Terma 119 : Ouvert enfin aux plaisirs de la sodomie (3) :

- Par l'auteur HDS Noura -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Terma 119 : Ouvert enfin aux plaisirs de la sodomie (3) : Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-03-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Terma 119 : Ouvert enfin aux plaisirs de la sodomie (3) :
Maintenant, Rachid était déjà dans les jouissances qui le faisaient hurler de plaisir et il s’accrochait à mes hanches tout en ahanant ses coups de reins et les frictions de son zeb dans mes entrailles. Moi aussi, plusieurs jouissances ont fait couler ma Terma plusieurs fois et à chaque enfoncement de son zeb, je l’ai accompagné par mes hurlements de plaisir. Je ne me maitrisais plus et lui aussi, criait et hurlait parfois en me donnant de grands coups de reins. Il a même, deux ou trois fois, sorti totalement son zeb et restait quelques secondes immobile. Il savait ce qu’il faisait car à chaque fois, le zeb dehors, j’attendais, affamé, la langue pendante et le souffle retenu, j’attendais l’enfoncement suivant, puissant et brutal de son zeb. Et il le faisait exprès, avec intention passionnée, d’un suivant coup de reins agréablement violents, enfonçant son zeb jusqu’aux couilles et d’un seul coup au fin fond de mon cul. Je sentais mon cul s’éclater, et le zeb s’enfonce loin sur mon bas ventre. Je lui appartenais par le sexe à fond, il m’était sympathique et je le désirais lui et son zeb.
J’ai coulé du cul et hurlé plusieurs fois et enfin, il était arrivé à son top. Il ralentit et me le dit « zébi rah oussal ! rani qadi n’tayar ! fi qarek wala barra ? » (Mon zeb est arrivé ! je vais éjaculer ! dans ton cul ou dehors ?). J’étais heureux qu’il me le demande et j’ai hurlé « fi qari ! fi qari !). Et nous avons vécu ensemble cette montée de jouissances et du sperme de ses couilles vers son zeb. Et quant son premier jet m’a bombardé le fond du cul, je l’ai ressenti et vécu complètement. Mon cul s’attendait à recevoir ce sperme mais cette attente puis ces sensations communes ont été une merveilleuse nouveauté que je n’avais jamais eu avec Touniss. Nous hurlions ensemble et il donnait ses coups de reins pendant que moi j’essayais de soulever ma croupe et mon corps vers lui. Ensuite, très rapidement, il y a eu trois autres giclées et jouissances communes et enfin, épuisé, il s’est arrêté en se collant à fond à ma Terma. Nous sommes restés un long moment ainsi, et quant il s’est calmé et retrouvé son souffle, il a sorti son zeb puis il s’est allongé à mon coté.
Son sperme coulait de mon cul et j’étais heureux. Je me suis soulevé un peu et, comme tout à l’heure avec Touniss, j’ai vu son zeb, debout, vertical, encore bandé et gonflé. Alors je n’ai pas pu résister et, à deux mains j’ai empoigné le gros zeb et je l’ai léché, sucé et branlé doucement. Il était dur et chaud et vibrait fébrilement dans mes mains. Constatant que le sperme de mon cul s’était largement écoulé sur mes cuisses et sur le drap, j’avais encore envie de son zeb. Et, comme je l’ai fait avec Touniss, mais cette fois c’était avec un copain, je me suis donné à fond, même un semblant de honte. J’avais accepté totalement son désir longtemps caché, je voulais lui donner le maximum de plaisir. Alors, je me suis positionné sur son bas ventre comme je l’avais fait avec Touniss.
Puis, les cuisses bien écartées, j’ai pointé son zeb sur mon anus et j’ai poussé u peu. Son zeb s’est glissé rapidement et complètement à l’intérieur de mon cul. C’était très agréable et j’en ai éprouvé tellement de jouissances, que je me suis assis totalement sur lui. Il me regardait, presque étonné de cette position, mais cela semblait lui plaire car il m’a souri et lancé un baiser de loin. Ensuite, il a essayé de bouger des reins comme pour aider à mes vas et viens, mais je l’ai arrêté en disant « khalini ana e’nikek, anta wa zebek, bi qari ! tchouf ch’7al 7’louwa ! » (laisses moi faire ! je vais vous niker toi et ton zeb avec mon cul ! tu verras ce sera jouissif !). Et effectivement, j’ai remué mon cul et dansé avec sur son zeb dur et bien enfoncé dans mon fond. Je les ai niké un long moment et à fond, parfois il soufflait fort et même hurlait de plaisirs et il tendait son corps et son zeb vers moi, espérant enfoncer encore mieux son pieu dans mon cul. Moi aussi, je criais et hurlait parfois selon les sensations reçues de mon cul que je balançais à droite et à gauche et souvent en haut et bas, dans des mouvements parfois lascifs, affolants de lenteur et avec douceur comme des sussions de mon cul ou une bouche affamée sur son zeb. Ces sussions faisaient des sifflements et des sons érotiques qui amplifiaient notre excitation et nos jouissances. Pendant cette sodomie, je me suis beaucoup donné, beaucoup plus qu’avec Touniss, peut être parce que j’en avais envie depuis longtemps sans même le savoir. Mais quant le mur de la honte s’était brisé, j’ai su que je désirais ce zeb. Et comme il m’avait avoué qu’il bandait souvent pour ma Terma, elle aussi a du certainement ressentir ce désir dans son fond, mais sans me le faire ressentir dans la tête.
Maintenant, je savais que lorsqu’on était au travail ensemble sur la table, il essayait de se coller au maximum de moi, corps à corps et son zeb devait bander et se gonflait de désir. Il essayait de lancer des signaux à ma Terma qui les recevait, mais moi je n’étais encore prêt, il fallait une occasion ou une étincelle sexuelle. Et ce fut le cas tout à l’heure dans ma chambre quant j’étais debout, nu, devant son zeb qui bandait, sans honte sous sa braguette. Son désir était tel que ma Terma y a répondu et quant mes yeux on vu la dosse de son zeb, le signal était arrivé, enfin, à ma tête. Et nous avons plongé dans les délices et les jouissances de la sodomie. Je continuais ma danse du cul sur son zeb et, enfin, j’ai réussi à réveiller les désirs de ses couilles qui l’ont transmis à son zeb. Il allait éjaculer dans un moment et il m’a avertit, et de la tête, j’ai approuvé. J’ai foncé et forcé les plaisirs de son zeb, et nous avons pu gouter ensemble, toutes les jouissances affolantes, impossible à maitriser jusqu’au moment ou ses jets puissants ont bombardé les fonds de mes entrailles. Nous avons crié et hurlé ces moments délicieux, ensemble, ce qui a amplifié nos jouissances. Je suis resté collé du cul contre son bas ventre, son zeb profondément en moi. Puis, quant les éjaculations se sont calmées, j’étais aussi épuisé que lui que je me suis effondré sur sa poitrine, gardant son zeb dans mon cul. Mais après quelques minutes de repos, je me suis écarté en libérant son zeb. Je pensais, que, comme Touniss, son zeb serait affaibli et couché sur sa cuisse, mais au contraire, il était encore debout, presque vertical et prêt pour d’autres sodomies.
Tout à coup, la porte que j’avais oublié de fermer à clé s’est ouverte et Touniss, en pyjama nous observait avec stupeur et éclata de rire. Il me demanda ses clés, puis exigea qu’on lui libère sa chambre, car lui, il travaille de bonheur, pas comme nous les étudiants qui font la grasse matinée au lit. Alors, levés, nous nous sommes nettoyés légèrement puis rhabillé et enfin, nous avons rejoint ma chambre. Il était passé minuit et j’étais fatigué et mes yeux se fermaient tout seuls, alors j’ai demandé à Rachid s’il voulait qu’on couche ensemble. Il a été plus sage que moi et a préféré prendre ses affaires et partir, me promettant son retour bientôt. Je l’ai écouté à peine et j’ai plongé sur mon lit et je me suis endormi avant même qu’il ne ferme ma porte en partant.
Ce n’est que la sonnerie de 10h de mon portable qui m’a réveillé. Je sentais bien reposée car la soirée d’hier a été formidable, d’abord avec Tounssi, le barman puis avec mon ami Rachid l’étudiant. Sexuellement je suis satisfait, mon cul a tenu le coup et s’est bien adapté aux sodomies et ma Terma se sentant libérée de préjugés anciens a été très sensible aux caresses des deux hommes et en redemande encore plus. Être homosexuel et gay ne semble pas me gêner, au contraire, après ce que j’ai gouté comme plaisirs et jouissances, me faire niquer par mes amis, je le ressentais comme un ajout heureux dans nos relations. J’espérais seulement qu’ils resteront discrets. J’ai trouvé deux croissants encore chauds sur la table de cuisine, je savais que c’était Touniss qui les avait apportés le matin, c’est souvent son habitude entre voisins. J’ai fais du café et du lait et je me suis bien rempli le ventre. Puis je suis parti à l’école, j’avais raté le premier cours mais mon compagnon Josef m’avait fait une copie. Et le reste de la journée, jusqu’à la sortie de 16h a été normal, avec mon lunch à midi dans le restaurant de la cité.
Je dois vous dire quelques mots sur Josef, lui aussi étranger et boursier. Il est très gentil et serviable et nous étions, rapidement, devenus amis à l’école, il s’est toujours assis à coté de moi. Blond, joufflu et même un peu ventru, il avait presque un caractère féminin. Comme il avait une belle Terma ronde et qui tendait son pantalon par derrière, des étudiants de notre cours et même plus âgés ont essayé de le draguer. Il m’avait avoué qu’il en avait envie, mais qu’il avait peur et les a tous refusés. Comme j’avais été gentil avec lui, il s’était approché de moi, mais il ne m’avait jamais fait d’avances. Auparavant, j’ai accepté son rapprochement juste comme un gars gentil et embêté par les autres, mais jamais je n’avais eu de sentiment pour lui malgré cette Terma arrondie qui se balançait quant il marchait et je m’en amusais sans plus. Maintenant que ma Terma a gouté les délices des sodomies, j’étais prêt à l’aider pour dépasser ses frayeurs. C’est pourquoi, j’ai provoqué une invitation chez lui pour cet après midi, après les cours. Il avait un F3 au second étage d’un immeuble assez éloigné de mon quartier. C’était vaste et bien équipé et comme je m’étonnais, il m’a avoué que sa famille, qui louait cette appartement était très riche. D’ailleurs, il recevait, en plus de la bourse d’étude, pas mal d’argent de ses parents, des mandats surtout de sa mère. Il m’a proposé de m'en donner sans hésiter, mais j’ai préféré refuser, pour l’instant.
Ensuite, j’ai fait du café et lui est allé prendre une douche dans la grande salle de bain. Je l’entendais chanter, alors je suis allé voir. Il m’a demandé d’approcher, nous étions copains disait-il. Et je l’ai vu, nu sous la douche et on a rigolé. Il tourna son dos vers moi et, tapant ses grosses, rondes et blondes fesses, il me dit en riant encore plus fort, que beaucoup de nos camarades et même certains profs, avaient envie de sa Terma et lui avaient fait des avances qu’il a toujours refusées, malgré qu’il en ait envie. Son zeb tout blond, était moyen, fin et long, il n’était pas circonscrit comme le mien, et il bandait fort, horizontal. Mon ami était excité sexuellement et se montrait à moi tout nu, sans hésitation et sans honte, je ne savais quoi penser. Il devait avoir des idées et comme je lui souriais en observant sans hésiter, son corps et surtout sa croupe et son zeb, il s’est encouragé. Puis il m’a proposé de me déshabiller et de le rejoindre sous la douche. Ma bite s’était aussi bandée depuis que j’ai vu sa Terma nue, et il l’avait remarqué en désignant la bosse qui montait dans ma braguette. Je ne savais pas s’il en voulait à ma Terma pour son zeb bandé, ou à mon zeb gonflé pour sa Terma dont il m’offrait la vue complètement. Alors, j’ai accepté, les deux solutions m’intéressaient, et rapidement, au salon, j’ai ôté mes vêtements et je l’ai rejoins, tout nu, sous la douche.
J’attendais sa réaction, mais dès qu’il a vu ma bite bandée, gonflée, horizontale, il a éclaté de rire et sa main a plongé dessus pour la saisir. Puis il s’est penché, tournant sa croupe vers moi et a empoigné ma bite pour l’engloutir dans sa bouche. J’ai compris alors, qu’il en voulait à mon zeb pour son cul. C’était une première pour moi, car je n’avais enculé personne, ni femme ni homme, et je ne savais pas quoi faire. Mais j’étais excité et j’ai accepté l’expérience. Il tenait ma bite dure dans ses mains et semblait la soupeser, la tester, puis il l’a léchée de toute sa longueur, et enfin il l’a introduit dans sa bouche pour la sucer, tête et hampe. C’était super agréable et il grognait et ses sussions faisaient des bruits de sussions érotiques. Sa bouche était chaude et douce à la fois et le fait d’engloutir mon zeb me donnait déjà du plaisir dans mon bas ventre et d’agréables sensations. Comme il était assez penché, sa croupe, à coté de moi, était tentante. Blonde, large, ronde, il la remuait comme pour me demander d’agir sur elle. Alors, j’ai d’abord caressé ses fesses longuement, puis je les ai écartées pour voir son anus. Il était légèrement ouvert et rose au milieu de la blancheur immaculée de ses fesses. J’ai poussé un doigt vers son cul, dans son anus.
Bizarrement, mon doigt est entré très facilement dans son cul. J’ai ajouté un second et il s’est glissé aussi avec le premier, avec facilité et l’anus s’est ouvert encore aisément et cela m’a étonné. J’ai retiré mes doigts et regardé son anus qui était maintenant assez ouvert pour me montrer son ouverture bien rouge et sans aucun poil. Moi quant je me palpais les alentours de mon anus, il y a toujours des traces de poils, mais avec Josef, il n’y a rien, c’était net. Il était rouge au milieu de la blondeur des fesses, c’était une merveilleuse Terma, et mon zeb qu’il empoignait et suçait, s’est encore gonflé à me faire presque mal. J’avais une envie folle de plonger mon zeb dans cet anus net et rouge et qui semblait mouillé. Le cul de mon camarade commençait à m’intéresser, et je le supposais, profond et chaud. J’en avais envie, et je l’ai caressé dehors et dedans et Josef dansait encore plus de la croupe, je crois qu’il avait deviné mon étonnement, alors il m’a fait spontanément des aveux.
Si son anus était ouvert, ce n’est pas avec des sodomies par des hommes, mais seulement l’œuvre de ses propres doigts et des bites de plastic qu’il avait acheté et utilisé pour augmenter l’élasticité et l’ouverture de son anus et ensuite s’enculer plusieurs fois et longuement avec. Donc, il se sodomisait tout seul, depuis longtemps avec des bites de différents volumes et couleurs. Depuis longtemps, et certainement à cause des diverses dragues d’hommes qu’il a supporté mais qui lui avaient donné des envies de faire l’expérience. En effet, il avait une forte envie de bites réelles, mais il refusait de se donner, car il avait, non seulement peur d’avoir mal avec des bites réelles, mais surtout des indiscrétions et des rumeurs qu’il ne pouvait se permettre.
Mais avec moi, les relations ont été tellement faciles, aimables et même gentilles qu’il a prit son courage pour me proposer de le sodomiser. Après ces aveux, alors qu’il suçait mon zeb gonflé, et quoique ce fût aussi nouveau pour moi, je n’ai pas hésité. Je l’ai poussé à mieux se positionner, me tournant le dos les cuisses écartées et bien penché, il m’offrait sa belle croupe et son fameux anus rose. Avec une main j’ai pointé mon zeb sur son anus et j’ai poussé. Comme prévu, mon zeb n’a trouvé aucune résistance sérieuse pour ouvrir son anus, j’ai poussé un peu plus et la bite s’est enfoncée dans son cul, jusqu’aux couilles. J’ai pensé aux dites de Touniss et de Rachid quant elles s’enfonçaient dans mon cul et jusqu’aux couilles, et des sensations agréables que cela me donnait. Josef doit ressentir les mêmes agréables et délicieuses sensations de la pénétration. Il souffla fort et hurla à fond son plaisir. Ce fut son vrai dépucelage du cul avec un gros zeb réel, dur et doux à la fois, et il hurlait déjà de jouissances.
Mais pour moi aussi, c’était la première fois que ma bite pénétrait un cul et ce fut aussi excitant qu’agréable et comme son cul était vraiment chaud et profond, ce fut merveilleux et j’ai hurlé comme lui sinon plus, ma jouissance qui faisait vibrer tout mon corps. Mon zeb, qui faisait connaissance de son premier cul, semblait se gonfler et s’allonger encore plus et c’était aussi inédit et délicieux. J’étais en train de sodomiser, de niquer réellement un jeune homme, alors qu’auparavant, je ne pensais qu’aux plaisirs de ma propre Terma. Ainsi, je viens de constater que j’étais, ce qu’on appelle, un mixte, donnant mon cul aux uns et aussi mon zeb aux autres, et en jouir des deux cotés, un homosexuel complet, et cela me donnait des frissons de joie dans le corps et dans ma tête, dans ms fantasques. Mes mains, bien accrochées à ses belles et larges hanches, je me régalais de la vue du merveilleux tableau de sa Terma et de mon zeb qui se mouvait et écartait largement son anus aux couleurs rosâtres. Alors, pensant aux sodomies que j’avais reçues de mes amants, j’ai démarré une longues série de vas et viens de mon zeb dans le cul, profond et doux de mon camarade. J’ai quant même pensé à Rachid et Touniss et à leurs zeb et aux délices qu’ils ont donné à mon cul. Alors je me suis promis d’essayer de faire de même à Josef pour lui faire aimer et désirer les sodomies.
Et pendant plus d’un quart d’heure, je l’ai sodomisé par les vas et viens de mon zeb au fond de sa terma. Et nos plaisirs de novices, étaient communs ainsi que nos halètements et gémissements. Et parfois, par des touches aux endroits sensibles de mon zeb ou par des glissements dans des coins sensibles de son cul, nous hurlions ensemble et les ondes de plaisirs faisaient vibrer ensemble nos corps. Je me tenais, bien crispé sur ses hanches et mes coups de reins claquaient sur ses fesses. Son cul mouillait à fond et cela ajoutait aux plaisirs de mon zeb qui se mouvait dedans, avec des facilités délicieuses, affolantes. Enfin, je suis arrivé au plaisir et ma première éjaculation est explosée en puissance, exquise, délicieuse et puissante que j’ai accompagné d’un puisant coups de reins. C’était la première éjaculation de mon zeb dans un cul réel, chaud et accueillant, ce fut grisant et j’ai hurlé ma victoire. Suivie immédiatement de la seconde et encore de deux autres, toutes abondantes et avec hurlements ensemble. Je crois que je lui ai rempli le cul et aussi ses entrailles et son ventre de mon sperme. Effectivement, c’était ma première dans le cul d’un homme, et quoique inédite, elle était superbement agréable et jouissante. Ensuite, la jeune expérience des sodomies de mon cul, je suis resté collé à sa Terma pour puiser le maximum de plaisirs.
Puis, Josef s’est relevé et mon zeb a quitté son cul. Ce fut superbe, le sperme suintait de son anus, entre ses fesses et coulait sur ses cuisses, et moi, malgré que j’ai éjaculé fortement plusieurs fois, mon zeb était sujet à d’agréables petits vibrations qui accompagnaient l’écoulement de faibles restes de sperme. Alors, il se tourna vers moi, avec un large sourire. Il semblait être très satisfait et content de la sodomie. Alors, me tenant le visage à deux mains, il m’embrassa. C’était un baiser maladroit, mais sincère de sa satisfaction. Il ne semble pas avoir d’expérience dans le genre, d’ailleurs moi non plus, mais il exprimait son bonheur ainsi. C’est moi, quoique aussi tout nouveau dans ce domaine, qui corrigea le baiser, en entourant et suçant sa langue et ses lèvres. Cela, aussi inédit pour lui, déchaina sa passion en m’offrant complètement sa bouche et ses lèvres. Il a même poussé ma main vers son sein et, comprenant son désir, j’ai saisi les deux dans mes mains et je les ai caressés, pelotés, malaxés, torturés, de passion. J’ai sucé leurs boutons et cela le faisait encore hurler de plaisir. Il se collait de nouveau à moi, et j’ai enroulé et caressé ses fesses. Et je l’enlaçais moi aussi, avec passion, poussant mon zeb, quoi affaibli, vers son bas ventre, et son zeb qui était encore dur piquait mon ventre. J’étais presque étourdi de plaisir et je me suis libéré totalement, moi aussi. Nous étions heureux et nos désirs allaient encore se déployer car on se sentait totalement libérés pour faire plaisir à tous nos organes sexuels.
Je savais que tout cela était tout nouveau pour lui, mais les sodomies c’était aussi tout nouveau pour moi. Alors je n’ai pas hésité, et me penchant comme il l’avait fait pour moi tout à l’heure, j’ai empoigné son zeb et j’ai fais ce qu’il fallait. Je l’ai saisi fortement et tout en le branlant, il était long, mince mais dur, je l’ai léché de tout son long, je l’ai englouti et sucé en profondeur. Il était certes plus petit que ceux de Rachid et Touniss, mais il était agréable et, tout rose et surtout, jeune, chaud et follement excitant. J’en avais envie, tout simplement. J’ai vu que Josef était étonné de mon action, et il ne savait pas quoi penser ni faire. Il m’avait donné sa terma pour mon zeb, mais il voulait seulement branler lui-même le sien. Toujours suçant sa bite, j’ai saisi une de ses mains et je l’ai dirigée sur mes fesses et je l’ai poussée à me caresser. C’est alors seulement qu’il a comprit que je voulais, moi aussi, faire plaisir à ma terma et avoir son zeb dans mon cul.

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