Terma 39 : Safia, femme de Rachid et les marchands ambulants
Récit érotique écrit par Noura [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-07-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Terma 39 : Safia, femme de Rachid et les marchands ambulants
Terma 39 : Safia, femme de Rachid et les marchants ambulants Je connaissais le couple Rachid et Safia bien avant leur mariage il y a 30 ans et pas mal de leurs problèmes et confidences. Mais ils viennent de se séparer alors que Rachid a 50 ans et Safia 47 et paraissaient pourtant en bons termes. Je savais depuis toujours que Rachid était gay et aimait faire plaisir à sa Terma, mais sa femme ne le savait pas. Et pendant toutes ces années, ils ont bien vécu en famille, apparemment sans problèmes majeurs, et ils ont même eu deux garçons, maintenant mariés et travaillent à l’étranger.
Comme Safia s’était souvent confié à moi pour ses petites disputes avec son mari, mon ami, je l’ai poussée à m’expliquer les raisons de leur querelle et séparation à l’amiable. Elle m’avait donné quelques excuses que j’ai rapidement écarté et j’ai insisté jusqu’à faire semblant de me fâcher. Et après plusieurs jours d’hésitations, en la poussant au fond de la confidence privée, elle a craqué et fini par m’avouer qu’elle avait découvert que Rachid était gay depuis des années et que cela l’avait choquée. Mais comment l’avait-elle su ?
Comme ils avaient depuis des années un PC familial commun, chacun l’utilisait pour ses besoins propres. Si les dossiers et e-mails de Safia étaient en clairs, Rachid, par contre, y avait, en plus, un gros dossier avec mot de passe. Mais sa femme l’avait décodé (c’était la date de naissance de Safia !) depuis longtemps mais n’avait jamais osé l’ouvrir en détails. Mais comme maintenant, depuis plus de deux années, leurs relations sexuelles s’étaient diminuées jusqu’à être nulles les six derniers mois, elle a eu la puce à l’oreille. Elle a pensé à une autre femme pour son mari. Elle a donc ouvert le dossier et regardé les fichiers privés de Rachid qui contenait des sites gays, des vidéos de sodomies, des photos d’hommes nus et de zobs de toutes sortes.
D’abord choquée, elle s’est tu pendant quelques jours, puis, un soir, poussée, peut-être, par ses besoins sexuels frustrés, elle s’est disputée avec Rachid et a fini par lui avouer ce qu’elle avait découvert. Il a d’abord protesté pour son fichier secret, puis il a été obligé de lui avouer sa situation et qu’il continuait à pratiquer, même à 50 ans. Safia a versé quelques larmes , puis, ils se sont calmés et ont décidé de ne rien faire de fâcheux. Et après environ un mois de réflexions, ils ont décidé de ne plus avoir de relation maritale et de se séparer à l’amiable, mais sans divorcer. Donc, ils vont continuer à vivre dans la même maison dont Rachid assurera tous les besoins, comme avant, mais chacun sera totalement libre de ses actions. En somme, Rachid continuera ses sodomies pour faire plaisir à sa Terma et Safia est libre si elle désire à avoir des amants pour satisfaire ses besoins sexuels frustrés, mais discrètement.
Et c’est ainsi que la vie de Safia a complètement changé sexuellement. Privée de sexe sérieux depuis des années, elle a tout de suite cherché une occasion, un zob pour sa chatte sevrée. Mais elle n’avait pas d’expérience, alors elle m’a fait des avances puisque j’étais proche et dans la confidence. Safia était une très belle femme et surtout à son âge, son corps était plein de vie et de désir, mais j’ai hésité un peu. Elle a du le dire à Rachid qui m’a contacté pour me dire qu’il préférait que ce soit moi, son ami, qui baise avec sa femme au lieu d’inconnus. Alors j’ai sauté la barrière et j’ai eu avec Safia, dans le lit de son mari et dans le lien, chez moi plusieurs séances de baises. Elle a une soua (chatte) douce et chaude en même temps et dès que je l’ai pénétré, il m’ semblé que mon zob s’est gonflé et allongé encore plus. J’ai eu du plaisir dès le premier contact et j’ai foncé. Elle a eu, très rapidement un orgasme agité et btuyant. J’ai bien ressenti le fleuve de mouille de sa chatte qui pulsait de part et d(autre de mon zob et ça m’a encore affolé. Alors j’ai accéléré jusqu’à perdre presque perdre, moi aussi, conscience et j’ai éjaculé plusieurs fois avec des coups de belier à chaque pulsation. Safia hurlait autant que moi et nous sommes tombé dans les pommes.
Après, Safia m’a dit que je baisais nettement lieux que Rachid et que mon zob était formidable. Pour une femme sans expérience en sexe, sauf avec son mari gay, ce compliment n’avait pas beaucoup de valeur pour moi. Mais après plusieurs séances chaudes et jouissantes, pratiquement deux mois de baise, Safia s’est avérée grande affamée de sexe et presque insatiable. Elle criait toujours son plaisir et s’gitait beaucoup en se tendant vers le zob quant je le retirait un peu puis elle hurlait de jouissances lorsque je m’enfonçais en elle avec force. A tel point, qu’au bout de ces deux mois, j’avais compris que je ne pouvais plus satisfaire ses besoins qui se sont avérés très importants.
Alors, j’ai cherché, pour elle, d’autres amants, mais le problème de la discrétion était majeur, surtout dans notre ville et voisinage. J’ai donc eu l’idée de la faire baiser par des gens de passage, des inconnus qui ne résident qu’un jour ou deux dans notre ville. C’étaient les marchands ambulants des souks d’un jour et qui vont de ville en ville sans se fixer. Je l’ai expliqué à Safia qui m’a confiée la mission de faire le necessaire pour elle. Et un jour, je l’ai amenée au souk de la semaine. Et parmi les marchants qui étalaient leurs effets devant leur camionnette-roulette, j’ai repéré un homme d’une quarantaine d’années qui me semblait faire l’affaire d’après mes critères. Il avait une belle prestance, bras retroussés et chemise ouverte sur sa poitrine velue, ayant de grosses moustaches et était très dynamique dans le contact avec les clients et clientes.
J’ai alors invité Safia de choisir des vêtements et surtout de marchander avec l’homme, tout en baissant son voile et en lui découvrant son visage et son sourire. L’homme refusa d’abord de baisser ses prix, mais Safia a du lui faire un ou deux clins d’œil et son sourire a piégé l’homme qui a changé d’attitude. Je n’étais pas loin et j’ai bien observé la drague de Safia. Elle a demandé à l’homme s’il avait d’autres choses dans la roulotte et l’homme a sauté sur l’occasion et l’a invitée à y pénétrer, ce qu’elle fit discrètement. L’homme a appelé son jeune voisin de garder un œil sur sa marchandise étalée et a rejoint Safia dans la roulotte dont il a fermé la porte latérale. Alors, je me suis dirigé derrière la roulotte et, discrètement, j’ai collé mon oreille sur le métal. J’ai parfaitement entendu les gloussements et rires de Safia ainsi que chuchotements de l’homme. Puis, des froissements de vêtements et enfin un gros cri de Safia que j’ai bien entendu « ah ! wach hadha zeb ! » ( oh quel zob ! ). Puis, l’homme poussa un grand « ah » suivi d’un « han » puissant, accompagné d’un long « oh » de Safia. Je savais que le zob de l’homme venait de pénétrer la chatte de la femme avec toute la violence du désir des deux partenaires affamés. Ensuite, les hans de l’homme et les flop-flop des vas et viens du zob dans la chatte devinrent très distincts et les gémissements de Safia de plus en plus bruyants et accélérés.
Elle gueulait « ya souti ! achab3i ! hadha zeb akhcine wa m’tine ! wa h’lou !) ( ô ma chatte ! rassasies toi ! c’est un zob gros, épaix et puissant ! et aussi doux !) et l’homme « hal’li ! hal’li f’khadhak ! dhoug ya zébi a’soua s’khouna ! ya kahba ! e’nikak ! wa’n jiblak r’jaal inikouk wa chab3ouk ! » (ecartes ! écartes tes cuisses ! goutes ô mpn zob la chatte échaudée ! putain ! je te nique ! puis je t »ménerais des hommes pour te niquer et te rassasier !). Ceci dit au milieu de souffles saccadés de désir. Leurs ébats durent beaucoup plus qu’un quart d’heure durant lesquelles j’ai entendu le cri affolé de Safia lors de son premier orgasme. Curieusement, elle cria dans un rire bruyant et hystérique :« ah ! ya e’zeb ! ak’talatni ! zidni ! zidni !» ( ô ! zob ! tu m’as tué ! donnes ! donnes encore ! ) Et ils ont continué et enfin, ce fut un autre cri commun, presque un hurlement qu’ils essayaient d’étouffer, ce fut l’éjaculation du zob du marchant dans les entrailles da la chatte de Safia. Ensuite, Safia lui a dit « n’sahtak ya rajal ! a’tnaffasstou n’ta wa zebek fi souti ! rani n’chouf zébak mazal wagaf ! n’zidou a’nikou ! ana rani mazala’t khawya ! » ( bien pour toi ô homme ! alors, vous êtes soulagés toi et ton zob dans ma chatte ! je vois ton zob encore gonflé ! on continue à niquer ! moi, je suis toujours affamée ! ) mais l’homme : « yassar 3’lya ! anti k7ba ou soutak 3atchana ! dhourouk n’jiblak a’zbouba li ichab’3ouk ! » ( àa suffit pour moi ! tu es i,e putain et ta chatte est assoiffée ! maintenant je vais t’amener des zobs qui vont te rassasier ! ) Ensuite, du silence puis quelques chuchotements. Enfin j’entendis l’homme ouvrir la porte de la roulotte. Alors, rapidement j’ai accouru de l’autre coté. Le marchant discutait avec le jeune homme auquel il avait confié la garde de sa marchandise. Mais Safia était restée à l’intérieur de la roulotte. Puis, j’ai vu le jeune qui s’éloignait en courant comme si le marchant lui avait confié une mission. Quelques minutes plus tard, un autre homme, visiblement un autre marchand est arrivé et après quelques discussions avec le baiseur de Safia, il a pénétré, à son tour dans la roulotte et a fermé la porte. Ce nouvel homme venait de rejoindre Safia, donc pour une autre séance de plaisir et de jouissances pour la chatte de mon amie Safia. Le premier marchant avait donc appelé un de ses copains pour une partie de plaisir dans sa roulotte avec cette cliente visiblement affamée de zobs. Et encore une fois, je suis retourné derrière la roulotte et j’ai écouté. Comme auparavant, quelques chuchotements puis rapidement des « oh » et des « ah » extasiés de Safia suivis de ses gémissements de plus en plus bruyants et accélérés. L’homme, affolé par cette occasion formidable d’une si belle femme, s’est jetée sur elle, en extrême vitesse, le zob gonflé à bloc de désir.
Il lui a sauté dessus avec une extrême rapidité et presque en silence car, immédiatement, avec la force et la violence du désir sexuel, il a du enfoncer son zob dans la chatte de la femme, certainement jusqu’aux couilles car j’ai pratiquement entendu le choc et le claquement des deux ventres l’un contre l’autre et le hurlement de plaisir de Safia. Enfin j’ai entendu Sfua « bi sassya ya rajal ! zebak g’3arli souti ! rah idawar youkhroujli mine dhahri ! » ( doucement ! ô homme ! ton zob m’a défoncé la chatte ! il va sortir dans mon dos !). Et l’homme : « hal’li fkhadhak zayne ou sakri foumok ! dhourouk t’choufi h’lawate zébi ! ou qouwat e’nayka a’nta3ou ! » ( écartes bien tes cuisses et fermes ta gueule ! tu vas voir la félicité de mon zob ! et la puissance de sa baise !). Cette pénétration sauvage a provoqué chez les deux amants des cris de jouissances, presque des hurlements et j’entendais parfaitement leurs souffles bruyants et saccadés. En collant mieux mon oreille, j’ai aussi distingué les flops répétés et accélérés des vas et viens du zob gonflé dans la chatte mouillée et encore pleine de sperme de Safia. Et j’ai presque clairement entendu les paroles de Safia qui criait « ya zeb lakhchine ! ziid ! nikni ! ziid ! baradli souti ! » (ô gros zob ! continues ! nique moi ! continues ! éteint ma chatte !). Et l’homme de répondre « hati ! hati soutik lam3asla ! zébi m’ta’n’nane 3’liha ki outad ! » (donnes ! donnes ta chatte mieleuse ! mon zob est gonflé comme un pieu pour elle !). Et ils continuèrent ainsi en s’excitant mutuellement par l’acte et les paroles. Mais cette seconde séance de jouissances a duré nettement moins que la première car l’homme semblait pressé et Safia encore chaude de désir.
Mais, lorsqu’il a éjaculé, il a autant crié que le premier et Safia en a fait de même. Ensuite, je suis retourné de l’autre coté, mais, surprise, la porte de la roulotte restait fermée. Alors, encore une fois, je suis revenu rapidement derrière la roulotte et j’ai recollé mon oreille. Et je les ai entendu, distinctement et qui baisaient encore une fois. L’homme avait donc de la ressource dans son zob et ses couilles et Safia était toujours consentante car affamée de zob gonflé. L’homme, dans un souffle saccadé disait « hatiha ! mazalat s’khouna bi chahouwa ! zébi mazal m’ta’n’nane 3’liha ! n’zidou nikou a’soua hamra’t a’chouarab !) » (connes la moi ! elle est encore chaude de désir ! mon zob est toujours gonflé pour elle ! on vas encore niquer la chatte aux rouges lèvres !). Et le rire gras et hystérique de lui répondre « hahi layk souti ya rajal al qawy ! zébék a’3jaha ou habalha ! chahia a’nayk m’3ah bil qoua ! layh nikni ya rajal ! nikni ma ta7bassacj ! » ( elle a toi ma chatte ô homme puissant ! ton zob lui plait et l’affole ! elle désire la baise avec lui et avec force ! vas y niques moi ô homme ! niques moi et ne t’arrpetes pas !).
Safia me semble affolée par les prouesses du zob de cet homme et elle en redemande. Alors ils repartis de plus belle dans leurs plaisirs et jouissances avec cris et hurlements sans retenues. J’entendais les mêmes gémissements et les mêmes vas et viens du zob dans la chatte et le souffle bruyant et saccadé de l’homme. Les clapotis du zob dans la chatte mouillée étaient encore plus bruyants qu’avant et cela excitait mes sens et mon zob, mais je suis resté tranquille. Enfin, l’homme poussa son cri de délivrance lorsqu’il explosa une seconde fois dans les entrailles de la femme. La chatte de Safia doit être, maintenant remplie, inondées des trois spermes qu’elle a reçue. Safia a du vider une partie sur le sol de la roulotte mais sa chatte doit encore avoir avalé pas mal de ce nectar masculin. Enfin, j’entendais la porte s’ouvrir, alors, je suis retourné vers la partie avant. J’ai vu le second homme, qui bouclait son pantalon, puis donner quelque chose au premier et j’étais sûr que c’était le prix de la baise de Safia, puis il s’est éloigné. Le marchant a ouvert la porte et parlé avec Safia, puis il a refermé.
Ensuite, il a appelé encore le jeune homme pour lui glisser quelques mots à l’oreille et aussitôt le gosse est parti en courant. Trois minutes plus tard, un troisième homme, marchant c’était sur, s’est présenté et après quelques mots, il est entré dans la roulotte rejoignant ainsi Safia. On était parti pour une autre séance de baise, alors je suis retourné derrière la roulotte pour écouter. Et ce fut presque la même chanson que pour le second amant, mais cette fois Safia était restée silencieuse et je n’entendais que le souffle btuyant et saccadé de l’homme ainsi que les clapotis du zob dans la chatte mouillée. A la fin de la baise j’ai aussi bien entendu le cri de délivrance de l’homme au moment de son éjaculation, mais aucun signe de Safia. Mais j’ai entendu l’homme lui demander une seconde baise car il avait encore quelques ressources dans les couilles. « ya kahba ! n’zidou a’nikou ! mazal zébi wagaf ! ou qlawya fihoum 3assal a’rjaal ! » ( ô putain ! on continue à niquer ! mon est toujours gonflé ! et mes couilles encore remplies du miel des hommes !).
Et Safia lui répondit d’une voix, me selble t-il, assez lasse : « nike ya rajal ! nike ! hahi souti miliana za’n’na ! t’ssahalak a’nayka ! faraq qlawyk ! » ( niques ô homme ! noqie ! vois ma chatte pleine de sperme ! elle te facilite la baise ! vides tes couilles !). Effectivement, cet homme désirait aussi une secinde séance avec la femme et il a repris avec les mêmes souffles et gémissments bruyants et saccadés jusqu’à une seconde éjaculation. Il souffla sa délivrance : « ah ya zébi ! ch’7aal 7louwa soutak ya kahba ! ou toussroute m’li7 e’za’n’na ! » ( ô mon zob ! putain, ta chatte est si douce ! et elle avale bien le sperme !).
Je savais qu’il allait se retirer et que le marchant allait chercher un autre client pour Safua, mais je n’étais plus d’accord. D’aborsd, ça devenait ennuyeux et j’ai décidé de faire arrêter la chose. Safia n’a pas m’air de comprendre qu’elle était entrain de faire des passes comme une putain pour les marchants et ses copains, alors qu’on désirait seulement faire un peu de plaisir extra pour sa chatte. Alors, dès que j’ai entendu la porte s’ouvrir, j’ai tapé sur le métal de la roulotte et j’ai crié « khlass ! khlass ! khlass ! ». Safia m’a certainement entendu et compris car je l’ai entendu, juste après, ouvrir la porte de la roulotte. C’était juste au moment où j’ai rejoins la partie avant, discrètement. Enfin, Safia est sorti de la roulotte, bien habillée et même avec son foulard qui cachait une parie de son visage, l’hypocrite. Elle a discuté un moment avec le marchant qui lui a remis de l’argent et une étoffe, puis elle s’est éloignée.
Elle a joué son rôle de putain et le marchant l’avait très bien compris et l’a payée, sans problème. Après quelques mètres, je l’ai rejointe. A ma demande, elle m’a avoué que ce fut une expérience merveilleuse, surtout avec un inconnu puis avec un autre et avec un troisième, comme les putains, avant même que tout le sperme des premiers ne soit totalement déversé sur le sol. Elle m’a dit que le Second homme a sorti immédiatement son zob et l’a poussée, le ventre sur les vêtements au sol, puis il a pénétré sa chatte par derrière en lui tenant les hanches. Et rapidement, après quelques vas et viens dans sa chatte encore mouillée du sperme du premier marchant, il a éjaculé. Ensuite, il s’est relevé et il lui a demandé de se coucher sur le dos car son zob était encore gonflé de désir. Elle m’a avoué que malgré les deux baises qu’elle venait d’avoir, la vue du zob de cet homme l’a excitée. Il était nettement plus gros et plus long que celui du premier et du mien. C’était un monstre mais si désirable et il l’a baisée, cette fois couchée sur le dos, les jambes et cuisses levées haut et jointes parfois sur les reins de l’homme. Elle m’a dit qu’elle avait désiré qu’il reste longtemps dans sa chatte et dans cette position mais, après une dizaine ou plus de vas et viens il a encore éjaculé. Et, malgré que sa chatte était remplie de sperme, elle a joui ave cet homme, même maintenant, elle pense encore à ce gros zob, hélas éphémère.
Avec le troisième, ce fut rapide même avec deux baises l’une par devant et l’autre par derrière. Elle n’a pratiquement pas eu de plaisir, et son zob glissait dans sa chatte avec tellement de facilité, à cause du sperme, qu’elle ne le sentait même pas. Et quant il a éjaculé et crié, elle pensait toujours au zob du second. Ensuite, elle a entendu ce que je lui disais à travers le mur, derrière la roulotte, et a compris et c’est pourquoi elle s’est rajustée et sorti. Quant elle est sorti de la roulotte, et avec quelques mots de plaisir, le marchant lui a donné de l’argent et offert une robe, qu’elle m’a montrés. Il lui a demandé si elle voulait qu’il lui procure encore d’autre hommes pour sa chatte ou sa Terma, mais elle a refusé. Ensuite elle m’a rejointe, toute contente de son expérience.
Curieusement, elle m’a demandé si la sodomie était douloureuse, mais je l’ai rassurée, lui promettant de lui dépuceler la Terma le plus tôt possible et de l’initier à ce nouveau plaisir qui lui ouvrira de nouveaux horizons de jouissances sexuelles. Il faudrait que lui apprenne aussi à ne plus accepter les éjaculations dans sa chatte mais par terre ou à la rigueur sur son ventre ou ses fesses seulement, quitte à faire des sussions et des branles finales aux zobs des clients. Il faudrait aussi que je marchande moi-même, directement, avec les clients, sur le nombre de séances et les prix et bien d’autres choses. Et c’est ainsi que je suis devenu le complice et peut-être le maquereau de Safia dans ses plaisirs et jouissances avec les marchants ambulants des souks.
Comme Safia s’était souvent confié à moi pour ses petites disputes avec son mari, mon ami, je l’ai poussée à m’expliquer les raisons de leur querelle et séparation à l’amiable. Elle m’avait donné quelques excuses que j’ai rapidement écarté et j’ai insisté jusqu’à faire semblant de me fâcher. Et après plusieurs jours d’hésitations, en la poussant au fond de la confidence privée, elle a craqué et fini par m’avouer qu’elle avait découvert que Rachid était gay depuis des années et que cela l’avait choquée. Mais comment l’avait-elle su ?
Comme ils avaient depuis des années un PC familial commun, chacun l’utilisait pour ses besoins propres. Si les dossiers et e-mails de Safia étaient en clairs, Rachid, par contre, y avait, en plus, un gros dossier avec mot de passe. Mais sa femme l’avait décodé (c’était la date de naissance de Safia !) depuis longtemps mais n’avait jamais osé l’ouvrir en détails. Mais comme maintenant, depuis plus de deux années, leurs relations sexuelles s’étaient diminuées jusqu’à être nulles les six derniers mois, elle a eu la puce à l’oreille. Elle a pensé à une autre femme pour son mari. Elle a donc ouvert le dossier et regardé les fichiers privés de Rachid qui contenait des sites gays, des vidéos de sodomies, des photos d’hommes nus et de zobs de toutes sortes.
D’abord choquée, elle s’est tu pendant quelques jours, puis, un soir, poussée, peut-être, par ses besoins sexuels frustrés, elle s’est disputée avec Rachid et a fini par lui avouer ce qu’elle avait découvert. Il a d’abord protesté pour son fichier secret, puis il a été obligé de lui avouer sa situation et qu’il continuait à pratiquer, même à 50 ans. Safia a versé quelques larmes , puis, ils se sont calmés et ont décidé de ne rien faire de fâcheux. Et après environ un mois de réflexions, ils ont décidé de ne plus avoir de relation maritale et de se séparer à l’amiable, mais sans divorcer. Donc, ils vont continuer à vivre dans la même maison dont Rachid assurera tous les besoins, comme avant, mais chacun sera totalement libre de ses actions. En somme, Rachid continuera ses sodomies pour faire plaisir à sa Terma et Safia est libre si elle désire à avoir des amants pour satisfaire ses besoins sexuels frustrés, mais discrètement.
Et c’est ainsi que la vie de Safia a complètement changé sexuellement. Privée de sexe sérieux depuis des années, elle a tout de suite cherché une occasion, un zob pour sa chatte sevrée. Mais elle n’avait pas d’expérience, alors elle m’a fait des avances puisque j’étais proche et dans la confidence. Safia était une très belle femme et surtout à son âge, son corps était plein de vie et de désir, mais j’ai hésité un peu. Elle a du le dire à Rachid qui m’a contacté pour me dire qu’il préférait que ce soit moi, son ami, qui baise avec sa femme au lieu d’inconnus. Alors j’ai sauté la barrière et j’ai eu avec Safia, dans le lit de son mari et dans le lien, chez moi plusieurs séances de baises. Elle a une soua (chatte) douce et chaude en même temps et dès que je l’ai pénétré, il m’ semblé que mon zob s’est gonflé et allongé encore plus. J’ai eu du plaisir dès le premier contact et j’ai foncé. Elle a eu, très rapidement un orgasme agité et btuyant. J’ai bien ressenti le fleuve de mouille de sa chatte qui pulsait de part et d(autre de mon zob et ça m’a encore affolé. Alors j’ai accéléré jusqu’à perdre presque perdre, moi aussi, conscience et j’ai éjaculé plusieurs fois avec des coups de belier à chaque pulsation. Safia hurlait autant que moi et nous sommes tombé dans les pommes.
Après, Safia m’a dit que je baisais nettement lieux que Rachid et que mon zob était formidable. Pour une femme sans expérience en sexe, sauf avec son mari gay, ce compliment n’avait pas beaucoup de valeur pour moi. Mais après plusieurs séances chaudes et jouissantes, pratiquement deux mois de baise, Safia s’est avérée grande affamée de sexe et presque insatiable. Elle criait toujours son plaisir et s’gitait beaucoup en se tendant vers le zob quant je le retirait un peu puis elle hurlait de jouissances lorsque je m’enfonçais en elle avec force. A tel point, qu’au bout de ces deux mois, j’avais compris que je ne pouvais plus satisfaire ses besoins qui se sont avérés très importants.
Alors, j’ai cherché, pour elle, d’autres amants, mais le problème de la discrétion était majeur, surtout dans notre ville et voisinage. J’ai donc eu l’idée de la faire baiser par des gens de passage, des inconnus qui ne résident qu’un jour ou deux dans notre ville. C’étaient les marchands ambulants des souks d’un jour et qui vont de ville en ville sans se fixer. Je l’ai expliqué à Safia qui m’a confiée la mission de faire le necessaire pour elle. Et un jour, je l’ai amenée au souk de la semaine. Et parmi les marchants qui étalaient leurs effets devant leur camionnette-roulette, j’ai repéré un homme d’une quarantaine d’années qui me semblait faire l’affaire d’après mes critères. Il avait une belle prestance, bras retroussés et chemise ouverte sur sa poitrine velue, ayant de grosses moustaches et était très dynamique dans le contact avec les clients et clientes.
J’ai alors invité Safia de choisir des vêtements et surtout de marchander avec l’homme, tout en baissant son voile et en lui découvrant son visage et son sourire. L’homme refusa d’abord de baisser ses prix, mais Safia a du lui faire un ou deux clins d’œil et son sourire a piégé l’homme qui a changé d’attitude. Je n’étais pas loin et j’ai bien observé la drague de Safia. Elle a demandé à l’homme s’il avait d’autres choses dans la roulotte et l’homme a sauté sur l’occasion et l’a invitée à y pénétrer, ce qu’elle fit discrètement. L’homme a appelé son jeune voisin de garder un œil sur sa marchandise étalée et a rejoint Safia dans la roulotte dont il a fermé la porte latérale. Alors, je me suis dirigé derrière la roulotte et, discrètement, j’ai collé mon oreille sur le métal. J’ai parfaitement entendu les gloussements et rires de Safia ainsi que chuchotements de l’homme. Puis, des froissements de vêtements et enfin un gros cri de Safia que j’ai bien entendu « ah ! wach hadha zeb ! » ( oh quel zob ! ). Puis, l’homme poussa un grand « ah » suivi d’un « han » puissant, accompagné d’un long « oh » de Safia. Je savais que le zob de l’homme venait de pénétrer la chatte de la femme avec toute la violence du désir des deux partenaires affamés. Ensuite, les hans de l’homme et les flop-flop des vas et viens du zob dans la chatte devinrent très distincts et les gémissements de Safia de plus en plus bruyants et accélérés.
Elle gueulait « ya souti ! achab3i ! hadha zeb akhcine wa m’tine ! wa h’lou !) ( ô ma chatte ! rassasies toi ! c’est un zob gros, épaix et puissant ! et aussi doux !) et l’homme « hal’li ! hal’li f’khadhak ! dhoug ya zébi a’soua s’khouna ! ya kahba ! e’nikak ! wa’n jiblak r’jaal inikouk wa chab3ouk ! » (ecartes ! écartes tes cuisses ! goutes ô mpn zob la chatte échaudée ! putain ! je te nique ! puis je t »ménerais des hommes pour te niquer et te rassasier !). Ceci dit au milieu de souffles saccadés de désir. Leurs ébats durent beaucoup plus qu’un quart d’heure durant lesquelles j’ai entendu le cri affolé de Safia lors de son premier orgasme. Curieusement, elle cria dans un rire bruyant et hystérique :« ah ! ya e’zeb ! ak’talatni ! zidni ! zidni !» ( ô ! zob ! tu m’as tué ! donnes ! donnes encore ! ) Et ils ont continué et enfin, ce fut un autre cri commun, presque un hurlement qu’ils essayaient d’étouffer, ce fut l’éjaculation du zob du marchant dans les entrailles da la chatte de Safia. Ensuite, Safia lui a dit « n’sahtak ya rajal ! a’tnaffasstou n’ta wa zebek fi souti ! rani n’chouf zébak mazal wagaf ! n’zidou a’nikou ! ana rani mazala’t khawya ! » ( bien pour toi ô homme ! alors, vous êtes soulagés toi et ton zob dans ma chatte ! je vois ton zob encore gonflé ! on continue à niquer ! moi, je suis toujours affamée ! ) mais l’homme : « yassar 3’lya ! anti k7ba ou soutak 3atchana ! dhourouk n’jiblak a’zbouba li ichab’3ouk ! » ( àa suffit pour moi ! tu es i,e putain et ta chatte est assoiffée ! maintenant je vais t’amener des zobs qui vont te rassasier ! ) Ensuite, du silence puis quelques chuchotements. Enfin j’entendis l’homme ouvrir la porte de la roulotte. Alors, rapidement j’ai accouru de l’autre coté. Le marchant discutait avec le jeune homme auquel il avait confié la garde de sa marchandise. Mais Safia était restée à l’intérieur de la roulotte. Puis, j’ai vu le jeune qui s’éloignait en courant comme si le marchant lui avait confié une mission. Quelques minutes plus tard, un autre homme, visiblement un autre marchand est arrivé et après quelques discussions avec le baiseur de Safia, il a pénétré, à son tour dans la roulotte et a fermé la porte. Ce nouvel homme venait de rejoindre Safia, donc pour une autre séance de plaisir et de jouissances pour la chatte de mon amie Safia. Le premier marchant avait donc appelé un de ses copains pour une partie de plaisir dans sa roulotte avec cette cliente visiblement affamée de zobs. Et encore une fois, je suis retourné derrière la roulotte et j’ai écouté. Comme auparavant, quelques chuchotements puis rapidement des « oh » et des « ah » extasiés de Safia suivis de ses gémissements de plus en plus bruyants et accélérés. L’homme, affolé par cette occasion formidable d’une si belle femme, s’est jetée sur elle, en extrême vitesse, le zob gonflé à bloc de désir.
Il lui a sauté dessus avec une extrême rapidité et presque en silence car, immédiatement, avec la force et la violence du désir sexuel, il a du enfoncer son zob dans la chatte de la femme, certainement jusqu’aux couilles car j’ai pratiquement entendu le choc et le claquement des deux ventres l’un contre l’autre et le hurlement de plaisir de Safia. Enfin j’ai entendu Sfua « bi sassya ya rajal ! zebak g’3arli souti ! rah idawar youkhroujli mine dhahri ! » ( doucement ! ô homme ! ton zob m’a défoncé la chatte ! il va sortir dans mon dos !). Et l’homme : « hal’li fkhadhak zayne ou sakri foumok ! dhourouk t’choufi h’lawate zébi ! ou qouwat e’nayka a’nta3ou ! » ( écartes bien tes cuisses et fermes ta gueule ! tu vas voir la félicité de mon zob ! et la puissance de sa baise !). Cette pénétration sauvage a provoqué chez les deux amants des cris de jouissances, presque des hurlements et j’entendais parfaitement leurs souffles bruyants et saccadés. En collant mieux mon oreille, j’ai aussi distingué les flops répétés et accélérés des vas et viens du zob gonflé dans la chatte mouillée et encore pleine de sperme de Safia. Et j’ai presque clairement entendu les paroles de Safia qui criait « ya zeb lakhchine ! ziid ! nikni ! ziid ! baradli souti ! » (ô gros zob ! continues ! nique moi ! continues ! éteint ma chatte !). Et l’homme de répondre « hati ! hati soutik lam3asla ! zébi m’ta’n’nane 3’liha ki outad ! » (donnes ! donnes ta chatte mieleuse ! mon zob est gonflé comme un pieu pour elle !). Et ils continuèrent ainsi en s’excitant mutuellement par l’acte et les paroles. Mais cette seconde séance de jouissances a duré nettement moins que la première car l’homme semblait pressé et Safia encore chaude de désir.
Mais, lorsqu’il a éjaculé, il a autant crié que le premier et Safia en a fait de même. Ensuite, je suis retourné de l’autre coté, mais, surprise, la porte de la roulotte restait fermée. Alors, encore une fois, je suis revenu rapidement derrière la roulotte et j’ai recollé mon oreille. Et je les ai entendu, distinctement et qui baisaient encore une fois. L’homme avait donc de la ressource dans son zob et ses couilles et Safia était toujours consentante car affamée de zob gonflé. L’homme, dans un souffle saccadé disait « hatiha ! mazalat s’khouna bi chahouwa ! zébi mazal m’ta’n’nane 3’liha ! n’zidou nikou a’soua hamra’t a’chouarab !) » (connes la moi ! elle est encore chaude de désir ! mon zob est toujours gonflé pour elle ! on vas encore niquer la chatte aux rouges lèvres !). Et le rire gras et hystérique de lui répondre « hahi layk souti ya rajal al qawy ! zébék a’3jaha ou habalha ! chahia a’nayk m’3ah bil qoua ! layh nikni ya rajal ! nikni ma ta7bassacj ! » ( elle a toi ma chatte ô homme puissant ! ton zob lui plait et l’affole ! elle désire la baise avec lui et avec force ! vas y niques moi ô homme ! niques moi et ne t’arrpetes pas !).
Safia me semble affolée par les prouesses du zob de cet homme et elle en redemande. Alors ils repartis de plus belle dans leurs plaisirs et jouissances avec cris et hurlements sans retenues. J’entendais les mêmes gémissements et les mêmes vas et viens du zob dans la chatte et le souffle bruyant et saccadé de l’homme. Les clapotis du zob dans la chatte mouillée étaient encore plus bruyants qu’avant et cela excitait mes sens et mon zob, mais je suis resté tranquille. Enfin, l’homme poussa son cri de délivrance lorsqu’il explosa une seconde fois dans les entrailles de la femme. La chatte de Safia doit être, maintenant remplie, inondées des trois spermes qu’elle a reçue. Safia a du vider une partie sur le sol de la roulotte mais sa chatte doit encore avoir avalé pas mal de ce nectar masculin. Enfin, j’entendais la porte s’ouvrir, alors, je suis retourné vers la partie avant. J’ai vu le second homme, qui bouclait son pantalon, puis donner quelque chose au premier et j’étais sûr que c’était le prix de la baise de Safia, puis il s’est éloigné. Le marchant a ouvert la porte et parlé avec Safia, puis il a refermé.
Ensuite, il a appelé encore le jeune homme pour lui glisser quelques mots à l’oreille et aussitôt le gosse est parti en courant. Trois minutes plus tard, un troisième homme, marchant c’était sur, s’est présenté et après quelques mots, il est entré dans la roulotte rejoignant ainsi Safia. On était parti pour une autre séance de baise, alors je suis retourné derrière la roulotte pour écouter. Et ce fut presque la même chanson que pour le second amant, mais cette fois Safia était restée silencieuse et je n’entendais que le souffle btuyant et saccadé de l’homme ainsi que les clapotis du zob dans la chatte mouillée. A la fin de la baise j’ai aussi bien entendu le cri de délivrance de l’homme au moment de son éjaculation, mais aucun signe de Safia. Mais j’ai entendu l’homme lui demander une seconde baise car il avait encore quelques ressources dans les couilles. « ya kahba ! n’zidou a’nikou ! mazal zébi wagaf ! ou qlawya fihoum 3assal a’rjaal ! » ( ô putain ! on continue à niquer ! mon est toujours gonflé ! et mes couilles encore remplies du miel des hommes !).
Et Safia lui répondit d’une voix, me selble t-il, assez lasse : « nike ya rajal ! nike ! hahi souti miliana za’n’na ! t’ssahalak a’nayka ! faraq qlawyk ! » ( niques ô homme ! noqie ! vois ma chatte pleine de sperme ! elle te facilite la baise ! vides tes couilles !). Effectivement, cet homme désirait aussi une secinde séance avec la femme et il a repris avec les mêmes souffles et gémissments bruyants et saccadés jusqu’à une seconde éjaculation. Il souffla sa délivrance : « ah ya zébi ! ch’7aal 7louwa soutak ya kahba ! ou toussroute m’li7 e’za’n’na ! » ( ô mon zob ! putain, ta chatte est si douce ! et elle avale bien le sperme !).
Je savais qu’il allait se retirer et que le marchant allait chercher un autre client pour Safua, mais je n’étais plus d’accord. D’aborsd, ça devenait ennuyeux et j’ai décidé de faire arrêter la chose. Safia n’a pas m’air de comprendre qu’elle était entrain de faire des passes comme une putain pour les marchants et ses copains, alors qu’on désirait seulement faire un peu de plaisir extra pour sa chatte. Alors, dès que j’ai entendu la porte s’ouvrir, j’ai tapé sur le métal de la roulotte et j’ai crié « khlass ! khlass ! khlass ! ». Safia m’a certainement entendu et compris car je l’ai entendu, juste après, ouvrir la porte de la roulotte. C’était juste au moment où j’ai rejoins la partie avant, discrètement. Enfin, Safia est sorti de la roulotte, bien habillée et même avec son foulard qui cachait une parie de son visage, l’hypocrite. Elle a discuté un moment avec le marchant qui lui a remis de l’argent et une étoffe, puis elle s’est éloignée.
Elle a joué son rôle de putain et le marchant l’avait très bien compris et l’a payée, sans problème. Après quelques mètres, je l’ai rejointe. A ma demande, elle m’a avoué que ce fut une expérience merveilleuse, surtout avec un inconnu puis avec un autre et avec un troisième, comme les putains, avant même que tout le sperme des premiers ne soit totalement déversé sur le sol. Elle m’a dit que le Second homme a sorti immédiatement son zob et l’a poussée, le ventre sur les vêtements au sol, puis il a pénétré sa chatte par derrière en lui tenant les hanches. Et rapidement, après quelques vas et viens dans sa chatte encore mouillée du sperme du premier marchant, il a éjaculé. Ensuite, il s’est relevé et il lui a demandé de se coucher sur le dos car son zob était encore gonflé de désir. Elle m’a avoué que malgré les deux baises qu’elle venait d’avoir, la vue du zob de cet homme l’a excitée. Il était nettement plus gros et plus long que celui du premier et du mien. C’était un monstre mais si désirable et il l’a baisée, cette fois couchée sur le dos, les jambes et cuisses levées haut et jointes parfois sur les reins de l’homme. Elle m’a dit qu’elle avait désiré qu’il reste longtemps dans sa chatte et dans cette position mais, après une dizaine ou plus de vas et viens il a encore éjaculé. Et, malgré que sa chatte était remplie de sperme, elle a joui ave cet homme, même maintenant, elle pense encore à ce gros zob, hélas éphémère.
Avec le troisième, ce fut rapide même avec deux baises l’une par devant et l’autre par derrière. Elle n’a pratiquement pas eu de plaisir, et son zob glissait dans sa chatte avec tellement de facilité, à cause du sperme, qu’elle ne le sentait même pas. Et quant il a éjaculé et crié, elle pensait toujours au zob du second. Ensuite, elle a entendu ce que je lui disais à travers le mur, derrière la roulotte, et a compris et c’est pourquoi elle s’est rajustée et sorti. Quant elle est sorti de la roulotte, et avec quelques mots de plaisir, le marchant lui a donné de l’argent et offert une robe, qu’elle m’a montrés. Il lui a demandé si elle voulait qu’il lui procure encore d’autre hommes pour sa chatte ou sa Terma, mais elle a refusé. Ensuite elle m’a rejointe, toute contente de son expérience.
Curieusement, elle m’a demandé si la sodomie était douloureuse, mais je l’ai rassurée, lui promettant de lui dépuceler la Terma le plus tôt possible et de l’initier à ce nouveau plaisir qui lui ouvrira de nouveaux horizons de jouissances sexuelles. Il faudrait que lui apprenne aussi à ne plus accepter les éjaculations dans sa chatte mais par terre ou à la rigueur sur son ventre ou ses fesses seulement, quitte à faire des sussions et des branles finales aux zobs des clients. Il faudrait aussi que je marchande moi-même, directement, avec les clients, sur le nombre de séances et les prix et bien d’autres choses. Et c’est ainsi que je suis devenu le complice et peut-être le maquereau de Safia dans ses plaisirs et jouissances avec les marchants ambulants des souks.
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