Terma 28- Mon dragueur du match de foot :
Récit érotique écrit par Noura [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-03-2018 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Terma 28- Mon dragueur du match de foot :
Terma 28- Mon dragueur du match de foot :La dernière fois que j’ai été dragué en public, ce fut lors d’un match de foot en soirée. Déjà avant l’entrée, alors que je faisais la chaine pour acheter mon billet, un mec de couleur s’est collé à mon cul et s’y frottait sans vergogne. Je l’ai regardé avec un air méchant, mais il a rigolé en me montrant ses dents et s’est frotté encore plus à mon cul. Je ressentais parfaitement la lourdeur de sa queue bandée. De plus, il s’est permis de me toucher les fesses avec ses deux mains et m’a peloté, tout de même, discrètement. Alors j’ai abandonné la chaine et renoncé à voir le match.
Je me suis éloigné, mais quelques minutes plus tard, le gars m’a rejoint près de la station du bus et m’a abordé « wach kh’ti ! ma 3ajbak chi zébi ? yakhi rah m’tanane 3ala teremtek ! » ( alors ma sœur ! tu n’aimes pas mon zob ? pourtant il est gonflé par ta terma !). J’étais choqué car je ne connaissais pas ce type et rien dans mes attitudes ou habits ne montraient que j’étais, effectivement, ce qu’on appelle, une tante, un amateur de sodomies par de gros zobs. Je lui dis « ma ti7chimich ! raq ghalat ! ana minich 3atay terma ! » ( tu n’as pas honte ! tu te trompes ! je ne suis pas donneur de terma !). Il a encore rigolé et m’a dis « ana n’chem terma alqahba mine ba3id ! zébi ki tanane 3ala terma, na3raf bili raha ma7loula li neyk bi z’bouba ! » ( je hume la terma putain de loin ! si mon zob se gonfle sur une terma, je sais qu’elle est ouverte pour la sodomie des zobs !).
Et il me toucha la terma avec une main ferme et me poussant, il exigea que je le suive au match car il a acheté deux billets pour nous. Je voulais encore protester, mais il me prit la main et la posa avec insistance sur sa braguette. J’ai ressenti encore une fois la raideur de son zob bandé et j’ai abandonné la situation. Alors je lui ai frotté et serré le zob, bien gros et bien long et j’ai dis « errou7ou nikou wala lal match ? » ( on va niker ou on va au match ?). Il rigola encore et me dit « ma n’ratouch al match spécial ! mine ba3ad nadik 3a’ndi ! wa n’chab3ak neyk ! 3achar marate ! » ( on doit pas rater le match spécial ! ensuite, je t’amène chez moi ! et je te nikerais ! dix fois !).
On est retourné au match, et assis cote à cote dans le haut des gradins, il était totalement intéressé par les phases du match. Je lui ai, discrètement, touché le zob à travers la braguette, mais il m’a repoussé « ma t’khalatch sport ma3a neyk ! koul hadja fi waqat’ha ! » ( ne mélanges pas le sport et la baise ! chaque chose en son temps !). Mais j’étais très excité et ma terma mouillait à fond. Elle me démangeait et j’avais besoin en urgence d’un zob pour la calmer. J’ai dis que j’allais aux toilettes. Il ne m’a même pas écouté. Je me suis dis mais je suis con, je peux le quitter tout simplement sans qu’il ne réagisse. Je me suis levé et, dans le brouhaha de la foule, je suis parti.
J’avais décidé de changer simplement de place ou de sortir du stade, mais j’étais réellement excité de la terma. Même ma bite était un peu bandée par le désir. Alors je suis allé effectivement aux toilettes. Dans une cabine, debout, jambes et cuisses écartées, appuyé au mur ave ma tête, j’ai essayé de me branler avec la main droite, tout en me masturbant le cul avec deux doigts de ma main gauche et mon souffle s’accélérait.
Le plaisir, quoique pas très fort, commençait à venir, soudain la porte du cabinet a été ouverte et quelqu’un surgit derrière moi. Penché, le dos à la porte, j’avais le cul en l’air et les doigts dedans. J’ai tourné la tête et j’ai vu un homme baraqué et barbu, tenant son zob à la main, venu pour pisser et qui me regardait, avec étonnement. Puis il a réagit avec un large sourire de plaisir au visage, la bouche ouverte, affamée. Et, avant que je ne réagisse, il agrippa mes hanches à pleines mains, puis fourra un ou deux doigts dans mon cul bien ouvert, bien offert. Il bougea un peu ses doigts dans mon cul, et tout de suite après, il m’enfonça son zob avec force tout au fond de ma terma. J’ai senti et entendu son ventre claquer sur mes fesses et ses couilles sur mes cuisses. Il était dedans, entièrement enfoncé.
J’étais échauffé de désir et le cul largement ouvert, c’est pourquoi son zob a pénétra en vitesse dans mon cul jusqu’aux couilles. Puis le gars me sodomisa en force. Il me niquait en soufflant fort et moi, appuyé sur le mur, je me suis courbé encore plus, en écartant au maximum jambes et cuisses. Je ne sais pas combien cela a duré car, sincèrement, j’ai gouté fortement cette sodomie surprise et lorsque il éjacula dans mon intérieur, je n’ai pas pu m’empêcher de crier mon plaisir « ah ya qari ! ah ya teremti ! hadha cado jak ! » (ô mon cul ! ô ma terma ! ça c’est un cadeau reçu!).
Puis, le gars m’a repoussé et a réussi à pisser dans le bidet. J’ai alors observé son zob qui dégonflait. Il était pas mal. De toute façon, il m’a donné du plaisir. Avant de partir, il m’a dit « teremtek skhouna ! malssa ! malfa bi zob !by by » ( ta terma est brulante ! et lisse ! habituée au zob ! bye bye !). J’ai pissé un coup, je me suis vidé du sperme et nettoyé le cul puis j’ai rejoins le match avant la mi-temps.
J’ai rapidement repéré mon ancienne place et mon dragueur noir. J’ai eu l’impression qu’il ne s’était même pas aperçu de mon absence. J’ai cogité un bon moment pour décider de ne pas le rejoindre. Mais, ma main m’a trahit, elle s’est rappelée de la grosseur et longueur de la bite du noir et ma terma a suivi le signal. Elle recommençait à me chatouiller et me démanger de nouveau, alors, je suis allé rejoindre mon dragueur, juste au moment ou l’arbitre sifflait la mi-temps. Mon gars m’a regardé « wén koun’t ? » (où tu étais ?). Tiens, il avait remarqué mon absence. J’ai répondu « fi bayt ra7a » (aux toilettes). On s’est levé et il m’a entrainé vers le coin des casses croute. On a mangé et bu du gazouz, puis l’arbitre a sifflé pour la seconde mi-temps. Les gens ont rejoint leurs places, mais pas mon dragueur.
Il m’a entrainé vers les toilettes car il voulait aller pisser. Je l’ai attendu devant un cabinet, et quant il a fini, il a exigé que je rentre avec lui. Dans la cabine, il avait déjà descendu son pantalon et slip et me montrait son gros zob déjà bandé. « aya hatli teremtek ! qabl ma foute al match ! » (allez donnes moi ta terma ! avant qu’on perde le match !). Je suis passé devant lui et descendu mes vêtements. Il a sifflé « hohoo ! terma khchina ! baydha ! hadhi t’lik al zébi ! » (hohoo ! grosse terma blanche ! c’est ce qu’il faut à mon zob !). Et, sans attendre, il m’ouvrit le cul avec un doigt, puis enfonça son zob avec force. Mon cul était déjà ouvert, et les quelques restes de sperme à l’intérieur ont permis une pénétration ultra rapide. J’ai ressenti son zob qui cognait le fond de mon cul et, malgré que j’ai déjà gouté une sodomie, ce choc m’a réveillé le désir. J’ai hoqueté de jouissances « ah ! ma7laha dakhla fi teremti ! » (ah ! quelle merveilleuse pénétration dans ma terma) et j’étais sincère.
Après quelques vas et viens vigoureux, je commençais à bien ressentir la grosseur, la longueur spéciale et la puissance monstrueuse de son zob, comme tous ceux des noirs que j’ai déjà longuement pratiqué. « zébek k’biir, touiil wa m’tiine » lui ai-je avoué (ton zob est gros, long et dur !) Et lui « akbar mine elli nakak g’beil ! ya qahba ! » ( plus gros que celui qui t’a niké tout à l’heure ! putain !). En entendant ces mots, j’ai reçu un choc ! Comment pouvait-il savoir ? .
Tout en me sodomisant avec force et le souffle bruyant et accéléré, il ajouta « qarék miliane zanna ya qahba ! » (ton cul est plein de sperme ! putain !), puis, « g’beil kanate teremtek t’7ariate ! 3arafat’ha klatak ! » ( (tout à l’heure j’ai vu ta terma te démanger ! ) et «rouhoute barad’ha bi zob ! » (tu es allé la calmer par un zob ! ) et enfin « ma 3’lihich ! dhoug e’zebi lakhchine thourka ! » (ça ne fait rien ! goutes mon gros zob maintenant !). Il est très gentil et complaisant, l’amateur de ma terma !
Et il continua toujours avec vigueur et ahanements bruyants à me niker et me secouer dans ce cabinet étroit. Après son aveux, j’ai été soulagé et je recommençais à jouir de la terma sans complexe en ouvrant au maximum mes cuisses et mon cul. Une vingtaine de vas et viens l’ont amené au top et il éjacula dans mes entrailles cinq jets puissants que j’ai fort bien ressenti et gouté avec plaisir. Puis, il s’est légèrement essuyé le zob et il est reparti en courant vers le match en me disant « aghssale qarek ! wal 7agni fi l’match ! » ( nettoies ton cul ! et rejoins moi au match !).
Moi, je me suis encore une fois vidé le cul et lavé la terma. Mon plaisir était certes très grand, mais on dirait que j’avais encore de la ressource. Alors, j’ai repris mon premier geste : Je recommençais à me masturber la bite, lentement et doucement, tout en me branlant le cul avec mes doigts. Les restes de sperme m’aidaient à mieux faire mes vas et viens à l’intérieur de ma terma. Ces attouchements des deux cotés m’ont rapidement amené à un sommet de plaisir aussi intense que ce que j’ai ressenti avec les deux hommes. Et lorsque j’ai éjaculé sur le mur, ce fut un feu d’artifice. Des jets puissants et beaucoup de sperme et, poussé par le plaisir intense, je me suis automatiquement enfoncé les doigts et presque la main au fond de mon cul.
Puis, n’étant plus intéressé, ni par le match, ni par les gars, je suis sorti du stade avant la fin, me promettant, toutefois, de revenir dans le voisinage, au prochain match pour essayer de retrouver , soit mon dragueur complaisant, soit mon nikeur surprise, prêt à enfoncer son zob dans toute terma devant lui.
J’ai tenu trois semaines loin de ce quartier, mais un soir, en voyant un film porno, le zob d’un homme de couleur m’a relancé sur mon dragueur. L’image de son gros zob noir gonflé de nerfs, m’a tenu réveillé une bonne partie de la nuit et les démangeaisons de ma terma ont été une épreuve pénible, que je n’ai pas pu calmer avec les vas et viens de mes doigts. Je me suis endormi difficilement.
Le matin, mon cul continuait à frémir, alors vers 10h, je suis allé vers le quartier du stade. J’ai erré deux bonnes heures sans trouver mon gars. Certes, il y avait beaucoup de gens et parmi eux des dizaines de noirs, mais je désirais mon homme et son zob, pas un autre. Vers midi, découragé, je suis rentré dans un petit bar pour prendre un café et un sandwich, et c’est alors que l’ange de ma terma intervint. Une main s’est posée sur mon épaule et, me retournant, c’était mon homme de couleur avec son large sourire et ses dents éclatant de blancheur.
Il me salua « sa7tak kh’ti ! twa7ach tak ! » (santé ma sœur ! tu m’a manquée !) et doucement à l’oreille « zébi a7zane 3ala teremtek ! « (mon zob est en deuil de ta terma). C’était bien lui, blagueur et direct. Alors, moi « rani dawarate 3alék ! essab7a kamla ! albara7 7lamate 3ala zébék » ( je t’ai cherché ! toute la matinée ! hier soir j’ai rêvé de ton zob !). Et le prenant par la main j’ai essayé de l’attirer hors du bar «aya ! fissa3 ! laazam a’nikou ! teremti raha t’siil bi chahoua ! » ( viens ! vite ! on doit niker ! ma terma mouille de désir !). Il rigolait en m’entrainant vers chez lui.
Heureusement, il habitait un quartier pas très loin, dans un studio d’un immeuble, au quatrième étage. Avant de visiter les lieux, on s’est débarrassé de nos vêtements et, nus sur le lit, il a honoré ma terma. Il m’a léché les fesses et leur sillon puis mon anus ou sa langue m’a affolée, puis, constatant que j’étais assez chaud et ouvert, il m’a donné son gros zob à lécher, sucer et branler. Je l’ai préparé avec jouissance et quant il est devenu très dur comme un pieu en fer, je me suis couché sur le lit, le dos sur le matelas et levant jambes et cuisses, j’ai offert mon cul à mon amant.
Rapidement, dès que son gland a touché mon anus, j’ai crié de plaisir « Ah ! ya teremti ! hili qarek li zeb lakhchine ! doukou ya sahbi ! fissa3 ! rani n’siil ! » ( ah ! ma terma ! ouvres ton cul au gros zob ! enfonces ô mon ami ! vite ! je coule ! ). Et le zob glissa avec force et vigueur dans mon cul et s’enfonça en vitesse jusqu’à heurter avec jouissance mon fond, ce qui m’a fait encore crier « aaahh ! assaneit’ha mine al bara7 ! 3amarli qari ! » ( aaahh ! je l’ai attendu depuis hier soir !) et « ag’3arli karchi bi zébék ! touiil ! touiil ! aaahhh ! » ( rempli moi le cul ! défonces moi le ventre avec ton zob ! long ! long ! aaahhh !). Devant tant de plaisir et de jouissances, je me suis presque évanoui. Et mon amant se lança dan un pilonnage fiévreux, acharné et bruyant dans mon cul.
Il hurlait lui aussi « teremtek spéciale ! zébi h’bal 3aléy’ha ! » (ta terma est spéciale ! elle affole mon zob !) et « n’kharjoulak mine karchak ! aaahh ya zébi ! h’louwa ! h’louwa teremtek ! wa qarek m’lass ! 3assal !» ( je le sortirais par ton ventre ! aaahh ô mon zob ! succulente ! succulent e est ta terma ! et mielleux est ton cul !).
Et il fonça en me secouant à chaque enfoncement de son zob, et il m’embrassait le cou et les seins tout en grommelant je ne sais quoi. Cela augmentait mes jouissances. Il gueulait « bzazzel m’gonfliine ! bi chahoua ya kahba ! » ( tes seins sont gonflés ! de désir putain !) et moi « a’nka3 ! a’nka3 bzazli ! kharajli hlibi ! mouss ! mouss ! aahh ! » (tètes ! tètes mes seins ! sort moi mon lait ! suces ! suces ! aahh !). On était affolés de désir. Cela dura un temps infini et nous continuons à crier nos joies et jouissances. Et enfin, il hurla « hahi jaate ! hahi jaate ! h’libi ! h’liib zébi ! 3assal zébi ra’h jay ! » ( elle arrive ! elle arrive ! mon lait ! le lait de mon zob ! le miel de mon zob ! ).
Et s’agrippant à me faire mal aux hanches il s’enfonça encore plus dans mon cul et lâcha une dizaine de jets puissants de sperme chaud qui m’enflamma les entrailles de jouissances. Il hurlait je ne sais quoi car moi aussi, je gueulais encore une fois mon plaisir, à l’infini « aaahhh ! aaahhh ! 3amaratli qari ! 3assal qlawiik ! ziid ! ziid ! » (aaahhh ! aaahhh ! tu m’a rempli le cul ! le miel de tes couilles ! encore ! encore !). Je serrais mon cul, mon sphincter et mes entrailles pour lui sucer son zob au maximum. Et je le sentais très bien, sa chair brulait ma peau interne et j’ai crié « oug’3oud dakhal qari ! khali zébek fi teremti ! raha t’mouss fiih ! » ( restes à l’intérieur de mon cul ! laisses ton zob dans ma terma ! elle est en train de le sucer !).
On est resté ainsi, un long moment couchés l’un sur l’autre et son zob à l’intérieur de mon cul, sans nous soucier des filets du sperme qui coulait le long de nos cuisses. On s’embrassait de plaisir et il m’a avoué « jamais nikat wa7ad kima n’ta ! terma kima n’ta3ak ! » (jamais je n’ai niké un gars comme toi ! une terma comme la tienne !). Je lui ai, moi aussi avoué « teremti raha spéciale ! ta3raf touss’route ou t’mouss e’zob ki ya3jab’ha ! » ( ma terma est spéciale ! elle sait engloutir et sucer le zob qui lui convient !) et « zébék khchine wa th’quiil ! magdar wa h’lou ! »( ton zob est gros et lourd ! puissant et doux ! ) enfin « hadha z’bouba soumour ili ta3jaq houm teremti » (c’est le genre de zobs noirs que ma terma adore).
Après nous être calmés, on s’est nettoyés dans sa minuscule salle de bain. J’ai visité son petit studio d’une chambre, cuisine, petit hall avec télé et minuscules douche-wc-lavabo. Ensuite, on a baisé deux autres fois encore, une par derrière alors que j’étais à genoux sur le lit et la dernière, par surprise au moment de nous quitter. En effet, j’allais ouvrir la porte car je devais partir, mais il me tenait par la taille et embrassait mon cou en me suppliant de ne pas tarder à revenir le visiter. Comme réponse, j’ai fait un geste, je dirais maladroit ou sensuel ou d’amour, je ne sais pas. J’ai tendu ma main vers sa braguette, sans trop réfléchir et j’ai attrapé sa bite à travers le vêtement. Soudain, j’a senti son zob qui réagissait en se gonflant très rapidement. « aahh ! zébi rah tanane ! ya kahba ! » (aahh ! mon zob s’est regonflé ! putain !).
Cette réaction de son zob s’est signalée à ma terma qui a sursauté en me chatouillant et dans un geste sans calculs, j’ai tourné ma terma vers son zob et frotté ce dernier contre mon cul, à travers les vêtements ! Alors, mon gars a sauté sur l’occasion, il a descendu son pantalon et slip et dégagé son zob, effectivement, entièrement bandé et gonflé der désir. Et moi, que pouvais-je faire ! j’ai glissé mes vêtements par terre et debout, les mains plaquées sur la porte, je lui ai tendu ma terma. En extrême vitesse, il trouva mon anus et me pénétra en force. Peut être que les restes de sperme ont aidé, toujours est-il que son zob plongea dans mon cul jusqu’aux couilles. Et on recommença une sodomie endiablée, debouts, contre la porte de son studio.
Elle a éé certes assez rapide mais, croyez moi, elle fut violente en plaisir. Ma terma a tout de suite recommencé à jouir et chacun de ses coups de reins me soulevait presque de terre. Jambes et cuisses largement écartées, le cul entièrement ouvert, de même que ma bouche essoufflée par le plaisir, j’ai autant gouté cette sodomie surprise que les deux autres. « aahh ! ya teremti ! mazaal dawri 3ala e’zeb lemtiine ! » (aahh ! ma terma ! tu veux encore gouter du gros zob !).
Hélas, mon homme arriva vite à son plaisir et vida le reste du sperme de ses couilles dans mes entrailles. Afin d’éviter de salir mes vêtements, coincés sur une de mes jambes, je m’en suis débarrassé sur le sol et nu par-dessous la ceinture, j’ai couru aux toilettes où je me suis nettoyé au mieux que je pouvais. Puis je me suis rhabillé en vitesse, et cette fois j’ai évité de lui toucher le zob quant il m’a donné un bizou à l’entrée. Je me suis enfoui en me promettant de revenir vers ce gars qui me semble affolé et insatiable de ma chère terma.
Je me suis éloigné, mais quelques minutes plus tard, le gars m’a rejoint près de la station du bus et m’a abordé « wach kh’ti ! ma 3ajbak chi zébi ? yakhi rah m’tanane 3ala teremtek ! » ( alors ma sœur ! tu n’aimes pas mon zob ? pourtant il est gonflé par ta terma !). J’étais choqué car je ne connaissais pas ce type et rien dans mes attitudes ou habits ne montraient que j’étais, effectivement, ce qu’on appelle, une tante, un amateur de sodomies par de gros zobs. Je lui dis « ma ti7chimich ! raq ghalat ! ana minich 3atay terma ! » ( tu n’as pas honte ! tu te trompes ! je ne suis pas donneur de terma !). Il a encore rigolé et m’a dis « ana n’chem terma alqahba mine ba3id ! zébi ki tanane 3ala terma, na3raf bili raha ma7loula li neyk bi z’bouba ! » ( je hume la terma putain de loin ! si mon zob se gonfle sur une terma, je sais qu’elle est ouverte pour la sodomie des zobs !).
Et il me toucha la terma avec une main ferme et me poussant, il exigea que je le suive au match car il a acheté deux billets pour nous. Je voulais encore protester, mais il me prit la main et la posa avec insistance sur sa braguette. J’ai ressenti encore une fois la raideur de son zob bandé et j’ai abandonné la situation. Alors je lui ai frotté et serré le zob, bien gros et bien long et j’ai dis « errou7ou nikou wala lal match ? » ( on va niker ou on va au match ?). Il rigola encore et me dit « ma n’ratouch al match spécial ! mine ba3ad nadik 3a’ndi ! wa n’chab3ak neyk ! 3achar marate ! » ( on doit pas rater le match spécial ! ensuite, je t’amène chez moi ! et je te nikerais ! dix fois !).
On est retourné au match, et assis cote à cote dans le haut des gradins, il était totalement intéressé par les phases du match. Je lui ai, discrètement, touché le zob à travers la braguette, mais il m’a repoussé « ma t’khalatch sport ma3a neyk ! koul hadja fi waqat’ha ! » ( ne mélanges pas le sport et la baise ! chaque chose en son temps !). Mais j’étais très excité et ma terma mouillait à fond. Elle me démangeait et j’avais besoin en urgence d’un zob pour la calmer. J’ai dis que j’allais aux toilettes. Il ne m’a même pas écouté. Je me suis dis mais je suis con, je peux le quitter tout simplement sans qu’il ne réagisse. Je me suis levé et, dans le brouhaha de la foule, je suis parti.
J’avais décidé de changer simplement de place ou de sortir du stade, mais j’étais réellement excité de la terma. Même ma bite était un peu bandée par le désir. Alors je suis allé effectivement aux toilettes. Dans une cabine, debout, jambes et cuisses écartées, appuyé au mur ave ma tête, j’ai essayé de me branler avec la main droite, tout en me masturbant le cul avec deux doigts de ma main gauche et mon souffle s’accélérait.
Le plaisir, quoique pas très fort, commençait à venir, soudain la porte du cabinet a été ouverte et quelqu’un surgit derrière moi. Penché, le dos à la porte, j’avais le cul en l’air et les doigts dedans. J’ai tourné la tête et j’ai vu un homme baraqué et barbu, tenant son zob à la main, venu pour pisser et qui me regardait, avec étonnement. Puis il a réagit avec un large sourire de plaisir au visage, la bouche ouverte, affamée. Et, avant que je ne réagisse, il agrippa mes hanches à pleines mains, puis fourra un ou deux doigts dans mon cul bien ouvert, bien offert. Il bougea un peu ses doigts dans mon cul, et tout de suite après, il m’enfonça son zob avec force tout au fond de ma terma. J’ai senti et entendu son ventre claquer sur mes fesses et ses couilles sur mes cuisses. Il était dedans, entièrement enfoncé.
J’étais échauffé de désir et le cul largement ouvert, c’est pourquoi son zob a pénétra en vitesse dans mon cul jusqu’aux couilles. Puis le gars me sodomisa en force. Il me niquait en soufflant fort et moi, appuyé sur le mur, je me suis courbé encore plus, en écartant au maximum jambes et cuisses. Je ne sais pas combien cela a duré car, sincèrement, j’ai gouté fortement cette sodomie surprise et lorsque il éjacula dans mon intérieur, je n’ai pas pu m’empêcher de crier mon plaisir « ah ya qari ! ah ya teremti ! hadha cado jak ! » (ô mon cul ! ô ma terma ! ça c’est un cadeau reçu!).
Puis, le gars m’a repoussé et a réussi à pisser dans le bidet. J’ai alors observé son zob qui dégonflait. Il était pas mal. De toute façon, il m’a donné du plaisir. Avant de partir, il m’a dit « teremtek skhouna ! malssa ! malfa bi zob !by by » ( ta terma est brulante ! et lisse ! habituée au zob ! bye bye !). J’ai pissé un coup, je me suis vidé du sperme et nettoyé le cul puis j’ai rejoins le match avant la mi-temps.
J’ai rapidement repéré mon ancienne place et mon dragueur noir. J’ai eu l’impression qu’il ne s’était même pas aperçu de mon absence. J’ai cogité un bon moment pour décider de ne pas le rejoindre. Mais, ma main m’a trahit, elle s’est rappelée de la grosseur et longueur de la bite du noir et ma terma a suivi le signal. Elle recommençait à me chatouiller et me démanger de nouveau, alors, je suis allé rejoindre mon dragueur, juste au moment ou l’arbitre sifflait la mi-temps. Mon gars m’a regardé « wén koun’t ? » (où tu étais ?). Tiens, il avait remarqué mon absence. J’ai répondu « fi bayt ra7a » (aux toilettes). On s’est levé et il m’a entrainé vers le coin des casses croute. On a mangé et bu du gazouz, puis l’arbitre a sifflé pour la seconde mi-temps. Les gens ont rejoint leurs places, mais pas mon dragueur.
Il m’a entrainé vers les toilettes car il voulait aller pisser. Je l’ai attendu devant un cabinet, et quant il a fini, il a exigé que je rentre avec lui. Dans la cabine, il avait déjà descendu son pantalon et slip et me montrait son gros zob déjà bandé. « aya hatli teremtek ! qabl ma foute al match ! » (allez donnes moi ta terma ! avant qu’on perde le match !). Je suis passé devant lui et descendu mes vêtements. Il a sifflé « hohoo ! terma khchina ! baydha ! hadhi t’lik al zébi ! » (hohoo ! grosse terma blanche ! c’est ce qu’il faut à mon zob !). Et, sans attendre, il m’ouvrit le cul avec un doigt, puis enfonça son zob avec force. Mon cul était déjà ouvert, et les quelques restes de sperme à l’intérieur ont permis une pénétration ultra rapide. J’ai ressenti son zob qui cognait le fond de mon cul et, malgré que j’ai déjà gouté une sodomie, ce choc m’a réveillé le désir. J’ai hoqueté de jouissances « ah ! ma7laha dakhla fi teremti ! » (ah ! quelle merveilleuse pénétration dans ma terma) et j’étais sincère.
Après quelques vas et viens vigoureux, je commençais à bien ressentir la grosseur, la longueur spéciale et la puissance monstrueuse de son zob, comme tous ceux des noirs que j’ai déjà longuement pratiqué. « zébek k’biir, touiil wa m’tiine » lui ai-je avoué (ton zob est gros, long et dur !) Et lui « akbar mine elli nakak g’beil ! ya qahba ! » ( plus gros que celui qui t’a niké tout à l’heure ! putain !). En entendant ces mots, j’ai reçu un choc ! Comment pouvait-il savoir ? .
Tout en me sodomisant avec force et le souffle bruyant et accéléré, il ajouta « qarék miliane zanna ya qahba ! » (ton cul est plein de sperme ! putain !), puis, « g’beil kanate teremtek t’7ariate ! 3arafat’ha klatak ! » ( (tout à l’heure j’ai vu ta terma te démanger ! ) et «rouhoute barad’ha bi zob ! » (tu es allé la calmer par un zob ! ) et enfin « ma 3’lihich ! dhoug e’zebi lakhchine thourka ! » (ça ne fait rien ! goutes mon gros zob maintenant !). Il est très gentil et complaisant, l’amateur de ma terma !
Et il continua toujours avec vigueur et ahanements bruyants à me niker et me secouer dans ce cabinet étroit. Après son aveux, j’ai été soulagé et je recommençais à jouir de la terma sans complexe en ouvrant au maximum mes cuisses et mon cul. Une vingtaine de vas et viens l’ont amené au top et il éjacula dans mes entrailles cinq jets puissants que j’ai fort bien ressenti et gouté avec plaisir. Puis, il s’est légèrement essuyé le zob et il est reparti en courant vers le match en me disant « aghssale qarek ! wal 7agni fi l’match ! » ( nettoies ton cul ! et rejoins moi au match !).
Moi, je me suis encore une fois vidé le cul et lavé la terma. Mon plaisir était certes très grand, mais on dirait que j’avais encore de la ressource. Alors, j’ai repris mon premier geste : Je recommençais à me masturber la bite, lentement et doucement, tout en me branlant le cul avec mes doigts. Les restes de sperme m’aidaient à mieux faire mes vas et viens à l’intérieur de ma terma. Ces attouchements des deux cotés m’ont rapidement amené à un sommet de plaisir aussi intense que ce que j’ai ressenti avec les deux hommes. Et lorsque j’ai éjaculé sur le mur, ce fut un feu d’artifice. Des jets puissants et beaucoup de sperme et, poussé par le plaisir intense, je me suis automatiquement enfoncé les doigts et presque la main au fond de mon cul.
Puis, n’étant plus intéressé, ni par le match, ni par les gars, je suis sorti du stade avant la fin, me promettant, toutefois, de revenir dans le voisinage, au prochain match pour essayer de retrouver , soit mon dragueur complaisant, soit mon nikeur surprise, prêt à enfoncer son zob dans toute terma devant lui.
J’ai tenu trois semaines loin de ce quartier, mais un soir, en voyant un film porno, le zob d’un homme de couleur m’a relancé sur mon dragueur. L’image de son gros zob noir gonflé de nerfs, m’a tenu réveillé une bonne partie de la nuit et les démangeaisons de ma terma ont été une épreuve pénible, que je n’ai pas pu calmer avec les vas et viens de mes doigts. Je me suis endormi difficilement.
Le matin, mon cul continuait à frémir, alors vers 10h, je suis allé vers le quartier du stade. J’ai erré deux bonnes heures sans trouver mon gars. Certes, il y avait beaucoup de gens et parmi eux des dizaines de noirs, mais je désirais mon homme et son zob, pas un autre. Vers midi, découragé, je suis rentré dans un petit bar pour prendre un café et un sandwich, et c’est alors que l’ange de ma terma intervint. Une main s’est posée sur mon épaule et, me retournant, c’était mon homme de couleur avec son large sourire et ses dents éclatant de blancheur.
Il me salua « sa7tak kh’ti ! twa7ach tak ! » (santé ma sœur ! tu m’a manquée !) et doucement à l’oreille « zébi a7zane 3ala teremtek ! « (mon zob est en deuil de ta terma). C’était bien lui, blagueur et direct. Alors, moi « rani dawarate 3alék ! essab7a kamla ! albara7 7lamate 3ala zébék » ( je t’ai cherché ! toute la matinée ! hier soir j’ai rêvé de ton zob !). Et le prenant par la main j’ai essayé de l’attirer hors du bar «aya ! fissa3 ! laazam a’nikou ! teremti raha t’siil bi chahoua ! » ( viens ! vite ! on doit niker ! ma terma mouille de désir !). Il rigolait en m’entrainant vers chez lui.
Heureusement, il habitait un quartier pas très loin, dans un studio d’un immeuble, au quatrième étage. Avant de visiter les lieux, on s’est débarrassé de nos vêtements et, nus sur le lit, il a honoré ma terma. Il m’a léché les fesses et leur sillon puis mon anus ou sa langue m’a affolée, puis, constatant que j’étais assez chaud et ouvert, il m’a donné son gros zob à lécher, sucer et branler. Je l’ai préparé avec jouissance et quant il est devenu très dur comme un pieu en fer, je me suis couché sur le lit, le dos sur le matelas et levant jambes et cuisses, j’ai offert mon cul à mon amant.
Rapidement, dès que son gland a touché mon anus, j’ai crié de plaisir « Ah ! ya teremti ! hili qarek li zeb lakhchine ! doukou ya sahbi ! fissa3 ! rani n’siil ! » ( ah ! ma terma ! ouvres ton cul au gros zob ! enfonces ô mon ami ! vite ! je coule ! ). Et le zob glissa avec force et vigueur dans mon cul et s’enfonça en vitesse jusqu’à heurter avec jouissance mon fond, ce qui m’a fait encore crier « aaahh ! assaneit’ha mine al bara7 ! 3amarli qari ! » ( aaahh ! je l’ai attendu depuis hier soir !) et « ag’3arli karchi bi zébék ! touiil ! touiil ! aaahhh ! » ( rempli moi le cul ! défonces moi le ventre avec ton zob ! long ! long ! aaahhh !). Devant tant de plaisir et de jouissances, je me suis presque évanoui. Et mon amant se lança dan un pilonnage fiévreux, acharné et bruyant dans mon cul.
Il hurlait lui aussi « teremtek spéciale ! zébi h’bal 3aléy’ha ! » (ta terma est spéciale ! elle affole mon zob !) et « n’kharjoulak mine karchak ! aaahh ya zébi ! h’louwa ! h’louwa teremtek ! wa qarek m’lass ! 3assal !» ( je le sortirais par ton ventre ! aaahh ô mon zob ! succulente ! succulent e est ta terma ! et mielleux est ton cul !).
Et il fonça en me secouant à chaque enfoncement de son zob, et il m’embrassait le cou et les seins tout en grommelant je ne sais quoi. Cela augmentait mes jouissances. Il gueulait « bzazzel m’gonfliine ! bi chahoua ya kahba ! » ( tes seins sont gonflés ! de désir putain !) et moi « a’nka3 ! a’nka3 bzazli ! kharajli hlibi ! mouss ! mouss ! aahh ! » (tètes ! tètes mes seins ! sort moi mon lait ! suces ! suces ! aahh !). On était affolés de désir. Cela dura un temps infini et nous continuons à crier nos joies et jouissances. Et enfin, il hurla « hahi jaate ! hahi jaate ! h’libi ! h’liib zébi ! 3assal zébi ra’h jay ! » ( elle arrive ! elle arrive ! mon lait ! le lait de mon zob ! le miel de mon zob ! ).
Et s’agrippant à me faire mal aux hanches il s’enfonça encore plus dans mon cul et lâcha une dizaine de jets puissants de sperme chaud qui m’enflamma les entrailles de jouissances. Il hurlait je ne sais quoi car moi aussi, je gueulais encore une fois mon plaisir, à l’infini « aaahhh ! aaahhh ! 3amaratli qari ! 3assal qlawiik ! ziid ! ziid ! » (aaahhh ! aaahhh ! tu m’a rempli le cul ! le miel de tes couilles ! encore ! encore !). Je serrais mon cul, mon sphincter et mes entrailles pour lui sucer son zob au maximum. Et je le sentais très bien, sa chair brulait ma peau interne et j’ai crié « oug’3oud dakhal qari ! khali zébek fi teremti ! raha t’mouss fiih ! » ( restes à l’intérieur de mon cul ! laisses ton zob dans ma terma ! elle est en train de le sucer !).
On est resté ainsi, un long moment couchés l’un sur l’autre et son zob à l’intérieur de mon cul, sans nous soucier des filets du sperme qui coulait le long de nos cuisses. On s’embrassait de plaisir et il m’a avoué « jamais nikat wa7ad kima n’ta ! terma kima n’ta3ak ! » (jamais je n’ai niké un gars comme toi ! une terma comme la tienne !). Je lui ai, moi aussi avoué « teremti raha spéciale ! ta3raf touss’route ou t’mouss e’zob ki ya3jab’ha ! » ( ma terma est spéciale ! elle sait engloutir et sucer le zob qui lui convient !) et « zébék khchine wa th’quiil ! magdar wa h’lou ! »( ton zob est gros et lourd ! puissant et doux ! ) enfin « hadha z’bouba soumour ili ta3jaq houm teremti » (c’est le genre de zobs noirs que ma terma adore).
Après nous être calmés, on s’est nettoyés dans sa minuscule salle de bain. J’ai visité son petit studio d’une chambre, cuisine, petit hall avec télé et minuscules douche-wc-lavabo. Ensuite, on a baisé deux autres fois encore, une par derrière alors que j’étais à genoux sur le lit et la dernière, par surprise au moment de nous quitter. En effet, j’allais ouvrir la porte car je devais partir, mais il me tenait par la taille et embrassait mon cou en me suppliant de ne pas tarder à revenir le visiter. Comme réponse, j’ai fait un geste, je dirais maladroit ou sensuel ou d’amour, je ne sais pas. J’ai tendu ma main vers sa braguette, sans trop réfléchir et j’ai attrapé sa bite à travers le vêtement. Soudain, j’a senti son zob qui réagissait en se gonflant très rapidement. « aahh ! zébi rah tanane ! ya kahba ! » (aahh ! mon zob s’est regonflé ! putain !).
Cette réaction de son zob s’est signalée à ma terma qui a sursauté en me chatouillant et dans un geste sans calculs, j’ai tourné ma terma vers son zob et frotté ce dernier contre mon cul, à travers les vêtements ! Alors, mon gars a sauté sur l’occasion, il a descendu son pantalon et slip et dégagé son zob, effectivement, entièrement bandé et gonflé der désir. Et moi, que pouvais-je faire ! j’ai glissé mes vêtements par terre et debout, les mains plaquées sur la porte, je lui ai tendu ma terma. En extrême vitesse, il trouva mon anus et me pénétra en force. Peut être que les restes de sperme ont aidé, toujours est-il que son zob plongea dans mon cul jusqu’aux couilles. Et on recommença une sodomie endiablée, debouts, contre la porte de son studio.
Elle a éé certes assez rapide mais, croyez moi, elle fut violente en plaisir. Ma terma a tout de suite recommencé à jouir et chacun de ses coups de reins me soulevait presque de terre. Jambes et cuisses largement écartées, le cul entièrement ouvert, de même que ma bouche essoufflée par le plaisir, j’ai autant gouté cette sodomie surprise que les deux autres. « aahh ! ya teremti ! mazaal dawri 3ala e’zeb lemtiine ! » (aahh ! ma terma ! tu veux encore gouter du gros zob !).
Hélas, mon homme arriva vite à son plaisir et vida le reste du sperme de ses couilles dans mes entrailles. Afin d’éviter de salir mes vêtements, coincés sur une de mes jambes, je m’en suis débarrassé sur le sol et nu par-dessous la ceinture, j’ai couru aux toilettes où je me suis nettoyé au mieux que je pouvais. Puis je me suis rhabillé en vitesse, et cette fois j’ai évité de lui toucher le zob quant il m’a donné un bizou à l’entrée. Je me suis enfoui en me promettant de revenir vers ce gars qui me semble affolé et insatiable de ma chère terma.
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