Terma 114 : Anissa après la mutation professionnelle de son mari (5)
Récit érotique écrit par Noura [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-01-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Terma 114 : Anissa après la mutation professionnelle de son mari (5)
Le lendemain matin, Anissa, réveillée à 7h30, comme d’habitude par son portable, était passée très rapidement à la salle de bain, puis a préparé leur petit déjeuner. Ensuite, comme d’habitude, sachant que son mari allait passer toute la journée dehors, elle lui a préparé un petit en cas et elle a remplit sa thermos de café. Puis elle est retournée se recoucher au moment où son mari, lavé, se dirigeait vers la cuisine pour son petit déjeuner, prendre son en cas et sa thermos puis partir au travail. Plus tard, Anissa fut réveillée vers 10h par des coups à la porte de la maison. Mettant son peignoir par-dessus sa robe de nuit assez transparente, elle alla ouvrir, et surprise, c’était Sara, sa voisine, la femme de Si Tahar. Elle la fit entrer, quoique surprise, et l’installa au salon. Elle était un peu gênée et ses pommettes rougissaient au souvenir du zeb de Si Tahar. Après les salutations et quelques paroles sur tout et rien, sur la santé et les enfants, Sara informa Anissa que Si Tahar l’avait informé sur leur voyage commun, mais s’inquiéta s’il l’avait ennuyé car il aimait trop parler. Et Anissa répondit qu’au contraire, Si Tahar a été très gentil et très serviable et elle le remercia à travers sa femme. Sara observait étroitement les expressions d’Anissa et cette dernière rougissait encore plus, soupçonnant Si Tahar d’avoir tout raconté à sa femme. Sara, éclata de rire et avec autorité, avança sa main, elle écarta doucement le peignoir d’Anissa et découvrit avec intérêt, les seins et les cuisses de sa jeune voisine, à peine cachées par la fine robe de chambre transparente. Alors, elle siffla d’admiration, les yeux arrondis et bien fixés sur Anissa. Et elle lui dit qu’elle comprenait très bien son mari et lui donnait raison. Anissa, toujours rouge de honte, ne savait plus quoi répondre, ni quoi cacher, ni quoi faire. Alors Sara posa sa main sur la cuisse d’Anissa, et avança son visage pour donner un léger baiser sur la joue de sa voisine. Puis elle remit le peignoir à sa place, recouvrant le corps d’Anissa, restée comme une statue, silencieuse.
Alors Sara lui dit que Si Tahar l’avait informé que leur voisine s’ennuyait car presque toujours seule, son mari travaillant tard et même souvent le week-end. Et que d’ailleurs, Si Tahar avait déjà remarqué depuis longtemps, l’assiduité et la présence presque permanente de Si Omar au bureau de poste. Et Sara, entourant de ses bras les épaules d’Anissa lui assurant son aide de voisines et son soutien de femmes de postiers. Elle expliqua à Anissa qui restait curieusement immobile et silencieuse, que leur maison lui sera ouverte tous les jours et à toute heure, même la nuit et le week-end. C’était une invitation directe. Elle ajouta qu’avec les des deux enfants turbulents de Saha à la maison, Anissa ne se sentira jamais seule et ennuyée. Puis elle regarda fixement Anissa, attendant sa réponse. Cette dernière, après un petit silence, suite à son attitude depuis le début, ouvrit la bouche enfin, pour remercier Sara de sa présence et de son invitation permanente et elle ajouta que sa maison vide est aussi ouverte, à toute heure à sa voisine et ses enfants. Alors Sara sourit de plus belle et demanda les nouvelles des parents et des filles d’Anissa en ville, et fut heureuse d’entendre qu’ils étaient bien et en bonne santé. Sara remercia Anissa d’avoir présenté Si Tahar à ses parents et cela ramena Anissa à la question de savoir si le mari avait tout raconté à sa femme, et elle rougit encore une fois. Sara avait trouvé le point faible d’Anissa qui rougissait chaque fois qu’elle pensait au voyage commun.
En réalité, Sara savait tout où presque tout car Si Tahar et sa femme formaient, depuis toujours un couple libre qui ne se cachait pratiquement rien. Si Tahar était un acharné du sexe et sa femme ne le suffisait plus depuis leur début, alors il collectionnait les femmes, les infidélités sans même se cacher. Rapidement sa femme avait su et rapidement aussi, elle comprit que la stabilité du couple dépendait de sa patience puis de son acceptation des écarts de son mari. Alors elle le fit savoir à Si Tahar qui agissait ainsi librement mais avec assez de discrétion et de prudence. Il rencontrait même, de temps à autre, deux épouses de ses collègues, mais dans la discrétion, l’une chez elle et l’autre dans le lit même de Sara et avec sa complicité. En effet, Sara, qui était déjà un peu lesbienne avec ses copines, avant son mariage, s’est donnée toute entière à ce jeu de chattes et de caresses avec des amies, même parmi les femmes de certains postiers. Puis quant Si Tahar avait baisé la femme d’un collègue, chez lui, Sara a partagé cette fantaisie à trois et son mari a même trouvé cela très excitant. Qu’Anissa soit devenue sa troisième amante, n’était pas une surprise pour Sara, bien au contraire vu le comportement de son mari, Si Omar. Sara, elle-même, en plus de ses jeux de lesbiennes avec certaines voisines, a eu aussi, depuis son mariage, quatre amants auparavant, et dernièrement un facteur postier, qui l’a baisée une seule fois, mais cela ne l’avait pas enchanté. Elle avait constaté que ses besoins étaient largement satisfaits avec Si Tahar, grand baiseur, dans sa chatte et dans son cul. Il en est de même pour ses besoins maternels, elle avait eu six enfants avec lui, dont les plus grands sont à l’université, et elle s’est arrangée pour arrêter définitivement. Actuellement, dépassant la quarantaine, elle a redécouvert ses tendances lesbiennes de jeunesse, et son mari lui laissait toute sa liberté.
Elle avait toujours ses bras autour des épaules d’Anissa et elle comprit qu’il fallait clarifier définitivement la situation. Alors, elle lui dit qu’elle savait ce qu’Anissa et Si Tahar avaient fait durant le voyage et qu’elle comprenait parfaitement leur attitude, à elle qui était sevrée de tendresses et surtout de sexe par son idiot de mari, et à lui, son mari qui ne pouvant résister à une si belle jeune femme. Et après quelques « ah ! » et « oh ! » d’Anissa, vite étouffés et oubliés, grâce à l’autorité de Sara et quelques caresses et baisers sur les joues, Anissa se calma et parvint même à rire. Elle avait trouvé une complice pour assouvir sa chatte et elle compte bien s’en servir. Alors Sara, d’autorité, lui ôta son peignoir et lui demanda de se lever pour bien l’adirer. Et Anissa, totalement conquise, se leva et sa robe de nuit transparente ne cachait rien de son merveilleux jeune corps, ses jeunes seins tressaillants et leurs boutons gonflés, ses cuisses charnues et ses rondes fesses trépidantes. Sara en profita pour se lever, jeter son haik et commencer à jouir de sa jeune voisine, à caresser ses seins et ses fesses, son bas ventre et le cru*eux de ses cuisses. Et Anissa, toujours très sensible, commença à gémir, puis de plus en plus sous les mains expertes de Sara. Ensuite, Sara la poussa vers la chambre à coucher où elle se mit, elle-même, à poil.
Elles s’allongèrent, nues sur le lit et se caressèrent mutuellement, Sara avec expériences et précisions faisant gémir Anissa, et cette dernière, apprenant de sa campagne les endroits et points sensibles. Sara, par ses caresses précises de la bouche, de la langue, de ses mains et doigts et des frottements de son bas ventre contre celui d’Anissa, arriva rapidement à donner un orgasme à sa jeune campagne qui hurla sans retenue. Ensuite, Sara se fit sucer le clitoris par Anissa jusqu’à ce qu’elle arrive, elle aussi, au plaisir. Enfin, Sara arrêta la séance et elles allèrent se doucher ensemble, sans oublier de se caresser sous l’eau. Ensuite, Sara s’habilla et partit chez elle, car elle devait préparer le déjeuner de midi à la sortie des enfants du collège. Aussitôt, elle appela son mari pour lui faire le rapport de ce qui s’était passé avec Anissa et que tout était parfait, et qu’il pouvait même venir la voir vers midi. En effet, Si Tahar, vu son ancienneté pouvait, selon les circonstances familiales, sortir parfois à midi juste pour manger un bout ou même prendre tout son après midi, sans perturber son travail. Il pouvait avoir, facilement la permission de son nouveau chef, Si Omar, le mari d’Anissa. Après l’appel de Sara, sachant ce qu’elle a fait avec Anissa, il a été excité et son envie de sa nouvelle amante le fit bander immédiatement. Alors, sans hésiter, il demanda à son chef, Si Omar, la permission de s’absenter l’après midi pour un problème familial, et son chef a signé sans difficulté. Il termina alors son travail rapidement pour se libérer après midi.
De son coté, Anissa, après sa douche, restée seule et n’ayant rien à préparer, préféra aller s’allonger et gouter ce qu’elle vient de vivre avec Sara. Elle savait, par les vidéos, autrefois, ce qu’étaient des lesbiennes, qu’elle n’avait pas bien compris. Mais grâce à Saha, elle commençait à comprendre et en jouir. Effectivement, aujourd’hui, elle a eu l’occasion de ressentir des jouissances par les caresses de Sara et même un orgasme, et qu’elle avait, elle aussi, donné du plaisir à sa voisine. Mais, au fond d’elle-même et au fond de sa chatte, c’était très différent avec les baises de Si Tahar, nettement plus affolantes et avec plus de plaisir. Elle se rappelait son zeb et ses enfoncements dans sa chatte et, très rapidement, ces pensées l’excitèrent, et sa chatte recommença à mouiller. Elle se rappelait surtout la dernière baise, debout contre le mur, une jambe levée, sa chatte offerte et niquée comme une pute dans une ruelle. Sa main resta longtemps à la caresser dans sa chatte et elle finit par s’endormir ainsi.
Elle fut réveillée vers 13h par des coups à la porte de la maison, comme tout à l’heure. Elle pensa à Sara, et mit sa fameuse robe de nuit transparente, elle couru ouvrir. Effectivement, c’était Sara, habillée normalement en Haïk, comme tout à l’heure qui entra, mais suivie, derrière elle par Si Tahar, en costume de travail. Tous les deux riaient et Anissa fut fortement surprise. Elle essaya de se couvrir machinalement mais c’était inutile, avec ou sans cette robe, elle était nue à leurs yeux. Sara la prit par les bras et lui dit que Si Tahar est venu exprès pour la revoir, sachant qu’elle seule à la maison, et il avait encore envie d’elle. Anissa, ne savait quoi dire ou quoi protéger. Alors, Si Tahar, l’a prise entre ses bras, la serra contre lui au point que son zeb gonflé d’excitation, provoquait le bas ventre de la jeune femme, et il l’embrassa fortement. Puis, lui chuchotant des mots de désir, il a prit sa main et elle le guida vers sa chambre et son lit. Sara s’était installée sur le canapé du salon, pour les laisser commencer leurs désirs dans la chambre où Si Tahar se déshabilla totalement. Son zeb était horizontal presque debout et gonflé à point et Anissa, impatiente et rejetant sa robe transparente, se jeta sur lui, l’empoignant énergiquement et à deux mains. Il était dur et doux à la fois et le souvenir de tout ce qu’ils avaient fait ensemble, hier, enveloppa le corps d’Anissa. Elle se mit à genoux pour lécher, sucer et branlé le gros zeb, mais Si Tahar était impatient. Il la poussa sur le lit, se mit au dessus d’elle, lui ouvrit ses cuisses qu’elle écarta encore plus, et empoignant son zeb, il l’enfonça presque brutalement dans la chatte de la femme.
Elle hurla de jouissances, sa chatte avait été bien chauffée et préparée par Sara tout à l’heure. Et Si Tahar commença sa chevauchée, sa saillie dans la chatte ouverte et il ahanait et soufflait « Ahhhh ! Ahhhh ! » tel un affamé. Et Anissa, gémissait, criait et parfois hurlait et même riait bruyamment, sans retenu, tout cela par les jouissances qui la dévoraient et faisaient vibrer tout son corps. C’était tellement fort et bruyant par les deux amants affamés, que Sara ne put s’empêcher de venir jeter un coup d’œil par la porte ouverte de la chambre. C’était un tableau formidable, celui de son mari, superbement nu, son zeb se mouvant en cavalcade entre les cuisses écartées de la belle Anissa qui avait entouré les reins de Si Tahar par ses longues jambes. Elle ne put s’empêcher d’enlever son haik, de soulever sa robe, de descendre son slip et de commencer à se caresser la chatte. Puis, s’échauffant encore plus, elle jeta sa robe et son slip et se glissa vers le lit, juste à coté du couple, tout en enfonçant ses doigts dans sa chatte et en gémissant en phase avec le couple. Son mari, Si Tahar baisa Anissa, avec énergie pendant plus d’un quart d’heure, lui donnant au moins deux orgasmes hurlés et abondamment mouillés, pour arriver enfin à son plaisir. Il se bloqua et par trois ou quatre coups de reins puissants, il éjacula dans des hurlements de dément. Anissa n’arrêtait pas de gémir et de crier des jouissances et quant l’homme éjacula, elle s’agrippa à lui, par ses bras, ses jambes et ses cuisses et lança un long hurlement de louve affamée et rassasiée en même temps.
L’homme se dégagea et s’allongea à coté d’elle. Il constata qu’il était au milieu du lit, avec à sa droite Anissa, les yeux fermés, encore à la merci de ses jouissances et à sa gauche, Sara, sa femme, qui se masturbait la chatte, de la main et des doigts, tout en haletant et bavant de désir. Anissa restait plongée dans le plaisir, pratiquement étourdie, mais Sara se leva et s’accroupit sur le ventre de son mari. Et avec détermination, elle empoigna son zeb encore assez vertical et gonflé, brillant de son sperme et de la mouille de Anissa. Et avec énergie et un cri de victoire, elle le poussa dans sa chatte, et s’assit dessus complètement avec un hurlement démentiel. Puis elle s’assit secoua sa croupe pour bien positionner le zeb dans les fonds de sa chatte. Posant ses mains sur la poitrine de son mari, elle démarra une série de violents vas et viens, à droite et à gauche, en haut et en bas, avec une grande cadence et des coups de reins puissants pour bien jouir des enfoncements du zeb. Ensuite, poussée par une ondée d’amour, elle se coucha sur la poitrine de son mari et colla sa bouche sur la sienne par un baiser sauvage tout en grognant. Elle remerciait ainsi son mari de cette liberté qu’ils avaient pour prendre le maximum de leurs plaisirs sexuels. Elle était tellement excitée et sa branle avait échauffée à fond sa chatte, qu’elle arriva rapidement à son plaisir et vida un bruyant et abondant orgasme sur le zeb et le bas ventre de Si Tahar qui était resté immobile, laissant à sa femme l’entière liberté de l’acte sexuel et de son plaisir. Sara, après avoir bien gouté complètement son orgasme, semblait s’arrêter pour souffler, maintenant toujours le zeb, prisonnier dans sa chatte.
C’est alors que son mari, dont le zeb était toujours bien gonflé et dur, prit l’initiative de démarrer ses vas et viens par de violents coups de reins. Sa femme, après un moment de surprise, reprenait aussi ses initiatives, et alors, tous les deux, arrivèrent à se coordonner sur un rythme de leurs mouvements en phase. Ils allaient de plus en plus vite et de plus en plus fort. Et, rapidement, Sara eu la chance d’un autre orgasme, sans même s’arrêter, et elle hurla juste au moment où Si Tahar arriva, lui aussi, à ses éjaculations dans la chatte de sa femme. Ils restèrent quelques secondes immobiles, les sexes confondus, puis Si Tahar, satisfait, poussa gentiment sa femme sur le coté, et il resta allongé, les jambes et cuisses écartées, entre les deux femmes. Anissa, pendant la baise de Sara et son mari, était restée, un coude sur le lit, à les admirer leurs mouvements, l’un dans l’autre, entièrement rythmés, et regretta qu’elle n’avait pas la même chance avec son mari. Mais, reprenant l’initiative, elle fut la première à réagir, elle se tourna vers Si Tahar et empoigna son zeb, un peu fléchissant et courbé sur sa cuisse mais qui était lourd et brillait de sperme et de mouille. Alors, elle l’engloutit et recommença à le lécher, sucer et branler, malgré qu’il avait un peu faibli et se courbait visiblement. Sara, se reprit, elle aussi, rapidement et rejoignit Anissa sur le zeb et les deux femmes se partagèrent les sussions et les branles sur le zeb qui reprit rapidement de la vigueur. Après un moment, quant son zeb se gonfla et durcit comme auparavant, Si Tahar comprit qu’il était prêt pour de nouvelles baises. Alors, il rappela à Anissa sa promesse de lui dépuceler le cul, mais elle ne semblait pas être d’accord pour le moment. Mais Sara, ayant bien entendu la proposition de son mari, et comprenant les hésitations de sa voisine, se releva encore et reprit sa position sur le bas ventre de Si Tahar, comme tout à l’heure.
Mais cette fois, elle enfonça le zeb, non pas dans sa chatte, mais au fond de son cul et commença à danser sur lui. Elle se penchait à fond sur son mari pour bien dégager sa croupe, et demanda à Anissa, d’aller voir de près comment ça se passait. Alors, Anissa se déplaça pour voir derrière Sara comment le zeb glissait dans le cul de sa voisine qui gémissait de plaisir. Anissa pensait que Sara gémissait juste pour lui faire aimer la sodomie, mais, voyant son visage et les facilités de glissements du zeb, et le tableau lui-même étaient si éloquents qu’elle avait confiance dans les jouissances du couple. Ensuite, ils changèrent de positions. Sara se mit à genoux sur le lit et Si Tahar derrière la croupe levée de sa femme. Il enfonça son zeb et le retira plusieurs fois dans le cul de Sara et cela semblait leur faire plaisir à tous les deux. Il demanda à Anissa de se rapprocher encore plus, il lui prend sa main pour empoigner son zeb et lui ordonne de l’enfoncer elle-même dans le cul de Sara. Quant Anissa enfonça le zeb de l’homme dans le cul, ce fut tellement facile, sa glissade et son retrait, en écartant la rondelle de l’anus. Ces mouvements aisés réagirent sur les sentiments et l’excitation d’Anissa. Puis l’homme lui demanda de garder le zeb dans sa main mais de donner quelques caresses et des baisers, avec ses lèvres et sa bouche sur l’anus de Sara.
Et Anissa, collant ses lèvres sur l’anus s’excita encore plus, et d’elle-même, poussée par une ondée de désir sexuel, elle essaya d’enfoncer sa langue dans le cul de Sara, et elle y réussit tout normalement. Elle chatouilla, avec sa langue, le cul de son amie et, tout naturellement, elle s’échauffa. Elle commença à donner des baisers au cul et aux fesses, puis, d’elle-même, elle enfonça de nouveau le zeb dans le cul de Sara et le retira, puis l’enfonça encore et encore. Elle semblait y trouver du plaisir surtout que Sara gémissait aux actes d’Anissa. Pendant ces instants, Si Tahar, profitant que la jeune femme trouvait du plaisir dans le cul de Sara, envoya sa main derrière Anissa et trouva les fesses qu’il caressa, puis atteint l’anus et y enfonça doucement son doigt. Le cul d’Anissa était mouillé, elle sentait le doigt de l’homme qui la pénétrait et ses sensations inédites mais agréables. L’homme poussa son doigt et ajouta un second qui écartèrent l’anus et s’y enfoncèrent. A ce moment, Anissa oublia ce qu’elle faisait sur le cul de Sara et ne s’occupa plus que des sensations de son propre cul. Ils continuèrent un moment ainsi, mais Anissa s’écarta ensuite, hésitant à continuer. Alors Si Tahar reprit son zeb, l’enfonce de nouveau dans le cul de sa femme et continua sa sodomie, pendant encore plusieurs minutes avant d’arriver aux éjaculations.
Ensuite, Si Tahar leur rappela que 15h était dépassé et que les filles allaient revenir de l’école vers 16h. Alors, ils se séparèrent et passèrent dans la salle de bain, tous les trois, à poil. Les deux femmes désiraient laver le zeb et Si Tahar n’était pas contre et elles le firent en rigolant fortement ensemble, elles semblaient s’amuser réellement avec ce jouet masculin. Puis Si Tahar le premier se sécha, s’habilla et discrètement sortit de la maison pour aller à la poste, juste pour pointer juste avant la fin du travail et ne pas perdre le salaire de la journée. Il avait l’habitude avec les complicités du personnel entre eux. Sara se rhabilla aussi assez vite pour rejoindre sa maison. Et Anissa, s’habilla correctement, au cas où, nettement improbable, son mari reviendrait vers 18h. Elle alla à la cuisine et commença la préparation du diner qu’elle termina vers 19h passée, mais son mari était encore absent. Elle s’assit au salon devant la télé, sur des documentaires de cuisine. Elle avait envie, maintenant, après son aventure du voyage avec Si Tahar, puis ce qui s’est passée ce jour avec le couple, d’aller chercher dans l’internet quelques films érotique ou porno, mais son mari risquait d’arriver. Alors elle décida de le faire après qu’il sera couché, à moins que ce soir, comme la nuit dernière il ait envie de baiser sa femme et coucher dans leur lit. Elle attendit et ce fut vers 23h que Si Omar se pointa à la maison. Il semblait fatigué donc Anissa savait qu’il n’y aura pas de baise marital et elle fut soulagée, alors elle alla se coucher, qu’il vienne ou pas s’endormir à coté d’elle, ce n’était plus important.
Alors Sara lui dit que Si Tahar l’avait informé que leur voisine s’ennuyait car presque toujours seule, son mari travaillant tard et même souvent le week-end. Et que d’ailleurs, Si Tahar avait déjà remarqué depuis longtemps, l’assiduité et la présence presque permanente de Si Omar au bureau de poste. Et Sara, entourant de ses bras les épaules d’Anissa lui assurant son aide de voisines et son soutien de femmes de postiers. Elle expliqua à Anissa qui restait curieusement immobile et silencieuse, que leur maison lui sera ouverte tous les jours et à toute heure, même la nuit et le week-end. C’était une invitation directe. Elle ajouta qu’avec les des deux enfants turbulents de Saha à la maison, Anissa ne se sentira jamais seule et ennuyée. Puis elle regarda fixement Anissa, attendant sa réponse. Cette dernière, après un petit silence, suite à son attitude depuis le début, ouvrit la bouche enfin, pour remercier Sara de sa présence et de son invitation permanente et elle ajouta que sa maison vide est aussi ouverte, à toute heure à sa voisine et ses enfants. Alors Sara sourit de plus belle et demanda les nouvelles des parents et des filles d’Anissa en ville, et fut heureuse d’entendre qu’ils étaient bien et en bonne santé. Sara remercia Anissa d’avoir présenté Si Tahar à ses parents et cela ramena Anissa à la question de savoir si le mari avait tout raconté à sa femme, et elle rougit encore une fois. Sara avait trouvé le point faible d’Anissa qui rougissait chaque fois qu’elle pensait au voyage commun.
En réalité, Sara savait tout où presque tout car Si Tahar et sa femme formaient, depuis toujours un couple libre qui ne se cachait pratiquement rien. Si Tahar était un acharné du sexe et sa femme ne le suffisait plus depuis leur début, alors il collectionnait les femmes, les infidélités sans même se cacher. Rapidement sa femme avait su et rapidement aussi, elle comprit que la stabilité du couple dépendait de sa patience puis de son acceptation des écarts de son mari. Alors elle le fit savoir à Si Tahar qui agissait ainsi librement mais avec assez de discrétion et de prudence. Il rencontrait même, de temps à autre, deux épouses de ses collègues, mais dans la discrétion, l’une chez elle et l’autre dans le lit même de Sara et avec sa complicité. En effet, Sara, qui était déjà un peu lesbienne avec ses copines, avant son mariage, s’est donnée toute entière à ce jeu de chattes et de caresses avec des amies, même parmi les femmes de certains postiers. Puis quant Si Tahar avait baisé la femme d’un collègue, chez lui, Sara a partagé cette fantaisie à trois et son mari a même trouvé cela très excitant. Qu’Anissa soit devenue sa troisième amante, n’était pas une surprise pour Sara, bien au contraire vu le comportement de son mari, Si Omar. Sara, elle-même, en plus de ses jeux de lesbiennes avec certaines voisines, a eu aussi, depuis son mariage, quatre amants auparavant, et dernièrement un facteur postier, qui l’a baisée une seule fois, mais cela ne l’avait pas enchanté. Elle avait constaté que ses besoins étaient largement satisfaits avec Si Tahar, grand baiseur, dans sa chatte et dans son cul. Il en est de même pour ses besoins maternels, elle avait eu six enfants avec lui, dont les plus grands sont à l’université, et elle s’est arrangée pour arrêter définitivement. Actuellement, dépassant la quarantaine, elle a redécouvert ses tendances lesbiennes de jeunesse, et son mari lui laissait toute sa liberté.
Elle avait toujours ses bras autour des épaules d’Anissa et elle comprit qu’il fallait clarifier définitivement la situation. Alors, elle lui dit qu’elle savait ce qu’Anissa et Si Tahar avaient fait durant le voyage et qu’elle comprenait parfaitement leur attitude, à elle qui était sevrée de tendresses et surtout de sexe par son idiot de mari, et à lui, son mari qui ne pouvant résister à une si belle jeune femme. Et après quelques « ah ! » et « oh ! » d’Anissa, vite étouffés et oubliés, grâce à l’autorité de Sara et quelques caresses et baisers sur les joues, Anissa se calma et parvint même à rire. Elle avait trouvé une complice pour assouvir sa chatte et elle compte bien s’en servir. Alors Sara, d’autorité, lui ôta son peignoir et lui demanda de se lever pour bien l’adirer. Et Anissa, totalement conquise, se leva et sa robe de nuit transparente ne cachait rien de son merveilleux jeune corps, ses jeunes seins tressaillants et leurs boutons gonflés, ses cuisses charnues et ses rondes fesses trépidantes. Sara en profita pour se lever, jeter son haik et commencer à jouir de sa jeune voisine, à caresser ses seins et ses fesses, son bas ventre et le cru*eux de ses cuisses. Et Anissa, toujours très sensible, commença à gémir, puis de plus en plus sous les mains expertes de Sara. Ensuite, Sara la poussa vers la chambre à coucher où elle se mit, elle-même, à poil.
Elles s’allongèrent, nues sur le lit et se caressèrent mutuellement, Sara avec expériences et précisions faisant gémir Anissa, et cette dernière, apprenant de sa campagne les endroits et points sensibles. Sara, par ses caresses précises de la bouche, de la langue, de ses mains et doigts et des frottements de son bas ventre contre celui d’Anissa, arriva rapidement à donner un orgasme à sa jeune campagne qui hurla sans retenue. Ensuite, Sara se fit sucer le clitoris par Anissa jusqu’à ce qu’elle arrive, elle aussi, au plaisir. Enfin, Sara arrêta la séance et elles allèrent se doucher ensemble, sans oublier de se caresser sous l’eau. Ensuite, Sara s’habilla et partit chez elle, car elle devait préparer le déjeuner de midi à la sortie des enfants du collège. Aussitôt, elle appela son mari pour lui faire le rapport de ce qui s’était passé avec Anissa et que tout était parfait, et qu’il pouvait même venir la voir vers midi. En effet, Si Tahar, vu son ancienneté pouvait, selon les circonstances familiales, sortir parfois à midi juste pour manger un bout ou même prendre tout son après midi, sans perturber son travail. Il pouvait avoir, facilement la permission de son nouveau chef, Si Omar, le mari d’Anissa. Après l’appel de Sara, sachant ce qu’elle a fait avec Anissa, il a été excité et son envie de sa nouvelle amante le fit bander immédiatement. Alors, sans hésiter, il demanda à son chef, Si Omar, la permission de s’absenter l’après midi pour un problème familial, et son chef a signé sans difficulté. Il termina alors son travail rapidement pour se libérer après midi.
De son coté, Anissa, après sa douche, restée seule et n’ayant rien à préparer, préféra aller s’allonger et gouter ce qu’elle vient de vivre avec Sara. Elle savait, par les vidéos, autrefois, ce qu’étaient des lesbiennes, qu’elle n’avait pas bien compris. Mais grâce à Saha, elle commençait à comprendre et en jouir. Effectivement, aujourd’hui, elle a eu l’occasion de ressentir des jouissances par les caresses de Sara et même un orgasme, et qu’elle avait, elle aussi, donné du plaisir à sa voisine. Mais, au fond d’elle-même et au fond de sa chatte, c’était très différent avec les baises de Si Tahar, nettement plus affolantes et avec plus de plaisir. Elle se rappelait son zeb et ses enfoncements dans sa chatte et, très rapidement, ces pensées l’excitèrent, et sa chatte recommença à mouiller. Elle se rappelait surtout la dernière baise, debout contre le mur, une jambe levée, sa chatte offerte et niquée comme une pute dans une ruelle. Sa main resta longtemps à la caresser dans sa chatte et elle finit par s’endormir ainsi.
Elle fut réveillée vers 13h par des coups à la porte de la maison, comme tout à l’heure. Elle pensa à Sara, et mit sa fameuse robe de nuit transparente, elle couru ouvrir. Effectivement, c’était Sara, habillée normalement en Haïk, comme tout à l’heure qui entra, mais suivie, derrière elle par Si Tahar, en costume de travail. Tous les deux riaient et Anissa fut fortement surprise. Elle essaya de se couvrir machinalement mais c’était inutile, avec ou sans cette robe, elle était nue à leurs yeux. Sara la prit par les bras et lui dit que Si Tahar est venu exprès pour la revoir, sachant qu’elle seule à la maison, et il avait encore envie d’elle. Anissa, ne savait quoi dire ou quoi protéger. Alors, Si Tahar, l’a prise entre ses bras, la serra contre lui au point que son zeb gonflé d’excitation, provoquait le bas ventre de la jeune femme, et il l’embrassa fortement. Puis, lui chuchotant des mots de désir, il a prit sa main et elle le guida vers sa chambre et son lit. Sara s’était installée sur le canapé du salon, pour les laisser commencer leurs désirs dans la chambre où Si Tahar se déshabilla totalement. Son zeb était horizontal presque debout et gonflé à point et Anissa, impatiente et rejetant sa robe transparente, se jeta sur lui, l’empoignant énergiquement et à deux mains. Il était dur et doux à la fois et le souvenir de tout ce qu’ils avaient fait ensemble, hier, enveloppa le corps d’Anissa. Elle se mit à genoux pour lécher, sucer et branlé le gros zeb, mais Si Tahar était impatient. Il la poussa sur le lit, se mit au dessus d’elle, lui ouvrit ses cuisses qu’elle écarta encore plus, et empoignant son zeb, il l’enfonça presque brutalement dans la chatte de la femme.
Elle hurla de jouissances, sa chatte avait été bien chauffée et préparée par Sara tout à l’heure. Et Si Tahar commença sa chevauchée, sa saillie dans la chatte ouverte et il ahanait et soufflait « Ahhhh ! Ahhhh ! » tel un affamé. Et Anissa, gémissait, criait et parfois hurlait et même riait bruyamment, sans retenu, tout cela par les jouissances qui la dévoraient et faisaient vibrer tout son corps. C’était tellement fort et bruyant par les deux amants affamés, que Sara ne put s’empêcher de venir jeter un coup d’œil par la porte ouverte de la chambre. C’était un tableau formidable, celui de son mari, superbement nu, son zeb se mouvant en cavalcade entre les cuisses écartées de la belle Anissa qui avait entouré les reins de Si Tahar par ses longues jambes. Elle ne put s’empêcher d’enlever son haik, de soulever sa robe, de descendre son slip et de commencer à se caresser la chatte. Puis, s’échauffant encore plus, elle jeta sa robe et son slip et se glissa vers le lit, juste à coté du couple, tout en enfonçant ses doigts dans sa chatte et en gémissant en phase avec le couple. Son mari, Si Tahar baisa Anissa, avec énergie pendant plus d’un quart d’heure, lui donnant au moins deux orgasmes hurlés et abondamment mouillés, pour arriver enfin à son plaisir. Il se bloqua et par trois ou quatre coups de reins puissants, il éjacula dans des hurlements de dément. Anissa n’arrêtait pas de gémir et de crier des jouissances et quant l’homme éjacula, elle s’agrippa à lui, par ses bras, ses jambes et ses cuisses et lança un long hurlement de louve affamée et rassasiée en même temps.
L’homme se dégagea et s’allongea à coté d’elle. Il constata qu’il était au milieu du lit, avec à sa droite Anissa, les yeux fermés, encore à la merci de ses jouissances et à sa gauche, Sara, sa femme, qui se masturbait la chatte, de la main et des doigts, tout en haletant et bavant de désir. Anissa restait plongée dans le plaisir, pratiquement étourdie, mais Sara se leva et s’accroupit sur le ventre de son mari. Et avec détermination, elle empoigna son zeb encore assez vertical et gonflé, brillant de son sperme et de la mouille de Anissa. Et avec énergie et un cri de victoire, elle le poussa dans sa chatte, et s’assit dessus complètement avec un hurlement démentiel. Puis elle s’assit secoua sa croupe pour bien positionner le zeb dans les fonds de sa chatte. Posant ses mains sur la poitrine de son mari, elle démarra une série de violents vas et viens, à droite et à gauche, en haut et en bas, avec une grande cadence et des coups de reins puissants pour bien jouir des enfoncements du zeb. Ensuite, poussée par une ondée d’amour, elle se coucha sur la poitrine de son mari et colla sa bouche sur la sienne par un baiser sauvage tout en grognant. Elle remerciait ainsi son mari de cette liberté qu’ils avaient pour prendre le maximum de leurs plaisirs sexuels. Elle était tellement excitée et sa branle avait échauffée à fond sa chatte, qu’elle arriva rapidement à son plaisir et vida un bruyant et abondant orgasme sur le zeb et le bas ventre de Si Tahar qui était resté immobile, laissant à sa femme l’entière liberté de l’acte sexuel et de son plaisir. Sara, après avoir bien gouté complètement son orgasme, semblait s’arrêter pour souffler, maintenant toujours le zeb, prisonnier dans sa chatte.
C’est alors que son mari, dont le zeb était toujours bien gonflé et dur, prit l’initiative de démarrer ses vas et viens par de violents coups de reins. Sa femme, après un moment de surprise, reprenait aussi ses initiatives, et alors, tous les deux, arrivèrent à se coordonner sur un rythme de leurs mouvements en phase. Ils allaient de plus en plus vite et de plus en plus fort. Et, rapidement, Sara eu la chance d’un autre orgasme, sans même s’arrêter, et elle hurla juste au moment où Si Tahar arriva, lui aussi, à ses éjaculations dans la chatte de sa femme. Ils restèrent quelques secondes immobiles, les sexes confondus, puis Si Tahar, satisfait, poussa gentiment sa femme sur le coté, et il resta allongé, les jambes et cuisses écartées, entre les deux femmes. Anissa, pendant la baise de Sara et son mari, était restée, un coude sur le lit, à les admirer leurs mouvements, l’un dans l’autre, entièrement rythmés, et regretta qu’elle n’avait pas la même chance avec son mari. Mais, reprenant l’initiative, elle fut la première à réagir, elle se tourna vers Si Tahar et empoigna son zeb, un peu fléchissant et courbé sur sa cuisse mais qui était lourd et brillait de sperme et de mouille. Alors, elle l’engloutit et recommença à le lécher, sucer et branler, malgré qu’il avait un peu faibli et se courbait visiblement. Sara, se reprit, elle aussi, rapidement et rejoignit Anissa sur le zeb et les deux femmes se partagèrent les sussions et les branles sur le zeb qui reprit rapidement de la vigueur. Après un moment, quant son zeb se gonfla et durcit comme auparavant, Si Tahar comprit qu’il était prêt pour de nouvelles baises. Alors, il rappela à Anissa sa promesse de lui dépuceler le cul, mais elle ne semblait pas être d’accord pour le moment. Mais Sara, ayant bien entendu la proposition de son mari, et comprenant les hésitations de sa voisine, se releva encore et reprit sa position sur le bas ventre de Si Tahar, comme tout à l’heure.
Mais cette fois, elle enfonça le zeb, non pas dans sa chatte, mais au fond de son cul et commença à danser sur lui. Elle se penchait à fond sur son mari pour bien dégager sa croupe, et demanda à Anissa, d’aller voir de près comment ça se passait. Alors, Anissa se déplaça pour voir derrière Sara comment le zeb glissait dans le cul de sa voisine qui gémissait de plaisir. Anissa pensait que Sara gémissait juste pour lui faire aimer la sodomie, mais, voyant son visage et les facilités de glissements du zeb, et le tableau lui-même étaient si éloquents qu’elle avait confiance dans les jouissances du couple. Ensuite, ils changèrent de positions. Sara se mit à genoux sur le lit et Si Tahar derrière la croupe levée de sa femme. Il enfonça son zeb et le retira plusieurs fois dans le cul de Sara et cela semblait leur faire plaisir à tous les deux. Il demanda à Anissa de se rapprocher encore plus, il lui prend sa main pour empoigner son zeb et lui ordonne de l’enfoncer elle-même dans le cul de Sara. Quant Anissa enfonça le zeb de l’homme dans le cul, ce fut tellement facile, sa glissade et son retrait, en écartant la rondelle de l’anus. Ces mouvements aisés réagirent sur les sentiments et l’excitation d’Anissa. Puis l’homme lui demanda de garder le zeb dans sa main mais de donner quelques caresses et des baisers, avec ses lèvres et sa bouche sur l’anus de Sara.
Et Anissa, collant ses lèvres sur l’anus s’excita encore plus, et d’elle-même, poussée par une ondée de désir sexuel, elle essaya d’enfoncer sa langue dans le cul de Sara, et elle y réussit tout normalement. Elle chatouilla, avec sa langue, le cul de son amie et, tout naturellement, elle s’échauffa. Elle commença à donner des baisers au cul et aux fesses, puis, d’elle-même, elle enfonça de nouveau le zeb dans le cul de Sara et le retira, puis l’enfonça encore et encore. Elle semblait y trouver du plaisir surtout que Sara gémissait aux actes d’Anissa. Pendant ces instants, Si Tahar, profitant que la jeune femme trouvait du plaisir dans le cul de Sara, envoya sa main derrière Anissa et trouva les fesses qu’il caressa, puis atteint l’anus et y enfonça doucement son doigt. Le cul d’Anissa était mouillé, elle sentait le doigt de l’homme qui la pénétrait et ses sensations inédites mais agréables. L’homme poussa son doigt et ajouta un second qui écartèrent l’anus et s’y enfoncèrent. A ce moment, Anissa oublia ce qu’elle faisait sur le cul de Sara et ne s’occupa plus que des sensations de son propre cul. Ils continuèrent un moment ainsi, mais Anissa s’écarta ensuite, hésitant à continuer. Alors Si Tahar reprit son zeb, l’enfonce de nouveau dans le cul de sa femme et continua sa sodomie, pendant encore plusieurs minutes avant d’arriver aux éjaculations.
Ensuite, Si Tahar leur rappela que 15h était dépassé et que les filles allaient revenir de l’école vers 16h. Alors, ils se séparèrent et passèrent dans la salle de bain, tous les trois, à poil. Les deux femmes désiraient laver le zeb et Si Tahar n’était pas contre et elles le firent en rigolant fortement ensemble, elles semblaient s’amuser réellement avec ce jouet masculin. Puis Si Tahar le premier se sécha, s’habilla et discrètement sortit de la maison pour aller à la poste, juste pour pointer juste avant la fin du travail et ne pas perdre le salaire de la journée. Il avait l’habitude avec les complicités du personnel entre eux. Sara se rhabilla aussi assez vite pour rejoindre sa maison. Et Anissa, s’habilla correctement, au cas où, nettement improbable, son mari reviendrait vers 18h. Elle alla à la cuisine et commença la préparation du diner qu’elle termina vers 19h passée, mais son mari était encore absent. Elle s’assit au salon devant la télé, sur des documentaires de cuisine. Elle avait envie, maintenant, après son aventure du voyage avec Si Tahar, puis ce qui s’est passée ce jour avec le couple, d’aller chercher dans l’internet quelques films érotique ou porno, mais son mari risquait d’arriver. Alors elle décida de le faire après qu’il sera couché, à moins que ce soir, comme la nuit dernière il ait envie de baiser sa femme et coucher dans leur lit. Elle attendit et ce fut vers 23h que Si Omar se pointa à la maison. Il semblait fatigué donc Anissa savait qu’il n’y aura pas de baise marital et elle fut soulagée, alors elle alla se coucher, qu’il vienne ou pas s’endormir à coté d’elle, ce n’était plus important.
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