Terma 36 : Ma femme et les ouvriers africains (2) :
Récit érotique écrit par Noura [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-05-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Terma 36 : Ma femme et les ouvriers africains (2) :
Comme d’habitude, j’ai bien assisté dans notre studio, en cachette derrière la porte de la chambre, au spectacle de ma femme qui se faisait baiser dans sa chatte et dans sa Terma, et sur notre lit, par notre jeune domestique africain et son oncle peintre, ensemble. Puis, je me suis masturbé et éjaculé dans la salle de bain, ensuite, je suis sorti pour m’installer à quelques distances des logements, en attendant qu’ils finissent leurs ébats sexuels, vers 17h. Ma femme croyait que je n’étais pas au courant, mais les deux africains, au contraire, étaient mes complices puisque je venais chaque après-midi, espionner leurs ébats avec ma femme et me masturber.
Tout marchait à merveille jusqu’à ce jour où il y a eu un problème. J’étais dehors, assis pas très loin, attendant la sortie de ma femme à 17h, lorsque une autre personne est allé frapper à la porte du studio, alors que le trio était encore en train de baiser. C’était la femme d’un parent, invitée au mariage, venue chercher ma femme. Je la connaissais ainsi que son vieux mari, un de mes cousins, très respectable.
Le jeune domestique, croyant que je revenais au studio, a ouvert la porte à notre parente, alors qu’il était toujours en slip. Notre parente a été surprise et choquée et s’est enfuie vers l’Hacienda. Heureusement que je l’ai retenue et, en me reconnaissant, elle m’a pris de coté pour me dire que des choses se passaient dans mon studio. J’ai dis que j’allais voir cela rapidement tout en l’attirant un peu plus loin.
Hélas, encore une autre mauvaise surprise, ma femme, habillée, venait juste de sortir du studio, en jetant des regards affolés à droite et à gauche, puis elle s’est enfouie en courant vers les logements des domestiques. Heureusement qu’elle ne m’avait pas remarqué. Et, hélas immédiatement après, son amant, l’homme africain peintre est sorti, en tricot de peau et tenant sa veste sur les bras, puis il s’est dirigé vers l’échelle derrière le studio comme pour aller travailler. Enfin, ce fut le jeune domestique, vêtu entièrement, émergea du studio, jetant des regards affolés à droite et à gauche.
Notre parente, qui a tout vu même de loin, et auparavant choquée par notre jeune domestique en slip, était consternée. Pour elle, l’explication était claire, ma femme me trompait avec ces travailleurs africains, en mon absence et dans notre studio, et attendait ma réaction. Doucement et avec quelques mots confus, je l’ai entrainée vers un coin discret, derrière l’haciendas. Humblement, j’ai baissé la tête avec tristesse en soufflant fort comme si un malheur m’accablait. Ma réaction a été vite comprise par elle, alors elle s’est un peu calmée et attendait de plus amples explications. De toutes façons elle ne semblait plus affolée.
Alors, j’ai avoué que mon problème, c’était ma femme depuis longtemps, chez nous la bas dans la capitale et même à l’étranger. J’ai expliqué qu’elle me trompait depuis qu’on a été à l’étranger puis à notre retour au pays avec plusieurs hommes. Et lorsque je l’ai appris, c’était trop tard et au lieu de sévir, j’ai été faible car je l’aimais. Elle m’avait promis de ne plus continuer, mais après quelques temps, son vice l’a reprise et maintenant, je ne pouvais plus l’arrêter de peur du scandale. Heureusement qu’elle le faisait discrètement et surtout avec des étrangers.
D’abords, ma parente a été fâchée contre ma femme et même contre moi à cause de ma faiblesse et qu’il fallait divorcer rapidement. Ensuite, reprenant le thème du scandale, elle semblait comprendre le dilemme et essayait de trouver des solutions. Peut être que ma femme était une malade et qu’il fallait la soigner. J’ai avoué, toujours en baissant la tête et les yeux, que même avec moi, malgré mes efforts multiples, ma femme était insatiable et que, seule la recherche de plusieurs amants pouvait satisfaire ses désirs et ses besoins.
Alors je lui ai demandé ce qu’elle allait faire, et elle m’a répondu qu’après tout c’était un problème familial pour moi et ma femme et que ce n’etait pas à elle d’aggraver la situation. Donc elle m’a assuré qu’elle sera discrète et ne dira rien de ce qu’elle a vu, entendu et compris. Alors, je l’ai remerciée longuement, presque avec des larmes mensongères, et elle m’a quitté avec un petit sourire complice.
Après, je suis allé au studio et j’ai rassuré les deux africains, l’homme et son jeune neveu. Et le soir, aussi, je n’ai rien dis à ma femme, qui, de son coté, n’a soufflé aucun mot sur cette affaire. Et tout semblait continuer comme auparavant, sans problème. Mais, deux jours plus tard, comme parfois, j’étais revenu un peu avant que ma femme ne termine son plaisir avec ses amants à 17h, je me suis placé dans un coin discret pas très loin du studio.
Alors que je m’attendais à voir ma femme sortir du studio suivie de ses amants, ce sont deux femmes qui en sortirent. Qu’elle ne fut ma surprise de constater que l’autre femme était ma parente complice de mes confidences et qui m’avait averti.
Elle accompagnait ma femme et tout de suite elles étaient suivies par les deux africains, notre jeune domestique et son oncle peintre. Le jeune se dirigea directement vers l’arrière du bâtiment, mais l’homme, discuta un peu avec les deux femmes, tout en caressant, de la main, le cul de ma parente. Puis, il la serrant cotre lui en lui donnant un baiser, avant que les deux femmes ne partent en courant vers les bâtiments des domestiques. Puis, l’homme escalada l’échelle et reprit son travail de peintre comme si de rien n’était. Ainsi, ma parente était tombée dans le piège du sexe, comme ma femme et aimait aussi les gros zobs africains.
Au lieu de lui faire des reproches, elle a préféré gouter, elle aussi, aux jouissances du zob et de l’infidélité. Et certainement, à l’unisson de ma femme, sa chatte et sa Terma ont été honorées par les deux hommes durant tout l’après midi.
Maintenant que je savais ce qu’elle aimait faire, je revoyais en pensée son vieux mari respectable, que je connaissais un peu. C’est vrai que c’était un homme de la famille mais très âgé et aux traits fatigués et assez souvent malade depuis longtemps. Il devait être au bout du rouleau et sa femme, qui était de loin plus jeune que lui, elle faisait la trentaine, et bien charpentée par devant et par derrière, ne devait pas être souvent satisfaite de ses tentatives sexuelles. Peut-être même que son mari était bloqué et ne bandait plus depuis un certain temps.
L’occasion s’etait offerte à elle, avec ma femme, déjà dévergondée et expérimentée, pour gouter un peu de plaisir sexuel et de jouissances pour sa chatte et sa Terma. Franchement, et comme pour ma femme, je l’approuvais entièrement, et maintenant que je savais, je trouvais qu’elle n’était pas mal du tout corporellement. En y pensant, je revoyais sa silhouette très appréciable et ma bite commençait à s’agiter doucement. Ma foi, si mon zob était capable de bander pour elle, j’essaierais de prendre mon plaisir avec elle en complément du peu que me donnait ma femme.
Donc, dès le lendemain matin, j’ai réussi à l’aborder en lui avouant que je savais ce qu’elles faisaient, elle et ma femme, avec mes deux africains. D’abord effrayée, elle a essayé de s’expliquer mais comme je lui ai avoué que je l’approuvais vu la santé de son mari, elle s’est calmée. J’ai touché d’abord sa poitrine à travers ses vêtements, c’était très lourd et agréablement bandant. Puis je l’ai attirée sur mon ventre et j’ai plaqué mes mains sur son derrière. Ses hanches étaient aussi lourdes et souples et mon zob s’était gonflé contre son ventre. Si ce n’était le danger, je l’aurais détroussée ici et violée sur le champs.
Elle gloussait, preuve qu’elle éprouvait aussi du plaisir. Je comprenais pourquoi elle devait adorer les gros zobs épais, longs et durs des africains. C’était une femme chaude et prête, immédiatement, aux joies des jeux sexuels et son mari, cocu, comme moi, ne pourrait jamais éteindre les feux ardents de sa chatte et de sa Terma.
Nous étions excités à l’extrême, tous les deux. Elle m’a proposé d’aller baiser dans un bâtiment, situé derrière les logements des ouvriers agricoles africains et qui servait d’écurie pour pas mal de bêtes de mon riche cousin, mais j’ai refusé, vu sa proximité du personnel. Alors, on s’est donné rendez vous, à 11h dans mon studio. Je savais que ma femme, même lorsqu’elle baisait le matin avec ses deux amants, après mon départ au travail, ne dépassait jamais 10h pour rejoindre ensuite les femmes domestiques au travail collectif et elle ne revenait qu’à 14h pour une seconde partie de jambes en l’air de l’après-midi jusqu’à 17h.
Je pourrais donc baiser ma parente pendant au moins deux heures, jusqu’à 13h avant que les deux femmes ne reviennent à 14h vers leurs amants.
Pendant toute la matinée, chaque fois que je repensais dans ma tête et dans mes mains à la lourdeur de sa poitrine et de son derrière, je bandais. Et à l’heure dite, elle est venue au studio. Elle était prête à s’offrir, sans honte et sans complexe. Elle s’est mise immédiatement à poil, et, très à l’aise, elle s’est allongée sur le lit, jambes et cuisses haut levées et largement ouvertes. Elle m’offrait ses larges seins remplis de désirs et sa chatte, épilée et son ventre dont le mont de vénus légèrement enflé de douceur et dont la seule vue, vous fait bander. Sa chatte, à la longue fissure était une invitation à s’y engouffrer et y perdre indéfiniment corps et âme.
Elle était belle et bien remplie dans sa trentaine et j’ai plongé sur elle avec avidité pour soulager mon zob tendu dans sa chatte, assez serrée.
Presque qu’aussitôt, juste, pour moi, deux ou trois frottements pour faire gouter à mon zob la douceur de l’intérieur de sa chatte, elle, au contraire est montée au firmament. Elle s’est crispée à moi en m’entourant avec ses jambes et cuisses et a poussé un vrai hystérique. Elle venait d’avoir un bruyant orgasme dès le contact de nos deux sexes. Je vous disais que c’était une femme très chaude, affamée de zob et d’amour. Cette réaction m’a tellement excitée que, dès qu’elle m’a libérée de ses jambes, j’ai accéléré mes vas et viens dans son suc de plaisir et rapidement, la chaleur de sa chatte m’a amenée à une éjaculation brutale, rapide et presque douloureuse. Deux ou trois spasmes, mais violents m’ont gonflé à la douleur le zob et rempli la chatte de ma merveilleuse parente, et je me suis aussi écroulé sur sa lourde poitrine.
Mais rapidement, elle a repris ses esprits et commencé à m’exciter en se tortillant sous moi et en me donnant des poussées de son ventre jusqu’à presque me soulever le corps. Elle attendait encore du plaisir. Mon zob, toujours dans sa chatte avait fléchi un peu, sa chatte était encore remplie de sperme.
Sachant que je ne pourrais pas bander tout de suite, j’ai éxigé qu’elle se lève et se vide car je n’aime pas mélanger les choses. Certes, elle était déçu et attendait une seconde baise dans ou sans sperme, mais elle m’a obéit et s’est dirigée vers la salle de bain. En attendant, je me suis essuyé et rallongé sur le lit en reprenant mon souffle. Elle est capable de me tuer de plaisir, cette femme, il faut que je prenne juste ce dont j’ai besoin.
A son retour, et avant qu’elle n’atteigne le lit, je lui ai demandé de se retourner et de marcher un peu. Elle avait vite compris mon désir d’admirer son derrière et sa Terma. Alors, elle s’es retournée m’offrant sa latge Terma blanche et dodue, pleine à ravir et certainement douce au toucher. Elle a même fait quelques pas de dans danse en balançant sa Terma et en serrant ses cuisses. Ainsi, les plis juste dans la pertie inférieures de ses hanches et le dessus de ses cuisses dansaient sous mes yeux affolés.
Le désir m’a immédiatement inondé le bas ventre et mon zob a bondit. J’étais allongé sur le lit et mon zob s’est redressé presque à la verticale devant ce spectacle érotique. Elle l’a remarqué et s’est rapprochée en se mettant à genoux sur lelit et me tournant le dos. Alors je me placé derrière elle, et presque aussitôt, mon doigt qui était allé vérifié son cul, s’est glissé totalement dans son anus. Il était chaud et élastique et prêt au plisir du zob. Elle avait compris que je désirais sa Terma, après avoir gouté sa chatte. Tenant mon zob à la main, je l’ai poussé dans son anus et il s’est engouffré comme dans du beurre, tellement, sa Terma était ouverte.
Son cul s’ouvrait tellement avec facilité que je l’ai soupçonnée. Elle était certainement amatrice de sodomies, bien avant moi et cette Terma a tellement gouté et mangé de zobs de grosses tailles qu’elle s’ouvrait avec facilité à mon sexe. Tant mieux pour elle, et tant pis pour son vieux mari. Moi, pour l’instant, je prenais mon plaisir par une quinzaine de vas et viens en m’accrochant à ses larges hanches charnues,
J’étais aux anges, dans cette chair douce et chaude à la fois, vivante et me donnant de plus en plus de frissons dans le bas ventre. Je me retenais pour ne pas éjaculer trop vite car l’image même que ce corps merveilleux devant moi, était un plaisir dont je voulais retarder la séparation. Je repensais aux deux africains et peut être à bien d’autres hommes qui avaient désirés et donnés du plaisir à cette femme. Ils ont entre leurs mains ce corps fait pour le plaisir et leurs zobs l’ont labouré par devant et par derrière à merci.
Enfin, le plaisir montait de mes couilles et je ne pouvais plus le retenir plus longtemps. Alors, j’ai tout lâché. Ce fut une forte éjaculation bien meilleures que la première, de quatre ou cinq salves et qui m’a fait presque hurler de jouissances. Il est vrai qu’elle avait surtout une Terma plus large et plus belle que celle de ma femme mais surtout, plus ouverte, donc aisément bandante.
Pendant que je baisais la femme dans mon lit, les deux africains travaillaient. Le domestique était à la cuisine et le peintre, dehors sur son échelle. Ils ont beaucoup vu et tout entendu, mais ils n’ont pas soufflé un mot ou jeté un regard anormal. Ils ont du trouver nos comportements naturels pour les plaisirs sexuels et attendaient leur tour, dans une heure, pour satisfaire leurs zobs dans nos deux femmes. La femme que je baisais et qui circulait à poil dans le studio, ils l’a connaissent déjà, de corps externe et interne, de plaisrs charnels et fantasmes. Elle sera à eux, dans quelques heures et leurs zobs étaient toujours prêt à l’ouvrage.
Après mon éjaculation, nous sommes allés nous nettoyer dans la salle de bain, puis on s’est rhabillé. Ne connaissant exactement son nom, mais celui de son mari, elle m’a dit de l’appeler « zouzou », son prénom secret des plaisirs africains, puis on a quitté le studio à 13h en se donnant rendez vous le lendemain à 11h.
Je suis allé me reposer un peu plus loin, dans la verdure, pas très loin de l’hacienda et je n’ai pas pu m’empêcher de repenser à cette femme. Je revoyais surtout sa Terma très bien ouverte et sa chatte longue et brulante et assez facile à pénétrer. Sachant la santé du mari, je crois que cette femme n’était pas à ses premiers amants et qu’elle a du donner des cornes à son mari depuis très longtemps. Ainsi, je comprenais, encore mieux, sa complicité de partager, avec ma femme, les zobs de ses amants africains et son acceptation rapide à ma demande de la baiser.
Puis je suis allé voir mes parents à l’hacienda pour les aider dans les préparatifs, pendant une heure jusqu’à 14h30.
Mais vers 15h, la pensée de cette femme ne me quittait plus. Certes, elle était belle et demain je pourrais toujours jouir de son corps, mais j’étais obsédé par ce qu’elle faisait maintenant. Il était 15h et je savais que, depuis une heure, les deux femmes étaient en train de niquer fort avec mes deux africains et je voulais voir comment cela se passait et surtout comment ma nouvelle amante se comportait avec les deux hommes. Je n’étais pas jaloux mais excité d’une façon bizarre qui faisait bander mon zob et me donnait du plaisir dans mon bas ventre.
Alors, j’ai quitté le travail et je suis retourné au studio. Au lieu de cogner à la porte et risquer de les avertir, car ils étaient certainement en pleine action, je suis passé par la fenêtre, toujours ouverte (le loquet était rouillé) de la cuisine. Puis, je me suis glissé doucement vers la chambre dont la porte était entrouverte. Ils savaient tous qu’ils étaient seuls dans le studio. C’est alors que je les ai vus, les quatre en train de baiser.
L’homme était allongé sur le lit et ma belle et merveilleuse parente était assise sur son zob debout et faisait des vas et viens avec sa chatte. Sa large Terma était juste en face de la porte et me donnait des frissons et par-dessous, le zob entrait et sortait dans sa chatte ouverte comme unen bouche affamée. Elle dansait sur son zob que je distinguais parfaitement dans toute sa longueur et sa largeur. Le zob lui ouvrait la chatte qui dégoulinait sson jus de plaisir de part et d’autre et faisait briller le zob de l’africain. Elle se tortillait sur le gros zob épais en criant son plaisir à haute voix.
Elle faisait des vas et viens verticaux puis des balancements droite et gauche. Elle semblait déchainée et cela me confirmait qu’elle adorait le sexe africain, long et épais. J’étais sûr, maintenant, que les ouvriers africains connaissaient la chatte et la Terma de ma parente depuis longtemps et c’est pourquoi elle m’avait, immédiatement, proposé, pour baiser, dans les écuries tout près des ouvriers agricoles africains. Elle devait être habituée de ces lieux pour se faire lustrer la chatte et la Terma par les ouvriers, aux gros zobs si excitants pour une femme affamée de sexe, et c’était son cas. Je n’ose pas penser au cas où ma parente proposerait à ma femme d’aller baiser avec les ouvriers aux écuries. A cette pensée, j’ai eu un gros frisson de tout le corps, de plaisir ou de peur, je ne sais pas. Soudain, ma parente, sur le zob de l’homme, poussa un crié hystérique. Elle venait d’avoir un grand orgasme et s’est effondrée sur le torse de son amant.
A coté d’eux, sur le même lit, l’autre couple ne chomait pas. Le jeune était sur le ventre de ma femme, couchée sur le lit, ayant les jambes et cuisses hautement levées et largement écartées. Juste à ce moment, le jeune domestique éjacula dans la chatte de ma femme. Il avait été aussi surpris que moi du cri hystérique de ma parente à coté de lui. Ma parente, assommée par son orgasme, était resté un moment, couchée sur le ventre e l’homme et le jeune observait sa large Terma juste à sa portée.
Alors, n’y tenant plus, il sortit son zob de ma femme et se mettant a moitié debout derrière ma parente, il plongea son dard dans la Terma de ma parente et se colla à son derrière. Il est vrai que c’était un jeune, une jeune sève toujours prête, et qu’il avait encore sa bite gonflée et que la vue de la belle et large Terma blanche de ma parente était un aimant pour n’importe quel zob.
Il a plongé son zob dans sa Terma, alors qu’elle était encore allongée sur le torse de l’homme dont la bite était encore dans sa chatte. Ayant senti le zob du jeune dans son cul, ma parente a redressé son derrière en quittant le zob de l’homme. J’ai constaté que beaucoup de sperme coulait par en dessous. J’ai compris ainsi, que son amant avait déjà éjaculé avant qu’elle n’ai eu son orgasme. L’oncle, respectant la femme qui le montait a attendu qu’elle jouisse elle aussi, avant de se séparer d’elle.
Donc, il restait allongé sous la femme pendant que son jeune neveu la sodomisait avec des coups de reins puissants et surtout bruyants. Elle tendait sa Terma au maximum et le jeune était accroché à ses hanches. Il était tendu à l’extrême et rapidement il éjacula en hurlant et s’effondra sur le dos de la femme qui, de son coté, tomba sur la poitrine de l’homme. Une double pénétration et double éjaculation, c’était un tableau fortement érotique et surtout bruyant de gémissements, de halètements et de cris de jouissances.
C’en était trop pour mon zob qui se gonflait depuis un moment. Je voulais aller me masturber dans la salle de bain mais j’avais peur de faire du bruit et qu’ils ne me découvrent, surtout ma femme. Alors j’ai couru vers la cuisine, tout en me branlant et j’ai fermé la porte derrière moi. Puis, penché sur la dite porte, et abaissant mon pantalon, je me suis aussi branlé le cul avec un ou deux doigts tout en me masturbant le zob. L’effet, comme d’habitude, a été rapide et j’ai éclaboussé la porte de plusieurs jets de sperme. Heureusement que les autres continuaient à se faire des jouissances dans la chambre. Puis je me suis nettoyé le zob au lavabo de la cuisine et je suis reparti par la même fenêtre.
Les jours suivants, je n’ai plus fait l’espion et je me suis contenté de la baise de 11h avec ma parente, devant et derrière, puis une douche commune qui nous a mieux rapproché, du point de vue famille, que nos ébats sexuels. Et c’est ainsi que nous avons tous, passés les dernières semaines des préparatifs jusqu’à la semaine proprement dite du mariage et de ses fêtes et de ses nouvelles aventures.
Tout marchait à merveille jusqu’à ce jour où il y a eu un problème. J’étais dehors, assis pas très loin, attendant la sortie de ma femme à 17h, lorsque une autre personne est allé frapper à la porte du studio, alors que le trio était encore en train de baiser. C’était la femme d’un parent, invitée au mariage, venue chercher ma femme. Je la connaissais ainsi que son vieux mari, un de mes cousins, très respectable.
Le jeune domestique, croyant que je revenais au studio, a ouvert la porte à notre parente, alors qu’il était toujours en slip. Notre parente a été surprise et choquée et s’est enfuie vers l’Hacienda. Heureusement que je l’ai retenue et, en me reconnaissant, elle m’a pris de coté pour me dire que des choses se passaient dans mon studio. J’ai dis que j’allais voir cela rapidement tout en l’attirant un peu plus loin.
Hélas, encore une autre mauvaise surprise, ma femme, habillée, venait juste de sortir du studio, en jetant des regards affolés à droite et à gauche, puis elle s’est enfouie en courant vers les logements des domestiques. Heureusement qu’elle ne m’avait pas remarqué. Et, hélas immédiatement après, son amant, l’homme africain peintre est sorti, en tricot de peau et tenant sa veste sur les bras, puis il s’est dirigé vers l’échelle derrière le studio comme pour aller travailler. Enfin, ce fut le jeune domestique, vêtu entièrement, émergea du studio, jetant des regards affolés à droite et à gauche.
Notre parente, qui a tout vu même de loin, et auparavant choquée par notre jeune domestique en slip, était consternée. Pour elle, l’explication était claire, ma femme me trompait avec ces travailleurs africains, en mon absence et dans notre studio, et attendait ma réaction. Doucement et avec quelques mots confus, je l’ai entrainée vers un coin discret, derrière l’haciendas. Humblement, j’ai baissé la tête avec tristesse en soufflant fort comme si un malheur m’accablait. Ma réaction a été vite comprise par elle, alors elle s’est un peu calmée et attendait de plus amples explications. De toutes façons elle ne semblait plus affolée.
Alors, j’ai avoué que mon problème, c’était ma femme depuis longtemps, chez nous la bas dans la capitale et même à l’étranger. J’ai expliqué qu’elle me trompait depuis qu’on a été à l’étranger puis à notre retour au pays avec plusieurs hommes. Et lorsque je l’ai appris, c’était trop tard et au lieu de sévir, j’ai été faible car je l’aimais. Elle m’avait promis de ne plus continuer, mais après quelques temps, son vice l’a reprise et maintenant, je ne pouvais plus l’arrêter de peur du scandale. Heureusement qu’elle le faisait discrètement et surtout avec des étrangers.
D’abords, ma parente a été fâchée contre ma femme et même contre moi à cause de ma faiblesse et qu’il fallait divorcer rapidement. Ensuite, reprenant le thème du scandale, elle semblait comprendre le dilemme et essayait de trouver des solutions. Peut être que ma femme était une malade et qu’il fallait la soigner. J’ai avoué, toujours en baissant la tête et les yeux, que même avec moi, malgré mes efforts multiples, ma femme était insatiable et que, seule la recherche de plusieurs amants pouvait satisfaire ses désirs et ses besoins.
Alors je lui ai demandé ce qu’elle allait faire, et elle m’a répondu qu’après tout c’était un problème familial pour moi et ma femme et que ce n’etait pas à elle d’aggraver la situation. Donc elle m’a assuré qu’elle sera discrète et ne dira rien de ce qu’elle a vu, entendu et compris. Alors, je l’ai remerciée longuement, presque avec des larmes mensongères, et elle m’a quitté avec un petit sourire complice.
Après, je suis allé au studio et j’ai rassuré les deux africains, l’homme et son jeune neveu. Et le soir, aussi, je n’ai rien dis à ma femme, qui, de son coté, n’a soufflé aucun mot sur cette affaire. Et tout semblait continuer comme auparavant, sans problème. Mais, deux jours plus tard, comme parfois, j’étais revenu un peu avant que ma femme ne termine son plaisir avec ses amants à 17h, je me suis placé dans un coin discret pas très loin du studio.
Alors que je m’attendais à voir ma femme sortir du studio suivie de ses amants, ce sont deux femmes qui en sortirent. Qu’elle ne fut ma surprise de constater que l’autre femme était ma parente complice de mes confidences et qui m’avait averti.
Elle accompagnait ma femme et tout de suite elles étaient suivies par les deux africains, notre jeune domestique et son oncle peintre. Le jeune se dirigea directement vers l’arrière du bâtiment, mais l’homme, discuta un peu avec les deux femmes, tout en caressant, de la main, le cul de ma parente. Puis, il la serrant cotre lui en lui donnant un baiser, avant que les deux femmes ne partent en courant vers les bâtiments des domestiques. Puis, l’homme escalada l’échelle et reprit son travail de peintre comme si de rien n’était. Ainsi, ma parente était tombée dans le piège du sexe, comme ma femme et aimait aussi les gros zobs africains.
Au lieu de lui faire des reproches, elle a préféré gouter, elle aussi, aux jouissances du zob et de l’infidélité. Et certainement, à l’unisson de ma femme, sa chatte et sa Terma ont été honorées par les deux hommes durant tout l’après midi.
Maintenant que je savais ce qu’elle aimait faire, je revoyais en pensée son vieux mari respectable, que je connaissais un peu. C’est vrai que c’était un homme de la famille mais très âgé et aux traits fatigués et assez souvent malade depuis longtemps. Il devait être au bout du rouleau et sa femme, qui était de loin plus jeune que lui, elle faisait la trentaine, et bien charpentée par devant et par derrière, ne devait pas être souvent satisfaite de ses tentatives sexuelles. Peut-être même que son mari était bloqué et ne bandait plus depuis un certain temps.
L’occasion s’etait offerte à elle, avec ma femme, déjà dévergondée et expérimentée, pour gouter un peu de plaisir sexuel et de jouissances pour sa chatte et sa Terma. Franchement, et comme pour ma femme, je l’approuvais entièrement, et maintenant que je savais, je trouvais qu’elle n’était pas mal du tout corporellement. En y pensant, je revoyais sa silhouette très appréciable et ma bite commençait à s’agiter doucement. Ma foi, si mon zob était capable de bander pour elle, j’essaierais de prendre mon plaisir avec elle en complément du peu que me donnait ma femme.
Donc, dès le lendemain matin, j’ai réussi à l’aborder en lui avouant que je savais ce qu’elles faisaient, elle et ma femme, avec mes deux africains. D’abord effrayée, elle a essayé de s’expliquer mais comme je lui ai avoué que je l’approuvais vu la santé de son mari, elle s’est calmée. J’ai touché d’abord sa poitrine à travers ses vêtements, c’était très lourd et agréablement bandant. Puis je l’ai attirée sur mon ventre et j’ai plaqué mes mains sur son derrière. Ses hanches étaient aussi lourdes et souples et mon zob s’était gonflé contre son ventre. Si ce n’était le danger, je l’aurais détroussée ici et violée sur le champs.
Elle gloussait, preuve qu’elle éprouvait aussi du plaisir. Je comprenais pourquoi elle devait adorer les gros zobs épais, longs et durs des africains. C’était une femme chaude et prête, immédiatement, aux joies des jeux sexuels et son mari, cocu, comme moi, ne pourrait jamais éteindre les feux ardents de sa chatte et de sa Terma.
Nous étions excités à l’extrême, tous les deux. Elle m’a proposé d’aller baiser dans un bâtiment, situé derrière les logements des ouvriers agricoles africains et qui servait d’écurie pour pas mal de bêtes de mon riche cousin, mais j’ai refusé, vu sa proximité du personnel. Alors, on s’est donné rendez vous, à 11h dans mon studio. Je savais que ma femme, même lorsqu’elle baisait le matin avec ses deux amants, après mon départ au travail, ne dépassait jamais 10h pour rejoindre ensuite les femmes domestiques au travail collectif et elle ne revenait qu’à 14h pour une seconde partie de jambes en l’air de l’après-midi jusqu’à 17h.
Je pourrais donc baiser ma parente pendant au moins deux heures, jusqu’à 13h avant que les deux femmes ne reviennent à 14h vers leurs amants.
Pendant toute la matinée, chaque fois que je repensais dans ma tête et dans mes mains à la lourdeur de sa poitrine et de son derrière, je bandais. Et à l’heure dite, elle est venue au studio. Elle était prête à s’offrir, sans honte et sans complexe. Elle s’est mise immédiatement à poil, et, très à l’aise, elle s’est allongée sur le lit, jambes et cuisses haut levées et largement ouvertes. Elle m’offrait ses larges seins remplis de désirs et sa chatte, épilée et son ventre dont le mont de vénus légèrement enflé de douceur et dont la seule vue, vous fait bander. Sa chatte, à la longue fissure était une invitation à s’y engouffrer et y perdre indéfiniment corps et âme.
Elle était belle et bien remplie dans sa trentaine et j’ai plongé sur elle avec avidité pour soulager mon zob tendu dans sa chatte, assez serrée.
Presque qu’aussitôt, juste, pour moi, deux ou trois frottements pour faire gouter à mon zob la douceur de l’intérieur de sa chatte, elle, au contraire est montée au firmament. Elle s’est crispée à moi en m’entourant avec ses jambes et cuisses et a poussé un vrai hystérique. Elle venait d’avoir un bruyant orgasme dès le contact de nos deux sexes. Je vous disais que c’était une femme très chaude, affamée de zob et d’amour. Cette réaction m’a tellement excitée que, dès qu’elle m’a libérée de ses jambes, j’ai accéléré mes vas et viens dans son suc de plaisir et rapidement, la chaleur de sa chatte m’a amenée à une éjaculation brutale, rapide et presque douloureuse. Deux ou trois spasmes, mais violents m’ont gonflé à la douleur le zob et rempli la chatte de ma merveilleuse parente, et je me suis aussi écroulé sur sa lourde poitrine.
Mais rapidement, elle a repris ses esprits et commencé à m’exciter en se tortillant sous moi et en me donnant des poussées de son ventre jusqu’à presque me soulever le corps. Elle attendait encore du plaisir. Mon zob, toujours dans sa chatte avait fléchi un peu, sa chatte était encore remplie de sperme.
Sachant que je ne pourrais pas bander tout de suite, j’ai éxigé qu’elle se lève et se vide car je n’aime pas mélanger les choses. Certes, elle était déçu et attendait une seconde baise dans ou sans sperme, mais elle m’a obéit et s’est dirigée vers la salle de bain. En attendant, je me suis essuyé et rallongé sur le lit en reprenant mon souffle. Elle est capable de me tuer de plaisir, cette femme, il faut que je prenne juste ce dont j’ai besoin.
A son retour, et avant qu’elle n’atteigne le lit, je lui ai demandé de se retourner et de marcher un peu. Elle avait vite compris mon désir d’admirer son derrière et sa Terma. Alors, elle s’es retournée m’offrant sa latge Terma blanche et dodue, pleine à ravir et certainement douce au toucher. Elle a même fait quelques pas de dans danse en balançant sa Terma et en serrant ses cuisses. Ainsi, les plis juste dans la pertie inférieures de ses hanches et le dessus de ses cuisses dansaient sous mes yeux affolés.
Le désir m’a immédiatement inondé le bas ventre et mon zob a bondit. J’étais allongé sur le lit et mon zob s’est redressé presque à la verticale devant ce spectacle érotique. Elle l’a remarqué et s’est rapprochée en se mettant à genoux sur lelit et me tournant le dos. Alors je me placé derrière elle, et presque aussitôt, mon doigt qui était allé vérifié son cul, s’est glissé totalement dans son anus. Il était chaud et élastique et prêt au plisir du zob. Elle avait compris que je désirais sa Terma, après avoir gouté sa chatte. Tenant mon zob à la main, je l’ai poussé dans son anus et il s’est engouffré comme dans du beurre, tellement, sa Terma était ouverte.
Son cul s’ouvrait tellement avec facilité que je l’ai soupçonnée. Elle était certainement amatrice de sodomies, bien avant moi et cette Terma a tellement gouté et mangé de zobs de grosses tailles qu’elle s’ouvrait avec facilité à mon sexe. Tant mieux pour elle, et tant pis pour son vieux mari. Moi, pour l’instant, je prenais mon plaisir par une quinzaine de vas et viens en m’accrochant à ses larges hanches charnues,
J’étais aux anges, dans cette chair douce et chaude à la fois, vivante et me donnant de plus en plus de frissons dans le bas ventre. Je me retenais pour ne pas éjaculer trop vite car l’image même que ce corps merveilleux devant moi, était un plaisir dont je voulais retarder la séparation. Je repensais aux deux africains et peut être à bien d’autres hommes qui avaient désirés et donnés du plaisir à cette femme. Ils ont entre leurs mains ce corps fait pour le plaisir et leurs zobs l’ont labouré par devant et par derrière à merci.
Enfin, le plaisir montait de mes couilles et je ne pouvais plus le retenir plus longtemps. Alors, j’ai tout lâché. Ce fut une forte éjaculation bien meilleures que la première, de quatre ou cinq salves et qui m’a fait presque hurler de jouissances. Il est vrai qu’elle avait surtout une Terma plus large et plus belle que celle de ma femme mais surtout, plus ouverte, donc aisément bandante.
Pendant que je baisais la femme dans mon lit, les deux africains travaillaient. Le domestique était à la cuisine et le peintre, dehors sur son échelle. Ils ont beaucoup vu et tout entendu, mais ils n’ont pas soufflé un mot ou jeté un regard anormal. Ils ont du trouver nos comportements naturels pour les plaisirs sexuels et attendaient leur tour, dans une heure, pour satisfaire leurs zobs dans nos deux femmes. La femme que je baisais et qui circulait à poil dans le studio, ils l’a connaissent déjà, de corps externe et interne, de plaisrs charnels et fantasmes. Elle sera à eux, dans quelques heures et leurs zobs étaient toujours prêt à l’ouvrage.
Après mon éjaculation, nous sommes allés nous nettoyer dans la salle de bain, puis on s’est rhabillé. Ne connaissant exactement son nom, mais celui de son mari, elle m’a dit de l’appeler « zouzou », son prénom secret des plaisirs africains, puis on a quitté le studio à 13h en se donnant rendez vous le lendemain à 11h.
Je suis allé me reposer un peu plus loin, dans la verdure, pas très loin de l’hacienda et je n’ai pas pu m’empêcher de repenser à cette femme. Je revoyais surtout sa Terma très bien ouverte et sa chatte longue et brulante et assez facile à pénétrer. Sachant la santé du mari, je crois que cette femme n’était pas à ses premiers amants et qu’elle a du donner des cornes à son mari depuis très longtemps. Ainsi, je comprenais, encore mieux, sa complicité de partager, avec ma femme, les zobs de ses amants africains et son acceptation rapide à ma demande de la baiser.
Puis je suis allé voir mes parents à l’hacienda pour les aider dans les préparatifs, pendant une heure jusqu’à 14h30.
Mais vers 15h, la pensée de cette femme ne me quittait plus. Certes, elle était belle et demain je pourrais toujours jouir de son corps, mais j’étais obsédé par ce qu’elle faisait maintenant. Il était 15h et je savais que, depuis une heure, les deux femmes étaient en train de niquer fort avec mes deux africains et je voulais voir comment cela se passait et surtout comment ma nouvelle amante se comportait avec les deux hommes. Je n’étais pas jaloux mais excité d’une façon bizarre qui faisait bander mon zob et me donnait du plaisir dans mon bas ventre.
Alors, j’ai quitté le travail et je suis retourné au studio. Au lieu de cogner à la porte et risquer de les avertir, car ils étaient certainement en pleine action, je suis passé par la fenêtre, toujours ouverte (le loquet était rouillé) de la cuisine. Puis, je me suis glissé doucement vers la chambre dont la porte était entrouverte. Ils savaient tous qu’ils étaient seuls dans le studio. C’est alors que je les ai vus, les quatre en train de baiser.
L’homme était allongé sur le lit et ma belle et merveilleuse parente était assise sur son zob debout et faisait des vas et viens avec sa chatte. Sa large Terma était juste en face de la porte et me donnait des frissons et par-dessous, le zob entrait et sortait dans sa chatte ouverte comme unen bouche affamée. Elle dansait sur son zob que je distinguais parfaitement dans toute sa longueur et sa largeur. Le zob lui ouvrait la chatte qui dégoulinait sson jus de plaisir de part et d’autre et faisait briller le zob de l’africain. Elle se tortillait sur le gros zob épais en criant son plaisir à haute voix.
Elle faisait des vas et viens verticaux puis des balancements droite et gauche. Elle semblait déchainée et cela me confirmait qu’elle adorait le sexe africain, long et épais. J’étais sûr, maintenant, que les ouvriers africains connaissaient la chatte et la Terma de ma parente depuis longtemps et c’est pourquoi elle m’avait, immédiatement, proposé, pour baiser, dans les écuries tout près des ouvriers agricoles africains. Elle devait être habituée de ces lieux pour se faire lustrer la chatte et la Terma par les ouvriers, aux gros zobs si excitants pour une femme affamée de sexe, et c’était son cas. Je n’ose pas penser au cas où ma parente proposerait à ma femme d’aller baiser avec les ouvriers aux écuries. A cette pensée, j’ai eu un gros frisson de tout le corps, de plaisir ou de peur, je ne sais pas. Soudain, ma parente, sur le zob de l’homme, poussa un crié hystérique. Elle venait d’avoir un grand orgasme et s’est effondrée sur le torse de son amant.
A coté d’eux, sur le même lit, l’autre couple ne chomait pas. Le jeune était sur le ventre de ma femme, couchée sur le lit, ayant les jambes et cuisses hautement levées et largement écartées. Juste à ce moment, le jeune domestique éjacula dans la chatte de ma femme. Il avait été aussi surpris que moi du cri hystérique de ma parente à coté de lui. Ma parente, assommée par son orgasme, était resté un moment, couchée sur le ventre e l’homme et le jeune observait sa large Terma juste à sa portée.
Alors, n’y tenant plus, il sortit son zob de ma femme et se mettant a moitié debout derrière ma parente, il plongea son dard dans la Terma de ma parente et se colla à son derrière. Il est vrai que c’était un jeune, une jeune sève toujours prête, et qu’il avait encore sa bite gonflée et que la vue de la belle et large Terma blanche de ma parente était un aimant pour n’importe quel zob.
Il a plongé son zob dans sa Terma, alors qu’elle était encore allongée sur le torse de l’homme dont la bite était encore dans sa chatte. Ayant senti le zob du jeune dans son cul, ma parente a redressé son derrière en quittant le zob de l’homme. J’ai constaté que beaucoup de sperme coulait par en dessous. J’ai compris ainsi, que son amant avait déjà éjaculé avant qu’elle n’ai eu son orgasme. L’oncle, respectant la femme qui le montait a attendu qu’elle jouisse elle aussi, avant de se séparer d’elle.
Donc, il restait allongé sous la femme pendant que son jeune neveu la sodomisait avec des coups de reins puissants et surtout bruyants. Elle tendait sa Terma au maximum et le jeune était accroché à ses hanches. Il était tendu à l’extrême et rapidement il éjacula en hurlant et s’effondra sur le dos de la femme qui, de son coté, tomba sur la poitrine de l’homme. Une double pénétration et double éjaculation, c’était un tableau fortement érotique et surtout bruyant de gémissements, de halètements et de cris de jouissances.
C’en était trop pour mon zob qui se gonflait depuis un moment. Je voulais aller me masturber dans la salle de bain mais j’avais peur de faire du bruit et qu’ils ne me découvrent, surtout ma femme. Alors j’ai couru vers la cuisine, tout en me branlant et j’ai fermé la porte derrière moi. Puis, penché sur la dite porte, et abaissant mon pantalon, je me suis aussi branlé le cul avec un ou deux doigts tout en me masturbant le zob. L’effet, comme d’habitude, a été rapide et j’ai éclaboussé la porte de plusieurs jets de sperme. Heureusement que les autres continuaient à se faire des jouissances dans la chambre. Puis je me suis nettoyé le zob au lavabo de la cuisine et je suis reparti par la même fenêtre.
Les jours suivants, je n’ai plus fait l’espion et je me suis contenté de la baise de 11h avec ma parente, devant et derrière, puis une douche commune qui nous a mieux rapproché, du point de vue famille, que nos ébats sexuels. Et c’est ainsi que nous avons tous, passés les dernières semaines des préparatifs jusqu’à la semaine proprement dite du mariage et de ses fêtes et de ses nouvelles aventures.
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Je kifferai que ma femme voilée ce fasse baiser devant moi mmmm