Terma 53- Zaki et sa femme en Afrique (2)

- Par l'auteur HDS Noura -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Terma 53- Zaki et sa femme en Afrique (2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-04-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Terma 53- Zaki et sa femme en Afrique (2)
Terma 53- Zaki et sa femme en Afrique (2) :Ainsi, commença une année de travail et de plaisirs sexuels partagés pour Zaki et surtout sa femme Samia qui raffole des sexes noirs des maliens. Presque chaque soir, dans la maison du Directeur, tous les enseignants hommes et femmes et leurs invitées externes se donnaient de la jouissance dans la chambre des plaisirs. Et Samia, avec le total et presque indifférent accord de son mari présent, jouissait au moins deux fois avec le gros zob du Directeur, dans sa chatte et dans son cul, puis une fois avec celui de l’autre jeune enseignant malien, souvent en sodomie qu’elle goutait beaucoup. L’autre enseignant français ne l’avait presque jamais intéressé, lui-même s’occupait plutôt des femmes maliennes invitées à la soirée. Pendant tout le premier trimestre, Samia s’était contentée de ses deux amants. Mais un jour, un petit incident allait changer les choses. Un de ses jeunes élèves s’étant absenté dans sa classe pendant plusieurs jours, elle décida, le samedi matin d’aller s’expliquer avec ses parents. Elle a eu l’accord de son Directeur, la veille, et son mari a refusé de l’accompagner préférant son lit.
Alors, avec l’aide d’un autre élève, dans le village, elle trouva facilement la petite maison, faite en terre, de son jeune absent. Comme personne ne répondait à ses coups à la porte, elle contourna la maison sachant que les habitants, pour la plupart, possédaient derrière, un verger et même des arbres et souvent un terrain moyen où ils produisaient quelques céréales, fèves, poix chiches…Et en effet, elle vit, la bas deux silhouettes qui travaillaient, courbées vers le sol. Elle s’assit sur une sorte de banc en terre adossé au mur de la maison et les observa un moment. Elle distingua un homme et son jeune élève à ses cotés. Ils finirent la ligne, puis se retournèrent et démarrèrent la ligne vers la maison. Arrivés au bout, à une dizaine de mètres de Samia, ils virent la femme assise et qui leur fit un signe de la main. Aussitôt le jeune courut vers sa maîtresse, suivi par l’homme. Rapidement le jeune expliqua qu’il aidait son père au travail toute la journée, voila la raison de son absence. Lorsque le père arriva au niveau de Samia, et qu’il essaya d’expliquer, elle l’arrêta en l’assurant qu’elle comprenait très bien et qu’elle aidera ensuite son fils à rattraper ses cours, surtout en calculs et en français. Elle observait cet homme, en bras de chemise et était impressionnée par sa large poitrine qui luisait de sueur. Son pantacourt, comme un short au dessus des genoux, montraient ses gros mollets et on devinait ses cuisses puissantes que le short enveloppait difficilement. Samia, sensible comme à son habitude, ressentit une sorte d’onde érotique lui amollir le corps et sa chatte commença à mouiller son petit slip. Elle savait qu’elle voulait le zob de cet homme, et le plus vite possible. Son regard glissa un moment vers la braguette de l’homme qui s’en aperçu aussitôt, ce qui eu une réaction immédiate sur son zob qui commença à gonfler le short. Leurs regards se croisèrent et se comprirent. Alors, Samia expliqua qu’elle va les laisser finir leur travail et qu’elle reviendra, en soirée, vers 18h ou 19h pour aider son élève. Puis, elle partit toute joyeuse, la chatte en chaleur et la tête pleine de fantasmes pour ce nouveau zob malien.
Le reste de la journée fut normale et vers 18h, elle mit sa robe légère, sous laquelle elle était totalement nue, se couvrit d’un long châle sur ses épaules et qui descendait et la couvrait jusqu’au bas du dos. Elle avait déjà informé son mari de sa soirée, et n’ayant eu aucune objection, elle partit à son rendez vous. Le jeune élève l’attendait devant la maison. Son père, habillé d’une large gandourah, faisait la cuisine et elle commença à donner son cours à l’élève pendant plus d’un quart d’heure, puis elle lui donna des exercices. Ensuite, elle rejoignit son père qui était maintenant derrière la maison, assis sur le long et large banc de terre sur lequel il avait étalé une grande couverture. Comme ce matin, le banc était nu, Samia comprit que la couverture était sur le futur lit de leurs ébats sexuels. Elle vit aussi rapidement que la gandourah avait une grosse bosse au niveau du bas ventre, donc, il bandait pour elle. Et comme, elle-même coulait de la chatte, elle n’hésita pas. Elle jeta son châle et ôta sa robe et, nue devant lui, elle écarta les jambes et cuisses pour lui offrir ses seins et sa chatte brulante de désir. Aussitôt l’homme se leva et l’enlaça brutalement et l’embrassa. Son zob cognait le ventre de la femme. Aussitôt, il enleva sa gandourah et apparut, totalement nu à Samia. Elle put ainsi voir son long et gros zob noir qui pointait à l’horizontal et oscillait de désir. Rapidement, et avec impatience il l’allongea sur la couverture, elle ouvrit ses jambes et cuisses, il se mit à genoux entre elles et tenant son zob à la main, il répondit tout de suite à leurs désirs communs et impatients. Il enfonça son zob dans la chatte ruisselante de Samia qui hurla de plaisir et il le poussa au fond jusqu’aux couilles, ce qui fit claquer son bas ventre contre celui de la femme. Ensuite, il commença la danse du sexe par des vas et viens, tantôt lascifs et prolongés, tantôt rapides et saccadés. Samia, pendant la demi heure suivante, eu trois ou quatre orgasmes qui la firent tous hurler sans tenir compte de l’enfant qui pouvait les écouter, dans la maison. L’homme soufflait et gémissait aussi bruyamment ses jouissances. Tout en baisant la femme, il pelotait et même maltraitait ses seins et les embrassait et suçait leurs gros boutons gonflés de désir.
Ils firent l’amour aussi longtemps que l’homme le voulait. Plusieurs fois, il était sur le point d’éclater, mais il se retenait car il voulait rester le plus longtemps possible dans la chaude et douce chatte rose de cette belle femme qui s’est donnée à lui dès leur premier contact. Il réussit à la faire jouir presque une demi-heure, puis, il sortit son zob pour éjaculer dehors, mais elle mit ses jambes autour des reins de l’homme et par signe demanda qu’il lui remplisse la chatte de son sperme. Alors, l’homme, sans hésiter, recommença la danse endiablée et puissante de son zob et de ses reins jusqu’au bout. Arrivé au top, il s’accrocha à la femme, puis éjacula dans ses fondements, quatre gros jets de sperme et un cinquième plus fluide. A chaque jet, il donnait un gros coup de rein et un hurlement en parallèle à celui de la femme qui criait en continue ses jouissances. Enfin, il s’effondra sur la poitrine de Samia, le zob toujours à l’intérieur de la chatte.
Sachant qu’il était trop lourd pour la femme, il se coucha sur le coté. Samia, étourdie de plaisir avait fermé les yeux et semblait dormir. Au bout de dix minutes, l’homme est resté, nu à ses cotés, ne voulant pas la réveiller. Enfin, elle bougea et se tourna, de l’autre coté, vers le mur. Ainsi, l’homme avait devant ses yeux éblouis, les larges hanches, les belles fesses blanches et charnues de Samia. Aussitôt, sans lui demander son avis, son zob se réveilla de nouveau et rapidement il se gonfla aussi fort qu’auparavant. Il ne savait pas si cette femme pratiquait la sodomie, mais avec une terma pareille, il avait des soupçons. Pour vérifier, il se tourna vers elle, lui caressa les hanches et les fesses, puis le profond sillon du cul. Rapidement, il arriva à l’anus qu’il manipula avec précautions et réussit à y introduire un doigt. En réalité, Samia avait bougé pendant les caresse et gonflé un peu son derrière ce qui a facilité le doigt dans son cul. La souplesse de l’anus et les mouvements de la femme encouragèrent l’homme qui avança son gros zob gonflé et le frotta sur les fesses et le sillon du cul. Aussitôt Samia bomba le derrière et offrit sa terma à l’homme. Alors, sans hésiter, il se redressa, se mit derrière la femme, lui écarta les fesses et poussa son zob, lubrifié par son propre sperme.. Samia bomba encore mieux sa terma et se mit presque à genoux sur le banc.
L’homme se mit entre les cuisses écartées de Samia et introduisit son gros zob facilement dans son anus où il s’enfonça en vitesse jusqu’au fond. L’homme comprit que cette femme était une grande amatrice de sodomie. Lui-même aimait aussi niquer les culs quant l’occasion se présentait. Alors, il fonça dans cette merveilleuse terma de Samia. Accroché aux larges hanches souples de la femme, il accéléra ses vas et viens dans ce cul aussi doux et souple que la chatte qui ruisselait de sperme par-dessous. Un bon quart d’heure, sinon plus, il ne comptait plus car il était encore plus affamé de cette terma qu’il ne l’était tout à l’heure de la chatte. Il faisait danser son gros zob, le faisait presque sortir puis l’enfonçait avec force, ce qui faisait hurler Samia. Lui-même, par les gestes de son zob et le spectacle de cette large terma et cet anus élastique qui s’ouvrait avec délices, était affolé de jouissances. Hélas, le plaisir arriva encore une fois et, sans hésiter cette fois, il éjacula deux, trois et presque quatre fois dans le cul de Samia. Il resta un moment planté dans la terma de la femme, jouissant du plaisir et du spectacle de son zob enfoncé jusqu’aux couilles, puis il se retira doucement. Son sperme jaillissait de la terma et coulait vers la chatte plus bas. Samia s’effondra sur la couverture du banc et resta presque évanouie. L’homme se releva et se dirigea vers un bassin, pas très loin, où il se nettoya au robinet. Puis, il remit sa gandourah et recouvrit Samia de sa robe. Ensuite il alla voir son fils qu’il trouva, totalement endormi sur la table de son travail. Cela ne semblait pas inquiéter l’homme, son fils doit avoir l’habitude de voir son père recevoir des femmes et leur faire l’amour.
Puis il retourna vers la femme et la réveilla. Elle était tellement contente de la prestation de l’homme qu’elle l’enlaça et l’embrassa avec fougue, tout en lui manipulant le lourd zob à travers la gandourah. Elle remarqua qu’ils n’avaient pratiquement pas beaucoup parlé et l’absence de femme dans sa maison n’avait même pas attiré son attention. Il lui dit qu’il était veuf depuis des années et qu’il a toujours refusé de se remarier malgré les multiples prétendantes. Il préférait amener des maitresses de temps à autre chez lui, cela suffisait à ses désirs. Elle lui demanda l’heure qui était déjà 21h passées, alors elle lui promit qu’elle reviendra chaque soir à 19h. Deux heures d’amour avec lui pourraient satisfaire sa chatte et sa terma pour la nuit. Il accepta son offre, puis elle se nettoya au robinet, s’habilla et partit chez elle. Le gosse, réveillé par son père, la raccompagna jusqu’à l’entrée de l’école.
Son mari n’était pas à la maison, mais il y avait de quoi manger à la cuisine. Elle savait où il était, chez le Directeur, avec toute l’équipe. Elle se restaura et réfléchit si elle devait les rejoindre ou pas. Mais elle avait été si bien servie par le zob de l’homme que sa chatte semblait tranquille. Alors, elle mit son pyjama et se mit au lit avec un bouquin. Mais au bout d’une demi-heure, elle savait et imaginait encore mieux ce qui se passait dans la maison du Directeur. Rapidement, c’est sa terma qui commença à la démanger, puis ce fut sa chatte qui se réveilla. Impossible de résister à ses sens, à ses désirs. Et, rapidement, tout son corps exigeait de l’amour physique. Alors, elle enleva son pyjama, mit sa robe habituelle de visite, puis elle alla rejoindre le groupe, chez le Directeur. Elle avait envie, encore ce soir, de sentir le gros, large et long zob de son Directeur dans sa chatte et sa terma et peut-être aussi de celui, aussi souple et gros du jeune malien dans sa terma. Elle était tellement excitée qu’elle courait presque vers la maison des plaisirs.
La bas, la fête habituelle était à son comble comme d’habitude. Seul le Directeur remarqua son arrivée, les autres étaient occupés d’eux-mêmes et de leurs partenaires. Le Directeur lui rappela, presque avec courroux, qu’ils l’attendaient, lui et son gros zob, avec impatience depuis un bon moment. Il avait l’air de se douter de quelque chose. Et tout de suite après, il l’amena dans la chambre des plaisirs où il la déshabilla rapidement. Puis, contrairement à ses habitudes, il contrôla avec ses doigts, la chatte et l’anus de la femme. Rapidement, et malgré qu’elle s’était bien nettoyée mais pas douchée, il constata des restes de sperme dans les deux orifices. Il lui dit qu’il l’avait soupçonnée dès que son mari lui avait expliqué la raison de son retard. La connaissant, il avait comprit qu’elle n’allait pas rater la connaissance d’un autre zob malien dans sa chatte et sa terma, ce qu’il vient de vérifier facilement. Oh, cela ne le dérangeait pas, au contraire, cette infidélité, ce nouveau gros zob malien dans les sexes de Samia allait donner encore plus de fantaisie et d’excitations à leurs ébats.
Alors, il enfonça son zob dans la chatte encore chaude et frémissante. Il commença lentement ses vas et viens pour essayer de ressentir les restes de sperme de l’autre homme et qui facilitaient les glissements de son zob. Cela l’excitait de baiser la chatte sur le sperme du précédent baiseur, surtout inconnu. Il fit plusieurs vas et viens de ce genre et son zob, se gonfla encore plus à cause de l’excitation que le Directeur ressentait dans sa tête. Enfin, la femme remua sous lui, et il comprit qu’elle désirait une baise plus violente, habituelle. Alors, il fonça et ses vas et viens devinrent rapides, accélérés et violents. Ses coups de reins faisaient maintenant hurler Samia comme à son d’habitude et lui aussi, sa respiration devint accéléré et bruyamment rauque. Mais, toujours à ses pensées initiales, il exigea de Samia qu’elle lui raconte exactement son aventure de l’après-midi. Elle essaya de nier mais, rapidement, le zob dans sa chatte et l’autorité de son Directeur, aidant, elle fut obligé de tout avouer. Excité, il exigea des détails tout en forçant les coups de son zob. Elle raconta tous les détails de ses ébats avec l’homme sur son banc de verger. Cela augmenta tellement l’excitation du Directeur, qu’il arriva trop vite à son top et il éjacula dans la chatte.
Puis, sans attendre, et la retournant, il lui ouvrit le cul avec ses doigts, puis enfonça son zob dans la terma et recommença ses mouvements d’amour. Son zob était toujours très gonflé et suintait même de son sperme. Mais cela ne le dérangeait pas et il la sodomisa en exigeant la suite de l’histoire. Elle racontait, mais dans cette position à genoux sur le lit, elle avait de la peine. Elle essayait de maitriser les plaisirs de la sodomie, dont elle a toujours été grande amatrice et racontait son aventure. Des détails, encore plus de détails, voila ce qu’exigeait le Directeur qui pilonnait son cul avec violence. Elle détaillait sur les dimensions et les forces du zob du père de son élève, sur ses gestes, ses coups de reins et encore des détails. Enfin, ils perdirent tous les deux le sens de l’histoire et ne s’occupèrent plus que de la sodomie. Ils hurlaient leur plaisir et leurs jouissances et enfin, après un long quart d’heure, le Directeur arriva à éjaculer dans la terma de Samia. Prenant un peu de repos, elle dut avouer qu’elle avait promis au père de son élève qu’elle viendrait le voir, chaque après-midi, pour la baiser et la sodomiser et le Directeur lui conseilla d’y aller puis de revenir tout lui raconter.
Et c’est ainsi que Samia commença une nouvelle vie sexuelle, partagée entre celle de son groupe chez le Directeur et celle de son amant, père de son élève. Cette aventure extérieure lui donna beaucoup de plaisir extra et même des idées. En effet, elle décida de draguer d’autres pères de ses élèves pour se faire plaisir. Elle ne choisissait que les veufs et allait toujours baiser chez eux entre 19h et 21h pour se libérer ensuite, pour la soirée, à son Directeur et ses amis.

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