Terma 23 : Au ciné avec Said l’ami de ammi Ali :
Récit érotique écrit par Noura [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-12-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Terma 23 : Au ciné avec Said l’ami de ammi Ali :
Terma 23 : Au ciné avec Said l’ami de ammi Ali :J’ai trouvé l’histoire de Mahdi bandante, alors je lui ai demandé de me conter la suite de ses débuts. Il m’a dit qu’il avait progressé très vite dans la passion pour la sodomie : « Teremti walfat fissa3 bi zbouba » (ma terma s’est vite habituée aux zobs). Voila ce qu’il m’a avoué :Après mon dépucelage et mes sodomies par le gros zob de ammi Ali, j’ai immédiatement gouté à ce plaisir sexuel. Alors, pendant les trois soirées suivantes, mon compagnon m’a sodomisé plusieurs fois, deux séances chaque nuit avant de nous coucher et une troisième le matin, vers 6h, avant de nous lever pour le chantier. Il me disait « ya oulaydi ! teremtek ajdida ch’7al h’louwa ! skhouna wa m’la7ma ! zébi h’bal 3liha ! » ( fiston ! ta terma vierge est si douce ! chaude et charnue ! mon zob est fou d’elle !).
Et moi, lui exprimant ma soumission au plaisir : « ya ammi Ali, zébek a3jabni ! ki youd’khoul fi qari, e’n’hiss lahlawa dakhal teremti ! » (ammi Ali, ton zob me plait ! quant il rentre dans mon cul, je sens du plaisir à l’intérieur de ma terma ! ). Et j’ajoutais pour l’encourager : « saha zid kima tabgui ! zebek akh’chine wa m’tine ki louted ! nach’tih ki youd khoul ! » (s’il te plait, continues comme tu le désire ! ton gros zob est dur comme un pieu ! je l’aime quant il s’enfonce !).
Alors, il m’a défoncé le cul comme j’ai aimé l’être. J’ai été enchanté de cette première expérience. J’avais lu, dans les livres que c’était difficile et douloureux. Mais, moi, j’ai trouvé que même les quelques douleurs me procuraient du plaisir et j’en redemandais. Quant le zob quittait mon cul, je ressentais comme un manque de jouissance, presque une douleur sexuelle. Je voulais que ce gros zob reste toute la nuit à l’intérieur de ma terma. Dormir et rêver avec ce zob dans mes entrailles, c’est un plus de jouissances toute la nuit. Hélas, ammi Ali, dès qu’il a assouvi sa deuxième sodomie, s’endormait rapidement et je devais attendre l’aube pour gouter, peut-être une autre partie de plaisir.
Le quatrième jour était un samedi, début de week end, mais ammi Ali, maçon, travaille comme les autres jours de la semaine. Parfois, même le dimanche matin, il fait des heures sup ou remplace un collègue car le chantier ne s’arrête jamais. Moi, par contre, j’ai congé le week end à cause de mon poste de travail. Donc, ce matin, après avoir pris son petit déjeuner que j’avais réchauffé, ammi Ali est parti au travail et moi, en pyjama, j’ai préféré faire un peu la grâce matinée. Vers 8h, alors que je me prélassais au lit, un peu déçu de ne pas avoir eu, ce matin, ma dose de sodomie et que ma terma était toute moite de désir inassouvi, on toqua à la porte.
Je me suis levé tel quel et ouvert la porte. C’était Said, un ami de ammi Ali qui m’avait été présenté une fois. C’était presque une photocopie physique de ammi Ali, mais il était un peu instruit et travaillait comme factotum au bureau, donc il bénéficiait aussi du week end. Je lui ai rappelé que ammi Ali était au boulot, mais il m’a dit que c’était de moi qu’il avait besoin. Il a insisté et j’ai pensé qu’il voulait que je lui écrive une lettre aux siens, alors j’ai du le laisser entrer. J’étais gêné à cause de mon pyjama serré sur mon derrière et de ma terma échaudée qui me taquinait.
Je me suis assis sur le lit pour lui laisser la chaise mais Said est resté debout devant moi dans une attitude presque arrogante. Et, sans crier gare, il m’a avoué : « asma3 ya oulaydi ! rani 3araf wach rakoum e’dirou enta wa Ali koul layla! » (écoutes fiston ! je sais ce que vous faites, toi et Ali chaque nuit!). J’étais choqué et je me suis relevé avec violence pour lui demander de sortir tout de suite.
Mais il m’a retenu avec ses bras puissants et a continué : « sa7bi Ali rah gali koulou chay ! bili g’3arlek qarak ! wa e’nik fik koul layla ! wa teremtek h’louwa ! » ( mon ami Ali m’a tout dit ! qu’il t’a ouvert le cul ! et qu’il te nike chaque nuit ! et que ta terma est douce !). J’avoue que ses paroles m’ont beaucoup plus excité que fâché, mais je voulais protester.
Avant même que je ne réponde, il ajouta « ya habibi ! e’nikak ! e’t7ab wala lala ! e’nikak ana thani ! chouf zébi ! ekh’chine wa m’tanane 3alek ! kheir mine n’ta3 Ali ! » ( ya mon ami ! je vais te niker ! tu veux ou tu veux pas ! je vais te niker moi aussi ! regardes mon zob ! épais ! gonflé pour toi ! meilleur que celui de Ali !). Et sans crier gare, il sortit son zob bandé et le pointa vers moi.
J’ai été effrayé et par son attitude violente et par sa carrure. Son zob bandé me narguait, alors j’ai essayé de le raisonner « ya si Said ! raq ghalat ! 3ammi Ali sadiqi faqat ! » ( si Said ! tu te trompes ! ammi Ali est seulement mon ami !). Alors, il m’a assommé avec la dernière vérité : « Ali gali rak tachti e’neyk ! 3ala hadha rah e’zid inikak e’sba7 thani ! chich warini teremtek ! raha maza lat miliana zana ! sah wala lala ! » (Ali m’a avoué que tu aimes la sodomie ! c’est pourquoi il te nike aussi le matin ! chiche ! montres moi ta terma ! elle doit être encore rempli de son sperme !). Pour ce matin, Said s’est trompé, ma terma est vide de sperme, mais pour le reste il avait raison, elle etait chaude et mouillée de désir.
Puis, il a secoué son zob en me regardant avec envie. Que pouvais faire puisque ammi Ali a vendu la mèche à son meilleur ami. Il doit donc accepter que son ami me sodomise aussi. Et puis, en observant son zob, je commençais à en avoir envie. Ma terma s’est excitée encore plus et me chatouillait. Elle m’ordonnait de la laisser se faire plaisir avec ce nouveau zob assez épais, bien gonflé et tendu affamé de désir sexuel. Comme je restais hésitant, debout devant Said et son zob provocateur, il prit l’initiative en faisant glisser, sans que je réagisse, mon pyjama sur mes jambes.
J’étais nu devant lui, sans réaction. Alors, il m’obligea et m’aida à me retourner pour lui offrir ma belle terma blanche et charnue. Il s’exclama « ya zébi ! 3a’ndou e’z’har Ali ! e’chba3 mine hadhi terma lam’cha7ma ! » ( mon zob ! il a de la chance Ali ! il s’est rassasié de cette terma charnue !). Il me pelota les fesses et les hanches un moment puis poussa ses doigts dans le sillon de mon anus.
Ses doigts glissèrent avec facilité, alors il me dit : « ya zébi ! teremtek raha s’khouna ! ta3rag bi e’chahoua ! » ( mon zob ! ta terma est chaude ! elle sue de désir !). J’étais, en quelques secondes, totalement soumis à ses caresses ! Ma terma, mouillée de désir ce matin et sevrée, cette occasion ne peut être que la marque du destin. Ma terma a de la chance ou de la sorcellerie !
Je ne pouvais qu’obéir et être content, très content. J’abandonne : « ya Si Said ! hahi layk teremti ! hatli zebek ! n’dhougou e7’laoutou wa m’ta’ntou! » ( Si Said ! voici ma terma pour toi ! donnes moi ton zob ! on va gouter sa douceur et sa puissance !). Il m’empoigna les hanches avec violence et ricana « e’nikek ! e’nikek ! ya terma elbaydha ! » (je vais te niker ! je vais te niker ! blanche terma !).
Et moi, déjà conquis par l’excitation et le désir : « aroua7 ! nikni fi srir ammi Ali ! e’chah fih ! » ( viens ! nikes moi sur le lit de ammi Ali ! tant pis pour lui !). Il se débarrassa de ses vêtements et moi, j’ai ôté totalement mon pyjama puis nous avons plongé sur le lit. La poitrine sur le matelas, la terma bien soulevée, les cuisses et les jambes largement ouvertes, je lui offrais mon cul. Said était affamé car, il me doigta brièvement le cul, puis, sans préparation, plongea son zob directement dans mon anus.
Heureusement que ma terma suait de désir auparavant car ce rush violent, cette saillie animale m’aurait déchiré le cul. Son zob glissa avec délices à l’intérieur de ma terma jusqu’au fond. Mais, au passage, j’ai bien senti qu’il était plus large, plus épais que celui de Ali car il frottait bien mes entrailles en s’enfonçant.
Ensuite, il commença sa danse de vas et viens en s’agrippant à mes hanches. « ya zébi ! teremtek malssa ! h’loua wa skhouna ! » ( zébi ! ta terma est lisse ! douce et chaude !). Et moi, je lui avouais avec franchise : « anta thani ! zebek ekh’chine ! a3’ridh ! i’7oukli zayne fi qari ! » ( toi aussi ! ton zob est épais ! large ! il me frotte bien les entrailles de mon cul !). Et j’ajoutais, sincèrement : « nikni ! nik e’terma el’kahba ! raha maftou7a e’tariq ! » ( nikes moi ! nikes ma terma putain ! la voie est ouverte !). Et il me pilonna une vingtaine de fois avec rage en soufflant et moi, après un moment de répit, je rentrais totalement dans les jouissances de la sodomie. Mes gémissements de plaisir devenaient de plus en plus accélérés et rauques au rythme de ses «han» de rushs bruyants.
Enfin, Said, dans une crispation de tout son corps, projeta ses jets de sperme chaud dans mes entrailles en criant sa victoire « ya zébi ! ech’7aal anayka 7arra ! teremtek bourkane ya sahbi ! » (zébi ! comme cette nayka est brulante ! ta terma est un volcan ô mon ami !). Son sperme me remplissait les entrailles et ma terma débordait de part et d’autre. Ensuite, Said sortit son zob de mon cul et se glissa sur le lit, exténué. Moi, je suis resté un moment pour mieux gouter les frissons qui continuaient à me secouer tout le corps et les chatouillements du sperme de Said dans mon cul.
Puis, je me suis levé pour aller au coin toilettes où je me suis vidé du sperme et nettoyé, puis je suis revenu, encore tout nu vers le lit. Said était toujours couché sur le dos et son zob avait légèrement fléchi sur ses cuisses. Il était long et beau, surtout avec ses poils de pubis très fourni. Je frissonnais et le désir remontait dans ma terma. C’est normal, à cause de la violence de cette sodomie, ma terma n'était pas totalement satisfaite. Alors, j’ai empoigné le gros zob de Said pour le branler, le lécher et le sucer avec douceur. Il commençait à reprendre sa vigueur, et j’ai appuyé mes sussions et ma masturbation et après quelques minutes il est redevenu aussi dur qu’avant. Alors, je me suis accroupi sur la poitrine de Said et tenant son zob par la main, je l’ai enfoncé dans ma terma.
Assis et bien enfoncé sur le zob de Said, je me suis branlé la terma doucement en oscillant du derrière et des fesses. Grâce à mes mouvements du cul, parfois accélérés, parfois lents et appuyés, me soulevant avec douceurs et m’enfonçant en force sur ce gros zob, j’ai réussi à obtenir rapidement du plaisir et beaucoup de jouissances. Said me regardait avec des crispations de plaisir de tout son corps.
Il a réussi à m’avouer : « zébi ! gali Ali rak tachti e’neyk ! bassa7 teremtek ma tach ba3ach ! teremtek qahba li z’bouba ! « ( zébi ! Ali m’a dit que tu aimes le neyk ! mais ta terma n’est jamais rassasiée ! ta terma est une putain pour zobs !). Et moi, tout en haletant de plaisirs : « ahdar ! Bassah khali zebek e’nikni bi al’qouwa ! » ( discutes ! mais laisses ton zob me niker avec force !).
Et j’ai dansé sur ce zob pendant un long moment jusqu’à ce que Said perde sa passivité et son sang froid et recommence à souffler et haleter avec passion. Il me tenait par la taille mais moi je dansais à ma guise sur son zob. Enfin, il éclata et éjacula une seconde fois, avec autant de puissance et de volume que la première. C’était chaud et abondant, et, étourdi de plaisirs, je me suis couché sur sa poitrine velue. Un long moment de plaisir commun et son zob était resté en grande partie plongé dans mon cul, laissant le sperme suinter sur mes fesses et les cuisses de Said.
Ensuite, on s’est levé pour se laver et se nettoyer. Il m’a avoué qu’il était très content car au début, il n’avait pas autant d’espoir que j’accepte de me faire sodomiser. Mais dès qu’il m’avait vu en pyjama serré sur mon cul et qu’il avait humé mon odeur, il avait bandé férocement et savait qu’il allait me niquer coute que coute, me violer si nécessaire. Je lui ai demandé si je devais avouer notre relation à Ali mais il m’en a dissuadé car il savait que Ali était très jaloux et aussi violent que lui et que ma terma devait rester disponible pour les deux hommes, mais en cachette.
Ensuite, il m’a invité en ville, au cinéma. J’ai mis, juste mon jogging léger, et par-dessus mon tricot, une veste à cause des poches pour les papiers et l’argent et nous somme partis en ville, par le bus. Après une longue promenade un peu partout et un casse croute consistant qu’il m’avait offert, nous sommes allé au cinéma. Malgré mes protestations, car je voulais un film de guerre, Said a décidé de nous offrir un ciné porno et on y est allé rapidement.
Dans le noir de la salle, Said m’a guidé vers le milieu d’une rangée, apparemment vide. A l’écran, il y avait deux hommes et une femme. Un homme, en sandwich, baisait la femme en levrette pendant que l’autre homme, debout, le sodomisait avec vigueur. Soudain, Said sortit son zob et commença à se masturber et m’a demandé d’en faire autant. J’ai refusé, alors il m’a pris la tête et m’a baissé sur son zob. J’ai commencé à le branler et à la sucer doucement.
Les images et même les gémissements et cris de plaisir à l’écran m’excitaient et des frémissements commençaient à me chatouiller le bas ventre et la terma. J’ai enlevé totalement le pantalon et le slip de Said pour mieux le branler et le sucer. Trois minutes ont suffi pour que son zob devienne dur et gonflé et j’en avais envie car mon cul suintait de désir, donc j’ai pris l’initiative de la sodomie.
Alors, j’ai aussi glissé mon jogging sur mes jambes et, nu sous la ceinture, je me suis déplacé pour assoir mon cul sur les cuisses de Said. Je sentais bien son gros zob gonflé et dur comme un pieu sur mes fesses et contre mon anus. Said s’est penché en arrière pour que je puisse mieux m’assoir sur la chair de ses cuisses et sur son zob. J’ai bougé légèrement, et immédiatement la grosse bite de Said s’est glissée dans ma terma, jusqu’au fond, jusqu’aux couilles. C’était merveilleusement agréable.
Said m’a murmuré « ma t’khafach ! rahoum e’nass ga3 inikou fi cinima ! kima 7’na ! » (ne crains rien ! les gens sont aussi en train de baiser dans le cinéma ! comme nous !). Et moi, penché sur le siège avant, le souffle affolé et en chuchotant « e’neika fi cinima a7la mine e’dar ! » (la neika dans le ciné est meilleure que dans la maison !). J’ai continué à remuer et à branler son zob avec ma terma tout en lui faisant aussi des roulis pour bien frotter. C’était formidable et très excitant. J’ai fermé les yeux pour mieux gouter cette sodomie publique. Et enfin, j’ai senti son éjaculation dans mes entrailles et cela m’a donné tellement de jouissance que j’ai crié sans me rendre compte.
En ouvrant les yeux, surprise, il y avait un homme assis à coté de moi, à ma place, qui se branlait en nous observant. Said m’a dit que ce n’était pas grave et que ça arrive souvent ce genre de chose. L’homme a continué à se branler et on l’a laissé faire. J’étais toujours penché en avant, le derrière découvert. L’homme observait mes fesses et mon cul et le zob de Said planté dans ma terma.
De sa main libre, et avec un peu d’hésitation, il m’a caressé les fesses jusqu’au zob de Said et soudain il a éjaculé sur le dossier du siège devant nous. Puis il est parti sans un mot. Je me suis levé du zob de Said pour rejoindre mon fauteuil. Mais avant de m’assoir, alors que le sperme suintait de mon cul, deux mains m’ont attrapé les hanches par derrière. Je me suis retourné avec surprise et j’ai vu un autre homme derrière nos fauteuils qui me tenait le cul et il m’a fait signe de rester debout.
Puis il a enjambé le fauteuil pour se mettre au niveau de mon siège. J’étais maintenant, debout et nu du derrière devant lui. Said nous regardait mais il n’a rien fait et rien dit. L’homme, qui tenait toujours ma hanche nue avec une main, a sorti son zob avec son autre main et, sans un mot, il m’a donné quelques tapes avec sa bite sur les fesses et sur le sillon de l’anus largement ouvert et humide de sperme. C’était un long zob, pas très gros mais très long et ses frappes m’ont excité.
J’avais un peu peur, surtout que Said restait sans bouger, mais je me suis laissé faire. Penché sur le fauteuil de devant j’ai même gonflé un peu plus mon derrière pour mieux recevoir ce nouveau zob qui pénétrait avec aisance dans mon cul grâce au sperme de Said. L’homme a commencé ses vas et viens en ahanant avec force. Son long zob pénétrait plus profondément que ammi Ali et Said. Son zob a touché des zones nouvelles de ma terma et ça m’a donné des sensations nouvelles et plus de plaisir. J’ai tourné la tête pour lui dire en arabe « zid ! zid douk zebek fi qari ! nikni bi zaf » (continues ! continues de pousser ton zob dans mon cul ! encules moi avec force !). J’étais fâché de l’attitude de Said et même de ammi Ali, alors j’ouvre mon cul à ce zob anonyme !
Surprise, l’homme m’a soufflé, lui aussi en arabe « sakri foumok ya qahba ! khali zébi yag 3arlak teremtek ! » (fermes ta gueule putain ! laisses mon zob te défoncer ta terma !). Je vous avoue que cette sodomie m’a plu encore plus que la précédente, celle de Said. Un inconnu qui me sodomisait avec force, et en public, c’est comme un viol et ça m’excitait. Déjà, j’aurais souhaité avoir sucé le zob de l’autre homme qui est parti sans rien dire, dommage. Je faisais cela en punition contre ammi Said qui m’a presque vendu à son ami et contre Said qui est resté impassible devant ces agressions.
Enfin, l’homme éjacula son sperme dans celui de Said et, rapidement, enjambant le fauteuil, il est parti en me disant « terma s’khouna ! bessa7 malssa yasser ! » (terma chaude ! mais trop lisse !). Mais ma terma est bonne, c’est le sperme de Said qui l’a rendue lisse. Je me suis accroupi entre les fauteuils pour vider mon cul de leur sperme puis je me suis succinctement nettoyé avec mon mouchoir et repris ma place sur le fauteuil.
J’ai enguelé Said « 3alah khalaytou e’nikni ! » (pourquoi tu l’a laissé me sodomiser !). Et Said « rani 3araf teremtek tachti hadha ! ma tach ba3ach bi neyk ! » ( je savais que ta terma aimait cela ! elle n’est jamais rassasié de la sodomie !). J’étais fâché, alors je me suis levé et je suis allé m’installer trois ou quatre rangs plus loin.
Dès que j’ai pris place, un autre homme s’est assis à coté de moi et m’a pris la main pour la placer sur son zob qu’il avait sorti. Que pouvais-je encore faire ! Il avait un beau et gros zob déjà bien gonflé. Je l’ai branlé puis sucé et quant il m’a poussé pour m’assoir sur ses genoux, sur son zob, j’ai baissé mon jogging. Et, me déplaçant en douceur, je me suis assis sur lui et j’ai enfoncé son zob dans ma terma. Penché en avant, je l’ai laissé me sodomiser à sa guise, mais je lui ai dis en français « attention ! n’éjacules pas dans mon cul mais dehors ! » et il m’a répondu, en arabe ! « ma t’khafach ! nikak faqat ! natlag 3ala teremtek mine barra faqat ! » ( ne crains rien ! je te nike c’est tout ! j’éjaculerais sur ta terma en extérieur seulement !). Je l’ai laissé faire. Son zob glissait facilement à cause des restes de sperme.
Cinq minutes plus ou moins lui ont suffi. J’ai senti son zob qui gonflait encore et je l’ai repoussé. Il a sorti son zob, s’est branlé une ou deux fois et éjacula sur mes fesses. Je me suis essuyé, remonté mon jogging et je me suis assis pour me reposer. Elles m’avaient vraiment fatigué, ces sodomies en série, sans souffler. Le gars, parti, je suis enfin resté seul.
Mais je sentais que mes fesses et cuisses, et même mon cul n’étaient pas bien essuyés. Alors, je me levé et jetant un œil aux alentours, j’ai repéré la porte « exit » pour aller aux toilettes. J’y sui allé. A l’intérieur, deux couples baisaient sans se gêner et même les bruits dans deux cabines prouvaient que d’autres se faisaient plaisir à l’intérieur.
Je suis entré dans une cabine et fermé le loquet. Puis, je me suis bien vidé le cul puis nettoyé à l’eau et essuyé au mieux les fesses et les cuisses. Je me sentais ainsi nettement plus propre et à l’aise. En sortant de la cabine, un jeune arabe s’est présenté à moi, face à face, en tenant son zob à la main. Il me regardait et m’offrait son zob, alors je lui ai dis « na3 tik e’t nikni idha ta3 tini teremtek ! aya ! » (je te laisse me niker si tu me donnes ta terma ! allez viens !). Il m’a regardé avec deception puis il s’est retourné et m’a laissé tranquille.
Je suis retourné à la salle et rejoins Said. Il était resté à sa place comme si de rien n’était. Je l’ai apostrophé avec un semblant de colère : « kifah ! ma rou7 touch ! » (comment ! tu n’est pas parti !). et lui, en ricanant : « lala ! kounout 3araf ! trouh t’nik ! teremtek takoul fik ! wa tarja3 li ! » ( non ! je savais ! tu iras niker ! ta terma te démanges ! puis tu reviendra vers moi !). Je me suis assis mais il me poussa en disant « aya oulaydi ! e’n’rou7ou ! rah la7ag eleil ! » ( viens mon fils ! on s’en va ! il commence à faire nuit !).
On a quitté le cinéma et effectivement il commençait à faite sombre et je dois retourner au baraquement pour faire notre diner à moi et ammi Ali. Et dire que je vais aussi subir les deux assauts de ammi Ali cette nuit ! Ma terma aura passé une journée spéciale !
Et demain dimanche, je suis libre. Donc, le matin, ma terma me dictera le programme de la journée. Mais je savais que j’irais en ville, avec ou sans Said, et aux cine porno pour pêcher le maximum de zobs affamés. A cette pensée, ma terma recommença à me chatouiller, la putain et mon ventre se creuse de désir. Vivement demain, j’étais devenu l’esclave de ma terma en si peu de temps !
Ainsi me racontait mon ami Mahdi, ses débuts sexuels. En l’écoutant, j’avais compris pourquoi il était devenu, par la suite, dans notre petite communauté, notre champion de la sodomie. Il m’a avoué que sa terma s’est emballé encore plus lorsqu’elle a gouté des zobs blacks. Ce fut une autre aventure inédite que Mahdi m’a contée et que je vous livrerais, peut-être, une autre fois.
Et moi, lui exprimant ma soumission au plaisir : « ya ammi Ali, zébek a3jabni ! ki youd’khoul fi qari, e’n’hiss lahlawa dakhal teremti ! » (ammi Ali, ton zob me plait ! quant il rentre dans mon cul, je sens du plaisir à l’intérieur de ma terma ! ). Et j’ajoutais pour l’encourager : « saha zid kima tabgui ! zebek akh’chine wa m’tine ki louted ! nach’tih ki youd khoul ! » (s’il te plait, continues comme tu le désire ! ton gros zob est dur comme un pieu ! je l’aime quant il s’enfonce !).
Alors, il m’a défoncé le cul comme j’ai aimé l’être. J’ai été enchanté de cette première expérience. J’avais lu, dans les livres que c’était difficile et douloureux. Mais, moi, j’ai trouvé que même les quelques douleurs me procuraient du plaisir et j’en redemandais. Quant le zob quittait mon cul, je ressentais comme un manque de jouissance, presque une douleur sexuelle. Je voulais que ce gros zob reste toute la nuit à l’intérieur de ma terma. Dormir et rêver avec ce zob dans mes entrailles, c’est un plus de jouissances toute la nuit. Hélas, ammi Ali, dès qu’il a assouvi sa deuxième sodomie, s’endormait rapidement et je devais attendre l’aube pour gouter, peut-être une autre partie de plaisir.
Le quatrième jour était un samedi, début de week end, mais ammi Ali, maçon, travaille comme les autres jours de la semaine. Parfois, même le dimanche matin, il fait des heures sup ou remplace un collègue car le chantier ne s’arrête jamais. Moi, par contre, j’ai congé le week end à cause de mon poste de travail. Donc, ce matin, après avoir pris son petit déjeuner que j’avais réchauffé, ammi Ali est parti au travail et moi, en pyjama, j’ai préféré faire un peu la grâce matinée. Vers 8h, alors que je me prélassais au lit, un peu déçu de ne pas avoir eu, ce matin, ma dose de sodomie et que ma terma était toute moite de désir inassouvi, on toqua à la porte.
Je me suis levé tel quel et ouvert la porte. C’était Said, un ami de ammi Ali qui m’avait été présenté une fois. C’était presque une photocopie physique de ammi Ali, mais il était un peu instruit et travaillait comme factotum au bureau, donc il bénéficiait aussi du week end. Je lui ai rappelé que ammi Ali était au boulot, mais il m’a dit que c’était de moi qu’il avait besoin. Il a insisté et j’ai pensé qu’il voulait que je lui écrive une lettre aux siens, alors j’ai du le laisser entrer. J’étais gêné à cause de mon pyjama serré sur mon derrière et de ma terma échaudée qui me taquinait.
Je me suis assis sur le lit pour lui laisser la chaise mais Said est resté debout devant moi dans une attitude presque arrogante. Et, sans crier gare, il m’a avoué : « asma3 ya oulaydi ! rani 3araf wach rakoum e’dirou enta wa Ali koul layla! » (écoutes fiston ! je sais ce que vous faites, toi et Ali chaque nuit!). J’étais choqué et je me suis relevé avec violence pour lui demander de sortir tout de suite.
Mais il m’a retenu avec ses bras puissants et a continué : « sa7bi Ali rah gali koulou chay ! bili g’3arlek qarak ! wa e’nik fik koul layla ! wa teremtek h’louwa ! » ( mon ami Ali m’a tout dit ! qu’il t’a ouvert le cul ! et qu’il te nike chaque nuit ! et que ta terma est douce !). J’avoue que ses paroles m’ont beaucoup plus excité que fâché, mais je voulais protester.
Avant même que je ne réponde, il ajouta « ya habibi ! e’nikak ! e’t7ab wala lala ! e’nikak ana thani ! chouf zébi ! ekh’chine wa m’tanane 3alek ! kheir mine n’ta3 Ali ! » ( ya mon ami ! je vais te niker ! tu veux ou tu veux pas ! je vais te niker moi aussi ! regardes mon zob ! épais ! gonflé pour toi ! meilleur que celui de Ali !). Et sans crier gare, il sortit son zob bandé et le pointa vers moi.
J’ai été effrayé et par son attitude violente et par sa carrure. Son zob bandé me narguait, alors j’ai essayé de le raisonner « ya si Said ! raq ghalat ! 3ammi Ali sadiqi faqat ! » ( si Said ! tu te trompes ! ammi Ali est seulement mon ami !). Alors, il m’a assommé avec la dernière vérité : « Ali gali rak tachti e’neyk ! 3ala hadha rah e’zid inikak e’sba7 thani ! chich warini teremtek ! raha maza lat miliana zana ! sah wala lala ! » (Ali m’a avoué que tu aimes la sodomie ! c’est pourquoi il te nike aussi le matin ! chiche ! montres moi ta terma ! elle doit être encore rempli de son sperme !). Pour ce matin, Said s’est trompé, ma terma est vide de sperme, mais pour le reste il avait raison, elle etait chaude et mouillée de désir.
Puis, il a secoué son zob en me regardant avec envie. Que pouvais faire puisque ammi Ali a vendu la mèche à son meilleur ami. Il doit donc accepter que son ami me sodomise aussi. Et puis, en observant son zob, je commençais à en avoir envie. Ma terma s’est excitée encore plus et me chatouillait. Elle m’ordonnait de la laisser se faire plaisir avec ce nouveau zob assez épais, bien gonflé et tendu affamé de désir sexuel. Comme je restais hésitant, debout devant Said et son zob provocateur, il prit l’initiative en faisant glisser, sans que je réagisse, mon pyjama sur mes jambes.
J’étais nu devant lui, sans réaction. Alors, il m’obligea et m’aida à me retourner pour lui offrir ma belle terma blanche et charnue. Il s’exclama « ya zébi ! 3a’ndou e’z’har Ali ! e’chba3 mine hadhi terma lam’cha7ma ! » ( mon zob ! il a de la chance Ali ! il s’est rassasié de cette terma charnue !). Il me pelota les fesses et les hanches un moment puis poussa ses doigts dans le sillon de mon anus.
Ses doigts glissèrent avec facilité, alors il me dit : « ya zébi ! teremtek raha s’khouna ! ta3rag bi e’chahoua ! » ( mon zob ! ta terma est chaude ! elle sue de désir !). J’étais, en quelques secondes, totalement soumis à ses caresses ! Ma terma, mouillée de désir ce matin et sevrée, cette occasion ne peut être que la marque du destin. Ma terma a de la chance ou de la sorcellerie !
Je ne pouvais qu’obéir et être content, très content. J’abandonne : « ya Si Said ! hahi layk teremti ! hatli zebek ! n’dhougou e7’laoutou wa m’ta’ntou! » ( Si Said ! voici ma terma pour toi ! donnes moi ton zob ! on va gouter sa douceur et sa puissance !). Il m’empoigna les hanches avec violence et ricana « e’nikek ! e’nikek ! ya terma elbaydha ! » (je vais te niker ! je vais te niker ! blanche terma !).
Et moi, déjà conquis par l’excitation et le désir : « aroua7 ! nikni fi srir ammi Ali ! e’chah fih ! » ( viens ! nikes moi sur le lit de ammi Ali ! tant pis pour lui !). Il se débarrassa de ses vêtements et moi, j’ai ôté totalement mon pyjama puis nous avons plongé sur le lit. La poitrine sur le matelas, la terma bien soulevée, les cuisses et les jambes largement ouvertes, je lui offrais mon cul. Said était affamé car, il me doigta brièvement le cul, puis, sans préparation, plongea son zob directement dans mon anus.
Heureusement que ma terma suait de désir auparavant car ce rush violent, cette saillie animale m’aurait déchiré le cul. Son zob glissa avec délices à l’intérieur de ma terma jusqu’au fond. Mais, au passage, j’ai bien senti qu’il était plus large, plus épais que celui de Ali car il frottait bien mes entrailles en s’enfonçant.
Ensuite, il commença sa danse de vas et viens en s’agrippant à mes hanches. « ya zébi ! teremtek malssa ! h’loua wa skhouna ! » ( zébi ! ta terma est lisse ! douce et chaude !). Et moi, je lui avouais avec franchise : « anta thani ! zebek ekh’chine ! a3’ridh ! i’7oukli zayne fi qari ! » ( toi aussi ! ton zob est épais ! large ! il me frotte bien les entrailles de mon cul !). Et j’ajoutais, sincèrement : « nikni ! nik e’terma el’kahba ! raha maftou7a e’tariq ! » ( nikes moi ! nikes ma terma putain ! la voie est ouverte !). Et il me pilonna une vingtaine de fois avec rage en soufflant et moi, après un moment de répit, je rentrais totalement dans les jouissances de la sodomie. Mes gémissements de plaisir devenaient de plus en plus accélérés et rauques au rythme de ses «han» de rushs bruyants.
Enfin, Said, dans une crispation de tout son corps, projeta ses jets de sperme chaud dans mes entrailles en criant sa victoire « ya zébi ! ech’7aal anayka 7arra ! teremtek bourkane ya sahbi ! » (zébi ! comme cette nayka est brulante ! ta terma est un volcan ô mon ami !). Son sperme me remplissait les entrailles et ma terma débordait de part et d’autre. Ensuite, Said sortit son zob de mon cul et se glissa sur le lit, exténué. Moi, je suis resté un moment pour mieux gouter les frissons qui continuaient à me secouer tout le corps et les chatouillements du sperme de Said dans mon cul.
Puis, je me suis levé pour aller au coin toilettes où je me suis vidé du sperme et nettoyé, puis je suis revenu, encore tout nu vers le lit. Said était toujours couché sur le dos et son zob avait légèrement fléchi sur ses cuisses. Il était long et beau, surtout avec ses poils de pubis très fourni. Je frissonnais et le désir remontait dans ma terma. C’est normal, à cause de la violence de cette sodomie, ma terma n'était pas totalement satisfaite. Alors, j’ai empoigné le gros zob de Said pour le branler, le lécher et le sucer avec douceur. Il commençait à reprendre sa vigueur, et j’ai appuyé mes sussions et ma masturbation et après quelques minutes il est redevenu aussi dur qu’avant. Alors, je me suis accroupi sur la poitrine de Said et tenant son zob par la main, je l’ai enfoncé dans ma terma.
Assis et bien enfoncé sur le zob de Said, je me suis branlé la terma doucement en oscillant du derrière et des fesses. Grâce à mes mouvements du cul, parfois accélérés, parfois lents et appuyés, me soulevant avec douceurs et m’enfonçant en force sur ce gros zob, j’ai réussi à obtenir rapidement du plaisir et beaucoup de jouissances. Said me regardait avec des crispations de plaisir de tout son corps.
Il a réussi à m’avouer : « zébi ! gali Ali rak tachti e’neyk ! bassa7 teremtek ma tach ba3ach ! teremtek qahba li z’bouba ! « ( zébi ! Ali m’a dit que tu aimes le neyk ! mais ta terma n’est jamais rassasiée ! ta terma est une putain pour zobs !). Et moi, tout en haletant de plaisirs : « ahdar ! Bassah khali zebek e’nikni bi al’qouwa ! » ( discutes ! mais laisses ton zob me niker avec force !).
Et j’ai dansé sur ce zob pendant un long moment jusqu’à ce que Said perde sa passivité et son sang froid et recommence à souffler et haleter avec passion. Il me tenait par la taille mais moi je dansais à ma guise sur son zob. Enfin, il éclata et éjacula une seconde fois, avec autant de puissance et de volume que la première. C’était chaud et abondant, et, étourdi de plaisirs, je me suis couché sur sa poitrine velue. Un long moment de plaisir commun et son zob était resté en grande partie plongé dans mon cul, laissant le sperme suinter sur mes fesses et les cuisses de Said.
Ensuite, on s’est levé pour se laver et se nettoyer. Il m’a avoué qu’il était très content car au début, il n’avait pas autant d’espoir que j’accepte de me faire sodomiser. Mais dès qu’il m’avait vu en pyjama serré sur mon cul et qu’il avait humé mon odeur, il avait bandé férocement et savait qu’il allait me niquer coute que coute, me violer si nécessaire. Je lui ai demandé si je devais avouer notre relation à Ali mais il m’en a dissuadé car il savait que Ali était très jaloux et aussi violent que lui et que ma terma devait rester disponible pour les deux hommes, mais en cachette.
Ensuite, il m’a invité en ville, au cinéma. J’ai mis, juste mon jogging léger, et par-dessus mon tricot, une veste à cause des poches pour les papiers et l’argent et nous somme partis en ville, par le bus. Après une longue promenade un peu partout et un casse croute consistant qu’il m’avait offert, nous sommes allé au cinéma. Malgré mes protestations, car je voulais un film de guerre, Said a décidé de nous offrir un ciné porno et on y est allé rapidement.
Dans le noir de la salle, Said m’a guidé vers le milieu d’une rangée, apparemment vide. A l’écran, il y avait deux hommes et une femme. Un homme, en sandwich, baisait la femme en levrette pendant que l’autre homme, debout, le sodomisait avec vigueur. Soudain, Said sortit son zob et commença à se masturber et m’a demandé d’en faire autant. J’ai refusé, alors il m’a pris la tête et m’a baissé sur son zob. J’ai commencé à le branler et à la sucer doucement.
Les images et même les gémissements et cris de plaisir à l’écran m’excitaient et des frémissements commençaient à me chatouiller le bas ventre et la terma. J’ai enlevé totalement le pantalon et le slip de Said pour mieux le branler et le sucer. Trois minutes ont suffi pour que son zob devienne dur et gonflé et j’en avais envie car mon cul suintait de désir, donc j’ai pris l’initiative de la sodomie.
Alors, j’ai aussi glissé mon jogging sur mes jambes et, nu sous la ceinture, je me suis déplacé pour assoir mon cul sur les cuisses de Said. Je sentais bien son gros zob gonflé et dur comme un pieu sur mes fesses et contre mon anus. Said s’est penché en arrière pour que je puisse mieux m’assoir sur la chair de ses cuisses et sur son zob. J’ai bougé légèrement, et immédiatement la grosse bite de Said s’est glissée dans ma terma, jusqu’au fond, jusqu’aux couilles. C’était merveilleusement agréable.
Said m’a murmuré « ma t’khafach ! rahoum e’nass ga3 inikou fi cinima ! kima 7’na ! » (ne crains rien ! les gens sont aussi en train de baiser dans le cinéma ! comme nous !). Et moi, penché sur le siège avant, le souffle affolé et en chuchotant « e’neika fi cinima a7la mine e’dar ! » (la neika dans le ciné est meilleure que dans la maison !). J’ai continué à remuer et à branler son zob avec ma terma tout en lui faisant aussi des roulis pour bien frotter. C’était formidable et très excitant. J’ai fermé les yeux pour mieux gouter cette sodomie publique. Et enfin, j’ai senti son éjaculation dans mes entrailles et cela m’a donné tellement de jouissance que j’ai crié sans me rendre compte.
En ouvrant les yeux, surprise, il y avait un homme assis à coté de moi, à ma place, qui se branlait en nous observant. Said m’a dit que ce n’était pas grave et que ça arrive souvent ce genre de chose. L’homme a continué à se branler et on l’a laissé faire. J’étais toujours penché en avant, le derrière découvert. L’homme observait mes fesses et mon cul et le zob de Said planté dans ma terma.
De sa main libre, et avec un peu d’hésitation, il m’a caressé les fesses jusqu’au zob de Said et soudain il a éjaculé sur le dossier du siège devant nous. Puis il est parti sans un mot. Je me suis levé du zob de Said pour rejoindre mon fauteuil. Mais avant de m’assoir, alors que le sperme suintait de mon cul, deux mains m’ont attrapé les hanches par derrière. Je me suis retourné avec surprise et j’ai vu un autre homme derrière nos fauteuils qui me tenait le cul et il m’a fait signe de rester debout.
Puis il a enjambé le fauteuil pour se mettre au niveau de mon siège. J’étais maintenant, debout et nu du derrière devant lui. Said nous regardait mais il n’a rien fait et rien dit. L’homme, qui tenait toujours ma hanche nue avec une main, a sorti son zob avec son autre main et, sans un mot, il m’a donné quelques tapes avec sa bite sur les fesses et sur le sillon de l’anus largement ouvert et humide de sperme. C’était un long zob, pas très gros mais très long et ses frappes m’ont excité.
J’avais un peu peur, surtout que Said restait sans bouger, mais je me suis laissé faire. Penché sur le fauteuil de devant j’ai même gonflé un peu plus mon derrière pour mieux recevoir ce nouveau zob qui pénétrait avec aisance dans mon cul grâce au sperme de Said. L’homme a commencé ses vas et viens en ahanant avec force. Son long zob pénétrait plus profondément que ammi Ali et Said. Son zob a touché des zones nouvelles de ma terma et ça m’a donné des sensations nouvelles et plus de plaisir. J’ai tourné la tête pour lui dire en arabe « zid ! zid douk zebek fi qari ! nikni bi zaf » (continues ! continues de pousser ton zob dans mon cul ! encules moi avec force !). J’étais fâché de l’attitude de Said et même de ammi Ali, alors j’ouvre mon cul à ce zob anonyme !
Surprise, l’homme m’a soufflé, lui aussi en arabe « sakri foumok ya qahba ! khali zébi yag 3arlak teremtek ! » (fermes ta gueule putain ! laisses mon zob te défoncer ta terma !). Je vous avoue que cette sodomie m’a plu encore plus que la précédente, celle de Said. Un inconnu qui me sodomisait avec force, et en public, c’est comme un viol et ça m’excitait. Déjà, j’aurais souhaité avoir sucé le zob de l’autre homme qui est parti sans rien dire, dommage. Je faisais cela en punition contre ammi Said qui m’a presque vendu à son ami et contre Said qui est resté impassible devant ces agressions.
Enfin, l’homme éjacula son sperme dans celui de Said et, rapidement, enjambant le fauteuil, il est parti en me disant « terma s’khouna ! bessa7 malssa yasser ! » (terma chaude ! mais trop lisse !). Mais ma terma est bonne, c’est le sperme de Said qui l’a rendue lisse. Je me suis accroupi entre les fauteuils pour vider mon cul de leur sperme puis je me suis succinctement nettoyé avec mon mouchoir et repris ma place sur le fauteuil.
J’ai enguelé Said « 3alah khalaytou e’nikni ! » (pourquoi tu l’a laissé me sodomiser !). Et Said « rani 3araf teremtek tachti hadha ! ma tach ba3ach bi neyk ! » ( je savais que ta terma aimait cela ! elle n’est jamais rassasié de la sodomie !). J’étais fâché, alors je me suis levé et je suis allé m’installer trois ou quatre rangs plus loin.
Dès que j’ai pris place, un autre homme s’est assis à coté de moi et m’a pris la main pour la placer sur son zob qu’il avait sorti. Que pouvais-je encore faire ! Il avait un beau et gros zob déjà bien gonflé. Je l’ai branlé puis sucé et quant il m’a poussé pour m’assoir sur ses genoux, sur son zob, j’ai baissé mon jogging. Et, me déplaçant en douceur, je me suis assis sur lui et j’ai enfoncé son zob dans ma terma. Penché en avant, je l’ai laissé me sodomiser à sa guise, mais je lui ai dis en français « attention ! n’éjacules pas dans mon cul mais dehors ! » et il m’a répondu, en arabe ! « ma t’khafach ! nikak faqat ! natlag 3ala teremtek mine barra faqat ! » ( ne crains rien ! je te nike c’est tout ! j’éjaculerais sur ta terma en extérieur seulement !). Je l’ai laissé faire. Son zob glissait facilement à cause des restes de sperme.
Cinq minutes plus ou moins lui ont suffi. J’ai senti son zob qui gonflait encore et je l’ai repoussé. Il a sorti son zob, s’est branlé une ou deux fois et éjacula sur mes fesses. Je me suis essuyé, remonté mon jogging et je me suis assis pour me reposer. Elles m’avaient vraiment fatigué, ces sodomies en série, sans souffler. Le gars, parti, je suis enfin resté seul.
Mais je sentais que mes fesses et cuisses, et même mon cul n’étaient pas bien essuyés. Alors, je me levé et jetant un œil aux alentours, j’ai repéré la porte « exit » pour aller aux toilettes. J’y sui allé. A l’intérieur, deux couples baisaient sans se gêner et même les bruits dans deux cabines prouvaient que d’autres se faisaient plaisir à l’intérieur.
Je suis entré dans une cabine et fermé le loquet. Puis, je me suis bien vidé le cul puis nettoyé à l’eau et essuyé au mieux les fesses et les cuisses. Je me sentais ainsi nettement plus propre et à l’aise. En sortant de la cabine, un jeune arabe s’est présenté à moi, face à face, en tenant son zob à la main. Il me regardait et m’offrait son zob, alors je lui ai dis « na3 tik e’t nikni idha ta3 tini teremtek ! aya ! » (je te laisse me niker si tu me donnes ta terma ! allez viens !). Il m’a regardé avec deception puis il s’est retourné et m’a laissé tranquille.
Je suis retourné à la salle et rejoins Said. Il était resté à sa place comme si de rien n’était. Je l’ai apostrophé avec un semblant de colère : « kifah ! ma rou7 touch ! » (comment ! tu n’est pas parti !). et lui, en ricanant : « lala ! kounout 3araf ! trouh t’nik ! teremtek takoul fik ! wa tarja3 li ! » ( non ! je savais ! tu iras niker ! ta terma te démanges ! puis tu reviendra vers moi !). Je me suis assis mais il me poussa en disant « aya oulaydi ! e’n’rou7ou ! rah la7ag eleil ! » ( viens mon fils ! on s’en va ! il commence à faire nuit !).
On a quitté le cinéma et effectivement il commençait à faite sombre et je dois retourner au baraquement pour faire notre diner à moi et ammi Ali. Et dire que je vais aussi subir les deux assauts de ammi Ali cette nuit ! Ma terma aura passé une journée spéciale !
Et demain dimanche, je suis libre. Donc, le matin, ma terma me dictera le programme de la journée. Mais je savais que j’irais en ville, avec ou sans Said, et aux cine porno pour pêcher le maximum de zobs affamés. A cette pensée, ma terma recommença à me chatouiller, la putain et mon ventre se creuse de désir. Vivement demain, j’étais devenu l’esclave de ma terma en si peu de temps !
Ainsi me racontait mon ami Mahdi, ses débuts sexuels. En l’écoutant, j’avais compris pourquoi il était devenu, par la suite, dans notre petite communauté, notre champion de la sodomie. Il m’a avoué que sa terma s’est emballé encore plus lorsqu’elle a gouté des zobs blacks. Ce fut une autre aventure inédite que Mahdi m’a contée et que je vous livrerais, peut-être, une autre fois.
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