Terma 117 : Ouvert enfin aux plaisirs de la sodomie :

- Par l'auteur HDS Noura -
Récit érotique écrit par Noura [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Terma 117 : Ouvert enfin aux plaisirs de la sodomie : Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Terma 117 : Ouvert enfin aux plaisirs de la sodomie :
Je suis Bouzid, 22 ans, et je viens de terminer mon Ingéniorat dans mon pays et on m’a donné une bourse pour une spécialisation à l’étranger. Rapidement j’ai été inscrit dans une grande école et un ami Rachid, 28 ans, déjà boursier depuis deux ans, m’a trouvé une chambre de bonne, pas chère, au sommet d’un immeuble pas loin de l’école. Je mange à la cité et complète en cuisinant dans ma chambre. En dehors des heures de cours et de bibliothèque, je reste dans ma chambre et avec mon PC et avec la complicité de mon voisin, Touniss, barman dans un hôtel en ville, et célibataire, j’avais l’internet par Wifi.
Pendant le premier trimestre, je m’occupais à fond de mes cours et exercices. Mais un soir alors que j’étudiais, en pyjamas, mon voisin, Touniss, assez éméché, est venu me voir pour discuter un peu et boire un coup. Moi je ne buvais pas l’alcool mais je me faisais du thé que Touniss n’aimait pas. Poussé par l’alcool, il s’est trop rapproché de moi et a essayé de me peloter les fesses. Je l’ai giflé et fait tomber par terre et il s’est un peu blessé au front sur le pied métallique du lit et son sang a jailli. J’ai eu peur et je l’ai installé sur le lit et essayé de nettoyer sa plaie et mis un peu de parfum à défaut d’autre chose. Mais Touniss s’est vite rétabli et s’est couché et endormi sur mon lit. Je l’ai soulevé et amené dans sa chambre, juste à l’étage au dessous de ma chambre. Mais en route, alors que je le soutenait et le supportais difficilement, il s’est réveillé. Et, dans sa soulerie, sa main s’est glissée sur mes fesses et il a continué à me peloter et il a même poussé un doigt à l’intérieur de mon cul à travers mon pyjama. J’ai laissé faire car je le soutenais. Arrivés dans sa chambre, il m’a fallu plusieurs minutes pour lui enlever sa veste, ses souliers et l’allonger sur son lit. Mais pendant ces quelques minutes, tout en grommelant comme un ivrogne, sa main a glissé derrière moi et a abaissé mon pyjama qui est tombé sur mes pieds, découvrant ainsi toute ma croupe. Alors que je l’allongeais, ses doigts sa main s’est glissée encore pour me peloter mes fesses et un de ses doigt s’est glissé à l’intérieur de mon anus et me branlait le cul.
J’avais l’intention de le laisser tomber par terre mais, à cause du sang qui coulait sur son front, ce qu’il faisait derrière moi sur mes fesses nues et mon anus me semblaient moins important que la vue de sa blessure. J’avais peur pour lui et je croyais que sa blessure était grave mais que son ivrognerie l’empêcher de comprendre. Alors je l’ai laissé faire avec sa main et son doigt, jusqu’à ce que je l’ai réussi à l’allonger sur son lit. Alors seulement, j’ai remonté mon pyjama. Il me regardait et, sans que je me rende compte, il avait sorti sa bite du pantalon et la secouait devant moi. J’avoue que j’avais jamais vu de bite autre que la mienne, car j’appartenais à une famille traditionnelle et le ciné et les revues porno m’étaient interdits. Et j’avoue que cette bite était grosse, longue et épaisse et a retenu totalement mon attention. Elle commençait à s’allonger et se gonfler. Il m’a dit de la toucher pour voir si elle était assez dure. Bien sur, j’ai refusé mais c’était sa blessure au front qui m’inquiétait. Il a enfin lâché sa bite et de sa main, il a touché son front ensanglanté et cela l’a fait gémir. Il m’a alors, désigné son armoire où il m’a dit qu’il avait des produits pour soins. J’ai ouvert et cherché et trouvé deux flacons de mercuro et de produit oxygéné, quelques adhésifs et une bande. Assis à coté de lui sur le lit, j’ai nettoyé son front et le sang s’est arrêté, puis je lui ai bandé la tête. Je croyais qu’il était encore étourdi par le vin et la bière dont il puait, mais c’était faux. Pendant que je le soignais, sa bite était toujours hors de son pantalon, mais devenue molle, mais sa main est encore allée vers mes fesses et a réussi à descendre un peu mon pyjama par derrière et s’est glissée vers mon anus. J’ai serré les fesses pour l’empêcher de me pénétrer mais il a eu des gémissements pendant que je serrai la bande et j’ai oublié mes fesses.
C’est alors que sa main a trouvé mon anus, et un doigt s’est glissé à l’intérieur, pénétrant mon cul. J’ai réagi en arrêté de le soigner et voulut reculer. Mais il a profité de mon petit soulèvement, pour enfoncer plus profondément son doigt. Je voulais encore réagir mais il m’a retenu par force avec son autre main. Il était fort et non seulement son doigt a mieux pénétré mon cul, mais il a poussé un second doigt dans mon cul. Il m’a fait mal, très mal et j’ai crié ma douleur tout en essayant de m’écarter de lui. Mais il semblait beaucoup plus fort que moi et il m’a poussé vers lui à tel point que je fus déséquilibré et obligé de m’allonger, de coté, sur sa poitrine. Ses doigts dans mon cul bougeaient. J’avais moins mal qu’auparavant mais j’avais un fort sentiment de gêne et même de honte. Un homme étranger, même ami, me tenait contre lui tout en me fourrageant mon cul, mais j’avoue que ça ne faisait plus mal mais ça me donnait des sensations bizarres, inédites et pas désagréables . Avec sa main, forte, il m’avait pratiquement enlacé sur son lit et son visage s’est collé au mien et ses lèvres ont cherché ma bouche. Mes mains qui le repoussaient semblaient tellement faibles et inutiles. Il sentait le vin et la bière, et il me regardait avec une telle intensité que j’ai oublié ses doigts dans mon cul et je lui ai abandonné ma bouche. Il m’a sucé les lèvres, et ventousé ma douche au point que je me sentais lui appartenir. Derrière, mon pyjama a été descendu assez bas et il m’a positionné pour m’allonger sur son corps.
Brusquement, j’ai ressenti le contact de ses cuisses et de son ventre et ensuite de sa bite. Il avait repoussé son pantalon et mon pyjama, pour être nu de la ceinture aux pieds. J’ai ressenti ainsi les contacts de nos deux bites et la mienne s’est gonflée à fond rapidement. La sienne aussi, s’était réveillée mais moins que la mienne. Brusquement, il m’enlaça fortement et, de force, il m’a retourné sur le lit, de façon que je sois allongé sur le dos, et lui il était couché sur moi. J’ai essayé de le repousser pour m’enfuir, mais il était trop fort et surtout décidé. Il a continué à me sucer la bouche et les lèvres et à m’embrasser en grommelant. Ses mains étaient maintenir, par-dessous moi, sur mes fesses et dans mon cul. Cela me chatouillait assez et comme cela avait l’air de me plaire, j’étais gêné, mais cela l’a encouragé à aller plus loin. Soudain, de force, il me retourna encore une fois, pour que je sois face au matelas et il s’est allongé totalement sur mon dos. Maintenant sa bite, gonflée et dure, je l’a ressentais très bien sur mes fesses et mes cuisses. Puis il l’a frottée longuement entre mes fesses qu’il écartait des mains pour ouvrir le sillon de mon anus. Il s’était soulevé et m’a demandé d’en faire autant. Je savais ce qu’il voulait faire et j’ai refusé de bouger. Alors, il m’a donné de fortes claques sur les fesses, m’a regardé avec méchanceté et répété son ordre, alors j’ai soulevé ma croupe et tendu mes fesses.
Rapidement, j’ai senti ses lèvres sur mes fesses et mon anus et sa langue essayait de me pénétrer. Il y a poussé encore une fois ses deux doigts qui ont réussi à ouvrir en partie, mon anus avec puissance et presque brutalité. Pour ne pas avoir mal, j’ai aussi poussé mon anus pour qu’il s’ouvre au maximum et il en a profité pour glisser sa bite. Il l’avait lubrifié un peu car je ressentais son humidité. Il poussa fort et sa bite me pénétra avec douleur, mais elle ne rentra que de moitié. Mon cul et mon anus me brulaient et j’ai hurlé, et mes larmes jaillirent. En effet, je pleurnichais de douleur et de honte. Mais il s’arrêta de bouger un long moment, sa bite toujours en moi, à moitié. Ensuite, il me demanda si j’avais encore mal. J’avoue avoir menti, car je lui ai dis que la douleur avait diminuée, alors que j’avais toujours une brande brulure au cul. Je n’avais compris que plus tard le pourquoi de mon mensonge. Alors il a poussé encore et encore sa bite dans mon cul. Et ce n’est que j’avais ressente les touches de ses lourdes couilles sur mes cuisses et sur mes fesses que j’avais compris que tout son zeb était enfoncé en moi. Il s’est arrêté un instant, et ce fut à ce moment que la douleur s’était estampée. Je ressentais la bite en moi, totalement et j’ai réussi à faire quelques mouvements internes dans mon cul, et cela ne m’a pas fait mal du tout. Au contraire cette présence de la dite dans mon cul commençait à me procurer les chatouillis internes et c’était très agréables. C’est alors que j’ai compris qu’il avait réussi à me dépuceler le cul, et sodomisé ensuite jusqu’aux couilles. Alors, j’ai libéré le fort souffle que je retenais depuis que son zeb a traversé mon anus.
Alors il s’est redressé complètement et positionné derrière ma croupe. Il m’a léché l’anus, et cela m’a aussi soulagé et calmé. Il a compris et a commencé à bouger plus vite dans mon cul. J’avais encore un peu mal, mais nettement supportable et le mouvement de son zeb m’a même envoyé des ondes vibratoires sur tout le corps et des sensations de chatouillements inédites mais agréables dans mon cul. Je me suis positionné pour offrir le maximum de ma croupe et de mon cul à mon voisin. Il me semblait qu’il n’était plus ivre comme tout à l’heure. Il m’a sodomisé, niqué pendant plus d’une demi heure, avançant et reculant sa bite dans mon cul. Mes sensations agréables se multiplièrent et à un certain moment, j’essayais moi même de bouger ma croupe pour mieux ressentir la grosse bite dans mon cul. Quant il reculait sa bite et stoppait un peu, c’est moi qui poussait ma croupe pour enfoncer son zeb en moi. Par ces mouvements de désir, il avait compris qu’il avait réussi. Alors je l’entendais rigoler, il me trappait un peu la fesse et me dit «ça y est ! Teremtek 3jebha zébi ! e'dawar hya t’nike zébi ! ya Terma qa7ba ! » (ça y est, mon zeb a conquis ta terma ! c’est elle qui veux niker mon zeb ! putain de Terma ). C’était la traduction de ma faiblesse, de mon cul, abandonné à sa bite et j’avais envie qu’il continue car ça devenait très agréable, c’était quelque chose de joyeux, de délicieux à l’intérieur et j’en voulais encore et encore. Il ya une ou deux heures, devant mon bureau d’études, je ne pouvais même pas penser aux choses de sexe.
Maintenant, le monde a changé pour moi dans ma tête et dans ma terma. Comme il me parlait de son zeb qui s’enfonçait en moi, de ma large et blanche Terma qui s’ouvrait aux plaisirs de la sodomie, je trouvais encore cela audacieux et à moitié interdit. Mais la réalité était l, présente, du zeb au fond de mon cul et de ses mouvements puissants et rapides qui faisaient vibrer tout mon corps. Les ondes de jouissances qui m’emplissaient tout le corps me donnaient le vrai sens et la vraie connaissance de ces mots, zeb, Terma, sodomiser, niker et qui étaient auparavant interdit pour moi. Il m’a donc réellement niqué pendant plus d’une demi et enfin, il a éjaculé dans mon cul. Je savais ce qui devinait seulement ce qui allait se passer. J’avais déjà éjaculé quelques fois en me branlant un peu mais souvent involontairement. Mais je ne savais pas ce qui allait arriver à l’intérieur de mon cul. Et soudain ce fut le Niagara. J’ai reçu la première éjaculation comme une surprise, énorme mais agréable, surtout accompagnée d’un puisant coup de reins de l’homme et qui m’a semblé enfoncer son zeb en moi et plus profondément qu’auparavant. Et il recommença avec les deux éjaculations suivantes et aussi puissantes que la première. Je me sentais rempli, inondé à l’intérieur et possédé plus par ce sperme que par le zeb lui-même, dans la puissance des jets et la jouissance qui les accompagnait. C’était tellement agréable et puissant, nouveau, inédit pour moi, que j’ai hurlé mon plaisir dès le premier jet et le coup de rein qui l’accompagnait me semblait pousser son zeb encore plus profond. Les seconds et troisièmes jets furent aussi puissants et agréables que le premier. Puis il y a eu une sorte de jets suivants, plus faibles mais continus et encore aussi agréables et jouissifs dans mon cul.
Le zeb tressaillait parfois par excitations et ses mouvement affolaient l’intérieur de mon cul et montaient jusqu’à ma tête et mes fantasmes. Ensuite il est resté planté dans mon cul. J’étais à genoux mais je m’imaginais ce gros zeb toujours dans mon cul, et seules les couilles à l’extérieur. Dépucelé, sodomisé et niqué à fond par un gros zeb d’homme et inondé de son sperme, je me sentais tout autre qu’il y a deux heures. Je me souviens maintenant que quant il était saoul et me faisait des attouchements sur mes fesses, et surtout quant il avait descendu mon pyjama et touché, à pleine chair palpitante, mes fesses et mon anus. J’avoue que je n’avais pas eu assez de courage pour le repousser car il y avait déjà quelques sensations faibles mais agréable et une sorte de danger tentateur qui m’excitait et que j’ai dépassé pour accepter la suite, et le résultat, il est là maintenant. Et je me sens heureux d’avoir accepté et d’avoir laissé le brave Touniss, simuler son ivrognerie pour passer à l’acte du dépucelage et de la sodomie. Je soupçonne même qu’il m’avait donné, acheté avec le wi fi de son internet dans cette optique. J’avais, auparavant refusé car il m’avait conseillé de voir les sites et films porno, certainement pour faciliter ce qu’il désirait faire ensuite avec moi. A ce moment, j’avais refusé de voir ces sites, comme interdits depuis mon enfance. Maintenant, que mon cul s’est ouvert au gros zeb et ses jouissances, je vais lui redemander ces sites porno, pour nous exciter et niker facilement en regardant les chaines et les films gay, les sodomies et sussions de zeb des uns et des anus des autres. J’étais impatient de passer à cette étape. Et dès ce soir, quant j’aurais terminé mes exos, je vais le rejoindre voir ces sites et niker toute la nuit pour adapter mon cul et mes lèvres à son gros zeb.
J’ai nettoyé rapidement mon cul dans son lavabo, puis je me suis rhabillé et rejoins ma chambre au dessus. J’avais encore quelques exos à terminer et je reviendrais tout à l’heure. Je me suis mis au travail, mais après seulement une demi-heure, avant de finir mes exos, Touniss, en pyjama, m’a rejoint dans ma chambre. Puis, tout habillés, il m’a poussé à m’assoir sur ses cuisses et sur son zeb, à travers les vêtements. Il m’a dit que cela va m’aider à mieux travailler, mais ce fut tout le contraire. Je n’arrivais plus à réfléchir, alors j’ai laissé tomber mes exos et mon pantalon de pyjama et je me suis sur ma grosse bosse que faisait le zeb dans son pyjama. Il n’a fallu qu’une minute pour qu’il débarrasse son zeb de son pantalon. Rapidement sa grosse bite s’était dressée à la verticale, un vrai mat de cocagne, un gros monstre, énorme mais tellement désirable même à sa seule vue. Mon cul frétillait quant je me suis assis sur ce gros zeb. Il me chatouillait les fesses directement. Je me suis encore soulevé un peu pour lui permettre de s’enfoncer dans mon cul. Cette position, assis sur sa bite, où, librement, j’offrais mon cul largement ouvert et affamé de plaisirs à son gros zeb, a été encore plus agréable, plus délicieuse et plus jouissante que ce que j’avais ressenti auparavant. J’avais l’impression, tellement affolante, de lui appartenir de lui offrir, non seulement cette partie charnue interdite mais tout mon corps y compris ma Terma et toute la profondeur de mon cul. Ce sentiment presque féminin l’excitait encore plus fortement.
Tout en faisant semblant de travailler sur la table, je remuais de la croupe, de la terma comme il dit et je ressentais son zeb frétiller à l’intérieur de mon cul. Je faisais même quelques petits mouvements verticaux, hauts et bas, branlant ainsi son zeb avec mon cul et mon ami s’est excité encore plus. Il m’a avoué que jamais, avec ses autres amants, il n’avait ressenti une telle excitation, jamais quelqu’un n’a remué et dansé ainsi, avec son cul et sa Terma, sur son zeb. Même les putains à grosses Terma n’avaient eu une telle technique d’excitation, ce qui a l’air s’être naturelle avec moi. Peut-être que j’avais, ou plutôt ma Terma avait des prédispositions pour les sodomies. Il m’avouait que, quant mon cul dansait sur son zeb, des jouissances venaient même de son cerveau vers son zeb et l’étourdissaient. Ces remarques sur ma Terma et ses mouvements me faisaient plaisir et m’excitaient encore plus. Alors, et je lui faisais des pressions volontaires, de sortes de ventouses aspirantes de mon cul sur son zeb. Et il commençait à gémir et me dit : « zid ! zid ! 7ouk teremtek 3ala zebi ! 7ouk ! raha jaya ! jaya ! » (Continues ! continues ! frottes ta Terma sur mon zeb ! frottes ! ça vient ! ça vient).
Et soudain il éjacula, presque par surprise. Dès son premier jet puissant et son hurlement de plaisir, je me suis bloqué la croupe et j’ai aspiré son zeb au mieux que je pouvais, par l’intérieur de mon cul. Il hurlait encore plus et moi j’étais rempli de jouissances. J’ai reçu deux autres jets pendant que je lui bloquais le zeb dans mon cul. Ses deux mains m’avaient entouré la taille et me retenaient avec puissance. Il répétait « ya zebi ! hadhi terma wa la ! raha t’mouss li fi zebi ! zidi ya terma ka7ba, zidi ! » (mon zeb, ça, c’est une vraie Terma ! elle me suce le zeb de l’intérieur ! encore ! putain de terma ! encore !). Et nous sommes restés ainsi, collés par le zeb et cul, et ma terma se remplissait de sperme chaud, visqueux, un vrai nectar de mâle. Maintenant je savais que contrairement à tout à l’heure, c’était moi qui lui niquais le zeb avec ma profonde terma, je suis son maître et je vais décider de la suite. Quant je me suis levé et que son zeb est sorti de mon cul, j’avais ressenti comme un vide derrière. Et rapidement j’avais eu encore envie de ce gros zeb. J’ai couru au lavabo et je me suis nettoyé, alors que lui restait assis, à demi nu, sur la chaise. Ensuite, j’ai enlevé le reste de mon pyjama et, nu complètement, je me suis allongé sur mon lit, dos sur le matelas. Et j’ai soulevé haut mes jambes et cuisses et serré les fesses. Ainsi, il avait devant lui, une croupe nue et un sillon des plaisirs entre mes larges cuisses serrées. Il s’est levé et enlevé le rets de son pyjama, et nu, le zeb horizontal, il s’est assis derrière mes cuisses. Mon anus était face à lui mais serré entre mes fesses et cuisses comme la chatte d’une femme. Il a frotté son zeb sur ce sillon d’anus et chaque qu’il passait devant, la tête de son zeb accrochait les lèvres de mon anus. J’ai essayé de résister et garder mes cuisses serrées mais à chaque passage mon anus avait tendance à s’ouvrir et des ondes de jouissances m’enveloppaient le corps. Alors j’ai abandonné et ouvert, largement mes jambes et cuisses, offrant ainsi directement mon anus qui vibrait de plaisir. J’avais même la sensation qu’il coulait, qu’il sortait de lui des restes de sperme mais aussi qu’il attirait le gros zeb gonflé. Alors Touniss n’a pas hésité. Il a, d’une main, enfoncé son zeb dans mon cul et poussé jusqu’aux couilles. Cette pénétration et cet enfoncement total, animal, m’ont fait hurler de jouissances et mes cuisses et jambes ont entourés ses reins pour pousser à enfoncer encore plus son zeb aux fins fonds de mes entrailles. Il a commencé ses vas et viens en s’accrochant à mes hanches, mais moi aussi j’essayais de soulever ma croupe pour avaler son zeb au maximum. Immédiatement les jouissances agréables, affolantes m’ont envahi le corps et le cul et je gémissais en continu mon plaisir. Lui aussi s’est déchainé et les frappes de son zeb me secouaient tout le corps. Nous hurlions parfois ensemble au rythme des coups de reins et des enfoncements du zeb. Mon plaisir était continu au point que, aussi bien que moi, nous avons été surpris de la première éjaculation puissante et abondante. Ce fut comme un jet de feu qui traversait mon cul mais un feu qui m’a envoyé au ciel des jouissances et j’ai hurlé à mon maximum de jouissances. Et le volcan de son zeb m’envoya les trois autres jets suivants aussi puissants et jouissifs que le premier. Par deux fois, mon ami n’avait pu maitriser ses éjaculations. Normalement il devait savoir quant ça allait arriver petit à petits, mais je pense que cet homme est du genre éjaculateur imprévisible. Ce n’était pas très important pour moi, mais j’aurais souhaité accompagner l’arrivée de son sperme avant qu’il ne se déchaine. J’essayerai de mieux jouir avec d’autres hommes plus tard. Puis on s’est décollés et, avec promesse pour demain soir, il s’est rhabillé et a rejoint sa chambre au dessous de la mienne. Je me suis nettoyé et même pris une douche. Puis je voulais me coucher, mais ma tête refusait, alors j’ai repris mes exos et ça a marché. Rapidement j’ai solutionné ce qui était en retard puis je me couché et rapidement je me suis endormi, le cul encore un peu chatouillé par les restes de sperme accrochés tout au fond de mes entrailles et qui me donnaient une sensation de satisfait dans ma tête et dans mon cul.

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