Terma 112 : Anissa après la mutation professionnelle de son mari (3) :
Récit érotique écrit par Noura [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-01-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Terma 112 : Anissa après la mutation professionnelle de son mari (3) :
L’homme était toujours debout devant la voiture, et toujours nu de la ceinture aux pieds, et jambes écartées, il secouait son gros zeb dressé, conquérant, et ce geste traduisait qu’il avait encore envie d’elle, de sa chatte et plus. Elle comprit tout de suite et un frisson de désir envahit de nouveau son corps et sa chatte recommençait à la démanger. Ils n’avaient pas encore épuisé leurs désirs. Après leurs deux séances, les flammes de leurs sexes brulaient encore et leurs corps se désiraient encore plus qu’auparavant. Elle répondit par un large sourire et se redressa, alors Si Tahar lui demanda de changer de position, de lui tourner le dos et de se mettre à genoux sur le siège. Elle était curieuse de cette position, qu’elle avait vue dans des vidéos, mais jamais utilisée par son mari, et elle obéit avec joie, persuadée qu’elle allait vers une nouvelle aventure sexuelle pour satisfaire sa liberté et sa chatte. Elle posa sa tête et sa poitrine sur le siège et tendit sa croupe levée en offrande. Lui, s’agenouilla derrière elle, juste devant les larges fesses d’Anissa et de sa chatte bien ouverte, bien offerte et palpitante, sous ses fesses et son cul, Devant ce merveilleux tableau érotique, Si Tahar eu un nouveau choc de désir qui l’excita à tel point que son zeb se gonfla au maximum, presque à exploser, alors il l’empoigna fébrilement et il le glissa sur et entre les fesses de la femme.
Une seconde, il fut tenté par l’anus qui palpitait devant lui, mais sage, il pensa que ce n’était pas encore le moment. Pour l’instant, il avait encore envie de la chaude et profonde chatte de la femme de son collègue et elle, aussi, elle avait encore envie de son zeb, long, épais, doux et dur à la fois, follement désirable pour la remplir et l’amener au septième ciel. Mais il ne put s’empêcher de lui avouer qu’elle avait un cul de tonnerre, une terma formidable, blanche laiteuse, large et douce au toucher, et que son anus était bien net, serré comme une ventouse et excitant. On voyait qu’il en avait envie et il lançait à la femme ses désirs. Elle lui répondit, en rigolant, qu’elle était toute à sa disposition et à celle de son gros zeb. Il ajouta qu’il serait heureux, une autre fois, de la dépuceler du cul, si elle le désirait. Il expliqua que les baises du cul étaient des sodomies et qui donnaient d’autres types de jouissances, si on savait y faire. Et il ajouta que lui et sa femme, qu’il avait dépucelée depuis des années, en jouissaient chaque fois. Anissa n’était pas contre mais elle en avait peur car elle pensait que c’était difficile et douloureux. Mais Si Tahar la rassura, qu’il avait de l’expérience et que le moment venu, ce sera très facile. Pour le moment, tout en parlant, elle ressentait le zeb, long et lourd, qui lui caressait le sillon des fesses, puis descendit plus bas, entre ses cuisses. Et Anissa, recommençait à gémir, puis n’y tenant plus et avec un « han » affolé de désir, il enfonça son zeb, presque brutalement, dans la chatte largement offerte.
Et encore une fois, la femme hurla bruyamment de cette rapide et brutale pénétration, de cette possession de sa chatte par le gros zeb, provocant des sensations de jouissances explosives. Sa chatte, sevrée longtemps, a retrouvé, heureusement, toute sa souplesse et sa sensibilité de jeune femme. Elle raffole maintenant de ce genre de pénétrations brutales par lesquelles tout son corps vibrait, qu’elle ressentait la force et la puissance du zeb, de sa grosseur, de son volume et de sa douceur magique qui l’impressionnaient aussi bien physiquement dans son corps que psychiquement dans sa tête, dans ses fantasmes enfin réalisées. Son plaisir s’exprimait alors par ces hurlements non retenus de jouissances dans sa chatte et de plaisir dans sa tête. De plus, maintenant, elle était aussi excitée par les propos sur le dépucelage de son cul dont elle imaginait déjà, en novice, les pénétrations du gros zeb et des délices que Si Tahar, l’homme viril et expérimenté, lui promettait. Mais elle fut tout de suite ramenée à la réalité présente, avec le zeb qui venait de la pénétrer, de la posséder et qui commençait à la saillir par des vas et viens puissants au fond de sa chatte. Elle ressentait ses jouissances qui montaient et le plaisir qui amplifiait sa chaleur sexuelle.
Alors, avec des pressions alternatives de ses muscles internes, elle essaya de masser le gros zeb pour amplifier son désir et elle constatait qu’il gonflait et s’allongeait encore et encore dans ses entrailles. Par cette méthode, elle excitait aussi sa chatte et il a suffit d’une dizaine de vas et viens rapides du zeb pour la faire exploser, d’un nouvel orgasme aussi hurlant et bruyant que les précédents. C’était son premier orgasme, inédit par derrière, et sa chatte agréablement et librement exposée, le gouta à fond en libérant sa mouille en abondante. Et Anissa exprima ses jouissances par un nouvel hurlement de joie et de bonheur. Si Tahar, rigolant gentiment, et tout en continuant à la baiser avec puissance et halètements, lui murmura à l’oreille, qu’elle avait une chatte merveilleuse, sensible et très prolifique. Et il ajouta, qu’avec une telle chatte et un zeb comme le sien, il pourrait lui offrir beaucoup d’enfants, même des jumeaux et des triplets. Anissa, riant, haletant et gémissant tout à la fois, en pleines jouissances, lui répondit qu’elle ne voulait plus avoir d’enfant, mais seulement jouir de ses organes sexuels, tous ses organes autant que possible et avec un gros zeb comme le sien. Flatté et heureux de la réponse féminine qui promettait des réjouissances futures dans la chatte et la terma d’Anissa, Si Tahar continua à la baiser avec grande volonté, par derrière. Il avait empoigné les hanches de la femme et lui donnait de furieux coups de reins, de profonds coups de zeb, en criant parfois, lui aussi, son plaisir. Et c’est ainsi qu’il la baisa dans sa chatte et la niqua dans ses fantasmes, beaucoup plus longtemps et plus à l’aise que dans leurs ébats précédents. Le gros zeb et la profonde et chaude chatte s’étaient totalement bien adaptés.
Et ensuite, pour jouir, ensemble, le plus longtemps possible, il changea de méthode. Quant il ressentait que son plaisir allait arriver, il le bloque en ralentissant ses vas et viens et en s’arrêtant même un petit moment pour calmer son désir. Puis, il reprenait la course, lentement puis plus vite, augmentant la cadence et la pression sexuelle des jouissances. C’était pour Anissa, de nouvelles sensations formidables et continues et son plaisir descendait, remontait plusieurs fois de suite et devenait de plus en plus fort, avec ses jouissances de plus en plus continues et merveilleusement agréables, et elle hurlait elle aussi en continu et sans retenu. Et ainsi, ils ont pu baiser et satisfaire leurs sexes au maximum, pendant plus d’une demi-heure. Et quant Si Tahar, malgré sa grande volonté, n’arrivait plus à se retenir, alors il éjacula de nouveau, plus puissamment et abondamment que les premières fois. Il avait tellement bien préparé et amplifié les sensations de leurs sexes, qu’il eu l’impression que ces quatre dernières éjaculations venaient de son cerveau et descendaient tout le long de son corps vers son zeb et la chatte heureuse de la femme. Tous ses jets, même le dernier plus faible que les autres, leur donna de fortes jouissances et du sperme chaud et visqueux en abondance.
Ensuite, heureux et satisfait, Si Tahar resta bien enfoncé au fond de la chatte pour se vider au maximum, puis il se retira lentement, en jouissant même de ce retrait lascif. Et comme Anissa lui hurla qu’elle désirait sucer son zeb avant de le nettoyer, il resta à genoux derrière elle, le zeb debout, gonflé et brillant de sperme, comme tout à l’heure. Elle s’était donc repositionnée, pour accéder à son zeb que ses deux mains empoignèrent avidement, puis, toujours impressionnant et affolant par sa grosse tête. Elle l’englouti entièrement dans sa bouche, maintenant habituée à son épaisseur et sa longueur. Puis elle prit son plaisir en le léchant et le suçant à fond, elle a même réussi à aspirer ce qui restait de sperme en lui et elle a réussi à tout avaler. Elle désirait, depuis leurs débuts, connaitre le gout du sperme, et elle exprima sa satisfaction, alors Si Tahar lui promis que pour la prochaine fois, il lui fera avaler ses éjaculations entières, si elle le désirait. Elle avait gouté, au début de son mariage, un peu de sperme de son mari, mais sa fadeur ne lui avait pas plu et elle n’avait plus recommencé. Mais avec le gros zeb puissant et les couilles tout autant grosses pleines et prolifiques de Si Tahar, elle voulait tenter l’expérience et semblait accepter son sperme.
Si Tahar était content d’avoir si rapidement dragué et baisé sa voisine en vitesse et par des positions différentes. De son coté, Anissa avait accepté tout ce que désirait l’homme et semblait être heureuse et satisfaite de ses méthode. Alors il lui avoua que ses baises étaient pratiquement des urgences, pour elle et pour lui. La première, sur le siège avant, ce fut la forte envie commune et urgente de leurs deux sexes de se toucher, de se baiser. La seconde, sur le siège arrière et face à face, et à l’aise, c’était pour satisfaire, dans une bonne position, la chatte affamée délaissée par un mari idiot et permettre à son zeb de mieux la pénétrer et l’adapter à sa force et sa puissance. Enfin la troisième, par derrière, c’était pour faire connaissance avec sa merveilleuse croupe, sa terma, qu’il avait envie de dépuceler, mais que ce sera pour la prochaine fois. Mais c’était aussi, pour leur permettre, à chacun sa manière, de faire agir son sexe, avec volonté, afin d’amplifier leurs jouissances. Anissa l’écoutait et l’approuvait totalement, elle était très contente de Si Tahar qui la comprenait très bien et de son zeb qui la rendait heureuse et satisfaisait amplement sa chatte et en profondeur. Elle ne se sentait absolument pas honteuse ou gênée d’être nue devant cet étranger, de l’avoir provoqué et de l’avoir laissé agir à son aise avec sa chatte. Au contraire, elle jugeait que son corps, dénudé, appartenait autant à elle qu’à cet homme qui a su en faire bon usage pour la rendre heureuse. C’est lui qui savait s’en occuper et lui donner du plaisir et des jouissances. Le zeb de cet homme avait pu faire sortir et développer toute la puissance sexuelle qui était cachée dans son corps et sa chatte. Elle savait qu’il était capable de découvrir d’autres potentialités sexuelles et de jouissances de son corps et elle sera totalement à sa disposition à leur retour chez eux. Il était donc devenu son vrai mari au niveau sexuel et fantasmes, même si l’autre, Si Omar, devenait seulement son mari social, familial et père de ses enfants.
Ensuite, ils se nettoyèrent au mieux qu’ils pouvaient, reprirent leurs vêtements mais sans leurs slips et s’installèrent ainsi sur leurs sièges initiaux. C’était un caprice d’Anissa qui avait exigée qu’ils restent nus sous leurs pantalons. Elle avait envie de se sentir disponible complètement et elle souhaitait voir la braguette de Si Tatar se gonfler de nouveau. C’était une fantaisie et l’homme y a obéit, il se sentait même excité et, à cette pensée, son zeb recommençait à se gonfler sous la braguette. Anissa l’a vu et a éclaté de rire, et lui aussi en a rigolé. Ils étaient heureux sexuellement, mais se posaient la question de la rapidité de leur relation. Il lui posa la question si sa réaction rapide de la baiser dans ce coin désert ne l’avait pas étonnée et fâchée. Elle a éclaté de rire en lui répondant que, en réalité, dès qu’elle l’avait vu dans le supermarché, elle savait qu’elle le désirait, qu’elle désirait un zeb disponible pour casser son carême sexuel. Elle ne pensait pas que ce sera si vite, dans la journée même, mais Si Tahar lui avait fait une bonne impression par sa virilité et il lui avait plu tout de suite et elle était prête à baiser avec lui. Elle avoua que c’était sa chatte qui la commandait depuis un certain temps et qu’à partir de cet instant, en ville, elle était vouée au zeb de Si Tahar. Et c’est ainsi qu’elle avait accepté la voiture comme une aubaine, comme un signal du destin pour elle, son corps et sa chatte, et qu’elle l’avait invité chez ses parents. Sa mère qui, depuis toujours, sentait, devinait presque tout ce qui passait dans la tête et le cœur de sa fille. Elle semble avoir saisi que l’attitude de sa fille, ses manières et son comportement avec Si Tahar, étaient des signes que sa fille était très à l’aise avec cet homme, beaucoup mieux qu’avec son mari qu’elle connaissait bien mais n’appréciait guère beaucoup, surtout depuis sa mutation.
Elle avait certainement compris ce que sa fille désirait de cet homme, de la gentillesse et de la joie, peut-être pas du sexe, mais qu’ils allaient passer plusieurs heures ensemble, sur la route et pour donner de la couleur aux joues de sa fille dans ces moments chauds propices aux confidences et peut-être encore plus. Alors, et avec insistance, elle lui a recommandé de se mettre à coté de l’homme pour mieux communiquer, pas à l’arrière de la voiture. Par ses désirs, Anissa avait fait le nécessaire en ôtant son haik et son voile et la grosse bosse de la braguette de l’homme avait fait le reste. Les odeurs, que dégagent les femmes et leurs chattes affamées de zeb, sont fortes et peuvent être ressenties par les hommes, du moins certains hommes très sensibles aux voisinages féminins, aux sexes féminins. Et elle, Anissa, femme affamée de zeb depuis longtemps, les odeurs de désir de sa chatte couvraient toute la voiture dès qu’elle y a pénétrée. Et le zeb de l’homme avait bondi et s’est gonflé tout de suite, elle le savait même avant de le dégager de la braguette. Alors Si Tahar, avec un long sourire, lui a avoué que c’était vrai qu’il était déjà enivré de sa féminité et des odeurs de sa chatte et que son zeb s’était gonflé à lui faire mal et qu’il n’attendait que le premier geste concret de la femme, ce fut la main de la femme sur sa braguette. Ensuite, il avait vite compris qu’elle était sevrée de sexe et qu’il fallait la baiser en urgence, sans honte ni gêne, pour que cela devienne chose normale, naturelle parce qu’elle le désirait.
Ils on reprit la route et elle était restée ainsi, nue sous le pantalon serré sur sa chatte et ses fesses, le slip mouillé avait été étendu derrière pour sécher. Ils avaient déjà fait presque une centaine de km et Si Tahar lui jetait des coups d’œil de temps à autre. Il l’avait baisée trois fois dans des positions différentes, et pourtant il avait encore envie de sa chatte et son zeb bougeait de temps en temps sous sa braguette. Anissa savait que sa chatte était toujours prenante, mais elle se posait la question si le zeb de l’homme était capable d’une quatrième baise. Elle regardait souvent la braguette bouger de façon discontinue. Elle avait deviné que le zeb bandait un peu de temps en temps, suivant les pensées de Si Tahar. Alors, encore une fois, elle allait provoquer ou accélérer les choses. Elle commença à caresser sa chatte sur la fente de son pantalon, tout en regardant avec un sourire provocateur Si Tahar. Et celui-ci s’en aperçu tout de suite et son zeb y a répondu immédiatement en se gonflant et la braguette se tendait vers la verticale. Ils étaient donc d’accord et Si Tahar cherchait sur la route un endroit propice. Et encore une fois, la chance des amoureux leur tendait ses bras. Des bosquets d’arbres, loin sur les cotés de la route les invitaient à s’y cacher. Immédiatement, Si Tahar sortit de la route malgré qu’il n’y avait pas de piste et roula jusqu’aux bosquets de droite. Il arrêta la voiture derrière les arbres, bien cachée et, sortant de la voiture, ils ont accouru sur les banquettes derrière. Déjà leurs pantalons étaient enlevés et jetés sur le siège avant et ils étaient nus de la ceinture aux chevilles. Mais la femme voulait que son corps jouisse totalement, alors elle se débarrassa aussi de son tricot pour se dénuder complètement. L’homme voyant cela en fit autant et ôta sa chemise et se dressa nu hors de la voiture.
Son zeb pointait à l’horizontal, tendu, gonflé et dur, et devant ce spectacle, la chatte de la femme hurlait son désir. Et ainsi, ils allaient encore baiser pendant plus d’une demi-heure, cette fois ci, rassasiant leurs sexes et aussi leurs corps nus. L’homme a baisé Anissa comme et mieux que la seconde fois, elle était allongée sur les sièges et lui sur elle, face à face. Mais cette fois ils étaient moins affamés et moins pressés. Alors ils ont niqué à leur aise, lentement, doucement, mais parfois fortement, avec puissances, vitesses et coups de reins communs violents. Anissa a réussi à avoir au moins trois orgasmes bruyants et bien mouillés et des jouissances en continu. Ses gémissements étaient un plaisir de contentement à entendre et Si Tahar en était heureux. Elle était vraiment femme entre ses mains et sous lui. Lui appartenir par son sexe devenait aussi du plaisir. Il la baisait calmement, quoique sa respiration haletante traduise bien son plaisir, mais il voulait la rassasier avec son zeb, totalement. Et, ils furent heureux pendant plus d’une demi-heure, remplie de jouissances hurlés, de vas et viens ponctués de bruits et sussions érotiques, des chocs et claquements de leurs bas ventres, le tout accompagné d’embrassades, de pelotage des seins, des fesses et partout ailleurs du merveilleux corps féminin, mais aussi des reins durs et délicieusement virils de l’homme, de sa poitrine velue et de ses lèvres affamées. Pour elle, ce fut comme une formidable nuit de noces. Et enfin, l’homme atteint son top, son plaisir arrivait en puissance, il le dit à Anissa et ajouta qu’après, il allait lui offrir son sperme si elle le voulait et elle était prenante.
Une seconde, il fut tenté par l’anus qui palpitait devant lui, mais sage, il pensa que ce n’était pas encore le moment. Pour l’instant, il avait encore envie de la chaude et profonde chatte de la femme de son collègue et elle, aussi, elle avait encore envie de son zeb, long, épais, doux et dur à la fois, follement désirable pour la remplir et l’amener au septième ciel. Mais il ne put s’empêcher de lui avouer qu’elle avait un cul de tonnerre, une terma formidable, blanche laiteuse, large et douce au toucher, et que son anus était bien net, serré comme une ventouse et excitant. On voyait qu’il en avait envie et il lançait à la femme ses désirs. Elle lui répondit, en rigolant, qu’elle était toute à sa disposition et à celle de son gros zeb. Il ajouta qu’il serait heureux, une autre fois, de la dépuceler du cul, si elle le désirait. Il expliqua que les baises du cul étaient des sodomies et qui donnaient d’autres types de jouissances, si on savait y faire. Et il ajouta que lui et sa femme, qu’il avait dépucelée depuis des années, en jouissaient chaque fois. Anissa n’était pas contre mais elle en avait peur car elle pensait que c’était difficile et douloureux. Mais Si Tahar la rassura, qu’il avait de l’expérience et que le moment venu, ce sera très facile. Pour le moment, tout en parlant, elle ressentait le zeb, long et lourd, qui lui caressait le sillon des fesses, puis descendit plus bas, entre ses cuisses. Et Anissa, recommençait à gémir, puis n’y tenant plus et avec un « han » affolé de désir, il enfonça son zeb, presque brutalement, dans la chatte largement offerte.
Et encore une fois, la femme hurla bruyamment de cette rapide et brutale pénétration, de cette possession de sa chatte par le gros zeb, provocant des sensations de jouissances explosives. Sa chatte, sevrée longtemps, a retrouvé, heureusement, toute sa souplesse et sa sensibilité de jeune femme. Elle raffole maintenant de ce genre de pénétrations brutales par lesquelles tout son corps vibrait, qu’elle ressentait la force et la puissance du zeb, de sa grosseur, de son volume et de sa douceur magique qui l’impressionnaient aussi bien physiquement dans son corps que psychiquement dans sa tête, dans ses fantasmes enfin réalisées. Son plaisir s’exprimait alors par ces hurlements non retenus de jouissances dans sa chatte et de plaisir dans sa tête. De plus, maintenant, elle était aussi excitée par les propos sur le dépucelage de son cul dont elle imaginait déjà, en novice, les pénétrations du gros zeb et des délices que Si Tahar, l’homme viril et expérimenté, lui promettait. Mais elle fut tout de suite ramenée à la réalité présente, avec le zeb qui venait de la pénétrer, de la posséder et qui commençait à la saillir par des vas et viens puissants au fond de sa chatte. Elle ressentait ses jouissances qui montaient et le plaisir qui amplifiait sa chaleur sexuelle.
Alors, avec des pressions alternatives de ses muscles internes, elle essaya de masser le gros zeb pour amplifier son désir et elle constatait qu’il gonflait et s’allongeait encore et encore dans ses entrailles. Par cette méthode, elle excitait aussi sa chatte et il a suffit d’une dizaine de vas et viens rapides du zeb pour la faire exploser, d’un nouvel orgasme aussi hurlant et bruyant que les précédents. C’était son premier orgasme, inédit par derrière, et sa chatte agréablement et librement exposée, le gouta à fond en libérant sa mouille en abondante. Et Anissa exprima ses jouissances par un nouvel hurlement de joie et de bonheur. Si Tahar, rigolant gentiment, et tout en continuant à la baiser avec puissance et halètements, lui murmura à l’oreille, qu’elle avait une chatte merveilleuse, sensible et très prolifique. Et il ajouta, qu’avec une telle chatte et un zeb comme le sien, il pourrait lui offrir beaucoup d’enfants, même des jumeaux et des triplets. Anissa, riant, haletant et gémissant tout à la fois, en pleines jouissances, lui répondit qu’elle ne voulait plus avoir d’enfant, mais seulement jouir de ses organes sexuels, tous ses organes autant que possible et avec un gros zeb comme le sien. Flatté et heureux de la réponse féminine qui promettait des réjouissances futures dans la chatte et la terma d’Anissa, Si Tahar continua à la baiser avec grande volonté, par derrière. Il avait empoigné les hanches de la femme et lui donnait de furieux coups de reins, de profonds coups de zeb, en criant parfois, lui aussi, son plaisir. Et c’est ainsi qu’il la baisa dans sa chatte et la niqua dans ses fantasmes, beaucoup plus longtemps et plus à l’aise que dans leurs ébats précédents. Le gros zeb et la profonde et chaude chatte s’étaient totalement bien adaptés.
Et ensuite, pour jouir, ensemble, le plus longtemps possible, il changea de méthode. Quant il ressentait que son plaisir allait arriver, il le bloque en ralentissant ses vas et viens et en s’arrêtant même un petit moment pour calmer son désir. Puis, il reprenait la course, lentement puis plus vite, augmentant la cadence et la pression sexuelle des jouissances. C’était pour Anissa, de nouvelles sensations formidables et continues et son plaisir descendait, remontait plusieurs fois de suite et devenait de plus en plus fort, avec ses jouissances de plus en plus continues et merveilleusement agréables, et elle hurlait elle aussi en continu et sans retenu. Et ainsi, ils ont pu baiser et satisfaire leurs sexes au maximum, pendant plus d’une demi-heure. Et quant Si Tahar, malgré sa grande volonté, n’arrivait plus à se retenir, alors il éjacula de nouveau, plus puissamment et abondamment que les premières fois. Il avait tellement bien préparé et amplifié les sensations de leurs sexes, qu’il eu l’impression que ces quatre dernières éjaculations venaient de son cerveau et descendaient tout le long de son corps vers son zeb et la chatte heureuse de la femme. Tous ses jets, même le dernier plus faible que les autres, leur donna de fortes jouissances et du sperme chaud et visqueux en abondance.
Ensuite, heureux et satisfait, Si Tahar resta bien enfoncé au fond de la chatte pour se vider au maximum, puis il se retira lentement, en jouissant même de ce retrait lascif. Et comme Anissa lui hurla qu’elle désirait sucer son zeb avant de le nettoyer, il resta à genoux derrière elle, le zeb debout, gonflé et brillant de sperme, comme tout à l’heure. Elle s’était donc repositionnée, pour accéder à son zeb que ses deux mains empoignèrent avidement, puis, toujours impressionnant et affolant par sa grosse tête. Elle l’englouti entièrement dans sa bouche, maintenant habituée à son épaisseur et sa longueur. Puis elle prit son plaisir en le léchant et le suçant à fond, elle a même réussi à aspirer ce qui restait de sperme en lui et elle a réussi à tout avaler. Elle désirait, depuis leurs débuts, connaitre le gout du sperme, et elle exprima sa satisfaction, alors Si Tahar lui promis que pour la prochaine fois, il lui fera avaler ses éjaculations entières, si elle le désirait. Elle avait gouté, au début de son mariage, un peu de sperme de son mari, mais sa fadeur ne lui avait pas plu et elle n’avait plus recommencé. Mais avec le gros zeb puissant et les couilles tout autant grosses pleines et prolifiques de Si Tahar, elle voulait tenter l’expérience et semblait accepter son sperme.
Si Tahar était content d’avoir si rapidement dragué et baisé sa voisine en vitesse et par des positions différentes. De son coté, Anissa avait accepté tout ce que désirait l’homme et semblait être heureuse et satisfaite de ses méthode. Alors il lui avoua que ses baises étaient pratiquement des urgences, pour elle et pour lui. La première, sur le siège avant, ce fut la forte envie commune et urgente de leurs deux sexes de se toucher, de se baiser. La seconde, sur le siège arrière et face à face, et à l’aise, c’était pour satisfaire, dans une bonne position, la chatte affamée délaissée par un mari idiot et permettre à son zeb de mieux la pénétrer et l’adapter à sa force et sa puissance. Enfin la troisième, par derrière, c’était pour faire connaissance avec sa merveilleuse croupe, sa terma, qu’il avait envie de dépuceler, mais que ce sera pour la prochaine fois. Mais c’était aussi, pour leur permettre, à chacun sa manière, de faire agir son sexe, avec volonté, afin d’amplifier leurs jouissances. Anissa l’écoutait et l’approuvait totalement, elle était très contente de Si Tahar qui la comprenait très bien et de son zeb qui la rendait heureuse et satisfaisait amplement sa chatte et en profondeur. Elle ne se sentait absolument pas honteuse ou gênée d’être nue devant cet étranger, de l’avoir provoqué et de l’avoir laissé agir à son aise avec sa chatte. Au contraire, elle jugeait que son corps, dénudé, appartenait autant à elle qu’à cet homme qui a su en faire bon usage pour la rendre heureuse. C’est lui qui savait s’en occuper et lui donner du plaisir et des jouissances. Le zeb de cet homme avait pu faire sortir et développer toute la puissance sexuelle qui était cachée dans son corps et sa chatte. Elle savait qu’il était capable de découvrir d’autres potentialités sexuelles et de jouissances de son corps et elle sera totalement à sa disposition à leur retour chez eux. Il était donc devenu son vrai mari au niveau sexuel et fantasmes, même si l’autre, Si Omar, devenait seulement son mari social, familial et père de ses enfants.
Ensuite, ils se nettoyèrent au mieux qu’ils pouvaient, reprirent leurs vêtements mais sans leurs slips et s’installèrent ainsi sur leurs sièges initiaux. C’était un caprice d’Anissa qui avait exigée qu’ils restent nus sous leurs pantalons. Elle avait envie de se sentir disponible complètement et elle souhaitait voir la braguette de Si Tatar se gonfler de nouveau. C’était une fantaisie et l’homme y a obéit, il se sentait même excité et, à cette pensée, son zeb recommençait à se gonfler sous la braguette. Anissa l’a vu et a éclaté de rire, et lui aussi en a rigolé. Ils étaient heureux sexuellement, mais se posaient la question de la rapidité de leur relation. Il lui posa la question si sa réaction rapide de la baiser dans ce coin désert ne l’avait pas étonnée et fâchée. Elle a éclaté de rire en lui répondant que, en réalité, dès qu’elle l’avait vu dans le supermarché, elle savait qu’elle le désirait, qu’elle désirait un zeb disponible pour casser son carême sexuel. Elle ne pensait pas que ce sera si vite, dans la journée même, mais Si Tahar lui avait fait une bonne impression par sa virilité et il lui avait plu tout de suite et elle était prête à baiser avec lui. Elle avoua que c’était sa chatte qui la commandait depuis un certain temps et qu’à partir de cet instant, en ville, elle était vouée au zeb de Si Tahar. Et c’est ainsi qu’elle avait accepté la voiture comme une aubaine, comme un signal du destin pour elle, son corps et sa chatte, et qu’elle l’avait invité chez ses parents. Sa mère qui, depuis toujours, sentait, devinait presque tout ce qui passait dans la tête et le cœur de sa fille. Elle semble avoir saisi que l’attitude de sa fille, ses manières et son comportement avec Si Tahar, étaient des signes que sa fille était très à l’aise avec cet homme, beaucoup mieux qu’avec son mari qu’elle connaissait bien mais n’appréciait guère beaucoup, surtout depuis sa mutation.
Elle avait certainement compris ce que sa fille désirait de cet homme, de la gentillesse et de la joie, peut-être pas du sexe, mais qu’ils allaient passer plusieurs heures ensemble, sur la route et pour donner de la couleur aux joues de sa fille dans ces moments chauds propices aux confidences et peut-être encore plus. Alors, et avec insistance, elle lui a recommandé de se mettre à coté de l’homme pour mieux communiquer, pas à l’arrière de la voiture. Par ses désirs, Anissa avait fait le nécessaire en ôtant son haik et son voile et la grosse bosse de la braguette de l’homme avait fait le reste. Les odeurs, que dégagent les femmes et leurs chattes affamées de zeb, sont fortes et peuvent être ressenties par les hommes, du moins certains hommes très sensibles aux voisinages féminins, aux sexes féminins. Et elle, Anissa, femme affamée de zeb depuis longtemps, les odeurs de désir de sa chatte couvraient toute la voiture dès qu’elle y a pénétrée. Et le zeb de l’homme avait bondi et s’est gonflé tout de suite, elle le savait même avant de le dégager de la braguette. Alors Si Tahar, avec un long sourire, lui a avoué que c’était vrai qu’il était déjà enivré de sa féminité et des odeurs de sa chatte et que son zeb s’était gonflé à lui faire mal et qu’il n’attendait que le premier geste concret de la femme, ce fut la main de la femme sur sa braguette. Ensuite, il avait vite compris qu’elle était sevrée de sexe et qu’il fallait la baiser en urgence, sans honte ni gêne, pour que cela devienne chose normale, naturelle parce qu’elle le désirait.
Ils on reprit la route et elle était restée ainsi, nue sous le pantalon serré sur sa chatte et ses fesses, le slip mouillé avait été étendu derrière pour sécher. Ils avaient déjà fait presque une centaine de km et Si Tahar lui jetait des coups d’œil de temps à autre. Il l’avait baisée trois fois dans des positions différentes, et pourtant il avait encore envie de sa chatte et son zeb bougeait de temps en temps sous sa braguette. Anissa savait que sa chatte était toujours prenante, mais elle se posait la question si le zeb de l’homme était capable d’une quatrième baise. Elle regardait souvent la braguette bouger de façon discontinue. Elle avait deviné que le zeb bandait un peu de temps en temps, suivant les pensées de Si Tahar. Alors, encore une fois, elle allait provoquer ou accélérer les choses. Elle commença à caresser sa chatte sur la fente de son pantalon, tout en regardant avec un sourire provocateur Si Tahar. Et celui-ci s’en aperçu tout de suite et son zeb y a répondu immédiatement en se gonflant et la braguette se tendait vers la verticale. Ils étaient donc d’accord et Si Tahar cherchait sur la route un endroit propice. Et encore une fois, la chance des amoureux leur tendait ses bras. Des bosquets d’arbres, loin sur les cotés de la route les invitaient à s’y cacher. Immédiatement, Si Tahar sortit de la route malgré qu’il n’y avait pas de piste et roula jusqu’aux bosquets de droite. Il arrêta la voiture derrière les arbres, bien cachée et, sortant de la voiture, ils ont accouru sur les banquettes derrière. Déjà leurs pantalons étaient enlevés et jetés sur le siège avant et ils étaient nus de la ceinture aux chevilles. Mais la femme voulait que son corps jouisse totalement, alors elle se débarrassa aussi de son tricot pour se dénuder complètement. L’homme voyant cela en fit autant et ôta sa chemise et se dressa nu hors de la voiture.
Son zeb pointait à l’horizontal, tendu, gonflé et dur, et devant ce spectacle, la chatte de la femme hurlait son désir. Et ainsi, ils allaient encore baiser pendant plus d’une demi-heure, cette fois ci, rassasiant leurs sexes et aussi leurs corps nus. L’homme a baisé Anissa comme et mieux que la seconde fois, elle était allongée sur les sièges et lui sur elle, face à face. Mais cette fois ils étaient moins affamés et moins pressés. Alors ils ont niqué à leur aise, lentement, doucement, mais parfois fortement, avec puissances, vitesses et coups de reins communs violents. Anissa a réussi à avoir au moins trois orgasmes bruyants et bien mouillés et des jouissances en continu. Ses gémissements étaient un plaisir de contentement à entendre et Si Tahar en était heureux. Elle était vraiment femme entre ses mains et sous lui. Lui appartenir par son sexe devenait aussi du plaisir. Il la baisait calmement, quoique sa respiration haletante traduise bien son plaisir, mais il voulait la rassasier avec son zeb, totalement. Et, ils furent heureux pendant plus d’une demi-heure, remplie de jouissances hurlés, de vas et viens ponctués de bruits et sussions érotiques, des chocs et claquements de leurs bas ventres, le tout accompagné d’embrassades, de pelotage des seins, des fesses et partout ailleurs du merveilleux corps féminin, mais aussi des reins durs et délicieusement virils de l’homme, de sa poitrine velue et de ses lèvres affamées. Pour elle, ce fut comme une formidable nuit de noces. Et enfin, l’homme atteint son top, son plaisir arrivait en puissance, il le dit à Anissa et ajouta qu’après, il allait lui offrir son sperme si elle le voulait et elle était prenante.
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