Terma 74 : Si Ali et sa nouvelle femme Layla à Paris (4):

- Par l'auteur HDS Noura -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Terma 74 : Si Ali et sa nouvelle femme Layla à Paris (4): Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-03-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Terma 74 : Si Ali et sa nouvelle femme Layla à Paris (4):
Le lendemain, dans la journée, Berthe réussit à rencontrer Layla et l’informa que la femme du patron était au courant mais semblait les protéger. Layla, rassurée, alla voir Rebecca et elles discutèrent un long moment. Elle reconnut son infidélité à Si Ali et voulut s’expliquer, mais elle reçut de son hôtesse la totale compréhension, ce qui rassura Layla complètement. Mais, pour l’instant, Rebecca lui cacha ses relations sexuelles avec l’employé Moussa. Layla rassurée, se donna à fond au plaisirs pendant toute la semaine, la durée que David passa à la pension, et chaque soir, ils eurent tout le plaisir et les jouissances qu’ils désiraient. A la fin de la semaine, David voulut prolonger son séjour à la pension, mais il rencontra deux résistances, d’abord Berthe qui s’était jalousée du trop d’intérêt et d’actions de David pour Layla. Puis Rebecca, qui avait dans la tête un plan diabolique qu’elle cachait bien, fit du chantage à David et l’obligea aussi à quitter la pension. Layla demanda des explications à Rebecca qui refusa de lui donner ses raisons mais elle lui promis d’agréables surprises les jours prochains.
Le lendemain, quant les deux joueurs s’installèrent et que Layla monta, seule, dans sa chambre, privée de ses jeux sexuels habituels, elle fut rejointe par Rebecca cinq minutes plus tard. Et c’est à ce moment qu’elle lui promis le cadeau qu’elle voulait lui offrir. Elle exigea de Layla de se mettre nue sous sa large robe de nuit et de la suivre. Layla fut d’abord étonnée, être nue sous la chemise promettait une surprise sexuelle agréable, alors faisant confiance à Rebecca, elle obéit. Et, rapidement, dans l’obscurité des couloirs et des escaliers, elle l’amena au quatrième étage, chez son amant Moussa le vieux sénégalais. Auparavant il avait été instruit par Rebecca et il fut enchanté de l’aubaine, une jeune chair nouvelle pour son gros zob généreux. Dès qu’elle vit Moussa, Layla refusa d’abord et décida de retourner dans sa chambre. Mais, Rebecca, pour la forcer rapidement, lui rappela qu’elle l’avait aidée toute la semaine avec David, et que Moussa était son amant depuis plusieurs années, discrètement et sans problème, et qu’il possède entre les cuisses, une bite nettement meilleure que celle de David. Entendant cela, Moussa, qui était nue sous sa gandourah de nuit, jeta son vêtement et offrit à Layla le merveilleux spectacle de sa grosse queue noire, longue et épaisse, bien droite et gonflée à souhait. Layla fut aussitôt conquise et resta hypnotisée devant ce cadeau sexuel formidable, alors Rebecca en profita pour lui ôter sa robe et offrir son jeune corps bien rempli à Moussa dont le zob s’allongea et durcit encore plus à la vue de cette nouvelle proie. Pour Layla, c’était aussi le paradis et quant Moussa lui demanda d’abord de toucher son zob, pour faire connaissance, elle fit semblant d’hésiter, puis dès que ses mains empoignèrent la longue queue, elle l’empoigna déjà avec passion. Subjuguée, conquise, elle constata la magie de sa puissance, de son volume et de la passion sexuelle qui émanait de ce pieu de chair ensorcelant. Elle s’agenouilla d’elle-même et l’engouffra dans sa bouche pour le lécher, le sucer et le branler. Elle se rendit compte que, en volume, longueur et puissance, les deux zobs qu’elle connaissait, celle de son mari et celle de David étaient loin derrière en comparaison. Quoique un peu inquiète sur la grosseur de cette queue et si sa chatte et son cul pouvaient l’engloutir, son excitation balaya toutes ses appréhensions et attendait avec impatience l’épreuve. Rebecca n’avait amené, ce soir, Layla à Moussa, que comme une jeune nouvelle mariée, comme un cadeau à son amie. Elle savait qu’avec le gabarit du zob de Moussa, nettement plus gros que les queues de Si Ali et David, la séance de deux heures serait plutôt un vrai dépucelage et une initiation pour la chatte et le cul de la novice Layla. Alors, laissant le couple à ses plaisirs, elle préféra aller surveiller les deux maris, cocus, et sortit de la chambre.
Après avoir bien lubrifié avec ses lèvres et sa bouche, la grosse queue de Moussa, Layla s’allongea sur son lit et écarta ses cuisses au maximum. Moussa préféra d’abord, enfoncer sa tête entre les belles cuisses blanches, agréablement laiteuses et charnues de la jeune femme et avec une langue expérimentée, commença à embrasser, lécher et sucer la chatte de Layla. Sa langue experte lapait les lèvres de la chatte et le clitoris et la femme plongea aussitôt dans les délices du plaisir. L’excitation de Layla, déjà en avance à la vue du formidable zob de Moussa, s’amplifia par les attouchements de la langue experte sur son clitoris. Et ce fut si fort et profond qu’elle ne put empêcher un premier orgasme qui la fait hurler et enserrer la tête de l’homme entre ses cuisses. Elle l’inonda de son jus mais Moussa, qui en a vu d’autres, resta collé à la chatte mouillée. Puis Layla se détendit un peu et écarta de nouveau et largement ses belles cuisses, espérant follement, maintenant, cet énorme zob noir brillant et gonflé. Sa chatte brûlait de désir et se tendait vers l’homme. Alors Moussa, très conciliant au plaisir de cette jeune mariée, s’installa entre ces blanches cuisses qui l’invitaient avec passion et, empoignant son zob, il débuta ses manœuvres d’approche en caressant l’entrée de la chatte avec la tête de sa queue. Il se frotta sur les lèvres de la chatte puis sur le clitoris avec son zob, comme il le faisait tout à l’heure avec sa langue. Les lèvres s’ouvraient d’elles même au plaisir et la vulve vibrait de désir. Puis et avec douceur, il poussa juste la tête de son zob qui frotta de façon volontaire et continue le clitoris de la femme. Il la pénétra et Layla, presque étourdie de plaisir, plongea dans des gémissements et même des petits cris presque hystériques de jouissances. Moussa continua ainsi un bon moment, pour la pénétrer juste à demi dans sa chatte, et Layla ressentit l’écartement et le remplissage de son intérieur par le gros zob avec passion et son excitation s’amplifia. A tel point que sa chatte explosa d’un second orgasme aussi violent que le précédent, alors que le zob n’était entré qu’à moitié, en elle. Moussa la laissa souffler un moment, puis décida d’aller plus loin. Alors, il enfonça petit à petit son gros et long zob dans la chatte bouillante de Layla qui n’arrêta plus de gémir et de crier de jouissance. Et sa chatte bien mouillée, lubrifiée et enflammée de désir, reçut le zob entier qui s’engouffra complètement dans la chaude et douce grotte de plaisir de Layla. Et ainsi, même les couilles de l’homme chatouillèrent l’intérieur de ses cuisses de leurs poils drus et abondants, et le pubis richement poilu de Moussa entra en contact avec le bas ventre rasé de près de Layla. Ces nouveaux attouchements, follement érotiques pour Layla, sur son douillet bas ventre légèrement bombé et sur le dessous duveté de ses douces cuisses firent encore hurler la femme. Et dès que Moussa démarra ses premiers vas et viens, pourtant lentement et avec douceur, et que son zob écartait avec aisance les entrailles de Layla, elle se laissa envahir par le plaisir, dans un abandon total qui l’étourdissait de ses formidables chocs de jouissances continues. La grosse queue qui glissait avec aisance dans la chaude vulve de la femme la faisait hurler et tout son corps s’agitait du feu qui brulait de désirs ses entrailles. Moussa, bien maitre de la situation et heureux de ce délicieux cadeau offert par Rebecca, avait encore plus de plaisir en caressant, pétrissant et embrassant les jeunes seins de la femme. Il suçait leurs boutons gonflés ce qui augmentait les jouissances de Layla. Moussa jouait ainsi de son zob par en bas et de ses lèvres et mais par en haut à tel point que rapidement, il arriva à faire obtenir un troisième orgasme à la jeune femme qui hurla de jouissances. Heureusement qu’ils étaient au quatrième étage sinon, les cris de Layla aurait réveillé l’hôtel. Pour Layla qui était au septième ciel, ses jouissances étaient maintenant pratiquement continues, au rythme des vas et viens du zob. Elle ne vivait que par lui et pour lui et ses frottements et chocs délicieux continus s’irradiait dans tout son corps et elle s’abandonnait à ses sensations continues dans une sorte de torpeur pourtant active et merveilleusement agréable, délicieuse.
Et Moussa la baisa à sa manière, parfois gentille et parfois violente mais chaque fois, cela faisait vibrer la chatte et le corps de Layla. Il lui semblait qu’elle venait seulement maintenant de savoir ce qu’était un vrai zob de mâle, gros et viril qui vous défonçait la chatte et qui vous donnait une folle jouissance continue, étourdissante. Elle se sentait, seulement maintenant et totalement, au service et à la merci de ce zob, de cet homme et de ce plaisir continue. Moussa en profita pour la baiser pendant presque une heure, se retenant souvent d’éjaculer, il en avait l’expérience, mais en donnant à Layla, plus d’une dizaine d’orgasmes, certains pratiquement continus quant Moussa ne s’arrêtait pas de la pilonner avec sa grosse bite noire, malgré les hurlements de plaisir et presque la perte de conscience de la jeune femme. Et d’autres orgasmes comme des chocs qui la faisait soulever ses reins et tout son corps par des saccades vers cette merveilleuse queue. Elle ne faisait plus qu’un avec le corps puissant et doux à la fois de cet homme et de son zob qui devint leur lien de jouissances qu’elle désirait ne jamais le laisser se rompre. Mais, hélas tout a une fin et quant l’homme ressentit les prémisses du plaisir de ses couilles, il avertit Layla, et doucement retira de la chatte, son zob monstrueusement gonflé et brillant du suc féminin. Et il commença à se branler pour vouloir libérer sa tension sexuelle et son sperme sur le ventre de la femme.
Mais Layla n’avait aucune intention de laisser ce gros zob libre, alors elle se retourna sur le lit, et, la tête sur le drap, elle souleva son derrière et offrit sa merveilleuse Terma à Moussa. Celui-ci, les yeux arrondis de désirs, eu la chance d'observer et de saisir à pleines grosses mains, les larges fesses, blanches, douces et dodues de la jeune femme. Toujours vicieuse, et pour écourter l’attente, elle écarta ses fesses, de ses deux mains, pour offrir à Moussa, l’objectif désiré, son anus rosâtre et palpitant de désirs. Alors, l’homme ne résista plus et abandonna sa branle solitaire. Et, grognant et soufflant fort de désirs, il pointa son zob sur le bel anus palpitant de Layla et l’y frotta un moment, peut-être pour faire connaissance et s’exciter encore plus, lui et la femme. Ainsi, il prolongea sa caresse tout le long du sillon des fesses et gouter du délicieux spectacle de son gros zob sur la belle Terma blanche de Layla. Moussa, depuis longtemps était seulement habitué à Rebecca et parfois à sa copine Rachel et il connaissait à fond les plaisirs que sa queue donnaient à leurs corps. Mais avec cette jeune Layla, le spectacle était différent, nouveau et agréablement excitant au vu et au toucher. Et son zob se gonfla au maximum, et lui faisait mal, tellement il était gonflé et désirait assouvir son désir. La jeune Terma blanche, large et prometteuse de jouissances était un spectacle unique, inédit, étourdissant d’érotisme. Alors il enfonça son zob dans l’anus et son écartement progressif ajouta à l’excitation du vieux Moussa qui cria en arabe « ahhh ! ya zébi ! » et il s’enfonça à fond dans le cul de Layla qui, à son tour hurla bruyamment, elle ne savait plus si c’était de douleur ou de plaisir. Toujours est-il que dès que le zob lui frotta l’intérieur du cul et, vu sa grosseur, communiqua sa caresse à la chatte, elle hurla un énième orgasme qui la fit exposer de jouissances et elle plongea dans un semi étourdissement de sensations agréables continues. Moussa, maintenant totalement pris par le plaisir ne se maitrisait plus et sodomisait la femme avec toute la vigueur et la puissance de son gros zob et soufflait bruyamment. Tenant les hanches de Layla il la saillit avec férocité et rapidement son plaisir remonta de ses couilles et éclata par cinq fois dans les entrailles de la femme. Chaque éjaculation était pointée par un violent coup de ses reins et d’un « ahhh » rauque prolongée et bruyant et Layla les ressentait avec bonheur et jouissances. Elle était contente d’avoir réussi à lui donner du plaisir alors qu’il allait abandonner et très heureuse de recevoir son sperme chaud, visqueux et énormément abondant. Avec cet homme, elle sentait qu’elle venait vraiment et maintenant seulement de connaitre la vraie force d’un zob et africain, ce qui enrichissait son expérience et amplifiait ses fantasmes. C’est un vrai mâle, viril et bien doté auquel elle donnait du plaisir de femme soumise, heureuse de sa saillie et de son sperme. Elle se promit de ne plus laisser aucune soirée suivante sans gouter, sans se rassasier de cet homme et de son gros et long zob, dur comme une barre de fer vivante mais aussi douce que du beurre que sa chatte et son cul avalaient avec désir et se rassasier de son miel. Moussa se reposa un peu après sa cinquième éjaculation puis il secoua son zob dans le cul de Layla pour l’avertir qu’il allait le sortir. Mais, encore une fois, elle lui fit signe d’attendre un peu. Alors elle remua du cul et commença à danse un peu sur son zob et malgré le sperme qui coulait de son cul et sur ses fesses et cuisses, elle put ressentir la chair du gros zob et se donna encore du plaisir. Elle remuait pour toucher tous les coins de son cul et comme la queue ne voulait pas débander, elle permit à Layla de continuer quelques jouissances. Enfin, elle se décida à le libérer et recula pour s’allonger sur le lit. Moussa récupéra son zob et elle lui demanda le temps qu’ils ont mis à baiser. Moussa ayant été informé auparavant par le plan de Rebecca sur Layla et de ses conditions temporelles l'informa qu’elle avait encore une demi-heure de liberté.
Alors Layla se souleva, aida Moussa à s’allonger sur le lit puis elle s’agenouilla sur ses cuisses et engloutit encore une fois son zob dans la bouche. Elle le suça, le lécha et le branla tout en jouant lui comme une enfant. Elle se faisait plaisir avec ce gros jouet de chair, puis elle s’intéressa aux couilles. Elle les caressa, les pelota et les embrassa et lécha de tout coté et soupesa leur volume. Tout cela lui donnait encore du plaisir. Ensuite, elle alla à la poitrine velue et au pubis dru et farfouilla avec ses doigts et son plaisir augmenta dans sa tête et même dans son corps à elle. Elle recommençait même à ressentir des chatouillis dans sa chatte et dans son cul, mais elle se dit qu’ils ont eu leur suffisant pour cette nuit et doivent attendre demain soir. Mais il continuait à visiter le corps de Moussa qui se laissa faire, respectant, en vieil adulte, les plaisirs de cette femme affamée de sexe et de corps masculin. Elle lui demanda même de se coucher sur le ventre, et elle lui caressa le dos et descendit vers les fesses, poilues et dures, puis vers les cuisses aussi velues et puissantes. Elle glissa une de ses mains, sous son entre cuisses et attrapa les couilles puis le zob de l’homme qui souleva légèrement son bassin pour lui faciliter les gestes. Et dans cette position si intime pour un homme et si affolante pour une femme, elle lui caressa et branla un peu le zob, puis se baissant sur lui, elle lui lécha les fesses. Puis sa bouche allant sous les cuisses, Moussa la laissa faire et souleva son derrière, alors Layla glissa sous lui et encore une fois, mais par-dessous, elle engloutit le gros zob de l’homme et le suça avec passion. Elle était allongée sur le dos, sous Moussa et suçait et branlait le zob qui se regonfla dur rapidement. L’homme voulait arrêter l’action mais elle s’accrocha à son zob et ne le lâcha plus. Au contraire, elle amplifia et accéléra ses sussions sur le zob et sur les couilles et ce qui devait arriver arriva. Moussa ne put retenir le plaisir qui monta e ses couilles et son zob éjacula encore une fois par trois jets de sperme que Layla avala presque entièrement. Puis, épuisé apparemment, l’homme se retourna et s’allongea le dos sur le lit. Et la femme toujours passionnée, lui nettoya, avec ses lèvres et sa bouche, le zob qu’elle venait de dompter. Moussa regardait cette femme que Rebecca lui avait comme presque pucelle dans le libertinage de l’adultère, mais il constatait qu’elle avait un tempérament sexuel et érotique fantastique, il n’avait jamais vu cela avec Rebecca et sa copine Rachel. Et Moussa était heureux et impatient pour demain soir avec cette jeune femme qui apprenait vite et inventait aussi vite les jeux des plaisirs sexuels. Les deux heures étant épuisée, Rebecca toqua à la porte et Layla lui ouvrit, alors que Moussa restait allongé, nu sur le lit, le zob affalé sur ses cuisses largement ouvertes telles que l’avait laissé les initiatives de Layla. Rebecca lui fit le signe du pouce levé et Moussa lui répondit de même et ajouta une moue de ses lèvres pour traduire sa pleine satisfaction avec ce cadeau qu’elle lui avait amené. Et, jusqu’à la fin du séjour de Si Ali et Layla, Moussa remplaça, avec grand succès les absences de David, dans la chatte, le cul et la bouche de Layla.

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