Terma 37 – Le Taleb guerisseur de ma femme - histoire érotique

Depuis deux jours, ma femme ne profitait plus des fêtes du mariage à cause de douleurs au ventre et surtout d’insomnies insistantes qui l’empêchaient aussi d’avoir ses plaisirs sexuels avec ses amants africains. On croyait que c’était une intoxication alimentaire mais le médecin du dispensaire nous a rassuré que ce n’était pas le cas. Alors, une vielle femme africaine du voisinage, très versée sur les problèmes féminins, nous informa que, vu les symptômes visibles, mon épouse avait été attaquée par un génie malsain, provoqué peut-être, par une autre femme jalouse de la famille. Donc, il fallait l’amener chez le Taleb guérisseur africain du village, pas très loin des biens de mon cousin.
Accompagnée de la vielle femme et munie d’un peu d’argent, ma femme est allé visiter ce guérisseur dès le matin vers 09h. Elle y passa presque toute la journée et ne revint qu’ 16h au studio avec la vielle et accompagnée de ma parente. Elle semblait nettement mieux que ce matin et a même repris de sa gaieté et de son entrain. Elle m’a expliqué que le Taleb lui a donné un remède et qu’elle avait perdu connaissance et qu’elle n’a repris vraiment ses esprits que l’après midi, en meilleure santé. Le traitement doit reprendre le lendemain pendant trois ou quatre jours. Je l’ai laissée se reposer et discuter avec ma parente, sa complice.
Ensuite, je suis allé prendre l’air. avant de rejoindre, vers 20h, ma parente chez elle, pour notre soirée sexuelle jusqu’à 22h. J’avais oublié de vous dire que, ma parente, avec laquelle j’avais continué nos relations sexuelles, préférait le faire chez elle, dans son propre lit, car son vieux mari était pratiquement absent pendant toutes les fêtes. Nous nous retrouvons donc le soir vers 20h et nous faisons l’amour jusqu’à 22 ou 23h. Ensuite elle retourne chez la fête des femmes et moi à mon studio, déserté aussi, comme d’habitude, par ma femme, à la fête.
Ce soir la, après avoir eu notre plaisir et que j’aimais continuer à lui lécher la chatte qui suintait de ma semence, ma parente m’avoua ce que ma femme lui a dit l’après-midi. Elle lui a raconté en détails sa visite au guérisseur, totalement différente de ce qu’elle m’avait avoué. Certes, quant elle a raconté au Taleb ses symptômes, il lui a dit qu’il a bien compris et qu’il a les remèdes. Ensuite, il lui a fait boire un produit sucré et rapidement elle avait perdu connaissance. Mais elle s’était réveillée assez vite et elle a constaté qu’elle était couchée sur le ventre, qu’elle était complètement nue et qu’on avait mis des coussins sous son bas ventre, ce qui fait que son derrière était assez soulevée.
Elle avait donc son chatte et sa terma totalement exposées, nues au guérisseur. Elle tourna un peu la tête et elle l’a vue, un grand gaillard totalement nu lui aussi. Une large poitrine sombre et un large et gros zob noir tendu. Par des paroles douces, il l’a rassuré de ne pas avoir peur et que ça fait partie du remède. Elle a avoué à ma parente que, déjà, la seule vue de son zob l’a enchantée et qu’au lieu de demander des explications, elle était totalement prête à accepter n’importe quoi. Elle a même écarté un peu plus ses cuisses pour mieux offrir sa chatte et sa Terma au Taleb. Ce dernier lui a souri et lui a appliqué un autre remède dans la chatte et sur son contour.
C’était certainement des produits aphrodisiaques car elle était totalement excitée, déchainée et suppliait le Taleb de la baiser tout de suite. Il se mit alors derrière elle et s’étendit légèrement sur son dos. Puis, avec sa main, il enfonça son gros zob dans sa chatte affolée de désir. Elle hurla de plaisir et tendit son derrière encore plus. Le gros zob noir du Taleb la défonça jusqu’au couilles qui lui bbataient les fesses. il la pilonna doucement puis avec vigueur et enfin avec violences jusqu’à ce qu’elle hurla encore plus à cause d’un premier orgasme qui déclencha sa spirine. Elle perdit presque connaissance et ne revint à elle que doucement. Elle constata que le Taleb avait encore son gros zob enfoncé dans sa chatte et qu’il n’avait pas encore éjaculé et il continuait doucement ses vas et viens dans avec une insistance affolante.
Il lui dit qu’une partie du génie etait sortie de sa chatte et il accéléra ses coups de reins de plus en plus puissants. Une dizaine de vas et viens accentués suffirent pour procurer à ma femme un second orgasme aussi violent que le premier et elle hurla. Quant elle reprit ses esprits, le Taleb avait sorti son zob de sa chatte.
Il lui dit que sa chatte est maintenant guérie pour ce jour et que, demain, il faudrait refaire le même traitement. Mais il lui dit de rester couchée. Maintenant il lui mis son produit aphrodisiaque dans l’abus et tout autour, et elle comprit qu’il allait la sodomiser. Elle s’écarta encore plus de plaisir. Alors il pointa son zob sur son anus et il l’enfonça avec une facilité tellement merveilleuse dans ses entrailles jusqu’aux couilles qu’elle hurla encore de plaisir. Puis il l’encula doucement avec lenteur et insistance, surtout lorsqu’il enfonçait son zob, puis accéléra et enfin il la pilonna avec encore plus d’énergie que tout à l’heure et elle le sentait bien, très bien dans sa grosseur et son longueur, dans sa puissance, tout tout au fond de son cul. Elle a eu autant de plaisir et gémissait avec le bonheur de sa Terma, mais, maintenant, c’est le Taleb qui hurlait de plaisir. Il s’accrochait à ses hanches et la sodomisait avec violence jusqu’à, enfin, éclater de plaisir. Ses couilles et son zob éjectèrent plusieurs rafales de sperme brulants dans les entrailles de la femme et l’homme, épuisé, s’écroula, enfin, sur son dos de mon épouse.
Ils restèrent ainsi plusieurs minutes, lui couché sur le dos de ma femme, avec son zob toujours enfoncé dans sa Terma et du sperme qui suintait sur les fesses et les cuisses de la femme. Puis il se releva et se coucha sur le dos à coté de ma femme et lui demanda de lui offrir son troisième sexe pour le guérir. Comme elle n’avait pas compris il lui offrit son zob, légèrement courbé et luisant de speme, à nettoyer. Ainsi elle avait compris, alors, elle se releva et, à sa demande, elle se mit en 69 pour lui offrir sa chatte et sa Terma à lécher, et elle pris son zob pour l’avaler.
Ensuite, elle le suça, le branla, le lécha à fond jusqu’à ce qu’il se réveille totalement et se durcit comme auparavant. Alors, le Taleb commença à gémir de plaisir et lui demanda de forcer encore plus et elle accéléra ses sussions et ses aspirations. L’homme l’aida de ses coups de reins et après une vingtaines de vas et viens accompagnés de hurlements de l’homme et de gémissements de la femme, il éjacula et lui dit de tout avaler pour punir le génie du mal. Et ma femme avala tout le sperme jusqu’à la dernière goutte et nettoya le merveilleux gros zob noir et brillant de semence.
Ensuite ils se reposèrent un instant et le Taleb lui dit que ses trois sexes ont été guéris pour ce jour mais qu’il fallait refaire cela le lendemain amis avec deux conditions. La première, d’ici la, ma femme ne devra avoir aucune autre relation sexuelle par ses trois sexes, avec aucun homme et aucune femme jusqu’à ce que lui, il viendra, avec son produit et son zob, lui procurer le seul remède. Autre condition, c’est lui qui viendra chez elle et elle doit lui fixer rendez vous. Alors elle lui demanda de venir à 9h, lorsque son mari, donc, moi, quitte le studio vers 08h. Le Taleb pourra ainsi la guérir de 09h à 14h et même au delà si nécessaire.
Et c’est ainsi que m’a raconté ma parente de ce que ma femme lui avait avoué avec plaisir. Ma parente m’a bien précisé que ma femme était déchainée de désir et de plaisir en lui racontant les détails de ses relations avec le zob du Talab et qu’elle attendait avec impatience le lendemain matin. Que pouvais-je dire ou faire sinon que ma femme méritait son plaisir. Moi-même, en écoutant ma parente me raconter tous les détails, nous nous sommes tous les deux excités à fond et sa chatte coulait de désir. Alots, je me suis couché sur elle et j’ai enfoncé mon zob, qui s’était gonflé, lui aussi, depuis un bon moment, dans sa chatte ruisselante de désir.
Après notre plaisir, et avant de nous quitter pour le lendemain soir, et vu l’état dans lequel l’histoire de ma femme l’avais mise, je l’ai provoquée. Je lui ai demandé si elle n’avait as, elle aussi, un peu mal au ventre et des insomnies et qu’elle avait besoin du Taleb guérisseur. Elle m’a fixée longuement des yeux puis elle elle a éclaté d’un rire hystérique, plein de désir. Je suis sûr qu’elle voyais déjà l’image du gros zob noir du Taleb goflé et prêt à lui donner elle aussi autant de plaisir qu’à à ma femme. Je lui ai souri comme une sorte d’acceptation et elle est partie, rassurée. J’étais donc sûr et certain que, demain, elles seront à deux, en binôme, avec le Taleb car je savais depuis toujours, que ma femme est très partageuse et adorait le sexe en groupe.