Terma 71 : Si Ali et sa nouvelle femme Layla à Paris (1):
Récit érotique écrit par Noura [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-01-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Terma 71 : Si Ali et sa nouvelle femme Layla à Paris (1):
Le vieux militaire retraité Si Ali, 65 ans, est un riche propriétaire de magasins de vêtements et de troupeaux de moutons. Après 35 ans de mariage, il vient de perdre, il y a trois mois, sa vielle femme (60 ans). Comme ses six enfants s’étaient, depuis longtemps, mariés et installés chacun pour soi, et qu’il avait ses habitudes, il a décidé de se remarier rapidement. Si Ali n’était pas un homme ordinaire, non seulement à cause de son passé militaire, mais aussi de sa richesse et sa réussite sociale et économique, mais surtout d’une certaine qualité personnelle, sa capacité et ses prouesses sexuelles. En effet, Si Ali avait plusieurs maitresses de tous âges et même quelques jeunes culs masculins au service de son gros zob, long et puissant, résistant et insatiable. Sa pauvre femme, qui était pourtant belle et bien remplie et fertile ne le suffisait pas et a du finir par accepter ses infidélités flagrantes. Il passait souvent ses nuits hors du lit conjugal pour ne revenir qu’à l’aube, avec l’odeur persistante de son sperme et du parfum de ses maitresses. Même ses enfants qui savaient tout, et ne pouvant rien faire, se sont éloignés petit à petit de lui.
En voulant choisir sa nouvelle femme, il tomba sur Layla, une jeune veuve de 30 ans qui a perdu son mari Si Tahar, il y a à peine six mois. Si Tahar (55 ans) était un ami de Si Ali et a toujours été un peu malade depuis qu’il avait épousé Layla. Et c’est ainsi que Si Ali qui était trop souvent invité chez son ami, a réussi à draguer sa jeune femme Layla, d’abord par ses cadeaux, qu’elle cachait à son mari, ensuite et surtout par son gros zob dès qu’elle a accepté de coucher avec lui. Layla était une femme autant gourmande de zob que Si Ali l’était pour les chattes et les culs. Et cela l’a poussé à accepter facilement l’adultère du zob de Si Ali, surtout qu’en le comparant avec celui de son mari, chetif et trop souvent malade. Et ce qui a encore facilité leur liaison, c’est qu’il arrivait souvent à son mari Si Tahar d’être hospitalisé pendant quelques jours. Ainsi, Si Ali pouvait occuper son lit, des nuits entières, avec son zob entre les cuisses ou les fesses de Layla la jeune et belle infidèle. Et pendant les six mois de veuvage de Layla, Si Ali quittait rarement et la maison et le lit de Layla, prétextant aider la jeune veuve de son ancien ami. Sa femme savait ce qui se passait, mais ne pouvait rien faire et de plus, elle était malade. Et lorsqu’elle quitta ce monde et que Si Ali se trouva totalement libre, les deux amants décidèrent de se marier et ce fut fait rapidement. Puis, pour éviter les critiques et rumeurs, ils partirent en voyage de noces à Paris. Un de leurs amis leur a recommandé une pension à Paris, tenue par le vieux Marcel (62 ans), un ancien juif du bled, et ils s’y installèrent comme chez soi. En couple heureux, ils passèrent les journées en visites dans tous les sites et quartiers de la ville lumière et prirent partout des photos et des vidéos. Suite à l’invitation de leurs hôtes, ils dinaient toujours le soir, après les clients, ensemble avec Marcel et sa femme Rebecca (52 ans). Puis, ils montent dans leur chambre et font l’amour longuement, parfois même jusqu’à l’aube selon car leurs besoins en sexe, et à tous les deux, étaient assez consistants. Tout marchait bien jusqu’au jour où Si Ali suivit le mauvais conseil de sa femme qui lui proposait de rentrer dans un cinéma porno.
Ils prirent place, dans l’obscurité de la salle et dès les premiers instants, ils furent captivés par l’écran et les images et gémissements les excitèrent chacun de son coté. Captivés, Si Ali avait tenu et même sorti machinalement son zob et le caressait sans même s’en rendre compte et Layla avait plongé sa main droite sous sa robe bien retroussée sur ses cuisses écartées, et glissée dans son slip pour se caresser la chatte et frotter le clitoris. Elle n’avait pas remarqué qu’un homme s’était assis à coté d’elle, de l’autre partie de son mari et avait sorti lui aussi sa queue pour se branler. Après un moment, l’homme saisit la main gauche, libre de Layla, et la glissa doucement sur sa bite chaude et dure. Layla, les yeux toujours sur l’écran, et sans même voir son voisin, empoigna fortement sa queue et commença à l’astiquer croyant que c’était celle de son mari. Elle n’avait même pas remarqué que c’était de l’autre coté de son mari, tellement elle était penchée en avant excitée par l’écran qu’elle fixait avec avidité. L’homme, encouragé, se pencha aussi un peu et allongea son autre main droite, libre, sous les cuisses écartées de Layla et rejoignit la main de la femme sur sa chatte. Et il enfonça son doigt entre les lèvres de la chatte et frotta avec son pouce le clitoris de la femme hypnotisée de désir. Layla, grisée de jouissances ferma enfin les yeux et se concentra sur ses deux excitations, le zob dur et chaud de l’homme dans sa main agile et les branles des doigts dans sa chatte et son clitoris. Et ce qui devait arriver, arriva. Elle eu, presque de suite, un puis un second orgasme qui inonda sa chatte et ses cuisses et son souffle haletant et ses gémissements pourtant étouffés la trahirent. Mais son mari qui haletait aussi par la branle de son zob, restait hypnotisé par l’écran. Mais Layla continuait à branler son voisin et la aussi, ce qui devait arriver, arriva. Le plaisir des couilles de l’homme se déclencha et son zob, toujours dans la douce main de Layla, éjacula fortement par quatre fois et avec un souffle rauque et prolongé. Malheureusement pour cette fois, Si Ali qui se branlait doucement, plus en moins en silence et le souffle saccadé, fut attiré par le cri de l’homme qui éjaculait. Il tourna un peu la tête et dans la semi obscurité de la salle, il vit ce qui se passait à ses cotés. Sa femme, à sa gauche avait sa robe bien soulevé et ses cuisses bien visibles et écartées et les deux mains qui branlaient sa chatte et cela le choqua et le cloua sur son fauteuil et il en oublia l’écran. Maintenant, ses yeux voyaient mieux et, pire, il vit la main de sa femme, de l’autre coté, tenant solidement et encore branlant le long zob de son voisin, une queue bien debout et raide et vit enfin les deux dernières éjaculations et leurs longs jets de sperme qui allèrent polluer le dossier du siège devant. Sa femme,penchée en arrière sur le dossier, avait encore les yeux fermés, plongée dans l’extase de ses deux plaisirs et jouissait en gémissant doucement. Il en oublia de se branler.
Qu’allait-il faire ? Un scandale dans cette salle de porno, qu’il avait lui-même choisi ? Est ce que sa femme était consciente ce qu’elle faisait et surtout avec qui ? Rapidement il prit une décision sage pour l’instant. Il préféra faire semblant de rien voir. Alors, il se retourna vers l’écran, se pencha entièrement, les bras sur le dossier du siège avant, et plongea son regard complètement sur l’écran, comme hypnotisé. Mais, ses autres sens étaient tous pointés sur ce qui se passait à coté. Effectivement, quant la femme à fini de jouir et que le sperme de l’homme lui a pollué la main, elle rouvrit les yeux et s’y intéressa. C’est alors qu’elle vit l’homme et sa propre main sur son gros zob, et d’un geste vif elle la retira et eu un recul du corps. Elle sentit et vit aussi, la main de l’homme entre ses cuisses écartées, fouiller dans sa chatte et avec sa propre main, et eu un second choc. Alors, elle se secoua, et fit même le geste brusque de se lever de son siège. Ce qui fit reculer la main de l’homme, tomber sa robe et recouvrir ses cuisses et sa chatte. L’homme, comprenant la situation, préféra s’arrêter la, et escamota son zob dans sa braguette, puis, avec rapidité, il se leva et s’éloigna discrètement. Tout cela a été senti mais pas totalement vu par Si Ali. Mais, quant sa femme se leva entièrement, il se tourna vers elle comme pour savoir ce qui se passe. Ses yeux seulement interrogateurs et sa voix tranquille ont un peu calmé Layla qui pense que son mari n’a rien vu. Si Ali lui demanda si le film ne lui plaisait pas, mais Layla, bien tranquillisée, préféra se rassoir et avec un sourire un peu forcé dit à son mari que tout va bien. Et ils reprirent, hypocrites tous les deux, la vision de l’écran alors que leurs esprits étaient ailleurs, dans les images de la séance de sexe que Layla et son homme voisin ont eu dans l’incognito.
Layla reprit es esprits lentement et réajusta son slip, écarté de sa chatte mouillée, inondée de son jus de désir et de jouissances. Elle se souvient de ses deux orgasmes formidables , les yeux fermés et sa main tenant le gros zob de son voisin. Ces images et ces pensées l’excitèrent au point que sa chatte reprit ses démangeaisons et un peu sa mouille. Elle ressentait encore la forme du zob et la sensation chaude et visqueuse du sperme et les chocs des éjaculations sur sa main gauche alors que sa droite était, avec les doigts de son voisin, plongées dans sa chatte et son clitoris. Elle pensait qu’elle devrait regretter ce qui s’était passé, mais elle se dit qu’elle n’avait cherché cela mais c’était le destin qui avait forcé les choses. Et puis, cela lui a procuré beaucoup de plaisir et de jouissances dans sa chatte, dans sa main et sa tête, la preuve, elle sent encore la chair dure du zob dans sa main et les doigts fouineurs dans sa chatte et cela l’excita encore. Alors, elle plongea de nouveau dans le désir, et, presque sans réfléchir, elle se pencha en avant et, par décision, elle envoya sa main gauche, celle qui tenait la queue de l’homme, vers la braguette de son mari. Celui-ci, qui avait aussi dans la tête toutes ces images nettes qu’il avait très bien vues et l’avaient choquées et excitées en même temps, senti la femme de sa femme qui rampait vers lui. Cela lui donna un choc de désir brutal et son zob bondit dans sa prison. Alors, il ouvrit sa braguette et dégagea sa queue qui fut aussitôt saisie par Layla qui commença lentement et avec douceur à la branler. Et comme comme le mari était déjà excité, son zob s’est gonflé et durci rapidement par désir, Layla augmenta et accéléra sa masturbation. Si Ali, se pencha en arrière pour bien offrir son zob à la main de sa femme. Celle-ci, voulant peut être s’excuser de ce qui s’est passé ou simplement par désir, plongea la tête vers le zob et se mit à le lécher avec plaisir. Si Ali sentit la chaude bouche de sa femme qui le léchait puis le suçait, alors, il allongea son bras pour lui caresser le dos et le cul. Il lui tripota le derrière vers le sillon des fesses et elle se souleva, quittant un peu son fauteuil pour lui permettre de soulever sa robe et accéder à son slip. Il put ainsi glisser sa main à l’intérieur du slip pour lui caresser les fesses et lui doigter l’anus, puis se penchant encore, il atteignit l’entre cuisses et la chatte. Ses doigts constatèrent que sa femme était excitée et que son slip était totalement mouillé, alors il lui chuchota de l’ôter. Elle se démena un peu sans quitter le zob de son mari et enleva son slip puis, se levant carrément et soulevant sa robe, elle se dénuda et lui tournant le dos, elle s’assit sur les cuisses de son mari. Et tous les deux, en s’aidant, avec désir et adresse, glissèrent le zob dans l’anus et le plongèrent avec passion « ahhh » difficilement étouffé, jusqu’aux couilles, à l’intérieur de la chatte brulante. Layla, s’appuyant sur le dossier du siège avant, commença à remuer et danser de la chatte sur le gros zob de son ami et ils baisèrent ainsi longuement et à leur aise. Leurs gémissements et souffles rythmés et saccadés, légèrement étouffés s’accélérèrent au fur et à mesure du plaisir montant. Et Layla obtint enfin, par le zob légitime de son mari, plusieurs orgasmes. Ce qui se passait à l’écran, le ciné rempli d’inconnus(es) qui se baisaient publiquement et ce qu’elle avait subi elle-même publiquement tout à l’heure, tout cela plongeait Layla dans une sorte d’inconscience et d’abandon sexuels où elle se donnait à fond. Sa chatte, tellement échaudée et excitée passait, d’un orgasme à l’autre, de façon presque continue, en jouissant sans arrêt.
Mais Si Ali, n’était pas chaud pour jouir dans cette chatte qui a été manipulée des doigts d’un homme inconnu, et préféra sodomiser sa femme. Mais comme il aimait Layla, il la laissa jouir longuement de ses orgasme et quant elle s’arrêta un peu pour souffler, il sortit son zob et le dirigea, plus haut, entre les fesses de sa femme. Ce n’était pas une première car Si Ali avait déjà et depuis longtemps, dépucelé le cul de Layla sans que son mari feu Si Tahar ne le sut, et il l’a sodomisé à plusieurs reprises et lui a bien assoupli l’anus avec son gros zob. Donc, dans ce ciné, Layla a accepté, avec même un complément de jouissance inédite, le zob qui allait plonger dans son cul. Rapidement, Si Ali plongea son gros zob, avec un souffle rauque et prolongé dans l’anus de Layla et l’enfonça dans son cul, d’un seul coup violent, comme une vengeance, jusqu’aux couilles. Puis, il s’accrocha à ses larges hanches et la sodomisa avec puissance, jouissant aussi du tableau des belles fesses, blanches et rondes, qui claquaient contre son ventre et de son large zob qui pénétrait avec aisance l’anus rose de Layla. Elle gémissait au même rythme que son mari soufflait et que ses coups de reins saccadés. Son zob allait et venait avec jouissance dans le cul de cette femme infidèle, car il n’avait pas encore trouvé la réponse sur la fidélité et la volonté de sa femme avec l’homme. Et en tout cas, il ne pourra pas pardonner complètement même si elle était innocente sur l’action. Voir sa femme branler avec passion, les yeux fermés, le gros zob d’un inconnu et voir sa chatte offerte complètement à ses manipulations, tout cela est très difficilement acceptable pour un mari, sauf si ce mari…Alors, maintenant, accroché à ses larges hanches charnues, il pilonnait sa femme, avec force et acharnement, et il jouissait autant en observant son zob quant il se mouvait presque entièrement hors du cul, alors, par un choc de désir qui le reprenait et d’un coup de reins vigoureux, il l’enfonçait tout au fond des entrailles de sa femme. Layla, sous le coup brutal du zob, obtenait une jouissance supplémentaire dans son cul mais aussi dans sa chatte par la fine peau qui séparait ses deux organes sexuels. Et cela lui fit obtenir encore un orgasme dans sa chatte. Et au moment où Si Ali éjacula puissamment par trois fois, Layla eu encore un dernier orgasme mixte et ne put empêcher et étouffer son cri de plaisir de jaillir spontanément dans le silence léger et tumultueux de la salle. Tout le monde savait que c’était le cri d’une femme qui hurlait son plaisir par une queue bienfaisante dans la chatte ou dans le cul et cela donna du jus et amplifia le désir de tous, dans la salle.
Enfin, le couple se calma et Layla reprit sa place à coté de son mari qui s’essuyait le zob et le remis dans sa cage provisoire. Elle aussi, reprit son slip et s’essuya avec, la chatte et le derrière. Puis, rassasiés, et dans l’obscurité, ils s’éclipsèrent de ce cinéma porno qui leur fut inédit dans pas mal de nouvelles découvertes. Dans sa tête, Layla, complètement à la merci de ses sens et convaincue des plaisirs hors mari, qu’elle qualifia de cadeaux du destin, se promit, si l’occasion du destin se présente, de refaire de telles expériences avec des inconnus. Et, son mari, Si Ali, de son coté, savait que sa femme était capable de le tromper, car elle avait de l’expérience puisqu’elle avait déjà trompé avec lui, et de longue date, son ancien mari, feu Si Tahar. Et ce qu’elle vient de faire dans le ciné avec un inconnu le persuadait qu’il avait raison, il se promit de la surveiller fermement. Mais il restait songeur car il était étonné et pensif. Il avait bien vu la main de Layla, en sa présence, branler le gros zob d’un inconnu et il avait compris que ce dernier tripotait la chatte et le clitoris de sa femme juste à coté de lui, et au lieu de le choquer à fond, cela restait assez supportable dans sa tête, et c’est justement ça qui le surprenait et qu’il n’arrivait pas à comprendre en lui-même. Ses sens lui dictaient de jouir de cette situation et il en a joui en laissant faire. Il a donc obtenu du plaisir de la tromperie de sa femme. Et même, si par la suite, il a baisé et sodomisé Layla, consentante et participante aux plaisirs, et éjaculé, la situation vécue par son épouse continuait à lui procurer des sentiments bizarres. Alors, pour mieux comprendre, il décida de continuer ce genre d’expériences. Il se dit qu’au cas où sa femme le tromperait en cachette, donc sans qu’il le provoque lui-même bien sur, mais s’il le voit, en cachette aussi, il fera en sorte de laisser faire, de jouir de la situation et de comprendre ses sentiments. Ils rentrèrent à la pension car ils devaient diner, après les clients, avec leurs hôtes Marcel et Rebecca. Après le repas, Si Ali et Marcel, le café à la main, se lancèrent dans une partie de chach bach, une sorte de jeu de dames très prisé au bled et ça dure, généralement presque deux heures en fonction de l’équilibre des deux joueurs. Les deux femmes, après la vaisselle, préfèrent rejoindre leurs chambres. Lorsque Si Ali rejoignit sa femme, deux heures plus tard, elle dormait à fond et il la laissa se reposer.
Le lendemain, après le petit déjeuner à la cuisine, ils repartirent visiter Paris et faire encore des photos. Puis, achetant quelques nourritures légères et des boissons, ils entrèrent dans un grand pars et mangèrent sur un banc public, puis ils s’allongèrent sur le gazon, comme d’autres gens autour d’eux. Ils discutèrent un moment, mais leurs pensées allèrent aux évènements d’hier dans le ciné porno et cela a du les exciter car c’est Layla, la première qui sortit le sujet. Elle proposa à son mari de refaire l’expérience d’hier et après quelques hésitations, il finit par accepter, se promettant de bien surveiller sa femme. Et un quart d’heure plus tard, ils étaient installés dans un ciné porno et s’excitaient sur le film à l’écran. Et comme hier, ils ne purent s’empêcher de se doigter les sexes. Si Ali sortit son zob et commença à se branler, hypnotisé par l’écran et Layla avait déjà enlevé et mit son slip dans son sac et se doigtait la chatte et le clitoris. Elle était, elle aussi, plongé dans les images porno de l’écran. Et comme hier, un homme vint s’assoir à côté d’elle pour dégager sa bite, la branler un peu, puis il prit la main. Sachant ce qu’il allait faire, Layla, quoique excitée, refusa net et le repoussa, lui désignant de la tête, son mari à coté d’elle. L’homme secoua deux ou droits fois son gros et long zob entièrement gonflé et magnifiquement droit debout, comme pour lui montrer la marchandise et l’exciter, puis il l’empocha, et il lui chuchota à l’oreille qu’il allait l’attendre aux toilettes des femmes, et il se leva et s’éclipsa discrètement. Layla resta un moment, l’air songeur mais en continuant à s’exciter la chatte. Elle était, un peu fâchée, hypocrite, contre l’homme qui la prenait pour une putain et se refusait de le rejoindre. Mais elle ne résista pas longtemps car le destin était encore intervenu, selon elle. Elle avait l’image du gros zob droit debout et semblait puissant, et sa chatte explosa de désir. Elle trouva l’excuse que c’était aux toilettes des femmes où il n’y aura pas d’autre homme, juste celui qui l’a invitée et décida de faire l’expérience. Alors, elle dit à son mari qu’elle avait un besoin urgent et doit aller aux toilettes dames. Ils se levèrent et il l’accompagna jusqu’à la porte avec lumière au dessus « dames » et elle entra seule dans les toilettes. Il s’éloigna plus loin, croyant ainsi éviter de gêner les femmes qui en sortiraient. Dans ces toilettes, c’était presque comme pour celles des hommes, des lavabos au mur et des cabinets avec portes mais pas de pissoirs. Il y avait déjà deux couples qui baisaient debout contre le mur et un troisième dans un cabinet à porte ouverte. Et il y avait un homme seul qui lui faisait signe, devant un cabinet désert. Ça devait être le gars qui la désirait, alors elle le rejoignit et il la poussa dans le cabinet. C’était un bel adulte d’une trentaine d’années et qui avait déjà ouvert sa ceinture pour descendre son pantalon. Layla, avait son slip dans son sac, était donc nue sous sa robe.
En voulant choisir sa nouvelle femme, il tomba sur Layla, une jeune veuve de 30 ans qui a perdu son mari Si Tahar, il y a à peine six mois. Si Tahar (55 ans) était un ami de Si Ali et a toujours été un peu malade depuis qu’il avait épousé Layla. Et c’est ainsi que Si Ali qui était trop souvent invité chez son ami, a réussi à draguer sa jeune femme Layla, d’abord par ses cadeaux, qu’elle cachait à son mari, ensuite et surtout par son gros zob dès qu’elle a accepté de coucher avec lui. Layla était une femme autant gourmande de zob que Si Ali l’était pour les chattes et les culs. Et cela l’a poussé à accepter facilement l’adultère du zob de Si Ali, surtout qu’en le comparant avec celui de son mari, chetif et trop souvent malade. Et ce qui a encore facilité leur liaison, c’est qu’il arrivait souvent à son mari Si Tahar d’être hospitalisé pendant quelques jours. Ainsi, Si Ali pouvait occuper son lit, des nuits entières, avec son zob entre les cuisses ou les fesses de Layla la jeune et belle infidèle. Et pendant les six mois de veuvage de Layla, Si Ali quittait rarement et la maison et le lit de Layla, prétextant aider la jeune veuve de son ancien ami. Sa femme savait ce qui se passait, mais ne pouvait rien faire et de plus, elle était malade. Et lorsqu’elle quitta ce monde et que Si Ali se trouva totalement libre, les deux amants décidèrent de se marier et ce fut fait rapidement. Puis, pour éviter les critiques et rumeurs, ils partirent en voyage de noces à Paris. Un de leurs amis leur a recommandé une pension à Paris, tenue par le vieux Marcel (62 ans), un ancien juif du bled, et ils s’y installèrent comme chez soi. En couple heureux, ils passèrent les journées en visites dans tous les sites et quartiers de la ville lumière et prirent partout des photos et des vidéos. Suite à l’invitation de leurs hôtes, ils dinaient toujours le soir, après les clients, ensemble avec Marcel et sa femme Rebecca (52 ans). Puis, ils montent dans leur chambre et font l’amour longuement, parfois même jusqu’à l’aube selon car leurs besoins en sexe, et à tous les deux, étaient assez consistants. Tout marchait bien jusqu’au jour où Si Ali suivit le mauvais conseil de sa femme qui lui proposait de rentrer dans un cinéma porno.
Ils prirent place, dans l’obscurité de la salle et dès les premiers instants, ils furent captivés par l’écran et les images et gémissements les excitèrent chacun de son coté. Captivés, Si Ali avait tenu et même sorti machinalement son zob et le caressait sans même s’en rendre compte et Layla avait plongé sa main droite sous sa robe bien retroussée sur ses cuisses écartées, et glissée dans son slip pour se caresser la chatte et frotter le clitoris. Elle n’avait pas remarqué qu’un homme s’était assis à coté d’elle, de l’autre partie de son mari et avait sorti lui aussi sa queue pour se branler. Après un moment, l’homme saisit la main gauche, libre de Layla, et la glissa doucement sur sa bite chaude et dure. Layla, les yeux toujours sur l’écran, et sans même voir son voisin, empoigna fortement sa queue et commença à l’astiquer croyant que c’était celle de son mari. Elle n’avait même pas remarqué que c’était de l’autre coté de son mari, tellement elle était penchée en avant excitée par l’écran qu’elle fixait avec avidité. L’homme, encouragé, se pencha aussi un peu et allongea son autre main droite, libre, sous les cuisses écartées de Layla et rejoignit la main de la femme sur sa chatte. Et il enfonça son doigt entre les lèvres de la chatte et frotta avec son pouce le clitoris de la femme hypnotisée de désir. Layla, grisée de jouissances ferma enfin les yeux et se concentra sur ses deux excitations, le zob dur et chaud de l’homme dans sa main agile et les branles des doigts dans sa chatte et son clitoris. Et ce qui devait arriver, arriva. Elle eu, presque de suite, un puis un second orgasme qui inonda sa chatte et ses cuisses et son souffle haletant et ses gémissements pourtant étouffés la trahirent. Mais son mari qui haletait aussi par la branle de son zob, restait hypnotisé par l’écran. Mais Layla continuait à branler son voisin et la aussi, ce qui devait arriver, arriva. Le plaisir des couilles de l’homme se déclencha et son zob, toujours dans la douce main de Layla, éjacula fortement par quatre fois et avec un souffle rauque et prolongé. Malheureusement pour cette fois, Si Ali qui se branlait doucement, plus en moins en silence et le souffle saccadé, fut attiré par le cri de l’homme qui éjaculait. Il tourna un peu la tête et dans la semi obscurité de la salle, il vit ce qui se passait à ses cotés. Sa femme, à sa gauche avait sa robe bien soulevé et ses cuisses bien visibles et écartées et les deux mains qui branlaient sa chatte et cela le choqua et le cloua sur son fauteuil et il en oublia l’écran. Maintenant, ses yeux voyaient mieux et, pire, il vit la main de sa femme, de l’autre coté, tenant solidement et encore branlant le long zob de son voisin, une queue bien debout et raide et vit enfin les deux dernières éjaculations et leurs longs jets de sperme qui allèrent polluer le dossier du siège devant. Sa femme,penchée en arrière sur le dossier, avait encore les yeux fermés, plongée dans l’extase de ses deux plaisirs et jouissait en gémissant doucement. Il en oublia de se branler.
Qu’allait-il faire ? Un scandale dans cette salle de porno, qu’il avait lui-même choisi ? Est ce que sa femme était consciente ce qu’elle faisait et surtout avec qui ? Rapidement il prit une décision sage pour l’instant. Il préféra faire semblant de rien voir. Alors, il se retourna vers l’écran, se pencha entièrement, les bras sur le dossier du siège avant, et plongea son regard complètement sur l’écran, comme hypnotisé. Mais, ses autres sens étaient tous pointés sur ce qui se passait à coté. Effectivement, quant la femme à fini de jouir et que le sperme de l’homme lui a pollué la main, elle rouvrit les yeux et s’y intéressa. C’est alors qu’elle vit l’homme et sa propre main sur son gros zob, et d’un geste vif elle la retira et eu un recul du corps. Elle sentit et vit aussi, la main de l’homme entre ses cuisses écartées, fouiller dans sa chatte et avec sa propre main, et eu un second choc. Alors, elle se secoua, et fit même le geste brusque de se lever de son siège. Ce qui fit reculer la main de l’homme, tomber sa robe et recouvrir ses cuisses et sa chatte. L’homme, comprenant la situation, préféra s’arrêter la, et escamota son zob dans sa braguette, puis, avec rapidité, il se leva et s’éloigna discrètement. Tout cela a été senti mais pas totalement vu par Si Ali. Mais, quant sa femme se leva entièrement, il se tourna vers elle comme pour savoir ce qui se passe. Ses yeux seulement interrogateurs et sa voix tranquille ont un peu calmé Layla qui pense que son mari n’a rien vu. Si Ali lui demanda si le film ne lui plaisait pas, mais Layla, bien tranquillisée, préféra se rassoir et avec un sourire un peu forcé dit à son mari que tout va bien. Et ils reprirent, hypocrites tous les deux, la vision de l’écran alors que leurs esprits étaient ailleurs, dans les images de la séance de sexe que Layla et son homme voisin ont eu dans l’incognito.
Layla reprit es esprits lentement et réajusta son slip, écarté de sa chatte mouillée, inondée de son jus de désir et de jouissances. Elle se souvient de ses deux orgasmes formidables , les yeux fermés et sa main tenant le gros zob de son voisin. Ces images et ces pensées l’excitèrent au point que sa chatte reprit ses démangeaisons et un peu sa mouille. Elle ressentait encore la forme du zob et la sensation chaude et visqueuse du sperme et les chocs des éjaculations sur sa main gauche alors que sa droite était, avec les doigts de son voisin, plongées dans sa chatte et son clitoris. Elle pensait qu’elle devrait regretter ce qui s’était passé, mais elle se dit qu’elle n’avait cherché cela mais c’était le destin qui avait forcé les choses. Et puis, cela lui a procuré beaucoup de plaisir et de jouissances dans sa chatte, dans sa main et sa tête, la preuve, elle sent encore la chair dure du zob dans sa main et les doigts fouineurs dans sa chatte et cela l’excita encore. Alors, elle plongea de nouveau dans le désir, et, presque sans réfléchir, elle se pencha en avant et, par décision, elle envoya sa main gauche, celle qui tenait la queue de l’homme, vers la braguette de son mari. Celui-ci, qui avait aussi dans la tête toutes ces images nettes qu’il avait très bien vues et l’avaient choquées et excitées en même temps, senti la femme de sa femme qui rampait vers lui. Cela lui donna un choc de désir brutal et son zob bondit dans sa prison. Alors, il ouvrit sa braguette et dégagea sa queue qui fut aussitôt saisie par Layla qui commença lentement et avec douceur à la branler. Et comme comme le mari était déjà excité, son zob s’est gonflé et durci rapidement par désir, Layla augmenta et accéléra sa masturbation. Si Ali, se pencha en arrière pour bien offrir son zob à la main de sa femme. Celle-ci, voulant peut être s’excuser de ce qui s’est passé ou simplement par désir, plongea la tête vers le zob et se mit à le lécher avec plaisir. Si Ali sentit la chaude bouche de sa femme qui le léchait puis le suçait, alors, il allongea son bras pour lui caresser le dos et le cul. Il lui tripota le derrière vers le sillon des fesses et elle se souleva, quittant un peu son fauteuil pour lui permettre de soulever sa robe et accéder à son slip. Il put ainsi glisser sa main à l’intérieur du slip pour lui caresser les fesses et lui doigter l’anus, puis se penchant encore, il atteignit l’entre cuisses et la chatte. Ses doigts constatèrent que sa femme était excitée et que son slip était totalement mouillé, alors il lui chuchota de l’ôter. Elle se démena un peu sans quitter le zob de son mari et enleva son slip puis, se levant carrément et soulevant sa robe, elle se dénuda et lui tournant le dos, elle s’assit sur les cuisses de son mari. Et tous les deux, en s’aidant, avec désir et adresse, glissèrent le zob dans l’anus et le plongèrent avec passion « ahhh » difficilement étouffé, jusqu’aux couilles, à l’intérieur de la chatte brulante. Layla, s’appuyant sur le dossier du siège avant, commença à remuer et danser de la chatte sur le gros zob de son ami et ils baisèrent ainsi longuement et à leur aise. Leurs gémissements et souffles rythmés et saccadés, légèrement étouffés s’accélérèrent au fur et à mesure du plaisir montant. Et Layla obtint enfin, par le zob légitime de son mari, plusieurs orgasmes. Ce qui se passait à l’écran, le ciné rempli d’inconnus(es) qui se baisaient publiquement et ce qu’elle avait subi elle-même publiquement tout à l’heure, tout cela plongeait Layla dans une sorte d’inconscience et d’abandon sexuels où elle se donnait à fond. Sa chatte, tellement échaudée et excitée passait, d’un orgasme à l’autre, de façon presque continue, en jouissant sans arrêt.
Mais Si Ali, n’était pas chaud pour jouir dans cette chatte qui a été manipulée des doigts d’un homme inconnu, et préféra sodomiser sa femme. Mais comme il aimait Layla, il la laissa jouir longuement de ses orgasme et quant elle s’arrêta un peu pour souffler, il sortit son zob et le dirigea, plus haut, entre les fesses de sa femme. Ce n’était pas une première car Si Ali avait déjà et depuis longtemps, dépucelé le cul de Layla sans que son mari feu Si Tahar ne le sut, et il l’a sodomisé à plusieurs reprises et lui a bien assoupli l’anus avec son gros zob. Donc, dans ce ciné, Layla a accepté, avec même un complément de jouissance inédite, le zob qui allait plonger dans son cul. Rapidement, Si Ali plongea son gros zob, avec un souffle rauque et prolongé dans l’anus de Layla et l’enfonça dans son cul, d’un seul coup violent, comme une vengeance, jusqu’aux couilles. Puis, il s’accrocha à ses larges hanches et la sodomisa avec puissance, jouissant aussi du tableau des belles fesses, blanches et rondes, qui claquaient contre son ventre et de son large zob qui pénétrait avec aisance l’anus rose de Layla. Elle gémissait au même rythme que son mari soufflait et que ses coups de reins saccadés. Son zob allait et venait avec jouissance dans le cul de cette femme infidèle, car il n’avait pas encore trouvé la réponse sur la fidélité et la volonté de sa femme avec l’homme. Et en tout cas, il ne pourra pas pardonner complètement même si elle était innocente sur l’action. Voir sa femme branler avec passion, les yeux fermés, le gros zob d’un inconnu et voir sa chatte offerte complètement à ses manipulations, tout cela est très difficilement acceptable pour un mari, sauf si ce mari…Alors, maintenant, accroché à ses larges hanches charnues, il pilonnait sa femme, avec force et acharnement, et il jouissait autant en observant son zob quant il se mouvait presque entièrement hors du cul, alors, par un choc de désir qui le reprenait et d’un coup de reins vigoureux, il l’enfonçait tout au fond des entrailles de sa femme. Layla, sous le coup brutal du zob, obtenait une jouissance supplémentaire dans son cul mais aussi dans sa chatte par la fine peau qui séparait ses deux organes sexuels. Et cela lui fit obtenir encore un orgasme dans sa chatte. Et au moment où Si Ali éjacula puissamment par trois fois, Layla eu encore un dernier orgasme mixte et ne put empêcher et étouffer son cri de plaisir de jaillir spontanément dans le silence léger et tumultueux de la salle. Tout le monde savait que c’était le cri d’une femme qui hurlait son plaisir par une queue bienfaisante dans la chatte ou dans le cul et cela donna du jus et amplifia le désir de tous, dans la salle.
Enfin, le couple se calma et Layla reprit sa place à coté de son mari qui s’essuyait le zob et le remis dans sa cage provisoire. Elle aussi, reprit son slip et s’essuya avec, la chatte et le derrière. Puis, rassasiés, et dans l’obscurité, ils s’éclipsèrent de ce cinéma porno qui leur fut inédit dans pas mal de nouvelles découvertes. Dans sa tête, Layla, complètement à la merci de ses sens et convaincue des plaisirs hors mari, qu’elle qualifia de cadeaux du destin, se promit, si l’occasion du destin se présente, de refaire de telles expériences avec des inconnus. Et, son mari, Si Ali, de son coté, savait que sa femme était capable de le tromper, car elle avait de l’expérience puisqu’elle avait déjà trompé avec lui, et de longue date, son ancien mari, feu Si Tahar. Et ce qu’elle vient de faire dans le ciné avec un inconnu le persuadait qu’il avait raison, il se promit de la surveiller fermement. Mais il restait songeur car il était étonné et pensif. Il avait bien vu la main de Layla, en sa présence, branler le gros zob d’un inconnu et il avait compris que ce dernier tripotait la chatte et le clitoris de sa femme juste à coté de lui, et au lieu de le choquer à fond, cela restait assez supportable dans sa tête, et c’est justement ça qui le surprenait et qu’il n’arrivait pas à comprendre en lui-même. Ses sens lui dictaient de jouir de cette situation et il en a joui en laissant faire. Il a donc obtenu du plaisir de la tromperie de sa femme. Et même, si par la suite, il a baisé et sodomisé Layla, consentante et participante aux plaisirs, et éjaculé, la situation vécue par son épouse continuait à lui procurer des sentiments bizarres. Alors, pour mieux comprendre, il décida de continuer ce genre d’expériences. Il se dit qu’au cas où sa femme le tromperait en cachette, donc sans qu’il le provoque lui-même bien sur, mais s’il le voit, en cachette aussi, il fera en sorte de laisser faire, de jouir de la situation et de comprendre ses sentiments. Ils rentrèrent à la pension car ils devaient diner, après les clients, avec leurs hôtes Marcel et Rebecca. Après le repas, Si Ali et Marcel, le café à la main, se lancèrent dans une partie de chach bach, une sorte de jeu de dames très prisé au bled et ça dure, généralement presque deux heures en fonction de l’équilibre des deux joueurs. Les deux femmes, après la vaisselle, préfèrent rejoindre leurs chambres. Lorsque Si Ali rejoignit sa femme, deux heures plus tard, elle dormait à fond et il la laissa se reposer.
Le lendemain, après le petit déjeuner à la cuisine, ils repartirent visiter Paris et faire encore des photos. Puis, achetant quelques nourritures légères et des boissons, ils entrèrent dans un grand pars et mangèrent sur un banc public, puis ils s’allongèrent sur le gazon, comme d’autres gens autour d’eux. Ils discutèrent un moment, mais leurs pensées allèrent aux évènements d’hier dans le ciné porno et cela a du les exciter car c’est Layla, la première qui sortit le sujet. Elle proposa à son mari de refaire l’expérience d’hier et après quelques hésitations, il finit par accepter, se promettant de bien surveiller sa femme. Et un quart d’heure plus tard, ils étaient installés dans un ciné porno et s’excitaient sur le film à l’écran. Et comme hier, ils ne purent s’empêcher de se doigter les sexes. Si Ali sortit son zob et commença à se branler, hypnotisé par l’écran et Layla avait déjà enlevé et mit son slip dans son sac et se doigtait la chatte et le clitoris. Elle était, elle aussi, plongé dans les images porno de l’écran. Et comme hier, un homme vint s’assoir à côté d’elle pour dégager sa bite, la branler un peu, puis il prit la main. Sachant ce qu’il allait faire, Layla, quoique excitée, refusa net et le repoussa, lui désignant de la tête, son mari à coté d’elle. L’homme secoua deux ou droits fois son gros et long zob entièrement gonflé et magnifiquement droit debout, comme pour lui montrer la marchandise et l’exciter, puis il l’empocha, et il lui chuchota à l’oreille qu’il allait l’attendre aux toilettes des femmes, et il se leva et s’éclipsa discrètement. Layla resta un moment, l’air songeur mais en continuant à s’exciter la chatte. Elle était, un peu fâchée, hypocrite, contre l’homme qui la prenait pour une putain et se refusait de le rejoindre. Mais elle ne résista pas longtemps car le destin était encore intervenu, selon elle. Elle avait l’image du gros zob droit debout et semblait puissant, et sa chatte explosa de désir. Elle trouva l’excuse que c’était aux toilettes des femmes où il n’y aura pas d’autre homme, juste celui qui l’a invitée et décida de faire l’expérience. Alors, elle dit à son mari qu’elle avait un besoin urgent et doit aller aux toilettes dames. Ils se levèrent et il l’accompagna jusqu’à la porte avec lumière au dessus « dames » et elle entra seule dans les toilettes. Il s’éloigna plus loin, croyant ainsi éviter de gêner les femmes qui en sortiraient. Dans ces toilettes, c’était presque comme pour celles des hommes, des lavabos au mur et des cabinets avec portes mais pas de pissoirs. Il y avait déjà deux couples qui baisaient debout contre le mur et un troisième dans un cabinet à porte ouverte. Et il y avait un homme seul qui lui faisait signe, devant un cabinet désert. Ça devait être le gars qui la désirait, alors elle le rejoignit et il la poussa dans le cabinet. C’était un bel adulte d’une trentaine d’années et qui avait déjà ouvert sa ceinture pour descendre son pantalon. Layla, avait son slip dans son sac, était donc nue sous sa robe.
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