Terma 111 : Anissa après la mutation professionnelle de son mari (2) :

- Par l'auteur HDS Noura -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Terma 111 : Anissa après la mutation professionnelle de son mari (2) : Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-01-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Terma 111 : Anissa après la mutation professionnelle de son mari (2) :
L’homme frotta doucement la fente à travers le pantalon, puis son doigt s’enfonça encore plus et la femme gémit fortement d’excitation. Il pénétra la chatte et regarda Anissa qui était tendue, le dos en arrière sur le siège, les cuisses écartées, la tête levée et les yeux fermés. Elle marmonnait quelque chose mais en silence, elle était l’image même de l’acceptation et de l’offrande sexuelle et son pieu gonfla encore mieux, il était excité à l’extrême. La femme de son collègue s’offre à lui en toute liberté, il allait la baiser à fond et jouir en elle. Il frotta ses doigts sur la chatte, et comme elle le laissait faire, il avança son autre main sur le tricot qu’il souleva pour dénuder la poitrine d’Anissa. Puis, il caressa les seins et leurs bouts qui pointaient clairement, traduisant l’excitation extrême de la femme. Ensuite, il avança sa tête et colla sa bouche sur un sein et le suça. Aussitôt, Anissa émit de forts gémissements et sa main attrapa la main de l’homme sur sa chatte et la força à mieux s’enfoncer. Elle avait une envie extrême, obéissant à l’excitation de sa chatte pour aller plus en profondeur. Alors Si Tahar essaya d’ouvrir la fermeture éclair du pantalon de la femme qui l’aida en se soulevant légèrement. Et rapidement, il réussit à découvrir le slip humide, mouillé par le désir féminin. Il caressa la chatte à travers le slip et enfonça encore ses doigts dans la fente pour faire encore gémir de désir Anissa qui continuait à fermer les yeux et se tendait pour s’offrir encore mieux.
Alors Si Tahar écarta le slip et enfonça ses doigts dans la chatte. Elle était humide, inondée et follement chaude, et il fit quelques vas et viens avec son doigt, qui rendait la femme gémir en continu. Il se pencha alors sur les cuisses de la femme, écarta encore plus le slip, et enfonça sa tête dans la chatte et commença à la lécher et la provoquer avec sa langue. Anissa gémissait encore plus, bruyamment, elle respirait difficilement et haletait fort et parfois lançait un cri rauque « Ahhhh » de plaisir, sa chatte mouillait abondamment d’excitation. Elle avait écarté ses cuisses au maximum, puis, allant plus loin, elle se souleva un peu et descendit son pantalon et son slip pour se dénuder et s’offrir totalement. Elle donnait franchement sa chatte à l’homme et à sa bouche qui la broutait à fond. Elle ne pensait plus à rien d’autre qu’à ce plaisir agréable et affolant entre ses cuisses. Elle était heureuse, une joie qu’elle avait oubliée depuis longtemps. Son mari, ses enfants, le monde, tout n’avait plus aucune importance pour l’instant, elle attendait seulement la queue de l’homme, son zeb. Elle y pensait, la bosse de la braguette masculine la hantait et l’attirait. Alors elle envoya sa main gauche par-dessous Si Tahar, qui se releva un peu pour l’aider, et elle se dirigea vers la braguette pour toucher la grosse bosse et empoigner au mieux, la queue qui gonflait le vêtement. Puis, encore plus excitée par ce qu’elle empoignait, long et dur, elle essaya d’ouvrir la braguette, alors Si Tahar vint à son aide.
Il s’écarta légèrement, mais gardait sa main droite enfoncée active dans la chatte de la femme. Son autre main sur les seins s’écarta vers sa braguette pour l’ouvrir amplement, puis, écartant son slip, il sortit son zeb bandé, gonflé, prêt au plaisir. Anissa qui était maintenant fixée sur la braguette de l’homme, vit le grand zeb bondir, sa grosse tête la première, et se mettre debout presque à la verticale, et elle eut un hurlement de surprise, de joie et d’excitation. Elle l’empoigna encore plus fortement, sentit sa chair dure et douce à la fois, et n’y tenant plus, elle voulait le saisir totalement. Alors, elle écarta brusquement Si Tahar et sa main de sa chatte et elle se pencha sur le gros zeb. Elle l’empoigna mieux, maintenant avec ses mains, soupesa sa lourdeur et sa force, ce qui l’affola encore plus de désir, et commença à le lécher, timidement, d’bord sa grosse tête et sa couronne, excitantes, puis plus bas sur sa hampe large et douce. Mais Si Tahar put glisser sa main sous la femme penchée, pour la diriger, encore une fois, dans la chatte ouverte. Il avait encore envie de sa profondeur et de sa douceur. Maintenant elle coulait abondamment de désir sur les doigts de l’homme et sur le slip. De son coté, Anissa essayait d’enfoncer le zeb dans sa bouche et ce fut difficile tellement il était large et gros mais elle continua à le lécher et sucer sa tête. Sa grosseur et sa longueur la rendaient folle et elle se donnait quelques coups du lourd zeb sur son visage à droite et à gauche, tellement elle le désirait.
Sa main empoignait la queue plus fortement comme une possession qu’elle désirait depuis le début, et la serra à fond. C’était son premier zeb étranger qu’elle léchait et essayait de sucer, sa victoire sur sa vie monotone et sur son désert sexuel. C’était enfin, sa propriété, cette queue longue, épaisse et dure. Elle la sentait dure mais vivante et trépidante, impatiente comme elle, de donner son plaisir à sa chatte. Anissa était heureuse et se donnait totalement, impatiente pour la suite. Une puissante main d’homme était dans sa chatte et sa main à elle, tenait fortement un gros zeb. Elle se baissa mieux et réussit enfin à enfoncer un peu le zeb dans sa bouche pour, enfin, le sucer comme elle désirait. Elle le sentait lourd et doux à l’intérieur. Elle n’avait sucé auparavant que le zeb de son mari, aux débuts de leur mariage, mais comme il n’était pas prenant, elle avait cessé et cela depuis plusieurs années. Elle était enfin heureuse comme femme en suçant la bite dure et douce d’un homme. Mais son désir était encore autre et elle le dit doucement à l’homme en poussant encore la main masculine dans sa chatte. L’homme comprit, mais il savait que l’endroit était assez découvert. Alors, il écarta doucement la femme, reprit le volant et dirigea la voiture, et s’éloigna assez de la route. Enfin, il trouva un endroit, assez caché et pratiquement invisible de la route et il arrêta la voiture. Son zeb était en l’air et toujours debout, gonflé. Anissa, toujours nue et excitée, se jeta sur le zeb bien debout, l’empoigna de nouveau et se pencha sur lui pour le sucer et le branler.
Mais l’homme était aussi impatient qu’elle pour baiser, alors, en vitesse, il enleva son pantalon et son short, la femme était déjà nue de la ceinture aux pieds, offrant ses cuisses et sa chatte. Alors, il la fit se relever un peu et se pencher en avant et mette ses mains sur le tableau de bord, pour lui permettre à lui, de se glisser derrière elle, sur son siège, et la faire assoir sur ses genoux. Il avait hâte de la baiser dans n’importe quelle position. Le contact de cette chair douce féminine affola encore son zeb qui rebondit et se raidit encore plus. Ensuite, il caressa et ouvrit les lèvres de la chatte avec une main, il empoigna son zeb vertical avec l’autre main et l’enfonça doucement dans la chatte de la femme. Puis il la fit s’assoir complètement sur lui et son zeb s’enfonça jusqu’aux couilles dans les entrailles de Anissa. Elle hurla sans retenue en goutant ce total enfoncement du gros zeb en elle. Puis, elle commença à gémir en continue, bien remplie par ce gros et long zeb. L’homme, ayant bien ancré son pieu de chair au fond de la chatte et tenant la grosse croupe de Anissa par les hanches, commença ses mouvements de vas et viens, vers le haut puis le bas en cadence.
Anissa, penchée sur le tableau de bord haletait et gémissait de plaisir, en continue. Sa chatte, affamée, malgré son carême de plusieurs jours loin d’un mari trop occupé ailleurs, s’était ouverte facilement au gros zeb de Si Tahar. Ce dernier haletait autant que la femme qui, maintenant aidait l’homme dans leurs mouvements de vas et viens du zeb dans la chatte. Et les bruissements mouillés que faisaient les deux sexes en se frottant l’un dans l’autre, ajoutaient à leurs jouissances. La femme gémissait en continue et hurlait même à certains coups de reins trop brusques qui poussaient le zeb à la défoncer dans ses enfoncements. Elle-même aidait au plaisir en poussant parfois son bassin brusquement vers le zeb. Elle était aux anges et gémissait et hurlait sans retenue au plaisir. Enfin, après le long carême sexuel, elle jouissait à fond avec un gros zeb. Ils étaient impatients dans cette première baise, surpris tous les deux parla rapidité silencieuse de leurs désirs communs. Une étincelle qui a allumé un brasier dans leurs organes sexuels. Lui, surpris par son zeb qui avait bondi, rapidement et totalement aguiché par cette belle femme dont la chatte était affamée. Elle, surprise par sa chatte qui mouillait par la seule présence d’un homme et de son zeb qui gonflait sa braguette, et qui la fit se dénuder sans honte ni gêne. Ils se donnaient çà fond dans cette première baise, sans tenir compte de leur environnement. Heureusement qu’ils étaient inaperçu de la route qui était, d’ailleurs, déserte depuis qu’ils avaient commencé. Leur prestation, leur baise brutale, impatiente avait duré environ quinze minutes et la femme a eu, depuis le début quatre orgasmes. Le premier, fort et presque involontaire fut dès le premier enfoncement à fond du zeb, ensuite l’homme avait continué sans tenir compte du débordement de mouille qui inondait son zeb et le sol. Et Anissa fut reprise par le plaisir sans attendre et quelque minutes après, elle eut son second orgasmes, et la, l’homme sortit son zeb un moment, pour libérer le plaisir de la femme qui hurlait de jouissances.
Ensuite il s’enfonça de nouveau en elle et reprit ses vas et viens et quelques minutes plus tard, elle eu son troisième orgasme mais Si Tahar ne s’arrêta pas car lui-même commençait à ressentir ses couilles se réveiller. Et il continua jusqu’à ce que son bas ventre ressente les premiers signes des éjaculations. Il informa Anissa qu’il allait sortir son zeb pour s’éclater à l’extérieur, mais elle exigea qu’il continue car elle prenait les pilules depuis longtemps et elle avait, surtout, une envie folle sperme, de ressentir, enfin, les puissants jets des éjaculations pour la remplir jusqu’au fond. Elle avait pratiquement oublié ce qu’on ressentait au fond de la chatte. Alors, Si Tahar fonça de nouveau en accélérant ses vas et viens, et il donna un autre orgasme à la femme avant d’atteindre son top. Alors, s’accrochant aux hanches de la femme, et par un coup de reins puissant et hurlant, il projeta son premier jet puissant et abondant de sperme dans les fondements de Anissa. Elle ressentit ce premier comme une délivrance de sa chatte négligée depuis longtemps, elle le ressentit comme un dépucelage agréable et hurla de plaisir. Puis un second jet, accompagné de son coup de reins la remettait dans les jouissances continues. Une troisième éjaculation inonda sa chatte et une quatrième moins forte termina la série. Et enfin l’homme s’arrêta en soufflant fortement sa délivrance, sa victoire, mais il resta accroché fortement à ses hanches et son zeb, toujours enfoncé dans les fin fonds de la chatte. Ils restèrent un long moment ainsi, collés par leurs sexes et goutant à fond leurs jouissances.
Et même quant le zeb, toujours gonflé et luisant de sperme blanchâtre et de mouille des orgasmes, sortit de la chatte, et dans un bruissement érotique faiblement sifflant, ils poussèrent, en phase un long soupir de délivrance et de contentement. La femme resta assise totalement sur le zeb et les genoux de l’homme, malgré le sperme qui était partout. Elle était épuisée et ressentait sur ses fesses, le gros zeb qui lui semblait toujours dur, gonflé et prêt à recommencer. Durant tous leurs ébats, elle n’avait pas eu l’occasion de regarder l’homme, derrière elle, et maintenant, un semblant de honte la taraudait. Et quant elle se tourna vers lui, il la regardait avec un sourire complice et de contentement. Il allongea ses lèvres vers elle et elle accepta le baiser. Ils étaient d’accord et avaient scellés leur complicité par ce premier baiser. Ils s’embrassèrent à fond et longuement et se regardaient maintenant franchement, sans gêne ni honte. Rassasiés enfin de leur impatience sexuelle, ils savaient qu’ils avaient encore envie de baiser, mais dans d’autres positions. Ils ont constaté que la voiture était assez bien cachée et qu’avec un peu de prudence, ils pouvaient rester ici pour continuer à baiser. Il était environ 13h et ils avaient encore beaucoup de temps.
Alors Si Tahar poussa la femme à se redresser pour lui permettre de rejoindre siège, devant le volant. Mais Anissa préféra rester debout à cause du sperme qui était dans sa chatte et sur ses fesses et cuisses. Comme ils étaient nus de la ceinture aux pieds, ce fut facile et Anissa constata que le zeb de Si Tahar était encore debout, gonflé et désirable. Leurs yeux étaient suffisamment éloquents, ils allaient encore baiser. Alors, Si Tahar sortit de la voiture et avec un mouchoir, il nettoya un peu son zeb. Il expliqua à Anissa de passer dans les sièges du milieu qui étaient plus larges et pratiques. Elle jeta un coup d’œil vers la route, heureusement cachée, invisible. Alors, toujours nue de la ceinture aux pieds, elle sortit de la voiture, s’accroupit pour se vider encore du sperme de sa chatte, s’essuya un peu avec son grand mouchoir, puis pénétra les sièges derrière. L’homme l’aida à s’allonger dos sur les sièges, puis il lui écarta les cuisses, lui mit une jambe sur le dos du siège avant et l’autre jambe sur le dos du siège arrière.
Ainsi, Anissa était bien écartée, jambes et cuisses largement offertes, sa chatte brillante de mouille et palpitante, face à l’homme. L’homme qui avait éteint, en partie, le feu de sa chatte, par leur première baise, lui disait qu’il allait maintenant l’enflammer de nouveau pour la baiser à fond, sans se presser. La femme approuva par un sourire complice et écarta encore plus ses trésors et redressa un peu plus son bas ventre pour s’offrir. Il se pencha sur elle, saisissant son zeb, et l’enfonça cette fois, avec douceur dans la chatte et ensuite il poussa pour le glisser totalement jusqu’aux couilles. Et encore une fois, elle hurla dans le silence de la région, tellement la jouissance a été forte et encore une fois puissante dans sa chatte toujours sensibilisée de désir. Et Si Tahar, lui aussi reconquit par l’excitation, les mains de part et d’autre sur le siège, redémarra les vas et viens de son zeb, d’abord au ralenti, puis avec force et rapidité. Il haletait et poussait des «Ahhhh ! Ahhhh ! » de contentements. De son côté, Anissa gémissait bruyamment et haletait, la gorge roque et marmonnait quelque chose. L’homme pencha sa tête sur elle et entendit, pour la première fois Anissa murmuré « zid ! zid ! dakhal ! » ( encore !encore ! enfonces !). Il était content d’elle. Elle était écartée, ouverte et le zeb bien enfoncé en elle, alors elle jouissait et demandait plus, poussée par le plaisir et ses fantaisies, alors elle redressait un peu son torse, les coudes sur le siège, pour voir ce gros zeb se mouvoir dans sa chatte. Et elle hurla de désir encore plus, de ce tableau érotique, inespéré il y a juste un jour.
Anissa voyait cela et ses jouissances s’amplifiaient. Même les claquements des deux bas ventres étaient une source de jouissances pour elle. Les couilles de l’homme qui tapaient l’intérieur de ses cuisses la rendait folle d’excitation par leur lourdeur et les frottements de leurs poils. Dans cette position, pour la première fois face à face, ils se regardaient et baisaient, les yeux dans les yeux. Ils voyaient leurs sexes se faire plaisir, et leurs souffles, leurs halètements se confondaient. Anissa surtout, avec le zeb devant elle qui se mouvait dans sa chatte, avait des sensations inédites. Elle ressentait encore lieux sa liberté sexuelle, dans la possession du zeb sur sa chatte et les jouissances qu’elle recevait, dans le plaisir de s’être offerte, loin de son cocu de mari, dans le fait que, à sa façon, Si Tahar ne la baisait pas seulement, mais il la niquait, avec force. C’était comme une victoire contre ses malheurs, contre ses obligations, les exigences qui lui avaient été conditionnées par ses parents et son époux et surtout contre les isolements sexuels de son mari. C’était son premier zeb étranger et elle l’appréciait comme une folle à sa mesure, gros et épais comme un bras, et long jusqu’au fond de ses entrailles. Et Si Tahar l’a baisée longtemps et à fond, à corps perdus.
L’homme haletait et criait souvent, poussé par le plaisir de son zeb et la femme le suivait par ses hurlements et ses agitations. Ce fut pour eux, un temps infini où Anissa a eu, encore au moins deux orgasmes et libéré sa cyprine en hurlant. Elle pensait que c’étaient des orgasmes de femme infidèle, et elle les goutait encore plus. Elle avait complètement oublié si elle avait eu des orgasmes avec son mari dans les premiers temps de leur mariage. Mais elle savait que si elle avait eu, ils n’avaient aucun rapport, ni en genre ni en force avec ceux qu’elle a avec Si Tahar. Les couilles de cet homme, rien qu’en les regardant ou les touchant de la main et contre ses cuisses, n’avaient aucune commune mesure, par leurs grosses dimensions, leur volume avec celles de son mari. L’homme l’a baisée durant tout ce temps, dans cette position de liberté totale qu’elle a appréciée. Ensuite, après son second orgasme et hurlements de jouissances, Si Tahar se bloqua, bien au fond de la chatte. Elle avait cru deviner qu’il allait juter son sperme, et elle l’acceptait d’avance avec contentement. Elle voulait qu’il lui remplisse encore une fois sa chatte, mais Si Tahar n’éjacula pas. Il avait d’abord chauffé Anissa et il s’était arrêté juste pour mieux préparer la suite. La femme a eu ses orgasmes mais l’homme voulait renforcer cette baise. On voyait qu’ils aimaient baiser tous les deux presque comme de nouveaux mariés, affamés de sexe. Si Tahar voulait une baise très forte, alors il reprit ses mouvements, mais avec des enfoncements plus vigoureux qui sifflaient et qui faisaient hurler Anissa à pleine gorge, et avec des retraits rapides de son zeb qui permettaient à Anissa de souffler un peu. Ils niquèrent un temps inconnu, perdus dans leurs plaisirs et jouissances.
Enfin Si Tahar se bloqua de nouveau et poussa son zeb le plus profond possible en elle. Cette fois ci, elle décida de se concentrer sur le zeb et de ne rien perdre de toutes les sensations de sa chatte et du pieu qui la remplissait, de tous ses mouvements et ses vibrations. Et ainsi, elle put ressentir quelque chose de nouveau, pour la première fois de sa vie, une sorte de gonflements et d’allongements supplémentaires du zeb, en prémisses de ses éjaculations, allant à toucher le fin fond de sa chatte. Et soudain, le torrent de sperme jaillit de son zeb et inonda ses entrailles. Quatre fois, il éjacula, et chaque fois en abondance et avec un coup de reins supplémentaire. Cela dénotait qu’il avait enfin atteint la pleine mesure de son désir sexuel pour cette femme qui lui offrait sa belle chatte affamée. De son coté, elle ressentait que le zeb se gonflait et semblait s’allonger encore au fond de la chatte jusqu’à atteindre son ventre et elle en était presque étourdie de bonheur. Elle n’avait ressenti cela avec son mari, jamais. Après le quatrième jet, elle continuait à observer les sensations du zeb assouvi. Alors elle ressentait qu’il continuait à frétiller en elle, par de petits sursauts, de petits mouvements brusques, qui ajoutaient aux jouissances de la chatte. Et ce n’est que lorsque son zeb semblait s’être calmé que Si Tahar le retira de la chatte. Alors il sortit de la voiture et resta debout, encore sous le charme de la baise.
Anissa resta allongée sur les sièges, la chatte ouverte, comme une bouche affamée en espérant le retour urgent du gros zeb. L’homme récupéra encore une fois son mouchoir pour se nettoyer. Son zeb, que la femme regardait avidement, était énorme et brillait de sperme blanchâtre et de sa mouille. Anissa aurait souhaité le sucer et aspirer ses restes de sperme alors qu’il était encore chaud et gonflé. Elle avait encore envie de sa force, de son volume et de sa douceur dans sa chatte. Elle le voyait maintenant, encore si épais et si long qu’elle était étonnée comment sa chatte avait pu l’accepter, l’engloutir et le laisser jouer en elle sans aucune douleur ou gêne. Au contraire, elle l’avait aimé, serré en elle, obtenu des jouissances et enfin apprécié ses abondantes rasades de sperme. Elle pensait que le gros zeb est une arme redoutable entre les cuisses des hommes, quant ils sont capables de savoir s’en servir, comme Si Tahar, contrairement à son mari.

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