Terma 115 : Anissa après la mutation professionnelle de son mari (6) :
Récit érotique écrit par Noura [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-02-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Terma 115 : Anissa après la mutation professionnelle de son mari (6) :
Le lendemain, Anissa se leva comme d’habitude à 7h, prépara le petit déjeuner de son mari et sa thermos et retourna se recoucher. Elle se réveilla deux heures plus tard, mais resta au lit en chemise de nuit, attendant sa voisine pour leurs ébats sexuels. Mais comme Sara ne venait pas, Anissa fit sa toilette, prit son petit déjeuner et s’habilla comme pour sortir. Elle avait décidé, ce matin, de ne pas mettre de sous vêtements, mais une simple robe fine et collante sous le haik. Elle se sentait ainsi presque nue et cela l’excitait. Le vêtement fin, presque transparent et totalement collé à son corps lui paraissait presque inexistant et ainsi, elle avait l’impression d’être nue sous son seul haik. Ensuite, elle ferma sa maison et alla toquer à la porte de ses voisins, mais en vain. Alors, elle alla se promener au marché. Elle rodait autour des étalages de fruits et légumes mais jetait aussi un coup d’œil aux marchants, dont certains étaient étrangers. Enfin, l’un d’eux attira son attention, c’était un homme de couleur, très grand de taille et large de poitrine, d’autant plus qu’il était seulement en tricot de peau. Voyant ses bras et larges mains, elle fut d’abord impressionnée et ses regards furent remarqués par l’homme qui devait avoir la quarantaine ou plus. Il jeta, lui aussi, plusieurs regards sur Anissa et la détailla, insistant sur sa croupe rebondie malgré son haik. Quant leurs regards se rencontrèrent, il lui fit un sourire et un clin d’œil discret. Elle n’y répondit pas, mais elle resta sur son étalage à manipuler certains fruits. Alors, il contourna son étalage et vint juste à coté d’Anissa et choisit quelques pommes et poires pour les lui offrir gracieusement. Bien sur elle refusa mais il insista et les met, avec autorité dans ses mains. Par ce geste leurs mains se touchèrent et un choc sexuel secoua Anissa. Gênée, elle baissa les yeux et, involontairement, rencontra, au niveau de la braguette de l’homme, la fameuse bosse faisant état que le zeb était bandé et gonflé pour elle. Elle leva la tête et rencontra le regard du marchant qui, baissant ses yeux, lui indiqua clairement qu’il bandait pour elle. Elle se retira, posa les fruits sur l’étalage et s’enfuit plus loin.
L’homme continua à regarder sa croupe qui ondulait et mit sa main sur sa braguette pour calmer son zeb. Elle était quant même excitée et étonnée que le simple regard sur sa croupe avait fait bander cet homme, comme à l’époque de sa jeunesse. Elle était donc aussi désirable que par le passé et cela faisait frissonner tout son corps. Elle contourna cette partie du marché et s’arrêta sur l’autre qui se trouvait dans la rue arrière. Il était identique, et Anissa, constatant qu’il y avait plusieurs marchands de couleurs et de tous âges, essaya, par jeu, de chercher parmi eux, celui ou ceux ressemblants à son dragueur. Et effectivement, rapidement elle en trouva deux qui faisaient l’affaire. Elle s’approcha de l’étalage du premier et ondula de la croupe afin de se faire remarquer, discrètement bien sur. Et effectivement, l’homme, paraissant de même âge que le premier, jeta plusieurs coups d’œil sur sa croupe. Quant son regard rencontra celui d’Anissa, elle sourit légèrement, pas comme une invite, mais presque. Alors l’homme, comme le premier, contourna son étalage et lui offrit quelques fruits qu’elle refusa. Mais elle jeta un œil sur sa braguette et, comme l’autre, il bandait et la bosse de son zeb était aussi grande que celle du premier. C’était invraisemblable, elle faisait bander n’importe quel homme sur sa croupe. Elle s’éloigna et arriva au niveau du second marchant qu’elle avait remarquée et elle joua la même scène avec sa croupe pour voir les fruits. Et, chose incroyable, l’homme jetait son œil, et avec insistance, sur son derrière, sur sa croupe ronde qui ondulait quant Anissa bougeait un peu. La même cérémonie des regards entraina l’homme à se pencher pour me voir sa croupe. Et elle, aussi, se pencha sur l’étalage pour voir le pantalon de l’homme. Il a du remarquer cet intérêt de la femme, alors il contourna l’étal et s’approcha d’elle. Et elle vit la bosse, la fameuse bosse qui gonflait de plus en plus au niveau de la braguette. Elle la regardait sans hésiter, sans se gêner et l’homme remarqua cela. Alors, il lui offrit lui aussi des fruits, pendant que sa main saisissait son paquet dans la braguette. Il l’avait si bien saisi que le profil de son zeb se dessinait largement et prouvait sa grosseur et surtout sa longueur. C’était une invite claire à la femme, qu’il avait un gros zeb à sa disposition. Anissa, qui le regardait ainsi que sa braguette, eu un léger sourire et une mimique au visage comme une interrogation. L’homme, ayant compris cela comme une acceptation, lui désigna son camion, juste derrière son étalage. Puis, il retourna de l’autre coté, dit quelques mots à son collègue plus jeune, puis s’éloigna vers la cabine du camion et lança un appel de la main à Anissa pour le suivre. Il l’invitait à le suivre pour la baiser dans son camion, tout de suite. Elle se dit qu’ils sont vraiment chauds, ces hommes de couleurs, mais elle n’était pas d’accord pour ce genre d’aventures, cependant elle s’était excitée au point que sa chatte mouillait à fond, et si ce n’était la peur du scandale, elle aurait acceptée de se faire baiser par cet homme et par les deux autres qu’elle avait draguée, par sa croupe ondulante.
Elle préféra retourner chez elle pour prendre une douche froide. Mais comme elle passait à coté de la maison de Sara, elle toqua à la porte et ce fut sa voisine qui lui ouvrit. Très contentes, toutes les deux, Anissa entra chez sa voisine et elles s’assirent au salon. Il était environ 11h et Comme elles s’enlaçaient et s’embrassaient, la suite fut pleine de caresses, mais elles ne se déshabillèrent pas totalement. Anissa lui raconta ce qu’elle vient de vivre au marché et Sara rigola un bon coup, les yeux brillants de convoitises. Elle lui avoua que, malgré que son corps était nettement moins aguichant que celui d’Anissa, surtout sa croupe et ses gros seins, elle avait déjà vécu par le passé ce genre d’aventures, elle avait été draguée, à plusieurs reprises par ces marchands de couleurs, mais elle n’avait jamais cédée. Et même, maintenant, quant elle se trouvait en manque de désir, il lui suffisait d’aller faire un tour du coté du marché pour observer, quant ils se déplaçaient, même les faibles mouvements de leurs zeb au niveau de leurs braguettes. Et elle les imaginait, ces zeb, gros, gonflés, longs, noirs et puissants et sa chatte se réveillait et le désir revenait. Et surtout quant l’un d’eux l’invitait d’un signe à le rejoindre dans son camion pour la baiser, sa chatte explosait dans son slip et elle s’enfuyait en vitesse à la maison, pour se finir à la main. Un jour ou l’autre, il faudrait qu’elle trouve les circonstances et le courage, pour gouter le zeb de l’un d’eux, et Anissa était du même avis. Pendant que Sara finissait la préparation du déjeuner des enfants, Anissa s’installa sur le grand canapé du salon, en discutant, mais elle avait enlevé son haik et son voile de la tête, laissant les cheveux libres et sa légère robe coller à son corps. On savait, plus haut, qu’elle n’avait pas de sous vêtements, mais une simple robe fine et collante sous le haik. Elle se sentait ainsi presque nue et très excitée. Le vêtement fin, presque transparent et totalement collé à son corps lui paraissait presque inexistant et ainsi, elle était donc nue sous la robe. C’est pourquoi les regards des marchands sur son derrière, elle les ressentait comme sur sa croupe toute nue. Elle ferma les yeux pour revivre sa visite au marché. Elle se souvient de leurs regards insistants sur sa croupe et de leurs gestes affolants sur leurs zeb, des invitations qui faisaient encore vibrer son corps. Alors, sa main descendit vers sa chatte sous la robe. Sara remarqua immédiatement cela et, quittant un moment sa cuisine, elle vint caresser le corps d’Anissa, la faisant gémir en ajoutant sa main avec celle d’Anissa au fond brulant de la chatte. Mais elle n’avait pas fini la préparation du repas de ses filles, alors et à regrats, elle retourna à sa cuisine, laissant Anissa étalée au fond du grand canapé du salon, toute frémissante par l’excitation de Sara. Enfin elle remit son haik et son voile quant les enfants arrivèrent, et prirent, bruyamment leur léger déjeuner puis, avant 13h, ils s’envolèrent vers leur collège.
Restées seules et libres, les deux femmes s’enlacèrent, puis Sara entraina sa copine vers la chambre de Sara, où elles se mirent à poil sur le lit. Elles se caressèrent se sucèrent les chattes et les seins, se frottèrent les chattes et s’amusèrent à fond avec leurs corps. Sara réussit même à donner très rapidement, un orgasme à Anissa qui, en regard lui suça le clitoris et le cul jusqu’à la faire jouir, elle aussi. Cela durait depuis un bon quart d’heure, quant, soudain, elles furent surprises par un éclat de rire, et elles virent Si Tahar, encadrant la porte de la chambre. Il leur expliqua qu’il n’avait pas arrêté de penser toute la matinée à Anissa et à son cul qu’il avait promis de dépuceler, et à tout prix. Alors, il a demandé congé pour l’après-midi à son patron Si Omar, pour aller dépuceler le cul de sa femme. Mais il avait besoin de l’aide de sa femme, alors il était d’abord passé chez lui, et surprise, il découvre les deux femmes, à poil sur son lit, alors il décida d’accomplir sa mission, ici même, chez lui. Il se déshabilla promptement et se coula sur le lit avec les deux femmes. Rapidement son zeb trouva le chemin de la chatte d’Anissa pour quelques vas et viens, une amplification d’excitation, un orgasme à la femme et un bon gonflage de son zeb. Ensuite, Anissa s’abandonna totalement à l’homme, et Sara alla chercher, dans l’armoire, la fameuse pommade, une sorte de vaseline pour lubrifier amplement son zeb et l’anus d’Anissa qui s’était mise en bonne position. Agenouillée sur le lit, la tête et la poitrine sur le matelas et la croupe en l’air, avec jambes et cuisses largement écartées, elle attendait avec inquiétude son dépucelage. Si Tahar enduit ses doigts et l’anus d’Anissa pour bien les lubrifier. Ensuite, commença à ouvrir l’anus avec un doigt, puis glissa un second et Anissa eu seulement quelques gênes mais ne bougea pas. Quant le troisième doigt se glissa dans son cul, elle eu un mouvement de recul et gémit légèrement mais la main de Si Tahar sur ses fesses la retint fermement et il lui dit de patienter. Ensuite, il fit bouger ses trois doigts à l’intérieur du cul de la femme, il les fait bouger et s’écarter pour mieux détendre l’ouverture de l’anus et ça a marché. Ses doigts poussaient à l’intérieur du cul sans créer de réaction de rejet de la femme. Alors, il lubrifia amplement son zeb, surtout sa grosse tête et demanda à Sara de jouer son rôle. Elle se glissa sous les cuisses d’Anissa pour atteindre sa chatte et commença à la chatouiller, la lécher et introduire sa langue à l’intérieur. A ces caresses, Anissa commença à gémir et à oublier presque les doigts dans son cul. Et Si Tahar, enfin, empoignant son zeb, tout en sortant ses doigts, doucement de l’anus, il pointa la tête de son zeb sur l’ouverture de l’anus, et poussa un peu.
L’anus s’ouvrit un peu plus, mais la tête trop grosse, se bloqua. Il remit de la pommade sur la tête et sur l’anus et poussa encore une fois, et le zeb pénétra un peu, comme un baiser des lèvres sur l’ouverture de l’anus. Si Tahar s’arrêta un moment pour admirer ce merveilleux tableau de son gros zeb gonflé donnant un baiser à l’anus légèrement ouvert entre les fesses écartées de la grande croupe d’Anissa. Et cela amplifia tellement son excitation qu’il eut un fort choc de désir et, sans se contrôler, il donna un petit coup de rein brutal, et la tête du zeb pénétra totalement dans le cul. Anissa poussa un grand cri de douleur et essaya de s’échapper mais la main de l’homme l’immobilisait sur ses fesses. Alors Sara entra en jeu et plongeait sa langue à l’intérieur de la chatte d’Anissa en lui prodiguant de larges lècheries et en suçant son clitoris avec passion, et cela calma Anissa qui arrêta de crier mais à gémir des jouissances de sa chatte. Si Tahar en profita pour s’arrêter quelques instants et laisser le cul s’adapter au volume de la tête de son zeb. Ensuite, il poussa doucement son zeb qui glissa presque sans difficultés à l’intérieur du cul désiré. Il caressait et flattait doucement les fesses d’Anissa. Puis, profitant des quelques gentilles tapes qu’il donnait sur les fesses de la femme, il poussait encore son zeb qui pénétra totalement jusqu’aux couilles dans les entrailles d’Anissa. Elle était occupée par les caresses de Sara dans la chatte et ne comprit que le zeb était entièrement en elle que lorsque les poils des couilles de l’homme lui chatouillèrent l’intérieur des fesses et des cuisses. Et l’homme s’arrêta encore une fois. Il attendit que le cul s’habitue totalement au zeb en lui faisant quelques pressions internes. Ensuite, il demanda à Anissa de bouger pour mieux ressentir son zeb dans son cul et elle oscilla un peu sa croupe et même à faire des sortes de pressions ou de sussions sur le zeb, avec la muqueuse de son cul. Elle commença même à monter et descendre, donc à branler le zeb.
Alors Si Tahar comprit que c’était gagné et il commença cinq ou six vas et viens, sans problème mais lentement d’abord, puis d’autres un peu plus vite. Anissa commença à gémir, non plus par sa chatte que Sara venait d’abandonner, mais par son cul dépucelé. Et si Tahar lui murmura qu’il avait tenu sa promesse de la dépuceler du cul, sans trop de mal ni de sang ni même de cris ou hurlements. Il continua ses vas et viens tout en lui caressant les fesses et le dos. Les premières surprises et sensations passées, Anissa commença à se rendre compte que son cul était bien rempli par la totalité du gros zeb de l’homme et qu’il glissait en elle avec facilités et lui produisait des sensations agréables. Enfin, Si Tahar sortit doucement son zeb, et se baissant, il donna quelques baisers sur les fesses et l’anus de la femme. Ensuite, il enfonça de nouveau, doucement, son zeb dans le cul et avec facilité, il pénétra Anissa jusqu’aux couilles. Maintenant, il pouvait l’enculer à son aise. Alors il se releva et demanda à Anissa de changer de position, de faire comme elle avait vu Sara le faire. Il s’allongea dos sur le lit et pointa son gros zeb, gonflé et vertical. Anissa se mit en position sur les cuisses de l’homme puis elle saisit le zeb d’une main et de l’autre elle chercha et trouva son anus. Puis c’est elle qui pointa le zeb sur l’anus et elle commença à s’assoir sur le zeb, jusqu’au fond, à toucher le bas ventre de Si Tahar avec ses fesses. Ensuite, elle s’assit carrément et secoua un peu sa croupe pour bien installer le zeb en elle. Maintenant, elle le ressentait entièrement, dans sa grosseur et dans sa longueur, dans sa dureté et dans sa souplesse, sans sa chaleur et ses chatouillis agréables. Elle resta un moment immobile, goutant le fait d’être assise avec son cul sur le gros zeb d’un homme. Puis elle commença ses vas et viens et ses hauts et bas comme elle avait vu, Sara le faire. Très rapidement, son cul et même sa chatte se mirent de la partie et bientôt, Anissa ne ressentait que du plaisir des deux cotés et des jouissances. Quant son premier orgasme de cul arriva, elle hurla comme avec sa chatte et s’écroula sur la poitrine de l’homme.
Elle continua ensuite sa sodomie, avec des sensations nouvelles, inédites et commençait à comprendre pourquoi certains et certaines favorisaient les sodomies aux baises de chattes. Ensuite, elle voulait être enculée par derrière et ils changèrent de positions. Agenouillée, sur le lit, la tête sur le matelas, elle tendit encore une fois, sa croupe à l’homme qui se pointa derrière elle et où il ouvrit facilement son anus. Puis son zeb s’enfonça entièrement dans le cul de la femme et démarra une longues et puissante série de vas et viens, hurlants dans ses enfoncements de zeb. Même ses retours de zeb en arrière, presque à la sortie, amplifiaient leurs excitations par leurs sussions érotiques. Maintenant chaque enfoncement du zeb donnait des jouissances à Anissa par son cul, sa terma si aguichante pour les hommes. Enfin, elle vient d’être dépucelée et promise à tous les plaisirs et jouissances comme ou mieux que sa chatte.. Et cela dura pendant presque une heure uniquement entre eux. Et Anissa a eu deux autres orgasmes et Si Tahar a pu, enfin, éjaculer par quatre fois dans ce cul qu’il admirait et désirait tant. Enfin, cette croupe qui a tellement aguiché tant d’hommes a eté enfin dépucelée pour donner des jouissances à Anissa et aux hommes et recevoir et gouter aussi les spermes des mâles. Quant Si Tahar éjacula, Anissa hurla comme une folle en ressentant ce fleuve se projeter en elle et rempli toutes ses entrailles. Un sperme chaude presque brulant, visqueux et faisant agréablement glisser la chair du zeb sur sa choir interne. Une nouvelle expérience qu’elle compte bien renouveler plusieurs fois, tous les jours si possibles. Enfin, Si Tahar recula et son zeb sortit du cul d’Anissa, qui ressentit un grand vide dans son cul puis les coulées de sperme jaillir de son anus et s’infiltrer entre ses fesses puis sur sa chatte et sur ses cuisses. Sara qui avait assisté tout le temps sans réagir, plongea sur le cul d’Anissa et commença à sucer et avaler le maximum de sperme. Elle avait toujours aimé avaler le sperme de son mari ou des zeb des autres hommes. Même quant son mari baisait une autre femme en sa présence, elle attendait toujours d’avaler son sperme sur son zeb et sur la chatte ou le cul de son amante. Maintenant elle a tout le loisir de se gaver de sperme avec Anissa. Elle allait aussi faire aimer à sa copine, et avec l’aide de Si Tahar, non seulement les sodomies et leurs éjaculations mais aussi lui gouter et aimer son sperme. A trois, leurs séances seraient formidables et le zeb de Si Tahar serait leur instrument efficace pour leurs chattes, leurs culs et son sperme, elle en rêve par avance. Enfin, Si Tahar se doucha rapidement et partit vers on travail pour le pointage. Et les deux femmes se nettoyèrent et se douchèrent avant 16h et l’arrivée des enfants. Ensuite Anissa repartit chez elle, les jambes un peu arquées et flageolantes à cause des sodomies.
Le lendemain jeudi, après le départ de son mari au travail, Anissa se leva vers 10h. Comme elle était en nuisette, elle s’étira heureuse et admira sa nudité qu’elle avait réussi à contenter durant ces trois derniers jours. Elle se sentait encore excitée et son corps, par devant et par derrière, demandait encore les caresses d’un gros zeb gonflé. Sa pensée alla vers les hommes de couleur du marché, et les bosses de leurs zeb au niveau de leurs braguettes, et sa chatta, sa chatte se réveilla violemment. Alors elle se leva, alla faire sa toilette, puis son petit déjeuner et s’habilla comme hier matin, nue sous sa robe de nuit transparente et collante à son corps et par-dessus elle mit son haik, pris son sac et sortit directement vers le marché. Elle était décidée de faire quelque chose, et c’était sa chatte qui commandait.
L’homme continua à regarder sa croupe qui ondulait et mit sa main sur sa braguette pour calmer son zeb. Elle était quant même excitée et étonnée que le simple regard sur sa croupe avait fait bander cet homme, comme à l’époque de sa jeunesse. Elle était donc aussi désirable que par le passé et cela faisait frissonner tout son corps. Elle contourna cette partie du marché et s’arrêta sur l’autre qui se trouvait dans la rue arrière. Il était identique, et Anissa, constatant qu’il y avait plusieurs marchands de couleurs et de tous âges, essaya, par jeu, de chercher parmi eux, celui ou ceux ressemblants à son dragueur. Et effectivement, rapidement elle en trouva deux qui faisaient l’affaire. Elle s’approcha de l’étalage du premier et ondula de la croupe afin de se faire remarquer, discrètement bien sur. Et effectivement, l’homme, paraissant de même âge que le premier, jeta plusieurs coups d’œil sur sa croupe. Quant son regard rencontra celui d’Anissa, elle sourit légèrement, pas comme une invite, mais presque. Alors l’homme, comme le premier, contourna son étalage et lui offrit quelques fruits qu’elle refusa. Mais elle jeta un œil sur sa braguette et, comme l’autre, il bandait et la bosse de son zeb était aussi grande que celle du premier. C’était invraisemblable, elle faisait bander n’importe quel homme sur sa croupe. Elle s’éloigna et arriva au niveau du second marchant qu’elle avait remarquée et elle joua la même scène avec sa croupe pour voir les fruits. Et, chose incroyable, l’homme jetait son œil, et avec insistance, sur son derrière, sur sa croupe ronde qui ondulait quant Anissa bougeait un peu. La même cérémonie des regards entraina l’homme à se pencher pour me voir sa croupe. Et elle, aussi, se pencha sur l’étalage pour voir le pantalon de l’homme. Il a du remarquer cet intérêt de la femme, alors il contourna l’étal et s’approcha d’elle. Et elle vit la bosse, la fameuse bosse qui gonflait de plus en plus au niveau de la braguette. Elle la regardait sans hésiter, sans se gêner et l’homme remarqua cela. Alors, il lui offrit lui aussi des fruits, pendant que sa main saisissait son paquet dans la braguette. Il l’avait si bien saisi que le profil de son zeb se dessinait largement et prouvait sa grosseur et surtout sa longueur. C’était une invite claire à la femme, qu’il avait un gros zeb à sa disposition. Anissa, qui le regardait ainsi que sa braguette, eu un léger sourire et une mimique au visage comme une interrogation. L’homme, ayant compris cela comme une acceptation, lui désigna son camion, juste derrière son étalage. Puis, il retourna de l’autre coté, dit quelques mots à son collègue plus jeune, puis s’éloigna vers la cabine du camion et lança un appel de la main à Anissa pour le suivre. Il l’invitait à le suivre pour la baiser dans son camion, tout de suite. Elle se dit qu’ils sont vraiment chauds, ces hommes de couleurs, mais elle n’était pas d’accord pour ce genre d’aventures, cependant elle s’était excitée au point que sa chatte mouillait à fond, et si ce n’était la peur du scandale, elle aurait acceptée de se faire baiser par cet homme et par les deux autres qu’elle avait draguée, par sa croupe ondulante.
Elle préféra retourner chez elle pour prendre une douche froide. Mais comme elle passait à coté de la maison de Sara, elle toqua à la porte et ce fut sa voisine qui lui ouvrit. Très contentes, toutes les deux, Anissa entra chez sa voisine et elles s’assirent au salon. Il était environ 11h et Comme elles s’enlaçaient et s’embrassaient, la suite fut pleine de caresses, mais elles ne se déshabillèrent pas totalement. Anissa lui raconta ce qu’elle vient de vivre au marché et Sara rigola un bon coup, les yeux brillants de convoitises. Elle lui avoua que, malgré que son corps était nettement moins aguichant que celui d’Anissa, surtout sa croupe et ses gros seins, elle avait déjà vécu par le passé ce genre d’aventures, elle avait été draguée, à plusieurs reprises par ces marchands de couleurs, mais elle n’avait jamais cédée. Et même, maintenant, quant elle se trouvait en manque de désir, il lui suffisait d’aller faire un tour du coté du marché pour observer, quant ils se déplaçaient, même les faibles mouvements de leurs zeb au niveau de leurs braguettes. Et elle les imaginait, ces zeb, gros, gonflés, longs, noirs et puissants et sa chatte se réveillait et le désir revenait. Et surtout quant l’un d’eux l’invitait d’un signe à le rejoindre dans son camion pour la baiser, sa chatte explosait dans son slip et elle s’enfuyait en vitesse à la maison, pour se finir à la main. Un jour ou l’autre, il faudrait qu’elle trouve les circonstances et le courage, pour gouter le zeb de l’un d’eux, et Anissa était du même avis. Pendant que Sara finissait la préparation du déjeuner des enfants, Anissa s’installa sur le grand canapé du salon, en discutant, mais elle avait enlevé son haik et son voile de la tête, laissant les cheveux libres et sa légère robe coller à son corps. On savait, plus haut, qu’elle n’avait pas de sous vêtements, mais une simple robe fine et collante sous le haik. Elle se sentait ainsi presque nue et très excitée. Le vêtement fin, presque transparent et totalement collé à son corps lui paraissait presque inexistant et ainsi, elle était donc nue sous la robe. C’est pourquoi les regards des marchands sur son derrière, elle les ressentait comme sur sa croupe toute nue. Elle ferma les yeux pour revivre sa visite au marché. Elle se souvient de leurs regards insistants sur sa croupe et de leurs gestes affolants sur leurs zeb, des invitations qui faisaient encore vibrer son corps. Alors, sa main descendit vers sa chatte sous la robe. Sara remarqua immédiatement cela et, quittant un moment sa cuisine, elle vint caresser le corps d’Anissa, la faisant gémir en ajoutant sa main avec celle d’Anissa au fond brulant de la chatte. Mais elle n’avait pas fini la préparation du repas de ses filles, alors et à regrats, elle retourna à sa cuisine, laissant Anissa étalée au fond du grand canapé du salon, toute frémissante par l’excitation de Sara. Enfin elle remit son haik et son voile quant les enfants arrivèrent, et prirent, bruyamment leur léger déjeuner puis, avant 13h, ils s’envolèrent vers leur collège.
Restées seules et libres, les deux femmes s’enlacèrent, puis Sara entraina sa copine vers la chambre de Sara, où elles se mirent à poil sur le lit. Elles se caressèrent se sucèrent les chattes et les seins, se frottèrent les chattes et s’amusèrent à fond avec leurs corps. Sara réussit même à donner très rapidement, un orgasme à Anissa qui, en regard lui suça le clitoris et le cul jusqu’à la faire jouir, elle aussi. Cela durait depuis un bon quart d’heure, quant, soudain, elles furent surprises par un éclat de rire, et elles virent Si Tahar, encadrant la porte de la chambre. Il leur expliqua qu’il n’avait pas arrêté de penser toute la matinée à Anissa et à son cul qu’il avait promis de dépuceler, et à tout prix. Alors, il a demandé congé pour l’après-midi à son patron Si Omar, pour aller dépuceler le cul de sa femme. Mais il avait besoin de l’aide de sa femme, alors il était d’abord passé chez lui, et surprise, il découvre les deux femmes, à poil sur son lit, alors il décida d’accomplir sa mission, ici même, chez lui. Il se déshabilla promptement et se coula sur le lit avec les deux femmes. Rapidement son zeb trouva le chemin de la chatte d’Anissa pour quelques vas et viens, une amplification d’excitation, un orgasme à la femme et un bon gonflage de son zeb. Ensuite, Anissa s’abandonna totalement à l’homme, et Sara alla chercher, dans l’armoire, la fameuse pommade, une sorte de vaseline pour lubrifier amplement son zeb et l’anus d’Anissa qui s’était mise en bonne position. Agenouillée sur le lit, la tête et la poitrine sur le matelas et la croupe en l’air, avec jambes et cuisses largement écartées, elle attendait avec inquiétude son dépucelage. Si Tahar enduit ses doigts et l’anus d’Anissa pour bien les lubrifier. Ensuite, commença à ouvrir l’anus avec un doigt, puis glissa un second et Anissa eu seulement quelques gênes mais ne bougea pas. Quant le troisième doigt se glissa dans son cul, elle eu un mouvement de recul et gémit légèrement mais la main de Si Tahar sur ses fesses la retint fermement et il lui dit de patienter. Ensuite, il fit bouger ses trois doigts à l’intérieur du cul de la femme, il les fait bouger et s’écarter pour mieux détendre l’ouverture de l’anus et ça a marché. Ses doigts poussaient à l’intérieur du cul sans créer de réaction de rejet de la femme. Alors, il lubrifia amplement son zeb, surtout sa grosse tête et demanda à Sara de jouer son rôle. Elle se glissa sous les cuisses d’Anissa pour atteindre sa chatte et commença à la chatouiller, la lécher et introduire sa langue à l’intérieur. A ces caresses, Anissa commença à gémir et à oublier presque les doigts dans son cul. Et Si Tahar, enfin, empoignant son zeb, tout en sortant ses doigts, doucement de l’anus, il pointa la tête de son zeb sur l’ouverture de l’anus, et poussa un peu.
L’anus s’ouvrit un peu plus, mais la tête trop grosse, se bloqua. Il remit de la pommade sur la tête et sur l’anus et poussa encore une fois, et le zeb pénétra un peu, comme un baiser des lèvres sur l’ouverture de l’anus. Si Tahar s’arrêta un moment pour admirer ce merveilleux tableau de son gros zeb gonflé donnant un baiser à l’anus légèrement ouvert entre les fesses écartées de la grande croupe d’Anissa. Et cela amplifia tellement son excitation qu’il eut un fort choc de désir et, sans se contrôler, il donna un petit coup de rein brutal, et la tête du zeb pénétra totalement dans le cul. Anissa poussa un grand cri de douleur et essaya de s’échapper mais la main de l’homme l’immobilisait sur ses fesses. Alors Sara entra en jeu et plongeait sa langue à l’intérieur de la chatte d’Anissa en lui prodiguant de larges lècheries et en suçant son clitoris avec passion, et cela calma Anissa qui arrêta de crier mais à gémir des jouissances de sa chatte. Si Tahar en profita pour s’arrêter quelques instants et laisser le cul s’adapter au volume de la tête de son zeb. Ensuite, il poussa doucement son zeb qui glissa presque sans difficultés à l’intérieur du cul désiré. Il caressait et flattait doucement les fesses d’Anissa. Puis, profitant des quelques gentilles tapes qu’il donnait sur les fesses de la femme, il poussait encore son zeb qui pénétra totalement jusqu’aux couilles dans les entrailles d’Anissa. Elle était occupée par les caresses de Sara dans la chatte et ne comprit que le zeb était entièrement en elle que lorsque les poils des couilles de l’homme lui chatouillèrent l’intérieur des fesses et des cuisses. Et l’homme s’arrêta encore une fois. Il attendit que le cul s’habitue totalement au zeb en lui faisant quelques pressions internes. Ensuite, il demanda à Anissa de bouger pour mieux ressentir son zeb dans son cul et elle oscilla un peu sa croupe et même à faire des sortes de pressions ou de sussions sur le zeb, avec la muqueuse de son cul. Elle commença même à monter et descendre, donc à branler le zeb.
Alors Si Tahar comprit que c’était gagné et il commença cinq ou six vas et viens, sans problème mais lentement d’abord, puis d’autres un peu plus vite. Anissa commença à gémir, non plus par sa chatte que Sara venait d’abandonner, mais par son cul dépucelé. Et si Tahar lui murmura qu’il avait tenu sa promesse de la dépuceler du cul, sans trop de mal ni de sang ni même de cris ou hurlements. Il continua ses vas et viens tout en lui caressant les fesses et le dos. Les premières surprises et sensations passées, Anissa commença à se rendre compte que son cul était bien rempli par la totalité du gros zeb de l’homme et qu’il glissait en elle avec facilités et lui produisait des sensations agréables. Enfin, Si Tahar sortit doucement son zeb, et se baissant, il donna quelques baisers sur les fesses et l’anus de la femme. Ensuite, il enfonça de nouveau, doucement, son zeb dans le cul et avec facilité, il pénétra Anissa jusqu’aux couilles. Maintenant, il pouvait l’enculer à son aise. Alors il se releva et demanda à Anissa de changer de position, de faire comme elle avait vu Sara le faire. Il s’allongea dos sur le lit et pointa son gros zeb, gonflé et vertical. Anissa se mit en position sur les cuisses de l’homme puis elle saisit le zeb d’une main et de l’autre elle chercha et trouva son anus. Puis c’est elle qui pointa le zeb sur l’anus et elle commença à s’assoir sur le zeb, jusqu’au fond, à toucher le bas ventre de Si Tahar avec ses fesses. Ensuite, elle s’assit carrément et secoua un peu sa croupe pour bien installer le zeb en elle. Maintenant, elle le ressentait entièrement, dans sa grosseur et dans sa longueur, dans sa dureté et dans sa souplesse, sans sa chaleur et ses chatouillis agréables. Elle resta un moment immobile, goutant le fait d’être assise avec son cul sur le gros zeb d’un homme. Puis elle commença ses vas et viens et ses hauts et bas comme elle avait vu, Sara le faire. Très rapidement, son cul et même sa chatte se mirent de la partie et bientôt, Anissa ne ressentait que du plaisir des deux cotés et des jouissances. Quant son premier orgasme de cul arriva, elle hurla comme avec sa chatte et s’écroula sur la poitrine de l’homme.
Elle continua ensuite sa sodomie, avec des sensations nouvelles, inédites et commençait à comprendre pourquoi certains et certaines favorisaient les sodomies aux baises de chattes. Ensuite, elle voulait être enculée par derrière et ils changèrent de positions. Agenouillée, sur le lit, la tête sur le matelas, elle tendit encore une fois, sa croupe à l’homme qui se pointa derrière elle et où il ouvrit facilement son anus. Puis son zeb s’enfonça entièrement dans le cul de la femme et démarra une longues et puissante série de vas et viens, hurlants dans ses enfoncements de zeb. Même ses retours de zeb en arrière, presque à la sortie, amplifiaient leurs excitations par leurs sussions érotiques. Maintenant chaque enfoncement du zeb donnait des jouissances à Anissa par son cul, sa terma si aguichante pour les hommes. Enfin, elle vient d’être dépucelée et promise à tous les plaisirs et jouissances comme ou mieux que sa chatte.. Et cela dura pendant presque une heure uniquement entre eux. Et Anissa a eu deux autres orgasmes et Si Tahar a pu, enfin, éjaculer par quatre fois dans ce cul qu’il admirait et désirait tant. Enfin, cette croupe qui a tellement aguiché tant d’hommes a eté enfin dépucelée pour donner des jouissances à Anissa et aux hommes et recevoir et gouter aussi les spermes des mâles. Quant Si Tahar éjacula, Anissa hurla comme une folle en ressentant ce fleuve se projeter en elle et rempli toutes ses entrailles. Un sperme chaude presque brulant, visqueux et faisant agréablement glisser la chair du zeb sur sa choir interne. Une nouvelle expérience qu’elle compte bien renouveler plusieurs fois, tous les jours si possibles. Enfin, Si Tahar recula et son zeb sortit du cul d’Anissa, qui ressentit un grand vide dans son cul puis les coulées de sperme jaillir de son anus et s’infiltrer entre ses fesses puis sur sa chatte et sur ses cuisses. Sara qui avait assisté tout le temps sans réagir, plongea sur le cul d’Anissa et commença à sucer et avaler le maximum de sperme. Elle avait toujours aimé avaler le sperme de son mari ou des zeb des autres hommes. Même quant son mari baisait une autre femme en sa présence, elle attendait toujours d’avaler son sperme sur son zeb et sur la chatte ou le cul de son amante. Maintenant elle a tout le loisir de se gaver de sperme avec Anissa. Elle allait aussi faire aimer à sa copine, et avec l’aide de Si Tahar, non seulement les sodomies et leurs éjaculations mais aussi lui gouter et aimer son sperme. A trois, leurs séances seraient formidables et le zeb de Si Tahar serait leur instrument efficace pour leurs chattes, leurs culs et son sperme, elle en rêve par avance. Enfin, Si Tahar se doucha rapidement et partit vers on travail pour le pointage. Et les deux femmes se nettoyèrent et se douchèrent avant 16h et l’arrivée des enfants. Ensuite Anissa repartit chez elle, les jambes un peu arquées et flageolantes à cause des sodomies.
Le lendemain jeudi, après le départ de son mari au travail, Anissa se leva vers 10h. Comme elle était en nuisette, elle s’étira heureuse et admira sa nudité qu’elle avait réussi à contenter durant ces trois derniers jours. Elle se sentait encore excitée et son corps, par devant et par derrière, demandait encore les caresses d’un gros zeb gonflé. Sa pensée alla vers les hommes de couleur du marché, et les bosses de leurs zeb au niveau de leurs braguettes, et sa chatta, sa chatte se réveilla violemment. Alors elle se leva, alla faire sa toilette, puis son petit déjeuner et s’habilla comme hier matin, nue sous sa robe de nuit transparente et collante à son corps et par-dessus elle mit son haik, pris son sac et sortit directement vers le marché. Elle était décidée de faire quelque chose, et c’était sa chatte qui commandait.
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