Terma 116 : Anissa après la mutation professionnelle de son mari (7/7) :

- Par l'auteur HDS Noura -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Terma 116 : Anissa après la mutation professionnelle de son mari (7/7) : Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-02-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Terma 116 : Anissa après la mutation professionnelle de son mari (7/7) :
Arrivée devant l’étalage du premier marchand homme de couleurs d’hier, un colosse en bras de chemise, elle lui dit bonjour, auquel il répondit avec le sourire. Comme elle se courbait pour choisir des fruits, sa croupe se tendit et l’homme reconnu sa cliente d’hier et son regard se fixa sur sa croupe. Son zeb bondit et commença à gonfler la braguette. Il contourna en vitesses son étal, prit quelques fruits et vint à coté d’Anissa pour les offrir à la jeune femme. Elle, de son coté remarqua la bosse de la braguette qui enflait de plus en plus, alors elle descendit son voile de visage et sourit, heureuse d’avoir encore provoqué l’excitation de l’homme. De plus, elle accepta les fruits, alors l’homme descendit sa main, discrètement pour empoigner son zeb dans la braguette et montrer ainsi son profil formidable. Anissa, le regard fixé sur ce geste, sentit sa chatte exploser de désir, et elle ne put s’empêcher de passer sa langue légèrement sur ses lèvres. C’était une invitation réciproque pour une baise urgente et l’homme l’a saisie. Il retourna à son étal, dit quelques mots à son commis, plus jeune pour prendre sa place, puis se dirige vers sa camionnette, ouvrit à demi sa porte de derrière et attendit. Anissa avait comprit et, remettant son voile, elle quitta cette partie du marché et se dirigea discrètement de l’autre coté, le long des véhicules rangés derrière les étals et arriva au niveau du marchand qui l’attendait. Ils jetèrent quelques regards tout autour mais tout était désert, alors il poussa la femme dans la camionnette et ferma la porte.
A l’intérieur, Anissa qui était courbée pour entrer, sentit tout de suite la grande main de l’homme sur sa croupe. Il la caressait, la malaxait et cherchait le sillon de ses fesses puis la chatte par-dessous. Il était tellement excité et impatient qu’il sortit immédiatement son gros zeb noir, reteint Anissa courbée, releva d’une main son haik et sa robe et découvrit, directement la merveilleuse croupe nue de la femme, qui a été obligée de s’agenouiller. Puis son autre main saisissant son zeb, il se faufila derrière la femme, chercha sa chatte et pointa dessus son zeb. Puis, affamé, il poussa son zeb, sans ménagements, et s’enfonça totalement dans la chatte d’Anissa qui poussa un petit cri de douleurs mais aussi de désirs. En effet, depuis la vue du zeb, dans la rue, la chatte de la femme mouillait de désirs et s’est lubrifiée. La pénétration du gros zeb noir a été ainsi facilitée. Les mains sur le sol, Anissa écartait au maximum ses cuisses pour recevoir amplement le monstre dans sa chatte. L’homme, à genoux, ses mains accrochés aux hanches de la femme, avait démarré une série vigoureuse et rapide de vas et viens de son zeb dans les entrailles de la femme.
Immédiatement, Anissa, la chatte échaudée et sensibilisée, ressentit le choc de plaisir et les ondes de jouissances de cette saillie, presque animale. L’homme haletait bruyamment et poussait de forts « Ahhhh ! A7777! » à chaque enfoncement de son zeb dans la femme qui, en phase, haletait aussi fortement et essayait d’étouffer elle aussi ses « Ahhhh ! Ohhh ! 7777 ! » de jouissances. La camionnette était un peu secouée de leurs assauts sexuels et le jeune commis, de l’autre coté, donna deux ou trois coups d’avertissements. Heureusement que le couple était super excité, ce qui a rapidement donné un fort orgasme hurlé à Anissa. Et l’homme, après quelques vas et viens après, éjacula par quatre fois dans la chatte d’Anissa qui hurla sans retenu. Enfin, il s’arrêta et recula, libérant son zeb du corps d’Anissa.
Elle soufflait encore, mais était encore excitée, alors, se retournant légèrement, elle vit le gros zeb noir, toujours debout, monstrueux et brillant de sperme. Rapidement, elle s’avança et empoigna le zeb pendant que l’homme restait assis sur ses fesses. Elle engloutit le zeb et commença à le sucer, le lécher et le branler, et il était encore dur et vertical, mais elle aimait son contact et sa lourdeur. Encore excitée, elle poussa d’autorité l’homme à s’allonger au sol. Il obéit, sans réagir, presque encore étourdi. Alors, retroussant une fois encore ses vêtements et les retenant par la bouche, Anissa s’installa sur le bas ventre de l’homme, saisit son zeb et l’enfonça elle-même dans sa chatte qui suintait encore de sperme. Ensuite, elle démarra les vas et viens de sa chatte sur le gros zeb, haut, bas, droite et gauche et avec des halètements rauques et des grognements de désir.
Les mains farfouillant la poitrine velue de l’homme, Anissa se mouvant tellement fort et dans tous les cotés, en vitesses, obtint rapidement un second orgasme, abondant qu’elle hurla en s’effondrant sur l’homme. Ce fut juste un instant car elle était encore excitée, et elle continua à se baiser sur le gros zeb qui l’affolait de désirs. Elle haletait, la bouche et les yeux grands ouverts, elle avait même un peu de salive qui suintait de ses lèvres. Ses vas et viens de sa chatte sur le zeb devinrent endiablés et elle murmurait des mots indistincts. L’homme la laissait faire tout en malaxant, parfois ses seins, sous les vêtements, parfois ses fesses dénudées. Enfin, elle arriva à un troisième orgasme aussi fort que les autres et s’effondra enfin, épuisée mais satisfaite sur la poitrine du marchand.
Après un léger moment, l’homme essaya de se dégager et son zeb s’échappa de la chatte. Elle se releva un peu et vit le zeb, toujours vertical. Elle l’empoigna car elle aime sa consistance musclée et fut satisfaite de constater qu’il était encore gonflé, dur et si doux à la fois. Aussitôt elle s’enflamma de nouveau, et l’empoigna encore mieux pour une nouvelle mission. Elle se releva encore un peu, juste pour avancer sur le ventre de l’homme, elle chercha son anus derrière elle, puis, tenant fermement le gros zeb, elle le poussa avec volonté dans son anus qu’il pénétra avec facilité. Puis, elle s’assit dessus totalement et le zeb s’enfonça jusqu’aux couilles, dans le cul d’Anissa. L’homme était étonné, cela se voyait sur son visage, mais le contact de son zeb à l’intérieur du cul de la femme lui donna un nouveau choc de désir. Alors il participa aux vas et viens de la femme. Mieux, il lui chuchota quelque chose et elle se releva. Ensuite, tous les deux se positionnèrent, à genoux, comme tout à l’heure et l’homme, derrière la femme, face à sa large croupe, enfonça de nouveau son gros zeb dans le cul offert.
Dans cette position, Anissa se sentait bien prise, bien possédée, et elle tendit encore plus sa croupe et poussait son cul. Heureuse, elle murmura à l’homme « dazz ! dazz zebek ! » (pousses ton zeb) et « nikes ! nikes ! ag3arli qari ! zebek m’tine ! » (nikes et défonces moi le cul avec ton gros zeb). Et d’après les coups de reins vigoureux et les « han » qu’il faisait, on comprend qu’il semblait aimer les sodomies, enculer les beaux et larges culs, féminins ou masculins, qu’importe, une terma chaude et profonde, parfois meilleure qu’une chatte, ne se refuse jamais au zeb. Il continua à saillir la belle terma d’Anissa qui, bien plantée dans cette position à genoux, essayait de comparer, dans son cul, le zeb de l’homme à celui de Si Tahar.
Et, à son étonnement, elle constata que c’est celui du marchand qui était bien plus gros et plus fort, en volume, longueur et puissance. Elle croyait que le zeb de Si Tahar était incomparablement gros, mais maintenant elle constate, de fait, ce qu’elle avait vu et lu dans les vidéos et livres porno de sa jeunesse. Et elle s’abandonna à son excitation qui s’accéléra et au plaisir, et aux jouissances. Pendant que le zeb de l’homme glissait amplement et agréablement dans son cul, elle avait l’impression qu’il touchait et frottait aussi sa chatte par-dessous, à travers la fine peau qui la séparait du cul. Et Anissa en jouissait doublement et le plaisir s’amplifiait devant et derrière, au point que, après quelques mouvements du zeb, elle hurla encore par un nouvel orgasme abondant et une double jouissance qui enveloppa tout son corps. L’homme continuait à marteler sa croupe pendant encore une dizaine de vas et viens. Et enfin, il arriva de nouveau au plaisir de ses couilles et éjacula par trois fois dans le cul de la femme qui hurla encore « A7777 ! A7777 ! » en jouissances, puis l’homme se sépara d’elle.
Sachant que cette femme aimait sucer son zeb, il resta assis et attendit qu’elle se repositionne. En effet, elle se retourna et saisit son zeb pour l’engloutir, aspirer ses restes de sperme, le sucer et le lécher pour le nettoyer. Content, il tapa gentiment la croupe et lui dit qu’il sera à sa disposition, tous les jours et même les nuits, puis il se rajusta et sortit de la camionnette. Elle resta un moment pour se nettoyer avec un gros chiffon qu’elle avait apporté, exprès, ayant décidé de tout à son réveil. Ensuite elle sortit discrètement de la camionnette, referma la porte et retourna du coté de l’étal. L’homme était à sa place et lui offrit un gros sac qui contenait des fruits et des légumes. Elle le remercia d’un regard souriant et remit son voile. Puis elle s’en alla vers les autres étals de marché.
Elle avait aussi remarqué les regards brillants de désir du jeune aide du marchand, mais il ne devait pas avoir la vigueur et le zeb de son patron. Ensuite, passant devant leurs étals, elle vit les deux autres admirateurs de sa croupe. Elle s’approcha du premier et constata rapidement qu’il bandait sur sa croupe rebondie, et heureuse et malicieuse, elle lui jeta un clin d’œil mais continua sa route. Ensuite, elle alla plus loin, vers le second, et l’aguicha aussi de sa croupe et rapidement elle remarqua visiblement la grande bosse de sa braguette et elle lui fit un signe du doigt sur elle. Alors, il lui répondit par un signe de la main pour l’inviter à le rejoindre, mais elle continua sa route. Sa chatte et croupe ont été satisfaites aujourd’hui et, peut-être un autre jour, elle acceptera leurs zeb.
Il était 11h passées et elle décida de visiter sa copine Sara, qui lui ouvrit tout de suite. Elles s’installèrent à la cuisine où Sara travaillait. Sara remarqua le gros sac plein à coté du petit sac à main d’Anissa et s’étonna, sachant que son amie et son mari avaient seulement de petits besoins. Anissa laissa languir son amie un moment, puis elle lui avoua que c’était un cadeau. Sara arrêta son travail et s’assit en face de son amie, les yeux interrogateurs. Anissa souriait sans dire un mot, puis elle se lécha les lèvres. Ce geste érotique excita encore plus Sara qui soupçonna la préparation d’une fête. Les yeux brillants, elle s’installa bien face à Anissa et attendit la suite avec impatience. Alors Anissa, toute heureuse et les yeux brillants, lui avoua tout. Et surtout, elle insista sur tous les détails des faits et sur le gros zeb du marchand. Avoir été baisée deux fois puis enculée, c’était la prouesse de cette novice qui a eu le courage de sauter la barrière si vite. Tout cela à cause de son mari dont l’attitude a facilité la chose à sa femme. Sara demanda encore plus de détails et écouta avec désirs et presque jalousie.
Aux détails de son amie, sa chatte s’était aussi réveillée et la provoquait au point qu’elle envoya sa main pour essayer de se calmer. Puis, pour s’oublier, elle a ouvert le grand sac d’Anissa, et elle a posé sur la table les fruits et légumes offerts. C’était une très grande quantité et très variée, l’homme lui avait donné un peu de tout ce qu’il avait sur son étal. Et puis, elle a trouvé de l’agent, quelques billets et les a sorti à Anissa, lui disant gentiment qu’elle a été baisée et payée comme une putain. Ce fut une surprise pour Anissa qui ne baisait que pour le plaisir. Et elle décida de retourner, immédiatement aux étals, pour rendre l’argent et dire quelques mots bien sentis à l’homme. Mais, Sara l’arrêta et lui conseilla de laisser cela au lendemain vendredi.
Mais le vendredi était un jour de repos et donc pas d’homme au marché. Soudain, les enfants de Sara entrèrent dans un vacarme comme à leur habitude et les deux femmes se turent. Anissa remit ses cadeaux dans le sac et alla s’installer au salon, laissant sa copine faire manger ses enfants. Une demi-heure plus tard, les enfants retournèrent au collège et les deux femmes, au salon, réfléchissaient au problème. C’est alors que Sara prit son téléphone et appela son mari. Elle l’informa qu’elle était avec Anissa qui désirait aller acheter des choses au marché avant la fermeture du vendredi et elle lui demandait la permission de l’accompagner. Si Tahar, accepta sans problème, comme d’habitude. Alors Sara expliqua à Anissa, qu’elles pouvaient aller, l’après midi, rendre l’argent au marchand. Elles se restaurèrent un peu, et à 14h, elles sortirent de la maison.
Mais Sara était très excitée, même si elle ne le montrait pas directement à sa copine. Sachant comment Anissa était habillée, ou plus tôt déshabillée, elle a eu elle aussi une idée, en se vêtant dans sa chambre. Elle se vêtit d’une nuisette, transparente sur son corps complètement nu, et se couvrit de son haik et de son voile au visage. Et, se rappelant du détail raconté par Anissa, elle apporta avec elle un grand mouchoir. Sara avait donc l’espoir de se faire baiser par un marchand, homme de couleurs, chose dont elle rêvait depuis des années. Et elles arrivèrent au marché et s’arrêtèrent devant le fameux marchand qui avait satisfait sexuellement Anissa.
Il l’a remarquée tout de suite et lui souriait, discrètement, ne sachant pas qui était la femme qui accompagnait Anissa. Ce fut Sara qui prit l’initiative de l’affaire car Anissa était plutôt gênée d’accuser son amant. Et Sara dit, ordonne presque, au marchand qu’ils avaient à parler. Et que pour cela, d’aller ensemble derrière, du coté de la camionnette et elles l’attendirent à ce niveau. Deux minutes plus tard, le marchand les rejoignit, un peu inquiet et se posant des questions sur la situation. Sara lui ordonna aussitôt d’ouvrir le véhicule et après, le marchand y pénétra suivi de Sara, avec le sac. Elle ordonna à Anissa d’aller l’attendre plus loin.
Anissa, obéit sans poser de question et s’éloigna. Elle commença à circuler dans le marché. Depuis que sa copine avait pénétré la camionnette, Anissa avait réfléchi et deviné que Sara allait se faire baiser par l’homme. Elle l’avait tellement excitée en lui racontant, avec détails, son aventure avec cet homme au gros zeb, que Sara ne rêvait plus que de cela. Alors, elle a trouvé l’excuse pour rejoindre le rejoindre, en écartant sa copine. Ces pensées excitaient Anissa qui se souvenait du zeb du marchand et de ce que Sara allait s’offrir en jouissances. Et Sur son chemin, son autre admirateur de croupe l’aperçut de loin et vint à sa rencontre. Il pensait qu’une femme qu’il avait provoquée avec son zeb le matin et qui revint l’après midi, c’était sur, elle avait envie de baiser et il était preneur. Il prit quelques fruits pour lui offrir avant même qu’elle n’atteigne son étal. Elle essaya de refuser, mais il lui prit le bras et l’entraina doucement derrière le marché, du coté des véhicules.
Elle essayait de refuser mais il insistait et l’entrainait comme si c’était sa femme. Il lui disait des choses mais elle n’écoutait pas, regardant à droite et à gauche de peur d’être aperçue, et ils arrivèrent à la camionnette du marchand, identique à celle de l’autre. Devant le véhicule, Anissa était debout et hésitait, mais l’homme, devinant le désir sexuel de cette femme, la provoqua avec son zeb. Il se colla à elle, lui prit la main et la posa sur son zeb à travers la braguette. Elle ressentait maintenant sa force, sa longueur et sa grosseur et, devinant qu’il était pratiquement identique à celui de l’autre, ce matin, et elle se décida. Elle serra fortement le zeb, poussée par le désir de sa chatte qui mouillait et de son corps qui vibrait. L’homme, au geste crispé de la femme comprit que c’était gagné, alors, il ouvrit la porte derrière de la camionnette et poussa dedans Anissa.
Elle pénétra la camionnette en se courbant, et en tortillant sa croupe et l’homme derrière elle, suivait, une main empoignant son zeb et l’autre posée sur la large croupe offerte de la femme. Son excitation se répercuta sur son zeb qui se gonfla encore plus. Comme son copain, l’homme était super excité et impatient et il sortit son zeb de la braguette avant même qu’il ne pénètre totalement le véhicule. Il referma derrière lui et constata que la femme, à genoux devant lui, avait déjà relevé ses vêtements sur son dos et lui présentait directement sa large croupe nue et, bien en vue entre ses cuisses, sa belle chatte toute gonflée.
Affolé par ce tableau, et contrairement à son copain, il voulait d’abord gouter cette chatte et sa liqueur. Alors il se pencha vers elle pour lécher ses douces lèvres et sucer son clitoris déjà bandé et pénétrer sa langue dans sa grotte merveilleuse. Anissa lança un long gémissement de satisfaction. Cet homme était meilleur que l’autre, prévenant pour sa chatte et son comportement lui fit écarter largement ses cuisses pour s’offrir complètement. Après un moment de ces caresses vaginales, Anissa, impatiente lui murmura « haya bina nikou ! » (Commençons à baiser) et « hatli zebek lakhchine ! » (Donnes moi ton gros zeb ». Se redressant, l’homme empoigna son zeb et le frotta un peu sur le long sillon des fesses de la femme, puis, plus bas, il l’enfonça avec facilité et lenteur dans la chatte de la femme qui souffla un long « A7777 » de désir.
Puis il démarra ses vas et viens doucement, trop lentement au gout d’Anissa qui lui cria cette fois avec plus de force « Haya nik ! Nikni bezzaf ! Tafili nar souti ! » (Vas y ! Baises moi fort ! éteint moi le feu de ma chatte ! ). Provoqué et permission donnée, l’homme modifia en force et vitesse ses coups de reins dans la chatte affamée. Et Anissa lança plusieurs longs gémissements de satisfaction et plusieurs « A7777 ! » de jouissances. Il la tenait fortement par les hanches, et la secouait de ses coups de reins puissants et prolongés jusqu’aux fond de ses entrailles. A chaque fois qu’il enfonçait son zeb jusqu’aux couilles qui claquaient sur les cuisses et les fesses de la femme, il hurlait dans des souffles saccadés « haki zebi, haki zebi ! ya ka7ba ! » (Tiens mon zeb ! putain !) et ajoutait parfois « nikek 7atta laclawya » (je te nike jusqu’aux couilles) et il haletait de désir, et la saillie devint animale ! Et c’est ce que désirait Anissa, satisfaite de l’action, et gémissait en continu, et à chaque plongée du zeb en enfoncements, elle hurlait en essayant quant même d’étouffer son cri.
Le zeb de cet homme, dans sa chatte, lui semblait identique à l’autre de ce matin, et il la satisfaisait amplement et elle s’ouvrait au plaisir, à fond. A ce rythme, durant presque un quart d’heure, l’homme lui offrit, rapidement, deux gros orgasmes mouillés, bruyants et presque en continu. Et enfin, il arriva à son top et éjacula par quatre et quelques jets de sperme chaud et visqueux, puissants et abondants dans les entrailles de la femme, qui reçut ce nectar avec un long gémissement de jouissances « A7777 ! Ohhhh ! ». Puis il se retira et Anissa, comme à son habitude se retourna rapidement vers lui pour empoigner son zeb, le sucer et lécher et le nettoyer de sa langue gourmande.
C’est alors qu’elle put admirer son gros zeb. Et, effectivement il était une copie de celui de l’autre marchand, aussi puissant, aussi long et large et facilement gonflé et debout verticalement, prêt à reprendre la danse sexuelle. Dans ses mains, il était dur et doux à la fois et elle le suça, le lécha et le branla car elle était encore toute excitée. Elle en avait encore envie, alors elle s’allongea, dos sur le sol de la voiture et levant haut ses jambes et ses cuisses en les écartant largement, elle offrait à l’homme, bien en face, sa chatte et son cul. Puis, de sa main et elle les désigna à l’homme, puis de son doigt pointé sur son anus, elle invita l’homme à la sodomiser, de la niquer par le cul. Quoique un peu surpris, l’homme accepta avec enthousiasme et saisissant son zeb gonflé, il se rapprocha et l’enfonça dans l’anus de la femme. Elle hurla encore une fois son plaisir et l’homme, mettant les jambes de la femme sur chacune de ses épaules, il se souda encore mieux aux fesses de la femme et enfonça plus profondément son zeb.
Il pouvait ainsi l’enculer à mieux et à son aise tout au fond du cul d’Anissa qui feula encore une fois sa jouissance, ensuite il reprit la cavalcade de son gros zeb dans le cul de la femme. Et comme tout à l’heure, Anissa, satisfaite, ressentit la grosseur et la longueur du zeb, certainement africain. Elle constata encore une fois que par la sodomie, le zeb lui frottait non seulement son cul mais aussi sa chatte par-dessus, et ces sensations amplifièrent son plaisir. Et ainsi, rapidement, ces caresses mixtes lui donnèrent un autre orgasme et mouillé des deux cotés, et naturellement elle hurla encore et encore. Et ainsi pendant plus de dix minutes, l’homme l’encula à fond en grognant et hurlant sans arrêt « ka7ba ! ka7ba ! », et enfin, au zénith de sa jouissance, ses couilles se déclarèrent. Alors, il éjacula encore et encore par trois puissants jets chauds et visqueux, remplissant ainsi le cul d’Anissa. Ensuite, il resta un instant en elle, alors Anissa lui rappela qu’elle désirait boire son sperme.
Alors il se retira et Anissa, laissant le sperme couler de son cul, reprit le zeb pour aspirer les restes de sperme, puis sucer, lécher et nettoyer le zeb toujours debout. Elle pensa que ces hommes ne sont pas comme tout le monde, ils ont ce coté sexuel mieux développé et plus puissants la majorité des autres. Cela lui rappela sa copine Sara. Comme elle venait de satisfaire sa chatte et son cul, elle se secoua, se releva et donna un sourire à l’homme qui lui répondit de même. Puis, il s’ajusta et sortit du véhicule et Anissa, rapidement fit de même. Elle ferma la camionnette et le rejoignit de l’autre coté sur son étal. Comme son copain, il n’avait qu’un moyen pour remercier la femme, c’est de lui offrir un sac plein de fruits et légumes. Anissa vérifia qu’il n’y avait pas d’argent et fut satisfaite. Ensuite, elle s’éloigna vers la camionnette du premier marchand. Elle savait qu’elle avait été rapide et donc elle ne fut pas étonnée de constater que Sara baisait encore. Le véhicule étant de l’autre coté des étals, alors Anissa colla son oreille sur le métal et, déjà excitée, elle pu écouter tout ce qui se passait à l’intérieur. Ainsi, elle entendit parfaitement les halètements bruyants du couple, les gémissements cadencés de sa copine et les « han ! han ! » de l’homme. Elle resta un long moment ainsi, surveillant aussi les alentours, heureusement, déserts.
Enfin, elle entendit les hurlements de la fin, des éjaculations de l’homme et des cris de jouissances de son amie. Après un moment, elle comprit qu’ils avaient finis et qu’ils se rhabillaient, alors elle s’éloigna, mais pas très loin. L’homme, le premier, sortit du véhicule et la découvrit pas très loin. Il lui sourit et la remercia de lui avoir amené sa copine, pas aussi pleine qu’elle, mais tr-s expérimentée en baise et enculade. Puis ce fut Sara qui émergea de la voiture, toute joyeuse, heureuse, les joues rouges de bonheur et le sourire large aux lèvres. Puis ce fut Sara qui émergea de la voiture, toute joyeuse, heureuse, les joues rouges de bonheur et le sourire large aux lèvres.
L’homme était déjà parti vers son étalage et bientôt les deux femmes le rejoignirent. Sara remit à Anissa son premier gros sac et ainsi, la femme de Si Omar en avait deux, bien remplis. Et quant Sara fut au niveau de l’étal de son enculeur, celui-ci, comme il l’avait pour Anissa, il lui remet un gros sac de plastic plein de fruits et légumes. Sara, plus âgée qu’Anissa, fouilla tout de suite son sac et découvrit les quelques billets offerts par le marchand, mais elle accepta en lui disant merci. Puis les deux femmes, s’éloignèrent du coté des autres étals. Arrivées au niveau de l’étal de l’autre amant d’Anissa, celui-ci lui fit un signe de sympathie et celle-ci lui répondit de la main. Comme Sara s’étonnait de cette amitié, Anissa lui avoua que sa chatte et son cul venaient juste de passer un long moment ave son gros zeb, dans sa camionnette, pendant que Sara se faisait aussi besogner la chatte et le cul, par le zeb de l’autre marchand.
Sara, d’étonnement, ouvrit grands ses yeux sur sa copine et rigola un bon coup. Puis elles s’éloignèrent du marché, Anissa avec deux sacs pleins et de l’argent et Sara, de même, avec un grand sac plein et de l’argent. Il n’était que 16h et elles arrivèrent vite chez Sara qui se doucha en vitesse et s’habilla correctement. Les enfants allaient arriver et leur mère leur prépara vite du chocolat et quelques sandwichs. De son coté, Anissa retourna chez elle, pour se nettoyer, se doucher et se reposer toute nue au creux de son lit. Elle était contente de sa journée, mais surtout d’avoir amené sa copine, quoi plus âgée et même lesbienne, à gouté le gros zeb d’un marchand de couleurs et de se faire payer par de l’argent et des fruits et légumes, à la barbe de son mari Si Tahar, dont le rôle de baiseur s’amoindrit de plus en plus pour les deux femmes. Et ces nouvelles expériences où elle a réussit à entrainer avec elle sa copine à la luxure, allaient leur ouvrir, les prochains jours, d’autres aventures sexuelles. Cependant les débordements incontrôlés des désirs de son amie l’effrayaient, alors elle décida d’y mettre un frein, ne serait ce que provisoire et de moduler la situation. Sara, avec un mari en bonne forme physique et sexuelle devrait suffire à sa femme, et s’il elle a besoin, de temps à autre d’un complément pour sa chatte ou son cul, elle fera un petit tour du coté des camionnettes et des marchands et l’affaire sera réglée. Pour elle, Anissa, ses besoins seront satisfaits d’abords par le zeb de Si Tahar et les lècheries de Sara, et elle complètera ses envies par un tour chez les marchands. Le temps que le calme sexuel des deux femmes s’atténue, ensuite, on verra.
Elle se reposa deux heures environ, puis se réveilla pour préparer le repas. Puis elle prit son diner, s’habilla très légèrement comme l’autre soir et attendit son mari devant la télé. Quant Si Omar rentra vers 22h, elle était déjà assoupie devant la télé depuis longtemps. Il fit sa toilette, sa douche, mit son pyjama et dina seul dans la cuisine. Il vit sa femme presque nue sur le canapé du salon, mais il rejoignit sa pièce et s’endormit rapidement. Quant Anissa se réveilla, il était environ minuit, elle entendit ronfler son mari. Alors, elle haussa les épaules sur son mari, puis elle rejoignit son lit, se coucha nue sous le drap, et s’endormit rapidement, en faisant des projets de baises et de sodomies des deux copines, ensembles, et à la fois, avec plusieurs marchands noirs aux gros zeb.

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