Terma 113 : Anissa après la mutation professionnelle de son mari (4)
Récit érotique écrit par Noura [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-01-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Terma 113 : Anissa après la mutation professionnelle de son mari (4)
Et enfin, l’homme atteint son top, son plaisir arrivait en puissance, il le dit à Anissa et ajouta qu’après, il allait lui offrir son sperme si elle le voulait et elle était prenante. Alors il accéléra ses coups, puis il retira son zeb de la chatte, glissa sur le ventre de la femme et pointa son zeb devant son visage. Cela sans s’arrêter de se branler encore cinq ou six fois fortement et en vitesse devant Anissa qui avait tendu son visage et ouvert sa bouche. La première rafale de sperme entra directement dans sa bouche, à tel point qu’elle faillit s’étrangler. Mais elle s’était ressaisie et a pu avaler le maximum. Ensuite, elle a englouti la tête du gros zeb et un peu de sa hampe, pendant que Si Tahar continuait à presser la partie inférieure de la hampe, et la seconde rafale arriva et entra directement dans la gorge d’Anissa qui a encore failli s’étrangler et elle a lâché le zeb qui est sorti de sa bouche. C’est pourquoi la troisième rafale a fini sur son visage, ses yeux, et ses cheveux et même plus bas sur sa poitrine. Quelques restes continuaient à couler faiblement du zeb, alors elle l’a englouti de nouveau plus profondément, pour le sucer, le lécher et aspirer les restes de sperme. Elle était gavée de sperme, elle qui désirait en gouter un peu. Il était salé et un peu fade, mais chaud et très visqueux et au total, elle l’appréciait, sachant qu’il venait du gros zeb qu’elle admirait tant et qui lui avait donné tant de jouissances, et elle a trouvé que le sperme de l’homme était très valable. Ainsi le zeb de Si Tahar a bien réussit son examen de la quatrième baise et en tout point.
Ensuite ils se sont assis, cote à cote, sur cette large banquette du milieu, nus complètement. Elle tenait son zeb et le branlait doucement et lui, de son coté, avait plongé sa main dans la chatte et lui caressait le clitoris. Ils voulaient, par leurs mains, se connaitre à fond après s’être gouté à fond. Elle a enfin pensé à son mari et a souris à ses attitudes enfantines de faire la tête, et que la seule attitude d’un homme, c’était ce qu’elle venait de faire avec Si Tahar, et que ces deux organes qu’ils tenaient dans leurs mains avaient besoins d’eux même, l’un dans l’autre pour se donner mutuellement du plaisir et des jouissances. Cela n’empêchait pas les plaisirs des éjaculations de donner, quant c’est nécessaire, des plaisirs familiaux. Les enfantements et les joies familiales complémentaires et, comme disait mon prof de maths, c’était nécessaire mais pas suffisant pour un couple. Elle pensait qu’elle avait eu de enfants mais jamais du vrai plaisir et jamais du tout de jouissances à s’étourdir et aimer recommencer et à continuer. Elle l’avoua tout à Si Tahar qui lui donna raison sur tout. Ensuite, comme elle allait, agenouillée, sortir de l’autre coté de la voiture, Si Tahar, ébloui encore une fois par sa large et laiteuse croupe charnue, lui saisit les hanches et posa plusieurs baisers sur ses fesses et son anus, et même en dessous, sur sa chatte qui luisait de mouille et de sperme. Elle s’était arrêtée, excitée par ces derniers attouchements et tendait sa croupe au maximum, vers lui. Il se mit en position, à genoux derrière elle, et caressa ses fesses avec son zeb qui recommençait à durcir. Il poussa son zeb par-dessous et caressa sa chatte plusieurs fois. Et a chaque caresse, elle ressentait qu’il grossissait et s’allongeait jusqu’à ce qu’il redevint aussi dur et prêt que tout à l’heure. Elle était surprise de cette action de Si Tahar après sa quatrième baise et attendait la suite, toujours prenante, comme sa chatte.
Alors son zeb glissa dans la chatte, par derrière et Si Tahar se positionna mieux en tenant ses hanches. Puis, pendant encore plus d’un quart d’heure il réussit à la baiser encore et encore, ses mouvements étaient comme l’expression de la possession de la chatte aux caprices de son zeb mais aussi parce qu’il s’était attaché, emprisonné, totalement à cette chatte. Chaque fois qu’il reculait son zeb, comme pour abandonner, la chatte l’aspirait de nouveau et il replongeait dans son fond, affamé de sa douceur et de sa profondeur ensorcelante. Les deux organes sexuels ne pouvaient plus se quitter, s’éloigner, se passer l’un de l’autre. Ils continuaient à se limer, à se caresser, à glisser doucement l’un sur l’autre, l’un dans l’autre, attendant avec patience, les résultats de leur plaisir, les jouissances finales. La femme jouissait, mouillait en continu, et gémissait sans arrêt, mais lui, il attendait la déflagration de ses couilles avec patience, sans trop forcer. Et effectivement, ses couilles ont lâché, vaincues par les désirs des deux sexes et les éjaculations arrivèrent comme un torrent descendant de la montagne, impossible de l’arrêter, de le freiner, de le dévier et les deux amants hurlèrent en commun cette délivrance de sperme et de mouille dans la douce caverne féminine. Après, ils restèrent collés, soudés l’un à l’autre et leurs respirations se calmaient petit à petit, ainsi que leurs halètements roques mouraient dans le souffle de leurs jouissances communes. Enfin, l’homme se retira et s’assit, le zeb vaincu couché sur son bas ventre mais la femme resta agenouillée, recroquevillée sur son plaisir. Enfin Si Tahar donna l’heure qui avançait inexorablement et les poussait à réagir, à se nettoyer, à se rhabiller et à reprendre place sur leurs sièges.
L’homme, sage, se rhabillant complètement, conseilla à Anissa, de remette tous ces vêtements, y compris son slip ainsi que son hijab et son voile de tête et visage pour deux raisons. L’une c’était que le corps presque dénudé de la femme enflammait toujours son zeb qui pourrait gonfler de nouveau et lui donner envie de baiser encore et encore. Et la seconde raison, c’est que bientôt ils allaient arriver dans la zone proche de leur destination et il y a danger d’être vus. Anissa était d’accord et rapidement elle se couvrit complètement et se cala sur son siège avant. Puis il dégagea sa voiture du bosquet d’arbres et rejoignit la route. A peine une dizaine de kms plus loin et déjà des voitures apparaissaient dans la zone et bientôt ils entrèrent dans les alentours de la ville. Il était pratiquement 16h et leurs conjoints devaient être sortis du travail. C’était surtout valable pour Si Tahar, pour sa femme et ses enfants, mais pour le mari de Mouna, ce n’était pas sûr. D’abord il avait l’habitude de rester plus longtemps au travail, au moins jusqu’à 18h ou 19h, et parfois il ne rentrait que la nuit vers 22h. D’autant plus qu’il savait que sa femme Anissa était peut être encore chez ses filles et parents depuis deux jours. Il devait se douter même qu’elle allait prolonger son absence au lundi et peut-être même plus car elle était libre. C’est ce qu’Anissa expliqua à Si Tahar, donc il était presque sur que la maison soit encore vide à cette heure. Mais si la voiture s’arrêtait devant les deux maisons voisines, sur la rue principale, la femme ou les enfants de Si Tahar risquaient de les voir. Heureusement, toujours la chance des amoureux, la maison de Si Omar, plus grande que celle de Si Tahar, possédait derrière elle, un petit jardin donnant sur une ruelle étroite et presque toujours déserte. Donc la voiture s’arrêta à ce niveau et le couple put entrer discrètement, grâce au trousseau de clés d’Anissa. Et, effectivement la maison était vide, Si Omar était encore à la Poste ou ailleurs avec ses amis, comme d’habitude jusqu’au milieu de la nuit.
Alors, Anissa en profita pour faire visiter sa maison, pièce par pièce, à Si Tahar. Elle se débarrassa d’abord de son haik et de ses voiles de tête et de visage. Puis elle commença la visite par le hall et la cuisine, puis la chambre où son mari s’isolait d’elle, enfin sa chambre à coucher et où elle était souvent recluse dans le grand lit vide qui la désolait. A ces pensées et souvenirs, Anissa se sentait triste, alors Si Tahar, pour la consoler, l’enlaça, l’embrassa gentiment, mais sa main, machinalement, sans même y penser, caressa sa croupe. Il lui rappela que bientôt, ils pourront baiser la chatte et le cul sur ce lit même qui chagrinait Anissa. Elle lui a rendu ses baisers en lui entourant le cou de ses bras et en se frottant à lui, machinalement, mais ce geste contre le pantalon réveilla un peu le zeb de Si Tahar. Mais pour lui, il fallait récupérer la voiture, alors, tout en restant étroitement enlacés, ils traversèrent le petit jardin jusqu’à la porte donnant sur la ruelle. Alors, pour un dernier baiser, Anissa s’était collé de nouveau à Si Tahar et son bas ventre frottait contre celui de l’homme, exactement sur sa braguette. Il n’en fallait pas plus pour faire bondir le zeb, toujours prêt, qui se redressa, gonfla la braguette et devint assez dur pour se faire nettement voir et ressentir par la femme. Aussitôt, Anissa s’enflamma et sa chatte vibra de désir. Alors, elle lança sa main vers la braguette et empoigna le zeb déjà gonflé. Folle de désir, elle déboutonna la braguette, glissa sa main même sous le slip et sortit le zeb gonflé à fond. L’homme a été surpris et dépassé par l’action féminine et n’a réagi que lorsque son zeb était en l’air dans la main d’Anissa.
Mais Si Tahar, mieux conscient du danger, essaya d’arrêter les gestes de la femme, en vain. Elle s’était mise à genoux tout en saisissant le zeb dur et follement tentant. Puis, elle l’engloutit dans sa bouche et commença à le lécher, le sucer et le branler. L’homme essaya de repousser Anissa et lui dire de s’arrêter pour le laisser partir, mais elle ne l’écoutait plus. Mieux, elle se releva et avec énergie et fougue, sans que Si Tahar n’arrive à se libérer d’elle, et de sa main libre, elle abaissa son pantalon jusqu’à ses pieds et d’un geste, elle le rejeta, tout en gardant le zeb de son autre main, pour ne pas le laisser fuir. Puis, elle releva sa jambe droite et écartant sa cuisse, elle poussa le zeb par-dessous pour se frotter la chatte travers son slip. Et ce geste l’a encore excitée et Si Tahar semblait ne rien pouvoir faire à cette folle volonté. Et toujours avec son autre main libre, elle a écarté son slip sur le coté et a poussé le zeb à l’intérieur de sa chatte. L’homme ne résistait plus, il était conquis et dépassé. Et, au contraire, il lui donna un coup de reins et son zeb pénétra profondément la chatte qui coulait déjà de désir. La femme haletait et ne pouvait plus se détacher. L’homme, en partie conscient du danger, ferma la porte d’enté, derrière lui, et tout en étant collée à elle, repoussa Anissa dos contre le mur. La jambe relevée haut et la cuisse écartée permettaient à Si Tahar de mieux faire bouger son zeb. Et ainsi, il a niqué Anissa dans sa propre maison, contre le mur, jambe relevée, comme une pute dans une ruelle déserte, et cette pensée qui passait dans la tête de la femme, l’excita encore plus. Elle haletait bruyamment et son corps vibrait de désir et le zeb glissait et frottait avec facilité en elle. Les jouissances l’étourdissaient et comme prévu, elle hurla son orgasme qui inonda sa chatte et le zeb de l’homme qui continuait ses vas et viens par ses violents coups de reins. Des jouissances continues dans sa chatte et son corps qui la faisaient crier et hurler de plaisir.
Heureusement que Si Tahar, passé le premier moment de surprise, a été très excité dans cette position inédite de baise, et son zeb arriva assez rapidement au plaisir et il éjacula sans ménagements dans la chatte. La femme a encore hurlé et elle a enroulé ses deux jambes et cuisses autour des reins de Si Tahar, tout en s’accrochant à son cou et à ses lèvres. La chatte avala presque tout son sperme mais une partie avait filtré le long des cuisses de la femme, polluant le pantalon et la braguette de l’homme qui soutenait totalement Anissa par ses fesses. Enfin, ses jets de sperme ralentirent puis s’arrêtèrent et le couple s’est calmé. Le zeb s’échappa de la chatte et Si Tahar put déposer la femme à terre pour se libérer et s’éloigner de son corps. Ensuite, il sortit son mouchoir et s’essuya le zeb au mieux, mais il constata les dégâts sur son pantalon et sa braguette. il remit son zeb dans son slip et ferma très vite sa braguette Anissa savait maintenant qu’il avait hâte de partir, car il était plus conscient qu’elle qui était totalement prisonnière de ses envies sexuelles. Elle était restée presque étourdie, contre le mur, debout, les jambes et cuisses encore écartées, son pantalon gisait par terre, mais son slip couvrait sa chatte.
Enfin, Si Tahar réussit à ouvrir la porte du logement et à s’éclipser, presque en fuite et, rapidement, il monta dans sa voiture et s’éloigna. Mais il avait un problème à résoudre avant de retourner chez les siens. Son pantalon et sa braguette étaient pollués même de l’extérieur par son sperme et la mouille de la femme. Il eu l’idée d’aller en ville, acheter un pantalon et un slip pour se changer dans un café bar et jeter les siens visiblement très pollués. Mais comme le couple était très libre de mœurs depuis longtemps et que sa femme savait qu’il était un grand coureur de jupons et avait plusieurs amantes, même parmi les femmes de ses collègues postiers, il décida de ne rien lui cacher de ce qui s’est passé avec Anissa. Il se sentait même heureux de tout avouer à sa femme. Alors, il rejoignit directement sa maison et sa famille. Il fut accueilli par ses enfants et sa femme Sara, dès qu’ils ont entendu sa voiture s’arrêter devant la maison. Ensuite il leur donna rapidement les nouvelles des enfants à l’internat du lycée et remet à sa femme ce qu’il avait rapporté de la ville, et il rejoignit sa chambre pour se changer. Sa femme avait tout de suite remarqué les pollutions qui souillaient son pantalon au niveau de sa braguette et plus bas.
Elle déposa vite, dans la cuisine, les affaires achetées puis rejoignit son mari dans la chambre. Il était d’enlever son pantalon et Sara s’en saisit et de sa main contrôla les pollutions. Elle sut immédiatement que c’était du sperme séché mais un collant et du liquide sui colorait le bas du pantalon. Comme les yeux de Sara posait clairement la question, Si Tahar, comme prévu, lui raconta presque tout, qu’il avait ramené avec lui, Anissa, leur voisine qui était en ville, visitant ses parents, qu’il avait été invité chez ses parents et fait connaissance de sa mère, et qu’en route, il avait dragué et baisé plusieurs fois Anissa qui était délaissée par son mari depuis longtemps. Il savait que sa femme le comprenait et lui pardonnait toujours ses frasques sexuelles extérieures. Et pour sceller leurs compréhensions mutuelles, Sara enlaça son mari et ils s’embrassèrent fougueusement. Puis elle porta le pantalon et le slip au panier à linges de la salle de bain, et retourna à sa cuisine, comme si de rien n’était. En réalité, elle réfléchissait beaucoup à la nouvelle situation. Elle savait, depuis que Si Omar et sa jeune femme se sont installés à coté d’eux, que Si Tahar n’attendait que l’occasion pour draguer Anissa, comme il savait le faire avec pas d’autres femmes et épouses. Elle savait tout sur les habitudes et attitudes de Si Omar qui délaissait trop souvent sa femme seule à la maison et que, d’ailleurs, Si Tahar lui avait déjà signalé. Donc, elle était sûre que, tôt ou tard, la chatte d’Anissa goutera la puissance du zeb de son mari, Si Tahar. Et cela lui plaisait et arrangeait ce qu’elle désirait faire depuis le début.
Sara était sexuellement mixte, elle aimait les zeb des hommes et les chattes des femmes. Elle adorait, même à fond le zeb de son mari mais aussi pratiquait les zeb de deux amants, des postiers, qu’elle avait réussi à draguer assez discrètement de Si Tahar, pendant ses missions en ville. D’ailleurs, ce midi même, elle avait couchée avec l’un d’eux, de 13h à 15h, juste après le départ des enfants à l’école et sa chatte a été satisfaite et remplie de sperme par deux fois. Et, il y a juste une heure, elle venait de se nettoyer et prendre une douche, avant l’arrivée des enfants de l’école et le retour de Si Tahar de la ville. Sara, en bonne lesbienne pratiquante, avait aimé le corps d’Anissa dès le début de son installation, mais elle n’avait pas trouvé encore l’occasion de se rapprocher d’elle, intimement. Maintenant, c’était possible. Ce qui vient de se passer entre Si Tahar et Anissa allait lui donner cette occasion, et dès demain elle allait engager l’affaire.
Mais revenons à Anissa que Si Tahar venait de quitter, après une chaude baise, debout, pour aller chez lui. Anissa, par contre, était restée un moment contre le mur, jouissant encore de cette dernière baise surprise qu’elle avait provoquée par inconscience mais aussi par envie du gros zeb qui savait jouer dans sa chatte. Elle en avait encore envie en se disant qu’elle était certainement ensorcelée, par elle-même peut-être, mais par ce zeb formidable, sans commune mesure avec celui de son mari. Elle savait que, maintenant, elle était capable de faire des choses encore plus choquantes, peut-être même en présence de son mari et cela lui donnait des frissons et une grande excitation. Son imagination volait haut et elle rêvait que son mari, couché dans sa pièce d’isolement pendant qu’elle était dans sa chambre, sur son lit, mais pas toute seule. Elle fantasmait qu’elle était avec Si Tahar et son zeb, nus et baisant toute la nuit, sans se préoccuper de son cocu de mari. Ces fantasmes la secouaient, alors elle a accouru vers la salle de bain. Jetant ses vêtements pollués dans le panier à linges, elle a pris une longue douche chaude et s’est nettoyée à fond.
Puis elle a rejoint sa chambre pour choisir d’autres vêtements, s’habiller et aller à la cuisine, car elle avait faim. Heureusement, le frigo était toujours plein et elle a commencé à préparer le diner pour elle et pour son mari, comme d’habitude. Son mari se pointa vers 21h alors qu’elle était assise à regarder la télé. Il lui a demandé, calmement, si son week-end a été réussi et elle lui a donné des nouvelles de leurs filles et des parents. Elle lui a montré ce qu’elle avait acheté, alors il lui donna de l’argent, plus que ce qu’elle avait dépensé. Puis il prit une douche et s’installa à la cuisine pour diner seul. Il ne voulait pas poser trop de questions pour ne pas la provoquer car, chose inouïe, inhabituelle, il avait envie de sa femme, cette nuit. Ses yeux, son attitude conciliante et ses gestes l’ont trahi et Anissa s’en était aperçue et a décidé d’accepter son jeu. Certes, elle a été rassasiée avec le gros zeb et les éjaculations abondantes de sperme de Si Tahar mais elle allait accepter de coucher avec son mari, ne serait ce que pour faire des comparaisons immédiates. Et puis, ce sera comme une sorte de compensation de son infidélité et peu de chose par rapport de ce qu’elle a fait avec Si Tahar avec son zeb et ses couilles.
Et dès que son mari a fini de diner et passé dans la chambre commune, elle l’avait rejointe sur le grand lit, nue et avec un déshabillé transparent, aguichant qu’elle enleva aussitôt au lit. C’était inhabituel et il préféra regarder ailleurs, elle l’a remarqué et elle s’était dit qu’il était vraiment idiot. Puis elle s’était couchée sous le drap et éteint la lumière. C’est alors qu’il s’approcha d’elle et enleva son pantalon et se coucha sur elle. Elle lui a ouvert ses cuisses et il la pénétra en ahanant et soufflant fort. Il la baisa une dizaine de minutes, rapidement et en vitesse, puis il éjacula dans sa chatte, si peu relativement à l’autre amant, puis il se leva pour aller se nettoyer. Ensuite il revint se coucher, se tournant de l’autre coté. Alors Anissa s’est levée pour aller à la salle de bain, prendre une douche et bien se nettoyer, puis revenir vite se coucher. Mais ses pensées étaient ailleurs, elle avait toujours en tête l’image du gros zeb de Si Tahar, le double ou plus de celui de son mari, et à la manière virile dont il baisait sa chatte qui sifflait et chantait avec les glissements et frottements du gros zeb.
Elle a essayé de compter combien de fois elle a été baisée par Si Tahar et ses éjaculations, elle n’y est pas arrivée car à chaque fois, c’était l’image du gros zeb brillant de sperme de Si Tahar l’envahissait son esprit et elle savait qu’il y avait risque que sa chatte ne se réveille trop en pleine nuit. Son mari ronflait déjà, mais elle continuait à penser au futur, à la suite avec Si Tahar, aux prochaines baises, et aussi à sa promesse de la dépuceler du cul et comment il allait s’y prendre. Elle était restée longtemps à fantasmer sur ce point jusqu’à ce que Morphée l’invite à s’endormir.
Ensuite ils se sont assis, cote à cote, sur cette large banquette du milieu, nus complètement. Elle tenait son zeb et le branlait doucement et lui, de son coté, avait plongé sa main dans la chatte et lui caressait le clitoris. Ils voulaient, par leurs mains, se connaitre à fond après s’être gouté à fond. Elle a enfin pensé à son mari et a souris à ses attitudes enfantines de faire la tête, et que la seule attitude d’un homme, c’était ce qu’elle venait de faire avec Si Tahar, et que ces deux organes qu’ils tenaient dans leurs mains avaient besoins d’eux même, l’un dans l’autre pour se donner mutuellement du plaisir et des jouissances. Cela n’empêchait pas les plaisirs des éjaculations de donner, quant c’est nécessaire, des plaisirs familiaux. Les enfantements et les joies familiales complémentaires et, comme disait mon prof de maths, c’était nécessaire mais pas suffisant pour un couple. Elle pensait qu’elle avait eu de enfants mais jamais du vrai plaisir et jamais du tout de jouissances à s’étourdir et aimer recommencer et à continuer. Elle l’avoua tout à Si Tahar qui lui donna raison sur tout. Ensuite, comme elle allait, agenouillée, sortir de l’autre coté de la voiture, Si Tahar, ébloui encore une fois par sa large et laiteuse croupe charnue, lui saisit les hanches et posa plusieurs baisers sur ses fesses et son anus, et même en dessous, sur sa chatte qui luisait de mouille et de sperme. Elle s’était arrêtée, excitée par ces derniers attouchements et tendait sa croupe au maximum, vers lui. Il se mit en position, à genoux derrière elle, et caressa ses fesses avec son zeb qui recommençait à durcir. Il poussa son zeb par-dessous et caressa sa chatte plusieurs fois. Et a chaque caresse, elle ressentait qu’il grossissait et s’allongeait jusqu’à ce qu’il redevint aussi dur et prêt que tout à l’heure. Elle était surprise de cette action de Si Tahar après sa quatrième baise et attendait la suite, toujours prenante, comme sa chatte.
Alors son zeb glissa dans la chatte, par derrière et Si Tahar se positionna mieux en tenant ses hanches. Puis, pendant encore plus d’un quart d’heure il réussit à la baiser encore et encore, ses mouvements étaient comme l’expression de la possession de la chatte aux caprices de son zeb mais aussi parce qu’il s’était attaché, emprisonné, totalement à cette chatte. Chaque fois qu’il reculait son zeb, comme pour abandonner, la chatte l’aspirait de nouveau et il replongeait dans son fond, affamé de sa douceur et de sa profondeur ensorcelante. Les deux organes sexuels ne pouvaient plus se quitter, s’éloigner, se passer l’un de l’autre. Ils continuaient à se limer, à se caresser, à glisser doucement l’un sur l’autre, l’un dans l’autre, attendant avec patience, les résultats de leur plaisir, les jouissances finales. La femme jouissait, mouillait en continu, et gémissait sans arrêt, mais lui, il attendait la déflagration de ses couilles avec patience, sans trop forcer. Et effectivement, ses couilles ont lâché, vaincues par les désirs des deux sexes et les éjaculations arrivèrent comme un torrent descendant de la montagne, impossible de l’arrêter, de le freiner, de le dévier et les deux amants hurlèrent en commun cette délivrance de sperme et de mouille dans la douce caverne féminine. Après, ils restèrent collés, soudés l’un à l’autre et leurs respirations se calmaient petit à petit, ainsi que leurs halètements roques mouraient dans le souffle de leurs jouissances communes. Enfin, l’homme se retira et s’assit, le zeb vaincu couché sur son bas ventre mais la femme resta agenouillée, recroquevillée sur son plaisir. Enfin Si Tahar donna l’heure qui avançait inexorablement et les poussait à réagir, à se nettoyer, à se rhabiller et à reprendre place sur leurs sièges.
L’homme, sage, se rhabillant complètement, conseilla à Anissa, de remette tous ces vêtements, y compris son slip ainsi que son hijab et son voile de tête et visage pour deux raisons. L’une c’était que le corps presque dénudé de la femme enflammait toujours son zeb qui pourrait gonfler de nouveau et lui donner envie de baiser encore et encore. Et la seconde raison, c’est que bientôt ils allaient arriver dans la zone proche de leur destination et il y a danger d’être vus. Anissa était d’accord et rapidement elle se couvrit complètement et se cala sur son siège avant. Puis il dégagea sa voiture du bosquet d’arbres et rejoignit la route. A peine une dizaine de kms plus loin et déjà des voitures apparaissaient dans la zone et bientôt ils entrèrent dans les alentours de la ville. Il était pratiquement 16h et leurs conjoints devaient être sortis du travail. C’était surtout valable pour Si Tahar, pour sa femme et ses enfants, mais pour le mari de Mouna, ce n’était pas sûr. D’abord il avait l’habitude de rester plus longtemps au travail, au moins jusqu’à 18h ou 19h, et parfois il ne rentrait que la nuit vers 22h. D’autant plus qu’il savait que sa femme Anissa était peut être encore chez ses filles et parents depuis deux jours. Il devait se douter même qu’elle allait prolonger son absence au lundi et peut-être même plus car elle était libre. C’est ce qu’Anissa expliqua à Si Tahar, donc il était presque sur que la maison soit encore vide à cette heure. Mais si la voiture s’arrêtait devant les deux maisons voisines, sur la rue principale, la femme ou les enfants de Si Tahar risquaient de les voir. Heureusement, toujours la chance des amoureux, la maison de Si Omar, plus grande que celle de Si Tahar, possédait derrière elle, un petit jardin donnant sur une ruelle étroite et presque toujours déserte. Donc la voiture s’arrêta à ce niveau et le couple put entrer discrètement, grâce au trousseau de clés d’Anissa. Et, effectivement la maison était vide, Si Omar était encore à la Poste ou ailleurs avec ses amis, comme d’habitude jusqu’au milieu de la nuit.
Alors, Anissa en profita pour faire visiter sa maison, pièce par pièce, à Si Tahar. Elle se débarrassa d’abord de son haik et de ses voiles de tête et de visage. Puis elle commença la visite par le hall et la cuisine, puis la chambre où son mari s’isolait d’elle, enfin sa chambre à coucher et où elle était souvent recluse dans le grand lit vide qui la désolait. A ces pensées et souvenirs, Anissa se sentait triste, alors Si Tahar, pour la consoler, l’enlaça, l’embrassa gentiment, mais sa main, machinalement, sans même y penser, caressa sa croupe. Il lui rappela que bientôt, ils pourront baiser la chatte et le cul sur ce lit même qui chagrinait Anissa. Elle lui a rendu ses baisers en lui entourant le cou de ses bras et en se frottant à lui, machinalement, mais ce geste contre le pantalon réveilla un peu le zeb de Si Tahar. Mais pour lui, il fallait récupérer la voiture, alors, tout en restant étroitement enlacés, ils traversèrent le petit jardin jusqu’à la porte donnant sur la ruelle. Alors, pour un dernier baiser, Anissa s’était collé de nouveau à Si Tahar et son bas ventre frottait contre celui de l’homme, exactement sur sa braguette. Il n’en fallait pas plus pour faire bondir le zeb, toujours prêt, qui se redressa, gonfla la braguette et devint assez dur pour se faire nettement voir et ressentir par la femme. Aussitôt, Anissa s’enflamma et sa chatte vibra de désir. Alors, elle lança sa main vers la braguette et empoigna le zeb déjà gonflé. Folle de désir, elle déboutonna la braguette, glissa sa main même sous le slip et sortit le zeb gonflé à fond. L’homme a été surpris et dépassé par l’action féminine et n’a réagi que lorsque son zeb était en l’air dans la main d’Anissa.
Mais Si Tahar, mieux conscient du danger, essaya d’arrêter les gestes de la femme, en vain. Elle s’était mise à genoux tout en saisissant le zeb dur et follement tentant. Puis, elle l’engloutit dans sa bouche et commença à le lécher, le sucer et le branler. L’homme essaya de repousser Anissa et lui dire de s’arrêter pour le laisser partir, mais elle ne l’écoutait plus. Mieux, elle se releva et avec énergie et fougue, sans que Si Tahar n’arrive à se libérer d’elle, et de sa main libre, elle abaissa son pantalon jusqu’à ses pieds et d’un geste, elle le rejeta, tout en gardant le zeb de son autre main, pour ne pas le laisser fuir. Puis, elle releva sa jambe droite et écartant sa cuisse, elle poussa le zeb par-dessous pour se frotter la chatte travers son slip. Et ce geste l’a encore excitée et Si Tahar semblait ne rien pouvoir faire à cette folle volonté. Et toujours avec son autre main libre, elle a écarté son slip sur le coté et a poussé le zeb à l’intérieur de sa chatte. L’homme ne résistait plus, il était conquis et dépassé. Et, au contraire, il lui donna un coup de reins et son zeb pénétra profondément la chatte qui coulait déjà de désir. La femme haletait et ne pouvait plus se détacher. L’homme, en partie conscient du danger, ferma la porte d’enté, derrière lui, et tout en étant collée à elle, repoussa Anissa dos contre le mur. La jambe relevée haut et la cuisse écartée permettaient à Si Tahar de mieux faire bouger son zeb. Et ainsi, il a niqué Anissa dans sa propre maison, contre le mur, jambe relevée, comme une pute dans une ruelle déserte, et cette pensée qui passait dans la tête de la femme, l’excita encore plus. Elle haletait bruyamment et son corps vibrait de désir et le zeb glissait et frottait avec facilité en elle. Les jouissances l’étourdissaient et comme prévu, elle hurla son orgasme qui inonda sa chatte et le zeb de l’homme qui continuait ses vas et viens par ses violents coups de reins. Des jouissances continues dans sa chatte et son corps qui la faisaient crier et hurler de plaisir.
Heureusement que Si Tahar, passé le premier moment de surprise, a été très excité dans cette position inédite de baise, et son zeb arriva assez rapidement au plaisir et il éjacula sans ménagements dans la chatte. La femme a encore hurlé et elle a enroulé ses deux jambes et cuisses autour des reins de Si Tahar, tout en s’accrochant à son cou et à ses lèvres. La chatte avala presque tout son sperme mais une partie avait filtré le long des cuisses de la femme, polluant le pantalon et la braguette de l’homme qui soutenait totalement Anissa par ses fesses. Enfin, ses jets de sperme ralentirent puis s’arrêtèrent et le couple s’est calmé. Le zeb s’échappa de la chatte et Si Tahar put déposer la femme à terre pour se libérer et s’éloigner de son corps. Ensuite, il sortit son mouchoir et s’essuya le zeb au mieux, mais il constata les dégâts sur son pantalon et sa braguette. il remit son zeb dans son slip et ferma très vite sa braguette Anissa savait maintenant qu’il avait hâte de partir, car il était plus conscient qu’elle qui était totalement prisonnière de ses envies sexuelles. Elle était restée presque étourdie, contre le mur, debout, les jambes et cuisses encore écartées, son pantalon gisait par terre, mais son slip couvrait sa chatte.
Enfin, Si Tahar réussit à ouvrir la porte du logement et à s’éclipser, presque en fuite et, rapidement, il monta dans sa voiture et s’éloigna. Mais il avait un problème à résoudre avant de retourner chez les siens. Son pantalon et sa braguette étaient pollués même de l’extérieur par son sperme et la mouille de la femme. Il eu l’idée d’aller en ville, acheter un pantalon et un slip pour se changer dans un café bar et jeter les siens visiblement très pollués. Mais comme le couple était très libre de mœurs depuis longtemps et que sa femme savait qu’il était un grand coureur de jupons et avait plusieurs amantes, même parmi les femmes de ses collègues postiers, il décida de ne rien lui cacher de ce qui s’est passé avec Anissa. Il se sentait même heureux de tout avouer à sa femme. Alors, il rejoignit directement sa maison et sa famille. Il fut accueilli par ses enfants et sa femme Sara, dès qu’ils ont entendu sa voiture s’arrêter devant la maison. Ensuite il leur donna rapidement les nouvelles des enfants à l’internat du lycée et remet à sa femme ce qu’il avait rapporté de la ville, et il rejoignit sa chambre pour se changer. Sa femme avait tout de suite remarqué les pollutions qui souillaient son pantalon au niveau de sa braguette et plus bas.
Elle déposa vite, dans la cuisine, les affaires achetées puis rejoignit son mari dans la chambre. Il était d’enlever son pantalon et Sara s’en saisit et de sa main contrôla les pollutions. Elle sut immédiatement que c’était du sperme séché mais un collant et du liquide sui colorait le bas du pantalon. Comme les yeux de Sara posait clairement la question, Si Tahar, comme prévu, lui raconta presque tout, qu’il avait ramené avec lui, Anissa, leur voisine qui était en ville, visitant ses parents, qu’il avait été invité chez ses parents et fait connaissance de sa mère, et qu’en route, il avait dragué et baisé plusieurs fois Anissa qui était délaissée par son mari depuis longtemps. Il savait que sa femme le comprenait et lui pardonnait toujours ses frasques sexuelles extérieures. Et pour sceller leurs compréhensions mutuelles, Sara enlaça son mari et ils s’embrassèrent fougueusement. Puis elle porta le pantalon et le slip au panier à linges de la salle de bain, et retourna à sa cuisine, comme si de rien n’était. En réalité, elle réfléchissait beaucoup à la nouvelle situation. Elle savait, depuis que Si Omar et sa jeune femme se sont installés à coté d’eux, que Si Tahar n’attendait que l’occasion pour draguer Anissa, comme il savait le faire avec pas d’autres femmes et épouses. Elle savait tout sur les habitudes et attitudes de Si Omar qui délaissait trop souvent sa femme seule à la maison et que, d’ailleurs, Si Tahar lui avait déjà signalé. Donc, elle était sûre que, tôt ou tard, la chatte d’Anissa goutera la puissance du zeb de son mari, Si Tahar. Et cela lui plaisait et arrangeait ce qu’elle désirait faire depuis le début.
Sara était sexuellement mixte, elle aimait les zeb des hommes et les chattes des femmes. Elle adorait, même à fond le zeb de son mari mais aussi pratiquait les zeb de deux amants, des postiers, qu’elle avait réussi à draguer assez discrètement de Si Tahar, pendant ses missions en ville. D’ailleurs, ce midi même, elle avait couchée avec l’un d’eux, de 13h à 15h, juste après le départ des enfants à l’école et sa chatte a été satisfaite et remplie de sperme par deux fois. Et, il y a juste une heure, elle venait de se nettoyer et prendre une douche, avant l’arrivée des enfants de l’école et le retour de Si Tahar de la ville. Sara, en bonne lesbienne pratiquante, avait aimé le corps d’Anissa dès le début de son installation, mais elle n’avait pas trouvé encore l’occasion de se rapprocher d’elle, intimement. Maintenant, c’était possible. Ce qui vient de se passer entre Si Tahar et Anissa allait lui donner cette occasion, et dès demain elle allait engager l’affaire.
Mais revenons à Anissa que Si Tahar venait de quitter, après une chaude baise, debout, pour aller chez lui. Anissa, par contre, était restée un moment contre le mur, jouissant encore de cette dernière baise surprise qu’elle avait provoquée par inconscience mais aussi par envie du gros zeb qui savait jouer dans sa chatte. Elle en avait encore envie en se disant qu’elle était certainement ensorcelée, par elle-même peut-être, mais par ce zeb formidable, sans commune mesure avec celui de son mari. Elle savait que, maintenant, elle était capable de faire des choses encore plus choquantes, peut-être même en présence de son mari et cela lui donnait des frissons et une grande excitation. Son imagination volait haut et elle rêvait que son mari, couché dans sa pièce d’isolement pendant qu’elle était dans sa chambre, sur son lit, mais pas toute seule. Elle fantasmait qu’elle était avec Si Tahar et son zeb, nus et baisant toute la nuit, sans se préoccuper de son cocu de mari. Ces fantasmes la secouaient, alors elle a accouru vers la salle de bain. Jetant ses vêtements pollués dans le panier à linges, elle a pris une longue douche chaude et s’est nettoyée à fond.
Puis elle a rejoint sa chambre pour choisir d’autres vêtements, s’habiller et aller à la cuisine, car elle avait faim. Heureusement, le frigo était toujours plein et elle a commencé à préparer le diner pour elle et pour son mari, comme d’habitude. Son mari se pointa vers 21h alors qu’elle était assise à regarder la télé. Il lui a demandé, calmement, si son week-end a été réussi et elle lui a donné des nouvelles de leurs filles et des parents. Elle lui a montré ce qu’elle avait acheté, alors il lui donna de l’argent, plus que ce qu’elle avait dépensé. Puis il prit une douche et s’installa à la cuisine pour diner seul. Il ne voulait pas poser trop de questions pour ne pas la provoquer car, chose inouïe, inhabituelle, il avait envie de sa femme, cette nuit. Ses yeux, son attitude conciliante et ses gestes l’ont trahi et Anissa s’en était aperçue et a décidé d’accepter son jeu. Certes, elle a été rassasiée avec le gros zeb et les éjaculations abondantes de sperme de Si Tahar mais elle allait accepter de coucher avec son mari, ne serait ce que pour faire des comparaisons immédiates. Et puis, ce sera comme une sorte de compensation de son infidélité et peu de chose par rapport de ce qu’elle a fait avec Si Tahar avec son zeb et ses couilles.
Et dès que son mari a fini de diner et passé dans la chambre commune, elle l’avait rejointe sur le grand lit, nue et avec un déshabillé transparent, aguichant qu’elle enleva aussitôt au lit. C’était inhabituel et il préféra regarder ailleurs, elle l’a remarqué et elle s’était dit qu’il était vraiment idiot. Puis elle s’était couchée sous le drap et éteint la lumière. C’est alors qu’il s’approcha d’elle et enleva son pantalon et se coucha sur elle. Elle lui a ouvert ses cuisses et il la pénétra en ahanant et soufflant fort. Il la baisa une dizaine de minutes, rapidement et en vitesse, puis il éjacula dans sa chatte, si peu relativement à l’autre amant, puis il se leva pour aller se nettoyer. Ensuite il revint se coucher, se tournant de l’autre coté. Alors Anissa s’est levée pour aller à la salle de bain, prendre une douche et bien se nettoyer, puis revenir vite se coucher. Mais ses pensées étaient ailleurs, elle avait toujours en tête l’image du gros zeb de Si Tahar, le double ou plus de celui de son mari, et à la manière virile dont il baisait sa chatte qui sifflait et chantait avec les glissements et frottements du gros zeb.
Elle a essayé de compter combien de fois elle a été baisée par Si Tahar et ses éjaculations, elle n’y est pas arrivée car à chaque fois, c’était l’image du gros zeb brillant de sperme de Si Tahar l’envahissait son esprit et elle savait qu’il y avait risque que sa chatte ne se réveille trop en pleine nuit. Son mari ronflait déjà, mais elle continuait à penser au futur, à la suite avec Si Tahar, aux prochaines baises, et aussi à sa promesse de la dépuceler du cul et comment il allait s’y prendre. Elle était restée longtemps à fantasmer sur ce point jusqu’à ce que Morphée l’invite à s’endormir.
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