Terma 72 : Si Ali et sa nouvelle femme Layla à Paris (2):

- Par l'auteur HDS Noura -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Terma 72 : Si Ali et sa nouvelle femme Layla à Paris (2): Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-02-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Terma 72 : Si Ali et sa nouvelle femme Layla à Paris (2):
Rapidement il descendit son pantalon et lui offrit son gros zob déjà bandé et lui fit signe de le sucer. Elle était déjà assez surprise depuis qu’elle a vu des couples qui baisaient dans les toilettes réservées, en principe aux dames, et l’homme la heurta de se dépêcher, alors, elle ne résista plus. Elle se courba pour empoigner le gros zob offert puis le goba dans s bouche, et commença à le sucer et le branler. Lui, allongeant la main, derrière elle, lui remonta la robe et découvrit ses fesses nues car son slip, elle l’avait enlevé tout à l’heure. Il lui caressa les fesses puis enfonça son doigt dans le cul de la femme qui réagit en se cabrant de plaisir. Constatant que son zob était assez gonflé et bien lubrifié, l’homme poussa Layla à se retourner puis se courber et lui écarta les cuisses. Rapidement, il trouva la chatte et avec la main il enfonça son zob avec violence jusqu’aux couilles. On entendit nettement le bas ventre de l’homme qui claquait sur les fesses de la femme. Le brutal enfoncement du zob poussa la femme à lancer une sorte de « ahhh » sonore et continu de plaisir. Et la danse du zob dans la chatte démarra avec des vas et viens accélérés, l’homme s’accrochait aux larges hanches blanches de la femme, et les yeux arrondis de désir, il observait son pieu qui se mouvait avec facilité sous les cuisses de sa proie. De même, les fesses de Layla, rondes et lisses attirèrent son attention et il les caressa un peu puis enfonça encore une fois son doigt dans l’anus de Layla qui se cabra encore, et avec un autre « ahhh », cette fois pour le plaisir de son cul. L’homme a bien saisi le message, cette femme aime autant se faire brosser la chatte que le cul par un zob à la hauteur et il allait y remédier ensuite. Mais il continua à se branler dans la chatte de Layla avec vigueur et vitesses ce qui amena la femme à un violent orgasme mouillé et bruyant « ahhh » puis juste après un second aussi tumultueux et bruyant que le premier. L’homme continua à la même cadence à lui branler la chatte. Elle avait mis sa main entre ses cuisses et se branlait le clitoris en complément des pilonnages du gros et long zob et cela l’amena au troisième et ultime orgasme identique aux autres. C’est à ce moment que l’homme comprit la situation et la laissa un peu souffler. Il resta immobile, planté jusqu’aux couilles dans la chatte, puis, doucement, comme s’il avait peur de réveiller la femme presque inconsciente sous lui, il sortit son zob. Puis il le frotta un peu et de tout son long sur les fesses et le glissa entre elles dans le profond sillon ensorcelant, et ôtant son doigt du cul d Layla, il y poussa son zob.
Déjà habitué depuis longtemps aux sodomies et lubrifié depuis un bon moment par le doigt de l’homme, l’anus de Layla s’écarta et s’ouvrit avec plaisir au gros zob qui le désirait. Et l’homme, d’un coup de reins accentué et continu, enfonça son pieu dans le cul de Layla et jusqu’aux couilles. La femme ressentit et l’enfoncement formidable du zob aussi gros que celui de son mari mais trop brutal et les chatouillements du pubis poilu sur ses fesses et, comme à son habitude, elle ne put résister à lancer un long et bruyant « ahhh » presque plaintif de plaisir, et tendit encore son cul vers le zob en gonflant au maximum son derrière. Elle goutait autant sinon mieux les sodomies que les baises. Et souvent, quant le zob gonflait bien et s’allongeait au maximum dans son cul, il communiquait ses branles à sa chatte et elle obtient un orgasme par sodomie. C’était le cas avec cet homme et elle gueula de jouissances par derrière et par devant. L’homme surexcité par cette femme à la hauteur de son zob, accéléra et rapidement son plaisir monta de ses couilles. Et enfin, il éjacula dans le cul de Layla par quatre fois et à chaque jet il cognat avec un coup de rein et un « ahhh » lui aussi puissant et prolongé. Ensuite, il resta planté dans le cul de la femme goutant à fond son plaisir. Elle aussi elle le laissa faire car elle goutait autant que lui les jouissances que ce beau zob lui avait procuré. Puis elle se rappela son mari qui faisait le pied de grue devant les toilettes dames. Alors, elle se détacha, et comme l’homme s’essuyait le zob avec un gros mouchoir, elle le lui arracha et se nettoya un peu le cul et les fesses puis elle sortit du cabinet, se lava les mains au lavabo. Les deux couples qui baisaient encore, la regardèrent et lui firent le signe du bravo avec le pouce levé, car ils avaient bien assisté à ses « ahhh » et même celle de son amant. Mais le couple qui baisait dans le cabinet à coté était déjà parti et cela inquiéta Layla. Son mari a du les voir et constater que ces toilettes, soi disant dames, étaient en réalité mixtes. Elle ne savait pas ce qui allait arriver. Elle sortit, très inquiète mais quant elle vit son mari, assez tranquille, mais qui s’impatientait juste de son retard, elle souffla. Elle se rendit compte qu’elle venait de passer à coté d’un grand danger. Alors elle poussa son mari à s’éloigner de cette zone dangereuse et même vers la sortie de la salle. Si Ali lui chuchotait d’aller à leurs places pour baiser comme l’autre jour mais elle lui répondit qu’elle avait eu mal dans son sexe en pissant et qu’il fallait partir. Et deux minutes plus tard, ils étaient dans la rue, et Layla, encore sous le choc du danger évité de justesse, demanda à Si Ali d s’assoir sur un banc public, pas très loin.
Mais ce qu’elle ne savait pas, c’est que son mari, dès qu’il avait vu le couple du cabinet, sortir des toilettes, serrés comme des amants qui venaient de se gaver de baises, comprit la situation. Alors, et avec discrétion, il entra dans les toilettes et vit les deux couples qui baisaient contre les murs. Puis, plus loin, dans un cabinet à porte ouverte, un troisième couple baisait et avec souffles forts et gémissements érotiques. Il s’approcha et vit tout d’abord le derrière, les fesses et cuisses de l’homme, puis de part et d’autres une partie des jambes et cuisses de la femme. Il devina tout de suite et peut-être même reconnut sa femme qui, heureusement était courbée et tournée vers le mur et le gars la baisait avec de violents coups de reins et de zob. Si Ali put ainsi voir, sous les jambes et cuisses écartées de l’homme, son gros zob, par-dessous ses fesses, et qui entrait et sortait dans la chatte de Layla. Il était plus gros que le sien et brillait, certainement du jus de la femme qui jouissait bruyamment. L’homme lui donnait des coups de reins, des coups de zob violents en soufflant fort et la femme gémissait bruyamment.Et soudain sa femme hurla et Si Ali comprit qu’elle a eu un orgasme. Mais ce qu’il ne savait pas, c’est qu’il venait d’assister au troisième orgasme de sa femme entre les cuisses de son amant. Si Ali était si excité qu’il mit la main à sa braguette et sortit son zob pour le branler. Il était face au cabinet et si l’homme ou la femme regardait vers la porte, il sera découvert et ce sera le scandale. Mais Si Ali semblait ne pas s’en rendre compte, il était hypnotisé par ce couple, complètement nu de la ceinture aux pieds, par leurs corps qui vibraient et s’activaient dans des jouissances bruyantes, une scène tellement porno que Si Ali oublia que c’était sa femme qu’un homme au gros zob, baisait devant lui.
C’est à ce moment que l’homme s’arrêta pour laisser la femme souffler et se calmer un peu après son troisième gros orgasme et décida de sortir son zob pour la sodomiser. Il s’était rassasié de la chaude chatte de Layla et maintenant, il avait envie de ses fesses et de son cul pour éjaculer dedans . Si Ali assista au zob qui pénétrait dans le cul de sa femme et au coup de reins brutal qui enfonça le gros zob jusqu’aux couilles dans les entrailles de Layla qui hurla son plaisir avec un « ahhh ! ya m’ma » prolongé. Si Ali entendit sa femme hurler sa jouissance du zob de l’inconnu cela lui donna un choc érotique et un surplus d’excitation qui le fit accélérer la brande de son zob en s’arcboutant face au couple. Et il se branla presque au rythme du mouvement des fesses de l’homme qui pilonnait le cul de Laya, s’imaginant presque que c’est lui qui était en train d’enculer sa propre femme. Et heureusement, il arriva à éjaculer rapidement par trois jets sur le sol. Puis, tenant toujours son zob à la main, il se tourna vers les lavabos et se nettoya rapidement. C’est à ce moment que l’eau froide lui rappela que, derrière lui, c’est un inconnu au gros zob qui baisait et enculait sa belle épouse Layla et qu’il avait assisté et éjaculé avec plaisir, comme un vrai cocu consentant et presque participant, heureusement qu’ils ne l’ont pas aperçu. Alors, il remet sa queue ramollie dans son slip et sortit des toilettes pour aller attendre sa femme, un peu plus loin. Plus de dix minutes plus tard, quant elle le rejoignit, il lui fit juste le reproche d’avoir tardé pendant qu’il faisait le pied de grue et rien d’autre. Puis ils retournèrent à leurs places du ciné. Mais il était encore excité car les images de sa femme nue et jouissant des coups de zob de l’inconnu, ne le quittaient plus et sa queue commençait à se gonfler. Il voulait, à sa manière, se venger un peu, en enculant Layla en ressentir les restes du sperme de l’homme dans le cul de sa femme. Mais Layla refusa net, prétextant en avoir assez du film et du ciné. Elle n’avait pas envie du zob de son mari après avoir été rassasiée de celui, plus gros et plus puissant de l’inconnu et désirait garder, dans son cul, les restes de son sperme dont elle avait joui de sa chaleur et de son abondance virile. Si Ali n’avait plus le courage de refuser et ils sortirent à l’air libre, chacun plongé dans ses pensées.
Maintenant, ils sont assis sur un banc public. Elle commençait à calmer sa respiration et se rassurer et ne soupçonner absolument pas son mari de l’avoir vu et de s’être branlé sur son adultère. Quant, tout à coup, elle eu un autre choc, heureusement vite maitrisé. L’homme dont elle avait sucé le zob et qui l’avait baisée et sodomisée dans le cabinet du ciné, approchait d’eux sur le trottoir. Son mari ne semblait rien remarquer et s'intéressait plutôt à son appareil photos. L’homme, en passant face au couple assis, fit un clin d’œil à Layla, tout en mettant sa main légèrement sur sa braguette puis il passa rapidement et s’éloigna. Layla eu d’abord un choc de peur, puis elle capta le clin d’œil et le geste de son amant sur la braguette et finit par le suivre des yeux. Elle l’a bien observé et constata avec plaisir que c’était un bel homme, de belle tenue et de prestance remarquable. Elle l’avait déjà remarqué, dans le cabinet, que c’était un bel homme et elle savait, par ses prouesses sexuelles, qu’il était fort, puisant et avait entre ses cuisses un beau paquet sexuel et savait bien s’en servir. Elle regrettait de ne plus le revoir. Mais le destin était toujours présent. Comme si l’homme avait suivi les pensées de la femme, il s’arrêta et se retourna vers elle à une vingtaine de mètres plus loin. Leurs yeux se rencontrèrent un très bref instant mais qui leur semblait à chacun une éternité. Puis l’homme sortit quelque chose de sa poche et la posa sur le grillage du mur à sa droite, puis s’éloigna de nouveau. Layla qui était certes, une femme qui adorait le sexe et l’amour, mais qui était aussi très sensible aux mondes obscurs des magies, des destins cachés et des choses bizarres, comprit, dans son esprit, que l’homme avait capté ses pensées, ses désirs de le revoir et c’est pourquoi il s’était arrêté, l’a regardé profondément, puis il lui a laissé un message qu’elle devait à tout prix récupérer. Alors, elle se redressa brusquement et obligea son mari à la suivre, puis, arrivé au niveau du message, elle laissa son soulier s’échapper de son pied et poussa un cri. Son mari se baissa pour aider sa femme à récupérer son soulier et le remettre à sa place. Entre temps, Layla récupéra le message et l’enfouit, discrètement, dans son sac. Puis ils reprirent leur marche. Quelques mètres plus loin, Layla remarqua encore l’homme, debout près d’un lampadaire public et il les observait. Il a vu la femme récupérer discrètement son message et le cacher dans son sac. Et elle, par un hochement de tête et un regard, complété d’un large sourire complice, lui confirma l’affaire. Alors, il s’éloigna vers l’autre trottoir et disparut. Cette fois, Si Ali n’a absolument rien vu ou remarqué. En effet, n’ayant observé que les fesses, les cuisses et le zob, partiellement de l’homme, dans le cabinet des toilettes donc il n’a pas vu son visage. Et quant le gars est passé devant lui, il ne l’a pas remarqué et d’ailleurs il rechargeait plutôt son appareil photos.
Le couple rejoignit rapidement la pension et se prépara au diner. Quant Si Ali descendit rejoindre leur ami Marcel, sa femme Layla récupéra le message de l’homme pour le lire. C’était une carte de visite, avec photo, deux adresses avec téléphones, professionnel et personnel. L’homme avait osé lui donner toutes les informations sur lui. La femme juste rencontrée dans un ciné porno et avec son mari, cela aurait du être juste une passe, une occasion de sexe, pas plus. Mais celle la, elle lui a plu et elle est restée dans sa tête, c’est pourquoi il les a cherchés puis suivis dans la rue pour essayer de la recontacter. Heureusement, elle aussi avait accepté sa carte puisqu’elle avait souri et hoché de la tête. D’ailleurs, elle l’avait déjà accepté quant son zob était dans sa chatte et surtout quant il la sodomisait. Cette femme avait du feu dans ses organes sexuels et il fera tout pour la revoir. Déjà son zob et sa tête la réclamaient. Alors, après son message, et sans qu’ils se rendent compte, il les a encore suivis dans la rue puis dans le métro et enfin dans la rue jusqu’à la pension où ils semblent habiter. Il décida d’attendre deux ou trois jours pour qu’elle lui téléphone, sinon, c’est lui qui viendra à elle. Layla ne savait pas si elle allait ou pouvait téléphoner à l’homme et quoi lui dire car son mari ne se séparait jamais d’elle sauf le soir, dans la pension de ses amis, quant Si Ali jouait avec son hôte. C’est le seul moment où elle a, au moins deux heures de liberté. Enfin, elle prit son courage, et surtout poussée par sa chatte et les images et sensations de ce qu’elle a vécu dans le cabinet des toilettes, elle téléphona à l’homme, discrètement, alors que son mari jouait avec Marcel, après le repas du soir. Heureusement les téléphones étaient installés dans chaque couloir avec des jetons ou des pièces de monnaie. L’homme, très heureux de l’entendre, lui avoua qu’il était fou d’elle et qu’il ne dormait plus en pensant à son corps. Et pour l’aguicher encore, il lui parla de son gros zob, puis de sa chatte chaude et de son cul profond, ce qui excita Layla qui commença à mouiller de désir même dans ce couloir sombre et froid. Mais elle lui expliqua que son mari ne la lâchait jamais seule, sauf les toilettes dames mais c’était spécial car mon mari ne savait qu’elles étaient mixtes, mais c’est fini maintenant, dangereux. Une autre solution serait la nuit comme maintenant pendant que mon mari joue avec son ami, durant au moins deux heures après les repas. Il fallait donc que l’homme vienne loger à la pension et ainsi, ils pourront baiser à leur aise dans son lit pendant deux heures, chaque nuit. L’homme, David (30 ans), accepta cette solution et il allait s’y préparer. Comme il était célibataire, il ne peut pas être accepté dans cette pension familiale. Mais, David qui était un superbe mâle avait plusieurs maitresses, jeunes et âgées, et il lui fallait trouver l’une d’elles qui accepte de jouer le rôle de sa femme pour louer une chambre dans la pension pour quelques nuits.

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