Terma 118 : Ouvert enfin aux plaisirs de la sodomie (2)

- Par l'auteur HDS Noura -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Terma 118 : Ouvert enfin aux plaisirs de la sodomie (2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-03-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Terma 118 : Ouvert enfin aux plaisirs de la sodomie (2)
Réveillé le lendemain à 8h par mon portale, je me suis souvenu des évènements de la veille. Et j’étais étonné de ce que j’avais accepté de faire avec mon voisin, et un sentiment de honte m’a envahi, mon visage brulait. Alors j’ai couru à la douche, comme pour effacer de mon corps ce que j’avais fait et subi. J’étais sûr que mon voisin, ivre, m’avait forcé et m’avait violé le cul, en profitant de ma timidité naturelle. Auparavant, je n’avais jamais vu et touché le gros zeb d’un adulte, mais quant il m’a montré le sien, qui était gros, vivant et même monstrueux, et qu’il le secouait pour me tenter, j’ai été ébloui et hypnotisé et je me suis abandonné à lui. Mais j’avoue que par la suite, il m’avait dépucelé et enculé facilement et avec jouissances, c’était excitant et tellement agréable et même délicieux que j’en voulais encore. Maintenant rien qu’à y penser, je recommence à avoir des chatouillements agréables dans ma Terma. Alors, je me suis secoué et décidé définitivement de continuer l’expérience et réfléchir, plus tard, à ma situation et à ma morale. Alors, je suis parti à l’école presque calmé et décidé de continuer, ce soir, avec le zeb de mon voisin, et j’en frissonnais d’excitation.
Dans la journée, mes cours continuaient normalement à l’école jusqu’à 16h. Vers midi j’avais pris un repas avec mon ticket à la cité. Comme j’avais beaucoup de travail en chambre, j’ai acheté un gros lunch pour le soir. J’ai pris une douche vers 17h et, en pyjama, j’ai commencé à table, ma révision et mes exos de la journée. Rachid, mon copain de troisième année était venu me voir vers 18h pour m’apporter un livre très utile pour moi puis il est parti en urgence. Dix minutes plus tard, quant je me suis levé pour me détendre un peu, j’ai constaté qu’il avait laissé, sur une chaise, quelques affaires à lui. Je lui ai téléphoné pour l’informer et il a promis de passer reprendre ses affaires avant 23h. J’ai repris mon travail et j’ai oublié Rachid. Vers 21h, mon voisin Touniss est passé me voir. Et tout en me pelotant les fesses, sa main sous mon pyjama, il m’a enlacé et donnés plusieurs baisers passionnés, surtout avec sa langue qui suçait la mienne. Rapidement j’ai perdu les pédales et constaté que mon cul commençait à me démanger, surtout que les doigts de Touniss m’avaient pénétré profondément. Et j’ai constaté, à la main, que son zeb avait gonflé sous son pantalon. J’en avais envie urgente et j’ai retiré mon pyjama pour lui offrir, tout de suite, Terma. Mais à mon grand désespoir, il a refusé car il avait une affaire pressante dehors, mais qu’il reviendra me niker, au plus tard, dans une heure ou deux, puis il est reparti. J’étais excité, fâché et j’ai juré de ne plus le laisser me toucher, puis j’ai repris mon pyjama, mes livres et mon travail sur la table.
J’étais en plein travail quant Touniss est revenu me voir en pyjama, il était 22h. Il était déjà passé se déshabillé chez lui et était nu sous son léger pyjama. Dès son entrée chez moi, je voulais le refuser et lui dire des mots méchants, mais, face à moi, il a sorti son gros zeb déjà gonflé et si long et épais. Il le secouait à la main et j’ai été étourdi. Je me suis dénudé totalement et j’ai plongé sur le zeb pour le prendre à deux et l’avaler goulument. J’étais à genoux devant mon ami debout, et il en a profité pour ôter ses vêtements. Puis, comme un mari, il m’a relevé puis porté dans ses bras, ses mains me soulevant par les fesses et les cuisses. Sa bouche s’est emparée de la mienne et il m’a porté pour l’allonger sur mon lit. Il voulait continuer à m’embrasser et me peloter, mais je lui ai crié que j’étais pressé, plutôt mon cul affamé, me hurlait de commencer. Alors, je me suis mis en face et à genoux, la croupe et le cul relevés et offert à Touniss qui s’est positionné derrière moi. Et d’un seul coup de reins, il a enfoncé son gros zeb dans mon cul comme dans du beurre chauffé. Je n’ai même pas ressenti la pénétration, tellement mon cul était mouillé de désir. C’est quant son zeb frappa sur le fond du cul et que les grosses couilles me tapaient les cuisses et les fesses que j’ai compris qu’il m’avait pénétré totalement. Il était dur et doux à la fois et j’ai du pousser un long et bruyant gémissement de contentement. J’ai encore gonflé ma croupe et ouvert, si possible, mon cul, pour éteindre le feu de désir qui me brulait les entrailles. Je lui dis de commencer tout de suite « nikni fi ssa3, nikes ! » (Baises moi vite ! vite !). Il avait déjà commencé ses puissantes vas et viens, et après une dizaine ou plus, j’étais déjà en pleines jouissances et mon cul coulait de plaisirs.
Cette première sodomie n’a pas durée longtemps, tellement il était aussi excité que moi. Et au bout de quelques minutes j’étais en pleine euphorie sexuelle, ouvert à fond, son zeb glissait rapidement dans mes fonds et il hurlait autant que moi de jouissances. Puis, comme à son habitude, il a éjaculé par trois fois presque continues et en abondance. A chacun de ses jets, puissants et brulants, ponctué de coups de reins affolés, je hurlais aussi de plaisir et jouissances. Quant il s’est arrêté et effondré sur mon dos, j’étais obligé de me coucher totalement , le ventre sur le lit. Nous sommes restés un long moment ainsi. Puis, malgré que son zeb était encore dans mon cul, sans avoir vraiment faibli, il me semblait, ma Terma recommençait à me chatouiller. J’ai essayé de remuer ma croupe pour ressentir mieux son zeb, mais il était lourd et je n’ai pas pu bouger. Alors je l’ai secoué d’un grand coup de reins et il s’est réveillé. Puis, il est sorti de mon cul et s’est allongé à mon coté. Je me suis relevé et voyant son zeb qui se recourbait, j’ai eu peur qu’il faiblisse, alors je l’ai saisi à eux mains et je l’ai englouti presque entièrement et j’ai commencé à le sucer et le branler. Rapidement, il a recommencé à s’allonger et à durcir. C’était formidable et mon cul me disait aussi qu’il était prêt. Alors, enfourchant le corps de mon ami, je me suis assis sur ses cuisses, puis sur son bas ventre. Et constatant que le zeb était gonflé, tout seul vertical, je me suis assis dessus. J'ai pointé le zeb sur mon anus palpitant et mouillé de sperme et je me suis assis totalement dessus. Le zeb s’est enfoncé en vitesses en moi et ce fut, la aussi une sensation formidable, et j’ai hurlé ma jouissance.
Ensuite, et pendant plus d’un quart d’heure, je lui ai branlé le zeb avec mon cul. Je modulais les vitesses et les brusqueries de mon cul suivant les jouissances que j’en recevais. Je me suis niké sur son zeb, à ma convenance. Je fouillais tous les coins et recoins de mon cul avec son zeb dont je ressentais encore mieux la grosse tête. J’étais étourdi de plaisirs mais conscient de ce que je faisais avec son zeb, suivant mes désirs et sensations continues. Je gémissais et parfois hurlais selon les cas et je dansais sur son bas ventre. Je reculais jusqu’à presque sentit son zeb à l’ouverture de mon anus, puis je l’enfonçais en moi, soit lentement pour joui au maximum, soit brutalement pour avoir ce fort choc de jouissances qui m’inondait tout le corps. J’ai obtenu plusieurs fois la sensation des orgasmes de mon cul et je me sentais couler par l’anus. Enfin, après plus d’un quart d’heure, Touniss semblait se réveiller. Il avait assisté entièrement à ma sodomie, et ses yeux me fixaient parfois avec des sourires, mais il m’avait laissé faire.
Mais maintenant, il semble que son zeb a réveillé ses couilles et leur désir. Il m’a secoué deux ou trois fois, puis il m’a poussé sur le coté, me disant « Zébi rah ma tagach yousbour ! khalini ana nike thorka » (mon zeb n’a plus de patience ! laisses moi te niker à mon tour !). Puis il me positionna, le dos sur le matelas et relevant mes jambes et cuisses presque sur ses épaules, il pointa son zeb sur mon anus. J’avais écarté mes cuisses à fond et relevé ma croupe au possible et mon cul à l’anus ouvert et palpitant s’offrait à son gros zeb. Et d’un seul coup, comme tout à l’heure, il me pénétra à fond avec son zeb, jusqu’au claquement de ses couilles sur mes fesses. Involontaire comme toujours, j’ai hurlé ma jouissance de la pénétration violente du gros zeb qui écartait ma chair avec puissance et plaisir.
Et pendant encore presque un quart d’heure, il m’a sodomisé, niké à fond, en tenant mes cuisses et jambes relevés sur ses épaules et me donnant de violents coups de reins, de zeb en ahanant avec bruit et parfois en criant et hurlant un bon coup. Les bruits de sussions des glissements du zeb se faisaient de plus en plus bruyants et érotiques. Leur musique était rythmé par les vas et viens du zeb dans mon cul mouillé. J’étais moi aussi dans les vapeurs, je voyais en tête les images que faisaient les vas et viens du gros zeb et les sensations de ses glissements dans la chair de mon cul. Parfois il ralentissait ses mouvements et nous jouissons ensemble de ce plaisir agréablement affolant, et soudain il s’enfonçait en moi avec puissance et vitesse, et cela nous donnait un choc de jouissances à pic et nous hurlions ensemble, en phase. Moi je jouissais en continu, les ondes et sensations agréables ne s’arrêtaient jamais et mes gémissements étaient autant de plaisir d’être si bien rempli par son zeb. Un moment, il avait trop ralenti et j’ai cru qu’il allait s’arrêter, mais soudain il a accéléré et donné des coups violents, son zeb me brulait le cul. Soudain, comme sa mauvaise habitude, son zeb m’a bombardé de violentes éjaculations. Les trois éjaculations étaient tellement violentes, puissantes et très rapprochées que j’ai cru à une longue éjaculation continue.
Mais ce fut très agréable et très jouissif, qui m’a fait, cette fois, gémir longuement avec des respirations rapides et continues. Je ne sais pas pourquoi, dans ma position et mes halètements rapides, j’ai pensé à la femme qui accouchait ainsi, jambes et cuisses largement ouvertes sur sa chatte. Moi, ma chatte c’était mon cul avec son anus très largement ouvert. Je ressentais son sperme par sa chaleur et son abondance. Puis il est sorti de mon cul et s’est allongé de nouveau à mes cotés. Je restais un moment conscient et immobile, ressentant seulement les coulées de sperme qui coulait entre mes fesses, sur mes cuisses et vers le matelas. Mais, me redressant un peu j’ai vu son zeb qui s’était complètement couché sur sa cuisse. Je savais que c’était fini pour la soirée. Il fallait que je le laisse quelques heures pour reprendre encore une sodomie. Je savais que ma Terma en avait toujours envie, car elle désirait que le zeb, gros et gonflé doive rester enfoncé en elle tout le temps. Je dois dormir et avec son zeb en moi, si possible bandé et gonflé.
Je lui ai nettoyé le zeb avec ma bouche et mes lèvres, il restait toujours mou et courbé. Puis je me suis nettoyé à la douche, repris mon pantalon de pyjama, puis j’ai repris mon travail sur la table. Touniss semblait fatigué, je l’ai bien étalé, nu, sous mon drap et je l’ai laissé s’endormir de fatigue. Il était environ 23h, on avait niké presque une heure en tout. Mais après cinq ou dix minutes, j’ai ressenti une certaine fatigue, alors j’ai décidé de me coucher moi aussi. Voyant que Touniss était couché nu, j’ai enlevé mon pantalon et, nu, je me suis couché, sous le même drap, et en lui tournant le dos. Ressentant la présence de mon corps, et sans se réveiller, Touniss a allongé ses jambes et ses cuisses et les a collé totalement contre moi. Je ressentais ses cuisses sur mes fesses et sa poitrine sur mon dos, mais surtout son zeb contre mon cul. Il était encore mou et je l’ai placé, par la main, entre mes fesses que j’avais écartées. Je désirais le sentir, au moins entre mes fesses. Mais très rapidement, le zeb s’est réveillé tout seul, puis s’est durci et allongé, sans que Touniss ne se réveille. Alors c’est moi qui a enfoncé le zeb, de la main, dans mon cul.
Bien positionné, le zeb s’était durci et allongé encore plus à l’intérieur de mon cul et j’ai commencé quelques vas et viens de ma croupe et mes reins. Le zeb me donnait du plaisir et j’ai continué, alors Touniss s’est réveillé. Il a compris ce qui se passait et m’a aidé dans mes vas et viens, et nous avons continué à niker quelques temps. J’ai eu, certes des jouissances, mais le plaisir n’était pas complet et je voulais qu’il monte sur moi, sur mon dos et qu’il me nique vraiment, mais il a grommelé sans bouger. J’ai insisté mais en vain. Soudain, il a éjaculé dans mon cul, une ou deux éjaculations, précoces comme d’habitude et assez faibles. Je n’ai pas bougé et rapidement, Touniss s’est rendormi ainsi, son zeb en moi, sans se soucier du reste. J’ai essayé de le repousser, me lever et aller me nettoyer, mais j’étais las et fatigué, alors je suis resté ainsi, son zeb en mon fond et son sperme qui me remplissait et coulait un peu entre les fesses. Et, même assez gêné, je me suis endormi.
J’ai du dormir quelques temps, une demi heure peut- être car quant je fus réveillé brutalement, il était 23h et quelques. Quant j’ai ouvert les yeux, c’était mon copain Rachid qui se tenait debout à coté du lit. Touniss dormait encore et comme Rachid a du repoussé le drap, nous étions encore nus, l’un contre l’autre. Son zeb, affaibli était sorti de mon cul et dormait sur mes fesses, pollués de sperme. Je me suis relevé brusquement surprit et affolé. Rachid s’est assis sur un des chaises et regardait la scène en souriant. J’étais gêné comme jamais dans ma vie, et mon visage devait être rouge de honte. Rachid me tendait mon pantalon de pyjama et me désignait le coin de la petite douche. J’ai suivi son ordre et me suis précipité pour me nettoyer. J’ai pris une douche totalement puis j’ai remis mon pantalon et rejoins Rachid. Il avait déjà recouvert le corps de Touniss, toujours endormi, et m’a chuchoté, le doigt sur les lèvres, de ne pas parler et réveiller l’endormi qu’il ne connaissait pas. Puis, toujours souriant, il a reprit ses affaires, laissées sur l’autre chaise puis il décida de partir. Mais au moment ou il sortait et que j’allais refermer à clé ma porte, il a allongé une main vers moi et m’a pelotés légèrement les fesses. Son large sourire m’a bien fait comprendre qu’il désirait, lui aussi, mon cul. Alors, je me suis calmé, comprenant qu’il n’allait pas me sermonner ou me dénoncer.
Sa main sur mes fesses s’étant un peu alourdie, je l’ai prise et poussée encore plus comme mes fesses, pour me peloter encore. Il m’a regardé avec surprise et joie et sa main s’est encore alourdie sur ses caresses. Observant sa braguette, j’ai remarqué la grosse bosse qui gonflait a cause de son zeb qui montrait ainsi son désir. Alors, j’ai envoyé mon autre main vers la braguette, et j’ai empoigné le zeb qui s’allongeait et durcissait à vue d’œil et de sensation. Je savais qu’il avait envie de mon cul, et je me sentais heureux, j’avais moi aussi envie de lui. J’étais maintenant totalement réveillé et mes sensations au cul étaient réelles et affamées car mon cul me démangeait de nouveau, malgré les sodomies de Touniss. Alors, j’ai décidé de profiter de la situation vis-à-vis de mon vieux copain et ami Rachid, de lui faire plaisir à lui et son zeb, et d’avoir encore une nouvelle sodomie car ma Terma semble n’être jamais rassasiée.
Remettant ma veste de mon pyjama, j’ai fouillé dans celle de Touniss et j’ai trouvé sa clé de chambre. Alors, refermant ma porte doucement, j’ai pris la main de Rachid et je l’ai entrainé jusqu’à la chambre de Touniss, plus bas et j’ai ouvert avec sa clé. J’ai allumé et, rapidement, j’ai enlevé mes vêtements et je lui ai dit : « rak déjà choufout teremti et quari ! zebek rah m’waguaff, m’tanane 3’liha ! aya nikou fissa3 fi frach sahbi » (tu as déjà vu ma Terma et mon cul ! ton zeb s’est bandé et gonflé pour elle ! nikons vite sur le lit de mon ami ). Il m’a souri encore et enlevant ses vêtements, il m’a dit « rani ma7rouq 3ala teremtek mine bekri ! zebi m’tanane 3alik ch’7al mine marra ! 7atta goult ennikek bi força ! » (je suis amoureux de ta Terma depuis longtemps ! mon zeb s’était bandé sur toi plusieurs fois ! j’ai même pensé à te niker par force). On s’est enlacé et pelotés nos corps mutuellement et avec passion. On s’est embrassé et mélangé et sucé nos langues avec fougue. Son zeb contre mon ventre me piquait et j’ai constaté qu’il semblait plus gros, plus long et plus dur que celui de Touniss. Alors, on a décidé de niker, d’abord par derrière, pour lui montrer et offrir toute ma croupe et ses trésors. Il m’a caressé un peu ma croupe et mes fesses, alors qu’il les désirait depuis longtemps, elles étaient maintenant devant ses, à portée de ses mains, face à son gros zeb qui se gonflait à lui faire presque mal. Il les caressait largement, enveloppant ses larges mains sur mes fesses.
Puis il découvrit leur long sillon mystérieux et puis mon anus palpitant et mouillé de désir. Il poussa ses mains puis ses doigts sur mon anus, en frottant doucement, au point que l’un de ses doigts me pénétra. Il eu un hurlement et soudain il se pencha sur ma croupe et lui donna ainsi qu’à mon anus fortes et larges baisers et lècheries avec sa langue. Il était hypnotisé de mes larges fesses blanches et douces et ne plus vouloir s’en détacher. Il leur donnait aussi plusieurs baisers et les a léchées longuement sur toutes leurs surfaces. Il semblait en être hypnotisé mais je l’ai réveillé en lui criant « hatli zebek ! haya bina e’nikou ! » (Donnes ton zeb ! on doit niker !). Il s’est secoué et mieux positionné bien derrière moi. Mais j’ai décidé de prendre les choses en mains et d’agir. Alors ma main, par derrière, s’est empoignée de son long zeb, d’abord pour vérifier mes pensées sur son volume. Et effectivement, il semblait bien plus gros que celui de Touniss, et dur et doux à la fois. Bizarrement, en pensant à cela, j’ai reçu un choc de désir et d’adrénaline qui m’ont secoué et une envie folle de le sentir en moi m’a secoué le corps. Alors, j’ai pointé son zeb sur mon anus et poussé un peu. Il est entré comme dans du beurre chauffé car ma terma semblait humide et coulait de désir.
Ressentant la douce chair de mon cul, Rachid poussa un grand hurlement et un long souffle de désir. Alors il poussa lui aussi son zeb qui s’est complètement enfoncé dans mon cul, jusqu’aux couilles. J’ai hurlé de cette nouvelle pénétration en fermant les yeux. Malgré que j’avais accepté facilement qu’il me nike, j’avais un peu honte car c’était un copain d’école et qui m’avait souvent aidé. Mais il me respectait et n’avait jamais eu un geste ou un mot sur ma Terma et ses désirs de me niquer. Moi non plus, je n’avais jamais pensé à une telle chose, le considérant comme un copain et ami plus âgé, je me considérais devenir comme lui dans deux ans d’études. Son zeb a démarré ses vas et viens doucement, mais comme je lui disais que mon cul était déjà très excité, il a foncé et ses coups de reins devinrent vraiment jouissifs. Il haletait et de temps à autre, il approchait sa bouche et on s’embrasait follement. Sa langue s’enfonçait dans ma bouche avec passion comme son gros zeb qui me labourait le cul en long et en large. Bizarrement, cette nikée me semblait plus jouissive et j’avais plus de plaisir qu’avec Touniss. Son zeb m’était plus sympathique, pas seulement parce qu’il était plus gros et plus long, mais j’en avais envie plus qu’avec mon voisin, sans comprendre exactement.
Et ainsi, nous avons niké pendant un long moment. J’avais déjà reçu le zeb de Touniss dans mon cul, mais il me semblait qu’il me violait, en force et profitant de mes désirs cachés qu’il avait bien deviné. Mais avec Rachid, c’était différent. On se désirait tous les deux depuis longtemps, mais je ne le savais pas. Et quant il m’a vu, la croupe et le cul tous nus, ça s’est déclenché dans ma tête et mon corps. La présence de Touniss, tout nu et son sperme bien visible ne semblait pas avoir d’importance pour nous, tous les deux.

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