches et bien mangé et rapidement couchées tellement elles étaient agréablement épuisées. Sachant que son mari n’avait aucun besoin d’elle, elle a décidé de rester en ville le lendemain lundi, toute seule, pour se promener et acheter peut-être des choses.
Et c’est ainsi que vers 11h, dans un super marché, elle a rencontré un voisin Si Tahar, un des collègues de son mari, qu’elle connaissait ainsi que sa famille qui les avait invités à un thé dès leur installation. Et Anissa les avait aussi invités chez elle. C’était un bel homme svelte, de grande taille et peu de ventre, qui approchait les 50 ans et sa femme avait 40 ans. Ils avaient six enfants dont deux filles, pratiquement tous scolarisés, dont les plus grands, au lycée, en ville. Justement, il était venu seul, avec sa voiture, en ville, pour voir ces deux fils au lycée puis acheter quelques provisions et remonter chez lui juste après ses achats au supermarché. Il avait été surpris de voir Anissa, seule en ville, loin de son mari, alors elle lui avait expliqué qu’elle là pour passer le week-end avec ses filles et ses parents, mais que cet après midi, elle devra repartir en bus. Alors, il lui avait proposé de voyager avec lui. Elle a hésité un moment mais comme il insistait, entre voisins, elle avait fini par accepter. Ils avaient pratiquement finis leurs achats, alors Anissa, par esprit de politesse, invita Si Tahar chez ses parents pour un thé et pour que sa mère le sache, avant de partir ensemble, et il accepta avec plaisir. A la maison, sa mère leur a servi du thé et des gâteaux, et Si Tahar lui a fait bonne impression, elle a donc accepté que sa fille voyage avec lui, et Anissa a été très satisfaite malgré l’absence de ses filles qui étaient à l’école.
Quant Anissa me raconta cela, je voyais que ce souvenir lui faisait encore plaisir et elle s’excita. Elle m’avait avoué qu’elle s’était senti comme une célibataire invitée à voyager seule avec un bel homme pendant 200 km et qu’elle avait été très excitée. Je lui avais rappelé que son mari allait le savoir, mais elle m’avait répondu que ce n’était pas important puisqu’il négligeait sa chatte. Elle continua son histoire. Elle et Si Tahar prirent la route vers midi, et sa mère leur avait donné deux gros casses croutes, de l’eau et du thé en thermos pour la route malgré les refus d’Anissa. Elle m’avait dit que sa mère lui avait aussi conseillé de ne pas s’assoir derrière comme si c’était un taxi, ce serait une injure pour notre ami Si Tahar, mais de s’assoir devant comme une parente, à coté de lui. Au début, nous les deux semblaient être gênés. Mais après, il la regardait souvent et lui souriait. Loin, après sortie de la ville, Il lui avait enfin adressé la parole en lui demandant de se mettre à l’aise et qu’elle pouvait s’installer derrière si elle se sentait gênée, mais elle répondit qu’elle était bien. Seulement, dans son haik, elle avait chaud et commençait à suer et à se sentir mal à l’aise. Et si Tahar, qui la regardait de temps à autre remarqua son problème et il insista pour qu’elle ôte son haik. Mais elle ne pouvait pas le faire.
Avant hier chez elle, pour la route en bus, et à cause du temps chaud, elle s’était vêtue légèrement sous son haik. Comme elle allait chez sa mère, elle trouvera tout le nécessaire chez elle. Donc, elle avait mis juste son petit slip ficelle noir et fin et par-dessus, un pantalon blue jean serré sur ses cuisses et ses fesses. Et sur sa poitrine, un simple tricot blanc, léger et à manches courtes. Elle s’était habillée comme si elle se libérait de sa prison maritale, traditionnelle et frustrée. Seulement, son pantalon lui serrait assez étroitement le derrière et son tricot collait trop à sa poitrine. Alors, elle hésita à ôter son hijab, mais elle avait trop chaud et risquait de s’évanouir. Elle résista ainsi pendant presque une heure. Ils étaient en pleine campagne, la route était déserte et Anissa suffoquait de plus en plus, malgré la fenêtre ouverte. Son compagnon avait bien remarqué cela, alors il lui demandait encore d’ôter son haik, et il insistait car il avait surtout peur pour elle. Il devait comprendre qu’ôter son haik devant un homme étranger n’était pas convenable, mais la situation était dangereuse, alors pour la convaincre, il éclata de rire en lui disant qu’elle était une proche voisine, son mari un collègue et un ami, presque comme des parents. Il ajoutait qu’elle avait pratiquement l’âge de ses filles et qu’elle n’avait rien à craindre de lui, au contraire.
Anissa, en réalité, n’attendait que cela mais que ce soit lui qui insiste et argumente. Depuis qu’elle l’avait invité chez sa mère et qu’ils se sont découvert plus ouvertement, qu’ils avaient ris ensemble, que sa mère avait été séduite et contente, qu’elle lui avait donnée des conseils pour s’assoir à côté de lui, Anissa avait été conquise. Elle l’avait trouvé beau et viril, contrairement à son mari. C’était le premier homme avec lequel elle pouvait discuter librement, loin de tout et comme elle avait été sevrée de sexe et d’amour depuis longtemps, elle se sentait, en droit, de faire tout ce qu’elle désirait. Mais elle avait décidé de le laisser faire les premiers pas, ce qu’il venait de faire par ses propos et arguments. Alors, elle n’avait plus hésité et elle ôta son Hijab ainsi que son voile et libéra son corps, ses cheveux et son visage. Elle était belle, femme sur le bout de ses ongles, et sa féminité éclata devant son compagnon. De surprise et d’enchantement, il ralentit la voiture et regarda Anissa avec admiration et excitation. Puis il sortit de la route, s’éloigna sur plusieurs dizaines de mètres et s’arrêta. Il continuait à la regarder, à l’admirer, la bouche ouverte, assommé par sa beauté. Maintenant, il sentait vraiment et fortement ses odeurs féminines qui l’excitaient. Et, sans sa propre volonté, sa bite se réveilla et commençait à gonfler sous sa braguette. Et malgré son short, une bosse commençait à poindre sur la braguette, traduisant son désir sexuel. Et Anissa, qui par instinct, avait placé son haik sur ses genoux pour couvrir ses cuisses et un bras contre sa poitrine, le regardait pour voir ses réactions. Et elle remarqua la bosse de sa braguette et qui augmentait de volume, elle savait qu’il bandait pour elle et la désirait. Elle eu d’abord peur de son audace, mais rapidement, sous le regard admiratif et silencieux de Si Tahar, et cette bosse qui gonflait de désir, elle s’excita elle aussi et sa chatte commençait à la chatouiller, à la démanger.
Pour Si Tahar, ses yeux admiratifs, ses lèvres qui psalmodiaient et sa braguette gonflée, étaient suffisamment éloquents, de son appréciation et son désir, même en silence. Et Anissa, trouvant ridicule ses gestes de protection après son acceptation de se découvrir, y alla directement et franchement. Elle descendit son bras et laissa ses seins pointer leurs boutons franchement sur son tricot. Puis elle jeta son haik, sur le siège derrière et découvrit ses cuisses charnues. Elle voyait l’homme, les yeux grands ouverts par le désir, alors par bravade, elle s’installa bien, le dos bien en arrière sur le siège et écarta ses cuisses. Elle vit Si Tahar qui eut un geste et un regard de surprise. Alors elle baissa les yeux sur ses cuisses et vit que la fente de sa chatte se profilait clairement sur son slip et son pantalon trop serré. Ainsi, en plus de la bosse au niveau de la braguette masculine dénotant que la queue de l’homme était gonflée pour elle, il y avait maintenant la chatte de la femme qui montrait sa fente comme une acceptation désirée. Son visage devint rouge de honte et de désir sexuel, sa chatte la démangeait et elle se ressentait faible, sans défense, prête à tout accepter. L’homme ressentit lui aussi cette acceptation de la femme et, avec une faible hésitation, il avança sa main vers les cuisses de la femme. Il posa sa main, légèrement puis insista lourdement. Sa bite gonfla encore plus et la braguette se redressa encore nettement. La femme s’en aperçu et sa chatte explosa de désir. Puis, Si Tahar avança sa main vers l’entre cuisses du pantalon, vers la fente désirée de Anissa. Elle ferma les yeux, étourdie de désir et écarta encore plus ses cuisses pour mieux s’offrir à la caresse. L’homme frotta doucement la fente à travers le pantalon, puis son doigt s’enfonça encore plus dans la fente de la femme qui gémit fortement d’excitation.
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